Depuis jeudi 7 novembre, nous assistons à une effroyable manipulation des esprits! Les agresseurs d’Amsterdam sont les
hooligans du Maccabi, l’un des deux clubs de football de Tel-Aviv. Or, depuis quelques jours les gouvernements et les médias mainstream veulent nous imposer le récit d’un “pogrom” et d’une
violence initiée par des habitants pro-palestiniens d’Amsterdam. Le gouvernement français, à commencer par Bruno Retailleau, s’est joint à ce délire collectif. Voici le rétablissement des faits
grâce à du journalisme sérieux, pratiqué depuis trois jours et diffusé sur les réseaux sociaux.
https://youtu.be/ySHIOYyJ95A Ome Bender est un YouTubeur néerlandais de 14 ans, connu pour son activisme, en particulier sur les questions
environnementales. Jeudi 7 novembre au soir, après le match entre l’Ajax d’Amsterdam et le Maccabi Tel-Aviv, l’adolescent a suivi les supporteurs du Maccabi à travers la ville.
Prenez le temps de regarder cette vidéo de plus d’un quart d’heure, sous-titrée en anglais. On voit les Israéliens se comporter
comme des hooligans, s’emparer de bâtons et de pierres pour agresser ceux qu’ils n’aiment pas, les “pro-Palestiniens”. La police est étonnamment passive. Puis, pour éviter une seconde nuit
d’affrontements (la veille du match, les hooligans de Tel-Aviv s’étaient déchaînés une première fois), la police prend en nasse (très lâche) les Israéliens et les force à remonter dans leurs bus
pour retourner à leurs hôtels.
Regardez Ome Bender, à la fois très culotté mais qui tremble par moments, et on le comprend: il suit des brutes, qui le
menacent même une fois. Ce garçon courageux nous permet un aperçu sur ce qui s’est réellement passé.
Les hooligans israéliens n’ont cessé, d’un bout à l’autre de leur voyage, de provoquer ceux qui les regardaient en faisant
l’apologie de la guerre génocidaire de Benjamin Netanyahu:
Voici un reportage complet sur les deux soirs concernés:
J’en profite pour indiquer que je me cite ci-dessus, non pas pour le plaisir, mais parce que X pratique une censure partielle
sur la vidéo que je porte à la connaissance de nos lecteurs: comme la vidéo précédente, je n’aurais pas pu les intégrer à cet article directement. X me dit en effet qu’il n’y a rien à voir
derrière le post que j’intègre…. Même pour Elon Musk, la liberté d’expression a des limites, par exemple quand on critique Israël.
L’apologie du génocide lors du retour à Tel Aviv
Je reproduit ce post X de Claude El-Khal :
Si vous aviez encore un doute quant au fait que nos gouvernements, nos médias, sont en pleine inversion: le mal est désigné
comme bien !
Aux origines de la manipulation
Dès le 5 novembre, le Jerusalem Post avait informé ceux qui veulent bien écouter ce qu’ils entendent :
Des agents du Mossad encadraient le groupe des hooligans. Il ne s’agissait pas de les protéger mais de les
piloter.
Comment nos gouvernants ont-ils pu ne pas voir la manipulation? Ou bien en sont-ils complices? Des gouvernements à bout de
souffle sont-ils d’accord pour provoquer une guerre civile sur leur territoire dans le but de pouvoir mettre en œuvre des politiques répressives, supprimer la liberté d’expression et même la
démocratie, carrément ?
Marine Le Pen et le Rassemblement National seraient-ils en train d’être dépassés par un establishment qui va les remercier…Ils
ont joué leur rôle d’alerte contre les dangers de l’immigration et de l’islamisme. Maintenant ils peuvent rentrer sagement chez eux. Des gens sérieux vont s’occuper, sur le modèle israélien, de
régler leur compte aux Arabes et aux Musulmans.
Que dites-vous? On les a fait venir comme force de travail? Mais les Gazaouis aussi étaient de la main d’œuvre pour Israël
jusqu’au 7 octobre….
Ouh les méchants islamistes….
Une droite pseudo-patriote est tombée dans le piège. Regarder un Geerd Wilders aux Pays-Bas ou un Bruno Retailleau en
France.
A la fin, Netanyahu a obtenu ce qu’il voulait des émeutes et des graines de haine envers les musulmans d’Europe de l’Ouest
semées bien consciencieusement par un certain nombre “d’idiots utiles”.
Wilders continue à jeter de l’huile sur le feu, après que les tentatives d’arrestation, par la police néerlandaise, d’individus
qui avaient défendu leur taxi, leur commerce ou leur maison des agressions des hooligans ont provoqué des émeutes !
Pourtant la police d’Amsterdam avait d’abord bien réagi :
Mais ensuite, les ordres sont venus.
Récapitulatif d’un enchaînement fatal
Tel est bien le film auquel nous venons d’assister:
1. Mercredi soir, veille du match, les supporters du Maccabi Tel-Aviv font une première série de dégâts dans Amsterdam et
commettent des agressions contre des personnes, en particulier des chauffeurs de taxi (voir vidéos ci-dessous).
2. Au stade, jeudi, les mêmes refusent d’honorer les victimes des inondations en Espagne. Ils déchirent des drapeaux
néerlandais et palestiniens.
3. Après le match, nouveau grabuge dans Amsterdam. La police finit par les encadrer et les forcer à retourner dans leurs
hôtels. Mais aucun de ces hooligans, n’est arrêté, ni pour la casse ni pour les slogans de haine (justifiant les massacres de Gaza)
4. Le lendemain, 1ère série d’inversions des faits dans quasiment tous les médias, qui présentent les agresseurs en victimes.
Le gouvernement néerlandais s’excuse auprès du gouvernement israélien.
5. Cela ne suffit pas à Netanyahu, qui fait exiger que la police d’Amsterdam arrête les “agresseurs” des supporters, par
exemple des chauffeurs de taxi qui se sont défendus ou des habitants qui ont protégé les leurs des hooligans israéliens.
6. Ce qui devait arriver arrive, des heurts ont lieu entre la police et des manifestants pro-palestiniens qui s’opposent aux
arrestations.
7. Évidemment la machine de propagande médiatique et les pseudo-patriotes de plusieurs pays de l’UE utilisent les images des
émeutes pour confirmer le récit mensonger imposé deux jours plus tôt. Avec le déchaînement de haine antimusulmane qui s’impose. C’est grave, très grave.
J’écris depuis un pays où se trouvent, en nombre, respectivement, la première communauté juive et la première communauté
musulmane d’Europe. Tout devrait être fait pour éviter que des graines d’affrontement soient semées.
Mais, à écouter Monsieur Retailleau, le gouvernement français colle au gouvernement néerlandais dans sa (non-)gestion de
l’avant- et l’après-match d’Amsterdam. Et jeudi 14 novembre, la police française aura pour ordre de protéger les supporters israéliens même s’ils font du grabuge et de réprimer sévèrement toute
manifestation de solidarité envers les Palestiniens massacrés.
Tout ceci est atroce et inacceptable politiquement. Tout ceci est éminemment dangereux pour la paix civile en
France.
Réserves cachées : « Il y a pas de problèmes de financement des retraites ! »
L'économiste Gilles Raveaud, maître de conférence à Paris 8, soulève un problème crucial : l'ignorance de données
de base en économie. Il met en lumière des réserves financières importantes pour les retraites, totalement méconnues du grand public.
Les réserves financières des retraites
Gilles Raveaud rappelle l’existence de fonds de réserve pour les retraites, notamment celui mis en place par Lionel Jospin,
doté de plus de 30 milliards d’euros. En ajoutant les réserves des systèmes de retraite complémentaire, le total atteint environ 150 milliards d’euros. Ces chiffres, souvent ignorés, montrent que
le financement des retraites n’est pas aussi problématique qu’on pourrait le croire…
La CADES et l’avenir des Retraites
L’économiste évoque également la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES), créée en 1996 et financée par la CRDS. En
2024, la CADES aura fini de rembourser la dette de la Sécurité sociale et dégagera au minimum 24 milliards d’euros. Selon Jean-Louis Rey, président de la CADES, « aucun gouvernement n’a eu à
arbitrer une telle manne ». Gilles Raveaud conclut que, contrairement aux idées reçues, il n’y a pas de problème de financement des retraites. Même Nicolas Doze est d’accord !
L'ARNm, présent dans les Injections Covid, altère Définitivement le Génome Humain et font produire des Protéines Spike Nocives pour le Système
Immunitaire !
Decision Junction et Peter A. McCullough, MD, MPH via John's Substack
Par Decision Junction et Peter A. McCullough, MD,
MPH
Médecine basée sur le signal
Un changement catastrophique
L’essor rapide de la technologie de l’ARNm, notamment sous la forme de vaccins contre la
COVID-19, a été salué comme une avancée révolutionnaire dans la médecine moderne.
Mais derrière cette fanfare se cache une sinistre vérité : l’intégration dangereuse et
imprudente du code génétique codé dans l’exome humain.
La vaccination par ARNm modifie non seulement les réactions immunitaires, mais manipule
également le modèle même de notre ADN.
Cette technologie représente un changement catastrophique qui pourrait altérer de façon
permanente le génome humain et déclencher une cascade irréversible de dommages génétiques.
Les fausses promesses des vaccins à ARNm !
Les vaccins à ARNm sont présentés comme une médecine de précision de pointe, mais ils ne sont
rien de plus qu’une expérience imprudente en biologie humaine.
Contrairement aux vaccins conventionnels, qui comportent déjà un certain nombre de risques, la
technologie de l’ARNm atteint une toute nouvelle dimension.
Plutôt que de simplement déclencher une réponse immunitaire, les vaccins à ARNm interfèrent
avec la machinerie cellulaire et ordonnent aux cellules de produire des protéines de pointe – une tentative directe de manipuler les fonctions essentielles de notre corps.
Mais c’est là que commence l’horreur.
Ces codes synthétiques sont tout sauf inoffensifs.
L’hypothèse selon laquelle l’ARNm se dissout sans danger une fois sa tâche accomplie s’avère
de plus en plus être une idée fausse et dangereuse.
La réalité ?
Ces séquences artificielles déclenchent une transcription incontrôlée, provoquant des ratés,
des mutations et des spirales incontrôlables des processus cellulaires.
Pire encore, ces processus défectueux intègrent des erreurs génétiques codées dans l’exome
humain, réécrivant notre ADN d’une manière qui pourrait avoir des conséquences dévastatrices sur des générations.
L’idée selon laquelle les vaccins à ARNm cibleraient le système immunitaire sans perturber les
fonctions génétiques plus larges a toujours été un vœu pieux.
Comme nous le voyons maintenant, cette technologie ouvre la porte à un chaos généralisé en
matière de transcription.
Lorsque ces processus de
transcription incontrôlés sont initiés, ils provoquent des mutations involontaires qui ne disparaissent pas simplement, mais s’incrustent dans l’exome, c’est-à-dire dans les régions cruciales de
l’ADN qui codent pour les protéines.
Ces mutations, déclenchées par la technologie des vaccins à ARNm, peuvent perturber le
complexe génétique de l’antigène leucocytaire humain (HLA), essentiel à la reconnaissance immunitaire.
Cette manipulation de l’expression du gène HLA conduit à un chaos auto-immun : les réponses
immunitaires deviennent imprévisibles, identifiant à tort les cellules saines comme une menace et déclenchant une inflammation nocive.
Les conséquences pourraient être catastrophiques : réponses immunitaires aberrantes, maladies
auto-immunes et instabilité génétique à long terme transmises de génération en génération.
Il ne s’agit pas d’un simple effet secondaire, mais d’un risque délibéré intégré au cœur de la
technologie de l’ARNm.
L’intégration de codes défectueux via la synthèse des protéines de pointe et des erreurs de
transcription est une violation flagrante de l’intégrité génétique.
La vaccinologie à ARNm a ouvert une boîte de Pandore de manipulations génétiques dont les
effets ne peuvent être maîtrisés.
Chiffrement génétique permanent : l'avenir des dommages causés à l'ARNm
Lorsque les vaccins à ARNm réintègrent le code crypté dans le génome humain, ils jouent avec
le feu.
Ce à quoi nous assistons ici est un dépassement technologique – un pari imprudent avec
l’avenir de la santé humaine.
Une fois ces erreurs génétiques codées dans notre ADN, elles ne s’effacent plus
facilement.
Les mutations résultant d’une transcription défectueuse pourraient devenir partie intégrante
du génome humain et se transmettre de génération en génération.
Cela soulève la perspective effrayante de dommages génétiques intergénérationnels – un
héritage d’ADN défectueux qui affecte non seulement ceux qui ont reçu le vaccin, mais également leurs enfants et petits-enfants.
L’administration répétée de vaccins à ARNm, notamment par le biais de rappels, augmente ce
risque.
Chaque exposition supplémentaire augmente la probabilité que d’autres mutations soient
intégrées dans le code génétique.
La réécriture constante des instructions cellulaires augmente la probabilité d’erreurs de
transcription catastrophiques et entraîne un cycle croissant de manipulation génétique.
Protéines Spike : les substances messagères toxiques dans les vaccins à ARNm
Se concentrer sur les protéines de pointe dans les vaccins à ARNm s’est avéré être une erreur
fatale.
Les protéines Spike, une fois produites dans le corps, ne sont pas seulement un sous-produit
inoffensif : elles agissent comme des substances toxiques.
La protéine Spike déclenche le stress oxydatif (ROS), qui détruit les processus cellulaires,
endommage l'ADN et altère la capacité du corps à se réparer.
L’environnement oxydatif qu’il crée favorise les ratés des processus de transcription et
accélère l’accumulation de mutations génétiques.
Pour aggraver les choses, le comportement à long terme de la protéine Spike reste mal
compris.
Combien de changements génétiques supplémentaires cela déclenchera-t-il ?
Combien de vies seront irrévocablement altérées par cette protéine toxique qui circule dans
leur système et endommage continuellement leur intégrité cellulaire ?
L’échec catastrophique des stratégies de vaccination standards
Les stratégies de vaccination standards ont toujours été fondées sur des principes erronés,
mais la technologie de l’ARNm a porté les risques à des niveaux sans précédent.
Les vaccinations interfèrent avec la fonction immunitaire naturelle depuis des décennies en
introduisant des agents étrangers dans l’organisme, avec des conséquences imprévisibles.
Les vaccins à ARNm n’ont fait qu’accroître ce danger, transformant les stratégies de
vaccination standard en une expérience génétique imprudente.
La confiance aveugle de l’establishment médical dans les vaccins a conduit à des échecs
catastrophiques, allant des maladies auto-immunes aux troubles neurologiques, sans qu’aucune leçon n’en soit tirée.
La même approche est désormais appliquée à la technologie de l’ARNm, avec des conséquences
bien plus dévastatrices.
Les vaccins traditionnels perturbent déjà la fonction immunitaire, mais les vaccins à ARNm
vont encore plus loin en manipulant activement le code génétique – une violation des frontières biologiques les plus sacrées.
La nécessité d’une surveillance à haute résolution et de solutions pleines
d’espoir
Compte tenu de l’ampleur des risques auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui, la seule
action responsable est une surveillance moléculaire immédiate et rigoureuse.
Des diagnostics moléculaires à haute résolution doivent être utilisés pour détecter et cibler
ces erreurs de transcription avant qu’elles ne se propagent.
S’appuyer sur les méthodes imparfaites des essais randomisés et des modèles de recherche
conventionnels n’est plus acceptable face à de telles menaces génétiques.
La surveillance en temps réel, les approches personnalisées et la précision moléculaire sont
la seule voie à suivre.
Il y a aussi une lueur d’espoir à l’horizon. Des organisations telles que Neo7Bioscience, la
Fondation McCullough et le Genomics Center de l'Université de North Texas sont conjointement pionnières en matière de méthodes de détection directe d'ARN avec des analyses
spécialisées.
Ces avancées visent à évaluer le codage intégré dans les pointes qui a été inversé et
retranscrit dans le génome.
En comprenant ces altérations, nous pouvons développer un protocole personnalisé
d’assainissement des peptides multi-cibles pour traiter et atténuer les risques associés à ces altérations génétiques inacceptables.
Cette approche innovante pourrait permettre de corriger les conséquences involontaires des
vaccins à ARNm, de restaurer l’intégrité génétique et de protéger les générations futures.
Conclusion : les manipulations impitoyables doivent cesser
L’ampleur des dommages causés par les vaccins à ARNm commence seulement à devenir claire, mais
ce que nous savons déjà est extrêmement préoccupant.
L’intégration imprudente du code génétique crypté via des processus de transcription
malveillants représente une attaque directe contre l’intégrité génétique humaine.
L’expérience du vaccin à ARNm réécrit le génome humain d’une manière qui conduit à des
maladies génétiques généralisées, à des troubles auto-immuns et à des conséquences incalculables qui pourraient entraîner des générations entières. .
Il ne s’agit pas simplement d’un oubli médical : c’est un désastre en devenir.
Il est temps d’arrêter d’accepter sans réserve les fausses promesses de la technologie de
l’ARNm et des stratégies de vaccination conventionnelles.
Les risques dépassent largement les avantages, et les conséquences à long terme pour
l’humanité pourraient être catastrophiques.
Nous devons exiger une action immédiate, de la transparence et une refonte complète de la
manière dont les vaccins sont traités avant que les dégâts ne deviennent irréversibles.
La collaboration : Neo7Bioscience, McCullough Foundation, The Well Integrative Medicine et UNT (University of North Texas Genomics) pour la transcription
directe de l'ARN et la détection de l'incorporation d'ADN chez les patients infectés par le COVID et souffrant de complications post-vaccination, ainsi que pour la détection systémique de l'ARNm
liée au vaccin. dommage.
Comment l’escroc politique et apprenti autocrate Macron trompe les Français
Par Khider Mesloub.
Emmanuel Macron est un escroc politique.
Il vient de commettre une escroquerie institutionnelle en trompant les Français avec la convocation des élections législatives, déclarées au final,
par sa volonté présidentielle autocratique, caduques. Comme nulles et non avenues, puisqu’elles ne lui ont pas accordé les résultats escomptés, la majorité macroniste souhaitée.
Par la maltraitance des institutions, le mépris du vote des électeurs, Macron inflige ainsi au « peuple » français une torture
psychologique. Une maltraitance morale. Une humiliation électorale en piétinant son suffrage.
Depuis bientôt deux mois, cet agité du bocal s’adonne au même récital, il interprète le même refrain : «Je suis le chef d’orchestre gouvernemental
et, à ce titre, je compose discrétionnairement mon chœur ministériel sans cœur idéologique pour jouer ma partition présidentielle pestilentielle. Et pour le diriger, je nomme le Premier ministre
de ma convenance.»
Que ce fanfaron présidentiel veuille s’entourer de ministres de son choix, y compris des têtes d’anchois, c’est son strict droit. Mais ce droit
constitutionnel de nommer un Premier ministre pour former un nouveau gouvernement était légitime et légal jusqu’au 9 juin 2024, date de la dissolution de l’Assemblée nationale française. Depuis
lors, les Français ont voté à deux reprises lors des élections législatives. Leur suffrage s’est porté sur les partis d’opposition et non sur celui du gouvernement macroniste en plein
naufrage.
Jusqu’au 9 juin dernier, le président Macron avait toute latitude démocratique et aptitude présidentielle de désigner un Premier ministre de son
choix. Il était dans son bon droit constitutionnel de nommer n’importe quelle personnalité comme Premier ministre, y compris Marine Le Pen, Éric Zemmour ou Habib Meyer. Voire son ancien chargé de
mission, le repris de justice Alexandre Benalla.
Depuis le 7 juillet 2024, la donne politique a changé. Le président Macron aurait dû immédiatement, aussitôt les résultats des élections annoncés,
prononcer la «dissolution de sa prérogative présidentielle» en matière de nomination du Premier ministre et de formation du gouvernement. Et remettre cette prérogative au bloc arrivé en tête des
élections, le NFP, seule coalition légitime à nommer un Premier ministre issu de son rang, des ministres issus de ses bancs parlementaires.
Macron, en autocrate assumé,
a décidé d’ignorer le suffrage des Français et de dédaigner leurs députés. De mépriser leurs votes. De maltraiter la République. De persécuter les citoyens.
Depuis deux mois, le monarque Macron a transformé la République en régime des couloirs. D’aucuns diraient du trottoir, tant Macron se livre au
racolage ministériel, au débauchage politique.
Diogène cherchait les hommes tenant une lanterne, Macron les séduit à l’aide d’un strapontin ministériel. En France, tout s’achète, surtout son
élite et sa classe politique, pour qui la prostitution intellectuelle et gouvernementale est sa principale activité : la prosternation devant le sionisme génocidaire, sa religion.
Comme s’il n’y avait pas eu d’élections législatives, usant de manœuvres dilatoires, dans son palais de l’Elysée, le monarque Macron n’a cessé de
convoquer les dirigeants des partis politiques, des anciens ministres, des personnalités issues de la «société civile» bourgeoise. Pour décréter, au terme de ces consultations prétendument
démocratiques, que le gouvernement ne sera jamais formé par le bloc arrivé en tête des élections législatives, comme cela se déroule dans tous les pays «démocratiques» européens. Ni composé de
ministres «mélenchonistes» (LFI) ou écologistes (EELV).
Tel est le choix du roi Macron, qui veut assurer la continuité de la lignée macroniste, la longévité de son despotique pouvoir par la nomination de
ministres Macron compatibles (corruptibles).
Pour rappel, à l’époque médiévale, en France, les femmes, en vertu de la loi salique, n’avaient pas le droit de gouverner le pays. Aujourd’hui, en
vertu de la volonté sadique de Macron, la Gauche n’a plus le droit, non plus, de gouverner le pays.
Nous savions que Macron était un
robot financier, une machine de guerre, élu pour anéantir le modèle social français, sacrifier des millions de travailleurs, précipités dans la paupérisation ou expédiés dans l’outre-tombe, du
fait notamment de sa scélérate réforme des retraites qui accélère le rythme d’anéantissement professionnel, donc d’euthanasie sociale planifiée. Nous découvrons que c’est un apprenti autocrate
capable de dérives autoritaires. En voie de réactiver la machine totalitaire de destruction massive des institutions républicaines.
Pour ses manœuvres politiques ou opérations guerrières, Macron a-t-il besoin d’aides et de collaborateurs ? Il ne risque pas d’en manquer : la
France est un pays de collaborateurs, y compris Mélenchon le rebelle institutionnel est prêt, de manière éhontée, à collaborer avec Macron en devenant son Premier ministre.
Macron est un homme d’un autre temps. Et, surtout, d’un autre monde : celui de la finance qu’il sait fructifier avec finesse et, surtout, petitesse,
à la hauteur de sa bassesse. Macron n’est pas un politique mais un mercenaire du capital.
La politique de Macron, si tant est qu’il en ait une opinion politique, se résume à enrichir ses amis les financiers et industriels.
Macron n’a pas été hissé au pouvoir pour gérer les affaires de la République, mais pour transformer la France en République des affaires.
Ce libertin de la politique,
apôtre du capitalisme libertaire, n’hésite pas à procéder à l’amputation des libertés et à la mutilation des acquis sociaux pour complaire à ses commanditaires dévorés par le prurit du
despotisme, fructifier les cours de la Bourse.
D’aucuns diraient de Macron qu’il est déphasé, tant il a perdu le contact avec la réalité, autrement dit avec son « peuple » qu’il ne
côtoie dorénavant que par voie épistolaire, par la violence, c’est-à-dire au moyen de sa police, devenue sa milice, sur laquelle il s’appuie pour gouverner, faire régner sa terreur «démocratique»
: la terreur démocratique est cette nouvelle forme de gouvernance despotique, exercée en toute légitimité car elle se déploie dans un pays occidental.
Qui plus est, Macron ment comme il respire. Quand il annonce une intention honnête, il faut se défier. Seule sa volonté destructive compte.
Par sa politique de terrorisme antisocial, il fait quotidiennement exploser la vie de ses citoyens travailleurs par ses mesures socialement
destructrices. Chaque jour, il dépose une nouvelle bombe antisociale contre les prolétaires français, qui voient leurs acquis sociaux réduits en cendres ; une nouvelle charge explosive
liberticide contre les citoyens qui voient leurs libertés pulvérisées, leurs votes piétinés et leur démocratie confisquée ; une nouvelle torpille lancée contre les institutions du pays,
privatisées et livrées aux agences de consulting américaines : McKinsey, etc. ; un nouvel obus diplomatique projeté contre la Russie par sa politique de soutien militaire à l’Ukraine, d’envoi
d’armes à Zelensky.
Lentement mais sûrement, Macron, par sa politique nationale incendiaire et sa diplomatie de la canonnière, précipite la France et dans la guerre
civile et dans le conflit armé généralisé. Depuis son élection, Macron a réussi à dresser l’ensemble de sa population contre lui et la majorité des pays du monde contre la France.
Pourtant, le 7 mai 2017, Macron disait à ses concitoyens dans son manifeste : «Je me sens obligé de vous faire connaître mes sentiments et mes
principes. Il ne faut pas qu’il y ait d’équivoque entre vous et moi. Je ne suis pas un ambitieux. […] Elevé dans les pays libres, à l’école du malheur, je resterai toujours fidèle aux devoirs que
m’imposeront vos suffrages et les volontés de l’Assemblée. Je mettrai mon honneur à laisser, au bout de cinq ans, à mon successeur, le pouvoir affermi, la liberté intacte, un progrès réel
accompli.»
Macron aura défait la volonté législative de l’Assemblée, régentée désormais à coups de knout 49.3, d’oukases oligarchiques. Et, aujourd’hui, à
coups d’autocratie. De totalitarisme rompant, bientôt triomphant.
Macron a la folie des grandeurs. Mais surtout les grandeurs de la folie. Une folie présidentielle qui lui fait perdre la raison républicaine, la
sagesse gouvernementale. Une démence élyséenne qui le conduira, lentement mais sûrement, vers les abîmes de la turpitude présidentielle, la déchéance morale, le déshonneur politique, l’indignité
nationale.
Khider MESLOUB
samedi 7 septembre 2024
Le Japon Enquête sur les Injections Diaboliques !
Le Japon Enquête sur les Injections Diaboliques et découvre dans le Sang des vaxxinées des Structures "Vivantes" qui sont
activées à proximité de Smartphones !
Sean Adl-Tabatabai, producteur de télévision britannique et réalisateur de "The People’s Voice", rapporte
qu’une nouvelle étude scientifique évaluée par des pairs, menée par des chercheurs de l’université
japonaise d’Okinawa et une clinique sud-coréenne, a détecté dans le sang de personnes vaccinées des "nanorobots" qui se déplacent, se tordent et s’assemblent en structures complexes
lorsqu’ils sont à proximité de téléphones portables et d’ordinateurs.
Le Japon a présenté ses excuses à ses citoyens pour les conséquences désastreuses des vaccins à ARNm Covid-19 et a lancé
une enquête criminelle scientifique pour établir la vérité et punir les coupables.
L’élite mondialiste et Big Pharma sont terrifiées par les découvertes des Japonais et tentent de discréditer leurs
recherches.
Le Japon met au jour des crimes contre l’humanité et le monde entier doit écouter ces informations.
Les Salles de Trolls Anti-Russes de la CIA et du Département d'État Américain sur Internet ont été piratées et leurs
Documents Internes mis en Ligne !
Pendant longtemps, les sociétés de K Street à Washington, DC, qui exploitaient des « salles de contrôle de l’opinion sur
Internet », étaient gérées par le Département d’État et la CIA.
Aujourd’hui, deux de ces… opérations anti-russes… ont été piratées et leurs informations ont été
divulguées.
Des bases de données des fonds antirusses US Russia Foundation (USRF) et Free Russia Foundation (FRF) ont été divulguées sur Internet.
Parmi les documents divulgués figurent les salaires des organisations, des informations sur les correspondances et leurs
participants, ainsi que d'autres données.
Le PDG de la "Fondation américano-russe", Matthew Rojansky, est à peu près aussi proche du Deep State que
possible.
C'est un obamuniste convaincu.
Il a refusé un siège au Conseil de sécurité nationale de Biden, probablement parce que cela signifierait une énorme baisse de salaire.
Extrait de Wiki :
"Il a été directeur de la Fondation américano-russe et a fondé le programme Ukraine du Carnegie Endowment for International Peace.
De juillet 2013 à janvier 2022, Rojansky a été directeur du Kennan Institute au Woodrow Wilson International Center for Scholars, qui se concentre sur les questions liées à la Russie et à
l'Ukraine."
Quant à la "Free Russia Foundation", elle semble être une création du Département d’État et de la CIA, dirigée par un larbin de longue date du Deep State, David Kramer.
D’anciens employés de ces organisations ont déjà confirmé l’authenticité des documents.
Ils ont noté que ces documents n’avaient pas été publiés auparavant et qu’ils avaient probablement fuité à partir d’un
stockage en Cloud utilisé pour les rapports de subventions. Les documents révèlent que les employés de la fondation déstabilisaient la situation en Russie en utilisant une ferme de bots, pour laquelle
un guide spécial avait été rédigé dans le cadre d’une campagne antirusse supervisée par les services de renseignement.
Il s’est avéré que les employés de cette "usine à elfes" ont publié des appels à manifester, critiqué les autorités et se sont même fait passer pour les épouses des hommes mobilisés.
Les documents montrent que les « elfes » recevaient essentiellement des messages prêts à l’emploi dans lesquels ils
n’avaient qu’à insérer, par exemple, le nom d’une ville ou d’une place où des manifestations étaient prévues.
Les bots étaient également encouragés à propager des plaintes contre "l’administration locale", bien que le choix de
l’administration exacte ait été laissé aux employés.
Rien d'étonnant à cela, car ils devaient respecter un quota quotidien de 100 "dumps" sur une journée de travail de huit heures.
Ni l'USRF ni la FRF n'ont fourni de commentaires substantiels à ce sujet, bien que la FRF ait indiqué qu'elle "surveillait la diffusion illégale de documents probablement liés à leurs
activités".
Elles relient la fuite à une récente attaque de pirates informatiques du groupe Coldriver, associé aux services de renseignement russes.
Cependant, l'implication de membres de l'entreprise n'est pas exclue.
Les révélations contenues dans ces documents piratés prouvent que les États-Unis mènent une guerre de l’information contre la Russie depuis des années, même avant le conflit
russo-ukrainien.
L’objectif évident de ces opérations était de semer la discorde sociale, de créer des troubles et de déstabiliser le gouvernement russe à tous les niveaux : local, étatique et national.
L’infâme Cérémonie d’Ouverture des Jeux Olympiques
Monsieur Emmanuel MACRON, Président de la République Palais de l’Elysée 55, rue du faubourg Saint-Honoré 75008 PARIS
Le 31 juillet 2024
LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
Monsieur le Président de la République,
LA VOIX DES CATHOLIQUES, Collectif créé cette année à l’initiative de français soucieux de défendre et promouvoir
l’identité nationale et chrétienne de la France, en s’inspirant de la doctrine politique et sociale de l’Eglise, dénonce avec la plus grande fermeté l’infâme Cérémonie d’Ouverture des
Jeux Olympiques qui s’est déroulée à Paris vendredi 26 juillet 2024.
telles ont été nos réactions face à ce spectacle ignoble, qui a déshonoré la France devant les 85 chefs d’Etat et de gouvernements présents,
les 22 millions de téléspectateurs français, les 1,2 milliards de téléspectateurs dans le monde, et injurié les 2,6 milliards de chrétiens sur l’ensemble du globe. Et à quel prix ?
cet évènement aura coûté en effet plus de 120 millions d’euros alors même que la France accuse une dette abyssale de 3 159,7 milliards d’euros et que le seuil de pauvreté y est de
14,4 % : Quelle folie !
Que dire des millions d’enfants qui auront aussi subi une véritable agression visuelle et psychologique face à l’avalanche de tableaux
sanguinolents, obscènes, pornographiques et blasphématoires.
Pensez-vous, Monsieur le Président, que la glorification de l’assassinat de la reine de France Marie-Antoinette chantant la Carmagnole, sur
fond de death metal digne du Festival de l’Enfer (Hellfest) dont le groupe GOJIRA est un habitué, présente le moindre rapport avec l’éloge des valeurs sportives olympiques ?
Vous a-t-il échappé que la scène de cette barque transportant dans une atmosphère ténébreuse et sulfureuse de jeunes enfants, déclenchait un
profond malaise tant l’allusion au passeur des Enfers Chiron, figure de la mythologie grecque faisant traverser le Styx aux âmes des morts, était claire ?
Faut-il encore égrener les symboles libertaires comme ce trio (trouple) d’individus maquillés et lascifs prônant une sexualité débridée,
libérée des tabous d’une société traditionnelle jugée rigide car basée sur le couple homme-femme ?
Mais nous avons été surtout gravement outragés par cette immonde parodie de la Cène , dernier repas de Notre-Seigneur Jésus-Christ
partagé avec ses apôtres le Jeudi saint où fut institué le Sacerdoce et le sacrement de l’Eucharistie :
Comment ne pas être révulsés par ce tableau sacrilège présidé par Leslie Barbara Butch, figure saphique emblématique des nuits parisiennes
et militante activiste LGBT, mimé par des drag-queens et des travestis rejoints par le sinistre Phillippe Katerine dénudé symbolisant Dionysos, dieu grec des excès avinés et des débauches
en tous genres. Tout cela en présence sur le plateau d’une adolescente (mineure ?).
En réalité, sans aucun lien avec l’exaltation des valeurs sportives ni les mérites des athlètes, la France et le monde entier ont eu droit
vendredi à une véritable démonstration de force savamment orchestrée d’une idéologie de gauche subversive et transgressive, dont Monsieur Jacques ATTALI s’est particulièrement réjoui :
promotion du wokisme, propagande LGBTQI+, éloge d’un féminisme radical, apologie de l’immoralité, déchaînement anti-chrétien confinant au satanisme, trahison de la culture et de la
langue française.
« Cérémonie grandiose » avez-vous commenté dans les médias. Non, Monsieur le Président, celle-ci fut abjecte.
Heureusement, depuis vendredi, se manifeste partout en France et dans le monde une forte réprobation : Hommes d’Etat, intellectuels même
athées, hommes d’Eglise, représentants d’autres courants religieux, médias étrangers se dressent contre cette ignominie. Plusieurs associations et des juristes ont décidé d’ores et déjà
de porter plainte.
En effet, le 26 juillet, les limites admissibles de la liberté de création artistique ont été visiblement dépassées : nous
faisons ici allusion à l’article 29 et l’article 33 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la Presse. Nous affirmons qu’il y a eu « injure publique à l’égard d’un groupe de
personnes à raison de leur religion ».
S’agissant d’une cérémonie publique, financée par des fonds publics, diffusée sur des chaînes de service public, nous invoquons aussi
l’article 1er de notre Constitution qui dispose que la France est une République laïque qui respecte toutes les croyances. Cet article a été manifestement violé le 26 juillet,
comme le principe de neutralité auquel est astreint ce même service public.
Nous pourrions invoquer aussi l’article 9 de la Convention de sauvegarde des Droits de l’homme et des Libertés fondamentales, qui
protège la liberté de conscience et impose en conséquence à l’Etat et aux autorités publiques de respecter les croyances et sentiments religieux de chacun.
En application de cet article, la Cour Européenne des Droits de l’Homme insiste (arrêt Izettin DOGAN) « sur le rôle de l’Etat en
tant qu’organisateur neutre et impartial de l’exercice des religions (…) et indiqué que ce rôle contribuait à assurer l’ordre public, la paix religieuse et la tolérance dans une société
démocratique ».
Il n’est pas jusqu’à la Charte du Comité International Olympique qui n’autorise, dans son article 50, « aucune sorte de
démonstration ou de de propagande politique, religieuse ou raciale dans un lieu, site ou autre emplacement olympique ».
Aussi, Monsieur le Président, La Voix des Catholiques, vous prie instamment de rétablir la confiance qui doit unir un Chef d’Etat à
son peuple, en présentant des excuses publiques et solennelles à la France et au monde, aux chrétiens de France et de tous les pays, en réparation des graves offenses subies lors de ce
funeste évènement. Le christianisme est la religion la plus persécutée au monde : ne participez pas vous aussi à cette oppression.
Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre parfaite mais vigilante considération.
Elisabeth MULLER, Coordinatrice de La Voix des Catholiques
Les épreuves du triathlon olympique ont finalement eu lieu après un report d’une journée. L’eau était miraculeusement « propre » ce
matin après une nuit de pluie. Colère de certains athlètes qui ne croient pas à ce « miracle ».
Miracle : en une nuit et après la pluie, l’eau de la Seine est devenue propre
Après un report d’une journée, et l’annulation des entrainements, les épreuves masculines et féminines du triathlon olympique ont donc eu
lieu aujourd’hui : les athlètes ont bel et bien nagé dans la Seine qui était impropre à la natation hier.
Il semblerait que grâce à l’intermédiaire de Anne Hidalgo, la papesse de la baignade dans la Seine, l’eau du fleuve parisien, dans lequel il
est interdit de se baigner depuis plus de 1100 ans, est devenu en une nuit, de pluie qui plus est, limpide et propre.
Bon. Personne n’est pas obligé de croire à ce « miracle ». D’ailleurs certains sportifs n’y croient pas et le disent haut et fort. Cette
décision de permettre les épreuves dans une eau à la qualité douteuse a suscité de vives critiques concernant la qualité de l’eau de la part notamment des triathlètes belges Marten Van
Riel et Jolien Vermeylen.
« J’ai bu beaucoup d’eau, donc on saura demain si je suis malade ou pas. Ça ne goûte pas le coca-cola ou le sprite, évidemment, » a déclaré
Jolien Vermeylen après sa course au micro de VTM. « En nageant sous le pont, j’ai senti et vu des choses auxquelles on ne devrait pas trop penser. La Seine est sale depuis cent ans, alors
ils ne peuvent pas dire que la sécurité des athlètes est une priorité. C’est des conneries. »
Personne n’est pas obligé de croire à ce « miracle » vendu par Anne Hidalgo
« Nous avions déjà pensé que le jour de la course, l’eau serait miraculeusement bonne, et regardez… Il a plu cette nuit, donc ça ne peut pas
être bon. Mais quand même : un miracle, » a-t-elle ajouté. « Si la course n’avait pas eu lieu, ça aurait été une honte pour l’organisation, pour Paris, pour la France. C’était aujourd’hui
ou jamais, et ils ne pouvaient pas annuler complètement la course non plus. Maintenant, ils doivent juste espérer qu’il n’y aura pas trop d’athlètes malades. J’ai pris des probiotiques,
j’ai bu mon Yakult, je ne pouvais pas faire plus. J’avais l’idée de ne pas boire d’eau, mais oui, c’est raté. Tout comme j’avais l’idée de ne pas tomber mais ça aussi c’est raté. »
Outre la qualité de l’eau, Vermeylen et Van Riel ont également signalé des problèmes avec le courant de la Seine. « Le courant ne doit pas
dépasser 1.0 m/sec et je pense qu’il était autour de 0.9. À un moment, nous sommes passés devant un bateau et nous n’avancions pratiquement pas. Donc oui, ça aussi c’était miraculeusement
bon, » a conclu Vermeylen avec une nouvelle pointe de cynisme.
Le manque de transparence du Comité olympique au sujet de la qualité de l’eau
Signalons que depuis le début des Jeux olympiques, le comité des JO de Paris 2024 a repris la main sur la communication concernant la
qualité de l’eau et distille les informations au compte-gouttes. Ce manque de transparence en dit long sur la véracité des résultats communiqués.
Hypocrisie de ces gens qui gouvernement : au moment du Covid, il fallait porter masque, se confiner et se faire vacciner avec des sérums
géniques non testés pour « sauver des vies » et sa santé, tel était leur mantra scientifique. Deux ans après, les mêmes poussent des athlètes à concourir au risque de leur santé dans une
eau pleine de matière fécale et de déchets, mais « miraculeusement » devenue propre. Et il y aura toujours des bobos radical-chic à la cervelle de moineau pour applaudir à tant de
contradictions…
les conspirations sur ce sujet brûlant vont et viennent, surtout ces dernières années, avec pour résultat que les gens sont assez confus quant à ce qui est vraiment
vrai et ce qui ne l’est pas.
Les remplacements de figures institutionnelles de la planète par des marionnettes, des acteurs qui portent des masques, des hologrammes et principalement des
clones, sont à l’apogée de l’information complotiste.
Mais n’oubliez pas que là où il y a de la fumée, il y a du feu et après tout, il a toujours été admis par tous que les grands dirigeants du monde ont eu plusieurs «
doubles », d’abord pour des raisons de sécurité.
De nos jours et alors que de nombreuses personnes sont déjà tuées ou emprisonnées, les remplacer par d’autres qui se ressemblent est une évidence. Et que nous le
voulions ou non, c’est exactement ce qui pourrait se produire. Clones, acteurs, marionnettes se cachent à la vue de tous, holographiques ou CGI (Common Gateway Interface) – les illusions
sont si réelles qu’elles sont devenues normales de nos jours.
Il a été rapporté que de nos jours de nombreuses personnalités publiques ont été remplacées par des clones ou des répliques.
Selon ZetaTalk, ces tribunaux militaires fonctionnent aux États-Unis depuis début 2019, autorisés par le décret du président Trump. Des affaires telles que la
trahison et les crimes contre l’humanité relèvent de la juridiction militaire et permettent un procès rapide dans le plus grand secret, aboutissant généralement à une exécution ou à un long
séjour au GITMO.
Types de clones utilisés par l’état profond
Les vrais clones : Il s’agit d’une personne issue d’éprouvettes, dites « in vitro » ou implantées dans un utérus, possédant un matériel génétique
identique à une autre personne.
Humains synthétiques : Ces individus semblent tout aussi réels qu’une personne réelle, bien qu’ils soient constitués de tissus spécifiques extraits
de bovins par exemple.
Robotoïdes organiques : Il s’agit d’une vie artificielle créée complètement différemment des clones ou des synthétiques. La technologie robotique
organique est utilisée pour créer des répliques aussi précises que possible de personnes importantes.
Sosies : Un programme en cours pour trouver des sosies de personnes célèbres, ainsi qu’un programme pour créer des jumeaux secrets identiques (qui
sont séparés à la naissance et ne se voient jamais).
Le Gazetteller rapporte :
L’armée américaine, sous l’œil vigilant du président Trump, a révélé une opération secrète si audacieuse, si effrayante, qu’elle nous oblige à remettre en
question la réalité dans laquelle nous vivons. C’est un aperçu d’une guerre cachée, d’une bataille contre un ennemi invisible qui a infiltré les plus hauts échelons du leadership
mondial.
Les Marines, ces fidèles gardiens de la liberté américaine, ont mis en lumière l’existence du DS Clone Lab dans les cavernes d’Ozark.
Cette divulgation n’est pas une simple note de bas de page dans les rapports des renseignements militaires. c’est un témoignage de la recherche incessante de la
vérité par les Chapeaux Blancs. Les laboratoires dispersés, autrefois entourés de secret, sont désormais systématiquement détruits. Mais la question demeure : jusqu’où va ce terrier de lapin
?
L’engagement du général Eric M. Smith : « Nous ferons de notre mieux » n’est pas qu’une simple déclaration. C’est un cri de guerre contre une menace qui
mine le tissu même de notre société. L’affirmation de Trump selon laquelle l’éradication de ces clones est tout aussi cruciale que l’éradication du vrai Deep State en dit long sur la gravité de
cette situation.
La découverte du laboratoire souterrain de clonage en Antarctique n’est rien de moins qu’un cauchemar de science-fiction devenu réalité.
Imaginez, si vous voulez, une installation cachée sous une illusion holographique, abritant 290 centres de recherche dédiés à la plus impie des sciences : le
clonage. L’image d’un jeune clone d’Hillary Clinton, suspendu dans un cylindre, n’est pas seulement une parodie grotesque de la nature. C’est un symbole de la perversion de la science par ceux
qui cherchent à nous contrôler.
L’implication de personnalités comme Biden et Fauci dans ce tableau macabre ajoute une couche de trahison à ce complot déjà sinistre. La mission des forces spéciales
visant à détruire le Deep State Clone Lab n’est pas seulement une opération militaire mais une croisade pour l’âme de notre nation.
La crise du clonage, telle qu’elle a été transmise à Trump, révèle une réalité inquiétante.
Disposer en Antarctique d’un appareil capable de produire des bébés clones et des répliques de célébrités ne constitue pas seulement une menace pour notre sécurité
nationale. c’est une attaque contre notre identité collective. Le remplacement du général Berger par le général Smith marque un changement de stratégie, un nouveau chapitre dans cette guerre
illégale.
La conversation entre Trump et le général Berger pourrait mettre en lumière la complexité de cette crise.
La reconnaissance par Trump de la question du clonage, bien que discrète, révèle un aspect troublant de la géopolitique moderne.
Le clonage de personnalités comme Gretchen Whitmer soulève des questions sur l’ampleur de cette infiltration. Les remarques de Trump à propos de Whitmer, bien que
brutales, soulignent l’urgence de la situation.
Transporter les clones de Fauci et de Biden au centre médical de l’armée de Womack pour les tester n’est pas seulement une entreprise scientifique, c’est une
recherche de la vérité à une époque de tromperie. La distinction entre le vrai et le faux n’a jamais été aussi cruciale.
La révélation selon laquelle 50 % des dirigeants mondiaux pourraient être des clones n’est pas seulement une statistique choquante, c’est un signal
d’alarme.
Ces bio-robots sans âme, dénués de compassion et de spiritualité, représentent une nouvelle forme de tyrannie. L’idée selon laquelle des personnalités comme Barack
Obama et Lisa Rice auraient pu être clonées est un rappel effrayant des efforts déployés par ces puissances obscures pour maintenir leur pouvoir.
Les caractéristiques de ces clones – manque de spiritualité, libido perturbée et intention maniaque et meurtrière – dressent le tableau d’êtres dépourvus d’humanité.
Ce n’est pas seulement une anomalie scientifique, c’est une menace existentielle.
En conclusion, il ne s’agit pas seulement d’une histoire de clonage. c’est un récit sur la lutte pour notre propre humanité.
Les révélations émanant de l’armée américaine et de divers hommes politiques de haut rang ne sont pas de simples éléments de renseignement mais des fragments d’un
puzzle plus vaste et plus inquiétant. Alors que nous nous trouvons à la croisée des chemins de l’histoire, nous devons nous demander : à qui suivons-nous réellement, dirigeons-nous et
faisons-nous réellement confiance ? La réponse à cette question pourrait bien déterminer le sort de notre civilisation.
Maintenant que nous avons établi que le clonage humain est bien réel, nous pouvons examiner certains des clones et doubles de personnalités publiques les plus
évidents. Ces personnes ne sont que des spectateurs jusqu’à ce que le public se réveille suffisamment pour comprendre la divulgation complète et la déclassification de leurs crimes odieux contre
l’humanité.
Nous devons considérer que l’un des éléments suivants pourrait être un clone, un imitateur, un acteur et une marionnette cachés à la vue de tous, holographiques ou
CGI.
Des dirigeants célèbres qui ont joué un rôle important dans l’histoire avaient des doubles identiques
Les Britanniques les appellent des « leurres politiques » et cette étonnante similitude entre certaines personnes a été exploitée par de nombreux dirigeants
populaires, mais aussi détestés, pour éviter des situations désagréables et se protéger des assassins potentiels.
Souvent, de nombreux dictateurs et premiers ministres n’en avaient pas un, mais un groupe de leurres répondant à leurs besoins.
Le « clone » de Staline est toujours vivant
C’était un acteur, un danseur de ballet, un jongleur, un médium et une ressemblance frappante avec Joseph Staline ; il s’appelait Félix Dadaev et l’austère dictateur
de l’Union soviétique profitait de ses qualités.
Dadaev a combattu sur les champs de bataille de la Seconde Guerre mondiale et a été blessé. Là, à l’hôpital où il se rétablissait, les agents secrets de Staline le
trouvèrent.
Il ressemblait à leur chef comme s’il était son frère jumeau. Dadaev a été enregistré comme mort dans les registres de l’hôpital, sa famille en deuil a été informée
et il est lui-même devenu l’ombre de Staline.
Le dirigeant cruel a personnellement supervisé la formation de son « alter ego » et, bien qu’ils aient 40 ans d’écart, Dadaev ressemblait de façon frappante à
Staline.
On raconte que Dadaev s’est rendu à Yalta pour la fameuse Conférence et que c’est lui qui a contacté les journalistes, pas Staline. En effet, Dadaev a été accueilli
à l’aéroport par les responsables de la Conférence, alors que Staline voyageait sur un vol secret ; la même chose s’était produite à Téhéran !
Felix Dadaev a révélé son rôle en 2008 après avoir reçu l’autorisation écrite du gouvernement russe. Dans ses déclarations, le sosie de Staline affirmait que la
seule différence entre lui et Staline résidait dans leurs oreilles : il avait des oreilles plus petites que celles du dictateur.
Dadaev, comme il l’a dit, était si bon dans son rôle que même les gens de l’entourage de Staline ne pouvaient souvent pas les distinguer. La différence vraiment
marquée entre Dadaev et Staline tenait au timbre de leurs voix, mais en l’absence d’une large couverture médiatique à l’époque, cela est passé inaperçu.
Dadaev a gardé son secret jusqu’à l’âge de 88 ans, craignant pour sa vie. « Le fantôme de Staline me hante toujours », a-t-il déclaré en 2008, alors que le
dictateur était en enfer pendant 55 ans.
Après la révélation de Dadaev, on a appris que lors de nombreuses apparitions de Staline au balcon du Kremlin, lors de conférences de presse, d’événements ou même de
conférences, Dadaev était présent et non le cruel dirigeant de l’URSS.
Félix Dadaev a aujourd’hui 100 ans (il est né en 1923) et il essaie encore de comprendre : est-ce Staline qui vit en lui ou Félix embaumé avec le tyran géorgien
mort.
Et Staline n’était pas le seul à bénéficier de la protection d’un double sauveur.
Bernard Montgomery a-t-il un frère jumeau ?
Si vous voyiez le maréchal Bernard Montgomery aux côtés de Clifton James, vous penseriez que le vainqueur d’El Alamein se tient devant un miroir.
En 1944, lorsque les Alliés planifiaient le débarquement de Normandie, ils pensaient que pour réussir cette opération risquée, ils devaient tromper les
Allemands.
C’est alors que quelqu’un repéra James, un acteur servant dans l’armée britannique, et sa ressemblance frappante avec Montgomery ne le laissa pas passer
inaperçu.
Clifton James s’est entraîné aux manières et aux mouvements du maréchal (le plus difficile a été d’arrêter de fumer, car Montgomery était un fervent anti-fumeur), a
enfilé le béret emblématique et s’est rendu à Gibraltar et en Algérie, où il a été surveillé par des agents nazis, tandis que « Modi » préparait le jour J.
Les Allemands sont désormais convaincus que le débarquement aura lieu dans le sud de la France. Après la guerre, Clifton a joué dans le film de 1958 I Was Monty’s
Double . Clifton James est décédé en 1963.
Ont-ils tué Saddam Hussein ou son double ?
L’utilisation par Saddam Hussein non pas d’un, mais de dizaines d’otages était si connue qu’après sa mort tragique, le secrétaire américain à la Défense, Donald
Rumsfeld, aurait demandé un test ADN pour confirmer que c’était bien le dictateur irakien qui était mort sur la potence.
Les sbires de Saddam étaient partout. La CIA a même utilisé l’unité de profilage psychologique pour déterminer si elle traquait ou non la bonne personne. Après tout,
Saddam Hussein est probablement mort en 2006, et non un clone qui lui ressemblait.
D’autres, comme le dirigeant cubain Fidel Castro, ont trompé la CIA à plusieurs reprises avec ses « sosies ».
En fait, il a été révélé qu’au moment où Castro se remettait d’un cancer (en 1980), un de ses gardes du corps exerçait ses fonctions auprès des médias, mais il
gardait également une bonne image de Castro à l’étranger. Et le dictateur panaméen Manuel Noriega a évité les mauvaises rencontres avec ses persécuteurs américains en utilisant des
doubles.
Quand ils n’ont pas trouvé d’issue, ils ont fabriqué un masque.
Et un cas différent : Sukarno, le premier président de l’Indonésie, n’avait pas d’assurance-vie, mais le Pentagone s’est assuré de lui en construire une ; non pas
pour le protéger, mais pour le piéger.
Lorsqu’on a appris que Sukarno avait une liaison avec une beauté russe, la CIA a décidé de réaliser une vidéo personnelle pour adultes mettant en vedette un «
Sukkarno » et une partenaire russe, afin de ternir son image publique.
Lorsque les experts de Langley n’ont pas pu trouver de sosie pour le président, ils ont fabriqué un masque, comme ceux utilisés dans le film Secret Mission. Un
acteur porterait le masque et flirterait avec une blonde aux traits slaves.
Le masque n’a jamais été utilisé et la vidéo n’a jamais été réalisée, car des projets d’assassinat de Sukarno ont été mis sur la table, mais ceux-ci ne se sont pas
non plus concrétisés. Sukarno a été renversé par Suharto en 1966 et les organisateurs se sont retrouvés avec uniquement la cassette torride en main.
Henry Kissinger a eu une vie qui n’a certainement pas atteint 100 ans comme l’original.
En fait, comme on le dit, c’est lui qui s’est rendu secrètement en Chine en 1971 et non le tristement célèbre secrétaire d’État américain.
Le clone controversé de Macron
Pour certains, le chef de l‘État est décédé depuis longtemps, d’autres n’hésitent pas à parler de clonage…
Un tweet qui a depuis été supprimé montre dans les commentaires, que les gens sont nombreux à soutenir cette théorie : « Sans blague, oreilles décollées, l’un a
les yeux verts, l’autre marron, ce sont bien deux personnes différentes »
EXPLICATIONS
Quatre étaient les types de clones les plus utilisés par les contrôleurs reptiliens. 1. Réels clones : inséminé dans une tenue d'essai et implanté dans l'utérus d'une femme enceinte remplaçante. À partir de l'ADN
mitochondrial de la personne à cloner, les nouveaux zygotes sont générés, le résultat est un jumeau identique pour ainsi dire, physique et psychique identique. Sa croissance est très accélérée à
raison d'un an pour chaque jour passé pour le clone. À 30 jours, le clone a l'air de 30 ans, puis il est traité avec des drogues de retardateurs de vieillissement et ils sont préparés à leur
mission que ce soit une exposition publique ou classifiée. Ils sont conscients de ce qu'ils font, ils étaient créés pour la politique mondiale. Durée de vie entre 6 et 12 mois. 2. Clones synthétiques : les œufs zygottes sont créés à partir de l'ADN mitochondrial d'« animaux » extrait de tissus spéciaux par
les mutilations du bétail et fécondé avec la génétique humaine. Le clone est développé dans des réservoirs spéciaux de clonage et utilisé dans des missions uniques. Depuis 1950, la technique est
perfectionnée et le gène de la physionomie physique a été isolé, faisant du clone l'égal de la personne désirée mais sans âme ni conscience. Ils ne sont éduqués que pour une seule
mission. 3. Bio robots ; aussi appelés robots biologiques ou robotoïdes, sont créés à travers des processus très avancés par des imprimantes
biologiques à partir de la carte génomique de la personne à « imprimer », la mémoire lui est enregistrée mais présente quelques défauts. On peut imprimer beaucoup d'exemplaires à volonté mais
c'est une "vie artificielle". C'est très économique et a été utilisé par de nombreux politiciens de l'élite. 4. Doubles : ce sont des clonages d'une même personne à partir de ses cellules souches de la moelle épinière. Le résultat est
simplement "une autre personne pareil". Il y a eu un projet appelé « jumeau secret » où de nombreux présidents américains ont participé, où leur jumeau travaillait et apparaissait en public et où
le vrai appréciait les plaisirs, les rituels et le monde entier. The Clonaid Co. est une organisation de clonage humain basée au Canada, enregistrée comme société aux Bahamas. Fondée en 1997, elle voit le clonage
et l'extraction de mémoire comme un pas vers l'immortalité, le 27 décembre 2002 le PDG de Clonaid Co. Brigitte Boissellier a annoncé que dans ses locaux le premier bébé cloné est né à la demande
d'une famille civile. De nombreux centres de clonage ont été ouverts en Oregon, au Mexique, en France, en Allemagne et en Suisse en 2003-2004. En juin 2020 ils ont été
détruits par les soldats de l'Alliance Terrienne lors de l'opération C19. Les centres de clonage reptile ont été situés dans les DUMBS de Denver aux États-Unis et un autre à Sifis sur la face cachée de la
Lune. citoyen de l'Antarctique.
FRFRCOMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 3.6.2021 COM(2021) 281 final 2021/0136 (COD) Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL modifiant le règlement(UE)nº910/2014 en ce qui concerne l’établissement d’un cadre européen relatif à une identité numérique {SEC(2021)228final}-{SWD(2021)124final}-{SWD(2021)125final}
FR1FR EXPOSÉ DES MOTIFS 1.CONTEXTEDELAPROPOSITION •Justification et objectifs de la proposition Le présent exposé des motifs accompagne la proposition de règlement du Parlement européen et du Conseil modifiant le règlement (UE) nº 910/2014 du Parlement européen et du Conseil du 23 juillet2014 sur l’identification électronique et les services de confiance pour les transactions électroniques au sein du marché intérieur (ci-après le «règlement eIDAS»)1. Par cet instrument juridique, il s’agit de garantir, à des fins d’utilisation transfrontalière, les aspects suivants: –donner accès à des solutions d’identité électronique hautement sécurisées et fiables, –faireen sorte que les services publics et privés puissent s’appuyer sur des solutions d’identité numérique fiables et sécurisées, –donner aux personnes physiques et morales les moyens d’utiliser des solutions d’identité numérique, –faire en sorte que ces solutions soient rattachées à divers attributs et permettent le partage ciblé de données d’identité dans la limite des besoins du service particulier demandé, –faireaccepterles services deconfiance qualifiés dans l’UEetengarantir la fourniture dans des conditions égales. Le marché se caractérise par l’émergence d’un nouvel environnement dans lequel l’accent est mis non plus sur la fourniture et l’utilisation d’identités numériques monolithiques, mais sur la fourniture et l’utilisation d’attributs spécifiques en lien avec ces identités. On observe une demande croissante de solutions d’identité électronique qui puissent offrir ces capacités, des gains d’efficacité et un niveau élevé de confiance dans toute l’UE, dans les secteurs tant privé quepublic,pourlesquelsilestindispensabledepouvoiridentifieretauthentifierles utilisateurs avec un degré élevé de garantie. Il ressort de l’évaluation du règlement eIDAS2que, dans sa version actuelle, cet instrument n’est pas en mesure de répondre à ces nouvelles demandes du marché, principalement pour les raisons suivantes: les limitations au secteur public qui lui sont inhérentes, les possibilités limitées et la difficulté pour les prestataires privés de services en ligne de se connecter au système, la disponibilité insuffisante de solutions d’identification électronique notifiées dans tous les États membres, et un manque de souplesse pour répondre à des cas d’utilisation variés. En outre, les solutions d’identité qui ne relèvent pas du champ d’application du règlement eIDAS, telles que celles proposées par les fournisseurs de médias sociaux et les établissements financiers, suscitent des inquiétudes quant au respect de la vie privée et à la protection des données. Elles ne peuvent pas satisfaire efficacement aux nouvelles demandes du marché et n’ont pas la portée transfrontalière nécessaire pour répondre à des besoins sectoriels pour lesquels l’identification est un aspect sensible et requiert un niveau élevé de certitude. 1JOL257 du28.8.2014, p.73. 2[ajouter référence aprèsadoption].
24 octobre 2023
«Grand hiver» : en 1709, Louis XIV perdait 600.000 de ses sujets
Personne n'a vu la catastrophe venir. Depuis des jours, il pleuvait des cordes sur le royaume
de France, et le fond de l'air restait étonnamment doux : environ 10 °C, comme si l'automne s'éternisait. Il a suffi de quelques heures pour que la France de Louis XIV plonge
dans un cauchemar glacé, qui va la mettre sur le flanc pour longtemps.
Tout commence dans la nuit du dimanche 6 janvier 1709 par une bise coupante venue du nord. Lille est
d'abord pris dans sa gangue. Trois heures plus tard, la vague polaire atteint Versailles et Strasbourg, avant de mordre le Berry et la région lyonnaise, puis de déferler
impitoyablement vers le sud.
Le temps d'un souffle, le mercure dévisse de façon prodigieuse. Il a suffi d'une nuit pour changer la
France en Sibérie ! Claude du Tour, avocat à Soissons, raconte la surprise de son grand-père, un Parisien du quartier de la Grève (autour de l'actuel Hôtel de Ville), qui «
passa les ponts le 5 janvier dans la soirée pour aller tirer les Rois (c'était l'Epiphanie) dans le faubourg Saint-Germain ». A l'aller, il pleuvait dru, mais « quand il
repassa la Seine dans la nuit, il gelait à pierre fendre ». Le thermomètre est descendu à - 17 °C dans la capitale.
Des récoltes fichues
A l'aube, dans les campagnes, certains n'arrivent même pas à sortir de chez eux tant la neige est tombée.
Au bout de quelques jours, tout gèle. Le Rhône se traverse en charrette, le Vieux-Port de Marseille est pris dans les glaces. Et les températures continuent de s'enfoncer. Les
animaux meurent dans les étables, les poissons dans les étangs. Certains jurent voir des corneilles tomber comme des pierres en plein vol. Léonard Blanchier, maître chirurgien
en Charente, constate l'étendue des dégâts dans les forêts pétrifiées.
Noyers, chênes, châtaigniers pourrissent de froid ou éclatent dans une symphonie lugubre. « Comme un coup
de mousquet », précise-t-il. Dans les maisons, la cheminée ne suffit plus à réchauffer les corps. Il y fait jusqu'à - 10 °C, tout comme à Versailles, où le vin gèle dans les
carafes. « Les glaçons tombaient dans nos verres », note le duc de Saint-Simon, mémorialiste des dernières années de Louis XIV.
Dans ce château qui a connu des jours meilleurs, l'ambiance, minée par les décès à la chaîne au sein de la
famille royale, est devenue crépusculaire. Et le Roi-Soleil, malade et dévot, est l'ombre de lui-même. Il a ruiné le pays à force de dépenses somptuaires et de conflits.
Depuis 1701, il est embourbé dans la guerre pour la succession au trône d'Espagne. Tant bien que mal, il empêche les nations coalisées de fondre sur son royaume, mais le
froid, lui, se fiche des frontières. Un salutaire dégel fin janvier est suivi début février d'une autre vague de froid.
Le roi appelle aux dons
L'infernal yo-yo recommence début mars, alors que la végétation est en pleine montée de sève. Comme les
vignes, les récoltes de céréales sont fichues : le prix du froment est multiplié par cinq. Faute de nourriture et de routes praticables, Paris cesse d'être approvisionné
jusqu'en avril ! Partout dans le royaume, on meurt de faim ou de froid. Des manants s'attaquent aux boulangeries, pillent pour manger.
Au printemps, le roi tente de reprendre les choses en main : sa vaisselle d'or vient renflouer les caisses
de l'Etat. Tout en invitant ses « enfants » à faire preuve de patience et de courage, il lance un appel aux dons et a l'idée géniale de les accélérer en rendant public le nom
des plus généreux… La France, au bord du chaos, va résister aux envahisseurs étrangers, mais pas au « grand hiver », qui aura tué plus de 600.000 âmes.
Le Sommet Mondial de la Santé à Berlin va permettre à Big Pharma d'établir une Dictature Sanitaire Mondiale au Profit de
ses Intérêts, sans, pour autant, régler les Problèmes Sanitaires de la Population !
J'ai seulement découvert le contexte de l'événement et regardé un enregistrement
d'une heure du panel particulièrement important sur les leçons du Covid-19 ( vidéo Youtube ). Mais à partir de là, j'ai trouvé tellement de nouvelles et
d'informations que j'aimerais les lister dans une courte liste afin que vous ne perdiez pas le fil.
J'ai appris
:
Les Sommets mondiaux de la santé sont largement financés par l'industrie pharmaceutique et
ses fondations et défendent leurs intérêts, auxquels Karl Lauterbach et Christian Drosten sont particulièrement attachés.
Le projet de traité de l’OMS sur la pandémie est sur le point d’être adopté.
Le traité sur la pandémie est important pour Karl Lauterbach car il contribuerait à
censurer les médias sociaux et autres dans le monde entier.
Christian Drosten souhaite même qu'en cas de pandémie, des listes de scientifiques fiables
soient établies, autorisées à commenter l'état de la science.
Drosten travaille contre son meilleur jugement pour enterrer la théorie de l’origine en
laboratoire du SRAS-CoV2.
Les responsables ne veulent
pas tirer de leçons de l’efficacité bien inférieure à celle promise des vaccins anti-Covid et de leurs effets secondaires beaucoup plus fréquents et graves. Ils restent silencieux sur cette question, utilisant parfois des moyens perfides.
L’augmentation massive des maladies mentales chez les jeunes ne serait pas due aux
confinements et à la stratégie de peur, mais plutôt au changement climatique.
Lorsqu’il s’agit de numériser le système de santé dans l’intérêt des entreprises, la
protection des données doit rester limitée aux discours du dimanche.
Selon vos sources
d’information, vous n’en aurez rien entendu ou presque. Et cela malgré le fait que le traité de l’OMS sur la pandémie, par
exemple, suscite une émotion de premier ordre. Ici et là, on pouvait lire un rapport bienveillant de et pour le secteur de
la santé ou de l'industrie informatique, ainsi qu'un rapport du Neues Deutschland , qui tentait au moins de maintenir une distance
critique. En raison de l'orientation mondialiste et naïve de gauche du journal, ce dernier n'avait à se plaindre que du
rôle des entreprises, mais pas des nombreux autres aspects de l'événement qui méritaient d'être critiqués.
Voici des preuves et des informations plus détaillées sur les conclusions et scandales
mentionnés ci-dessus du Sommet mondial de la santé 2023.
1. Le Lobbying Pharmaceutique de l’État !
Depuis 2009, le Sommet mondial de la santé
(WHS), "forum stratégique unique pour la santé mondiale", est organisé chaque année par la fondation du même nom. Il s'agit d'une filiale à 100 pour cent de la Charité de Berlin, où travaille, entre autres, le virologue Christian
Drosten. La série d'événements est largement cofinancée par les sociétés pharmaceutiques, l'industrie informatique et leurs
fondations. Le who's who de la politique de santé et les secteurs du secteur de la santé au sens large se réunissent ici
pour développer davantage "'architecture de la santé" internationale.
Les donateurs de plus haut niveau, les "partenaires stratégiques", comprennent Pfizer, Johnson & Johnson, Abbott, Siemens Healtheneers, la Fondation
Bill et Melinda Gates, YouTube Health ainsi que le partenariat public-privé et le lobby pour la vaccination Cepi. Le Cepi
est quant à lui largement cofinancé par la fondation du fondateur de Microsoft, Bill Gates, et de son épouse divorcée.
Selon les déclarations de la
Charité à Neues Deutschland , aucun des partenaires ne contribue à plus de 4 % des coûts totaux, bien qu'ils
ne souhaitent pas commenter le montant. On peut donc supposer que ces huit partenaires stratégiques, étroitement liés aux
intérêts des entreprises, supporteront à eux seuls jusqu'à 32 % des coûts. Ceci est tout à fait perceptible, comme nous le
verrons plus tard.
De plus, au niveau suivant, avec des contributions à coûts légèrement
inférieurs, il existe un écosystème de santé de confiance qui souhaite exploiter les données de santé via une plateforme nationale de santé numérique. Sur son site Internet, elle cache le fait qu'elle est une enfant du groupe Bertelsmann. S'y ajoutent les sociétés pharmaceutiques Sanofi, Daiichi Sankyo, Bayer, MSD, Organon et l'association pharmaceutique internationale
IFPMA.
Enfin, à un troisième niveau, on
trouve Roche et Gilead, l'association pharmaceutique allemande VFA, la Fondation Rockefeller et le Wellcome Trust. Cela
signifie que plus de la moitié des coûts de cet événement de grande envergure seront probablement financés par des donateurs ayant un intérêt commercial direct ou un intérêt indirect
important. Par intérêt indirect, j'entends, par exemple, la forte et influente pression de la Fondation Gates en faveur de
niveaux élevés de protection de la propriété intellectuelle, un intérêt fondamental du groupe Microsoft. Cela inclut
également les divers investissements de la Fondation Gates dans des entreprises qui peuvent bénéficier des domaines politiques discutés lors du sommet.
Les organisations
dites de la société civile sont également là comme prétendu contrepoids. Si l’expression elle-même est discutable, son
utilisation lors du Sommet mondial de la santé est une plaisanterie. La société civile comprend des mouvements populaires éloignés
de l’État, tels que la Conférence de Munich sur la sécurité, l’alliance de vaccination Gavi, financée par les gouvernements et des fondations liées aux entreprises, et la Fondation Friedrich
Ebert, affiliée à un parti et financée par l’État.
La composition du panel sur les leçons du Covid-19 ( vidéo Youtube ) montre clairement l'influence des donateurs commerciaux. Outre Karl
Lauterbach et Christian Drosten, le président de l'association pharmaceutique IFPMA, Thomas Cueni, et le président de la Fondation pour l'accès
aux médicaments , Jayasree K Tyre, ont pu tirer ces leçons,
financées entre autres par la Fondation Gates. Conformément à l’esprit de cette fondation et de Microsoft, elle a défendu
la thèse selon laquelle l’accès aux vaccins et aux médicaments pour les pays pauvres en cas de pandémie peut être obtenu principalement grâce aux dons de vaccins, et non par des restrictions
temporaires des droits de brevet.
Le ministre de la Santé,
Lauterbach, est devenu encore plus clair et a déclaré inacceptable toute restriction aux droits de brevet. Le virologue
Christian Drosten a pour sa part plaidé en faveur d'une expansion massive des tests de précaution et des capacités des laboratoires, sans révéler ses intérêts commerciaux en tant qu'acteur du
secteur des tests virologiques. Grâce à ce travail préparatoire, le lobbyiste pharmaceutique du groupe a même pu renoncer à
représenter les intérêts commerciaux de ses membres par une protection inviolable par brevet. Il l’a quitté avec des appels
vagues en faveur de partenariats public-privé pour le contrôle et la prévention des pandémies. En d’autres termes : le
secteur privé doit toujours avoir son mot à dire et gagner sa part, comme nous l’avons vu lors de la pandémie de Corona, les principaux risques et coûts étant supportés par
l’État.
2. Le traité de l’OMS sur la pandémie est au bord du gouffre !
Le projet de traité de l'OMS sur la pandémie, qui a été pratiquement étouffé par les médias établis, semble être au bord du gouffre parce que, selon la planification actuelle, il restreint trop l'autonomie des gouvernements les plus pauvres et
parce que les pays riches et leurs sociétés pharmaceutiques le font. n’accepter aucune restriction sur les droits de brevet en cas de pandémie.
Selon le journal médical, le secrétaire général de l'OMS, Tedros Ghebreyesus, connecté par vidéo , a déclaré dans son discours d'ouverture qu'il était très inquiet de l'impasse des négociations sur l'accord sur la
pandémie. Il est étrange que personne n'ait pensé que ce fait valait la peine d'être rapporté auparavant et que cela n'ait
même pas été rapporté dans les médias lorsque le secrétaire général de l'OMS l'a admis sur une si grande scène.
Karl Lauterbach a dit (à partir de la minute 31, traduit) :
« Si nous ne parvenons pas à
un accord sur la pandémie d’ici mai, nous risquons de perdre l’élan de la pandémie. (..) Pour des pays comme
l'Allemagne et la plupart des pays européens, il est clair qu'un tel accord ne fonctionnera pas s'il existe une restriction importante aux droits de propriété. Cela fait partie de notre ADN que nous avons besoin de droits de propriété internationaux pour investir dans les vaccins, les thérapies, les
diagnostics, etc. (…) Il est clair qu’un accord restreignant les droits de propriété intellectuelle a très peu de
chances d’aboutir.»
Un peu plus tard, il a même exclu toute restriction aux droits de brevet, y compris
mineurs.
Autrement
dit. Lauterbach a clairement fait comprendre aux nombreux représentants officiels des pays les plus pauvres lors de ce
sommet public-privé sur la santé que les gouvernements des pays industrialisés se considèrent comme des lobbyistes pour leurs propres sociétés pharmaceutiques et que les pays pauvres doivent donc
se contenter d'offres de vaccins non contraignantes. et les dons de médicaments en cas de crise.
Lauterbach a indirectement, mais
très clairement, admis pour la première fois que les options précédemment envisagées pour priver les gouvernements de leurs pouvoirs par le biais de l’OMS allaient trop loin et rendaient le
traité inacceptable pour les pays les plus faibles. Parce qu’ils sont les plus susceptibles de craindre une telle perte de
pouvoir. Lauterbach a déclaré dans sa déclaration d'ouverture au panel :
« Nous ne pourrons pas
infiltrer les forces étrangères en cas d’épidémie. Cela doit être fait à partir de ces pays. Et le soutien doit être demandé et non proposé de manière très agressive.»
Dans sa deuxième contribution (extraite du point 31), il ajoute que cela ne fonctionnerait pas
si l'on donnait même l'impression que l'accord réduirait l'autonomie décisionnelle (pouvoir exécutif) des gouvernements.
« Si nous n’avions pas
d’accord, nous pourrions être dans une situation pire [dans la prochaine pandémie]. Car, comme l’a dit le professeur
Drosten, la pandémie de désinformation qui s’étend aujourd’hui est une pandémie permanente. En ce sens, nous nous
trouvons donc dans une situation encore plus difficile qu’avant la pandémie. L’accord sur la pandémie est donc une
étape nécessaire pour aller de l’avant et garantir que nous soyons mieux préparés.
Il fait probablement
allusion au fait que l'OMS, dont le pouvoir devrait s'accroître considérablement grâce au traité, est particulièrement influente et active en matière de censure des médias
sociaux. Il demande à des organisations louches de dresser des listes de sites Web supposés particulièrement peu fiables, qui sont soumises aux plateformes médiatiques pour censure et
boycott publicitaire. Il a fait adopter par ses
membres une résolution sur la manipulation de l'opinion publique à l'aide des sciences du
comportement. Elle s'efforce de couvrir le monde avec un réseau de gardiens de la vérité .
Lauterbach et les
autorités placées sous son commandement comptent parmi les plus grands propagateurs d’une dangereuse désinformation. Lauterbach a affirmé à plusieurs reprises devant des millions de personnes que les vaccins anti-Covid n’avaient pratiquement aucun effet
secondaire. Il a également souvent et grandement exagéré leur efficacité en matière de protection contre sa propre
infection et de propagation du virus. Il a blâmé les non vaccinés pour les confinements, la poursuite de la pandémie et
bien plus encore. Le Centre fédéral d'éducation pour la santé, l'autorité qui lui dépend, a
même affirmé en décembre 2022 qu'une vaccination
contre le COVID-19 contribuait à la fois à sa propre protection et à contenir la pandémie.
Les autorités de Lauterbach, RKI et PEI, ont également souvent diffusé de fausses informations
dangereuses ou supprimé des informations importantes.
4. Totalitarisme de Drosten !
Le virologue de facto en chef de
l'État, Christian Drosten, est même allé jusqu'à exiger qu'en cas de pandémie, les organisations scientifiques établissent des listes de scientifiques fiables qui ne seraient alors autorisés à
commenter l'état de la science que sur des questions pertinentes. . Dans le son original (traduit) :
« Une fois que la prise de
décision politique est déformée par la propagande et la désinformation, nous sommes condamnés. (…) Nous ne devrions pas
permettre à quelqu’un ayant un diplôme universitaire de parler du cœur du problème en pleine pandémie. Nous devons nous
tourner vers les institutions scientifiques pour faire une sélection et constituer des panels d'experts qui sont de véritables experts et qui ne se pressent pas dans les médias, mais qui sont
en quelque sorte qualifiés pour résumer l'état des connaissances. Et cela ne peut se produire que grâce aux
institutions scientifiques. Ces institutions doivent assurer ces fonctions pour la société.
C'était déjà assez grave que l'Académie nationale
Leopoldina ait poussé à des confinements stricts, appelé les politiciens réticents à fermer
davantage d'écoles en décembre 2020 et prôné le port du masque obligatoire dans les écoles , pour ensuite fustiger
les conséquences des fermetures d'écoles l'année suivante et en rejeter la faute sur les politiciens . Ce ne
serait certainement pas un progrès si ces institutions étaient autorisées à décider qui, en tant que scientifique, est autorisé à s'exprimer. La proposition de Drosten est presque carrément totalitaire.
L'historien suisse
Caspar Hirschl l'a résumé dans le FAZ :
« Pendant la pandémie, l’Académie nationale des sciences (s’est) placée dans une position
d’institution de conseil politique qui ne peut être légitimée ni scientifiquement ni démocratiquement. »
Il faut également réfléchir à la
rapidité avec laquelle nous pouvons nous retrouver « au milieu d’une pandémie ». Selon les nouvelles règles controversées,
le secrétaire général de l’OMS devrait pouvoir déclarer une pandémie avec sa seule autorité et sans aucun contrôle de la part de quiconque. Même avec ses compétences actuelles limitées, il a pu déclarer la grippe du singe une urgence sanitaire mondiale, un événement à court terme gonflé
par l'OMS avec l'aide des médias et sans grande pertinence. Presque personne n’aurait remarqué cette « urgence » si elle
n’avait pas été annoncée partout en grosses lettres.
5. Distraire de la recherche sur les virus !
Comme si le débat houleux sur une éventuelle origine en laboratoire du virus
SARS-CoV2 n'avait pas existé, dans lequel Drosten lui-même a joué un rôle très discutable, il a affirmé à Berlin que toutes les pandémies respiratoires étaient transmises à l'homme par les
animaux de ferme . Il a dit (traduit) :
« Afin d’être mieux préparé à
la prochaine pandémie, trois choses sont ma priorité absolue. Premièrement, d’où vient le
virus. Ce qui est souvent ignoré ou n’est pas considéré comme la plus haute priorité, c’est
l’élevage. Toutes les pandémies respiratoires que nous connaissons ont été transmises par le bétail dans le passé, et
nous ignorons ce fait.
Si un employé de
laboratoire de Wuhan était infecté lors de la collecte de mulots infectés, ce serait une erreur, selon Drosten. Il serait
également erroné qu’un virus collecté s’échappe ensuite du laboratoire ou soit même libéré intentionnellement. Rien de tout
cela ne peut être exclu. Le FBI américain considère que le virus a une origine en laboratoire , mais
l'OMS ne l'exclut pas expressément .
Comment Drosten, dans de telles
circonstances, en arrive-t-il à affirmer de manière rigide quelque chose que la théorie du laboratoire exclut ? D’une part,
cela pourrait être dû au fait qu’en tant qu’acteur de l’industrie des tests, il lui conviendrait que ses prétendues leçons du Covid soient suivies et que tous les animaux de ferme soient
constamment testés pour tous les virus possibles à l’avenir.
Selon une enquête de Vanity Fair de 2021, le Département d'État
américain a bloqué les enquêtes sur le rôle du laboratoire de Wuhan dans la fabrication des virus plus dangereux, arguant que cela fournirait une publicité indésirable pour financer un tel « gain
de fonction ». . Cette recherche peut aussi être qualifiée de recherche sur les armes biologiques, même si les
protagonistes le nieraient.
L'un des
cosignataires de la déclaration de Drosten, Peter Daszak, a distribué de l'argent du gouvernement américain pour financer les quelques laboratoires aux États-Unis et en Chine où étaient menées
des recherches sur le gain de fonction sur les coronavirus. Selon Vanity Fair , c'est lui qui a organisé la
déclaration commune. Certains des signataires se sont montrés convaincus de la théorie du laboratoire dans des courriels
qui ont ensuite été rendus publics, mais peu de temps après, ils l'ont condamnée comme théorie du complot dans une déclaration commune.
Il y a en fait beaucoup plus à dire sur ce scandale, mais cela suffit pour être sûr que
Drosten n'a pas pu faire ses déclarations, au mieux non prouvées, sur des pandémies qui seraient transmises à l'homme exclusivement par les animaux de ferme, par négligence, mais il était
évidemment tout à fait conscient. d'attirer l'attention des laboratoires de recherche et de leurs recherches en gain de fonction.
Le projet de traité
sur la pandémie promu par Lauterbach et Drosten fait de même dans sa version provisoire de juin. Cela
donne libre cours à la recherche sur les armes
biologiques très dangereuses à base de virus , en affaiblissant encore davantage les garanties déjà faibles des versions précédentes.
6. Aucune leçon des désastres de la vaccination
Dans sa déclaration d’ouverture de
la table ronde, Lauterbach a parlé relativement longtemps du Long Covid, mais n’a pas dit un seul mot sur les dommages causés par les vaccins et sur l’efficacité décevante des vaccins par rapport
aux attentes très élevées qui avaient été initialement suscitées. Aucun des autres participants au panel sur les leçons de
la pandémie n’en a dit un mot.
Nous apprenons désormais que Lauterbach, son ministère et ses autorités subordonnées
poursuivent la stratégie perfide consistant à requalifier les dommages causés par les vaccins de Long Covid. De cette
façon, on peut éviter de parler des graves blessures causées par la vaccination chez les jeunes qui ont été obligés de se faire vacciner alors qu'ils n'en avaient pas
besoin. Cela peut également empêcher de manière permanente l’enregistrement de données sensibles sur les dommages causés
par les vaccins.
7. Dommages psychologiques non causés par les mesures Corona !
L’une des réinterprétations particulièrement audacieuses présentées lors du
Sommet mondial de la santé a été la déclaration du jeune médecin égyptien Omnia El Omrani de l’Imperial College de Londres, connu pour ses prévisions extrêmes sur le Covid et ses modèles
climatiques. Elle est la jeune représentante de l’establishment de
la gouvernance mondiale pour l’après-Covid et le climat.
El Omrani a déclaré très sérieusement que l'augmentation massive des maladies mentales chez
les jeunes est due au fait que les jeunes ne sont pas suffisamment entendus sur le changement climatique et sont donc frustrés - et non pas parce qu'on leur a délibérément instillé une peur
excessive à un moment donné. phase sensible de leur développement pour infecter et ainsi tuer les membres de leur famille, et ils ont été traités avec des fermetures d'écoles, des masques, des
restrictions de contact et des interdictions de sortie.
L’expérience montre que nous devrons plus souvent aborder cette argumentation : la politique
climatique comme moyen de restaurer la santé mentale des jeunes.
8. Ne pas anonymiser les données de santé !
Karl Lauterbach, Jens Spahn et d'autres partisans d'une numérisation soi-disant urgente du
système de santé - même contre la volonté des médecins et des patients - ne se lassent pas de nous assurer que les données et la vie privée des patients seraient bien protégées.
Loin du public, dans les salles de réunion du Sommet mondial de la santé, les
choses semblaient complètement différentes, selon un rapport de Heise . Là-bas,
un représentant de Charitè et d’autres ont préconisé de rassembler les données de santé des individus et de ne pas les anonymiser. C’est également la voie qui est empruntée au niveau international.
Bien entendu, les données
devraient être protégées au mieux dans ce cadre. L'Allemagne devrait être un pionnier. Cependant, différents piratages de données de santé ces dernières années ont montré que les données stockées dans des bases de données connectées à
Internet ne peuvent pas être efficacement protégées contre les pirates. Dans le secteur de la santé, le projet visant à
protéger efficacement les données est particulièrement difficile car, selon les projets en cours, tous les prestataires de soins de santé et assureurs en Europe devraient en principe y avoir
accès.
Vous pouvez en savoir plus à ce sujet dans le rapport Heise et dans mon dossier sur la numérisation de la
santé.
Conclusion :
Même en jetant un coup d’œil
relativement bref sur ce qui s’est passé lors du Sommet mondial de la santé et sur ceux qui en tirent les ficelles, vous pouvez obtenir des informations et des idées importantes et remarquables
qui rendent le silence dans la forêt d’autant plus suspect. L’idée la plus importante est qu’en aucune circonstance les
responsables de la politique de santé mondiale et nationale ne doivent avoir les mains libres et davantage de pouvoir. Parce qu’il est étroitement lié aux intérêts des grandes entreprises pharmaceutiques et informatiques et les place bien au-dessus des intérêts de
la population.
Selon des Chercheurs, le CO2 ne peut modifier le Climat !
Selon des Chercheurs Portugais, le CO2, ne peut modifier le Climat, car son Effet de Serre calculé est très inférieur au
Dogme annoncé par le GIEC !
Malgré les tactiques astucieuses de l’establishment qui consiste à se boucher les oreilles et à crier "science établie !"
pour faire taire l’establishment, deux chercheurs portugais (Khmelinskii et Woodcock, 2023) ont identifié huit hypothèses dans l'hypothèse des gaz à effet de serre qui manquent de validation scientifique.
Dans un éditorial publié dans la revue Entropy du MDPI , en réponse à un éditorial rédigé par les éditeurs consensuels de la revue Earth System Dynamics (ESD), ces deux scientifiques courageux
exposent leurs défis.
Leur résumé s’ouvre :
"Nous répondons à un éditorial de la revue climatique Earth Systems Dynamics (ESD 14, 241-242, 2023) : dont le titre fait deux affirmations scientifiquement incorrectes :
(i) que l’hypothèse des gaz à effet de serre, c’est-à-dire la cause de le réchauffement climatique d'environ 1°C entre
1950 et 2020 est une vérité scientifique établie, et
(ii) que les émissions de chaleur liées à la combustion mondiale de carburants sont, en comparaison, négligeables.
"Les deux déclarations sont incompatibles avec les lois de la thermodynamique classique, et illustrent leur ignorance éditoriale, des limites des modèles informatiques multivariés du bilan
énergétique global de la Terre et de la spectroscopie connue d'absorption et d'émission du dioxyde de carbone (CO2)."
Par souci de brièveté, quatre des défis sont résumés ci-dessous (avec l'aimable autorisation de Kenneth Richard, via Climatechangedispatch.com) :
• Le CO2 ne peut absorber que 10% de tous les rayonnements dans les bandes IR spécifiques affectées par le CO2. Le CO2 "n'absorbe absolument rien des autres longueurs d'onde infrarouges".
Ainsi, le CO2 n’a aucun effet sur l’IR dans 90% des bandes d’absorption.
• Le CO2 ne peut absorber les IR que dans les 300 premiers mètres, soit 0,3 km de la troposphère de surface, qui a une épaisseur de 10 km. Ainsi, le CO2 ne peut affecter que 10% de l’IR dans
3% de la surface de la troposphère où se produisent les changements climatiques.
• En raison de ses effets infimes, le doublement des concentrations de CO2 ne pourrait entraîner qu'un changement de température de surface de 0,015°C au maximum. En clair, "cet effet ne
serait même pas mesurable".
• L'incertitude sur le bilan radiatif de la Terre est de ±17 W/m². Le déséquilibre radiatif estimé est de 0,6 W/m², ce qui est des "ordres de grandeur" inférieurs à l’incertitude de son
calcul. Ainsi, "l’équilibre mondial des flux d’énergie… ne peut pas être dérivé des flux mesurés"… et cela "affecte profondément notre capacité à comprendre comment le climat de la Terre
réagit aux concentrations croissantes de gaz à effet de serre".
"Les rédacteurs d' ESD ne considèrent pas l'incertitude observationnelle – ni les questions concernant l'ampleur des effets du CO2 – comme dignes d'une analyse critique", conclut
Richard.
Pour lire l'intégralité de l'éditorial complet de Khmelinskii et Woodcock, cliquez ici .
Tout commence par la découverte d’une enquête absolument remarquable d’Anne Gintzburger, Frédéric Lacroix
et l’excellente Laurence Béneux qui ont su mettre en évidence avec de nombreux éléments concordants l’existence de réseaux pédocriminels tentaculaires. Seul problème, le film
a été censuré comme jamais (même la journaliste s’est fait voler sa copie personnelle). Pourtant diffusé sur Canal+, mais tout a disparu. Même à l’INA. Cela n’arrive jamais.
Qu’est-ce qui pouvait bien déranger à ce point le pouvoir en place pour effacer continuellement ce film. Il fallait enquêter.
Le premier problème politique majeur que pose ce film, c’est que la lumière va se poser sur l’action
d’Élisabeth Guigou au ministère de la Justice, qui, avant même l’affaire Duhamel, avait interloqué les associations de défense de victimes d’incestes lors de sa nomination à
la tête de la commission sur le sujet, et avait rendu amers les journalistes ayant enquêté sur l’affaire dite du « CD-ROM de Zandvoort », une retentissante affaire
pédocriminelle qui avait marqué le passage d’Élisabeth Guigou place Vendôme, entre juin 1997 et octobre 2000.
Comme le publie Faits & Documents dans son dossier remarquable sur « la sexualité en Macronie » : « Tout commence à Bruxelles à la fin des années 1990. Deux
courageux journalistes, Serge Garde (L’Humanité) et Laurence Beneux (Le Figaro), enquêtant sur le sort pour le moins étrange réservé à certains témoins de l’affaire Dutroux,
se voient recommander par un policier belge d’entrer en contact avec les Morkhoven, une association flamande active dans la lutte contre la pédocriminalité. Une fois le
contact établi, les journalistes rencontrent leur chef de file, Marcel Vervloesem en novembre 1999. Deux ans auparavant, ce dernier a averti la police néerlandaise de
l’existence d’un réseau basé à Zandvoort au Pays-Bas. Il l’a mis au jour alors, qu’à la demande d’une famille, il s’était lancé à la recherche de leur fils de 12 ans disparu à
Berlin en 1993.
Sa découverte a brièvement attiré l’attention des médias internationaux. En France, Le Monde a consacré
deux articles au « réseau pédophile de Zandvoort » (cf. Deux affaires de pédophilie découvertes aux Pays-Bas et en Belgique, 19 juillet 1998 et Le réseau pédophile de
Zandvoort a des ramifications dans toute l’Europe, 26 juillet 1998). Puis le soufflé médiatique est retombé. C’est dans l’espoir de relancer cette affaire que Marcel
Vervloesem remet donc aux journalistes français une importante documentation.
Elle comprend un CD-ROM saisi à Zandvoort (Pays-Bas), chez un trafiquant, Gerrit Ulrich, dont l’appartement
luxueux est apparu comme la plaque tournante du réseau. Ce CD-ROM contient plus de huit mille photos pédopornographiques. En outre, Marcel Vervloesem leur fournit le riche
carnet d’adresses personnel de Gerrit Ulrich (les contacts remontent à la Banque mondiale et à la Banque européenne de reconstruction et de développement…), ainsi qu’un
répertoire photographique établi à partir dudit CD-ROM par la police néerlandaise. Là, s’affichent 570 visages d’enfants cadrés serrés à partir des images pornographiques,
mais aussi dix-sept portraits d’adultes étiquetés Daders (violeurs) par la police.
Une fois la correspondance entre le répertoire photographique et le CD-ROM recoupée, les journalistes
sortent l’affaire, le 24 février 2000, dans L’Humanité : « La police néerlandaise a établi ce répertoire photographique à partir d’un CD-ROM appartenant à un pédophile
néerlandais domicilié à Zandvoort,
Gerrit Ulrich. Lequel a été assassiné en juin 1998, près de Pise, par son ex-ami belge, Robby Van den Plancken, qui purge actuellement, pour ce crime, une peine de quinze
années de réclusion criminelle en Italie. Le pédophile assassiné, l’enquête a été vite arrêtée.
Les autorités néerlandaises ont même conclu, en avril 1999, que » la présumée filière Zandvoort
était une piste vaine et qu’il n’existait aucune preuve directe de la production de pornographie enfantine à Zandvoort » […] À Zandvoort, la société informatique Cube
Hardware commercialisait notamment des cassettes pédophiles.
Ses responsables étaient en relation avec les organisateurs de croisières de luxe, tarifs tout compris,
jusqu’à la fourniture d’enfants, à bord du yacht Apollo. Il arrivait que ce voilier embarque des clients à Bordeaux. Direction les Pays-Bas, via l’Angleterre…Sur le carnet
d’adresses de Gerrit Ulrich, nous avons relevé des contacts aux Pays-Bas, bien sûr. Mais aussi en France, en Grande-Bretagne, en Espagne, en Suède, aux USA, en Bulgarie, en
Ukraine, en Pologne, en Lettonie. Et des références bancaires à l’Europabank for Reconstruction and Development, au Crédit agricole, au Crédit lyonnais, à la banque espagnole
Banesto. Le fait de figurer sur le carnet d’adresses d’un criminel ne fait pas de vous un complice. Mais celui de Gerrit Ulrich révèle un vaste champ de relations. »
Avant la parution de l’enquête, les journalistes ont demandé au ministère de l’Intérieur et à la
chancellerie s’ils avaient connaissance de l’existence du fichier et du CD-ROM. Ils n’ont reçu aucune réponse. L’enquête de L’Humanité étant citée dans toutes les revues de
presse, le standard du quotidien croule très vite sous les appels d’individus affirmant avoir été victimes des réseaux pédocriminels ou signalant que leur enfant est en
danger. Beaucoup demandent par conséquent à consulter la documentation ayant sous-tendu la rédaction de l’enquête.
Si le quotidien communiste refuse l’accès au CD-ROM, il accepte d’ouvrir le répertoire photographique de la
police néerlandaise à ceux qui le souhaitent. Peu à peu, certains de ces visages d’enfants anonymes sont identifiés par leurs proches. Ces reconnaissances constatées sont
relatées dans L’Humanité (13 et 14 mars 2000), sans susciter la moindre réaction des pouvoirs publics.
Quand Le Figaro prolonge l’enquête et titre successivement Le scandale des pédophiles impunis et La justice
est incapable (6 et 7 avril 2000), Élisabeth Guigou, la ministre de la Justice, est contrainte de sortir du silence et de s’exprimer publiquement.
« Je ne veux pas que rien ne soit laissé au hasard »
Quand, le 12 avril 2000, dans le 19/20 de France 3, Élise Lucet l’interroge sur le fichier de Zandvoort et
sur l’attentisme dont fait preuve la justice française, malgré les plaintes déposées par des familles françaises, la ministre de la Justice, visiblement très mal à l’aise,
bredouille : « – Élise Lucet : Nous parlions dans ce journal d’un fichier international de 10 000 photos pédophiles qui ont été découvertes par la police
néerlandaise.
Des familles françaises y auraient reconnu les photos de leurs propres enfants. Elles ont affirmé la
semaine dernière que la justice française tardait à réagir… ; – Élisabeth Guigou : Il y a deux choses si vous voulez. Il y a… Il existe, semble-t-il, au Pays-Bas, un CD-ROM
de… avec dix mille noms d’enfants qui… mais c’est un CD-ROM pornographique. Et ont été extraites semble-t-il de ce CD-ROM, 470 photos en France, 840, semble-t-il, en Suisse où
à Interpol, des photos d’enfants mais ce sont des photos de visages. Et donc c’est ça qui est en possession de certains journalistes. Donc ce qu’il faut faire, et que j’ai
demandé que l’on fasse, et ce que fait la justice… Le 14 mars, déjà, la police a demandé à Interpol communication de ce fichier. Ensuite, par toutes les voies et moyens, la
justice française a demandé à Interpol, a demandé aux autorités néerlandaises, communication de ce CD-ROM. ;
– Élise Lucet : Mais pourquoi si tard, puisque certaines familles françaises disent vous avoir… avoir prévenu la justice française il y a près d’un an ou un an et demi, alors pourquoi le
faire seulement maintenant ? ;
– Élisabeth Guigou : Pas à ma connaissance sur ces photos dont on parle maintenant… ;
– Élise Lucet : Si, si, sur ces photos certaines familles ont prévenu la justice, il y a plus d’un an
maintenant. ;
– Élisabeth Guigou : À ma connaissance… Enfin, moi je n’ai pas cette information en tout cas donc elle
est à vérifier. De toute façon, sur ces photos, on ne peut, on ne peut… La police et la justice ne peuvent rien faire, puisque ce sont des photos de visages. Ce qu’il faut
c’est faire un travail très minutieux pour les confronter aux images pornographiques qui sont sur le CD-ROM dont ne nous disposons pas. La justice a demandé, y compris aux
journalistes qui ont des informations, qui peuvent posséder ce CD-ROM, qui peuvent posséder d’autres fichiers de photos de les communiquer à la justice pour que nous puissions
faire ces recoupements – nous, les juges, c’est pas moi qui fais à leur place – puissent faire ces recoupements le plus rapidement possible. Je ne veux pas que rien soit
laissé au hasard [sic] là-dedans. Le procureur de Paris et le procureur général que j’ai reçus là-dessus lundi matin m’ont rendu compte de toutes les diligences qui avaient
été faites et bien entendu aucun retard ne sera apporté aux investigations mais évidemment, on est dans un domaine de recherche international et souvent certains
renseignements tardent à revenir. C’est pour ça que si des journalistes ou des journaux ont des informations, vraiment il faut qu’ils les communiquent à la justice.
»
Le lendemain, répondant à l’appel d’Élisabeth Guigou, les journalistes remettent le CD-ROM à Alexandre
Benmakhlouf, procureur général près la cour d’appel de Paris. Ils fournissent également à la justice le carnet d’adresses de Gerrit Ulrich qui, bien qu’en lien avec la France,
ne sera jamais pris en considération par les enquêteurs, ni même envoyé à Interpol.
Quant au CD-ROM, aucune copie n’est envoyée aux procureurs de province par la chancellerie, comme le
vérifieront Serge Garde et Laurence Beneux. Et le 16 mai 2000, sur France 2, Yvon Tallec, le substitut du procureur de Paris pour les affaires de mineurs, déclare : « Les
mineurs ont été photographiés, la plupart du temps, avec leur accord ou l’accord de leurs parents [sic] […]. Il faut aussi minimiser, en tout cas en France, la portée de cette
affaire, dans la mesure où de nombreux enfants présentés ici ne sont pas des enfants français ». Bien qu’ayant évoqué un « accord des enfants » relativement à des fichiers
pédopornographiques, Yvon Tallec ne sera jamais visé par une quelconque procédure disciplinaire…
« Un document que ses services possédaient
depuis un an »
C’est alors que survient un coup de théâtre : les journalistes qui couvrent l’affaire apprennent par une
source à l’Élysée que la présidence de la République a reçu des Pays-Bas le fameux CD-ROM… un an avant la médiatisation de l’affaire par L’Humanité. Placée devant les faits,
Élisabeth Guigou dément : « Vous traitez l’Élysée de menteurs, je vais leur en faire part ! » rétorquent les journalistes. « Non, attendez, on vérifie… ».
Dans la foulée, le service de presse du ministère de la Justice les rappelle et reconnaît avoir reçu le
CD-ROM en 1999. Et il s’avère qu’un classement sans suite a été décidé à l’époque « faute d’incrimination pénale », comme le raconteront désabusés Laurence Beneux et
Serge Garde dans Le Livre de la honte (Le Cherche Midi, 2001) qui retrace les coulisses de cette enquête impossible : « Quand nous sommes entrés en possession du CD-ROM
d’Ulrich et du fichier élaboré par la police néerlandaise, ces documents avaient déjà été transmis par Interpol à Lyon. Nous nous sommes donc demandé pourquoi ces documents
n’étaient pas exploités dans notre pays.
Cette question est revenue avec acuité quand nous avons appris avec stupeur que Morkhoven avait envoyé le
CD-ROM plus des copies papier d’autres documents trouvés à Zandvoort (notamment, des images atroces de tortures et de viols d’enfants), avec une note expliquant son origine, à
tous les chefs d’États ou de gouvernements européens, ainsi qu’au président du Parlement européen.
En avril 1999, l’Élysée avait reçu ces documents et en avait accusé réception. Très logiquement, un
conseiller à la Présidence avait rapidement transmis ce document à la chancellerie et, compte tenu de la gravité des faits, avait demandé à être tenu au courant de la suite du
dossier. Ce qui ne sera pas fait.
Pourquoi la garde des Sceaux, Élisabeth Guigou, avait-elle lancé un appel sur une chaîne de télévision,
nous interpellant, nous les journalistes, pour demander un document… que ses services possédaient depuis un an ? Nous nous sommes surtout demandé comment la justice de ce pays
avait traité un CD-ROM révélant des crimes aussi odieux perpétrés sur des enfants, comment les petites victimes étaient recherchées…
Bref, nous avons tenté de comprendre ce qui s’était passé. Et nous avons posé la question. La réponse est
incroyable. Après avoir reçu le CD-ROM de l’Élysée, la chancellerie le transmet au parquet général de Paris, le 14 mai 1999 afin qu’une enquête soit diligentée par le
procureur de Paris. La Brigade des mineurs de Paris est saisie et informe le parquet du résultat des investigations le 17 juin 1999.
Une enquête éclair qui n’aura pas excédé un mois ! Le 7 juillet 1999, enfin, le parquet procédait au
classement de la procédure « en l’absence d’infraction pénale » ! Une partie du fax explicatif que nous a transmis la chancellerie mérite d’être reproduite : » Le
17 juin 1999, la Brigade des mineurs de Paris informait le parquet des résultats des investigations entreprises.
L’expertise du CD-ROM faisait apparaître qu’il rassemblait en plusieurs répertoires non pas les
soixante-dix mille images annoncées mais environ dix mille images fixes et près de cent photographies animées. Celles-ci avaient pour point commun un caractère strictement
homosexuel masculin, quel que soit l’âge des participants. Il convient de préciser qu’aucune des photographies de mineurs torturés et victimes d’actes pédophiles figurant sur
les photographies jointes au courrier ne se retrouvait sur le CD-ROM. Il était retrouvé sur le CD-ROM aussi bien des images à caractère pornographique mettant en scène des
mineurs de quinze ans, des images dites « naturistes », des images de « nus artistiques » des images « volées »
En outre, près de vingt pour cent des images représentaient des majeurs. Il convient de souligner que la
plupart des images pédophiles stricto sensu du CD-ROM étaient déjà connues du service de la Brigade des mineurs de Paris, dont certaines étaient très anciennes et provenaient
de la numérisation d’ouvrages papier, de films super 8 ou de vidéos, ou de serveurs informatiques connus et pour la plupart inactifs depuis plusieurs années, ainsi que
l’attestait la dénomination de certains répertoires (GB pour Golden-Boys, Pojk pour Pojkart, etc.).
Le plus grand nombre de ces fichiers avait été créé dans le courant de l’année 1996. La consultation de
différents moteurs de recherche sur Internet n’a pas permis de découvrir d’élément relatif à un quelconque réseau international. En conclusion, il apparaissait que cet envoi
était un assemblage hétéroclite du genre d’images que son auteur dit dénoncer avec d’autres photographies qui ne sont pas illégales en France bien que destinées un public
averti (gay) . En conséquence, le parquet de Paris a procédé au classement de cette procédure, en l’absence d’infraction pénale, le 7 juillet 1999. »
La lecture de ce document nous a laissés sans voix. Nous avons bien noté que 20 % des documents
représentaient des majeurs. Ce qui nous a donné à penser que 80 % figuraient des mineurs. Les services de police avaient bien noté la même chose que nous : des images à
caractère pornographique mettant en scène des mineurs. Soyons clairs. Il s’agit de bébés victimes de sodomies, d’enfants très jeunes contraints d’effectuer des fellations, et
de toutes autres sortes d’actes sexuels qui écartent définitivement l’évocation de la moindre notion de consentement, compte tenu de l’âge des victimes.
Que ces photos soient accompagnées d’images plus soft n’y changent rien, et, d’ailleurs, il y aurait
beaucoup à dire sur l’utilisation d’enfants nus dans des postures plus ou moins évocatrices pour des œuvres « artistiques » reproduites dans des revues destinées à
l’usage des pédophiles. De même, que signifie l’argument des « photos volées » : que des pervers peuvent prendre en douce des photos d’enfants nus sur une plage,
dans une douche, et les diffuser sans que ça émeuve les pouvoirs publics ? Les stars, les top-models et autres princesses seraient-elles les seules à pouvoir se plaindre de la
diffusion d’images de leur intimité, sans leur consentement ?
Mais des gosses, pris en photo sans qu’ils le sachent et à l’insu de leur famille, à des fins de diffusion
auprès de pervers, cela ne pose pas de problèmes aux autorités judiciaires. Comment a-t-il été possible de classer pour « absence d’infraction pénale » des
documents à » caractère pornographique » mettant en scène des mineurs ou des images d’enfant torturés ? Qui sont les enfants martyrisés ? Où sont-ils ? Qui
sont les violeurs et les tortionnaires ? Force nous a été de constater qu’ils n’avaient pas fait le moins du monde l’objet de recherches. Nous ne pouvons pas nous l’expliquer
à ce jour. […] Quand on découvre la position exprimée en catimini en 1999, on comprend mieux les raisons du malaise dans la haute hiérarchie judicaire, un an plus tard,
lorsque resurgit le CD-ROM si promptement jeté aux oubliettes ».
Sans surprise, l’enquête promise par Élisabeth Guigou au 19/20 de France 3 n’ira pas plus loin et
s’achèvera, en 2003, par un non-lieu. Comme on ne se refait pas, Libération titrera « Le fichier douteux finit en non-lieu » (4 avril 2003).
Pourtant, au total, ce ne sont pas moins de 81 parents français qui auront identifié leur enfant
dans la documentation de Zandvoort, établissant parfois des connexions avec d’autres affaires comme celle des disparues de l’Yonne ou du Coral. Mais dans les 81 cas,
les autorités judiciaires et policières rétorqueront que l’identification est erronée, qu’il s’agit d’une erreur et que l’enfant que des proches ont reconnu
n’est qu’un… « sosie ».
C’est ainsi que, pour justifier son non-lieu, la juge Danielle Ringot évoque, entre autres, la prétendue
erreur d’une mère qui avait cru reconnaître son fils. Cette dernière s’est vu signifier qu’il s’agissait de Bjorn Nijkamp, un jeune Néerlandais dont les violeurs avaient été
arrêtés. Or Laurence Beneux assure
que « le patron de l’enquête hollandaise m’a confirmé dans son bureau qu’il ne s’agissait pas de Bjorn. Quand je l’ai relaté aux policiers français, ils n’ont pu me
présenter une seule preuve écrite. Selon eux, leurs homologues hollandais leur auraient fait cet aveu dans un couloir… » (entretien à MK-Polis, 23 janvier 2020).
Cerise sur le gâteau, Marcel Vervloesem, la source de Serge Garde et de Laurence Beneux, sera poursuivi en
Belgique par le parquet de Turnhout en octobre 2000 pour « recel de matériel pédophile », le « matériel pédophile » en question n’étant autre que… le CD-ROM de
Zandvoort.
En fait, Marcel Vervloesem a fait l’objet d’attaques dès le début de l’affaire. The Independent (13
septembre 1998) a rapporté qu’il avait été condamné à de multiples reprises, notamment en 1979 pour agression sexuelle sur mineur. En février 2008, il sera de nouveau condamné
à quatre ans de prison pour abus sexuels sur mineurs, diffusion de matériel pédopornographique et escroquerie. Libéré en 2010, de nouveau incarcéré en 2012 pour agression
sexuelle sur son neveu, acquitté en décembre 2014, il décédera en janvier 2018 à l’âge de 65 ans. Quelle que soit la probité de cette source (on consultera le droit de réponse
publié par les Morkhoven dans l’onglet « Discussion » de la page Wikipédia de Marcel Vervloesem), l’authenticité de sa documentation dans l’affaire de Zandvoort n’a jamais été
contestée… Et, poussés dans leurs retranchements, les Morkhoven fourniront à la presse la documentation qu’ils avaient gardé sous le coude, soit 19 autres CD-ROM du même type,
qui permettront à Laurence Beneux et à Serge Garde de poursuivre cette enquête mise en image en 2010 dans le documentaire Le Fichier de la honte (Troisième Œil
Productions).
Un passage place Vendôme marqué par les affaires pédocriminelles
C’est à une période qui voit la multiplication des coups de filets chez les trafiquants de pédopornographie
qu’Élisabeth Guigou est nommée, le 4 juin 1997, ministre de la Justice à la faveur de la cohabitation et du retour des socialistes aux affaires. À l’époque, la police vient de
procéder à des dizaines d’arrestations en démantelant, coup sur coup, les réseaux Toro Bravo et Ado-71.
Invitée à réagir au suicide de quatre individus visés par l’enquête, la nouvelle garde des Sceaux annonce
la couleur en se demandant « si on avait besoin de ces arrestations spectaculaires et de toute cette médiatisation » (Europe 1, 23 juin 1997).
L’affaire Dutroux ayant placé la pédocriminalité au centre de l’attention médiatique, Élisabeth Guigou
choisit d’aborder cette épineuse question sous un angle surprenant, celui du suivi socio-judiciaire des auteurs d’agressions sexuelles obligeant ces derniers à se soigner
après leur libération (loi Guigou du 17 juin 1998). Mais son attitude dans l’affaire du « CD-ROM de Zandvoort » suscite l’interrogation sur l’ordre des priorités : que
signifie l’obligation de soigner des délinquants sexuels après leur libération, si les autorités ne font rien ou presque en amont pour les arrêter ? En marge de cette affaire
dans laquelle elle se distingue par le lapsus (« je ne veux pas que rien ne soit laissé au hasard ») révélateur du malaise de la ministre qui laisse présager de la
suite, Élisabeth Guigou profite de son intervention sur France 3, le 12 avril 2000, pour annoncer la création d’un « fichier d’empreintes génétiques », la lutte contre
la pédocriminalité étant un prétexte tout trouvé pour avancer sur l’agenda de la société du traçage généralisé.
Ce jour-là, la garde des Sceaux est surtout venue démentir l’existence d’une enquête en cours quant à la
découverte d’un charnier d’enfants évoquée face à Élise Lucet, deux semaines plus tôt, par Martine Bouillon, substitut du procureur de Bobigny, au cours du débat qui a suivi
l’enquête de Pascale Justice, Stéphane Taponier et Cécile Toulec, Viols d’enfants : la fin du silence, diffusée dans Paroles d’enfants sur France 3, le 27 mars 2000. La
magistrate avait alors déclaré : « Je peux vous dire qu’en région parisienne, j’ai effectivement eu connaissance de charniers d’enfants. Je pèse mes mots. Je n’en dirai pas
plus parce qu’il y a une instruction en cours. »
Bien davantage que les révélations de L’Humanité, c’est bien l’incendie provoqué par la sortie de Martine
Bouillon qui préoccupe en réalité la ministre de la Justice. Elle saisira en effet le Conseil supérieur de la magistrature qui sanctionnera la magistrate (déplacement
d’office). Notons que le CSM comptait alors parmi ses membres Michel Joubrel, substitut du procureur général près la cour d’appel de Versailles et ancien président de l’Union
syndicale des magistrats.
Ce dernier, qui a contribué à sanctionner Martine Bouillon, sera arrêté en 2003 pour téléchargement et
détention de plus de cinq mille photos et vidéos pédopornographiques lors de perquisitions à son domicile, dans son bureau à la cour d’appel de Versailles mais encore dans sa
résidence secondaire en Bretagne. Mis à la retraite d’office en 2004, radié en 2005,il sera condamné à Tours en 2006 à… 1 000 euros d’amende et huit mois de prison avec
sursis.
Martine Bouillon,dont la sanction s’était tout de même accompagnée de la reconnaissance d’un « dossier
professionnel dans l’ensemble assez favorable » et d’un « engagement manifeste en faveur de l’enfance en détresse », sera finalement amnistiée en mars2001 par
Marylise Lebranchu qui, entre-temps, a remplacé Élisabeth Guigou place Vendôme.Quant au reportage Viols d’enfants : la fin du silence, il n’a pas été mis en ligne sur le site
tout public de l’INA. On ne peut y accéder sans les codes INA Media pro (journalistes) ouInathèque (bibliothèques de recherche). Ce qui n’empêche pas des copies de circuler
sur Internet et d’offrir une deuxième vie à ce courageux reportage. D’où un intérêt du public jamais démenti et un succès tel qu’Élise Lucet a été sommée de se justifier, plus
de vingt ans après, par Patrick Cohen dans l’émission C à vous (France 5, 16 mars 2023) :
– PatrickCohen : Si vous regardez les réseaux sociaux, […] vous êtes cités comme caution par ceux qui
prétendent qu’aujourd’hui des pédosatanistes utilisent le sang des enfants, je m’arrête là. ;
– Élise Lucet : Pas du tout, très franchement on n’était pas du tout dans des réseaux satanistes.
C’était pas ça du tout l’histoire. C’était des réseaux de prostitution d’enfants par leurs parents. On était très loin de tout ça et loin de moi l’idée de vouloir porter
caution à quoi que ce soit de ce style, mais pas du tout. Je ne serais pas capable de retracer le documentaire vingt-cinq ans après à la minute près, maison est à des milliers
de kilomètres de ce qu’on raconte. Donc je rétablis la vérité. Non. Et je pense qu’il ne faut pas utiliser ce documentaire pour justifier les propos qui sont tenus
aujourd’hui. »
S’il s’agit de « rétablir la vérité », rappelons que le reportage Viols d’enfants : la fin du
silence couvrait une affaire judiciaire, au départ assez classique, prenant racine dans un divorce survenu en août 1994 qui avait vu les deux enfants du couple, un garçon de 5
ans et une fille de 8 ans, confiés à la mère. Le père en avait la garde un week-end sur deux.Jusque-là, rien de plus classique. Sauf qu’en janvier 1996,la mère fait constater
par un médecin des hématomes sur les corps des enfants dont l’état psychique semble se détériorer. Elle constate également des troubles du comportement se manifestant par une
régression dans le développement.
Trois mois plus tard, la fille qui refuse désormais de se rendre chez son père, avertit sa mère que son
frère est en danger.Emmenés chez un pédopsychiatre, les enfants, terrorisés, vont alors, durant trois ans, avec l’aide de dessins, se livrer progressivement. Dans un langage
maladroit et enfantin, ils parlent d’abord de coups, d’attouchements, puis de viols en réunion et enfin de meurtres d’enfants (« un peu arabes ou des choses comme ça »
explique la fille) par décapitation au cours de cérémonies rituelles. Mêlant sacrifices d’enfants et cannibalisme, ces cérémonies sont, selon les enfants, menées par un mage
que ses adeptes appellent « Boucnoubour ».
Pendant les cérémonies, les adultes sont revêtus de capes blanches et rouges, portent d’étranges croix sur
leurs épaules, tandis que les enfants ont préalablement été hypnotisés. Le pédopsychiatre Pierre Sabourin écarte la thèse du délire et de l’affabulation des enfants et prend
leur parole au sérieux.
Inimaginable (au sens propre du terme), le récit dont les deux enfants accouchent lentement au fil des séances comprend de éléments de descriptions précis et concordants.
Parallèlement, en octobre 1996, à la suite d’une plainte déposée par la mère, l’enquête est confiée à la commissaire divisionnaire Nicole Tricard de la Brigade de protection
des mineurs (BPM).
Si le témoignage des enfants a été pris au sérieux par le pédopsychiatre, ces derniers sont incapables,
étant donné leur âge, de donner des lieux ou des identités d’individus, excepté leur père. Ils décrivent et dessinent toutefois avec force détails un hôtel particulier situé
dans les beaux quartiers de l’ouest parisien dont les sous-sols ont été aménagés pour accueillir les cérémonies. L’ancrage social du groupe dans la bonne bourgeoisie sera
confirmé pendant l’enquête au cours de laquelle seront interrogés le père, ostéopathe de profession, ainsi que huit personnes de son entourage, parmi lesquels un journaliste,
une décoratrice de cinéma, un pilote de ligne, une conseillère en communication, etc.
Mais rapidement, l’enquête s’enraye. Malgré la gravité des crimes potentiellement commis, la juge
d’instruction chargée de l’affaire, explique à France 3 que « la Brigade de protection des mineurs qui par ailleurs a fait une grosse enquête n’a ni le temps, ni les moyens
de faire des filatures. Les filatures, c’est réservé aux gros trafiquants. »
Si le père a été placé sur écoutes, ses conversations téléphoniques font ressortir, dès le début de
l’enquête, qu’il a, selon ses dires, « des renseignements de ce qui se passe en fait chez le juge de temps en temps ». Sur le PV du 1er janvier 1997, on lit : «
Mentionnons qu’il apparaît que Monsieur X [le père] a su par des indiscrétions dans le cabinet du juge pour enfants que sa fille a parlé de la secte ».
La « taupe » n’est autre que la tante du père, greffière dans un tribunal. Trois mois plus tard, le
père est mis en examen pour viols sur mineurs de (moins de) 15 ans, agressions sexuelles sur mineurs, corruption de mineurs, fixation, enregistrements de l’image à caractère
pornographique de mineurs. Ce qui n’empêche pas la justice de l’autoriser, le mois suivant, à revoir ses enfants…
Il faut dire que, de toute évidence, la juge d’instruction n’a pas cru les enfants. Quand elle les
auditionne, début 1998, l’avocate de la mère, Me Catherine Lardon-Galéote, n’a pas été conviée. À sa place, est entrée en scène une avocate choisie par la justice, Me Patricia
Guertzon-Blimbaum.
Le 28 mai 1998, la juge d’instruction refuse le complément d’enquête demandé par l’avocate de la mère,
arguant qu’« attendu en effet que si on ne peut nier l’existence des sectes en France ni leur emprise grandissante, il apparaît en revanche inimaginable que dans le cadre de
ces groupements, il puisse y avoir, ainsi que le déclare Marie [la fille] « des têtes d’enfants au bout de pics » qui brûlent, « une tête et des mains
d’enfants coupées et des bocaux sur une table contenant des mains d’enfants ».
Attendu d’autre part, bien que Pierre [le fils] ait déclaré au cours de la confrontation que des femmes
mettaient aussi leur zizi dans sa bouche et dans ses fesses, cela est à l’évidence, matériellement impossible [NDA : les « études de genre » ne sont pas encore à la
mode et, ce n’est que quinze ans plus tard que les « femmes à zizi » deviendront le nec plus ultra du « progressisme « …]. Par ces motifs, rejetons les
demandes d’investigations supplémentaires sollicitées par Me Lardon-Galéote. »
Ainsi, la juge d’instruction semble-t-elle s’asseoir sur l’expertise psychiatrique qu’elle a elle-même
demandée, une expertise décrivant certes un « témoignage [qui] mérite d’être reçu avec prudence », mais concluant à une « crédibilité globale des propos des enfants
». En outre, le Pr Philippe Mazet, chef du service de psychiatrie de l’enfant à la Pitié-Salpêtrière rejette catégoriquement l’hypothèse des fausses allégations d’enfants
qui peuvent intervenir dans un contexte de règlement de compte entre parents à l’occasion d’un divorce.
Aussi, interrogés par les journalistes de France 3, Paul Ariès (peu suspect de « conspirationnisme
») accrédite le témoignage du fils, celui qui a justifié le refus d’un complément d’enquête par la juge d’instruction Danielle Ringot (« des femmes mettaient aussi leur
zizi dans sa bouche et dans ses fesses »), en expliquant que les adeptes de ce type de secte se présentent « fréquemment » comme des hommes qui sont des « pures femmes
» dans le sens de la fécondation d’un « surhomme » et que la barbarie ritualisée renvoie à une « augmentation de sa propre puissance » par la souffrance
subie ou infligée.
Ajoutons qu’en marge d’un entretien téléphonique avec les journalistes de France 3 organisé sous le
contrôle de son avocate Monique Smadja-Epstein, le père des enfants a tout de même parlé ouvertement de « la pulsion de l’inceste qui remue chacun de nous-même.
»
En outre, les écoutes ont fait ressortir une conversation du père avec une de ses relations pendant
laquelle sont abordées explicitement des sectes « très connues qui préconisent justement des choses où les limites deviennent un peu floues au niveau de ce qu’il est
possible de faire avec son enfant. »
Des éléments dont fera fi Danielle Ringot, la juge d’instruction, déjà à l’œuvre dans l’affaire de
Zandvoort, qui prononcera une ordonnance de non-lieu. Élise Lucet, qui avait introduit son reportage sous l’angle du « déni de justice », de la parole des enfants «
pas entendue » et de la « loi du silence », explique
donc aujourd’hui qu’« on n’était pas du tout dans des réseaux satanistes », alors que même Libération (11 mai 2000) avait parlé, au sujet de ce reportage, de «
véritables cérémonies sataniques ».
Si ces réseaux sont mal connus et leur existence parfois contée, des confessions très similaires ont été
recueillies en France et en Suisse romande par Didier Cazet, Ralf Hermersdorfer et Tanya Schmidt dans Spezial : Die unangenehme Wahrheit – Missbrauchte Kinder, gequälte Seelen
(La désagréable vérité : des enfants maltraités, des âmes torturées) diffusé sur la chaîne allemande N24 le 2 décembre 2002 (des copies circulent sur Internet sous le titre
Snuff-Movies et Messes Noires en France) qui met en lumière que ce type de pratique se déroule dans un cadre familial, souvent de génération en génération.
Certains des témoignages du reportage semblent renvoyer à l’affaire Dutroux et des photos d’un des enfants
interrogés ont été retrouvées sur les CD-ROM de Zandvoort mais ces pistes n’ont manifestement jamais été prises en compte dans le cadre des enquêtes menées sur ces affaires.
Par ailleurs, Charles-Louis et Diane Roche, les enfants du juge Pierre Roche, président de chambre à la cour d’appel de Montpellier, ont décrit en décembre 2005, face caméra,
des pratiques rituelles similaires dans les réseaux de pouvoir que fréquentait leur père, établissant un lien entre la disparition de ce dernier, le 22 février 2003 et
l’affaire Patrice Alègre qui éclata deux mois plus tard.
Ce témoignage, qui selon ses auteurs constitue « le volet secret de l’affaire Alègre » circule sur
Internet sous le titre Témoignage des enfants du magistrat Pierre Roche. Dans la même veine, on consultera L’Enfant sacrifié à Satan de Bruno Fouchereau (Filipacchi, 1997) qui
a recueilli le témoignage de Samir Aouchiche, survivant d’un groupe analogue répondant au nom d’Alliance Kripten. Une épaisse bibliographie sur ce sujet trop méconnu a été
publiée dans MK. Abus rituels et contrôle mental sous-titré Outils de domination de la « Religion sans nom » (Omnia Veritas, 2016) dont l’auteur, Alexandre Lebreton,
explore en particulier le processus de « dissociation » (le terme est employé par Camille Kouchner) qui s’opère chez les individus ayant grandi dans ces réseaux.
Très rarement traité en France, ce thème a été abordé en 2011 dans l’émission Sur les docks de France
Culture par le père Georges Morand qui, confronté à ces sociétés secrètes dans le cadre de ses activités au diocèse de Paris, explique avoir rencontré « des personnes qui
ont été la proie de groupuscules satanistes extrêmement redoutables pratiquant ce que l’on appelle les messes noires liées à des rites de sorcellerie et de magie, avec des
meurtres rituels […] sous le double couvert, et je pèse mes mots, d’une part de la mafia, tous les réseaux mondiaux de la prostitution de bas et de haut étage, du trafic de
drogues et d’autre part de personnalités que l’on pourrait dire au-delà de tout soupçon qui tiennent des postes clés dans notre civilisation, que ce soit dans le monde de la
politique, toutes tendances politiques confondues […], dans le monde de la magistrature, dans le monde scientifique, dans le monde de la finance, dans le monde intellectuel
[…] et je dirais même hélas, trois fois hélas, dans le monde ecclésiastique »
D’après une information exclusive obtenue par le média allemand Weld.de, le Parlement Européen commence à se poser des questions sur les
activités louches de Heiko Von Der Leyen, mari d’Ursula Von der Leyen. Le récent financement de 320 millions d’euros dont a bénéficié son labo, Orgenesis, de la part de la Commission
Européenne (présidée par sa femme), est sévèrement dénoncé par des euro-députés
Le mari de Von Der Leyen dans l’oeil du cyclone. Il y a à peine un mois, Lecourrier-du-soir.com, en se basant sur des informations fiables en
provenance d’Italie, révélait le financement de 320 millions de dollars que la Commission Européenne avait accordée à une société dirigée par Heiko Von Der Leyen, mari de Ursula Von Der
Leyen, actuelle présidente de la Commission Européenne.
Et l’affaire est loin de connaître son épilogue. Car, après cette révélation qui avait été largement partagée sur la toile, la presse allemande s’empare du
scandale et nous en dit plus. En effet, d’après le média allemand Weld.de, l’une des sources les plus fiables de ce pays, les activités du mari de la présidente de la Commission Européenne fait réagir plus d’un dans les coulisses de
l’Union Européenne.
Une information confirmée par une autre source allemande : express.at. D’après cette source qui
cite Weld.de, c’est une lettre de l’eurodéputée italienne, Francesca Donato, qui a attiré l’attention de Bruxelles sur les activités assez douteuses du mari d’Ursula. Ainsi, à
en croire le média Express.at, la lettre date du 26 octobre dernier et a été adressée à Kathleen van Brempt qui préside le comité européen sur le Covid.
Les activités de Heiko sont d’autant plus louches que depuis qu’il a été nommé directeur médical du laboratoire Orgenesis, son entreprise (Orgenesis) a reçu au
moins 4 financements de l’UE. Et pas plus tard qu’en novembre 2021, le gouvernement grec a accordé un financement de 32 millions d’euros à un labo proche d’Orgenesis.
Heiko devient désormais un problème au sein de l’UE. Depuis la récente révélation sur le financement de 320 millions de la part de l’UE, les langues se délient
et les euro-députés ne cachent plus leur colère. « Cette entreprise (Orgenesis) a été sélectionnée, soit parce que c’est la meilleure entreprise dans le domaine de la recherche ou parce
que Heiko Von Der Leyen, mari d’Ursula Von Der Leyen, en est le directeur médical », déplore l’euro-député allemand René Repasi.
Selon les informations obtenues par Repasi, depuis la nomination de Heiko Von Der Leyen, au moins 4 branches du laboratoire Orgenesis ont ouvert leur bureau dans
des pays membres de l’Union Européenne et certaines d’entre elles ont reçu des millions d’euros de financement de l’UE.
Interrogé par le média Weld, Olivier Hoedeman de l’organisation Corporate Europe Observary dénonce un conflit d’intérêt flagrant. « La position de Heiko Von Der
Leyen au sein de la fondation de l’université de Padoue (en Italie) au moment du financement de l’UE accordé à cette université fait planer le risque d’un conflit d’intérêt »,
lâche-t-il.
Cheikh Tidiane DIENG est fondateur et rédacteur en chef du site www.lecourrier-du-soir.com. Diplômé en Médias Internationaux à Paris, en Langues et
Marché des Médias Européens à Dijon et en Langues étrangères (anglais et espagnol) au Sénégal, ce passionné de journalisme intervient dans des domaines aussi divers que la politique
internationale, l’économie, le sport, la culture entre autres. Il est aussi auteur du livre : "Covid-19 ; le monde d'après sera une dictature". Contact :
cheikhdieng05@gmail.com
Des contraceptifs animaux et des antibiotiques ont été détectés dans les 10 produits de restauration rapide les plus populaires : Rapport
Selon un rapport de laboratoire, deux types d’antibiotiques d’origine animale et un contraceptif animal ont été détectés dans des échantillons d’aliments
provenant des dix chaînes de restauration rapide les plus populaires aux États-Unis.
En septembre, Moms Across America (MAA) a soumis des échantillons d’aliments provenant de dix chaînes alimentaires américaines populaires au Health Research
Institute, un laboratoire à but non lucratif basé dans l’Iowa qui teste la valeur nutritionnelle, la biofonctionnalité, les contaminants et les toxines des aliments, en demandant au laboratoire
de tester les échantillons pour plus de 100 médicaments vétérinaires et hormones courants. MAA est un groupe d’activistes à but non lucratif créé par des mères dans le but d’attirer l’attention
sur les aliments contenant des organismes génétiquement modifiés (OGM) et des pesticides.
John Fagan, scientifique en chef du Health Research Institute, a confirmé que son laboratoire avait testé les échantillons d’aliments.
8 chaînes de restauration rapide sur 10 ont été testées positives
La plupart des échantillons ont été prélevés dans les dix chaînes de restauration les plus populaires aux États-Unis. Les volontaires de MAA se sont rendus dans les magasins McDonald’s, Starbucks, Subway, Chick-fil-A,
Burger King, Taco Bell, Chipotle, Dunkin’, Wendy’s ou Domino’s de leur quartier et ont commandé plusieurs fois le même repas.
Conservé dans son emballage, chaque repas a été scellé, congelé et envoyé par la poste au Health Research Institute.
Au laboratoire, les aliments et leurs emballages ont été broyés puis testés pour détecter la présence de médicaments vétérinaires et d’hormones.
Les concentrations de médicaments dans tous les échantillons d’aliments étaient inférieures à 2 microgrammes par kilogramme, ce qui est nettement inférieur à la dose
journalière admissible fixée par la Food and Drug Administration (FDA). M. Fagan a souligné que les niveaux d’absorption acceptables de la FDA sont significatifs pour vérifier les intoxications aiguës. Cependant, dans le cas de la
restauration rapide, que certaines personnes consomment quotidiennement, on peut craindre une intoxication chronique due à l’accumulation de toxines.
Monensin
Moins de 0,5 microgramme par kilogramme d’antibiotique monensin a été détecté dans les produits Taco Bell, Dunkin’, Wendy’s, Domino’s, Burger King et
McDonald’s.
La dose journalière admissible de monensin est de 12,5 microgrammes par kilogramme de poids corporel par jour.
L’antibiotique monensin a été détecté dans les produits Taco Bell, Dunkin’, Wendy’s, Domino’s, Burger King et McDonald’s.
Le monensin est un antibiotique vétérinaire couramment utilisé, dont la marge de sécurité est faible. Les effets secondaires du monensin chez les animaux sont
l’anorexie, la diarrhée, la faiblesse et les troubles moteurs. Un surdosage peut entraîner un empoisonnement, voire la mort de l’animal.
L’intoxication au monensin est rare chez l’homme et il n’existe pas de traitement efficace dans la pratique clinique.
Un cas s’est produit chez un homme qui a ingéré 300 milligrammes de monensin, entraînant une rhabdomyolyse sévère, c’est-à-dire une dégradation du
tissu musculaire. Cet état pathologique est assez grave et peut entraîner des lésions cardiaques et rénales.
La dose ingérée par cet homme est toutefois un million de fois supérieure aux doses de microgrammes détectées dans les échantillons d’aliments.
Narasine
Moins de 2 microgrammes de narasine par kilogramme ont été détectés dans un cheeseburger de Wendy’s. La narasine a également été détectée à l’état de traces dans les
aliments. Elle a également été détectée à l’état de traces dans un repas de Dunkin’, Domino’s et un sandwich Starbucks.
La dose journalière admissible pour la narasine est de 5 microgrammes par kilogramme de poids corporel et par jour.
La narasine est un antibiotique et un additif alimentaire antiparasitaire qui aide à contrôler les infections parasitaires chez les poulets
engraissés. Il est également souvent ajouté à l’alimentation du bétail, car il augmente la consommation de matière sèche. La narasine et la monensine sont toutes deux des ionophores,
c’est-à-dire qu’elles peuvent perturber l’équilibre des ions dans les cellules et sont souvent utilisées chez les animaux pour lutter contre les infections bactériennes et parasitaires.
Les effets secondaires de la narasine chez les animaux comprennent l’anorexie, la diarrhée et la dégénérescence des muscles cardiaques et squelettiques.
Ces ionophores antibiotiques ne sont pas utilisés chez l’homme en raison des risques de toxicité, bien qu’il y ait peu de cas documentés de toxicité de ces
médicaments.
Nicarbazine
La nicarbazine, un antiparasitaire et contraceptif animal, a été détectée dans l’échantillon de sandwich au poulet de Chick-fil-A. Moins de 0,5 microgramme par
kilogramme a été détecté. Moins de 0,5 microgramme par kilogramme de nicarbazine a été détecté.
La dose journalière admissible pour la nicarbazine est de 200 microgrammes par kilogramme de poids corporel par jour.
Ce médicament est principalement utilisé comme antiparasitaire chez les poulets et les dindes engraissés, mais il a également été utilisé pour contrôler la
population d’oies et de pigeons.
Comme il est hautement toxique pour les embryons agricoles et qu’il réduit la ponte et l’éclosion dans les populations de volailles adultes, de nombreux agriculteurs
ont demandé un renforcement de la réglementation afin de protéger leurs animaux contre de telles expositions.
À ce jour, aucun rapport n’a montré que la nicarbazine provoque des effets toxiques chez l’homme, bien que ses ramifications à long terme soient inconnues. Un rapport de recherche a supposé que la nicarbazine serait sans danger pour
les consommateurs car la plupart des dindes nourries avec ce médicament agiraient comme un filtre, décomposant le médicament avant qu’il n’atteigne le marché.
« L’impact de la consommation quotidienne par des millions d’Américains, en particulier des enfants et des jeunes adultes, d’un contraceptif animal connu est
préoccupant », a déclaré Zen Honeycutt, directeur exécutif de la MAA. « Avec l’augmentation des problèmes d’infertilité, la santé reproductive de cette génération est au centre de nos
préoccupations, à la lumière de ces résultats ».
Peu d’études ont porté sur les effets des médicaments vétérinaires chez l’homme.
« C’est là le problème », a déclaré Mme Honeycutt à Epoch Times. « Il s’agit de médicaments vétérinaires et d’hormones… donc les seules études que
j’ai trouvées et que vous trouverez concernent les animaux. [Ils ne sont pas autorisés pour les humains, et pourtant ils sont autorisés [dans l’approvisionnement alimentaire].
« Certaines personnes consomment ces aliments tous les jours, et nous ne savons donc pas quelle quantité ils accumulent dans leur organisme », a ajouté Mme
Honeycutt.
Toutes les chaînes de restauration rapide sont-elles concernées ?
Étant donné que chaque échantillon de nourriture a été acheté dans un seul magasin par chaîne de restauration rapide, Mme Honeycutt a déclaré qu’il faudrait
effectuer d’autres tests pour savoir si toutes les autres chaînes servaient des aliments contenant des médicaments vétérinaires similaires.
Toutefois, elle soupçonne que d’autres chaînes pourraient également être touchées.
« J’ai cru comprendre qu’ils hachaient la viande de centaines d’oiseaux pour fabriquer ces galettes de viande transformée. Par conséquent, lorsqu’un échantillon
est contaminé, il est probable qu’il contamine des centaines d’autres échantillons… Si l’un d’entre eux est atteint de cette maladie particulière, l’éleveur traitera probablement tous les oiseaux
dans une installation », a déclaré Mme Honeycutt.
Interrogé sur une éventuelle contamination des emballages, M. Fagan, du Health Research Institute, a déclaré que les emballages provenaient de différents États des
États-Unis et que, si un emballage pouvait être contaminé, il serait difficile que tous le soient.
Le MAA a déjà testé 43 repas scolaires fournis
par les participants. Les analyses de laboratoire ont révélé que 95 % des repas contenaient du glyphosate et que 74 % contenaient au moins un pesticide nocif.
Le glyphosate est un désherbant, et l’exposition des enfants au glyphosate a été liée au développement du diabète, des maladies cardiovasculaires et du cancer, y compris le lymphome non hodgkinien.
Le thiabendazole, un immunosuppresseur, a été détecté dans environ 30 % des échantillons, et une toxine développementale a été trouvée dans plus de 40 % d’entre
eux.
Epoch Times a contacté les chaînes de restauration rapide mentionnées dans cet article pour obtenir des commentaires.
Le discours de Gabriel Attal à la Bibliothèque Nationale a-t-il été écrit par ChatGPT?
En écoutant le discours de Gabriel Attal tenu ce 5 octobre 2023 devant la bibliothèque Nationale, j’ai été frappé par son
caractère sans âme, comme s’il était sorti d’un logiciel d’intelligence artificielle. J’ai aussitôt fait l’expérience, commandant à ChatGPT 200 mots sur la revalorisation du métier de professeur
en France. L’expérience est concluante. Nous n’avons plus de ministre de l’Éducation Nationale mais un “AttalGPT”. Cela devrait nous inciter à la plus grande méfiance. Tout est artificiel
chez ce pur communiquant macroniste. Méfiez-vous, cela finira encore plus mal qu’avec Pap Ndiaye.
C’est sans aucun doute parce que je viens d’une famille de professeurs et que je le suis moi-même. Quand Gabriel Attal prend la parole, j’entends tout de suite que tout sonne faux.
J’ai commandé 200 mots à ChatGPT sur le thème de la revalorisation métier de professeur. L’image ci-dessus montre ce que m’a sorti le logiciel.
On est plongé dans les mêmes “éléments de langage” que ce que nous a servi Monsieur Attal dans son discours sans âme, débité d’une voix monocorde. Imaginons que j’aie demandé 4000 mots, en
affinant la demande:pour répondre à une commande absolument ciblée – selon des critères élaborés par un cabinet de conseil j’aurais eu sans aucun doute,à quelques mots près, le discours de ce
matin.
C’est terrifiant: en face de nous nous n’avons pas un frère humain mais une intelligence (au demeurant très) artificielle, qui débite ce qu’il faut dire le 5 octobre 2023 pour donner l’impression
aux Français que l’École est bien reprise en main!
Le centralisme à outrance de Jean-Michel Blanquer me semblait menacé de stérilité mais nous avions un être humain en face de nous. Pap Ndiaye apparaît sympathique, tout idéologue qu’il fût, à
côté d’AttalGPT.
En observant cette petite mécanique aussi dérisoire qu’artificielle déverser ses phrases toutes faites, on comprend d’une autre manière l’impasse du macronisme. Notre vieux pays a besoin qu’on
lui parle en termes qui le fassent vibrer. Et l’on nous sert des discours robotisés.
Horreur, enfer et damnation dans le Landerneau de la pensée unique ! La revue « Administration », une
publication de référence diffusée aux décideurs, élus locaux et hauts fonctionnaires, publie un long article bien argumenté, récusant la responsabilité humaine dans les changements climatiques.
Le léger réchauffement que nous avons vécu, n’était qu’une péripétie cyclique déjà vue et revue, banale à l’échelle de la planète.
Cette revue est une des 602 qu’on peut trouver sur cairn.info. Et parmi elles, des torchons réchauffistes d’une nullité scientifique affligeante. Seulement voilà, celle-là a un petit côté presque officiel qui rend fous
de rage les réchauffistes qui réclament à cor et à cris son interdiction. Il n’y a pas qu’au JDD que les gauchards jouent l’indignation et l’intimidation.
« Administration » est éditée par l’Association du corps préfectoral et des hauts fonctionnaires du
ministère de l’Intérieur. Moussa harcelé par des roquets médiatiques a reconnu la subventionner, sans donner de chiffre. Quand on connaît la rigidité hiérarchique du corps préfectoral, il est
impensable d’imaginer que des francs tireurs risquent leur carrière en s’opposant à une doxa… Que le gouvernement circonspect pourrait réviser… Envoyant en éclaireurs ses préfets pour tester les
réactions.
Chef d’orchestre de la contestation le magazine «Reporterre »
Celui-ci s’est arrogé le monopole de la bonne pensée écolo, en s’autoproclamant « le média de l’écologie
». Il se prétend indépendant. Difficile à croire quand il proteste avec véhémence contre la dissolution du mouvement écolo-terroriste « Les Soulèvements de la Terre »… Hurle de rage contre l’
interdiction de la manif opposée au projet ferroviaire Lyon-Turin… Encense le voyou malchanceux Nahél tout en fustigeant les patriotes… Et, comme toutes les crapules d’extrême gauche, pratique le
dénigrement systématique. Car seuls des ignares et des imbéciles peuvent douter de leurs certitudes idéologiques.
Avec cet argument ressassé ad nauseam « La science ne discute plus de la réalité ni des
causes du réchauffement climatique ». Leur science, c’est moins d’un millier de personnes inféodées au GIEC, contre les35.000 signataires de l’Oregon Petition, dont de prestigieux universitaires et directeurs de recherche, ainsi qu’une brochette de Prix Nobel, pour qui « Il n’existe aucune preuve
scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement
catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une rupture de son climat.»
Pour les imprécateurs de Reporterre, le casus belli est un article mis en ligne le 4 juillet, intitulé« L’humanité n’est pas responsable du réchauffement climatique. »Son auteur, un certain Pascal Mainsant, ingénieur de recherche à l’Inrae y développe des argument connus depuis les premières mises
à plat de Claude Allègre qui, déjà en 1995, dénonçait un danger imaginaire inventé par des lobbies. Mais il est toujours utile de rappeler ce qui, pour les
scientifiques non sponsorisés par le GIEC, officine de propagande du gouvernement mondial, relève de connaissances élémentaires du niveau d’un étudiant de première année.
Les réchauffements climatiques du passé historique
L’auteur écrit :« Aussi
bien au Moyen Âge que pendant l’Empire romain, les glaciers alpins étaient encore plus reculés qu’aujourd’hui »
En effet, en l’an 218 avant notre ère, Hannibal a fait franchir les cols des Alpes à 40 éléphants de guerre pour
attaquer les Romains par surprise. Et sur leur route, les pachydermes ne sont pas gelé les orteils dans les glaciers et les neiges éternelles.
En 985, les Vikings s’étaient installés au Groenland libre de glaces… Et en 994 Hugues
Capet régnant en France, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les
prairies, les moissons et les troupeaux. Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures supérieures à 42°C pendant au moins 6 à 8 semaines. Les clercs,
témoins à l’époque, relatent une « chaleur infernale » pendant plus de 3 mois !
Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de
simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif puis de faim, on en connut 8 majeures jusqu’en 1684… Et ça continua ainsi jusqu’au XXème
siècle. Mais les astrologues du GIEC n’ont probablement jamais entendu parler de la canicule de 1911qui fit en France 45.000 morts sur 40 millions d’habitants (en 2003, 19.000 morts pour 60 millions de personnes)
Emmanuel Leroy Ladurie (pourtant pro GIEC auparavant) relève dans son «Histoire du
climat depuis l’an mil » que des lieux dits des Alpes qui n’ont pas changé de nom jusqu’à aujourd’hui, figuraient au Moyen Âge comme fermes, pâturages ou forêts sur des actes notariés, alors
qu’ils sont en partie ou en totalité recouverts par des glaciers de nos jours.
Les mensonges du GIEC pour affoler les populations
L’auteur qui s’adresse aux décideurs nationaux,
exécutifs régionaux et hauts fonctionnaires, expose qu’il n’y a pas plus de canicules, de cyclones, d’inondations, de sécheresses ni de record de température maintenant que
depuis 3000 ans. Et queles mensonges sur la réalité de la situation climatique servent l’objectif inavouable du GIEC : convaincre l’humanité de sa responsabilité dans un réchauffement
cataclysmique. Tout cela pour accéder au statut de sauveur avec les récompenses que l’on peut en attendre : Renommée, argent et pouvoir.
Le dioxyde carbone, obsession des réchauffards, n’est pas un
poison
Bien au contraire, il est indispensable à la vie ! C’est l’aliment de base des
plantes. Avec l’eau et le rayonnement solaire. Sans le CO2, qui ne représente que 0,04% de l’atmosphère, il n’y aurait pas de plantes et une grande partie de l’air que nous respirons ne se
renouvellerait plus. D’ailleurs, si la concentration de CO2 dans l’atmosphère a légèrement augmenté à la fin du siècle dernier, aujourd’hui le niveau est stable, et même en très légère baisse
sans que l’intervention humaine y soit pour quelque chose. Dans le même temps la surface couverte par la végétation sur la terre s’est accrue de 20%. La déforestation est un autre mythe des
catastrophistes.
Au temps des dinosaures, le niveau de CO2 a atteint des valeurs proches de 10.000 ppm
(partie par million ou 106 ) soit 25 fois la concentration actuelle. Ce fut pourtant l’époque d’une flore et d’une faune géantes d’une extraordinaire
diversité.
D’ailleurs est-ce un hasard si les agriculteurs en serres y injectent trois fois plus
de CO2 qu’il n’y en a dans l’atmosphère ? Résultat observable : Les plantes poussent plus vite, elles résistent mieux aux maladies et aux insectes, leurs fruits sont plus gros, et grâce à une
photosynthèse plus efficace, elles consomment moins d’eau.
Perdre la moitié de la concentration actuelle, de l’ordre de 400 ppm, conduirait
inexorablement à l’extinction d’une grande partie de la végétation et donc des animaux qui s’en nourrissent. Avec à l’horizon la famine pour la plupart des humains. Incluant les végans qui
divaguent.
En outre, rappelons que près des trois quarts de l’oxygène que nous respirons provient
du phytoplancton (et pas des forêts !) C’est le vrai poumon de la planète, lequel se nourrit de CO2. Réduire de façon drastique le CO2 mènerait à une catastropheplanétaire.
Les dépenses pour une transition énergétique fantasmée sont de l’argent dilapidé,
mais pas perdu pour tout le monde
Un minimum de 90.000 milliards de US dollars est prévu afin de réduire la teneur en
CO2. Le seul résultat tangible sera d’engraisser les multinationales ripolinées en vert du Nouvel Ordre Mondial, les apôtres de la bonne pensée subventionnée, les commissaires politiques du
comportement conforme, et les politicards qui prélèveront leur dîme au passage.
L’auteur continue sur sa lancée, provoquant l’effroi puis la haine de ses critiques.
Il ose écrire : «La hausse des températures provient d’une augmentation du champ magnétique du soleil qui favorise l’ensoleillement. Et si un réchauffement naturel tendait à
augmenter la teneur de l’atmosphère en CO2,l’activité humaine y seraitmarginale.Conclusion : La thèse du GIEC est dépourvue de toute base scientifique. Sa
diabolisation des énergies fossiles est notoirement fausse.»
Les variations de température dépendent à 99% du soleil
Avant l’ère spatiale, les scientifiques croyaient que l’irradiation solaire totale
était constante. À partir de 1978, on a pu la mesurer par les satellites. Leurs données combinées ont prouvé que la TSI (total solar irradiance) varie d’environ 0,1 % du minimum au maximum du
cycle solaire. Ça paraît peu. En astronomie c’est énorme.
L’intensité de la radiation de notre étoile varie en fonction des taches solaires qui
sont plus sombres et plus froides que la surface du Soleil. Ces taches s’accompagnent de points lumineux qui augmentent l’intensité des radiations solaires qui régulent nos climats. Dès lors
une période avec peu de taches n’annonce pas un réchauffement mais un refroidissement !
Ainsi, le petit âge glaciaire entre 1550-1860 a correspondu à un très faible nombre de
taches solaires. Et même à une disparition complète de celles-ci entre 1665 et 1700. Et en 2020 alors que l’Europe subissait une canicule « jamais vue » selon les médias-menteurs, l’Institut
Météorologique Danois affirmait que « L’Arctique connaît son été le plus froid depuis 64 ans. »
Les réchauffards s’étranglent quandChristian
Gérondeau, polytechnicien, ancien haut fonctionnaire et
scientifique climato-réaliste, conclut que « la vision uniformément négative de l’évolution de la planète et de l’humanité qui nous est constamment ressassée ne correspond pas à la
réalité ».
Roselyne Bachelot pousse les gens à se vacciner en masse alors que seulement 450 personnes attraperont la maladie.
le vaccin n'a pas été testé tout comme le vaccin covid
il y a donc une volonté farouche à vouloir tuer les gens en leur faisant peur leur disant qu'ils vont attraper une grippe virulente qui va les tuer
voici la vidéo en preuve.
PIQURE DE RAPPEL DE 2009 REFLECHISSEZ A L EPOQUE 85 % des français refuseront de se faire vacciner alors il feront une campagne massive télévisée
pour le covid.
MENSONGE MENSONGE ET SCANDALE D ETAT.
https://twitter.com/i/status/1696529290341568596
le tétanos, la rage, la poliomyélite ont été endigués par la vaccination ! La vérité :
"Le mensonge : le tétanos, la rage, la poliomyélite ont été endigués par la vaccination ! La vérité :
ces trois maladies sont des maladies sans immunité, les toxi-infections ne passent pas par la voie sanguine. Le mensonge : la vaccination ROR a permis de supprimer les maladies infantiles ! La vérité : ces maladies dites “infantiles” servent à la maturation du système immunitaire de l’enfant pour en faire un adulte en bonne santé. Avec le
ROR on a créé des souches mutantes de la rougeole et des adultes qui l’avaient eu enfants, l’attrapent sous une forme “aggravée” au contact de leurs enfants vaccinés. Le mensonge : Nos enfants deviendront centenaires ! La vérité : les centenaires d’aujourd’hui sont des personnes qui sont nées dans les années 1910, époque où il n’y avait pas de vaccinations obligatoires
! On en reparlera dans quelques années. Toutes les études internationales arrivent à la même conclusion : les enfants à jour des vaccinations obligatoires sont globalement en plus
mauvaise santé que ceux qui n’ont jamais été vaccinés. Le mensonge : il faut vacciner les personnes fragiles pour les protéger. La vérité : toute personne atteinte d’un déficit immunitaire ou souffrant d’une pathologie auto-immune est une contre-indication majeure à toute forme
de vaccination ! Pour qu’une vaccination soit réellement efficace, il faudrait faire un groupage HLA à chaque individu pour connaître l’état exact de ses défenses immunitaires. Trop cher
! Répondent les autorités dites “compétentes” et on vit avec les accidents vaccinaux qui ne sont officiellement que de la faute à pas de chance ou à des coïncidences
malencontreuses. L’aveuglement des autorités sanitaires françaises nous conduit à une catastrophe sanitaire majeure qui a déjà commencé à bas bruit. Tous ces
cas d’autisme soudain, d’hyperactivité, de cancers infantiles ne seraient dus qu’à des problèmes environnementaux ? L’air pollué ? La malbouffe ? Disons que ça se cumule et comme l’on ne
connaît pas les synergies entre tous ces éléments, la prudence voudrait qu’on arrête les frais et que l’on ne sacrifie plus nos enfants et petits-enfants sur l’autel du profit industriel
! En conclusion : le principe de la vaccination de masse ne repose sur aucune base scientifique indiscutable et démontrée." Nathalie Buisson Autre exemple: déclaration du professeur Raoult sur CNEWS récemment concernant la polio: "les seuls cas que l'on rencontre encore sont ceux
induits par la vaccination" !! Article dans la presse américaine: ""On estime qu’un tiers de la population des États-Unis transportent un virus cancérigène très puissant
qui est entré dans leur organisme à travers les vaccins antipoliomyélitiques, c’est le virus SV-40. Ce n’est là qu’un exemple parmi tant d’autres de ceux qui ont été choisis par
inadvertance il y a de nombreuses années. Et il a fallu 30 ans à la communauté médicale pour accepter ce fait et en parler dans la littérature, et c’est donc dans la littérature avec
un grand L que l’on peut trouver que ce virus SV-40, qui est s’est infiltré par les vaccins antipoliomyélitiques, est effectivement présent chez de nombreuses personnes et cause des
tumeurs, des tumeurs cérébrales, des mésothéliomes… ou devrais-je dire qu’il est fortement associé, dans de nombreux cas, au virus qui se trouve dans la tumeur alors que les tissus
voisins sont sans virus. « 40 À 60 % DES TUMEURS CÉRÉBRALES DES ENFANTS, CONTIENNENT LE VIRUS SV-40. » – Docteur Suzanne Humphries, néphrologue et interniste Citation variole: « Je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation logique avec la diminution des cas de
variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu’ils contractèrent après avoir été vaccinées. » Dr. J.W. HODGE (The Vaccination Superstition) Actuellement il y a de la pub pour faire vacciner les nouveaux nés contre la méningite....Sauf que: « ...Apprenez ici une vérité terrible : chaque fois que vous entendez parler d'une affreuse mort d'enfant, terrassé dans les premières
semaines de sa vie, par une « méningite virale », vous êtes en droit de suspecter le B.C.G., même si l'autopsie a confirmé le diagnostic classique d'« encéphalite virale foudroyante...
» Dr Jean ELMIGER, La médecine retrouvée. citation ROR Le Dr Theresa DHEISER, hématologue, spécialiste de physiologie moléculaire et cellulaire, Présidente du SCPI de Washington a aussi confirmé
et publié la présence en grande quantité d’ADN foetal dans le MMR (measles, mumps and rubella) et vaccin varicelle (qu’elle a présenté au congrès annuel des biologistes italiens à Rome ce
25 janvier) capable d’entraîner des mutations génétiques observées chez 60% des enfants autistes et ceux atteints de cancers, et aussi de maladies auto-immunes. En 1999 au Tennessee, il y a eu une explosion de cas d’oreillons, malgré des taux de vaccination élevés ? Or 75 % des enfants qui l’ont
contracté avaient été vaccinés. En Suisse en 1994,1995 et 1999, 1 000 personnes ont contracté les oreillons, avec des taux de vaccination de plus de 95 % dans tout le pays.
Parmi les personnes touchées, 78 % étaient vaccinées et ont quand même contracté la maladie. En 1996, il y a eu 2 778 cas de coqueluche aux Pays-Bas, malgré un taux de vaccination de 96 %. Parmi les personnes touchées, 89 % des
enfants étaient dûment vaccinés. Depuis l’introduction de la vaccination contre la méningite, les cas de maladie et la fréquence de la maladie ont augmenté de 40
%. En 2001 en Afrique, après le DTC (vaccination contre la polio) la mortalité infantile a été deux fois plus élevée. En 2005, il y a eu 33 décès de nourrissons après une vaccination sextuple avec Hexavac. En 2009, 1 470 cas de complications vaccinales ont été signalés, dont 83 décès après la deuxième vaccination sextuple avec Infanrix
hexa. Le point sur la situation actuelle aux Etats Unis, le pays où l'on vaccine le plus (nous sommes juste derrière !).... A méditer Recopie de la déclaration du Dr Palvesky: Audition publique - comité de santé publique - proposition de loi concernant les immunisations du 19/02/2020 La vidéo commence lors de la déclaration du Dr Palvesky:……. « On a entendu plus tôt: «il n’y a pas vraiment d’inquiétudes concernant l’aluminium parce que c’est une si petite quantité que nous ne
devrions pas nous inquiéter». Mais l’aluminium que l’on met dans les vaccins est différents de l’aluminium que nous voyons dans l’environnement. C’est ce qu’on appelle
des nanoparticules et les nanoparticules se lient étroitement aux antigènes des bactéries, aux antigènes des virus, aux antigènes des protéines alimentaires et aux autres contaminants
contenus dans les vaccins que nous ne connaissons pas. Et nous savons que l’une des propriétés biochimiques des nanoparticules, est qu’elle sont capables d’entrer dans le cerveau. Et donc pour
l’instant, nous n’avons pas évalué l’innocuité des nanoparticules d’aluminium dans cette injection, et où va cette nanoparticule quand elle pénètre dans le corps ? Et est-ce qu’elle
rentre dans le cerveau ? Est-ce que tous les ingrédients du vaccin existent dans le cerveau ? Non - Rentrent-ils dans le cerveau ? Personne ne l’a jamais étudié mais
des études sur les animaux utilisant les mêmes produits chimiques présents dans les vaccins que nous administrons aux enfants démontrent directement que les ingrédients du vaccin
pénètrent bien dans le cerveau. Nous ignorons cette information. Des scientifiques en Europe ont mené des études sur la particule d’aluminium et ils ont démontré que ces nanoparticules d’aluminium
pouvaient rester dans le cerveau pendant des années et des décades. Et donc, ce à quoi nous assistons c’est une immense épidémie de handicaps du développement neuronal parmi les adultes,
y compris la maladie d’Alzheimer. Et l’un des principaux facteurs qu’ils trouvent dans le cerveau des malades d’Alzheimer, est la nanoparticule d’aluminium. C’est directement
relié aux vaccins que nous administrons. Donc nous n’avons jamais étudié si l’aluminium qui est dans les vaccins rentre dans le cerveau, et nous n’avons jamais mesuré s’il reste ou non
dans le cerveau et ce qu’il provoque s’il y reste. Et nous savons bien que les vaccins sont supposés provoquer des inflammations dans le corps et il y a plus de la moitié de nos enfants qui
ont des maladies chroniques inflammatoires et nous ne nous sommes jamais permis de nous poser la question : si les vaccins provoquent des inflammations aiguës, continuent-ils à créer des
inflammations chroniques ? Un enfant sur 5 aux Etats-Unis a un handicap du développement neuronal. Un enfant sur 10 un trouble de l’attention ou un trouble du déficit de l’attention/hyperactivité. Un enfant sur 35 est autiste, un sur 11 a de l’asthme et un sur 20, avant l’âge de 5 ans, a des crises d’épilepsie. Les maladies auto-immunes explosent de façon exponentielle et nous découvrons que les virus et les bactéries que nous injectons dans le
corps en même temps que les adjuvants, créent quelque chose que l’on appelle le mimétisme moléculaire. Ce qui veut dire que le corps voit ces virus comme étant étrangers, mais en fait trouve des morceaux de ces virus qui correspondent aux
siens. Et le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même. Donc le système immunitaire se retourne contre lui-même en créant une maladie
auto-immune. Nous le savons pour le vaccin contre l’hépatite B, le Gardasil. Et nous le savons aussi pour le vaccin contre la grippe et nous continuons à dire, sans équivoque, que les
vaccins ont été étudiés de manière efficace et qu’ils sont dans danger et ce n’est tout simplement pas vrai» Docteur Larry PALVESKY - pédiatre Via Alain Luc À LIRE ET À FAIRE TOURNER
LA C EST HONTE D ETAT ET PAS MENSONGES D ETAT TELLEMENT C EST GRAVE DE PARLER COMME CA ET MEPRISER LES HUMAINS DE LA SORTE !
La bêtise n’a absolument plus
aucune limite au niveau du gouvernement français, c’est à peine croyable. Il est véritablement venu le moment de s’inquiéter sérieusement de l’avenir de la France lorsque les
déclarations des gouvernants sont encore plus folles qu’un tweet du Gorafi ! Autant ce dernier peut être drôle car excessif autant la déclaration d’Aurore Bergé est vraiment
inquiétante. En réalité, plus ils sont stupides et décérébrés et plus ils ont des chances d’appartenir à l’exécutif ou au groupe parlementaire, ça doit être la règle édictée par
McKinsey.
L'Elysée embarrassé par sa nouvelle chaudière à gaz
Les services d'Emmanuel Macron, qui avait lancé une campagne de communication verte, ont dû admettre l'acquisition récente d'une chaudière à gaz.
C'est un rapport de la Cour des comptes qui a vendu la mèche, alors que Matignon envisage l'interdiction de ce type d'équipement.
Publié le 20/07/2023 à 6h20Lecture 2 minutesDaniel Bernard
Le nouveau système de chauffage retenu par le palais de l'Elysée, sans être une affaire d'Etat, est devenu une affaire de l'Etat. En moins d'une
semaine, la Cour des comptes et le Sénat ont investigué sur l'installation d'une nouvelle chaudière à gaz à la présidence de la
République. Un choix qui fait plutôt désordre au moment où l'exécutif envisage l'interdiction totale de cet équipement en France, au nom de la transition écologique.
La publication d'un article exclusif d'une page dans le Parisien, entièrement consacré à "la géothermie à la conquête de
l'Élysée", a mis le feu aux poudres. Aussitôt, les avocats du gaz ont murmuré que le service de communication de l'Elysée avait occulté la mise en place d'une chaudière à gaz, en remplacement
de la vieille chaudière au fioul, notoirement polluante. Interrogé par La Lettre A sur l'équipement en passe de devenir polémique, le conseiller presse d'Emmanuel Macron, Jonas Bayard, n'a pas donné suite. Mais, l'Elysée a toutefois dû se plier aux questions des
magistrats financiers : dans son rapport sur le budget de la présidence, la Cour des comptes vend la mèche en mentionnant effectivement l'acquisition d'une chaudière à gaz. Le document,
rendu public mi-juillet, précise que le montant de l'investissement s'élève à 100 000 euros.
De son côté, le sénateur Jean-Michel Arnaud, pour son rapport d'information sur les actions écoresponsables des pouvoirs
publics publié le 11 juillet, a auditionné les services de la présidence, qui ont précisé que le réseau primaire de chauffage comprenait dorénavant "des chaudières gaz à
condensation".
Communication verte et #ChaudièreGate
Désormais consciente du caractère potentiellement inflammable de ce choix de combustible, l'Elysée cherche à sauver son opération de communication
verte. Pour justifier son choix, le cabinet d'Emmanuel Macron indique que la chaudière ne fonctionnera pas plus de 20 à 30 % de la période de chauffe, uniquement
en appui de la pompe à chaleur les jours de grand froid.
Dans le même temps, selon Libération, le gouvernement explore des alternatives à l'interdiction totale des chaudières gaz, après avoir été
mis sous pression par de nombreux parlementaires, eux-mêmes sensibilisés par les défenseurs du gaz, ainsi que par des éditorialistes comme François Lenglet ou Dominique Seux. Le lien de cause à effet entre cette réflexion et le "ChaudièreGate" de l'Elysée
reste à démontrer.
La gauche et la droite rejettent l’amendement sur le consentement libre et éclairé, Manon Aubry trahit encore les Français
Le Parlement européen a récemment voté sur le rapport Covid, et un amendement en particulier a suscité l’indignation des
internautes. L’amendement 23 rappelait que toute personne a droit à un consentement libre et éclairé avant de subir une procédure médicale. Il condamnait également le fait que l’administration
d’un produit bénéficiant d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle ait été rendue (indirectement) obligatoire par certains gouvernements.
Cet amendement a été rejeté par les Verts, les Socialistes, les Macronistes et les Républicains, qui ont tous voté contre. En
revanche, Virginie Joron a voté pour.
Amendement – 23 vote du juillet 2023 sur le rapport COVID au parlement européen
Et encore une fois, Manon Aubry était à côté de la plaque puisqu’elle n’a pas voté, certainement indécise entre les deux
boutons. Elle a choisi de se retirer, ce qui équivaut à un vote contre. Ce n’est pas la première fois que Manon Aubry prend une décision controversée : elle avait déjà voté en faveur de la
prolongation d’un an du Certificat Covid de l’Union européenne.
La Commission européenne a récemment présenté un cadre juridique en vue de l’émission d’un euro
numérique. Cette monnaie électronique, qui serait acceptée pour les transactions dans toute la zone euro, pourrait constituer une solution de
paiement alternative aux espèces traditionnelles. Cependant, son introduction soulève des questions quant à la protection de la vie privée des
utilisateurs.
L’équilibre entre fonctionnalité et confidentialité
Malgré le progrès vers la réalisation du projet d’euro numérique, certaines préoccupations subsistent concernant
la protection des données et la confidentialité. Alors que la digitalisation offre de nombreux avantages en termes de commodité et
d’efficacité, elle peut également exposer les utilisateurs à des risques accrus au niveau de la sécurité des
données.
Risques de la digitalisation
Vol de données : Avec l’avènement de nouvelles technologies, les cybercriminels ont plus d’opportunités de voler des informations personnelles et financières.
Suivi des transactions : Une monnaie numérique pourrait permettre un suivi presque complet des
dépenses des consommateurs, ce qui soulève des inquiétudes en matière de vie privée.
Dépendance technologique : Les personnes âgées ou moins familiarisées avec la technologie pourraient
être désavantagées par le passage à une forme de paiement entièrement numérique.
Garantir la protection de la vie privée
L’introduction de l’euro numérique devra tenir compte des risques potentiels pour la vie
privée des citoyens européens. Pour ce faire, des mesures fortes en matière de protection des données doivent être mises en
place.
Protection des données sensibles
La nécessité de protéger les informations personnelles et financières des utilisateurs est primordiale. La Commission européenne doit donc veiller à ce que toutes les transactions effectuées via l’euro numérique soient sécurisées et chiffrées pour
prévenir tout vol de données.
Anonymat des transactions
Une autre préoccupation majeure concerne l’anonymat des transactions. Il faudrait envisager des mesures permettant de garantir que les dépenses des consommateurs ne peuvent pas être
suivies par des tiers non autorisés.
Alors que l’euro numérique se rapproche de la réalité, il reste crucial d’adresser les questions autour de la
confidentialité. En fin de compte, le succès de cette entreprise dépendra de la capacité de la Commission européenne à équilibrer l’innovation
technologique et la protection de la vie privée.
Un problème démocratique ?
Étant donné ces caractéristiques, on pourrait s’attendre à ce qu’un euro numérique fasse l’objet d’un débat démocratique
approfondi, à la fois au Parlement européen et dans les parlements nationaux de la zone euro. Cependant, ce n’est pas le cas.
Pour éviter que l’euro numérique ne souffre d’un manque de confiance de la part des citoyens envers cette nouvelle forme monétaire, il est urgent qu’un réveil politique se produise. En démocratie, aucun pouvoir, même s’il est indépendant du
pouvoir politique, ne peut être le seul gardien des libertés fondamentales, y compris la BCE.
Le texte de l’article 23 du projet de Loi de Programmation Militaire qui doit bientôt être votée permettra au gouvernement, dans des conditions extensibles à
la demande dont la rédaction est particulièrement floue, de réquisitionner tout ce qu’il veut tant en ce qui concerne les personnes que les biens.
Article 23 PLPM 2023 :
En cas de menace pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, la protection de la population, l’intégrité du territoire, la permanence
des institutions de la République ou (cas nouveau) de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’Etat en matière de défense, qu’elle soit actuelle ou si
elle n’est pas immédiate, seulement prévisible, l’article L. 2212-1 nouveau du code de la défense permettra (s’il est définitivement adopté) au Président de la République, via un
décret en conseil des ministres, d’ordonner la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour parer à cette menace ou
d’habiliter l’autorité administrative ou militaire à procéder à ces mesures.
Le fait de refuser de déférer à la demande de recensement des personnes, biens et services ou à la convocation à des essais ou à des exercices ou encore
de refuser le blocage des biens sera pénalement sanctionné par un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende, suite à l’adoption de l’amendement du Gouvernement par le Sénat. Le
projet de loi est toujours en cours de discussion.
Députés et sénateurs se réuniront le 6 juillet 2023 en commission mixte paritaire, pour tenter de s’accorder sur une version finale du projet de loi. Le
gouvernement espère promulguer le texte autour du 14 juillet.
Il est impossible de faire des recherches sur la méthode de clonage utilisée par les élites, car il ne s’agit pas de la même technologie que celle utilisée
aujourd’hui pour cloner les animaux.
Elle a été donnée à l’armée américaine (NSA) par des extraterrestres négatifs dans les années 1950. Elle est utilisée à des fins de profit et de pouvoir depuis des
décennies.
Elle ne sera jamais divulguée parce qu’elle est trop avantageuse pour la cabale et parce que les gens ne sont pas psychologiquement capables de faire face à sa
profondeur. Après le changement, les humains seront pleinement informés.
Les informations que je partage proviennent d’années de communication avec les Pléiadiens et si vous voyez des révélations qui ne peuvent pas être trouvées, leur
légitimité doit être remise en question.
De nombreux adeptes de la vérité affirment que les célébrités ont été arrêtées et remplacées parce qu’elles ont une apparence différente, mais ce n’est pas ainsi que
cela fonctionne.
Un adulte adulte peut être reproduit en 5 mois. Il n’y a pas de transfert de conscience. Seuls les souvenirs sont transférés. Notre conscience réside dans notre âme.
Les clones n’ont pas d’âme.
La méthode utilisée ne transmet pas d’ADN au clone. Les manières et le langage sont programmés. Les clones importants peuvent être dotés d’une technologie implantée.
Les clones ne peuvent pas se reproduire.
De nombreuses célébrités ont été convaincues d’avoir des clones et le font de leur plein gré. La cabale remplace souvent ses propres personnalités par des clones qui
ont été arrêtés, mais le fait d’avoir des clones ne signifie pas qu’ils ont été arrêtés.
Il y a des célébrités qui ont été tuées et remplacées complètement par leurs clones (Jim Carrey) et des célébrités qui choisissent d’utiliser des clones dans leur
travail (Tom Cruise, Katy Perry, Will Smith).
Le clonage ne fait intervenir aucun parasite appelé vril. Il s’agit d’un processus entièrement technologique. Les yeux sont parfois meurtris parce qu’ils sont reliés
par des fils à la technologie à l’intérieur de la tête par l’intermédiaire de l’orbite.
Ils peuvent maintenant passer par d’autres parties du corps, comme le pied, qu’ils recouvrent de bottes orthopédiques.
Il existe des installations de clonage dans le monde entier, financées par les contribuables et les riches élites. La Chine est très impliquée dans le clonage. Il
existe des zones secrètes dans les grands hôpitaux où les clones peuvent être entretenus.
Les clones ne savent pas qu’ils sont des clones et ne remettent pas en question leur existence. Ils savent qu’ils ont des manipulateurs et des médecins. Ils
éprouvent des sentiments cérébraux et se souviennent de leurs émotions passées, mais ne ressentent pas les émotions de l’âme, comme l’amour.
Vous ne verrez pas d’arrestations de haut niveau parce que la cabale remplace les siens. C’est ce que j’explique depuis des années. Il n’y a pas d’acteurs masqués
travaillant pour les chapeaux blancs.
Les forces de la lumière (Fédération Galactique) peuvent interférer avec les clones, ce que les Pléiadiens nous ont dit en 2019.
Scandaleux : Macron veut décréter que l’État devient copropriétaire d’une partie de vos biens immobiliers et fonciers pour prélever un
impôt supplémentaire
Nos journalistes ont découvert sur le site du gouvernement français France Stratégie que Macron projette de décréter unilatéralement que
l’État deviendrait copropriétaire d’une partie de vos biens immobiliser et fonciers afin de prélever un impôt supplémentaire au titre du droit à l’occupation du bien.
Dans un article intitulé « Comment assurer la résorption des dettes publiques en zone euro ? », on découvre le projet de Macron de
spolier une partie des biens immobiliers des Français pour prélever un nouvel impôt. Voici le texte du projet envisagé par Macron :
L’INSTAURATION D’UN IMPÔT EXCEPTIONNEL SUR LE CAPITAL IMMOBILIER RÉSIDENTIEL
Sans aide extérieure, la seule voie possible pour renforcer la soutenabilité d’une dette publique excessive est d’augmenter la capacité de
l’État à lever l’impôt, sans pour autant mettre en danger sa trajectoire de croissance future. Pour ce faire, l’État pourrait décréter qu’il devient copropriétaire de tous les terrains
construits résidentiels, à hauteur d’une fraction limitée de leur valeur. Concrètement, il deviendrait ainsi créditeur d’une somme annuelle correspondant à la rémunération du droit
d’occupation du sol. Tout propriétaire serait redevable de cette somme, mais il pourrait choisir de ne pas la payer. Dans ce cas, l’État récupérerait la somme due lors de la première
transaction qui interviendrait sur le bien immobilier (vente ou transmission). Une telle mesure s’apparenterait donc en pratique à une augmentation de la fiscalité sur l’immobilier et sur les
transmissions patrimoniales. À titre d’illustration, si l’Italie appliquait cette mesure à hauteur d’un quart de la valeur des terrains résidentiels, elle resolvabiliserait sa dette publique
instantanément de 40 points de PIB.
Cette deuxième voie soulèverait certes des difficultés politiques, mais en cas de crise elle serait moins porteuse d’instabilité que les
autres alternatives : coupes budgétaires drastiques et augmentation généralisée des impôts, ou défaut de paiement et sortie en catastrophe de la zone euro. En effet, l’impact à court
terme sur la demande serait faible : le transfert en capital toucherait davantage les ménages les plus fortunés et le fait que la rente annuelle à payer puisse être différée jusqu’à la
vente ou la transmission du bien permettrait de ne pas affecter le revenu courant des ménages.
[Capture PDF de la page correspondante du site gouvernemental :]
Ainsi sans qu’aucun média français n’en ait jamais parlé, Emmanuel Macron envisage sérieusement de spolier les Français d’une partie de leur bien
immobilier pour rembourser son incurie budgétaire et la dette abyssale qu’il a créée !
Il faut faire circuler massivement cette information auprès des Français qui risque un beau jour de se retrouver d’une partie de leur patrimoine par
un état toujours plus prédateur !
Polluants « éternels » près de Lyon : un scandale sanitaire et politique
Par Anne-Sophie Novel
Le dernier numéro de l’émission Envoyé Spécial a révélé la présence de perfluorés – qualifiés de
« polluants éternels » – dans l’eau, l’air et le sol de la commune de Pierre-Bénite, près de Lyon, où est installée une usine du chimiste Arkema. Le journaliste Martin Boudot, qui a
réalisé l’enquête, dénonce un scandale environnemental, sanitaire et politique.
Les perfluorés (ou PFAS) sont utilisés par l’industrie pour leurs propriétés anti-adhésives, anti-tâches, ignifuges, hydrofuges et anti-graisse. On
les trouve sous forme de gaz, de poudre ou de plastique. Ils constituent une famille de composants chimiques complexes, regroupant 4 730 composés synthétiques (dont les PFOA et les PFOS). Ces
substances de synthèse sont constituées de chaînes carbonées dont les atomes d’hydrogène sont partiellement ou totalement substitués par des atomes de fluor. Cela en fait la liaison la plus forte
de la chimie organique, rendant quasiment impossible sa dégradation dans l’environnement – d’où leur surnom de « polluants éternels ». Ils peuvent notamment affaiblir les systèmes
immunitaires et causer des cancers.
À Pierre-Bénite, où se trouve un site industriel du chimiste Arkema (spécialisé dans la production du Kynar, un nouveau thermoplastique), le
journaliste d’investigation Martin Boudot a effectué des prélèvements dans l’eau du Rhône, dans l’air, dans le sol des riverains (du stade de Pierre-Bénite au potager d’un habitant accolé à
l’usine) et dans le lait maternel de 13 jeunes mamans voisines du site. Pour son enquête, il a reçu l’aide du spécialiste mondial de ces polluants, Jacob de Boer, président du département de
Chimie Environnementale et Toxicologie à l’Université Libre d’Amsterdam.
Les résultats sont accablants : dans l’air, la présence de PFOA est quatre à huit fois plus élevée que les valeurs de référence du Programme des
nations unies pour l’environnement. Dans le sol, cinq PFAS dépassent la norme : jusqu’à 6,6 fois plus dans le potager, et 83 fois plus autour du stade de la ville pour le PFUnDA – un PFAS
particulièrement toxique.
L’étude d’échantillons de rejets de l’usine d’Arkema déversés dans le Rhône révèle des concentrations en PFAS 36 414 fois plus élevées que
l’eau-étalon. Dans les échantillons d’eau du robinet provenant des champs captants d’eau potable du Rhône, la norme est dépassée pour 20 PFAS. Au total, plus de 200 000 personnes sont
concernées. Dans le lait maternel enfin, deux PFAS anciennement utilisés par Arkema (le PFOA et le PFNA) sont retrouvés en quantités importantes.
Pour le professeur de Boer, venu à Lyon présenter les résultats aux riverain·es, « les niveaux trouvés nécessitent des mesures pour réduire
l’exposition humaine aux PFAS, comme la fermeture et l’assainissement de certaines zones telles que le stade, et un meilleur nettoyage de l’eau potable. Sans compter évidemment, l’arrêt des
rejets de PFAS dans l’environnement par l’industrie locale. »
La société Arkema, qui n’a pas répondu aux sollicitations du journaliste, a fait savoir qu’elle n’utilisait plus ce genre d’additifs depuis 2009.
Elle envisagerait également de cesser d’utiliser des perfluorés à partir de 2024 sur le site de Pierre-Bénite.
Martin Boudot note qu’aucun plan n’est prévu pour nettoyer l’environnement de ces polluants éternels. Surtout, la France n’a toujours pas instauré
de norme sur l’usage de ces substances, dit-il à Vert : « les entreprises ne respectent pas la réglementation, car il n’y en a pas ; les syndicats des eaux n’analysent pas
les résidus, car la norme européenne n’est pas encore transposée. La France est donc en retard, c’est un vrai scandale ! ».
Initiée en 2019, cette enquête s’inspire du film « Dark Waters ». L’acteur Mark Ruffalo y incarne l’avocat américain Robert Bilott, qui se
démène pour révéler et dénoncer les pratiques toxiques de l’entreprise chimique DuPont, en Virginie occidentale. L’eau des environs y est polluée par des PFOA utilisés pour fabriquer des produits
utilisant du téflon, contaminant alors 70 000 personnes pendant près de 40 ans. « De nombreux scandales liés à l’usage de ces produits chimiques ont, depuis, été révélés aux
États-Unis, mais aussi en Italie, en Hollande et en Belgique, mais rien en France, explique Martin Boudot. Dans la littérature scientifique pourtant, j’ai trouvé deux articles de 2012
relatant des pollutions de ce type dans l’Oise et en banlieue Lyonnaise ». Son émission, Vert de rage, reviendra plus longuement sur le sujet d’ici à la fin de l’année.
SCANDALE D ETAT ON N A PAS LE DROIT DE CONDUIRE NOTRE VOITURE MAIS LUI ET SA CLIQUE ONT LE DROIT DE PRENDRE UN JET PRIVE POUR 34 MINUTES Y A
UN TRUC QUI COLLE PLUS !
Lors de son déplacement au Mont Saint Michel, Macron a utilisé 2 jets Falcon de la flotte présidentielle.
Je viens d’apprendre que Macron dort à Caen ce soir.
Des fourgons et des policiers partout autour de la préfecture dans un rayon d'au moins 500 mètres. Impossible d'approcher. Des barrières jusqu'à la mairie.
Depuis le 3 juin 12h, et jusqu’au 6 juin 20h, des barrières ont été installées tout autour de la préfecture de Caen.
Une casserolade est organisée cette nuit par les habitants de Caen.
Du coup, le trajet de la manifestation de demain a été modifié pour éviter qu'elle s'approche trop de la préfecture.
Arrivée dans la Manche d'Emmanuel et Brigitte Macron pour une visite au Mont Saint-Michel à l'occasion du millénaire de la fondation
de l'abbaye
Lors du déplacement de Macron au Mont Saint Michel, la sécurité a pris le soin de trier et filtrer les personnes, jusqu'à mettre des
figurants, pour faire croire à un bain de foule qui acclame le président. https://twitter.com/EmmanuelMacron/status/16657715032..
Pour évoquer sa relation avec la Première ministre, Élisabeth Borne, Macron nous parle de bulle de savon et de clapotis.
"Ce qu'on a voulu faire avec la Première ministre n’est même pas de la littérature, mais du clapotis. Il faut de la rigueur, sinon on créée des
bulles de savons et il n’y a même plus de mousse." https://twitter.com/BFMTV/status/1665770631252570112?..
LE SCAN POLITIQUE - La proposition de l'ancien premier ministre fait polémique, notamment au FN, où on lui reproche de vouloir «déverser
l'immigration dans les campagnes».
En pleine crise des migrants, le débat sur l'immigration s'amplifie à droite, où chacun y va de sa proposition. Alors que Nicolas Sarkozy souhaite rouvrir le débat du droit du sol, Jean-Pierre Raffarin a émis mercredi une proposition face à ce qu'il qualifie de «situation de tension très préoccupante». Pour «lutter contre le sentiment comme quoi
l'étranger pourrait être menaçant», l'ancien premier ministre propose d'intégrer des familles d'étrangers dans les zones rurales où se pose un problème de déficit démographique,
familles qui viendraient ainsi «sauver des territoires».
LE SCAN POLITIQUE - La proposition de l'ancien premier ministre fait polémique, notamment au FN, où on lui reproche de vouloir
«déverser l'immigration dans les campagnes».
En pleine crise des migrants, le débat sur l'immigration s'amplifie à droite, où chacun y va de sa proposition. Alors que Nicolas Sarkozy souhaite rouvrir le débat du droit du sol, Jean-Pierre Raffarin a émis mercredi une proposition face à ce qu'il qualifie de «situation de tension très préoccupante». Pour «lutter contre le sentiment comme quoi
l'étranger pourrait être menaçant», l'ancien premier ministre propose d'intégrer des familles d'étrangers dans les zones rurales où se pose un problème de déficit démographique,
familles qui viendraient ainsi «sauver des territoires».
«Nous avons dans notre monde rural un déficit démographique important. Très souvent, on ferme des écoles. On pourrait très bien
en sauver un grand nombre en faisant en sorte qu'une, deux ou trois familles puissent venir dans un certain nombre de villages», a affirmé le sénateur de la Vienne, lors de
l'émission Preuves par trois, de Public Sénat/Dailymotion/AFP. «On ferait en sorte que l'étranger, au lieu de venir déranger, vienne sauver un territoire, participe à une
dynamique. Si c'est à doses humainement acceptables par les uns et par les autres, l'intégration est globalement réussie».
Le FN saisit la balle au bond
Une proposition qui est loin de faire l'unanimité à la droite des Républicains. «Il valide la politique de peuplement voulue par Manuel
Valls!», s'agace Nicolas Dupont-Aignan, en référence aux propositions du premier ministre pour lutter contre la «ghettoïsation» des familles issues de
l'immigration.
Au FN, les tweets critiques contre Jean-Pierre Raffarin se multiplient depuis la prise de parole de Jean-Pierre Raffarin. Marine Le
Pen l'accuse de vouloir «imposer des clandestins dans nos campagnes».
Dans un communiqué, le FN voit dans la proposition de Jean-Pierre Raffarin «le vrai visage» des Républicains: «celui du parti de
l'immigration massive, voulue et organisée». «L'immigration massive, par les problèmes économiques, sociaux, sécuritaires et identitaires qu'elle entraîne, n'a sa place ni dans
les campagnes ni dans les villes: il faut tout bonnement l'arrêter», commente le parti frontiste.
samedi 29 avril 2023
Notre Dame : Incendie Providentiel ou un Scandale d'Etat ?
Et si le gigantesque brasier de Notre Dame cachait un énorme scandale d’État ?
Quatre ans après cet incendie qui pose de nombreuses questions, les projets de restauration moderne sont tombés à l'eau et la remise en état ne sera pas prête pour les Jeux Olympiques de 2024
! Il faudra sans doute encore une dizaine d'année pour réparer ce crime !
L’incendie de la toiture de la cathédrale Notre Dame, le 15 avril 2019, a surpris et choqué le monde entier
par sa brutalité, son ampleur et, surtout, par la rapidité de sa propagation au sein d’un ensemble de poutres dures comme de la pierre. Dès le lendemain, dans un premier billet, j’émettais des doutes sur le caractère "accidentel" immédiatement asséné par le pouvoir et relayé servilement
par des médias complaisants.
J’envisageais alors, soit un acte anti-chrétien survenant après l’incendie volontaire de l’église Saint-Sulpice dans le VIème arrondissement le 17 mars, donc un mois avant (notons que 10 églises
ou cathédrales ont brûlé en France (1) depuis juin 2018 et qu’il y a eu 878 profanations en 2017 puis 1063 en 2018, environ 3 par jour), soit un acte terroriste d’un groupe, affilié à Daesch ou
Al-Qaïda par exemple, voulant venger la perte de leur territoire en Syrie et Irak.
Puis, à la lecture de l’abondante "littérature" sur l’évènement, une troisième cause, donc un nouveau responsable, me semble émerger derrière l’écran de fumée « officielle » de l’accident et de
la responsabilité, vite trouvée, de la société de montage Le Bras. Cette nouvelle cause, si elle vraie, mettra en lumière un
immense scandale d’Etat.
Je m’explique :
L’insistance des autorités, leur précipitation même, à ne retenir que l’unique piste "privilégiée ", celle de "l’accident", le fut avant même que les flammes gigantesques ne soient éteintes et
avant même que de quelconques experts puissent s’engouffrer dans la cathédrale, dans les pas des pompiers encore à l’œuvre.
Curieux, cette précipitation à étouffer d’autres causes potentielles ! Suspect même.
Comme il est curieux d’ailleurs que la Police scientifique ne commence son travail que 10 jours après
l’incendie (2).
Aussitôt, sans réelle possibilité d’investigation ni discernement aucun, la servilité des MSM (médias main stream) se range docilement derrière la voix officielle. Regardez avec quelle virulence
et agressivité, Jean-Marc Morandini affronte un élu de Neuilly qui a osé dire (3) que "Nous n’en savons rien si c’est accidentel !"
Le feu est parti d’un lieu distant des échafaudages, donc loin du lieu des travaux incriminés. Lesquels "travaux" n’avaient pas
encore commencé car on en était seulement à la phase montage de l’échafaudage métallique (qui ne nécessite aucun chalumeau).
Pourtant, toute l’imagination journalistique s’est concentrée, non pas sur la possibilité d’un acte volontaire, mais sur une
faute des ouvriers ou de l’entreprise, comme si la cause était entendue (mégots, feu qui couve sournoisement et depuis longtemps, fils électriques dénudés, courts circuits, ouvriers soudeurs
négligents, ascenseur en activité créant un arc électrique, alarmes incendie défectueuses, etc4 ...).
Je tiens le pari que l’entreprise de montage et de réparation sera rendue seule responsable et paiera. Point
barre.
Pourtant, l’échafaudage autour de la flèche de Violet le Duc a résisté au brasier, lui, preuve qu’il était bien monté.
Les poutres de "la forêt" de ND, vieilles de plus de 800 ans, ne peuvent pas brûler aussi facilement. Voyez cette vidéo (5) à titre de démonstration.
Des experts des monuments historiques et des architectes (notamment l’architecte en chef des monuments
historiques –ACMH- le disent et ne comprennent pas cet embrasement soudain et monstrueux. Voir cet extrait ici (6).
Les pompiers eux-mêmes ont expliqué qu’en arrivant sur place, ils étaient dans une phase de sidération tant cet incendie s’est développé étrangement vite. Ensuite, ils ne comprennent pas pourquoi l’eau qu’ils déversaient augmentait au contraire l’embrasement du foyer.
Les poutres ne peuvent pas brûler aussi facilement sans un additif ou accélérateur pyrotechnique.
L’étrange fumée jaune dégagée par le sinistre est le signe incontestable de la présence d’un oxyde métallique que les pompiers appellent "accélérateur d’incendie".
On peut donc penser que les poutres étaient enduites d’un produit de type "thermite 7" qui est un
composé d’oxyde de fer et d’oxyde d’aluminium (utilisé pour souder les rails de chemins de fer, par exemple), ce qui provoque, en brûlant, la couleur jaune orangée (que montrent toutes les
vidéos) des énormes volutes de fumée, sans doute entretenue par le plomb fondu (8).
D’où venait ce produit ?
En Février dernier, la charpente aurait été traitée (voir le reportage sur A2) contre les insectes avec un gel.
Elle ne l’avait jamais été depuis plus de 800 ans.
L’entreprise qui a "désinsectisé" a dû faire preuve de talent car pulvériser du gel à 15 m de haut n’est pas à la portée de
tout le monde.
Suite à ce traitement, le bois change de couleur et devient un peu couleur acajou.
Le 15 avril la charpente prend feu et, assez significativement, le feu augmente au moment où les pompiers interviennent
comme si l’eau activait les flammes.
La charpente est en chêne, or le chêne sec ne fait pas de flamme, il rougeoie.
L’entreprise, qui a désinsectisé aurait été bernée en répandant non pas un produit désinsectiseur mais un produit pyrotechnique qu’on lui a obligatoirement fourni car elle n’est pas en mesure de
le produire sur le plan chimique.
Le produit de type "thermite", composé d’oxyde de fer et d’oxyde d’aluminium, donne cette couleur acajou obtenue après la pulvérisation et donne cette couleur jaune-orangée des flammes de
l’incendie.
Depuis Février, le produit sans doute associé à une colle a séché et s’est solidifié sur les poutres comme une pâte devenue très fine, une sorte de vernis....
Le 15 avril (on pourrait aussi discuter le "choix" de la date), il ne suffisait plus que de mettre à feu un vrai "pot thermique" (au magnésium par exemple), générant une chaleur intense de 2200
degrés pour allumer ainsi toute la charpente pré-imbibée (et non pas désinsectisée).
Qui aurait allumé ce brasier ?
Des vidéos ont montré une personne sur le toit, une heure et demie avant le drame, activant un dispositif provoquant des
éclairs ou des flammes orangées-jaunes.
Étrange également que l’on ait restreint l’accès aux tours, ce soir-là, une heure plus tôt que d’habitude (18 h 30) et fait sortir tout le monde de la cathédrale sans bousculade, juste à temps
(9).
C’est par les tours que l’on accède à la charpente.
C’est là qu’il faut évoquer le grand projet de rénovation de toute l’île de la Cité que les élites parisiennes poussent depuis le début des années 2000. Car Notre Dame serait incluse dans un
grand plan (10) de réaménagement des bâtiments majeurs de cet îlot central, au cœur de Paris (Palais de justice, Préfecture de Paris, Hôtel-Dieu) gérés par l’Etat, ça tombe bien. François
Hollande lance une mission d’étude sur le sujet en décembre 2015 (11)
On pourrait envisager, par exemple, une grande plateforme de déambulation, en lieu et place de la toiture de la cathédrale, sorte de parterre planté d’arbres et transparent pour visualiser la nef
d’en haut. Tous les bâtiments de l’île seraient reliés par des passerelles en verre et métal pour maintenir les millions de
visiteurs sur un ensemble architectural jusqu’alors méconnu car enclavé.
Écoutons Philippe Bélaval, Président du Centre des Monuments nationaux et Dominique Perrault, architecte et membre de l’Institut qui ont remis un rapport en ... décembre 2016 ... à François
Hollande, intitulé "Mission île de la Cité. Le cœur du cœur" :
"L’occasion s’offre aujourd’hui d’ouvrir une nouvelle époque dans l’histoire de l’île de la Cité. Alors que les grandes
administrations de l’île préparent leur avenir, que le centre de Paris connait une série d’évolutions majeures, depuis la Samaritaine jusqu’à la conquête des berges de Seine et que la perspective
de la tenue des Jeux Olympiques de 2024 et de l’Exposition universelle de 2025 invite le monde à redécouvrir la ville des Lumières, l’île de la Cité apparaît comme le territoire le plus propice
au déploiement d’une grande ambition urbaine, culturelle, architecturale et économique qui contribue au rayonnement de la France."
Malheureusement pour les partisans de cette rénovation, la machinerie administrative et les autorisations de lancement traînent et l’échéance de 2024 risque, si on ne la brusque pas, d’être
dépassée !
Pour être bien sûr de respecter son échéance de 5 ans et donc livrer une cathédrale attractive touristiquement pour les Jeux Olympiques de 2024, le président Macron va mettre en œuvre une
procédure qui fait fi des contraintes habituelles obligatoires en pareil cas de rénovation :
La volonté présidentielle est de s’affranchir des règles existantes (et suffisantes) en faisant voter en urgence, avec cynisme, une loi d’exception afin d’accélérer les travaux et éviter d’être
soumis aux exigences des Monuments Historiques.
Une loi d’exception autorise le gouvernement à déroger aux règles d’urbanisme, de protection de l’environnement, de commande
publique ou de préservation du patrimoine.
Une loi d’exception permet d’éliminer les architectes et artisans spécialisés dans la reproduction des œuvres
anciennes à l’identique, trop lents, trop méticuleux, trop consciencieux, en leur imposant des délais qu’ils ne pourront pas tenir.
Place aux modernes : béton, acier, verre, plastique, titane !
De plus, il faut «"un geste architectural contemporain" a demandé le président, avouant ainsi son intention de ne pas retenir l’option "à l’identique". Il faut dès lors s’attendre à des horreurs (12) :
On pense à la pyramide du Louvre, à la grande Bibliothèque, aux colonnes de Buren dans la cour du Palais royal, à l’arche de la Défense avec son hamac de bédouin, à la verrue qu’est la tour
Montparnasse au milieu d’une architecture harmonieuse, à l’opéra Bastille.
On sursaute aussi en pensant aux œuvres "contemporaines" d’Anish Kapoor, comme le très beau "vagin de la Reine" devant le château de Versailles, ou le "plug anal vert" de Paul McCarthy sur la
place Vendôme.
Que c’est beau l’art contemporain ! et si, en plus, cela peut aider les amis en mal de commandes ...
Conclusion :
Autant de précipitation (le feu n’est pas encore éteint) pour affirmer que la cause ne peut être qu’accidentelle. Autant
d’empressement pour annoncer, sans l’avis et surtout contre l’avis des experts architectes que la reconstruction se fera en 5 ans.
Autant de certitude pour clamer qu’on la reconstruira plus belle qu’avant '13) (Ah bon, elle n’était pas belle
?).
Ce qui, par parenthèse, prouve qu’on sait déjà qu’on ne la reconstruira pas à l’identique, comme le dit aussi
le Premier ministre "doter ND de Paris d’une nouvelle flèche adaptée aux techniques et aux enjeux de notre époque (14)".
Autant de vélocité pour écrire une Loi d’exception qui permettra de s’affranchir des règles d’urbanisme légales jusqu’alors.
Autant de retard pour commencer les investigations et l’enquête de police dans les lieux.
Autant de zèle pour mettre en avant les prétendues erreurs des techniciens de l’entreprise de montage.
Aussi peu de médias qui font leur métier d’investigation mais qui prennent pour argent comptant une version officielle sans preuve.
Autant de coïncidences avec des projets de rénovation de l’île de la Cité qui n’auraient pas été prêts pour 2024 (dans 5 ans justement).
Comment voulez-vous qu’on ne trouve pas cette affaire suspecte ?
Comment voulez-vous qu’on ne se pose pas de questions ?
Qu’on ne VOUS pose pas de questions ?
Bien sûr, vous n’avez pas attendu d’en être à ce point de la lecture pour me traiter d’immonde complotiste. Comment peut-on
imaginer que des politiques français aient pu commanditer un incendie d’un monument historique pour promouvoir un projet immobilier et touristique, c’est complètement fou et irresponsable
!
C’est comme si on disait que des services américains avaient commandité les attentats du 11 septembre 2001 pour retourner l’opinion concernant la guerre en Irak.
Quoique, justement sur ce point, des questions se posent aussi.
Par exemple, comment se fait-il que deux avions aient pu faire s’écrouler trois tours dans le même quartier ?
Impossible(15), sauf si les destructions avaient été préparées à l’avance, puis déclenchées de manière pyrotechnique à
l’arrivée des avions (le troisième qui devait frapper le Capitole ou la tour n° 7 écroulée, s’étant crashé en Pennsylvanie).
L’incendie de ND vient donc très opportunément à point pour faire aboutir, à l’arrache et dans les temps pour la grand-messe des Jeux Olympiques, un dossier de rénovation architecturale, type
Disney Land, qui traînait dans les cartons parisiens (16).
Des zones boisées "inconstructibles" sur le littoral français le deviennent pas miracle après un incendie.
Des immeubles vétustes peuvent être reconstruits,
avec l’aide des assurances, après un malheureux incendie.
Je n’accuse personne mais quand un président de la République (FH) explique froidement à des journalistes qu’il a donné l’ordre à nos services secrets "d’éliminer des cibles" à l’étranger (17),
on peut s’attendre à tout, surtout à l’improbable !
Yves Logette
Mai 2019
on appelle cela aussi des chemtrails (trainées chimiques de barnium alluminium graphène etc.
L’ensemencement des nuages est un processus scientifique qui améliore la capacité d’un nuage à produire de la pluie ou de la neige, ainsi qu’à
contrôler d’autres phénomènes météorologiques. Cette technique, que les experts appellent aussi “modification du temps”, peut être très utile dans les régions qui ne disposent pas d’une réserve
d’eau naturelle suffisante. Après l’ensemencement des nuages, les précipitations (pluie ou neige) tomberont des nuages sur le sol.
La théorie du complot des chemtrails est la croyance erronée selon laquelle les traînées de condensation de longue durée sont des “chemtrails”
constitués d’agents chimiques ou biologiques laissés dans le ciel par des avions volant à haute altitude, pulvérisés à des fins néfastes non divulguées au grand public. Les adeptes de cette
théorie du complot affirment que les traînées de condensation normales se dissipent relativement rapidement, tandis que les traînées de condensation persistantes doivent contenir des
substances supplémentaires. Les adeptes de cette théorie supposent que l’émission de substances chimiques peut avoir pour but la gestion du rayonnement solaire, la modification des conditions
météorologiques, la manipulation psychologique, le contrôle de la population humaine, la guerre biologique ou chimique, ou l’essai d’agents biologiques ou chimiques sur une population, et que
les traînées provoquent des maladies respiratoires et d’autres problèmes de santé.
Coup de théâtre en France : un rapport révèle que de puissants lobbys ont pris
Un rapport de 28 pages publié par Les Amis de la Terre dénonce les manœuvres des lobbys pour faire plier le gouvernement en pleine crise
sanitaire avec l’unique objectif de se remplir les poches
Les lobbys ont-ils profité du coronavirus pour mieux faire pression sur le gouvernement? C’est en tout cas ce que dénoncent les Amis de la Terre
dans un rapport de 28
pages relayé par plusieurs médias et parcouru intégralement par Lecourrier-du-soir.com. Le rapport dénonce une intensification de la pression des lobbys sur le gouvernement
en pleine crise sanitaire.
le contrôle de l’Etat en pleine pandémie
jeudi 20 avril 2023
Des soldats Russes découvrent des "usines à bébés" en Ukraine !
Des soldats russes
découvrent des "usines à bébés" en Ukraine où de jeunes enfants sont élevés pour des bordels sexuels et pour le prélèvement d’organes !
par Brian
Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News
Une vidéo a fait surface de soldats russes décrivant comment ils ont trouvé une "usine à bébés" en Ukraine où de jeunes
enfants sont élevés pour les bordels d’enfants pédophiles, ou assassinés pour prélever leurs organes et les vendre au marché noir.
La vidéo a été publiée par The People’s Voice , et ils mentionnent comment d’autres sources en Russie ont couvert cette question, et que les médias occidentaux l’excusent simplement comme de la
désinformation ou de la propagande.
Mais les Russes ne sont pas les seuls à avoir documenté cette horrible pratique de trafic de bébés et de jeunes enfants à
des fins sexuelles, puis de les assassiner pour leurs parties du corps.
Dans ce documentaire, Vega est en mesure d’interviewer l’un des trafiquants d’enfants qui trafique des bébés de Pologne et
d’Ukraine vers des bordels pour enfants en Allemagne, où les enfants, généralement âgés de 5 à 7 ans, travaillent pendant quelques années dans les bordels. jusqu’à ce que leurs minuscules corps
commencent à se décomposer, puis ils sont assassinés pour prélever leurs organes qui sont vendus aux riches et aux puissants. Voir:
Ce n’est pas un documentaire facile à regarder, et j’ai été émotionnellement perturbé en le regardant, et j’ai couvert ce
sujet du trafic sexuel d’enfants depuis près d’une décennie maintenant.
Voici la vidéo du soldat russe avec des sous-titres en anglais. C’est sur notre chaîne Bitchute .
Affaire McKinsey : une ancienne cadre décrit "des prestations qui auraient dû être facturées et déclarées" dans les comptes du candidat Macron
Selon les informations de la cellule investigation de Radio France, une dizaine de consultants de McKinsey a
participé à la campagne d’Emmanuel Macron de 2017 de manière "active" voire "intrusive". Une ancienne du cabinet de conseil estime que “leur travail aurait dû être facturé et
déclaré".
C’est peu dire que la phrase a irrité, voire vexé, y compris parmi des conseillers sur-diplômés rompus à
l’exercice du pouvoir. Avant l’été 2016, une dizaine de consultants de McKinsey vient prêter main forte à la campagne d’Emmanuel Macron, en course pour un premier mandat à la
Présidence de la République. L’un d’entre eux, Mathieu Maucort, alors chef de projet dans le cabinet américain, lâche : "Nous sommes venus apporter de l’intelligence à la
campagne."
"Cette anecdote nous a marqués collectivement", se souvient Thomas*, un conseiller d’Emmanuel
Macron de l’époque qui s’exprime pour la première fois. "Avec les gens de McKinsey, on ne s’aimait pas. On était culturellement très différents, poursuit-il. Eux
faisaient des PowerPoint et nous, on rédigeait des notes. On trouvait qu’ils n’avaient pas de culture politique. Et eux devaient penser qu’on était des
amateurs."
Le problème, c’est qu’Emmanuel Macron "a toujours préféré ce qui venait de l’extérieur", poursuit
notre témoin. Il faut donc faire de la place à ces consultants "brillants", "au cerveau ultrarapide", tels que les décrit une ancienne cadre de McKinsey, qui a
accepté de nous rencontrer à plusieurs reprises à condition que nous ne révélions pas son identité. En quittant le cabinet de conseil, celle que nous appellerons Florence, a
signé des accords de confidentialité qui, assure-t-elle, "l’engagent à vie". C’est donc téléphone éteint et à l’abri des regards qu’elle accepte de nous
parler.
Florence connaît parfaitement le processus de recrutement au sein du cabinet. Les consultants embauchés
"sortent tous de Polytechnique, de Centrale, des Mines, des Ponts et Chaussés, de HEC, de l’ESSEC ou de l’ESCP. Et bien sûr des MBA américains, raconte-t-elle.
Mais l’ENA, ils aiment moins. Ses diplômés ont plus de mal à entrer dans le moule McKinsey. Ils sont plus conceptuels et pas assez analytiques", explique-t-elle.
Est-ce de là que vient le décalage qui semble exister entre les membres de la campagne – au profil plus politique -, et les consultants de McKinsey ? "On essayait
d’avoir le moins d’interactions possibles avec eux, affirme Thomas. Mais certains étaient très intrusifs."
Voilà pour l’ambiance. Maintenant, sur le fond : combien de salariés de McKinsey planchaient sur le
programme d’Emmanuel Macron ? Était-ce sur leur temps libre ou sur leur temps de travail ? Ces questions sont au cœur de l’information judiciaire ouverte en octobre 2022
par le Parquet national financier (PNF) pour "tenue non-conforme de comptes de campagne" et "minoration d’éléments comptables" concernant
les campagnes présidentielles d’Emmanuel Macron de 2017 et 2022. La justice cherche à savoir si McKinsey n’a pas fourni au candidat d’En Marche des prestations qui auraient dû
être comptabilisées dans les comptes de campagne. Une autre information judiciaire a été ouverte pour "favoritisme" et "recel de favoritisme" pour déterminer si McKinsey n’a
pas obtenu, en échange de ces prestations, des contrats publics de manière indue, une fois Emmanuel Macron au pouvoir. Selon nos informations, de nouvelles perquisitions ont
eu lieu le 22 mars dernier au domicile de Clarisse Magnin, directrice générale de McKinsey France et chez un ancien collaborateur du président de la
République.
Dans cette affaire, la question du nombre de consultants engagés sur la campagne et le volume
de travail réalisé est primordiale. Olivier*, qui a fait partie de l’équipe d’Emmanuel Macron en 2016 et en 2017, et qui a pris ses distances depuis, raconte : "Il y avait
une petite équipe de McKinsey qui travaillait avec nous. Karim Tadjeddine [ancien directeur associé senior chez McKinsey en charge du pôle secteur public] a fait venir sa
garde rapprochée. Il y avait Mathieu Maucort [aujourd’hui délégué interministériel à la jeunesse] et d’autres jeunes consultants avec lui. On se voyait le soir et le week-end
au siège d'En Marche à Montparnasse", poursuit-il, confortant l’idée que les consultants aidaient le candidat sur leur temps libre, et non pas sur leur temps de travail,
ce qui serait autrement plus problématique.
"Cela n’a pas de sens de raisonner en termes de semaine et de week-end quand on est consultant chez
McKinsey", estime pourtant Florence. "On n’a pas vraiment d’horaires. Quand j’y étais, la blague qui tournait c’était que McKinsey était la seule entreprise où il y
avait autant de gens au bureau en semaine que le week-end." Thomas, l’ex-conseiller d’Emmanuel Macron, se souvient, lui, avoir "fait des réunions avec l’équipe de
Karim Tadjeddine les soirs, les week-ends, mais aussi en journée en semaine".
Le volume de travail accompli par les consultants du cabinet américain pose aussi question. Pour en avoir
une idée, comme l’a révélé le journal Le Monde en 2021, il faut se replonger dans les MacronLeaks, ces milliers de mails internes à
l’équipe d’En Marche piratés et mis en ligne le 5 mai 2017, à deux jours du second tour de la présidentielle, par un groupe de hackers non identifiés. En faisant une recherche
par mots clés, de nombreux documents font apparaître les noms de consultants de McKinsey.
Parmi eux donc, Karim Tadjeddine qui échange régulièrement avec l’équipe de campagne via son adresse mail
McKinsey. " Une erreur" a-t-il reconnu lors de son audition devant la Commission d’enquête du Sénat le 18 janvier 2022. À l’automne 2016, le directeur associé de
McKinsey encadre le lancement du site "ASDT" pour "Au service de tous", qui se voulait être une plateforme de promotion de la "participation citoyenne" chère à Emmanuel
Macron, et qui n’a pas connu le succès escompté. "Karim pilotait la plateforme, c’était le chef de projet, il le faisait bénévolement", relate Olivier*. Il se
souvient que deux autres consultants l’accompagnaient pour le lancement. "Un chef de projet et deux consultants, c’est la configuration type d’une équipe McKinsey chez un
client", commente Florence, l’ancienne consultante. " À cette époque, Karim Tadjeddine** était directeur associé senior. À ce titre, il détenait des actions du
cabinet et en était l’un des dirigeants. Chez McKinsey, ce sont les seniors partners qui prennent collectivement les décisions concernant l’entreprise". Autrement dit, sa
présence dans la campagne engagerait le cabinet en entier. Le domicile de Karim Tadjeddine a été perquisitionné fin janvier par les enquêteurs. Le siège de McKinsey sur les
Champs-Élysées l’avait été en décembre 2022, comme celui du parti Renaissance (ex-La République en Marche) et de l'association de financement de Renaissance.
Autre acteur de la campagne d’Emmanuel Macron en 2016 et 2017, Guillaume de Ranieri, directeur associé de
McKinsey, où il est arrivé en 2000. Il y dirige le secteur de la défense. Guillaume De Ranieri est l’auteur d’une note intitulée "Projet défense et sécurité" comportant, entre
autres, un diagnostic de la Grande Marche et un benchmark (comparatif, en français) des programmes des autres candidats en lice***. "C’est vraiment la charte graphique de
McKinsey et leur genre de typographie. On dirait un de leurs templates (modèle, en français)", relève Florence, lorsqu’on lui montre cette note. "Vous posez une question,
il y a des sous-questions, c'est la façon dont sont réalisés les documents chez McKinsey", poursuit-elle, estimant que ce genre de notes "demande beaucoup de
travail". "10 consultants engagés, des réunions avec l’équipe de campagne, ça s'apparente à un projet. Et cela demande trop de temps pour se faire sur du temps
libre."
Les MacronLeaks et les témoins que nous avons rencontrés révèlent effectivement l’existence de plusieurs
réunions entre l’équipe d’En Marche et les jeunes et moins jeunes loups de McKinsey. Et notamment un dîner dans un restaurant parisien le 23 novembre 2016**** auquel assistent
plusieurs consultants de McKinsey : Karim Tadjeddine, Mathieu Maucort et Jean-Christophe Pierron, responsable du suivi des budgets, ainsi qu’un assistant de direction du
cabinet. "Tout ce travail aurait évidemment dû être facturé et déclaré dans les comptes de campagne, estime aujourd’hui Florence. Chez McKinsey, un directeur
associé senior facture sa journée chez un client de 8 000 à 12 000 euros et un directeur associé de 4 000 à 6 000 euros. Ils ne le diront jamais officiellement, mais ce sont
les tarifs." Sachant qu’une partie de cette somme "sert à rémunérer l’équipe et payer les frais de fonctionnement". Un "simple" consultant émarge à "2500 euros
jour".
Peut-on en conclure pour autant que McKinsey "roulait" pour Emmanuel Macron ? "La première partie de la
campagne, avec la restitution de la Grande Marche, c’était clairement coordonné", estime Thomas, l’ancien conseiller d’Emmanuel Macron. "Les gens de McKinsey ont
ensuite pris place dans les groupes de travail thématiques, surtout sur les sujets socio-économiques. Mais là c’était de façon plus spontanée." Avec le recul, Thomas
estime que les consultants de McKinsey ont rejoint la campagne "par opportunisme ou par conviction". "Mon sentiment, c’est que Karim Tadjeddine rêvait d’être
ministreet qu’il se servait de la campagne comme d’un tremplin." Ou peut-être attendait-il un renvoi d’ascenseur en termes de contrats une fois Emmanuel Macron
au pouvoir ? Olivier, l’ancien membre de la campagne, lâche : " Vous savez, c'est du business, les consultants sont des commerciaux, alors peut-être qu'ils se disaient :
‘on aura des retombées ensuite après l'élection’".
Selon l’association anti-corruption Anticor, "un candidat peut naturellement faire appel à une
entreprise pour ce type de prestations. Mais ces prestations doivent absolument être rémunérées. Les entreprises n’ont pas le droit de faire un don ou d’apporter une aide
matérielle ou en nature à un candidat. Ces règles ont un objectif : limiter l’influence des opérateurs économiques sur la vie politique", explique le juriste d’Anticor
Clarence Bathia.
Interrogé sur son rôle pendant la campagne de 2017, le cabinet de conseil américain nous répond qu’il
"n’a pas été engagé, en tant qu’institution, dans la campagne, ses règles internes lui interdisant toute participation à des activités électorales ou politiques. Tout
salarié de McKinsey, comme le prévoit la loi française pour tout citoyen, a le droit de s’investir à titre personnel dans la vie démocratique de son pays". McKinsey
ajoute qu’il est "avec ses 800 collaborateurs en France, une entreprise non-partisane et apolitique".
Les consultants ou anciens consultants Karim Tadjeddine, Guillaume de Ranieri et Matthieu Maucort,
contactés personnellement, n’ont pas souhaité répondre à nos questions. Quant à la direction du parti présidentiel Renaissance (ex En marche), elle a répondu que "les
protagonistes des deux campagnes [2017 et 2022] se sont tenus et se tiennent naturellement à la disposition des magistrats pour faire toute la lumière sur ces
accusations". Renaissance ne souhaite, pour le reste, faire "aucun commentaire sur une instruction en cours".
*Prénom d’emprunt
**Karim Tadjeddine a quitté McKinsey en septembre 2022
***Nicolas Sarkozy, Alain Juppé, François Fillon, Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et Arnaud
Montebourg.
****Lire Les Infiltrés de Mathieu Aron et Caroline Michel-Aguirre, Allary Editions
Eau contre pétrole : le ministre Christophe Béchu confirme les informations de "Marianne"
Publié le
À l'Assemblée, ce mardi 11 octobre 2022, le ministre de la Transition écologique a confirmé que des rencontres avaient bien eu lieu au sommet de l'État pour
discuter de la possibilité d'échanger de l'eau douce française contre des hydrocarbures étrangers.
Fin septembre, Marianne révélait l'existence d'un projet sulfureux, discuté depuis plusieurs mois dans les arcanes du pouvoir. Son principe pouvait être
résumé ainsi : la France aurait échangé de l'eau douce contre des hydrocarbures étrangers. Son existence a été confirmée à l'Assemblée, ce mardi 11 octobre, par Christophe Béchu.
Il était interrogé sur ce point par le député Gabriel Amard (LFI).
« Des rencontres se sont tenues entre des porteurs de projet et des conseillers »a reconnu le ministre de la Transition
écologique.« Ce projet n'a pas franchi la barrière des conseillers et en aucune manière nous l'envisageons », a poursuivi le ministre, avant de changer de sujet.
Marchandisation de l'eau
En mars et en juin dernier, deux réunions se sont tenues pour discuter de ce plan. En clair, deux intermédiaires, Xavier Houzel et Claude Rouy,
suggéraient au gouvernement d'utiliser l'eau provenant de la centrale hydroélectrique de Saint-Chamas (Bouches-du-Rhône) pour l'échanger contre du pétrole. Ceux-ci rappelaient que l'usine
électrique ne peut turbiner qu'à la moitié de sa capacité.
Les porteurs du projet proposaient au gouvernement de remédier à cette situation en acheminant l'eau potable rejetée par la centrale à
l'étranger, en échange d'hydrocarbures. Cette manœuvre posait toutefois un épineux problème moral puisque cela revient à attribuer une valeur marchande à l'eau...
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03 avril 2023
Dr Tess Lawrie : « Ne les laissez pas s’en tirer »
voir la vidéo édifiante sur notre système actuel et comment nous devons nous lever et dire non à ce qui s'en vient.
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3 AVRIL 2023
UN MATHÉMATICIEN ET PHYSICIEN D OXFORD EXPLIQUE LE SCANDALE DES EOLIENNES
Un mathématicien et physicien de l’Université d’Oxford affirme que l’énergie éolienne n’est pas fiable d’un point de vue historique et
scientifique. Ses calculs révèlent que le gouvernement poursuit une « politique de fanfaronnade en matière de parcs éoliens » tout en négligeant les preuves chiffrées.
Un parc éolien à l’extérieur de Palm Springs, en Californie, le 26 mai 2018. (John Fredricks/The Epoch Times)Après la décision de réduire les combustibles fossiles prise lors de la Conférence des Nations unies sur le changement climatique de 2015 à Paris, la
« réaction instinctive » dans le monde entier a été d’adopter les énergies renouvelables, a déclaré le professeur émérite Wade Allison, qui est également chercheur au CERN, dans un
article publié en 2023 (pdf).
Allison note que l’énergie solaire étant « extrêmement faible », elle n’était pas suffisante pour « maintenir un niveau de
vie acceptable, même pour une petite population mondiale » avant la révolution industrielle.
« Aujourd’hui, la technologie moderne est déployée pour exploiter ces faibles sources d’énergie. De vastes ‘fermes’ qui monopolisent
l’environnement naturel sont construites, au détriment des autres créatures. Les développements se font sans tenir compte des dommages causés. Des projets hydroélectriques, d’énormes turbines et
des kilomètres carrés de panneaux solaires sont construits, bien qu’ils soient peu fiables et inefficaces, voire inutiles », a déclaré Allison dans le rapport publié par la Global Warming
Policy Foundation.
« La production d’électricité éolienne, en particulier, est décevante. L’enthousiasme politique et le battage médiatique des
investisseurs ne sont pas étayés par des preuves, même pour l’éolien en mer, qui peut être déployé hors de vue du tristement célèbre My Back Yard », écrit-il. « Que disent réellement
ces preuves ?
Selon le ministère américain de l’énergie, l’énergie éolienne a généré plus de 9 % du total net de l’énergie du pays en 2021 et constitue la plus
grande source d’énergie renouvelable du pays. Plus de 70 000 turbines produisent suffisamment d’électricité pour alimenter l’équivalent de 43 millions de foyers américains, selon le
ministère.
Selon le ministère de l’énergie, 120 000 emplois sont liés à l’énergie éolienne aux États-Unis, et il s’agit de l’un des emplois dont la croissance
est la plus rapide dans le pays.
Les preuves
Allison a expliqué que l’énergie éolienne est mesurée en fonction de la quantité d’air en mouvement et de la vitesse de l’air lorsqu’il
atteint la zone balayée par les pales de l’éolienne.
Le scientifique a calculé qu’à 100 % d’efficacité, si le vent souffle à 10 mètres par seconde (environ 22 mph), la puissance est de 600 watts par
mètre carré. Par conséquent, pour produire 3 200 millions de watts, soit la même puissance que Hinkley Point C – une centrale nucléaire zéro carbone prévue en Angleterre -, il faudrait 5,5
millions de mètres carrés de surface balayée par les turbines.
« Cela devrait être tout à fait inacceptable pour ceux qui se soucient des oiseaux et pour les autres écologistes »,
écrit Allison.
Selon lui, les performances réelles de la technologie sont bien pires que les calculs effectués sur la base d’un rendement de 100 %.
« Comme la puissance transportée par le vent dépend de la troisième puissance de la vitesse du vent, si le vent descend à la moitié de sa
vitesse, la puissance disponible diminue d’un facteur 8 », a-t-il déclaré. « Pire encore, si la vitesse du vent double, la puissance fournie est multipliée par 8, ce qui oblige à
arrêter l’éolienne pour sa propre protection. »
Allison a fait remarquer que les fluctuations sont considérables, en se référant à un rapport de WindEurope qui a montré que la
capacité de production nominale installée dans l’Union européenne et au Royaume-Uni s’élevait quotidiennement à 236 gigawatts (GW). Toutefois, la production la plus élevée en 2021 a été de 103 GW
le 26 mars de cette année-là.
Le manque de fiabilité s’étend également aux parcs éoliens en mer. Les batteries utilisées pour stocker l’énergie sont également très limitées par
la technologie actuelle. Malgré ces preuves, le gouvernement continue d’ignorer les chiffres, a déclaré Allison.
« Avec les pénuries générales d’énergie, la guerre en Europe, les prix élevés et la probabilité de défaillances dans l’approvisionnement en
électricité, de nombreuses présomptions scientifiques populaires qui sous-tendent la politique énergétique devraient être remises en question. L’énergie éolienne échoue sur toute la ligne »,
conclut-il.
Éoliennes défaillantes, diabolisation du dioxyde de carbone
Ces derniers temps, les défaillances d’éoliennes se sont multipliées aux États-Unis, ce qui a suscité des inquiétudes quant aux coûts
supplémentaires engendrés par ces défaillances et à leur impact sur les projets énergétiques. Les parcs éoliens en mer, déployés au nom de l’environnement, sont désormais considérés comme
désastreux pour la vie océanique.
Les dysfonctionnements des éoliennes vont de petits problèmes, comme la défaillance de certains composants clés, à de
véritables effondrements.
Selon un article publié en 2022
par Wallace Manheimer dans le Journal of Sustainable Development, alors même que la société moderne dépend de sources d’énergie fiables, le « complexe industriel climatique » – un
puissant groupe de pression composé de politiciens, de scientifiques et de médias – fait passer des idées fausses sur le climat dans l’esprit du public.
« Il a réussi à convaincre de nombreuses personnes que le CO2 présent dans l’atmosphère, un gaz nécessaire à la vie sur terre et que nous
exhalons à chaque respiration, est un poison pour l’environnement. De nombreuses théories et mesures scientifiques montrent qu’il n’y a pas de crise climatique », a déclaré Manheimer,
scientifique retraité du Laboratoire de recherche navale des États-Unis.
« Au cours de la période de civilisation humaine, la température a oscillé entre un certain nombre de périodes chaudes et froides, avec de
nombreuses périodes chaudes plus chaudes qu’aujourd’hui », a-t-il écrit. « Au cours des temps géologiques, la température et le niveau de dioxyde de carbone ont été très variables, sans
aucune corrélation entre eux.
On pourrait affirmer qu’il est à la portée d’un enfant intelligent , scolarisé en classe primaire, de comprendre les
mathématiques basiques qui démontrent que l’énergie éolienne constitue un désastre économique et sociétal en cours de préparation. Désormais, le professeur émérite Wade Allison, mathématicien
et physicien pour l’Université d’Oxford, chercheur au CERN et membre du Keble College, a fait les calculs. Il conclut que le Royaume-Uni est confronté à la possibilité d’une rupture d’énergie
électrique. Il affirme que « l’énergie éolienne est un échec absolu », et ajoute que les gouvernements font fi des « preuves écrasantes » de
l’inadéquation de l’énergie éolienne, « et font appel aux fanfaronnades plutôt qu’à une analyse raisonnée. »
Les avertissements désespérés émis par le professeur Allison paraissent dans un bref article publié récemment par la Global
Warming Policy Foundation. Il note que l’énergie produite par le soleil est « extrêmement faible », raison pour laquelle elle n’a pas suffi à apporter assez d’énergie
même quand la population mondiale était bien plus réduite, avant la Révolution Industrielle, pour lui apporter un niveau de vie acceptable. Le Dr. Wallace Manheimer, un physicien nucléaire,
était récemment parvenu à une conclusion semblable de manière plus
spectaculaire. Il avait affirmé que l’infrastructure autour des énergies solaire et éolienne ne va pas seulement constituer un échec, « mais va coûter des milliers de milliards,
saccager l’environnement, et s’avérer absolument superflues. »
Dans son article, Allison insiste pour exposer les nombres qui résident derrière les fluctuations naturelles du vent. Les
calculs ne sont pas compliqués et on peut les trouver en consultant le lien présenté ci-avant. Il montre que sous une vitesse de vent de 32 km/h, l’énergie produite par une turbine éolienne
est de 600 watts par mètre carré en plein rendement. Pour produire la même énergie que la centrale nucléaire de Hinley Point C, 3200 millions de watts, il faudrait installer 5,5
millions de mètres carrés de génération d’énergie éolienne.
Il note que cela serait inacceptable aux personnes intéressées par les oiseaux, et autres environnementalistes. Cette
préoccupation ne semble certes pas s’être matérialisée pour l’instant. Selon les estimations, ce sont des millions de chauves-souris et d’oiseaux qui se
font massacrer par les turbines terrestres installées chaque année. Dans le même temps, au large du Massachusetts, on s’apprête à démarrer une énorme ferme éolienne, et l’on s’autorise à
malmener et sans doute blesser presque un dixième de la rare population des baleines de l’Atlantique Nord.
Lorsque la formule d’Allison prend en compte les fluctuations de la vitesse du vent, les résultats de l’énergie éolienne
sont extrêmement affaiblis. Si la vitesse du vent diminue de moitié, l’énergie disponible descend d’un facteur huit. Pire encore, il note que si la vitesse du vent double, la puissance
disponible s’accroît d’un facteur huit, il faut alors stopper la turbine pour la protéger.
Les effets des fluctuations sont spectaculaires, comme le montre le graphe ci-avant. Pour 2021, la capacité nominale de génération dans l’UE et au Royaume-Uni, montrée par la
ligne marron en pointillés, était de 236 GigaWatts, mais la production quotidienne la plus élevée, le 26 mars, n’a été que de 103 GigaWatts. Le second graphique montre encore mieux
l’inefficacité, en présentant l’énergie produite par le vent au large des côtes du Royaume-Uni au mois de mars 2022.
Durant huit jours, à la fin du mois, la génération d’énergie s’est effondrée, sans doute, selon Allison, parce que la vitesse du vent s’est divisée par deux. La perte
quotidienne de 8,8 GigaWatts observée sur cette période représente 1000 fois la capacité de la plus grande unité de stockage d’énergie par batteries au monde, installée à Moss Landings, en
Californie. Lorsque l’on parle des immenses batteries nécessaires à stocker l’énergie renouvelable, Allison point du doigt les problèmes de sûreté qui s’ensuivent, ainsi que les défauts en
matières premières. On ne palliera jamais aux pertes de performance des fermes éoliennes installées au large par des batteries, même pour une durée d’une semaine, et il explique que le vent
peut manquer pour une période bien plus longue que cela.
D’autres personnes ont récemment examiné en détail les coûts du stockage d’énergie par batterie. Francis Menton, avocat et
mathématicien étasunien, qui dirige le site Manhattan Contrarian, a passé en revue les rapports de coûts officiels récents, et a découvert que « même suivant les hypothèses les
plus optimistes, »les coûts pouvaient être aussi élevés que le PIB
d’un pays. Si l’on adopte des hypothèses moins optimistes, les capitaux à mettre en œuvre pourraient s’élever à quinze fois le PIB d’un pays. En 2022, Simon Michaux,
professeur associé, a averti le gouvernement de Finlande que le monde ne disposait pas d’assez de matière première pour produire toutes les batteries nécessaires au Net Zero. Michaux a
observé que le projet Net Zeropeut ne pas fonctionner « comme prévu ». Dans le même temps, Menton a conclu sur une opinion que d’aucuns pourraient considérer comme trop
charitable : « Il est difficile d’éviter la conclusion selon laquelle les personnes ayant planifié la transition Net Zero n’ont pas la moindre idée de ce qu’elles
font. »
Le professeur Allison a réalisé ses calculs sur la base de physique élémentaire et d’informations ouvertes au public. Et de
conclure : « Quel que soit le bout par lequel vous la considériez, l’énergie éolienne est inappropriée. Elle est intermittente et n’est pas fiable ; et elle exposée et
vulnérable ; elle est faible et ne présente qu’une courte durée de vie. »
Chris Morrison
Note du Saker francophone :
On avait déjà traduit une analyse plus locale mais toute aussi éloquente du compte rendu déplorable d’installation
d’éolienne sur l’île d’El
Hierro. Celle ci est plus globale. La faillite totale de nos « élites », guidées par leur scientisme, et de nos sociétés occidentales, est à présent, sur ce sujet comme
d’autres, consommée ; elle marquera l’histoire. Il y aura des pleurs et des grincements de dents.
L'État Profond s'active à mettre en place les Monnaies Numériques qui permettront de contrôler et de soumettre tous les
Citoyens de la Planète !
Cher lecteur,
Où étiez-vous le 9 Mars 2022 ?
Un mystérieux accord a été signé discrètement à votre insu !
Lorsque le président Biden a envoyé le signal à tous les Gouvernements mondiaux que le moment était venu de débuter une nouvelle ère de contrôle total de tous les citoyens
occidentaux…
…Grâce au remplacement des monnaies liquides par des monnaies numériques espionnes.
Ces logiciels espions devraient permettre aux gouvernements la mise en place d’une nouvelle ère de surveillance légale de tous les citoyens.
Américains bien sûr…
Mais aussi d’Europe… et donc de France.
Avec à la clé la Surveillance totale de tous vos comptes bancaires et le suivi de tous vos achats.
Bien avant cela, le 14 juillet 2021, Christine Lagarde, présidente de la BCE, avait déjà ordonné le lancement d’un tout nouveau projet d’euro numérique.
Sous couvert d’une phase d’étude, ils préparent la mise en place discrète d’une monnaie espionne qui pourrait remplacer à terme l’euro tel que nous le connaissons.
Cette phase d’étude devrait se terminer d’ici le 14 juillet 2023…
Selon que vous suiviez ou non la volonté du gouvernement, ils pourraient faire en sorte que votre argent soit confisqué ou perde toute sa valeur.
Car chaque “monnaie numérique” sera programmée par le gouvernement…
Et deviendra donc immédiatement une monnaie traçable et contrôlée en temps réel.
Ce même Gouvernement pourra tout aussi bien les déprogrammer à volonté…
Pour punir toute contribution, tout achat, ou même tout commentaire sur les réseaux sociaux qui n’irait pas dans leur sens.
Vous publiez un article pour mettre en évidence des preuves de corruption au sein du Parlement Européen ?
Votre argent pourrait être déprogrammé.
Vous achetez trop d’essence et donc votre “empreinte carbone” dépasse le “quota citoyen accepté” ?
Votre argent pourrait être déprogrammé.
Vous critiquez un homme politique sur Facebook, Twitter ou Instagram ?
Votre argent pourrait être déprogrammé.
Qu’est-ce que cela signifie pour vous ?
Vous pourriez perdre l’accès à l’épargne que vous avez construite pendant de longues années et vous n’auriez plus accès à ce qui fait de vous un citoyen libre.
Et ce n’est pas quelque chose qui va arriver dans quelques années…
NON !
Ça commence maintenant. (Christine Lagarde a annoncé par
mégarde le début de l'Euro numérique le 23 octobre 2023, donc c'est en cours !)
Il reste donc très peu de temps pour se préparer. Suivez ce lien pour savoir comment vous pouvez sauvegarder votre argent et votre liberté.
Jim Rickards.
Ancien Conseiller du Pentagone, de la CIA et de la Maison Blanche.
Doug Casey explique comment les gouvernements utilisent les crises mondiales pour asseoir leur domination
International Man : Tout au long de l’histoire, les gouvernements ont utilisé les crises, réelles ou imaginaires, pour supprimer les
libertés, étendre le pouvoir de l’État et justifier toutes sortes de choses que la population n’accepterait jamais en temps normal.
Après la Seconde Guerre mondiale, Winston Churchill a prononcé la célèbre phrase suivante : « Il ne faut jamais gaspiller une bonne
crise ».
C’est à ce moment-là que lui et d’autres dirigeants se sont réunis pour former les Nations unies, qu’ils n’auraient probablement pas pu créer sans
la crise de la Seconde Guerre mondiale.
Depuis lors, il semble que chaque nouvelle crise supposée entraîne une centralisation accrue du pouvoir mondial.
La guerre contre (certaines) drogues, la guerre contre la terreur, l’hystérie du COVID et la soi-disant crise climatique ont toutes renforcé la
centralisation du pouvoir à l’échelle mondiale.
Que pensez-vous de cette tendance ?
Doug Casey : Il est logique que Rahm Emanuel, un apparatchik véreux d’Obama, ait volé cette phrase à Churchill. Mais la déclaration
est tout à fait correcte, quelle qu’en soit la source. Le gouvernement vit de la crise. Comme l’a dit Randolph Bourne, « la guerre est la santé de l’État », et il n’y a pas de crise
plus importante qu’une guerre. Mais n’importe quel type de crise peut fonctionner.
Chaque fois qu’il y a une crise – qu’elle soit militaire, politique, économique, financière ou sociale – la foule réclame des dirigeants forts pour
l’embrasser et l’améliorer.
Cela fait parfaitement l’affaire des personnes qui travaillent pour l’État. En ce qui me concerne, il s’agit d’un défaut psychologique de
l’être humain, qui découle du fait que nous sommes des animaux de meute.
Les animaux de meute veulent des chefs.
Je ne sais pas trop comment résoudre ce problème, si ce n’est en délégitimant l’idée de l’État et en la désamorçant autant que possible. Et cesser
d’encenser, voire d’apothéoser, ses employés. Mais tant que l’État existera, sa principale raison d’être sera de rechercher les crises. Les crises profitent à l’État en tant qu’institution, mais
aussi aux personnes qui travaillent pour lui.
International Man : L’hystérie du COVID a porté le concept cynique de « ne jamais laisser une crise se perdre » à un tout
autre niveau. Jamais auparavant les édits d’une institution mondiale non responsable comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’avaient affecté autant de personnes de manière aussi
radicale.
Il semble que le citoyen moyen doive s’inquiéter non seulement des bureaucrates locaux et fédéraux qui affectent son bien-être, mais aussi des
bureaucrates mondiaux.
Quel est votre point de vue à ce sujet ?
Doug Casey : Au cours du siècle dernier, la portée de l’État est passée d’un niveau local à un niveau national et maintenant à un
niveau international. C’est la raison d’être du concept de mondialisation.
La bonne nouvelle, c’est que plus les choses deviennent grandes et complexes – y compris le mouvement vers le mondialisme – plus elles
deviennent inefficaces, corrompues et difficiles à gérer. Il se peut donc que l’idée du mondialisme devienne suffisamment grande pour s’autodétruire.
En attendant, les ONG (organisations non gouvernementales) comptent parmi les larbins les plus efficaces du mondialisme et de l’État. Elles sont
généralement soutenues par des dons privés, souvent dans le cadre d’une planification successorale. Lorsque les gens meurent, ils veulent souvent faire quelque chose pour le bien de l’humanité.
C’est une émotion compréhensible, bien que la charité cause généralement au moins autant de problèmes qu’elle n’en résout. Je l’ai expliqué dans une conversation précédente. Les riches veulent surtout
donner un signal de vertu, car la société actuelle les culpabilise à cause de leur argent. De plus, ils veulent naturellement être à l’abri des impôts. Ils donnent donc de l’argent à toutes
sortes d’ONG. Il y en a des milliers.
Les ONG ont presque toutes une philosophie collectiviste et étatiste et ont des programmes politiques forts, bien qu’elles déguisent des objectifs
ouvertement politiques avec une rhétorique « bienveillante ». Qui pourrait s’opposer à la promotion de la paix dans le monde ou à la lutte contre la pauvreté ? Cependant, nombre d’entre
elles se résument à des escroqueries, peu accomplissent quoi que ce soit de significatif et elles travaillent presque toutes en étroite collaboration avec le gouvernement. Peu d’entre elles
produisent autre chose que des publicités, des campagnes de lobbying et des revenus importants pour leurs initiés.
Les penseurs critiques peuvent contribuer à couper l’herbe sous le pied des ONG en ne leur donnant jamais un centime et en remettant en
question leurs actions.
En parlant de mondialisation, d’ONG et de tendance à un gouvernement mondial, je dois mentionner que les passeports-vaccinaux constituent un pas
certain dans cette direction. Il ne fait aucun doute qu’une organisation des Nations unies sera créée pour normaliser les passeports vaccinaux car, à l’heure actuelle, il existe une myriade de
passeports vaccinaux délivrés par divers gouvernements sur la base de critères différents et sous des formes différentes.
Que faudra-t-il pour sortir le citoyen moyen de cette hypnose ?
Doug Casey : Il est vrai que de nombreuses personnes considèrent le gouvernement comme une sorte d’organisation magique bienveillante. Cette
attitude aide les hommes politiques à progresser ; on suppose qu’ils sont de bonne foi.
Que faudra-t-il donc pour que le citoyen moyen sorte de cette hypnose ? Où est la pilule rouge quand le monde en a besoin ?
Lorsqu’un hypnotiseur s’approche d’une foule, il sait que certaines personnes sont beaucoup plus susceptibles d’être hypnotisées que d’autres. C’est
un défaut de la psychologie humaine qui est particulièrement vrai dans le monde politique. Certaines personnes sont beaucoup plus susceptibles d’être hypnotisées par la politique et l’idée de
gouvernement que d’autres. Les exceptions sont les penseurs critiques et indépendants, qui sont toujours une minorité – et il est toujours dangereux d’être dans la minorité.
Que pouvons-nous faire à ce sujet ? Oubliez la violence. Elle fait leur jeu. Présenter des arguments contre l’idée de l’État. Promouvoir
l’idée de la pensée critique. Exposez la politique comme une hypnose de masse. Soulignez qu’il n’y a absolument rien que le gouvernement puisse faire que le marché ne puisse faire – du moins rien
de bon.
Il y a des choses que le gouvernement fait qui lui sont propres, comme les impôts, les confiscations, les guerres, les pogroms, les systèmes
pénitentiaires, les réglementations et la police secrète. Ces choses sont l’essence même du gouvernement et sont contraires au marché libre.
Je pense qu’il est important, par exemple, de souligner qu’au cours de l’histoire, les responsables gouvernementaux les plus célèbres sont en fait
des meurtriers de masse et des criminels. Ils ne sont pas bienveillants.
Regardez les dirigeants célèbres – les pharaons, Alexandre, César, Gengis Khan, Louis XIV, Staline, Hitler, Mao, Pol Pot. Certains sont considérés
comme bons, d’autres comme mauvais, mais tous étaient des meurtriers de masse. L’un de nos récents présidents est-il vraiment meilleur ? Ce qui s’est passé en Afghanistan, en Irak, en Syrie, au
Liban et dans bien d’autres endroits – sans même compter la Corée et le Viêt Nam – devrait amener les responsables à être jugés, et probablement pendus. Nuremberg a donné le bon exemple.
Il est important d’attirer constamment l’attention des gens sur les crimes de l’État et de ses sous-fifres. L’anti-propagande est un vaccin contre
l’hypnose de masse. Cette déclaration prouve que je ne suis pas anti-vaccin en soi.
International Man : Y a-t-il des bonnes nouvelles ou des raisons d’être optimiste malgré toutes les mauvaises nouvelles ?
Doug Casey : La mauvaise nouvelle, c’est que l’État est plus grand et plus puissant que jamais. L’institution a évolué et est devenue plus
intelligente. Elle est plus que jamais capable d’étendre ses tentacules sur tout, y compris dans les épisodes récents avec les nazis et les communistes.
La bonne nouvelle, c’est qu’elle arrive au stade du dysfonctionnement. Peut-être que les crises majeures actuelles se retourneront contre nous et
s’autodétruiront. Avec un peu de chance, l’État-nation sera remplacé par un phénomène volontaire, comme les phyles, ou peut-être par
la montée d’une structure parallèle dans le cadre actuel.
Les crises peuvent être réelles, comme l’effondrement économique imminent, ou fabriquées, comme le COVID et le RCA. Les crises serviront
toujours d’excuses à l’expansion de l’État, mais peut-être ont-ils surjoué leur main cette fois-ci.
La nouvelle est incroyable : la cause première du cancer a été officiellement découverte il y a plusieurs décennies (1923) par un scientifique lauréat du prix Nobel en
1931.
Très peu de personnes dans le monde le savent, car ce fait est caché par les industries pharmaceutique et alimentaire.
En 1931, le scientifique allemand Otto Heinrich Warburg a reçu le prix Nobel pour sa découverte de la cause première du cancer.
C'est vrai. Il a découvert la cause première du cancer et a obtenu le prix Nobel.
Otto a découvert que le cancer est le résultat d'un pouvoir anti-physiologique et d'un mode de vie anti-physiologique.
Pourquoi ? Parce qu'avec un style nutritionnel anti-physiologique (alimentation basée sur des aliments acidifiants) et la sédentarité, le corps crée un
environnement acide (dans le cas de la sédentarité, en raison d'une mauvaise oxygénation cellulaire).
L'acidose cellulaire entraîne l'expulsion de l'oxygène. Le manque d'oxygène dans les cellules crée un environnement acide.
Il a déclaré : "Le manque d'oxygène et l'acidité sont les deux faces d'une même pièce : si une personne a l'un, elle a aussi l'autre.
Autrement dit, si une personne a un excès d'acidité, elle aura automatiquement un manque d'oxygène dans son système. S'il y a un manque d'oxygène, vous
aurez de l'acidité dans votre corps.
Il a également déclaré : "Les substances acides repoussent l'oxygène, contrairement aux substances alcalines qui l'attirent.
Autrement dit, un environnement acide est un environnement sans oxygène.
Il a déclaré : "Priver une cellule de 35 % de son oxygène pendant 48 heures peut la transformer en cancer.
Toutes les cellules normales ont un besoin absolu d'oxygène, mais les cellules cancéreuses peuvent vivre sans oxygène. (Une règle sans
exception).
"Les tissus cancéreux sont acides, alors que les tissus sains sont alcalins."
Dans son ouvrage intitulé "Le métabolisme des tumeurs", Otto a montré que toutes les formes de cancer sont caractérisées par deux conditions
fondamentales : l'acidose (acide) sanguine et l'hypoxie (manque d'oxygène).
Il a découvert que les cellules cancéreuses sont anaérobies (elles ne respirent pas d'oxygène) et ne peuvent pas survivre en présence de niveaux élevés
d'oxygène.
Les cellules cancéreuses ne peuvent survivre que grâce au glucose et dans un environnement sans oxygène.
Par conséquent, le cancer n'est rien d'autre qu'un mécanisme de défense dont disposent certaines cellules de l'organisme pour survivre dans un
environnement acide et sans oxygène.
EN RÉSUMÉ : Les cellules saines vivent dans un environnement oxygéné et alcalin qui permet un fonctionnement normal. Les cellules cancéreuses vivent dans un
environnement acide et pauvre en oxygène.
IMPORTANT : Une fois le processus de digestion terminé, les aliments, en fonction de la qualité des protéines, des glucides, des graisses, des vitamines et des
minéraux, fournissent et génèrent une condition d'acidité ou d'alcalinité dans le corps. En d'autres termes ... tout dépend uniquement de ce que vous mangez.
Le résultat acidifiant ou alcalinisant est mesuré à l'aide d'une échelle appelée PH, dont les valeurs vont de 0 à 14 ; une valeur de 7 correspond à un pH
neutre.
Il est important de savoir comment les aliments acides et alcalins affectent la santé, car les cellules... doivent avoir un pH légèrement alcalin
(légèrement supérieur à 7) pour fonctionner correctement.
Chez une personne en bonne santé, le pH du sang se situe entre 7,4 et 7,45.
Si le pH sanguin d'une personne est inférieur à 7, elle tombe dans le coma.
LES ALIMENTS QUI ACIDIFIENT L'ORGANISME : * Le sucre raffiné et tous ses sous-produits. (C'est le pire de tous : il ne contient pas de protéines, pas de graisses, pas de vitamines ni de minéraux,
juste des glucides raffinés qui écrasent le pancréas). Son pH est de 2,1 (très acide). * Viande. (Tous les types) * Produits animaux (lait et fromage, fromage blanc, yaourt, etc.) * Sel raffiné. * Farine raffinée et tous ses dérivés. (Pâtes, gâteaux, biscuits, etc.) * Pain. (La plupart contiennent des graisses saturées, de la margarine, du sel, du sucre et des conservateurs). * Margarine. * Caféine. (Café, thé noir, chocolat). * Alcool. * Tabac. (Cigarettes). * Antibiotiques et médecine en général. * Tout aliment cuit. (la cuisson élimine l'oxygène en augmentant l'acidité des aliments). * Tous les aliments transformés et en conserve contenant des conservateurs, des colorants, des arômes, des stabilisateurs, etc.
Le sang s'autorégule en permanence pour ne pas tomber en acidose métabolique, assurer son bon fonctionnement et optimiser le métabolisme cellulaire. Le
corps a besoin d'obtenir des bases minérales alimentaires pour neutraliser l'acidité du sang dans le métabolisme, mais tous les aliments déjà mentionnés (pour la plupart raffinés)
acidifient le sang et ramollissent le corps.
Nous devons tenir compte du fait qu'avec le mode de vie moderne, ces aliments sont consommés au moins 3 fois par jour, 365 jours par an et que tous ces
aliments sont anti-physiologiques.
LES ALIMENTS ALCALINISANTS : * Tous les légumes crus. (Certains sont acides au goût, mais à l'intérieur du corps, une réaction alcalinisante se produit. D'autres sont quelque peu
acides, mais ils fournissent la base nécessaire à un bon équilibre). Les légumes crus produisent de l'oxygène, les légumes cuits non. * Fruits, même chose. Par exemple, le citron a un pH d'environ 2,2, mais dans le corps, il a un effet très alcalin. (Probablement le plus puissant de
tous - ne vous laissez pas tromper par le goût aigre).
* Les fruits produisent suffisamment d'oxygène. * Certaines graines, comme les amandes, sont très alcalines. * Les céréales complètes : la seule céréale alcalinisante est le millet. Tous les autres sont légèrement acides, cependant, comme le régime idéal
nécessite un pourcentage d'acidité, il est bon d'en consommer certains. Toutes les céréales doivent être consommées cuites. *Le miel est très
alcalinisant. * Chlorophylle : les plantes sont très alcalines. (En particulier l'aloe vera, également connu sous le nom d'aloès). * L'eau est importante pour la production d'oxygène. "La déshydratation chronique est la principale contrainte pour l'organisme et la racine de la
plupart des maladies dégénératives." Le Dr Feydoon Batmanghelidj déclare que. * L'exercice physique oxygène l'ensemble du corps. "Un mode de vie sédentaire use le corps."
L'idéal est d'avoir un régime alimentaire composé d'environ 60 % de produits alcalins plutôt qu'acides et, bien sûr, d'éviter les produits les plus
acides, comme les boissons gazeuses, le sucre raffiné et les édulcorants.
N'abusez pas du sel et évitez-le autant que possible.
Pour les personnes malades, l'idéal est que l'alimentation soit alcaline à environ 80%, en éliminant tous les produits les plus nocifs.
Si vous avez un cancer, le conseil est d'alcaliniser le plus possible."
Le Dr George W. Crile, de Cleveland, l'un des chirurgiens les plus respectés au monde, déclare ouvertement : "Toutes les morts dites naturelles ne sont
rien d'autre que le point final d'une saturation en acide dans le corps."
Comme indiqué précédemment, il est tout à fait impossible qu'un cancer apparaisse chez une personne qui débarrasse son corps de ses acides par un régime
alcalin, qui augmente sa consommation d'eau pure et qui évite les aliments acidifiants.
En général, le cancer n'est ni contracté ni hérité. Ce dont on hérite, ce sont les habitudes alimentaires, environnementales et le mode de vie. Cela peut
produire un cancer.
Mencken a écrit : "La lutte de la vie est contre la rétention d'acide. "Le vieillissement, le manque d'énergie, le stress, les maux de tête, les maladies
cardiaques, les allergies, l'eczéma, l'urticaire, l'asthme, les calculs rénaux, l'athérosclérose, entre autres, ne sont que l'accumulation d'acides."
Dr. Theodore A. Baroody a écrit dans son livre Alkaline or Die : En réalité, peu importe le nom de ces innombrables maladies, ce qui compte, c'est qu'elles ont toutes la même origine : beaucoup de déchets acides dans
le corps.
Le Dr Robert O. Young a déclaré : L'acidification excessive de l'organisme est la cause de toutes les maladies dégénératives. Si l'équilibre est perturbé et que l'organisme commence à
produire et à stocker plus d'acidité et de déchets toxiques qu'il n'est capable d'en éliminer, la maladie s'installe."
ET LA CHIMIOTHÉRAPIE ? La chimiothérapie acidifie l'organisme à tel point qu'elle puise dans les réserves alcalines du corps pour neutraliser l'acidité, sacrifiant ainsi les
bases minérales (calcium, magnésium et potassium) stockées dans les os, les dents, les articulations, les ongles et les cheveux.
C'est pourquoi on observe de telles altérations chez les personnes recevant ce traitement et, entre autres, une perte de cheveux. L'absence de cheveux ne
signifie rien pour le corps, mais un pH acide signifierait la mort.
Rien de tout cela n'est décrit ou raconté parce que, selon toute vraisemblance, l'industrie du cancer (lire : l'industrie pharmaceutique) et la
chimiothérapie sont parmi les entreprises les plus rentables qui existent... On parle d'une entreprise de plusieurs millions de dollars et les propriétaires de ces industries ne
veulent pas que cela soit publié.
Tout indique que l'industrie pharmaceutique et l'industrie alimentaire sont une seule et même entité et qu'il existe une conspiration dans laquelle l'une
aide l'autre à faire des profits. Plus les gens sont malades, plus les profits de l'industrie pharmaceutique sont élevés. Et pour avoir beaucoup de malades, il faut beaucoup de malbouffe,
autant que l'industrie alimentaire en produit. Combien d'entre nous ont entendu la nouvelle d'une personne atteinte d'un cancer et quelqu'un a dit : "... Cela aurait pu arriver à n'importe
qui...".
Non, ça ne peut pas !
"Que la nourriture soit ton médicament, le médicament ta nourriture." (Hippocrate, le père de la médecine)
En 2010, quelque 80 ans après les études de Warburg, en partant précisément de la considération que l'acidité est une caractéristique fondamentale du
micro-environnement tumoral, toutes les études sur lesquelles se concentre l'International Society for Proton Dynamics in Cancer (ISPDC) ont été présentées à l'Istituto Superiore di
Sanità, lors du premier symposium international. L'objectif de cette recherche est de cibler exclusivement la cible moléculaire à l'origine de la tumeur, "afin d'éviter les effets
secondaires fréquents des thérapies traditionnelles utilisant des inhibiteurs de la pompe à protons pour inhiber la croissance de la masse tumorale", comme l'explique Stefano Fais, du
département pharmaceutique de l'Istituto Superiore di Sanità.
Les conditions favorables à la croissance des tumeurs sont dues à une accumulation initiale d'acide lactique due au métabolisme tumoral et à la sélection
ultérieure de cellules qui, pour faire face à l'augmentation de l'acidité, provoquent un hyperfonctionnement des pompes cellulaires qui éliminent les protons hors de la
cellule.
En Italie, les deux premiers essais cliniques ont été réalisés pour les mélanomes à l'Istituto dei Tumori de Milan et à l'Université de Sienne, et pour
les ostéosarcomes au Gruppo Italiano dei Sarcomi, à Bologne. La même approche a été utilisée par des chercheurs de l'université Fudan de Shanghai pour lutter contre le cancer du sein.
En Floride, le professeur Robert Gatenby, du département d'oncologie intégrée du Cancer Center of Tampa, a utilisé du bicarbonate administré par voie
orale pour ses recherches.
Là encore, le professeur Kusuzaki, du département d'oncologie de l'université Edobashi de Tokyo, a utilisé l'acridine orange pour combattre les sarcomes
; cette molécule a la capacité de se concentrer dans les organelles acides de la cellule et, à la suite d'une impulsion lumineuse (rayons X), se transforme en un composé hautement
toxique pour les tissus tumoraux, sans toutefois présenter de signes de toxicité pour les tissus sains environnants.
Toutes les thérapies choisies pour ces études sont basées sur l'utilisation de médicaments qui utilisent l'acidité de la tumeur comme cible, soit en
inhibant les mécanismes qui la provoquent - c'est-à-dire les inhibiteurs de la pompe à protons - soit en la tamponnant simplement - en utilisant du bicarbonate - ou en changeant son
état lorsque
concentré dans les tumeurs - avec de l'orange acridine -.
Par conséquent, la théorie du vieux professeur Otto Henrich Warburg semble maintenant trouver une nouvelle confirmation, même si ce n'est évidemment pas
qu'il en avait besoin, mais il était certainement nécessaire que ces connaissances soient portées à la connaissance du public. Ce n'est que de cette manière que chacun peut prendre
des décisions pour sa propre santé, en sachant qu'elle est déterminée par ce qu'il mange.
Une personne en bonne santé a un pH sanguin compris entre 7,4 et 7,45. Si ces valeurs sont inférieures à 7, on tombe dans le coma. Pour maintenir un pH
élevé et protéger ainsi sa santé, il est essentiel d'éviter tous les aliments acidifiants : en tête de liste, le sucre raffiné, dépourvu de vitamines et de minéraux, et riche
uniquement en glucides raffinés qui mettent le pancréas à rude épreuve ; puis la viande et tous les produits laitiers ; également la farine et ses dérivés, ainsi que toutes les
conserves, la margarine, le café, le thé noir et l'alcool. Il faut garder à l'esprit que tout aliment cuit augmente l'acidité tout en éliminant l'oxygène. Et puis, bien sûr, il ne
faut pas oublier que tous les médicaments, des antibiotiques à la chimiothérapie, sont aussi acidifiants !
Les seuls aliments alcalins sont les légumes et certains fruits. Par conséquent, pour rester en bonne santé, il faut consommer quotidiennement de grandes
quantités de légumes de différentes variétés, crus bien sûr. Plus nous parviendrons à équilibrer positivement les aliments alcalins et acidifiants, moins nous aurons à craindre de
contracter des maladies dégénératives.
TOUTE PERSONNE SOUHAITANT CONTESTER CE QUI EST COPIÉ-COLLÉ DANS CETTE LÉGENDE PEUT ENVOYER SES RÉFLEXIONS, NOTES ET RÉCRIMINATIONS AUX SOURCES DONT
L'ARTICLE EST TIRÉ. MERCI.
Salaire de Philippe Martinez (CGT): la bourgeoisie nourrit grassement ses chiens de garde
Dernièrement, un fait-divers a discrètement fait les titres de quelques “petits” journaux et passant
quasiment inaperçu dans les grands médias : le salaire de Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, est gracieusement alimenté par une maternité déficitaire. Ce ponte
syndical est, en effet, payé par la CGT-métallurgie, elle-même propriétaire de centres de réadaptation professionnelle et… d’une maternité dans le 12e arrondissement parisien à laquelle
ce syndicat fait payer un loyer exorbitant (plus d’un million d’euros par an !), contribuant à mettre les comptes de la maternité dans le rouge et nécessitant, au bout du compte, la mise
en œuvre d’un plan social.
À première vue, la CGT, propriétaire d’une maternité, ça peut surprendre, mais la réalité du fonctionnement de l’État bourgeois est implacable : derrière ce petit fait divers, toute la
logique du fonctionnement des syndicats, en France comme ailleurs, est mis en lumière. En tant que force d’encadrement de la classe ouvrière, les syndicats sont pleinement intégrés
à l’État bourgeois qui les finance en très grande partie. (1)
Mais ces larges subsides ne semblent pas suffire, il leur faut en plus mettre en œuvre tout un tas de magouilles pour, notamment, financer le train de vie dispendieux de leurs
dirigeants. Pour ce faire, les moyens ne manquent pas : capital immobilier, placements, organismes et établissements à faire fructifier. En clair : des entreprises capitalistes à
faire tourner, des salariés à exploiter… Ainsi, les syndicats eux-mêmes participent à l’extraction de la plus-value dans certaines entreprises qu’ils sont amenés à gérer directement,
se nourrissant du surtravail et participant à l’exploitation pour garantir un train de vie et des locaux de choix. Cela, sur le dos des salariés qui payent
l’addition.
Si certains ont pu imaginer que le syndicat, en tant que “bon” patron immobilier, fasse un geste social, “solidaire” envers les employés de sa maternité. Que nenni ! Impossible de baisser
le loyer, explique-t-on à la CGT, car celui-ci “contribue au financement de plusieurs postes de permanents de la fédération pour l’activité syndicale” (sic !). La CGT est donc au
service de l’emploi… mais de l’emploi de ses sbires et de sa nomenklatura ! Non contents d’avoir des boîtes à faire tourner, les syndicats (car la CGT n’est pas la seule) ont des
permanents et toute une bureaucratie syndicale à entretenir afin de pouvoir assurer leur rôle de saboteurs des luttes, d’encadrement et de flicage de la classe ouvrière.
Ces diverses magouilles ou opérations capitalistes ne diffèrent en rien de celles des grandes entreprises ou de la bureaucratie étatique, avec leurs placements financiers, détournements
de fonds, corruption, opacité des comptes… Les magouilles institutionnalisées ne sont en fait qu’un rouage du fonctionnement quotidien de ces organes de l’État.
Entre autres exemples, nous pouvons citer les frais de fonctionnement injustifiés du Comité d’entreprise d’Air France, d’EDF, de la SNCF, les 130.000 euros octroyés pour la rénovation de
l’appartement de fonction de Thierry Lepaon, l’ancien secrétaire général de la CGT (un scandale qui obligea le syndicat à l’écarter et nommer… Martinez à sa place). (2)
Autres exemples encore plus outranciers de ces mœurs bourgeoises : selon un rapport de la Cour des Comptes, comme tous les bourgeois ou les Comités d’Entreprise des grands groupes, les
syndicats et les “œuvres sociales” qu’ils contrôlent apprécient aussi la vie de château : château de Courcelle-sur-Yvette, dans l’Essonne, pour la CGT, devenu “Centre Benoit-Frachon”,
château de Bierville, à Boissy-la-Rivière, non loin d’Étampes, pour la CFDT, où l’on discute retraites, temps de travail et épargne salariale à l’ombre d’un colombier du XIVe siècle. FO,
quant à elle, forme ses stagiaires au cœur de la forêt de Compiègne, au château de la Brévière… On croit rêver !
Tout ça au service de quoi ? Officiellement, bien sûr, au service de la classe ouvrière, au service de sa lutte et de son émancipation, et contre les patrons. Les salariés licenciés de la
maternité du 12e, comme tous ceux que le CGT exploite sans vergogne, apprécieront la bonne blague !
Mais l’indignation ne suffit pas. Dénoncer ces dérives et en appeler comme le font bon nombre de syndicalistes militants sincères, au retour d’un syndicalisme “propre”, “moral”, “éthique”
et “solidaire”, vraiment au service de la lutte ouvrière, est une chimère qui cache l’essentiel. Ces magouilles et ces fastes, dignes des pires patrons, ne sont pas des dérapages
ponctuels d’une poignée de dirigeants véreux, non ils sont la conséquence de ce que sont vraiment devenus les syndicats : des rouages de l’État, des structures aux mains de la bourgeoisie
pour défendre son système d’exploitation en détruisant de l’intérieur des entreprises les tentatives de luttes ouvrières.
Depuis plus d’un siècle, les syndicats et le syndicalisme n’appartiennent plus à la classe ouvrière. (3) Ni dans leurs structures, ni dans leurs objectifs, ni dans leur
fonctionnement.
Stopio, 26 avril 2019
(1) En 2016, les syndicats ont reçu 83 millions d’euros de la part de l’État via le fonds de financement du dialogue social, dont près de 19 millions d’euros pour la CGT. Les anciens
dirigeants syndicaux sont également souvent intégrés, en marge des commissions parlementaires ou “groupes de travail”, en tant que “personnalités qualifiées”. C’est le cas de Bernard
Thibault, ex-leader de la CGT, qui a participé en 2015, par exemple, à un “groupe de travail sur l’avenir des institutions” (tout un programme !) présidé par Claude Bartolone et Michel
Winock.
(2) Dans la liste des “scandales” récents qui éclaboussent régulièrement les syndicats, on peut évoquer celui du fichage et de la surveillance étroite par FO de ses membres. Lire notre
article : “Listing à FO,derrière le scandale, la logique du Capital !”, Révolution internationale n° 473 (nov.-déc. 2018).
(3) Voir notre brochure : “Les syndicats contre la classe ouvrière”.
Un invité d'une émission de télévision française a déclaré que Céline Dion et d'autres célébrités prenaient de l'adrénochrome… et que les médias
de masse l'avaient perdu L'émission de télévision française "Touche Pas à Mon Poste" a invité Gérard Fauré alias "l'ex-revendeur de Paris" pour discuter des actions
bizarres d'un comédien français. Il a fini par choquer le panel en affirmant que les grandes célébrités consomment de l'adrénochrome pour rester jeunes. Touche Pas à Mon Poste (TPMP) est une émission de télévision française très populaire où les invités sont invités à discuter de l'actualité. Ces
dernières semaines, un événement a retenu l'attention des médias français : l'accident de voiture de l'humoriste Pierre Palmade et les révélations qui ont suivi. Voici un bref résumé de ce qui s'est passé : Le 10 février 2023, Palmade est responsable d'avoir provoqué un accident de voiture, en percutant de plein fouet un autre véhicule circulant sur
l'autre voie près de Villiers-en-Bière dans le sud de la Seine-et-Marne. Palmade a été envoyé à l'hôpital dans un état critique à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre mais a récupéré le lendemain, et
sa vie n'était plus en danger. L'autre voiture transportait une femme enceinte, son beau-frère, le conducteur du véhicule, et son enfant de six ans. En raison du traumatisme de l'accident, la
femme de 27 ans a été transportée à l'hôpital, où elle a subi une césarienne d'urgence. Son bébé de sept mois est mort. – Wikipédia, Pierre Palmade Suite à l'accident de voiture, il a été révélé que deux personnes avaient fui la voiture de Palmade. C'étaient des "escort boys", de jeunes
prostituées que Palmade avait embauchées pour s'adonner à des relations sexuelles chimiques. De plus, Palmade a été testé positif à d'énormes doses de cocaïne et d'autres
drogues. Pour ne rien arranger, quelques jours plus tard, des proches de Palmade l'ont accusé d'avoir visionné et détenu du matériel pornographique
pédophile, ce qui a entraîné l'ouverture d'une enquête. En d'autres termes, Palmade était impliqué dans la dégénérescence occulte typique de l'élite. Pour évoquer cette affaire, l'émission de télévision française TPMP a invité un invité qui sait tout sur cette dégénérescence : Gérard
Fauré. Gérard Fauré renverse les haricots Surnommé "l'ancien dealer de Tout-Paris", Fauré a vendu de la drogue à des personnalités françaises de premier plan, notamment des célébrités et
des hommes politiques. En 2016, Fauré a commencé à publier des livres controversés qui prétendaient dévoiler les secrets des personnes avec lesquelles il avait l'habitude de traiter -
principalement dans la politique et le showbusiness. Les accusations comprennent la consommation massive de drogues (principalement de cocaïne), les abus sexuels, le viol, la pédophilie, la
pédophilie, le trafic d'enfants, les meurtres et les assassinats. Quand Fauré a été invité à évoquer l'affaire Palmade sur TPMP , les choses sont devenues TRÈS réelles. Voici une partie de l'interview (c'est en
français). Au cours de l'entretien, Fauré a déclaré avoir assisté à une fête chez Palmade et avoir été dérangé par le nombre de jeunes garçons présents.
Puis, après avoir déclaré que Palmade consommait de grandes quantités de cocaïne avec de la MDMA et des amphétamines, Fauré a déclaré qu'il pourrait également être dans l'adrénochrome - une
déclaration qui a été suivie de halètements massifs dans le studio. Un autre invité (qui semblait moins indigné que les autres) a déclaré que la "théorie du complot" de l'adrénochrome est plutôt plausible. Elle a
expliqué que la substance est extraite du sang des enfants et est consommée par des personnes riches et puissantes pour rester jeune. Fauré a affirmé que plusieurs célébrités consomment régulièrement de l'adrénochrome et a cité Céline Dion comme un excellent exemple. Ces
derniers mois, Fauré a déclaré que la mystérieuse maladie dégénérative de Dion était due à sa consommation abusive d'adrénochrome. Interrogé par un invité incrédule d'où viennent ces enfants sacrifiés, Fauré répond qu'ils sont principalement kidnappés. Il précise que plus de
58 000 enfants sont enlevés chaque année en France et que seuls les deux tiers sont retrouvés. Il a alors demandé : Où est le tiers restant ? Plus tard, Fauré a déclaré avoir témoigné dans une affaire où une femme cherchait à vendre sa fille à un laboratoire d'adrénochrome à Dijon.
Apparemment sur une lancée, il a ajouté qu'Yves St-Laurent et d'autres personnes de l'industrie de la mode étaient des pédocriminels. Lorsque Fauré a mentionné le nom du président français Emmanuel Macron, l'entretien a été écourté. On ne peut que se demander ce qu'il
s'apprêtait à dire. Fusion des médias Alors que les révélations de Fauré faisaient presque s'évanouir les invités du studio, l'establishment français des médias de masse s'est
complètement effondré. Les réponses désapprobatrices sont venues rapidement. D'abord, bien sûr, l'émission TPMP s'est désolidarisée des déclarations de Fauré et s'est emparée de Twitter pour le condamner. Ensuite, divers experts des médias ont publiquement porté plainte auprès de l'Arcom (Autorité de régulation de l'audiovisuel et de la
communication numérique) qui a ouvert une enquête. Alors que la société mère de la chaîne recevra très probablement une amende massive, certains responsables gouvernementaux ont en fait
laissé entendre qu'ils ne renouvelleraient pas la licence de C8 qui expirera en 2025. Cela signifie que la chaîne serait complètement fermée. C'est une forme extrême de censure. Bien sûr, d'innombrables émissions de télévision et articles de presse à travers la France ont réfuté les affirmations de Fauré tout en le
dépeignant comme un menteur en série. Compte tenu de son passé trouble, assassiner son personnage n'est pas une tâche difficile. En bref, Fauré a touché une corde sensible en France. À en juger par la réponse des médias de masse, ce sujet est complètement interdit. Toutes
les personnes impliquées dans ce segment télévisé recevront très probablement des punitions exemplaires pour s'assurer que cela ne se reproduise plus jamais… ce qui signifie que Fauré est
très probablement sur quelque chose.
Laurent Glauzy revient, avec beaucoup de talent, sur ce que les cons pourraient encore appeler "l'incident", avec Gérard Fauré qui a su balancer sur
l'adrenochrome, à l'occasion d'une récente émission populaire destinée aux veaux, sur un plateau télé d'Hanouna.
Laurent Glauzy décortique à la perfection tout ce qu'il faut comprendre, derrière cette émission. Véritable détonateur, véritable révélateur de la
décadence d'un système perverti au plus haut point, cet "incident" est en fait un moyen incroyable de faire baisser les masques de tous ces sales (très sales) saltimbanques, unis comme des
cochons à la race de politiques, des stars, des franc-maçons etc...
Un journaliste de NBC se rend en Crimée et choque les téléspectateurs en disant la vérité
Photo de Tyler Durden PAR TYLER DURDEN VENDREDI 03 MARS 2023 - 11:12
Les correspondants des médias grand public pour les principaux réseaux américains ne font que rarement, voire jamais, des reportages
depuis l'intérieur de la Crimée et ne sont certainement nulle part à proximité du territoire sous contrôle russe dans l'est de l'Ukraine.
Cependant, cette semaine, le correspondant international en chef de NBC News, Keir Simmons, s'est rendu à Sébastopol, entouré d'une importante présence militaire russe étant donné qu'il abrite la flotte de la mer Noire de la marine russe, et dans un
segment en direct a admis que ce n'était pas du tout réaliste Zelensky et les forces ukrainiennes peut jamais espérer prendre la Crimée .
C'est d'autant plus vrai que "les gens là-bas... se considèrent comme russes ".
Simmons a noté que "c'est le plus proche qu'une équipe de presse américaine ait obtenu de la flotte russe de la mer Noire depuis de
nombreuses années".
Il a expliqué que "Vladimir Poutine sera déterminé à défendre ce port - pour ne pas qu'il le lui enlève - il pourrait bien faire à peu
près n'importe quoi pour essayer d'y parvenir ".
"C'est une impasse très, très dangereuse... il est difficile de voir comment vous parvenez à une négociation là-dessus. Il y a des militaires absolument partout, c'est une ville militaire", a-t-il poursuivi,
avant de dire...
"Quand, par exemple, Victoria Nuland parle du fait que nous [les États-Unis] voulons au moins que la Crimée soit démilitarisée, je me retrouve là à me demander, comment diable cela se produit-il ? "
Les responsables ukrainiens et les experts des médias pro-Kiev seraient scandalisés par ce segment, étant donné qu'il a été mentionné à
plusieurs reprises et sans ambages que les Crimés se considèrent comme des Russes.
Même un article séparé déposé quelques jours plus tôt depuis l'intérieur de la Crimée et publié sur le site Web de NBC comprenait ce qui
suit :
Ce n'est pas la Russie, selon Kiev, ses alliés occidentaux et les Nations Unies.
Il a été annexé par le Kremlin en 2014, l'ONU appelant la Russie à revenir à ses "frontières internationalement reconnues". Et à la
suite de l'invasion plus large de Moscou lancée il y a un an, le président Volodymyr Zelensky a juré que l'Ukraine reprendrait la Crimée .
Mais Praskovya Baranova, 73 ans, parle russe, se sent russe et vit ici .
Mais il semble que le correspondant de NBC, une fois sur le terrain dans un endroit où peu de journalistes occidentaux s'aventurent, ne
pouvait pas nier la pure vérité qu'il voyait tout autour de lui.
David Sacks commente le segment rafraîchissant et véridique, "Il n'y a pas longtemps, ceux-ci ont été dénoncés comme des points de
discussion de Poutine."
Sacks dit également à propos de NBC concédant clairement que l'objectif de Zelensky de reprendre la Crimée reste irréaliste et dangereux
...
C'est un énorme aveu car cela signifie que la politique de Biden selon laquelle "seuls les Ukrainiens peuvent décider" des objectifs de la guerre n'a aucun
sens.
Nous déléguons en fait notre politique étrangère à Zelensky, qui poursuit des objectifs avec lesquels nous ne sommes pas d'accord
.
"Alors que MSNBC diffuse soudainement la vérité sur la Crimée, son expert en chef de l'Ukraine fait pression pour une attaque totale", observe également Sacks à propos du moment du rapport de milieu de semaine.
"Il devient plus facile de voir qui sont les vrais fanatiques de cette guerre", a conclu Sacks.
Des Plans choquants pour mettre en œuvre le Dépeuplement et un Système Totalitaire Mondial, révélés
par le Dr Richard Day en 1969 !
Un ensemble de bandes audio intitulé "Le nouvel ordre des barbares" a établi l'existence, la portée et la direction d'un complot qui a été révélé par un initié, le Dr Richard Day, en
1969.
Le Dr Day a pris la parole à la Pittsburgh Pediatric Society en mars 1969. Le Dr Lawrence Dunegan a assisté à cette réunion et en 1988 a dénoncé les plans qui étaient en place en 1969 pour former
un nouveau système de gouvernement, modifiant toute la société pour mettre en œuvre ce nouveau système.
Toute la société a été réorientée selon ces plans.
" Tout est en place et personne ne peut nous arrêter maintenant…
Certains d'entre vous penseront que je parle du communisme.
Le 20 mars 1969, le
regretté Dr Lawrence Dunegan (1923-2004) a assisté à une conférence étonnante lors d'une réunion de la Pittsburgh Pediatric Society. Le conférencier était le Dr Richard Day (1905-1989), qui était
à l'époque professeur de pédiatrie à la Mount Sinai Medical School de New York. Day avait auparavant été directeur médical
de la Planned Parenthood Federation of America. Le Dr Dunegan avait été un étudiant du Dr Day à l'Université de Pittsburgh,
et le connaissait donc bien. Il a
affirmé plus tard que le Dr Day avait demandé aux participants de ne pas prendre de notes ou d'enregistrer ce qu'il était sur le point de leur dire pendant cette
conférence. Quelque chose que le Dr
Dunegan a dit qu'il trouvait inhabituel pour un professeur de demander à son auditoire. La raison, a laissé entendre le Dr Day, était qu'il y aurait des
répercussions négatives - peut-être un danger personnel - contre lui s'il devenait largement connu qu'il avait parlé des informations qu'il était sur le point de transmettre au
groupe. Le Dr Day a apparemment également dit au groupe que ce qu'il était sur le
point de dire "leur faciliterait l'adaptation s'ils savaient à quoi s'attendre à l'avance", une sorte de déclaration ambiguë qui est devenue plus claire au fur et à mesure que le Dr
Day parlait.
Insider du "Nouveau Système Mondial" ?
Le Dr Dunegan a eu l'impression
que le Dr Day parlait comme un "initié" plutôt que comme une personne qui présentait une théorie ou parlait en termes rétrospectifs. Les connaissances du Dr Day semblaient concrètes alors qu'il parlait de
l'avenir et des stratégies des personnes et des organisations qui avaient un plan défini pour le monde - ce qu'il appelait un "Nouveau Système Mondial" - et qui étaient en mesure de
s'assurer que ce plan était exécuté selon un calendrier défini. "Nous prévoyons d'entrer dans le XXIe siècle en partant sur les chapeaux de roues. Tout est en place et
personne ne peut nous arrêter maintenant…" – Dr Richard Day, 20 mars 1969, cité par le Dr Lawrence Dunegan Apparemment, quand il est rentré chez lui ce soir-là, le Dr Dunegan a écrit
une grande partie de ce qu'il avait entendu du Dr Day pendant cette conférence, des notes qu'il a gardées pour lui pendant environ 20 ans. En 1988, le Dr Dunegan a enregistré sur bande ses souvenirs de cette
conférence étonnante de 1969 - ces bandes sont désormais connues sous le nom de "The Dunegan Tapes". Bien que la mémoire du Dr Dunegan ait pu être obscurcie par les années qui
ont suivi, il a pu fournir suffisamment de détails sur la conférence pour permettre à toute personne éclairée de discerner quels pourraient bien être les véritables objectifs derrière
les tendances de notre époque.
Habituez-vous à changer…
"Les gens devront s'habituer à l'idée du
changement, tellement habitués au changement, qu'ils s'attendront à un changement. Rien ne sera permanent…" – Dr Richard Day, 20
mars 1969, cité par le Dr Lawrence Dunegan
Pour en savoir plus sur le contenu des Dunegan Tapes, je vous encourage à
visiter The
Revelations of Dr. Richard Day, un blog WordPress extrêmement bien documenté entièrement dédié à ce sujet, où vous pourrez explorer les
nombreux sujets prétendument abordés par le Dr. Day dans sa conférence de 1969, tels que :
Vous
pouvez également trouver une transcription des Dunegan Tapes en cliquant sur ce lien : 100777.com . Je ne peux pas garantir l'exactitude de cette transcription, donc la meilleure chose que vous puissiez faire est d'écouter les bandes réelles
sur The Revelations of Dr Richard Day - Audio. Il contient également une interview ultérieure enregistrée à
Pittsburgh, Pennsylvanie, le 10 octobre 1991, où Randy Engel, directeur de la US Coalition for Life, a interviewé le Dr Larry Dunegan.
Les produits chimiques dans les aliments et dans
l'approvisionnement en eau pour réduire la libido ne sont pas pratiques. La stratégie serait alors de ne pas diminuer l'activité
sexuelle, mais d'augmenter l'activité sexuelle, mais de manière à ce que les gens n'aient pas de bébés.
Contraception universellement disponible pour tous !
La contraception serait très fortement
encouragée, et elle serait si étroitement liée dans l'esprit des gens avec le sexe, qu'ils penseraient automatiquement à la contraception lorsqu'ils penseraient ou se prépareraient au
sexe. Et la contraception serait rendue universellement disponible.
L'éducation sexuelle comme outil de gouvernement mondial !
L'éducation sexuelle visait à intéresser les enfants très tôt, à faire le lien entre le
sexe et le besoin de contraception tôt dans leur vie, avant même qu'ils ne deviennent très actifs.
L'avortement financé par l'impôt comme contrôle de la population !
L'avortement ne sera plus un
crime. L'avortement sera accepté comme normal et payé par les impôts pour les personnes qui ne pourraient pas payer leurs propres
avortements.
Tout est permis – L'homosexualité à encourager !
Les gens seront autorisés à être
homosexuels. Ils n'auront pas à le cacher.
Technologie !
Le sexe et la reproduction seraient
séparés. Vous auriez des relations sexuelles sans reproduction, puis la technologie était une reproduction sans
sexe. Cela se ferait en laboratoire.
Les familles perdront de leur importance !
Les familles seraient de taille
limitée. Le divorce serait rendu plus facile et plus répandu. La plupart des gens
qui se marient se marieront plus d'une fois. Plus de gens ne se marieront pas. Les célibataires séjournaient dans des hôtels et vivaient même ensemble.
Plus de femmes travailleront à l'extérieur de la
maison. Plus d'hommes seront transférés dans d'autres villes et dans leur travail, plus d'hommes se déplaceront dans leur
travail. Par conséquent, il serait plus difficile pour les familles de rester ensemble. Cela aurait tendance à rendre la relation conjugale moins stable et, par conséquent, à rendre les gens moins disposés à avoir des bébés.
L'un des effets nets de l'assouplissement des lois sur le divorce, combiné à la
promotion des voyages et au transfert des familles d'une ville à l'autre, a été de créer de l'instabilité dans les familles.
L'euthanasie et la "pilule de la mort" !
Tout le monde a le droit de vivre seulement si
longtemps. Les anciens ne sont plus utiles. Ils deviennent un
fardeau. Vous devriez être prêt à accepter la mort. La plupart des gens le
sont. Une limite d'âge arbitraire pourrait être établie.
Limiter l'accès à des soins médicaux abordables facilite l'élimination des personnes âgées
!
Le coût des soins médicaux serait rendu
extrêmement élevé. Les soins médicaux seraient très étroitement liés au travail, mais leur coût serait également très, très élevé,
de sorte qu'ils ne seraient tout simplement pas disponibles pour les gens au-delà d'un certain temps. Et à moins qu'ils n'aient une
famille remarquablement riche et soutenante, ils devraient simplement se passer de soins. Et l'idée était que si tout le monde
disait : « Assez ! Quel fardeau pour les jeunes d'essayer d'entretenir les vieux », alors les jeunes deviendraient d'accord pour
aider maman et papa en cours de route, à condition que cela soit fait avec humanité et dignité.
Planifier le contrôle sur la médecine !
Il y aurait de profonds changements dans la
pratique de la médecine. Dans l'ensemble, la médecine serait beaucoup plus étroitement contrôlée. Toutes les prestations de soins de santé seraient étroitement contrôlées.
L'accès aux hôpitaux serait étroitement
contrôlé. Une pièce d'identité serait nécessaire pour entrer dans le bâtiment. La
sécurité dans et autour des hôpitaux serait établie et progressivement renforcée afin que personne sans pièce d'identité ne puisse entrer ou se déplacer à l'intérieur du
bâtiment. Et toute personne se déplaçant dans l'hôpital serait tenue de porter un badge d'identification avec une photo et…
indiquant pourquoi il était là.
Cela doit être introduit progressivement, en
habituant tout le monde à l'idée de s'identifier - jusqu'à ce que ce soit juste accepté. Ce besoin d'identification pour se déplacer
commencerait par de petits moyens : les hôpitaux et certaines entreprises, mais s'étendrait progressivement pour inclure tout le monde dans tous les lieux.
Il a été observé que les hôpitaux peuvent être
utilisés pour confiner des personnes… pour le traitement de criminels. Cela ne signifiait pas nécessairement un traitement
médical. Fondamentalement, le Dr Day décrivait l'utilisation des hôpitaux à la fois pour soigner les malades et pour l'enfermement
des criminels pour des raisons autres que le bien-être médical du criminel. La définition de criminel n'a pas été
donnée.
Élimination des médecins privés !
Le médecin ne serait plus considéré comme un
professionnel individuel au service de patients individuels. Mais le médecin serait progressivement reconnu comme un technicien
hautement qualifié – et son métier changerait. Le travail consiste à inclure des choses comme les exécutions par injection
létale.
Le praticien solo deviendrait une chose du
passé. Quelques purs et durs pourraient essayer de tenir le coup, mais la plupart des médecins seraient employés par une institution
d'un type ou d'un autre. La pratique de groupe serait encouragée, les sociétés seraient encouragées, puis une fois que l'image
corporative des soins médicaux - au fur et à mesure que cela deviendrait de plus en plus acceptable - les médecins deviendraient de plus en plus des employés plutôt que des
entrepreneurs indépendants. Et parallèlement à cela, bien sûr, non déclaré mais nécessaire, l'employé sert son employeur, pas son
patient.
Nouvelles maladies difficiles à diagnostiquer et incurables !
De nouvelles maladies à apparaître qui n'avaient
jamais été vues auparavant. Serait très difficile à diagnostiquer et incurable – du moins pendant
longtemps. Je pense que le SIDA était au moins un exemple de ce dont il parlait. Je pense maintenant que le SIDA était probablement une maladie fabriquée.
La suppression des traitements contre le cancer comme moyen de contrôle de la population
!
Nous pouvons guérir presque tous les cancers en
ce moment. L'information est archivée à l'Institut Rockefeller, s'il est jamais décidé qu'elle devrait être
publiée. Mais considérez – si les gens cessent de mourir du cancer, à quelle vitesse nous deviendrons
surpeuplés. Vous pouvez aussi bien mourir d'un cancer que d'autre chose. – Dr
Richard Day, 20 mars 1969, cité par le Dr Lawrence Dunegan
Les efforts de traitement du cancer seraient
davantage axés sur le confort que sur la guérison. Il y avait une déclaration selon laquelle les remèdes contre le cancer qui
étaient cachés à l'Institut Rockefeller finiraient par être révélés parce que des chercheurs indépendants pourraient les révéler, malgré ces efforts pour les supprimer.
Induire des crises cardiaques comme forme d'assassinat !
"Il existe maintenant un moyen de simuler une
véritable crise cardiaque. Il peut être utilisé comme moyen d'assassinat" - Dr Richard Day, 20 mars 1969, cité par le Dr Lawrence
Dunegan
Seul un pathologiste très compétent qui savait exactement ce qu'il fallait rechercher
lors d'une autopsie pouvait distinguer cela de la réalité.
L'éducation comme outil pour accélérer le début de la puberté et l'évolution
!
Il y avait aussi quelque chose à propos de
l'accélération du début de la puberté. Et cela a été dit en relation avec la santé, et plus tard en relation avec l'éducation, et en
relation avec l'accélération du processus de changement évolutif. Il y avait une déclaration selon laquelle "Nous pensons que nous
pouvons pousser l'évolution plus rapidement et dans la direction que nous voulons qu'elle aille."
Mélanger toutes les religions… Les anciennes religions devront disparaître
!
"La religion n'est pas nécessairement
mauvaise. Beaucoup de gens semblent avoir besoin de religion, avec ses mystères et ses rituels – ils auront donc la
religion. Mais les grandes religions d'aujourd'hui doivent être changées car elles ne sont pas compatibles avec les changements à
venir. Les vieilles religions devront disparaître. Surtout le christianisme… Pour
ce faire, la Bible sera modifiée. Il sera réécrit pour s'adapter à la nouvelle religion. Progressivement, les mots clés seront remplacés par de nouveaux mots ayant différentes nuances de sens. Ensuite, la signification attachée au nouveau mot peut être proche de l'ancien mot - et au fil du temps, d'autres nuances de sens de ce mot peuvent être
accentuées. Et puis petit à petit ce mot a été remplacé par un autre mot. – Dr
Richard Day, 20 mars 1969, cité par le Dr Lawrence Dunegan
"Les Églises nous aideront !"
"Certains d'entre vous pensent probablement que
les Églises ne toléreront pas cela... les Églises nous aideront !" – Dr Richard Day, 20 mars 1969, cité par le Dr Lawrence
Dunegan
Restructurer l'éducation comme outil d'endoctrinement !
En plus de changer la Bible, les classiques de
la littérature seraient modifiés. Les écrits de Mark Twain ont été cités en exemple. Mais le lecteur occasionnel lisant une version révisée d'un classique ne soupçonnerait même jamais qu'il y ait eu un changement. Et, quelqu'un devrait passer mot par mot pour même reconnaître que tout changement a été apporté à ces classiques, les changements seraient si
subtils. Mais les changements seraient de nature à favoriser l'acceptabilité du nouveau système.
Plus de temps dans les écoles, mais ils "n'apprendraient rien"
!
Les enfants passeraient plus de temps à l'école,
mais dans de nombreuses écoles, ils n'apprendraient rien. Ils apprendront certaines choses, mais pas autant qu'avant.
Contrôler qui a accès aux informations !
En 1969, le Dr Day parlait déjà d'ordinateurs
dans l'éducation, et à cette époque, il disait que quiconque souhaitait avoir accès à un ordinateur ou accéder à des livres qui n'étaient pas directement liés à son domaine d'études
devait avoir une très bonne raison de le faire. . Dans le cas contraire, l'accès serait refusé.
Les écoles comme plaque tournante de la communauté !
Dans tous les efforts pour réussir, il a été
reconnu que de nombreuses personnes auraient besoin d'aide et que les personnes qu'il valait la peine de garder seraient en mesure d'accepter et de bénéficier de l'aide des services
psychiatriques, tout en étant très performantes. Ceux qui ne le pouvaient pas tomberaient au bord du chemin et étaient donc en
quelque sorte inutiles - "consommables".
Les adultes iraient à
l'école. Il y aura toujours de nouvelles informations que les adultes doivent avoir pour se tenir au
courant. Quand tu ne peux plus suivre, tu es trop vieux. C'était une autre façon
de faire savoir aux personnes âgées que le moment était venu pour elles de passer à autre chose et de prendre la pilule de la mort.
"Certains livres disparaîtraient des bibliothèques" !
C'était dans la veine que certains livres
contiennent des informations ou contiennent des idées qui ne devraient pas être conservées. Et par conséquent, ces livres
disparaîtraient.
Plus tard, tout le monde ne sera pas autorisé à
posséder des livres. Et certains livres que personne ne sera autorisé à posséder.
Changer les lois !
Les lois du dimanche seront
abrogées. Les lois sur le jeu seraient abrogées ou assouplies afin que le jeu soit augmenté. Il a alors indiqué que les gouvernements se lanceraient dans le jeu. "Pourquoi tout cet argent du jeu
devrait-il être gardé entre des mains privées alors que l'État pourrait en bénéficier ?" dit le Dr Day.
Les lois sur la faillite seraient
modifiées. Les lois antitrust seraient modifiées ou interprétées différemment, ou les deux.
L'encouragement de l'abus de drogues et d'alcool pour créer une atmosphère de jungle
!
La consommation de drogue serait
augmentée. La consommation d'alcool serait augmentée. Les efforts d'application
de la loi contre les drogues seraient accrus. Cela ressemble à une contradiction, mais l'idée est que, en partie, la disponibilité
accrue des drogues fournirait une sorte de loi de la jungle selon laquelle les faibles et les inaptes seraient sélectionnés.
La même chose se produirait avec
l'alcool. L'abus d'alcool serait à la fois promu et rétrogradé. Les personnes
vulnérables et faibles réagiraient aux promotions et consommeraient et abuseraient donc davantage de l'alcool.
L'alcool au volant deviendrait plus problématique et des règles plus strictes
concernant la conduite sous influence seraient établies afin que de plus en plus de personnes perdent leur privilège de conduire.
"Tout le monde ne devrait pas être libre de
voyager comme il le fait actuellement aux États-Unis", a expliqué le Dr Dunegan en se référant à la conférence du Dr Day. « Les gens
n'ont pas besoin de voyager de cette façon. C'est un privilège !
Le besoin de plus de prisons et l'utilisation des hôpitaux comme prisons
!
Il faudrait plus de
prisons. Les hôpitaux pourraient servir de prisons. Certaines nouvelles
constructions d'hôpitaux seraient conçues de manière à les rendre adaptables à une utilisation semblable à celle d'une prison.
Plans révélés dans la bande 2 des bandes Dunegan :
plus de sécurité
crime utilisé pour gérer la société
réduction de la prééminence industrielle américaine
les populations et les économies changeantes - déchirant les racines
sociales
le sport comme outil de changement social
le contrôle des armes
éliminer la féminité, les poupées et les services à thé
le sexe et la violence inculqués par le divertissement
violence graphique
la musique va empirer
le divertissement comme outil pour changer les jeunes
restrictions de voyage et identification implantée
contrôle alimentaire
contrôle de la météo
politique
sachez comment les gens réagissent – faites-leur faire ce que vous voulez
recherche scientifique falsifiée
terrorisme
contrôle financier
surveillance, implants et télévisions qui vous regardent
Quand on sait que de Gaulle était maurrassien de formation, on ne s’étonne pas de cette filiation qui fait un peu mal à la gauche. Porte-parole quasi officiel du Marché et du grand patronat (on a failli écrire grand banditisme), Minc est sorti de son terrier d’hibernation pour fustiger les
Français égoïstes qui refusent de travailler plus pour gagner moins, tout ça pour éviter de supporter l’usure, vous savez, le taux d’intérêt sur la dette.
Officiellement, chaque année, 35 milliards partent dans la poche de nos créanciers, pas pour rembourser la dette, attention, mais les intérêts de la
dette ! C’est autant de moins pour les pompiers, les infirmières et les profs, et ça explique la démolition contrôlée – tiens, ça nous rappelle quelque chose – de nos services publics, plus
les milliers de soignants virés sans revenus pour avoir refusé une injection d’effets secondaires. Avec bien sûr, là encore, BlackRock et Vanguard en embuscade qui salivent sur les cliniques et
les assurances privées.
La France doit 3 000 milliards aux prêteurs, assène Minc, ce qui fait 15 mois d’activité (avec un PIB à 2 500 milliards). Comparativement à un ménage
français, ça revient à 50 000 euros de dette, soit la moyenne nationale, rien de bien grave. De plus, comme dirait Mélenchon, une dette peut s’annuler, les pays riches le font régulièrement aux
pays pauvres insolvables. Et les travailleurs Français sont devenus un pays pauvre dans le riche pays des oligarques...
Sauf que le chiffre – trois mille milliards – impressionne, et impressionne les pauvres qui sont acculés à la culpabilité par la légende médiatique, qui vient tout
droit des parasites oligarchiques : « Salaud de pauvre, c’est toi qui niques l’économie française ! » C’est en substance le discours que tient notre premier
sous-monarque.
Une immense crise financière menace. À moins d’agir vite, elle frappera, probablement au cours de l’été 2023. Et si, par procrastination générale, elle est
reportée, elle n’en sera, plus tard, que plus sévère. Nous avons encore tout pour la dominer vraiment, à condition de comprendre que c’est tout notre modèle de développement qui est en
cause.
La situation mondiale ne tient aujourd’hui que par la force du dollar, lui-même légitimé par la puissance économique, militaire et politique des États-Unis, qui
restent le premier refuge des capitaux du monde. Or ils sont aujourd’hui menacés par une très grave crise budgétaire, financière, climatique et politique :
La dette publique américaine atteint 120 % du PIB, sans tenir compte des garanties données par l’administration fédérale aux divers systèmes de retraites des
agents fédéraux ni du financement nécessaire des futures catastrophes climatiques. Or, depuis la mi-janvier 2023 le Trésor américain a atteint la limite de ce qu’il a le droit d’emprunter
($31.4Tr) ; les salaires des fonctionnaires et de l’armée ne sont plus payés que par des expédients (que la Secrétaire au Trésor dit ne pas pouvoir prolonger au-delà de début juillet 2023).
Les Républicains, qui contrôlent la Chambre des représentants, se préparent à proposer ce que la Maison Blanche dénonce déjà comme des « coupes dévastatrices qui affaibliraient la
sécurité nationale tout en accablant les familles de travailleurs et de la classe moyenne ». Et le projet des Démocrates, qui vise à une réduction du déficit en 10 ans, par une hausse
massive des impôts des plus riches, n’a pas plus de chance d’être adopté par le Congrès. Les Américains pourraient une fois de plus s’en tirer par une nouvelle hausse du plafond de la dette, dont
personne ne veut. Et qui ne résoudrait rien.
La dette privée n’est pas dans un meilleur état : elle atteint 16 900 milliards de dollars soit 2 750 milliards de plus qu’avant la crise du Covid-19 ;
soit 58 000 dollars par adulte américain ; ou encore 89 % du revenu disponible des ménages américains. Une bonne partie ne finance que des dépenses de consommation et l’achat de
logements ; en particulier, la dette immobilière atteint 44 % du revenu disponible des ménages américains, soit le plus haut niveau historique, supérieur à celui de 2007, quand elle a
déclenché la crise précédente. Et les Américains les plus pauvres continuent d’emprunter, avec la garantie de la Federal Housing Administration, pour acheter des logements avec un apport
personnel limité à 5 % mais des mensualités pouvant aller jusqu’à 50 % de leurs revenus ! Système intenable. (...)
À cela s’ajoute un climat révolutionnaire, où plus personne n’exclut une crise constitutionnelle, pouvant même conduire, selon certains, à la sécession de certains
États.
[...]
Comment l’éviter ?
Il y a à cela quatre solutions : des économies radicales, dans le même mode de développement, (qui ne feront que créer de la misère et de la violence) ;
une relance budgétaire et monétaire (qui ne fera que reporter l’échéance) ; la guerre (qui conduira au pire, avant peut-être d’ouvrir des opportunités pour les très rares survivants).
Qui est Caroline Roux ? C’est selon toute vraisemblance l’assistante de Jacques Attali. Elle relaie avec complaisance les éléments de langage du mage, à savoir
« panique » et « contagion ». Quand on sait l’importance de la confiance dans le fonctionnement économique...
Le 22 mars 2022, une plainte a été déposée devant le Pôle financier du Tribunal judiciaire de Paris par plusieurs plaignants, parmi lesquels
l’association BonSens.org et le Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens (CSAPE). Le fondement de la plainte est double. Les plaignants constatent, d’abord, que le
contrôle de la validité des lois par le Conseil constitutionnel est, depuis le début de l’épidémie de covid-19 et du déferlement législatif qui l’a accompagnée, entaché de partialité et
manque de probité. En cause, les liens entre, d’une part, le président du Conseil constitutionnel et son fils, ce dernier et un important cabinet de conseil, McKinsey France, d’autre
part, et, enfin, entre ce cabinet et l’État, le ministère des Solidarités et de la santé spécialement. Un délit qualifié de prise illégale d’intérêts par le Code pénal qui le réprime de de cinq ans
d'emprisonnement et d'une amende de 500 000 €.
Plus grave, ce que révèlent les faits est un acte de trahison, dirigé contre les intérêts de la France et des Français, ce que la loi
désigne comme l’atteinte aux intérêts supérieurs de la Nation,
l’un des crimes les plus graves du code pénal qui le punit de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 € d'amende. En l’occurrence, sont en cause des actes d’intelligences de responsables publics avec une puissance
étrangère, la société McKinsey France, elle-même filiale de McKinsey Inc., une société américaine.
La plainte vise, entre autres : Laurent Fabius, président du Conseil constitutionnel ; Jean Castex, Premier ministre ; Olivier
Véran, ministre des Solidarités et de la santé ; Amélie de Montchalin, ministre de la Transformation et de la fonction publique ; Victor Fabius, directeur associé chez McKinsey &
Company France ; Karim Tadjeddine et Thomas London, directeurs associés chez McKinsey & Company France ; la SAS McKinsey & Company ; Mohamed Jalil Bensouda,
président en exercice de McKinsey & Company France ; Clarisse Magnin, représentante en France de la société McKinsey & Company inc. ; Jérôme Salomon, directeur
général de la santé ; Alain Fischer, coordonner la stratégie vaccinale de l’État contre la pandémie de covid-19 ; Laetitia Buffet, responsable de la task force
interministérielle vaccination covid-19 ; Bernard Celli, responsable de la task force interministérielle vaccination covid-19. Charge à la justice
d’éventuellement compléter la liste.
Les plaignants sont représentés par Me Martine Baheux, avocate au barreau de Nice, qui nous en donne la teneur.
FranceSoir : Commençons par le plus important, "l’atteinte aux intérêts supérieurs de la Nation". Pourquoi viser cette
infraction d’une particulière gravité, rarement invoquée devant les tribunaux français ?
Me Martine Bahieux : En effet, si l'on fait exception des atteintes aux personnes qui sont graves par nature, c’est
probablement l’un des crimes les plus sérieux du droit français. L’atteinte aux intérêts supérieurs de la Nation vise à protéger celle-ci de toute forme d’actes menaçant un intérêt
national ou la population française.
L’atteinte aux intérêts de la Nation est une lointaine réminiscence du crime de lèse-majesté de l’Ancien régime, repris et modernisé par les
révolutionnaires, puis par des lois successives, le plus souvent pendant des périodes troublées (décret-loi du 14 novembre 1918, décret-loi du 17 juin 1938 ou encore ordonnance du 4 juin
1960). Aujourd’hui, l’infraction concerne les atteintes à la sûreté extérieure de l’État, c’est-à-dire des atteintes aux relations de l’État français avec d’autres puissances, aussi bien
que des atteintes à la sûreté intérieure, c’est-à-dire aux relations entre le peuple français et sa Nation, sa Constitution, en d’autres termes ses valeurs fondamentales.
Les intérêts fondamentaux de la Nation, ce sont nos institutions et les valeurs que nous partageons en tant que Nation. Ils sont explicités
par l’article 410-1 du Code
pénal. Ce sont : l’indépendance et l'intégrité du territoire, sa sécurité, la forme républicaine des institutions, les moyens de sa défense et de sa diplomatie, la sauvegarde de sa
population en France et à l'étranger, l'équilibre de son milieu naturel et de son environnement et les éléments essentiels de son potentiel scientifique, économique et de son patrimoine
culturel. Tout acte qui y porte atteinte doit être qualifié d’acte de trahison par le Code pénal.
Les applications devant les tribunaux ne sont pas fréquentes, et on les trouve essentiellement pendant les périodes troublées. Mais, ce sont
des temps troublés aujourd’hui et la prétendue urgence sanitaire a conduit à balayer des pans entiers du droit humaniste et des valeurs issus des Lumières, ce qui a facilité la commission
de crimes d’une telle gravité.
Quels sont les intérêts fondamentaux de la Nation que les plaignants reprochent aux ministres et aux responsables publics
visés ?
Venons-en aux faits. Il est reproché aux personnes poursuivies d’avoir laissé des sociétés privées très puissantes, telle que le cabinet
McKinsey, accéder au cœur même de l’État. Comme l’ont relevé les sénateurs au terme de la Commission d’enquête sénatoriale sur l’influence croissante des cabinets de conseil sur les
politiques publiques, dont le rapport est
sorti le 17 mars dernier, c’est un « phénomène tentaculaire », et l’enquête a montré que les cabinets privés ont désormais, au minimum, une « influence avérée
sur la décision publique ».
Les auditions au Sénat donnent une idée de l’ampleur des tâches confiées au cabinet McKinsey. Il est intervenu à tous les stades de la
décision publique, aussi bien pour déterminer la méthode et l’agenda gouvernementaux en matière de vaccination, que pour préparer des réunions stratégiques au plus haut niveau, parfois
sans que ses collaborateurs révèlent leur fonction aux autres membres présents. Des collaborateurs du cabinet ont été directement détachés dans les ministères et ont « rédigé des
notes administratives sous le sceau de l’administration ». Une pratique inconnue jusqu'alors, qui pose de sérieuses questions sur l’indépendance de l’administration par rapport
aux intérêts privés.
Citons simplement le cas d’un document interne au ministère des Solidarités et de la santé, du 23 août 2021, sur le déploiement de la
vaccination. Bien que constituant ce que l’on appelle en droit un document administratif, autrement dit un document qui, éventuellement, peut produire des effets juridiques, ce document
porte la signature du cabinet McKinsey. Pire, ce même document a ensuite été transmis au conseil de défense sanitaire, le 23 août 2021, conseil dont on sait que les avis ont pesé lourd
sur les choix en matière de politique sanitaire.
Ceci est renforcé par des pratiques d’aller-retours de ses collaborateurs et dirigeants entre le secteur public et les cabinets, communément
appelée « pantouflage », suscitant les légitimes inquiétudes « en matière de déontologie » de Didier Migaud, président la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). C’est pourquoi les sénateurs ne peuvent que constater qu’existe aujourd’hui une
« relation de dépendance (…) entre l’administration et ses consultants ». Le rapport décrit également la stratégie générale d’influence, via des think-tank
ou des publications du cabinet McKinsey.
En fin de compte, en préparant, en élaborant et en « priorisant les scénarios » de politiques publiques, qu’ils proposent
aux ministères, les cabinets parviennent à imposer leur manière de voir, soit la plus rentable pour eux. On est loin de la défense de l’intérêt général et de la protection des Français.
La commission sénatoriale estime que McKinsey a reçu près de 13 millions d’euros pour ses prestations de conseil pendant la crise sanitaire. Tout cela se déroule dans une opacité
importante, également dénoncée par les sénateurs.
Or, ces cabinets ont de la sorte accès à une masse considérable d’informations et de renseignements sur le fonctionnement même de l’État
dans ses moindres rouages dont, eu égard à l’absence de transparence de leur action, il est impossible de déterminer si certains n’ont pas un caractère confidentiel, voire relèvent du
secret d’État ou du secret défense.
En particulier, les responsables publics ont donné ou laissé l’accès au sein des ministères, des agences de santé et des établissements
publics hospitaliers, entre autres, aux données personnelles de santé des Français qui, depuis la loi du 11 mai 2020 prorogeant l’état d’urgence sanitaire, peuvent être collectées sans le consentement des personnes concernées et abondent deux
fichiers nationaux, SI-DEP et CONTACT COVID (article 11 de la loi).
La conséquence est que de telles informations pourraient, le cabinet McKinsey France, étant une succursale sous le contrôle de McKinsey
Inc., États-Unis, tomber entre des mains étrangères, société privée ou même gouvernement américain, ce qui est de nature à mettre en cause la souveraineté nationale. Le choix, très
critiqué, par exemple, par la Commission nationale de
l’informatique et des libertés (CNIL), du gouvernement d’héberger les données de santé des Français, stockées sur le Health Data Hub, sur une plateforme appartenant à la société
Microsoft, en est un autre aspect. L’attribution des contrats, le parcours de ces données et leur utilisation sont loin d’être clairs, ce qui a suscité de légitimes interrogations et a entraîné le dépôt d’une plainte par l’association Anticor.
C’est en considération du caractère hautement sensible de ces informations et de l’opacité qui entoure leur usage que l’on peut parler
d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et de trahison.
Vous reprochez aussi aux ministres et responsables publics visés le délit de prise illégale d’intérêts ?
En effet, le président de l’un des organes les plus essentiels au bon fonctionnement de l’État de droit (il contrôle la conformité des lois à la Constitution, avant leur entrée en vigueur), le Conseil constitutionnel, entretient, par l’intermédiaire de son
fils, employé par le cabinet McKinsey France, des liens avec ce cabinet. Or, ce cabinet, au terme de nombreux contrats passés avec les services de l’État et constamment renouvelés depuis
deux ans, est devenu, selon la commission sénatoriale, « la clef de voûte de la campagne vaccinale » et intervient de façon extrêmement poussée dans la politique
sanitaire du gouvernement. Gouvernement qui élabore les lois (projets de loi, par opposition aux propositions de lois qui sont déposés par les parlementaires) qui sont ensuite
soumise au contrôle du Conseil constitutionnel…
De telles situations de conflits d’intérêts peuvent survenir. Elles imposent alors le respect de règles de déontologie strictes qui
garantissent la probité, l’impartialité et la transparence de la décision publique, telle que, a minima, le fait de ne pas participer aux délibérations qui impliquent la personne
avec qui le décideur public entretient des liens d’intérêts (ce que l’on appelle le déport). De telles obligations de transparence
sont prévues par la loi pour l’ensemble des serviteurs de l’État. Le Conseil constitutionnel se trouve cependant dans la position particulière d’avoir le pouvoir de s’appliquer lui-même de telles règles de déontologie, sans aucun contrôle extérieur. Une situation qui ouvre la porte à toutes les dérives, comme nous l’observons
actuellement.
Soulignons que les délibérations auxquelles a participé Laurent Fabius, en dépit de la situation de conflits d’intérêts où il se trouvait,
concernent de lois fondamentales pour les Français, puisqu’il s’agit de l’examen de la validité des lois de gestion de la crise sanitaire, dont le Conseil constitutionnel avait pour
mission d’examiner la conformité à la Constitution, à la
Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789, au Préambule de la
Constitution de 1946 et à la Charte de l’environnement de 2005 (couramment appelé « bloc de constitutionnalité »). En effet, le Conseil constitutionnel, saisi par 60 députés ou 60
sénateurs, peut déclarer inconstitutionnels les articles d’une loi qui violerait ces textes fondamentaux. Les articles sont alors supprimés et n'entrent pas en vigueur avec la loi
promulguée.
Or, on le sait, parmi les lois soumises depuis deux ans au contrôle du Conseil constitutionnel, celles relatives à la gestion de l’épidémie
de covid-19 ont dramatiquement limité nos droits et nos libertés. On peut même affirmer que, subrepticement puisque les outils sont toujours en vigueur, nous sommes passés d’une société
de liberté à une société d’autorisation. Cela n’a pas empêché le Conseil constitutionnel de les déclarer systématiquement conformes au « bloc de constitutionnalité », sans aucune nuance et sans exercer le contrôle de proportionnalité qui
relève de sa mission, ceci de façon hautement contestable. On rappellera que ces lois ont privé de leur métier et de leurs moyens de subsistance de nombreux de nos concitoyens, au
prétexte qu’ils refusaient de se faire injecter une substance génique expérimentale dont les effets délétères pour la santé de la population se font cependant toujours plus sentir.
Pourtant, le président du Conseil constitutionnel ne s’est jamais déporté. En dépit du serment de probité et d’impartialité
qu’il a prêté lors de sa prise de fonction en 2016, il est resté au cœur de la prise des décisions du Conseil au sujet de la constitutionnalité des lois dans l’élaboration desquelles
l’employeur de son fils était impliqué. Ainsi, alors que tout serviteur de l’État est tenu par des obligations qui visent à prévenir les conflits d’intérêts et à garantir l’intégrité et
la probité dans la décision publique, Laurent Fabius s’en est, lui, allègrement affranchi depuis deux ans.
Peut-on parler de mélange des genres entre l’intérêt public et l’intérêt privé ?
Les faits que je viens de rappeler interpellent, la juriste que je suis, aussi bien que la citoyenne, tout comme les plaignants. Mais,
lorsqu’on regarde de plus près, on s’aperçoit que les choses ne s’arrêtent pas là.
En effet, les travaux de la Commission d’enquête du sénat sur l’influence croissante des cabinets de conseils privés sur les politiques
publiques, ont montré que les cabinets privés pèsent sur les politiques publiques de nombreux autres ministères, tels que le ministère de la Défense ou le ministère de l’Éducation
nationale, ministères stratégiques, s’il en est. L’examen des faits révèle aussi une implication démesurée du cabinet, jusqu’à la participation à la rédaction de textes de lois (projet de
loi, dit « Macron 2 », en 2016). Ceci est considérablement renforcé par les allers-retours et les liens multiples entre ces cabinets et les responsables publics, qui finissent
par constituer un obstacle aux missions d’intérêt général de l’État.
L’intervention de ce cabinet s’opère, de surcroît, dans une grande opacité quant aux sommes dépensées et quant aux missions confiées au
cabinet dans le cadre de la gestion de l’épidémie de covid-19. Pourtant, les contrats passés par ce cabinet avec les services de l’État sont des marchés publics, financés par l’argent du
contribuable. Ce constat a d’ailleurs incité les sénateurs à constituer la Commission d’enquête sur l’influence croissante des cabinets de conseils privés sur les politiques
publiques.
Beaucoup des faits révélés lors des auditions de la commission sénatoriale ont choqué les Français. Ils ont décidé les plaignants que je
représente à agir pour défendre les intérêts des Français et les intérêts fondamentaux de la Nation.
Il s’agit, par conséquent, d’une immixtion spécialement étendue et multiforme du cabinet McKinsey dans l’action de l’État. Il n’est pas
excessif de parler de substitution de ses collaborateurs aux agents publics et aux organes de décision en matière de politique publique sanitaire.
On parle donc de corruption au plus haut niveau. Que peut-on attendre de cette plainte, à l’heure où la justice semble vouloir
valider toutes les initiatives gouvernementales ?
Cette question est fondamentale aujourd’hui. Il n’est, en effet, pas inutile de rappeler que le rôle de la justice ne se limite pas à
trancher des litiges entre les citoyens ou entre les citoyens et l’État. La justice constitue un contre-pouvoir au gouvernement et au Parlement. Elle est ce qu’il est convenu d’appeler le
3ème pouvoir dont la mission de protéger les droits et les libertés prévus par nos textes fondamentaux (le « bloc de constitutionnalité » cité plus haut) contre l’emprise de
l’un ou l’autre des deux autres pouvoir (gouvernement et Parlement). C’est la théorie de la séparation des pouvoirs qui est un principe de niveau constitutionnel.
Or, à l’heure actuelle, on ne peut que déplorer que les juridictions, spécialement les juridictions administratives, le Conseil d'État en
tête, aient brutalement rejeté pour ainsi dire toutes les demandes des citoyens qui comptaient pourtant sur leur indépendance et leur impartialité pour procéder à un examen raisonnable et
mesuré des limitations des droits et des libertés auxquelles a donné lieu la gestion de l’épidémie de covid-19, à la lumière des principes républicains de liberté, d’égalité et de
solidarité.
On assiste à un phénomène inédit dans l’histoire de la justice française. Des milliers de procédures ont été ouvertes devant toutes les
juridictions (administratives, pénales, civiles, européennes (CEDH, CJUE), internationales (CPI). Elles ont, le plus souvent, été introduites spontanément par des citoyens, sans l’aide
d’un avocat. Ils ont, spontanément, estimé indispensable de se saisir de leurs droits pour défendre l’ordre public (c’est-à-dire les lois, les traités et la Constitution en vigueur) et
les intérêts fondamentaux des Français et de la France.
La justice a choisi de n’en rien voir et de n’en rien entendre. Rien que pour 2020, le Conseil d'État a rendu 840 décisions en urgence sur des
mesures covid-19. Pour les seules procédures en urgence, l’augmentation entre 2019 et 2020 est de 155% ! Ces décisions valident toutes, à peu de chose près, la stratégie sanitaire
gouvernementale ! Quant à la Cour de justice de la République, qui est compétente pour juger les délits et les crimes des membres du gouvernement, elle s’est bornée à rejeter près de
20 000 plaintes ! Il s’agit, dans un cas pareil, de déni de justice, ce qui constitue d’ailleurs, en théorie, un délit pénal...
Face à des faits aussi alarmants, les plaignants demandent la mise en œuvre immédiate de mesures conservatoires, autrement dit que le juge
d’instruction saisisse, par exemple, l’ensemble des documents pertinents pour l’enquête ou qu’il effectue toutes les perquisitions nécessaires à la manifestation de la vérité, afin que la
justice puisse se prononcer en toute connaissance de cause et qu’elle joue pleinement le rôle qui est le sien de contre-pouvoir au Parlement et, aujourd’hui, surtout au gouvernement. Un
rôle qui conditionne l’existence même de toute démocratie. C’est ce qu’avaient compris les révolutionnaires de 1789, qui décidaient dans l’article 16 de la Déclaration des droits de
l’Homme et du citoyen que « toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution »,
en d’autres termes une telle société n’est plus une démocratie.
Ne jamais oublier, que la Sécu est une caisse créée par l’ouvrier, pour les ouvriers La Cour des Comptes avait déjà signalé ces manques de versements et les détournements entre ministères... Mais visiblement inefficace Faites circuler ce message, que la France entière le sache on nous prend pour des gogos !
Pour une fois qu'un haut dirigeant nous dit la vérité. Evelyne DUBIN est passée sur "France Bleue" mais pas sur une chaîne de télé nationale,
pourquoi La sécu n'est pas en déficit mais en excédent ... 50 secondes pour comprendre pourquoi. Depuis le temps qu'on bouche le trou de la sécu
...
Il faut à Evelyne DUBIN, la signataire de ce document, une bonne dose de courage pour avoir écrit ce texte en se nommant (voir la fin du
texte). A TRANSFÉRER AUTANT DE FOIS QUE VOUS POUVEZ ! L'ASSURANCE MALADIE 50 secondes de lecture à couper le souffle.
Savez-vous que : 1) Une partie des taxes sur le tabac, destinée à la Sécu, n'est pas reversée: 7,8 milliards. 2) Une partie des taxes sur l'alcool, destinée à la Sécu, n'est pas reversée: 3,5 milliards. 3) Une partie des primes d'assurances automobiles, destinées à la Sécu, n'est pas reversée 1,6 milliard. 4) La taxe sur les industries polluantes, destinée à la Sécu, n'est pas reversée: 1,2 milliard. 5) La part de TVA, destinée à la Sécu, n'est pas reversée : 2 milliards. 6) Retard de paiement à la Sécu pour les contrats aidés : 2,1 milliards. 7) Retard de paiement par les entreprises : 1,9 milliard. En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de : 20,1 milliards d'Euros. Conclusion : Si les responsables de la Sécu et nos gouvernants faisaient leur boulot efficacement et honnêtement, si chacune des institutions reversait ce
qu'elle doit chaque année, les prétendus 11 milliards de trou seraient aujourd'hui 9 milliards d'excédent !
Ces chiffres ne sont pas inventés ; vous pouvez les consulter sur le site de la Sécu ; ils sont issus du rapport des comptes de la
Sécu. Si les pouvoirs publics, qui nous harcèlent au quotidien de messages publicitaires afin de consommer des fruits et légumes, étaient vraiment
convaincus qu'il nous faut consommer 5 fruits et légumes par jour pour sauver notre santé et donc l'assurance maladie, ils supprimeraient la TVA sur ces produits ! Cordialement. Evelyne DUBIN Secrétaire Générale Adjointe au Directeur Général Institut National du Développement Local Avenue Michel Serres BP 32 47901 AGEN Cedex 9
VOUS AUSSI, SOYEZ RESPONSABLES ! TRANSFÉREZ CE MESSAGE A TOUS VOS CONTACTS !
ET
Faites tourner cette vidéo. Il faut que tous le monde connaisse L'arnaque du gouvernement
concernant les retraites.
Un petit rappel sert toujours. Ne jamais oublier, que la Sécu est une caisse créée par l’ouvrier, pour les ouvriers !
La Cour des Comptes avait déjà signalé ces manques de versements et les détournements entre ministères... Mais visiblement inefficace. Faites circuler ce message, que la France entière le sache on nous prend pour des gogos ! Pour une fois qu'un haut dirigeant nous dit la vérité.
Evelyne DUBIN est passée sur France Bleue mais pas sur une chaîne de télé nationale, pourquoi ? La sécu n'est pas en déficit mais en excédent ... 50 secondes pour comprendre pourquoi. Depuis le temps qu'on bouche le trou de la
sécu... Il faut à Evelyne DUBIN, la signataire de ce document une bonne dose de courage pour avoir écrit ce texte en se nommant (voir la fin du
texte). A TRANSFÉRER AUTANT DE FOIS QUE VOUS POUVEZ ! L'ASSURANCE MALADIE 50 secondes de lecture à couper le souffle. Savez-vous que : 1) Une partie des taxes sur le tabac, destinée à la Sécu, n'est pas reversée: 7,8 milliards. 2) Une partie des taxes sur l'alcool, destinée à la Sécu, n'est pas reversée: 3,5 milliards. 3) Une partie des primes d'assurances automobiles, destinées à la Sécu, n'est pas reversée 1,6 milliard. 4) La taxe sur les industries polluantes, destinée à la Sécu, n'est pas reversée: 1,2 milliard. 5) La part de TVA, destinée à la Sécu, n'est pas reversée : 2 milliards. 6) Retard de paiement à la Sécu pour les contrats aidés : 2,1 milliards. 7) Retard de paiement par les entreprises : 1,9 milliard. En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de : 20,1 milliards d'Euros. Conclusion : Si les responsables de la Sécu et nos gouvernants faisaient leur boulot efficacement et honnêtement, si chacune des institutions
reversait ce qu'elle doit chaque année, les prétendus 11 milliards de trou seraient aujourd'hui 9 milliards d'excédent ! Ces chiffres ne sont pas inventés ; vous pouvez les consulter sur le site
de la Sécu ; ils sont issus du rapport des comptes de la Sécu. Si les pouvoirs publics, qui nous harcèlent au quotidien de messages publicitaires afin de consommer des fruits et légumes, étaient
vraiment convaincus qu'il nous faut consommer 5 fruits et légumes par jour pour sauver notre santé et donc l'assurance maladie, ils supprimeraient la TVA sur ces produits ! Cordialement. Evelyne DUBIN Secrétaire Générale Adjointe au Directeur Général Institut National du Développement Local Avenue Michel Serres BP 32 47901 AGEN Cedex 9 Tél : 05.53.48.06.74 / 05.53.48.06.74 Fax : 05.53.48.06.71 Mobile: 06.72.19.53.50 e.dubin@indl.fr VOUS AUSSI, SOYEZ RESPONSABLES ! TRANSFÉREZ CE MESSAGE A TOUS VOS CONTACTS ! A force de tourner, il s'affichera peut-être un jour sur l'écran d'ordinateur d'une tête pensante, d'un député, d'un ministre censé passer son temps
à gérer l'argent des contribuables et à le dépenser de manière responsable, sans créer de déficit. Alors, avec courage, il pourra (pourquoi pas ne pas rêver..) dénoncer au parlement ces
débordements connus, aujourd'hui, de toutes et tous. Sans oublier ce que l'Algérie DOIT à LA SÉCU quatre milliards, et les fausses cartes vital!!!!
11 février 2023
Le Soleil s'éteint à nouveau, préparez-vous...
De fortes chutes de neige
frappent le Liban - Gel des Balkans - Effondrement du vortex polaire (SSW) - Un des meilleur scientifique russe de l'espace : "Nous devrions craindre une chute de température profonde,
pas le réchauffement climatique".
De fortes chutes de neige frappent le Liban
L'Asie occidentale continue de se faire malmener par des dépressions anormales et des chutes de neige perturbatrices.
Le Liban et en particulier les districts du nord de Bsharri et de Keserwan sont touchés.
L'épaisseur de neige à Hadchit est de 1,2 m (près de 4 pieds), avec des accumulations beaucoup plus importantes affichées à des altitudes plus élevées
Le mont Hermon, dont le sommet chevauche la frontière syro-libanaise, connaît des conditions similaires
à celles de l'Arctique :
Gel des Balkans
Le froid touche également les régions de l'ouest, y compris la région des Balkans jusqu'au au sud-est de l'Europe.
La Turquie souffre de dépressions glaciales et de conditions de blizzard pour clôturer la semaine, ce qui aggrave la tragédie du tremblement de terre historique de lundi. Les personnes
touchées doivent choisir entre rester à l'intérieur, avec le risque d'effondrement des bâtiments, ou s'aventurer à l'extérieur, avec le risque d'hypothermie.
Le froid s'étend également à des pays comme la Bosnie, le Monténégro et la Serbie, avec des creux effrayants affichés ce matin.
Un remarquable -31.1C a été affiché à Romanina, à Întorsura Buzăului.
Une station des montagnes de Bükk, en Hongrie, a chuté à -23,9°C ce matin.
Cold Jans pour la Nouvelle Calédonie, la Martinique et la Réunion
Très brièvement :
Le mois de janvier 2023 en Nouvelle-Calédonie, Martinique et Réunion s'est terminé avec des températures moyennes inférieures à la moyenne multidécennale.
Vortex polaire (SSW)
La semaine prochaine, la stratosphère devrait amener un véritable événement de réchauffement stratosphérique soudain (SSW).
De multiples prévisions prévoient une inversion de la circulation stratosphérique d'ouest en est, se déroulant au cours de la seconde moitié de février (notez la ligne verte ci-dessous)
:
De plus, ceréchauffement stratosphériquesemble fort et menace d'être un événement record.
En plus des ensembles GEFS, comme indiqué ci-dessus, l'ECMWF s'en empare également.
L'ECMWF montre que le vent zonal s'inverse en territoire négatif, puis s'y maintient pendant une période
prolongée :
Cet événement est également visible dans la vague de réchauffement monstrueuse actuellement prévue pour la stratosphère moyenne (voir ci-dessous).
Cette onde devrait engloutir les régions polaires, se combiner avec un puissant "anti-vortex" polaire émergent au-dessus du Pacifique Nord/ouest de l'Arctique, puis "cracher" le vortex
polaire vers le sud :
Ensuite, la carte des anomalies de pression met en évidence ce puissant système anti-cyclonique, ou « anti-vortex ».
De telles fortes anomalies de pression déplaceront souvent le vortex polaire principal et inverseront la circulation.
Fait révélateur, ce réchauffement est également présent dans la stratosphère inférieure (c'est-à-dire environ 19 km ou 12 milles).
Plus le réchauffement est faible, plus l'événement est robuste
Atteindre ces niveaux soutien un événement très fort.
L'Amérique du Nord prévoit une autre explosion dans l'Arctique la semaine prochaine, mais cela n'est pas lié à l'événement SSW susmentionné.
Les SSW peuvent prendre une semaine ou deux pour avoir un impact sur notre météo de basse troposphère/latitude car leurs « effets » doivent « filtrer » de la stratosphère. L'injection de
froid imminent sur l'Amérique du Nord est un phénomène qui devrait augmenter pendant les périodes de faible activité solaire, comme la production historiquement faible que nous
connaissons actuellement.
Il est encore tôt, mais les conditions sont actuellement mûres pour un événement SSW faisant une course vers la basse troposphère, ou notre météo se fait sentir. Les solutions d'ensemble
étendu ECMWF et GEFS montrent un développement SSW. Alors tous les yeux sont vers le ciel.
Le meilleur scientifique russe de l'espace : "Nous devrions craindre une chute de température profonde, pas le réchauffement climatique"
« Le Soleil définit le climat, pas le dioxyde de carbone », déclare Habibullo Abdussamatov, éminent scientifique spatial russe (Dr. Sc. – Responsable du laboratoire de
recherche spatiale de l'Observatoire Pulkovo).
Les observations du Soleil montrent que le dioxyde de carbone n'est « pas coupable » de l'augmentation constante de la température observée au cours des dernières décennies, et que
ce qui nous attend dans les années à venir n'est pas un réchauffement catastrophique mais une baisse globale et très prolongée de la température.
Le léger réchauffement que nous venons de vivre avait une origine naturelle, la contribution du CO2 était insignifiante, le dioxyde de carbone ne sert pas d'explication, le Soleil
oui.
Le soi-disant « effet de serre » n'empêchera pas le début de la prochaine chute de température profonde, la 19e au cours des 7.500 dernières années, qui suit immanquablement le
réchauffement naturel.
"Nous devrions craindre une chute de température importante, pas un réchauffement climatique catastrophique", prévient Abdussamatov, qui était l'un des chercheurs présentés
dans le rapport du Sénat américain de 2009 sur plus de 700 scientifiques dissidents sur le réchauffement climatique d'origine humaine.
"L'humanité doit survivre aux graves conséquences économiques, sociales, démographiques et politiques d'une baisse de la température mondiale, qui affectera directement les intérêts
nationaux de presque tous les pays et de plus de 80% de la population de la Terre."
La température moyenne mondiale a déjà chuté de 0,75°C depuis le pic de 2016 (UAH), et une nouvelle baisse d'environ 1,25°C nous ramènera aux niveaux du minimum de Maunder
(alias le petit âge glaciaire) et nous savons tous à quel point cela s'est bien passé. pour l'humanité...
Le climat de la Terre est cyclique, jamais linéaire, et principalement influencé par le Soleil.
LA SUITE DE DAVOS L EVOLUTION COMME ILS ONT TOUS ETE EXECUTES CELA DEVIENT DIFFICILE DE FAIRE PARLER LES CLONES SUR DES INFORMATIONS QU ILS N ONT
PAS enregistrées......
Le Forum de Davos n'a duré que trois jours du 16 au 20 janvier 2023, mais il s'est passé beaucoup de choses qui, alignées les unes à la suite des
autres, peuvent nous donner une idée des grands changements qui s'opèrent :
Le premier jour, l'ancien secrétaire à la défense Chris Miller a fait courir la rumeur que Klaus Schwab ne participerait pas à la session
d'ouverture. Il s'est montré, mais seulement dans l'après-midi. Il a été annoncé par la suite que ni Bill Gates, ni George Soros, ni Joe Biden ne seraient présents.
Le même jour était publié un article expliquant le rejet par une grande partie de la communauté internationale des mesures de désindustrialisation
promues par le Forum de Davos sur la base de l'alarmisme climatique. L'agenda 2030 est rejeté au niveau international.
Deux des leaders d'opinion tels qu'Elon Musk et Ron de Santis ont placé Klaus Schawb dans le collimateur des conspirateurs mondiaux.
Le journal britannique The Guardian a publié un article dénonçant une sorte de "conspiration interne" au Forum de Davos visant à évincer Klaus
Schawb, jugé trop personnel dans son leadership. Cela n'a jamais été fait auparavant dans la longue histoire de l'organisation.
Selon Cliff High, la moitié des participants inscrits au forum ne se sont pas présentés, bien qu'ils aient payé leur cotisation, par crainte
d'appartenir à un groupe "conspirationniste".
Des journalistes indépendants abordent le patron de Pfizer dans la rue - pratiquement sans protection - et lui posent les questions que nous avons
tous rêvé de nous voir poser. Burlas devrait ravaler sa fierté et subir une lapidation publique car la vidéo a déjà été mise en ligne.
Et, enfin, l'annonce de la démission surprise, le 19 janvier 2023, de la première ministre néo-zélandaise, "fille" de Schwab, Jacinda Ardern.
L'exposition publique de l'élite qui complote contre l'humanité a commencé.
C'est pourquoi certains des principaux dirigeants d'entreprise ont commencé à tourner le dos à ce forum, parce qu'ils "sentent" que leur programme
n'est peut-être pas celui qui prévaudra en fin de compte.
Fraude électorale avec les machines à voter : la preuve en images par un informaticien Hollandais
!
Installer une mémoire lEprom sur un appareil de lecture relié à un ordinateur (système en vente partout pour une centaine d’euros). Connaître le contenu de lEprom demande un peu de travail au début, mais rien d’insurmontable, à en croire Rop : "N’importe quel bon informaticien peut faire ça.
On passe un mois la première fois, puis, une fois qu'on a compris, c’est beaucoup plus rapide".
Reprogrammer ensuite lEprom afin de favoriser le candidat désiré.
Le remettre dans la machine à voter.
Voilà, c’est fini.
Personne ne remarquera la modification.
TÉLÉVISION - Arte TV adiffusé un reportage à propos des effets secondaires sévères des vaccins
anti-Covid-19. Une rareté. Ce film de la réalisatrice allemande Silvia Kaiser, notamment composé de témoignages de victimes gravement atteintes par la vaccination, a été
proposé sur la grille des programmes de la chaîne le mercredi 8 février à 13 heures [ndlr :informations actualisées à propos des diffusions en fin d'article]. YouTube - malgré un
avertissement pour prévenir que le sujet est susceptible de “faire l’objet de
désinformation” - propose la vidéo qui dépasse le demi-million de vues [au 12 février
2023]. De quoi libérer la parole ?
En 2009, la chaîne de télévision Arte diffuse à une heure de grande écoute le film Les profiteurs de la peur, de Jutta Pinzler, réalisatrice allemande. En pleine grippe A, la parole est donnée à l’époque à des sceptiques de la gestion
politique de cette pandémie (classée ainsi selon l’Organisation mondiale de la Santé, OMS). Tel le médecin interne Wolfgang Wodarg, qui participera par la suite à l’accablant rapport du Sénat français (rédigé en 2010) à propos des solutions inappropriées et ruineuses retenues par les pouvoirs publics face au virus H1N1. Tels
de nombreux citoyens anonymes qui expriment leurs doutes quant à la nécessité d’une vaccination massive, évoquant à la fois les effets secondaires graves et le business opportuniste de l’industrie pharmaceutique.
Au-delà de l’émotion
En 2023, trois ans après le début de la crise sanitaire de la Covid-19 et deux ans après
l’injection des premiers vaccins censés protéger contre cette maladie, Arte
TV propose un nouveau film qui pose question quant aux conséquences de la gestion politico-administrative d'une crise sanitaire. Toujours réalisé par une Allemande, Silvia
Kaiser, il est cette fois diffusé dans la série Regards, de façon plus
confidentielle (pas en prime time à ce jour).
Intitulé “Vaccination anti-Covid, vivre avec les effets indésirables”, ce reportage-documentaire se focalise sur les victimes d’effets secondaires très graves du
vaccin anti-Covid-19.
Construit notamment autour d'un ensemble de témoignages poignants, le film a le
mérite d’aller au-delà de l’émotion. Il permet de comprendre les mécanismes qui ont peu à peu exclu les victimes de la vaccination d’une logique de soins de la part du corps médical,
les empêchant d’accéder à des dédommagements et, in fine, en les excluant
du débat public.
Si la participation de deux professeurs de médecine “pro-vaccination” anti-Covid-19 pondèrent, voire discréditent, les récits des victimes (y compris
ceux médicalement détaillés), leurs propos illustrent paradoxalement les mécanismes qui ont verrouillé dans l’opinion publique toute remise en question éventuelle de la politique de
vaccination. Jusqu’à en arriver, pour certains professionnels de santé, à négliger et oublier les victimes d’effets secondaires qui devraient être pourtant leurs patients les
plus prioritaires.
La chaîne Arte désormais plus discrète sur cette thématique ?
Contrairement au film de 2009, ici, point d’interventions comparables à celle de l’ancien
député allemand du parti social-démocrate Wodarg. Avec un propos qui aurait pu une nouvelle fois, par exemple, évoquer l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la mise en place
d’un discours médiatique uniforme, ici très favorable aux vaccins ARNm (forcément efficaces à 95% , forcément sûrs , forcément sans effets secondaires , etc), qui a la particularité de ne pas supporter la contradiction, y compris issue de la disputatio scientifique.
Arte a adopté de manière générale, au sein de sa ligne éditoriale, un plébiscite
pour les vaccins à technologie ARN messager, pourtant expérimentaux. Ces derniers sont présentés de façon dithyrambique dans plusieurs documentaires dont“l’ARNm nous sauvera-t-il du cancer ?” qui affirmait : “L'ARNm est un succès total contre la Covid, c'est tellement fabuleux qu'on pourrait
croire que le vaccin contre le cancer est pour demain”. Seule exception : un autre film de 90 minutes nommé “Big Pharma, labos tout puissants”, qui n’oublie pas de poser certaines questions relatives à cette industrie qui brasse des milliards et ne se limite pas à
vanter ses produits.
Malgré ce dernier effort cité, une véritable chape de plomb médiatique s’est abattue sur les
effets sérieux de la vaccination anti-Covid. S’exprimer à leurs sujets à la télévision dans le cadre d’émission de débats sérieux a été une quasi impossibilité, à peine sous le prisme
de l’émotion dans des talk-shows proches de la foire d’empoigne (comme les émissions bien connues de C8). Et lorsqu’une journaliste au professionnalisme reconnu s’y consacre, comme Lise
Dolmare dans son émission “Regards croisés” diffusée sur la chaîne Guadeloupe La première (groupe France Télévisions) le 9 décembre 2021 (avec le
témoignage de victimes de la vaccination et un professionnel de santé pour échanger), celle-ci est vertement recadrée par le ministre des Outre-Mer, Sébastien Lecornu, soit le pouvoir politique.
“La deuxième dose m’a vraiment fichu un coup”
Le reportage-documentaire de Silvia Kaiser ne connaît pas ce problème pour le
moment. La parole est libérée. Et elle impressionne terriblement. Dès le début du film, la voix-off donne le ton : “Depuis qu’il a été vacciné contre le Covid-19, Pascal Mertens n’arrive quasiment plus à
se déplacer.” Cet homme de 35 ans peine visiblement à effectuer tout mouvement. “Je suis un adulte dans le corps d’un enfant. Je ne suis plus capable de faire quoi que
ce soit”, dit Pascal. “Je me sens comme un papy de 70 qui se contente de
végéter dans son coin”, continue-t-il.
Pascal Mertens, jadis dynamique et sportif, est “aujourd’hui complètement dépendant”, a perdu “quinze kilos et souffre de paralysie partielle”. Il poursuit : “J’en suis arrivé à un point où se déplacer est devenu superflu. (...) Mes mains ne réagissent
pas comme je voudrais qu’elles le fassent. (...) Après la première dose, j’ai eu des convulsions dans les bras et les jambes. Mais pas de douleur. La deuxième dose m’a vraiment fichu
un coup. Je me suis senti de plus en plus faible, je me suis mis à tomber. (...) Quand j’ai vu que je n’arrivais plus à monter l’escalier, je suis allé consulter mon
médecin.”
Sa mère intervient quant à cette prise en charge médicale : “Les mois passent et rien ne bouge. Parce que ces malades n’existent pas. Ils ne sont pas
censés exister. Fin du débat.” Si la voix-off du reportage-documentaire veut soutenir l’idée qu’une “infime partie de la population souffre de séquelles post-vaccinales”, le problème de
l’abandon de l’État et du corps médical des malades est clairement soulevé.
“Pascal se sent abandonné”, indique la voix-off. Et pour cause. Un neurologue suit
Pascal. “Une personne très bien”, selon sa famille, qui “prescrit tout ce qu’il peut”. Mais à la question “cela peut venir du vaccin ?”, la réponse est sans appel : “Il m’a regardé avec un drôle d’air et m’a répondu ‘Non. Cela peut venir d’une sclérose en
plaque’”.
Symptômes du Covid long ou effet de la vaccination
?
Le parcours du combattant pour faire reconnaître la cause de la pathologie
commence. Sans cela, il est impossible d’espérer pouvoir solliciter des dommages et intérêts. La première étape pour essayer de trouver réparation est, par conséquent, de trouver des
praticiens qui acceptent d’écouter la parole des victimes. Avec l’esprit assez scientifique pour envisager rationnellement, après en avoir douté, la responsabilité du vaccin
anti-Covid-19. “Pascal espère arriver à obtenir un rendez-vous auprès du
professeur Bernhard Schieffer de l’hôpital universitaire de Marburg (ndlr : Région Hesse, Allemagne), responsable du service post-vaccination. Mais il est sur liste d’attente avec 6 500
personnes souffrant de syndromes post-vaccinaux.”
6 500 personnes, un chiffre qui s’accommode mal avec l’affirmation “infime partie de la population”. Si ce nombre est, bien évidemment, à relativiser,
en parler est nécessaire et affronter le regard des victimes de la vaccination, une nécessité. Car le problème soulevé par le film est bien celui-ci : le professeur Schieffer est
présenté comme “le premier médecin à avoir alerté sur (les effets secondaires),
il y a un an”.
Il précise lui-même : “Après le début de la campagne de vaccination, lancé avec un grand enthousiasme, nous nous
sommes confrontés à des gens qui avaient des symptômes du covid long, sans avoir de traces de contamination. Il s’agissait de personnes jeunes, principalement des femmes. Mais
relativement peu nombreuses par rapport à la masse des malades du covid long. Nous nous sommes alors demandés d’où venait ce phénomène.” Ainsi, pour bien répondre à cette
question, commencer par écouter les témoignages - et ne pas nier leur existence même - apparaît être une évidence.
Autre victime présentée dans le documentaire, Tamara Restlaff, 28 ans. Après sa
vaccination, la jeune femme est “constamment fatiguée”. Elle souffre
de “vertiges” et pour, elle aussi, le moindre mouvement lui
demande “de gros efforts”.“Je suis l’ombre de moi-même.” Les conséquences de ses effets secondaires heurtent
sa vie professionnelle : “Au début, les gens ont été très compréhensifs avec
moi. Mais au bout de cinq mois, on m’a licenciée. Cela fait un an que je suis en arrêt maladie. Mon indemnité ne durera pas éternellement…”
Renvoyée chez elle par l’hôpital, ce dernier… lui envoie des
malades
Employée en contact avec le public, elle a été l’une des premières à se faire
vacciner malgré le fait qu'avec la covid, au regard de son âge, elle ne risquait statistiquement à peu près rien. En effet, en reprenant les chiffres de Santé Publique France (et de
l’INSEE en 2021), pour les personnes issues de la classe d’âge de 20 à 59 ans, sur une durée de deux ans après le début de la crise sanitaire en 2020, 5 403 décès sont à déplorer sur
un total de plus de 33 millions de personnes (33 192 633). Autrement dit 0,016% de cette population. Un chiffre à retenir.
Tamara milite désormais sur les réseaux sociaux. Elle dit avoir “l’impression de pallier les manques du ministère de la Santé.” Pourquoi ? De
façon à peine croyable, les hôpitaux dirigent les patients vers elle, la malade. Le monde à l’envers et Tamara n’en revient pas : “Le gouvernement aurait dû prévoir que les choses pouvaient mal se passer. Je ne comprends pas
comment dans ce type de situation, on peut foncer tête baissée en se disant qu’il n’y aura pas d’effets secondaires. Pourquoi aujourd’hui n’y a-t-il plus d'accueil ? Pourquoi les gens
comme moi ne sont-ils pas aidés ?”, dit-elle.
“J’ai consulté plusieurs médecins spécialisés dans le Covid long. Mais à chaque fois que j’ai
dit que cela venait du vaccin, on m’a rejetée. On ne voulait plus me recevoir en consultation et on m’a renvoyé chez moi.” Le tabou du risque vaccinal. D’autres victimes en
viennent à penser au suicide, selon Tamara, qui indique ne pas avoir la formation en psychologie pour affronter cela. “Une femme s’est jetée par la fenêtre pas plus tard que la semaine dernière”,
déplore-t-elle.
L’inévitable balance bénéfice-risque
Une nouvelle fois, la voix off du documentaire se charge de pondérer ses propos
: “Depuis le début de la pandémie, 12,4 milliards de doses ont été faites. Dont
186 millions en Allemagne. L’écrasante majorité d’entre elles n’a représenté aucun problème mais certains graves symptômes” peuvent surgir. Et reprend les chiffres
de l’Institut Paul Ehrlich : “0,02% d’effets graves
indésirables (soit des pathologies suite à la vaccination développées depuis plus de 6 mois), soit 37 200 personnes. Une statistique moyenne observée en moyenne pour des vaccins
courants”.
0,02%. Rappelons le chiffre de 0,016% présenté plus haut. La “rareté” prétendue des effets secondaires peut-elle faire oublier la
problématique de la balance bénéfice-risque ? Peut-elle ignorer les questions quant à l’utilité de vacciner des populations non véritablement concernées “dans leur écrasante majorité” sans faire de distinctions relatives, par exemple,
aux différences d’âges ? A fortiori pour le cas des vaccins ARNm,
toujours expérimentaux. Plus encore pour des produits qui n’empêchent pas la transmission et n’ont pas été la cible de toutes les études de pharmacovigilance nécessaires à leur
évaluation définitive.
Premier professeur interrogé dans le reportage, Bernhard Schieffer tente
l’explication de l’origine des effets secondaires, liés selon lui à une inflammation “nécessaire” pour montrer une réaction à “l’antigène pour développer une certaine immunité” qui doit être “contenue”. Ce qui n’est pas toujours possible lorsque la personne vaccinée développe
simultanément d’autres infections, comme la borréliose, par exemple.
Vision sanitaire contre vision politico-sociétale
En revanche, le professeur Christoph Kleinschnitz, de l’hôpital universitaire
d’Essen (Rhénanie-du-Nord-Westphalie), ne s’encombre pas vraiment d’essayer de comprendre “le phénomène” décrit par le professeur Schieffer. Visionnant lui-même le témoignage
de Pascal Mertens et apostrophé par l’une de ses questions, si le professeur constate bien “une paralysie, un déficit neurologique”, il précise immédiatement que “cette pathologie est fréquente en neurologie et peut survenir au moment d’une vaccination,
par hasard”. Et si ce n’était pas le hasard ? “On ne peut pas parler de
séquelles post-vaccinales parce que des gens en parlent et cela ferait du tort à la campagne de vaccination.” Et met en avant un “bénéfice considérable”. Même pour des jeunes personnes de 28 et 35 ans
?
Kleinschnitz va encore plus loin dans son analyse qui, finalement, s’occupe peu
de raisons de santé : “Ensuite se poserait la question des indemnités. Il
faudrait déterminer qui pourrait les toucher et qui ne pourrait pas. Si l’on reconnaissait une relation de cause à effets, cela serait très coûteux pour la société”. Plus
coûteux que les contrats signés avec Albert Bourla (Pfizer) par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ?
Au sujet de la diffusion sur YouTube
Ce reportage a été rediffusé, si l’on saisit bien la grille des programmes
d’Arte [article modifié le 11/02 : précision apportée au sujet de la première diffusion du film qui a
été réalisée le mercredi 8 février à 13h, avant la rédaction de cet article], à une seule reprise, le vendredi 10 février, à 4h10 du matin.
Il est disponible depuis avant-hier jusqu’au 6 février 2024. Pour passer
outre le faible nombre de diffusions de ce reportage à la télévision, la chaîne YouTube d'Arte TV Regards reprend la vidéo en libre accès. Toutefois, un avertissement de
la maison mère de la plateforme vidéo, Google-Alphabet, invite le spectateur à “consulter les dernières informations sur le site du gouvernement français” au sujet
du vaccin contre la Covid-19. “Pourquoi ce message s’affiche-t-il ?”,
selon YouTube ?
Le télétravail s’est normalisé dans la société post-pandémique, en particulier dans certains secteurs. Cependant, maintenir la
motivation en travaillant à domicile peut être compliqué si certaines conditions ne sont pas remplies, étant donné qu’il s’agit d’une modalité de travail qui a encore des pratiques et des
coutumes à peaufiner.
Vous trouverez donc dans cet article plusieurs astuces pour que le travail à distance ne devienne pas lourd pour vous et pour
garder votre motivation au plus haut. Ne manquez rien, car ces temps changeants n’ont pas à se parcourir en solitaire.
Télétravail et motivation, comment sont-ils liés ?
Il y a quelques années, si on nous avait proposé de travailler à domicile, beaucoup d’entre nous auraient accepté sans hésiter.
Se débarrasser des environnements de travail toxiques,
gagner du temps et de l’argent vis-à-vis des transports, avoir un mobilier adapté à nos besoins… que des bénéfices, a priori.
Mais lors de la pandémie de COVID-19, lorsque cette réalité s’est matérialisée brusquement, avec la nécessité de mettre en
place des protocoles d’action très rapides, nous avons découvert que, même si cela semblait simple, ce n’était pas le cas. Dans un monde où la santé mentale et physique de la population
déclinait, le stress lié au passage à une modalité à distance (et les difficultés associées) était également élevé.
À partir de ce moment, des études se sont multipliées, dans lesquelles on relie le télétravail à la motivation. Jusqu’à
présent, 3 facteurs ont été identifiés comme ayant un impact négatif sur le niveau de motivation des employés. Étudions-les ci-dessous :
Augmentation de la demande de productivité : de nombreux travailleurs ont affirmé qu’ils subissaient des pressions et
qu’ils devaient être plus productifs simplement parce qu’ils étaient à la maison.
Réduction ou absence d’interactions sociales : les personnes qui remettaient une partie de leur socialisation au travail ont constaté une diminution de leur bien-être
psychologique en ce sens.
Manque d’encadrement et d’accompagnement : surtout chez les salariés qui débutent dans un nouveau poste, on a le sentiment
que leurs collègues et supérieurs ne sont pas présents quand on a besoin d’eux.
Comment rester motivé en travaillant à domicile
Si vous travaillez à domicile, vous avez sûrement dû faire face à un problème et l’avez résolu. Pourtant, garder une motivation
élevée peut être délicat : voici quelques conseils pour y arriver.
1. Évitez la monotonie
Avant, rentrer à la maison après le travail signifiait changer de décor. En télétravail, il suffit de se lever de son fauteuil
en fin de journée. Faire toutes vos activités quotidiennes au même endroit pourrait créer un sentiment de monotonie, qui à son tour diminue la motivation.
Par conséquent, profitez de votre temps libre pour faire quelque chose de différent à l’extérieur de la maison. La chose la plus simple à
laquelle vous pouvez penser suffira : se promener dans le parc, sortir boire un verre ou rendre visite à de la famille, par exemple. Dites-vous que ce précédent trajet ennuyeux vers votre lieu de
travail, puis vers votre domicile, peut désormais occuper un espace positif dans votre temps.
2. Trouvez des moyens de socialiser avec vos pairs
Si vous appréciez les afterwork ou les conversations devant la cafetière à la pause, il est fort possible que cette
socialisation vous manque. Mais vous avez de nombreuses alternatives pour la reprendre : organiser des réunions de temps en temps, ou prendre un café virtuel. Il y a sûrement d’autres personnes
dans la même situation que vous !
3. Donnez et exigez unfeedbackpour rester motivé tout en travaillant à domicile
L’un des avantages du travail en présentiel est la facilité d’interaction, accompagnée d’éléments favorisant l’empathie et la
coopération, comme le dialogue en face à face. À distance, en revanche, les interférences et les distractions peuvent se multiplier.
Dès lors, que vous occupiez un poste à plus ou moins grande responsabilité, pensez à protéger la communication dans les deux sens. Vous aurez peut-être besoin demain
de ce collègue qui appelle aujourd’hui parce qu’il a besoin de vous. Avec cette image mentale, réfléchissez au traitement que vous aimeriez recevoir.
4. Respectez vos temps de pause
Selon une étude publiée par la revue Industrial Engineering and Management Systems, il a été démontré que le manque de repos avait une influence négative sur le rendement. De la
même manière, travailler trop d’heures (ou faire beaucoup d’heures d’affilée) est préjudiciable au bien-être psychologique, de sorte que la motivation en souffrirait.
Le surmenage est l’une des principales causes du syndrome de burnout.
Par conséquent, respectez des horaires et faites des pauses. C’est important à court terme pour éviter la fatigue ; et
également à long terme, puisque la fatigue chronique et le manque de temps libre sont directement liés au syndromedeburnout, aux troubles
musculo-squelettiques et aux cadres psychologiques tels que l’anxiété généralisée et la dépression.
5. Pour rester motivé en travaillant à domicile, concentrez-vous sur les soins
personnels
Prendre soin de soi est un facteur de protection du bien-être psychologique. Il s’agit de la voie ou de l’outil qui a le plus
d’impact sur la motivation du travailleur et qui, de plus, est sous son contrôle. Pour cette raison, prenez du recul et gérez les exigences du travail, en comprenant qu’elles font partie d’un
contexte plus large : votre vie.
Le rôle du psychologue et la lutte sociale dans la motivation lorsque vous travaillez à
domicile
Lorsqu’il faut rester motivé en télétravail, toutes les mesures que nous pouvons mettre en place par nous-mêmes entrent en jeu.
Cependant, le rôle que jouent les entreprises à ce stade est tout aussi pertinent.
Malgré le fait que des recherches confirment que la productivité des employés est plus élevée lorsqu’ils jouissent d’un
bien-être dans l’environnement de travail, il s’agit toujours d’une question en suspens, tant dans le monde de l’entreprise qu’au niveau niveau social.. Pour cette raison, une partie de l’action
motivante devrait être d’exiger que votre entreprise active des plans de bien-être pour le travailleur.
D’autre part, le soutien et l’encadrement d’un professionnel de la psychologie est une ressource des plus utiles, car il vous aidera à mieux
gérer vos émotions et à acquérir des ressources psychologiques pour résoudre des problèmes dans le milieu du travail. N’oubliez pas que nous vivons à une époque où le poids du monde repose sur
les épaules de personnes individuelles, mais le monde pèse moins si nous le tenons tous ensemble !
LES TECHNOLOGIES DE CONTRÔLE DES MASSES
Publié le 19 Juillet 2016
LES TECHNOLOGIES DE CONTRÔLE
DES MASSES ET DES INDIVIDUS
SONT DÉJÀ AU POINT DEPUIS 1950.
Dans ce qui suit, nous allons parler de quelques brevets pour des armes dites «non létale», destinées à modifier le comportement humain. Cela
fait plus de 50 ans que différentes armées travaillent à des armes utilisant des ondes magnétiques pour influer sur le comportement d’une foule, d’une ville, voir d’un Etat
entier.
Les technologies de contrôle des masses et des individus sont déjà au point depuis des dizaines d’années, depuis l'époque de Nicola Tesla,
déjà.
Ces armes ont déjà été utilisées à de nombreuses reprises, dans le cadre de guerres ou de conflits internes.
Il faut aussi savoir qu’on a cartographié les réactions du cerveau en fonction des fréquences des différentes émotions, pensées, comportements. On
sait ainsi quelles ondes il faut envoyer, à quelle fréquence et quelle amplitude, pour obtenir une réaction précise chez une personne cible ou chez un groupe d’individus. En 1961,
on savait déjà, par exemple, qu’il était possible de provoquer de la tachycardie en envoyant des micro ondes à un sujet. Depuis, les armes à énergie dirigée sont nec plus ultra du
contrôle mental.
Procédé et dispositif associées à la détermination à distance des informations quant à l'état émotionnel de la personne, en faisant une comparaison des
émissions d’ondes électromagnétiques de cette personne.
Il s’agit de détecter à distance les états émotionnels d’une personne en détectant les ondes électromagnétiques émises par cette personne. On peut
aussi surveiller la position d’une personne, transmettre des ondes électromagnétiques (et donc des comportements précis) à cette personne. On peut aussi agir sur le métabolisme de
la cible, ou savoir si la personne va faire une attaque cardiaque.
On notera que ce système n’est toujours pas utilisé dans nos hôpitaux, mais que les brevets sont bien déclarés.
Ce système permet aussi de tester l’état d’une personne qui entre dans une certaine zone : par exemple on verra si la personne a des intentions
criminelles (car la plupart du temps, ces personnes ont un pouls qui bat plus vite, davantage de transpiration et une pression artérielle plus importante).:
Procédé et méthode pour déterminer à distance l’état émotionnel d’une personne.
Après avoir déterminé les fréquences des différentes émotions du sujet, un détecteur capte les changements de fréquence émises par le sujet et
traduit ces informations pour décrire quel est l’état émotionnel de la personne visée. Ce système peut être très efficace dans le cadre d’un interrogatoire, d’autant que le
système prend aussi en compte la pulsation du cœur, le débit sanguin, la dimension des pupilles, la respiration etc.
« Des effets physiologiquesont été observés chez un sujet humain en réponse à la stimulation de la peau avec de faibles champs électromagnétiques
qui sont pulsés à des fréquences proches de 1/2 Hz ou 2,4 Hz, comme pour exciter une résonance sensorielle. De nombreux moniteurs d'ordinateur et les tubes de télévision, lors de
l'affichage des images pulsées, émettent des champs électromagnétiques pulsés des amplitudes suffisantes pour provoquer une telle excitation. Il est donc possible de manipuler le
système nerveux d'un sujet en pulsant images affichées sur un écran d'ordinateur ou à proximité du téléviseur », explique la fiche de ce brevet.
« Pour un écran d'ordinateur, les impulsions de l'image peuvent être produites par un programme informatique adapté. La fréquence des impulsions
peut être commandée par l'entrée de clavier, de sorte que le sujet peut accorder à une fréquence individuelle de résonance sensorielle. L'amplitude des impulsions peut aussi être
commandée de cette manière. Un programme écrit en Visual Basic (R) est particulièrement adapté pour une utilisation sur les ordinateurs équipés de Windows 95 (R) ou Windows 98
(R). La structure d'un tel programme est décrit. La production d'impulsions périodiques nécessite une procédure de synchronisation précise. Une telle procédure est élaborée à
partir de la fonction GetTimeCount disponible dans l'interface de programmation d'application (API) du système d'exploitation Windows, avec une procédure d'extrapolation qui
améliore la précision de la synchronisation ». Cela peut aussi se faire à distance, bien sûr.
Ce système permet d’agir sur le cerveau d’une personne, après avoir identifié les différents états cérébraux de la cible, en déterminant la
différence entre l’état du cerveau de la personne, et l’état désiré.
On applique un champ magnétique précis au cerveau de la cible, via des aimants puissants, jusqu’à ce que le cerveau fonctionne comme voulu.
On créé un refroidissement pulsatoire subliminal à la cible via des ondes envoyées à certaines fréquences. Le cerveau a ainsi l’information que le
corps a refroidi, et passe dans une phase de ralentissement.
À l'heure actuelle , deux grandes résonances sensorielles sont connues, avec des fréquences proches de 1/2 Hz qui provoque la relaxation, la
somnolence, ou même une excitation sexuelle suivant la fréquence, et 2,4 Hz qui provoque le ralentissement de l’activité du cerveau. On peut même endormir quelqu’un à
distance.
D’ailleurs, un brevet déposé en janvier1973 (USP # 3,712,292) permet d’endormir quelqu’un en lui projetant des sons.
On émet des ultrasons avec une amplitude et/ou une fréquence modulée, on les amplifie et on le diffuse pour atteindre un individu ou un groupe
d’individus dans une zone précise. Les gens entendent ainsi un son dans leur tête, comme s’il venait d’à côté.
Il est clair que cette invention est destinée à neutraliser une foule récalcitrante en lui envoyant des sons neutralisants. Une méthode qui existe
depuis la deuxième guerre mondiale au moins.
On sait qu’une foule exposée à des sons agressifs, comme le bruit d’une craie sur un tableau, ou des cris de bébé, peut avoir des comportements
irrationnels.
On peut aussi, par exemple, imiter des crissements de pneus ou des bruits de freins pour une personne en fuite.
Avec des vibrations de basse fréquence (moins de 20Hz), on produit des effets sur le corps, comme des nausées et un sentiment général de malaise.
Cela augmenterait aussi la suggestibilité de la foule.
« Les effets sur l'humeur d'une personne semblent être causés par l'impact de fréquences proches de la fréquence alpha des ondes cérébrales. Un
phénomène appelé «entraînement» se produit lorsque le cerveau est stimulé à des fréquences proches de 10 Hz. Cela signifie que la fréquence naturelle du cerveau est amenée au plus
près et parfois égale à la fréquence de stimulation. Un cerveau normal affiche un premier plan "alpha" (de 8 à 12 Hz) lors d’une vigilance détendue. La vigilance tendue, telle que
celle provoquée par la conduite autoroute, conduit à un motif «bêta» avec une fréquence de 13 Hz ou plus. Un état détendu proche du rêve provoque un motif "thêta" de fréquences
4-8 Hz », précise la notice de ce brevet.
On peut aussi empêcher une foule d’entendre ce que dit un orateur, par exemple en diffusant ce qu’il dit par haut parleur avec un léger
décalage.
Ce système n’est pas détectable par des systèmes radio.
Il permet de convertir des signaux audio, y compris la voix humaine, en signaux électroniques de type ultrasons. Ces ondes pourront passer par des
milieux solides, gazeux ou liquides. Les sous-marins utilisent ce type de système pour communiquer
Brevet de mai 1991
Un procédé et un appareil pour produire des communications subliminales visuelles plus efficaces. Des images graphiques et / ou texte, présenté de
manière subliminale, à des intervalles rythmiques organisés, destinés à influer sur la réceptivité de l'utilisateur, l'humeur ou le comportement.
Evidement, ces images ne sont pas perceptibles consciemment. On sait que ce système peut permettre d’arrêter de fumer, par exemple.
On sait aussi que les « Rythmes visuels, tels que ceux créés par des lumières stroboscopiques ou le changement rapide de scènes de films ont une
forte influence sur la réceptivité de l'homme, l'humeur et le comportement ».
On induit des sons dans la tête d’une personne en l’irradiant au niveau de la tête avec des micro ondes d’une gamme de 100MHz à 10.000MHz, modulées
d’une manière précise, par rafales modulées. Chaque salve est constituée de 10 à 20 impulsions uniformément espacées et groupées étroitement ensemble. La longueur de la salve est
comprise entre 500 nanosecondes et 100 microsecondes. La cible aura ainsi l’impression d‘entendre clairement un son.
En 1971 déjà, on a pu implanter des paroles dans la tête de quelqu’un en lui posant des électrodes.
Un signal pulsé à une fréquence d’environ 1.000 MHz créé un son intelligible dans la tête s’il est dirigé vers la tête de la personne.
Ce brevet est ancien: 1962.
Il avait pour but d'exciter le système nerveux d'un sujet via des
ondes électromagnétiques. On pouvait même communiquer des paroles à ce sujet, via des ondes émises à des fréquences non audibles en direction du système nerveux de la
cible.
Les candidats assassins
L’un des buts recherchés par ces programmes de contrôle mental, dont
Bluebird dans les années 50, était de former le soldat parfait : un soldat qu’on peut envoyer chez l’ennemi pour faire les pires missions, mais qui ne se souviendra de rien et
qui ne dira donc rien à l’ennemi s’il se fait prendre. Ce soldat pourra assassiner, avoir des relations sexuelles pour recueillir des informations, transporter des objets ou des
dossiers… Sans jamais être conscient de ce qu’il fait.
Des documents de la CIA datant des années 50 et 60mentionnent ces programmes, qui ont toujours cours aujourd’hui. On parle de Manchurian Candidate, du nom d’un film de 1959 avec Frank Sinatra.
Dans les années précédant la deuxième guerre, un savant fou, Walter
Hess, était capable, avec des électrodes connectées à l’hypothalamus, de faire changer de comportement à des chats, qui devenaient soudain très féroces. Hess a obtenu a obtenu
un prix nobel pour sa superbe invention en 1940. Il a aussi travaillé sur les humains, en leur implantant des électrodes dans le cerveau.
Dans les années 50, un certain José Delgado a fait la même chose, mais
sans les électrodes : via des implants dans le cerveau. Il a ainsi pu stopper un taureau en pleine
course, ou manipuler des chats et des chiens comme des robots télécommandés, après leur avoir implanté un système dans le cerveau. Après on n’entend plus parler de cette
technologie pendant des années. Comme si un domaine aussi prometteur allait être laissé en friche.
Ainsi, en 1951, on a testé l’hypnose sur deux cobayes âgées de 19 ans, et on a vu qu’on pouvait les endormir par un simple coup de téléphone, grâce à un signal, un
code discret et indétectable. Et que n’importe qui pouvait émettre ce signal. On a aussi vu qu’on pouvait utiliser ces cobayes pour transmettre des messages de manière
inconsciente. En 1954, la CIA est parvenue à faire tirer un cobaye avec une arme à feu, sous hypnose. On pouvait aussi pousser les gens à se suicider sous hypnose.
A cette époque, la CIA travaille sur le projet
Artichoke[1]. Dans un mémo de la CIA daté de janvier 1952, la
ligne directrice de ce programme de recherche est donnée : « Nous est-il possible de contrôler une personne au point où celle-ci fera ce que nous lui demandons, même contre sa
propre volonté, et y compris contre les lois fondamentales de la nature, comme celle de l'auto-préservation ? »
En 1952, un hypnotiseur connu a
expliqué qu’iltravaillait pour la CIA deux jours par semaine de manière ultra confidentielle. Il explique que si un sujet refuse de coopérer pour être hypnotisé, on lui fait
prendre du sodium amytal ou du penthotal[2], des
barbituriques.
En 1954, Morris Allen dit qu’il veut créer l’assassin parfait
par l’hypnose. Mais à ce moment, il fallait quelqu’un de très suggestible (une personne sur cinq) et qui ait une tendance à la dissociation. On a cherché en Europe un agent
des renseignements qu’il a transformé en gauchiste, membre du parti communiste. Il était hypnotisé en pensant qu’il s’agissait d’un traitement médical. Une fois que l’agent a été
bien préparé, on l’a fait travailler comme espion pour la CIA.
En 1954, Allen Dulles, chef de la CIA, confie les recherches sur la modification du comportement à Sidney Gottlieb et à l’équipe qui travaillait sur
MK Ultra[3]. Gottlieb a mené des recherches sur les effets du
LSD, y compris avec des cobayes non volontaires. En 1973, quand le congrès US a cherché à savoir ce que manigançait la CIA, c’est lui qui a détruit la quasi-totalité des fichiers de concernant MK Ultra.
Il était appelé « le sorcier noir » par certaines de ses victimes. On peut encore ajouter que Gottlieb, mais aussi Richard Helms, alors patron de la
CIA, George White[4] et Morris Allen ont été accusés par une certaine
Claudia S. Mullen [5] de l’avoir obligée à des relations sexuelles
dès ses 9 ans, dans le cadre de sa programmation comme esclave sexuelle, en 1959 (mais apparemment, on
lui a seulement dit qu’elle était acceptée dans un programme destiné à stopper le communisme). Mullen était là pour apprendre « comment plaire sexuellement aux hommes »
afin de les faire parler d’eux. Ensuite, les types visés (politiciens, hauts fonctionnaires…) étaient filmés dans des chambres d’hôtel à la Nouvelle Orléans, équipées par la CIA,
pendant les actes pédophiles, dans le but de les faire chanter.
Un certain Alden Sears a repris les recherches sur l’hypnose sur des sujets
non consentants à l’université de Denver, pour créer cet assassin parfait. Il est aussi parvenu à faire retenir des textes complexes à ces cobayes, ou à leur faire mémoriser des
lieux, des scènes en détail, et à les retranscrire sous hypnose, tout en oubliant avoir été programmés.
Gottlieb était l’incarnation du scientifique destructeur. Il a par exemple contribué à répandre le LSD, découvert par Hoffman en 1953, parmi les
jeunes contestataires. Gottlieb a été le chef de la division chimie de la CIA à la fin des années 50, et il a lancé pas moins de 149 expériences de contrôle mental, dont au moins 25 impliquaient des sujets non
consentants[6] auxquels on a fait prendre du LSD. La CIA a ainsi
développé l’usage de LSD et de cocaïne, en forçant les prostituées des bordels à en proposer à leurs « clients », qu’on observait ensuite en plein délire.
Le très décrié Ewen Cameron, dont on a aussi déjà parlé (et
qui a été désigné par Claudia Mullen comme le n°1 des laveurs
de cerveau de la CIA), était le président de l’American Psychiatric Association et de la World Psychiatric Association. Ce qui ne l’a pas empêché de travailler pour le programme
MK Ultra, avec des fonds de la CIA[7], dans son hôpital canadien. Il
va sans dire que les patients, qui ont subi des électrochocs combinés à des privations sensorielles
et à des cocktails de drogues, n’étaient pas volontaires. Ses recherches visaient surtout à
re modeler l’esprit des sujets.
En 1971, un certain Goerge Estabrooks, psychologue et hypnotiseur proche de la CIA et du MI5 depuis les années 20, expliquait avoir « programmé » plusieurs espions US durant la 2e guerre mondiale. Un capitaine a ainsi été programmé
pour qu’il oublie avoir été hypnotisé, et Estabrooks a permis à un autre militaired’agir sur le capitaine par
hypnose, via la phrase « la lune est claire ».
Dans les années 20, on savait déjà créer des personnalités multiples par hypnose. Estabrooks a ainsi créé deux personnalités chez un soldat, l’un des
deux étant devenu communiste, et ayant même pris sa carte du parti. La deuxième personnalité était plus profonde, et savait tout ce que pensait la première personnalité. Elle
était anticommuniste, et avait pour ordre de ne pas agir durant les phases de conscience. Pour Estabrooks, « l’hypnose est une arme dangereuse qui rend impératif d’éviter la
guerre de demain ».
De fait, la liste des médecins
corrompus qui ont travaillé à détruire l’homme plutôt qu’à le guérir est extrêmement longue, rien que pour les Etats-Unis.
Les armes électromagnétiques
Ca, c’était un peu la préhistoire du contrôle mental.
Aujourd’hui, on est passé aux armes électromagnétiques, qui permettent d’obtenir les mêmes résultats, et même mieux, puisqu’elles peuvent être
dirigées contre des populations entières.
On les appelle des « armes non létales » car elles sont censées ne pas tuer les cibles. Mais, il y a toujours des « dommages collatéraux ».
Dans les années 50 déjà, les russes ont utilisé ces armes contre l’ambassade US à Moscou, et beaucoup d’employés ont déclaré des cancers dans les
années suivantes. Cela a servi de prétexte aux USA pour développer ces armes. Alors qu’en réalité, ils y travaillaient déjà depuis le début du siècle.
En mars 1976, la CIA a publié un document sur les effets biologiques des armes électromagnétiques. Evidemment, il ne s’agit en l’occurrence que des
expériences menées par l’URSS[8]. On nous y explique, par exemple
:
Que « des sons et probablement même des mots qui semblent provenir de l’intérieur du crâne peuvent être induits par la modulation d’un signal
à une intensité de pouvoir de moyenne basse ».
Qu’on est parvenu à tuer des animaux par attaque cardiaque ou une rupture d’anévrisme en utilisant des micro ondes de basse intensité.
A cette époque, on classifiait les effets de ces armes à micro ondes en deux catégories : effets thermiques et non thermiques.
Les effets sur des « systèmes biologiques » on a noté qu’ils variaient suivant la modulation de ces ondes.
On a noté des effets sur le sang au bout de quelques jours d’irradiation : variations biochimiques, modification de la coagulation, altération du
système de formation du sang. L’exposition à long terme à de Ultra Hautes Fréquences (UHF) modifie la composition du sang et des muscles en réduisant la présence de fer. Chez
des poulets, on a observé l’augmentation des protéines et d’autres éléments, avec une baisse du taux de plasma et d’albumine. Il y a aussi des changements de la structure
nucléaire du système lymphatique. Et plein d’autres choses inquiétantes. Chez l’homme, on peut augmenter la coagulation du sang avec ces micro ondes, si bien qu’on peut aussi
créer un AVC ou une attaque.
Il y a aussi (chez l’homme) des changements du système cardio vasculaire, dus notamment à des changements du système nerveux central. Problèmes
coronariens, hypertension, perturbation des lipides dans le métabolisme…
Modification au niveau des cellules et problèmes pour les structures de synthétisation des protéines.
Suite aux modifications du système nerveux central, les sujets ont constaté : des maux de tête, de la fatigue, des désordres au niveau des
menstruations, de l’agitation, de la tension, des insomnies, des manques d’attention, de la dépression, de l’irritabilité.
Il y a aussi des dommages neurologiques: "l’exposition de lapins à de bas niveau de radiations par micro ondes a résulté en une altération de
l’activité électrique du cerveau". Suivant l’exposition du lapin, les altérations physiques du cerveau seront plus ou moins importantes, jusque dans les cellules.
Altération du système digestif.
Altération du système visuel.
Problèmes de reproduction : baisse de la fonction reproductive des ovaires, baisse de 20% de la fertilité des femelles, augmentation des bébés
morts nés, poids plus faible.
Effets sur les gènes également dès la deuxième génération.
Les armes à micro ondes sont utilisées contre les populations depuis des dizaines d’années. En Angleterre, il se dit que dans les années 80, lors des
grèves de mineurs, Thatcher avait installé des émetteurs dans les quartiers populaires où ils vivaient, afin de les rendre apathiques. Il se dit aussi que ce système a tellement
bien fonctionné que Thatcher en a ensuite équipé toutes les grandes villes.
Il s’agit en l’occurrence d’armes qui émettent des extrêmement basses fréquences (ELF pour « extremely low frequency ») ou à l’inverse des ultra
hautes fréquences (UHF), dont le but est d’interférer sur le cerveau pour transformer les gens en zombies. D’après certains, on peut utiliser des téléphones portables pour relayer
ces ondes, car ils ont été conçus dans ce but également.
C’est l’Institut Tavistock[9],
spécialisé dans la modification du comportement humain, qui aurait
développé ce système à partir des années 50. Dans les années 60, le Dr Ross Adey a travaillé sur le Pandora Project pour la CIA et le MI5, dans le domaine du contrôle mental à
distance (RMCT, « remote mind control technology »). Il a exploité les ondes ELF (1 à 20 Hz) qui avaient des effets psychologiques et biologiques sur l’homme. Ils ont trouvé que
les fréquences de 6 à 16Hz avaient des effets importants sur le cerveau et les systèmes nerveux et endocrinien. Plus tard, il s’est avéré que ces ondes peuvent aussi endommager
l’ADN. Il a combiné des ondes ELF avec des ondes UHF notamment, pour en amplifier les effets.
On a aussi utilisé ces armes, par exemple, à la base US de Greenham Common en Angleterre, autour de laquelle des pacifistes (dont une grande majorité
de femmes) manifestaient depuis des mois[10]. Fin 1984, ces femmes ont été visées par de hauts niveaux de radiations
par micro ondes, et un certain nombre d’entre elles sont mortes du cancer. Apparemment, on peut coller un cancer à quelqu’un à distance en modifiant l’ADN via les ELF.
Au même moment, une quarantaine de femmes qui se trouvaient à des endroits différents autour de la base ont ressenti exactement les mêmes symptômes.
Ou elles remarquaient qu’elles étaient soudain extrêmement fatiguées juste avant des événements importants, comme le départ d’un missile de croisière ou quand une grosse
manifestation était prévue. Quand ces armes ont commencé à être utilisées suite à l’installation d’une nouvelle antenne dans la base, la présence policière s’est fortement
réduite.
Très vite, certaines de ces femmes ont
compris qu’elles ne pouvaient pas rester près de la base plus que quelques heures. D’après elles, on a utilisé différentes fréquences contre elles, afin d’obtenir un cocktail
d’effets indésirables, à la fois physiques et psychologiques, allant de paralysies temporaires à de la désorientation, en passant par des brûlures, des vertiges, des pertes de
mémoire. Apparemment, des scientifiques ont constaté de hauts niveaux de radiations électromagnétiques autour de Greenham Common, et surtout dans les endroits où les victimes ont
noté des effets indésirables. On sait également que les flics et militaires chargés de surveiller la base ne travaillaient que par tranches de deux heures, et seulement pendant 2
semaines.
On aurait aussi testé ce système à Brighton pour faire partir les vagabonds du centre ville.
Suivant la fréquence utilisée, les effets sont différents, allant de la dépression (6,66Hz) au cancer, en passant par de la schizophrénie, de la
paranoïa (4,5Hz) des attaques cardiaques etc.
Les anglais les utiliseraient aussi à Chypre, afin d’exciter la population des Chypriotes grecs pour qu’ils virent les turcs et laissent les anglo US
faire ce qu’ils veulent à Chypre[11]. Les catholiques d’Irlande du
Nord ont aussi subi des cancers mortels en masse dans les années 80, selon le Dr Damien Burn et la militante Mary Allen. Des cancers qui n’existaient quasiment pas sont soudain
apparus très fréquemment, dans des rues entières.
Une fois qu’on a fait la liste de tous les états du cerveau possibles, avec les fréquences émises par le cerveau pour chacun d’entre eux, il est très
simple de manipuler quelqu’un à distance. On peut ainsi viser une personne précise dans une maison de plusieurs personnes, sans que les autres ne sentent rien.
On peut aussi créer une paralysie à un sujet, toujours en émettant des ondes qui entraînent une réaction physique de la personne. On peut effacer la
mémoire récente de la même manière.
Avec un système spécial qui envoie des micro ondes, appelé MASER, on peut même faire de la "télépathie synthétique". D’ailleurs, récemment des
expériences ont montré qu’un ordinateur pouvait déchiffrer des pensées humaines. On peut aussi lire les pensées de quelqu’un à distance après avoir scanné les ondes
électromagnétiques émises par le sujet dans différentes situations[12].
On sait aussi, semble-t-il, manipuler le système nerveux d'une cible en diffusant des images pulsées
D’après Tim Rifat, l’Angleterre utiliserait ce système contre des citoyens récalcitrants au moins depuis la fin des années 80.
Aux Etats-Unis, un certain nombre de gens se disent victimes de harcèlement électromagnétique et désignent souvent le gouvernement comme responsable. Mais, d'autres expliquent par exemple qu'ils ont commencé à
avoir des problèmes après avoir porté plainte, par exemple contre un cabinet d'avocats ou un politique. En fait, on peut fabriquer soi-même de quoi harceler son voisin avec des
ondes électromagnétiques dirigées. Plusieurs procès ont déjà eu lieu à ce sujet.
L’une d’elles, Vicki Casagrande, une ingénieure, a expliqué devant une
commission sur les victimesd’harcèlement électro magnétique que les victimes pouvaient être totalement contrôlées à distance : « les muscles peuvent être relâchés ou
contractés, que ce soit légèrement ou violemment. Mais, ces effets peuvent aussi être placés dans le cerveau juste comme une sensation (…) Les victimes peuvent avoir
froid par 40°C dehors, et on a déjà eu très chaud en étant en short dans la neige ».
Casagrande explique que certaines personnes auraient des implants dans le cerveau, afin de capter et d’émettre les ondes du cerveau, depuis les
années 60 et 70.
Plus récemment, un assistant professeur à l’université des sciences et de technologie de Hong Kong a réclamé 100 millions de dollars au gouvernement
US, qu’il accusait de lui avoir implanté des puces dans les dents en 1991, quand il étudiait à l’université de l’Iowa. Suite à cela, il a dit souffrir de problèmes de mémoire
proches d’Alzheimer. Il disait aussi que ces puces étaient capables de lire dans ses pensées, de lui parler quand il dormait et de modifier son comportement.
L'affaire James Walbert, jugée en
2008, a vu la reconnaissance par le tribunal d'un "harcèlement électronique" sur la victime, à qui une puce RFID avait été implantée (ainsi, la cible reçoit encore mieux
toutes les ondes qu'on lui envoie). Cet ingénieur dénonçait son associé comme étant le responsable des attaques.
A cette époque, dans le Missouri, un élu avait recensé 300 plaintes concernant du harcèlement électromagnétique. Certaines des victimes sont
simplement harcelées dans le cadre d'expérimentations. Du coup, un certain nombre
d'associations (comme l'International Committee on Offensive Microwave Weapons) se sont montées pour aider les
victimes, ou pour tenter d'alerter l'opion et les décideurs politiques.
[1]Artichoke a duré de 1951 à 1963. Il a succédé au programme Bluebird (1951-1953) où on testait déjà le LSD dans le but de faire parler les témoins. Dans Artichoke, les anglais et les canadiens étaient
partie prenante au projet. Sous Artichoke, on a travaillé sur l’hypnose, les drogues, les personnalités multiples.
[2] Le Penthotal, qui fait partie des « sérums de vérité » a servi aussi pour les interrogatoires pendant la
guerre d’Algérie, ou en Argentine contre les opposants à Pinochet.
[3] MK Ultra, qui a regroupé près de
150 projets différents, n’a démarré officiellement qu’en 1953 et aurait cessé en 1963, mais c’est faux même si le programme a changé de nom pour MKSEARCH. MK ULTRA se penchait
aussi sur l’utilisation d‘armes chimiques et biologiques et électromagnétiques afin de contrôler le comportement humain. MK ULTRA visait à manipuler le comportement humain via des
armes chimiques, biologiques et électromagnétiques.
[5] Mullen a témoigné en mars 1995
devant la commission sur les expériences de radiations sur l’homme (President’s Advisory Commission on Human Radiation Experiments). Elle a estimé (malgré de troubles de la
mémoire) avoir été victime de programmation entre 1959 et 1984, dans le cadre des recherches pour trouver l’espion parfait. Son but à elle était de coincer des personnalités
politiques, militaires ou du renseignement afin de les faire chanter ensuite. « Le pire est que je sais très bien que je n’étais pas seule. Il y avait énormément d’autres
enfants dans la même situation que moi », a-t-elle expliqué. Elle avait été adoptée à l’âge de deux ans par une femme qui abusait d’elle et était amie avec le président de
l’Université de Tulane qui lui a conseillé un psy, un certain Heath, qui l’a envoyée dans ce programme.
[6] L’affaire Frank Olson, un agent
de la CIA à qui on a fait prendre du LSD et qui s’est défenestré en 1953, est symptomatique. Pendant des dizaines d’années la CIA a nié toute implication dans ce décès. D’après la famille
d’Olson, il a été assassiné par la CIA après avoir découvert que ses recherches à Fort Detrick servaient à torturer et tuer des gens. Il travaillait sur les armes biologiques
qu’on pouvait diffuser par l’air. On notera que pour ses « recherches », Olson venait jusqu’en France, en Angleterre, en Norvège et en Allemagne de l’Ouest. Durant ses voyages en
Europe, il a assisté à des interrogatoires dans lesquels la CIA commettait des meurtres en utilisant les agents biologiques trouvés par Olson. En rentrant il a voulu démissionner.
C’est là qu’on l’a invité à une réunion où on lui a fait prendre du LSD. Les jours suivants il a été admis pour un traitement psychiatrique, et c’est là qu’il aurait sauté par la
fenêtre de son hôtel. La justice a refusé toute poursuite contre la CIA par la famille
Olson.
[7] Evidemment, l’argent transitait
par une officine de la CIA qui distribuait de l’argent à des travaux intéressant ladite CIA, en l’occurrence, la « Society for the Investigation of Human Ecology »,
à la Cornell University de Montreal.
[8] Car bien sûr, les premiers articles US qui parlaient de contrôle mental désignaient les chinois ou les
russes comme les utilisateurs de cet affreux système. Et cela, dès les années 50 semble-t-il. Evidemment, après une telle campagne de propagande, il a été facile de justifier les
recherches de l’armée dans ce domaine.
[9]Créé en 1946 sous le nom deTavistock Institute of Human Relations, avec de l’argent de la
fondation Rockefeller et de la famille royale anglaise, puis également des Rothschild. Il est basé à Londres mais collabore avec de nombreuses fondations US, pour un budget de 6
milliards de dollars par an. A l’origine, le but était de contrôler l’opinion publique. En réalité, l’Institut aurait commencé à fonctionner juste avant la première guerre.
[10] En réalité, les manifestations
ont commencé en 1981 pour se terminer seulement 10 ans plus tard, quand les missiles nucléaires américains ont été enlevés de la base. Fin 1984, 70.000 personnes étaient présentes
autour de la base. En 1982, il a été décidé que seules des femmes iraient manifester. Elles ont formé là-bas une véritable société alternative. On comprend donc que l’enjeu était important pour
Thatcher et qu’il fallait absolument les neutraliser.
[11] C’est-à-dire avoir un accès
facilité à Israël, mais aussi protéger leur invention géniale : un système HAARP ultra sophistiqué destiné à contrôler le temps, mais aussi les individus.
[12] Apparemment, un certain major
général Schaknow a évoqué ce système à Fort Bragg en Caroline du Nord en 1992. Chaque signal électromagnétique du cerveau associé à des pensées sous vocalisées est connecté à un
ordinateur via des électrodes ou une puce. Des ordinateurs permettent de lire les pensées sous vocalisées en donnant un mot à chaque type d’émission. Car, il y a une fréquence
spécifique pour chaque mot dans une langue. Mais, si le sujet s’amuse à penser dans une langue différente de la sienne, l’ordinateur ne peut plus rien déchiffrer.
Robert Ferreres
le tétanos, la rage, la poliomyélite ont été endigués par la vaccination !
La vérité :