La France, la Belgique, les États-Unis et le Canada inondés de nourriture à base d’insectes, même dans les produits bio et les végans

24/11/2023 (2023-11-24)

[Source : reponsesbio.com]

Innovafeed et McKinsey inondent d’insectes France, Belgique, États-Unis et Canada

Par Jean-Baptiste Loin — 19 novembre 2023

Depuis 2015 le cabinet McKinsey est en charge d’une campagne mondiale pour la promotion d’aliments à base d’insectes.

Par le prisme d’une entreprise actuellement considérée comme une des plus importantes Biotechs françaises, Innovafeed, ils ont patiemment détourné l’attention du public et usé d’arguments fallacieux pour parvenir à leurs fins.

Selon l’ONU et le lobbyiste McKinsey, appuyés par une armée de soldats disciplinés et avides de pouvoir, le choix ne vous appartient déjà plus, même les réseaux de distribution d’alimentation biologique commencent à s’organiser pour vous en faire manger… en toute discrétion.

Innovafeed ayant refusé l’interview que nous leur avons proposée pour expliquer leur démarche de manière transparente, puisque vous avez le droit de savoir, j’ai enquêté pour vous délivrer la vision la plus claire possible de la situation actuelle.

Tout commence en 2016, lorsque trois jeunes trentenaires, Clément Ray, Aude Guo et Bastien Oggeri, anciens membres du cabinet McKinsey et de la banque d’affaires Rothschild1, fondent une entreprise de biotechnologies spécialisée dans la production et la vente de mouches soldats noires.

Soit à peine un an après que l’influence tentaculaire du cabinet ayant galvanisé les citoyens français pour les campagnes présidentielles d’Emmanuel Macron2, commence à jouer de sa légion de réseaux pour favoriser le développement de cette entreprise nourrissant le souhait de vous faire gober leurs mouches.

Levant très rapidement des fonds colossaux avec une facilité déconcertante, Innovafeed suit un plan de route redoutable pour passer sans encombre les barrages ayant pourtant conduit la majorité des acteurs du secteur de l’insecte « comestible » à la banqueroute.

En l’espace de quelques années, ce n’est pas moins de cinq cents millions d’Euros qui auront été réunis pour la création de centres ultra technologiques, « cultivant » des insectes dans une proportion jamais atteinte auparavant à l’aide d’Intelligences Artificielles s’appuyant sur plusieurs milliers de capteurs par usine, contrôlant des centaines de bras robotisés semblables aux robots nourriciers imaginés par les créateurs du film Matrix.3

Faisant sans conteste de cette « French Tech » la principale usine de production d’insectes au monde.

Tout chez Innovafeed a été pensé pour donner une apparence vertueuse à sa démarche, s’alignant sur la logique d’une réduction des émissions carbone et se donnant en modèle d’une bonne conscience environnementale, en se réclamant pour une économie circulaire inoffensive.

Entreprise représentée par des jeunes gens à l’apparence fort sympathique, dont une des fondatrices, née en Chine et élevée en France, remporte le prix d’entrepreneuse de la « French tech » en donnant un visage au « pacte de parité » imaginé par son gouvernement.4

Offrant à la fois :

  • – une initiative semblant tout d’abord dédiée à l’alimentation des animaux d’élevage de poules, porcs et poissons ;
  • – une dynamique économique « green » prisée par les régions, censée favoriser l’emploi ;
  • – un discours soigneusement poli et diffusé par les médias avec parcimonie, prenant soin de ne pas trop en dire…

Qui aurait pu penser que ces dernières années Innovafeed allait resserrer un étau de domination mondiale allant bien au-delà de son apparente mission ?

Et pourtant, comme vous allez le constater, le véritable danger de l’inondation des marchés par l’alimentation à base d’insectes ne vient pas de la société vietnamienne citée dans mon précédent article sur le sujet récemment autorisée par l’UE, mais plutôt de la dynamique et des nouveaux contrats organisés par Innovafeed.

Cependant, pour bien en comprendre l’impact il est nécessaire de faire un rapide point sur le contexte planétaire ainsi que le jeu d’influences exercé par le cabinet McKinsey.

McKinsey et son pilotage des démocraties occidentales

Fondé en 1926 par un comptable évangéliste américain donnant son nom au cabinet, McKinsey « conseille » et influence le monde sur la base du développement occidental depuis les débuts de l’ère ultra industrielle.

Comptant aujourd’hui cent trente bureaux répartis dans soixante-cinq pays, cette firme ayant inspiré le film éponyme — La Firme — emploie plus de quarante mille avocats, statisticiens, ingénieurs et journalistes pour déployer ses pions en régulant les marchés.5

Vivement critiquée en période de pandémie de Covid pour son rôle alarmant dans la promotion des vaccins ARNm de chez Pfizer en France, elle a en quelques mois pris les rênes du gouvernement et des instances de santé pour s’assurer qu’un maximum de citoyens soient sous l’emprise de ces injections dont les ravages mortels ne sont plus à souligner.6

Mais sur lesquelles je ne me priverai pas de revenir plus en détail dans un prochain article.

Empochant deux millions d’Euros par mois, pour ses « conseils » ayant empoisonné des populations entières et endeuillé tant de familles.7

Or, en plus de cet inquiétant tableau, brandissant à la première occasion la bannière des risques du réchauffement climatique auquel elle a largement contribué en plébiscitant les plus grands groupes pétroliers au monde depuis le Clayton Antitrust Act de 19148, le cabinet McKinsey est aujourd’hui victime d’une « rébellion interne » pour avoir joué un double jeu en faveur des principaux groupes pétroliers censés faire évoluer positivement leur activité d’ici 2050.

Plus de mille de ses employés ont ainsi signé une lettre commune déclarant, je cite :

« Notre inaction et notre soutien au sujet des émissions — de gaz à effet de serre — des clients — de la Firme — pose un risque sérieux pour notre réputation » mais aussi « pour les relations avec nos clients ».

« Depuis plusieurs années, nous disons au monde d’être audacieux et de s’aligner sur une trajectoire d’émissions pour atteindre 1,5 °C ; il est grand temps que nous appliquions notre propre conseil ».9

Conseil qu’elle a pourtant le toupet de prétendre suivre, en organisant des stratagèmes échafaudés dans le but de coincer les consommateurs dans un processus introduisant différentes sortes d’insectes dans leurs assiettes, snacks et autres produits de consommation.

Bien que l’entomophagie ait déjà été majoritairement rejetée, et ce à plusieurs reprises au fil de ces dix dernières années, McKinsey continue de disposer ses pions sur l’échiquier.

À l’aide de son influence légendaire auprès des médias « mainstream », mais aussi et surtout en utilisant ses ouailles dans le cadre d’une approche de longue haleine. Dorant soigneusement leur blason en mettant financements, atouts politiques et démarches pseudo écologiques de leur côté. Tentant de faire passer de jeunes requins pilotés par IA, pour de gentils idéalistes.

C’est le cas, entre tous, d’Innovafeed, que le gouvernement français se félicite de compter parmi son élite entrepreneuriale.

Obtenant en novembre 2022 le certificat B Corp, leur permettant de prétendre « officiellement » exécuter un « business » au service des « forces du bien ».10

La phase 2 d’Innovafeed

Après avoir patiemment lissé son discours en évitant de trop déborder sur l’alimentation pour humains, prétextant venir à la rescousse d’éleveurs qu’elle est en réalité en train d’exterminer, la Biotech Innovafeed s’attaque aussi à la nourriture pour animaux de compagnie et commence à fournir les plus grosses « agro-tech » à destination de l’alimentation industrielle, pondant des produits déjà disponibles dans vos supermarchés.11

Non contente de l’ouverture des deux plus grosses fermes d’insectes au monde, Innovafeed vient de s’associer à l’industriel ADM, pour ouvrir une nouvelle usine aux États-Unis, dans l’Illinois.12

Au programme une large gamme d’aliments pour animaux domestiques, tout en ouvrant indirectement le marché des plats cuisinés qui embarqueront les premières huiles et farines de « mouches soldat noires ».13

Augmentant une production actuelle initialement démesurée, de soixante mille tonnes de protéines, vingt mille tonnes d’huiles, ainsi que quatre cent mille tonnes de fertilisants à base d’insectes par an.

Agitant numériquement ses tentacules robotisées sur des bacs de culture de cinq étages, s’étalant sur une surface globale de plus de quatre-vingt-dix mille mètres carrés.14

Destinés, en plus des animaux de compagnie, des animaux d’élevage et des engrais, à la production de barres énergétiques et boissons pour sportifs ainsi qu’une panoplie de nouvelles marques venant éclore comme des œufs.

Un marché qui atteindra d’ici la fin de l’année le milliard et demi de Dollars, créé de toute pièce par McKinsey et l’ONU à travers les branches de la FAO et du PAM, le Programme Alimentaire Mondial, respectivement dirigés par Qu Dongyu, ancien vice-Ministre de l’agriculture chinois, et Madame Cindy McCain, veuve du sénateur McCain et héritière d’une dynastie agroalimentaire, pour atteindre les habitudes de près de deux milliards d’individus en 2023.15

Sans même compter le potentiel du marché des animaux d’élevages, que le président d’Innovafeed estime à quarante-huit milliards d’Euros par an.

Toutefois, puisqu’il ne leur est pas encore facile de convaincre tout le monde, les « dealers » d’insectes n’hésitent pas à passer par les niches économiques les plus surprenantes, ne semblant effrayés par la moindre antinomie.

C’est en tout cas ce que semble penser Alexandra Kazaks, Docteur à la division nutrition de l’Institut de technologies alimentaires américain.

Selon elle, « un surprenant nombre de végans en achète déjà ».16

D’autres fabricants tentent d’ailleurs de s’inviter dans les rayons bio, à l’image d’Entomo Farms, une structure canadienne proposant différentes sortes de produits à base d’insectes comme des snacks ne laissant présager aucune présence de poudre de crickets sur l’emballage, indiquant uniquement, discrètement, la présence de « poudre de criquet biologique » dans la composition du produit.17

Sentiers que la marque française Avenia essaie de suivre en s’invitant dans les Biocoop après avoir passé le cap des muffins et desserts à base d’insectes.18 19

Ou encore la marque Hi, à traduire par « Salut », déjà largement critiquée pour sa volonté à « faire de l’argent avant tout », qui tente de s’immiscer dans l’industrie du cannabis avec des produits édulcorés demandant une attention toute particulière pour pouvoir y détecter la présence de poudre d’insectes.20

Innovafeed aussi veut intégrer le marché de la bio, cependant tout en discrétion, passant d’abord par la conquête du label allemand Naturland en plaidant pour la première « guideline » dédiée à l’élevage d’insectes bio.21

Rejoignant par la même occasion le marché de la santé avec le développement de nouveaux médicaments à base d’insectes, ainsi que de compléments alimentaires.

La phase 3 d’Innovafeed

Pourquoi s’arrêter en si bon chemin puisque l’alimentation pour bestiaux, animaux domestiques et humains lui semble déjà acquise ?

Le prochain tournant d’Innovafeed est cousu de fil blanc.

En plus de mourir de malnutrition, les branches alimentaires de l’ONU, soit la FAO et le PAM, bâtissant les fondations dictatoriales d’un nouveau programme alimentaire mondial, augurent qu’en 2050 l’humanité risquerait davantage de mourir d’infections microbiennes que de cancers… contre lesquelles le seul remède serait, vous vous en doutez, la bio-ingénierie d’insectes.

C’est en tout cas ce que prédisent les entomologistes du centre de biotechnologies pour insectes LOEWE, installé à Giessen, en Allemagne.22

De son côté, avec un nouveau produit lancé depuis quelques mois, « NovaGain », Innovafeed s’intéresse déjà à la santé des crevettes d’élevage en formulant le premier complément alimentaire pour animaux destinés à la consommation humaine.23

Pendant que des « Agri-Tech » spécialisées dans la biologie génétique comme FreezeM, développent des mouches soldats noires modifiées génétiquement pour optimiser le rendement, la taille et la capacité à moins consommer pour se développer. Cette nouvelle espèce de mouches mutantes atteignant deux à trois fois la taille d’une mouche normale a été baptisée « BSF-Titan ».

Promettant une ouverture de marché de la mouche soldat aussi suspecte qu’inquiétante.

Que se passera-t-il quand ce genre d’insectes sera amené à « s’échapper » et se reproduire dans la nature ?

Question ne semblant guère préoccuper Innovafeed, qui dès le début avait toutes les cartes en main pour éviter les pièges recensés par McKinsey après plus d’une décennie d’échecs des fermes d’insectes françaises, belges, néerlandaises, israéliennes, canadiennes et américaines.

Sa principale usine se trouvant à proximité des productions de Tereos, le plus important sucrier de betterave de l’hexagone, un accord était vraisemblablement prévu en amont pour nourrir les mouches de la Biotech avec les déchets de leur production de sucre avant l’implantation de l’usine.24

De même que son récent contrat avec Cargill, le lobbyiste de l’agriculture internationale ayant atteint les plus hautes sphères gouvernementales.

S’ouvrant de plus en plus de portes en direction des hypermarchés et produits de consommation de masse, en entretenant ses partenariats avec des structures comme Labeyrie et Auchan.25

Les insectes débarquent dans les supermarchés et produits bio

Depuis 2013 la marque Crickeat est disponible dans des hypermarchés Auchan du sud de la France.26

Suivie ces dernières années par le groupe Carrefour et ses équivalents belges et néerlandais.27

Concrétisant ses bonnes relations avec Innovafeed en insérant discrètement dans ses rayons les premières truites28, poulets29 et porcs30 nourris à la mouche noire soldat, Auchan, qui n’en est plus à son coup d’essai, devrait bientôt passer à la vitesse supérieure, mais cette fois dans le nord de la France.

Or, bien que l’approche soit encore timide, selon une source anonyme, tout porte à croire que l’introduction de denrées à base d’insectes dans les magasins bio et Biocoop soit déjà en cours de négociation.

Une troupe d’investisseurs formant une nouvelle forme de trust

Comment une jeune entreprise comme Innovafeed a pu devenir la première licorne de la tech française en « disruptant » agriculture et élevage traditionnels en quelques années ?

Tout simplement parce qu’en plus de l’influence et des services de McKinsey, elle compte dans son capital la majorité des entreprises lui ayant permis un développement foudroyant.

Vous vous souvenez d’ADM et Cargill, ses deux derniers plus gros contrats ? Eh bien figurez-vous qu’ils sont actionnaires d’Innovafeed.31

Et avec eux le géant Temasek, faisant partie des fonds souverains de Singapour, ouvrant actuellement de nouveaux bureaux à Paris après avoir jeté son dévolu sur Bruxelles et Londres.32

Mais aussi Futur French Champions, fonds d’investissement du Qatar, et Grow Forward, le magnat d’investissements du secteur agroalimentaire de Chicago.

Un ensemble d’atouts largement introduits dans les habitudes alimentaires des Américains, mais aussi des Français et des Européens, s’assurant qu’au final l’insecte soit bel et bien la protéine la plus plébiscitée et la moins chère de la consommation du futur.33

Montrant que l’argument selon lequel l’alimentation à base d’insectes ne « peut pas envahir la consommation humaine à cause d’un prix trop important », ne sera bientôt plus qu’un vague souvenir.

Il est pourtant si facile d’aller dans le bon sens et, avant d’avouer l’environnement et l’humanité vaincus par un futur incertain, de miser sur le développement présent de l’agriculture biologique, de l’artisanat, de l’élevage bio lié au respect animal, et de certaines protéines végétales quasi autosuffisantes, comme, par exemple, le propose la charte de la boutique de Réponses Bio, ayant ouvert ses portes la même année qu’Innovafeed sans jamais avoir été aidée ou financée autrement que par le choix de ses nombreux abonnés, clients et lecteurs et lectrices.34

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

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Sources et références :

 

 

26 octobre 2023

Espagne : Manger des insectes comporte de graves risques pour la santé

 

Manger des insectes comporte de graves risques pour la santé : Ils contiennent des substances toxiques comme la chitine. Ils contiennent des phytates et des oxalates, qui réduisent l'absorption des minéraux essentiels comme le calcium, le zinc, le manganèse, le fer et le magnésium. Son ingestion peut provoquer une carence en vitamine B1, un retard de croissance, une hypofertilité, une masculinisation chez la femme, des œdèmes, une jaunisse, un cancer du foie, une inhibition des enzymes vitales, des maladies du cerveau, du foie et des reins et toutes sortes d'allergies...


27 octobre 2023

Courage, vos farines toxiques d’insectes arrivent !

 

 

Ainsi va la vie des affaires que nos chercheurs et scientifiques rebelles soient obligés de requérir l’anonymat pour publier leurs données, sous peine de voir leurs carrières s’arrêter net. Alimenter les humains et les animaux avec des farines d’insectes, beaucoup d’industriels en rêvent mais bien peu se soucient des dangers encourus par les consommateurs, de toutes façons le problème est ailleurs car jamais nos élites ne consommeront ces produits. Donner à manger de l’oxyde de graphène à des insectes pour les consommer ensuite, peut-on imaginer plus abominable en termes de mauvaise idée ? Parfaitement, plein d’autres même, vous n’allez pas en revenir. Merci à nos « anonymes » et bonne lecture.

 

Introduction

Le Forum Économique Mondial (FEM) propose de remplacer une partie des protéines animales habituellement consommées par des protéines d’insectes. Le FEM craint une crise alimentaire imminente et au lieu de promouvoir une agriculture différente, il préconise des solutions industrielles : production de viande en laboratoire et incorporation d’insectes dans l’alimentation (https://www.weforum.org/agenda/2021/07/why-we-need-to-give-insects-the-role-they-deserve-in-our-food-systems/). Le FEM promeut aussi une sorte « soft » de cannibalisme (production de steak humain en laboratoire https://childrenshealthdefense.org/defender/insect-farming-maggots-food-menu-cola/). Pour faire avaler ces horreurs, le FEM propose d’abord d’introduire les insectes sous forme de farines invisibles dans l’alimentation.
Un groupe de scientifiques et médecins qui préfèrent rester anonymes ouvre le débat sur le blog de l’AIMSIB en faisant part de ses craintes d’un point de vue toxicologique à propos de cette innovation. L’aspect économique et éthique devra être aussi discuté plus tard !

Contexte

L’union européenne (UE) a signé plusieurs conventions afin d’autoriser la mise sur le marché d’insectes entiers et produits dérivés d’insectes comme les farines d’insectes (ou poudres d’insectes). Ces farines d’origine animale, seront mélangées à divers aliments de consommation courante. Deux conventions ont été signées début janvier 2023 ; elles concernent l’autorisation de mise sur le marché :

– de la poudre d’Acheta domesticus (grillon domestique) [1]

– de formes congelées, lyophilisées en pâte et en poudre de larves d’Alphitobius diaperinus (petit ténébrion mat) [2]

Il existe aussi deux autres textes qui datent de 2021 autorisant la mise sur le marché :

  • – de larves séchées de Tenebrio molitor (ver de farine) [3]

– de formes congelées, séchées et en poudre de Locataria migratoria (criquet migrateur) [4]

Selon le rapport de l’agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES) en 2014, le projet émane d’institutions internationales et d’industriels qui proposent un projet global sur l’hypothèse d’une insécurité alimentaire liée à une augmentation croissante de la population mondiale. Cette croissance de la population nécessiterait de produire des protéines animales autres que celles des élevages traditionnels. Les insectes deviendraient une source alternative de protéines animales pour la consommation humaine (et aussi animale). Ce projet s’appuie sur un recyclage de matières organiques (déchets ou coproduits de l’agriculture et des industries alimentaires) [5].

Ce projet d’élevage d’insectes pose des questions de fond sur les risques de sécurité sanitaire et sur les risques environnementaux d’autre part.

La consommation de certains insectes pratiquée de façon traditionnelle par certaines populations dans le monde n’a rien à voir avec la généralisation d’une consommation de farine d’insectes obtenue par un élevage intensif et une transformation industrielle (même s’il existe une activité industrielle d’élevage d’insectes dans certains pays d’Asie [5]). Cette consommation traditionnelle se fait selon des modes de préparation culinaire et dans le cadre de régimes alimentaires particuliers ; en effet, elle ne constitue pas une source alimentaire continue mais occasionnelle et intégrée dans une alimentation aux sources variées. Les insectes consommés le sont tels quels, « nature », c’est-à-dire après préparation manuelle (retrait des parties de l’animal qui peuvent présenter un danger alimentaire ou qui sont peu digestibles) et cuisson. Il n’y a pas de transformation par des procédés industriels, en particulier il n’y a pas d’ajout de substances.

La chitine, ça vous dit ?

La chitine (et ses dérivés dont le chitosan) est un constituant fondamental de l’exosquelette des arthropodes (tels les crustacés et les insectes), de différents organes de mollusques, des parois cellulaires des moisissures, de la cuticule des acariens et de l’enveloppe externe des helminthes (vers). Les insectes autorisés par l’UE sont riches en chitine (5).
Certains animaux sont insectivores comme les oiseaux, les reptiles… Ils ont naturellement la capacité de digérer les substances contenues dans les insectes comme la chitine (grâce à la présence d’enzymes appropriées).
Les animaux dont l’appareil digestif est dépourvu de l’enzyme chitinase ne peuvent pas la digérer (risque de troubles intestinaux jusqu’à l’occlusion). Le problème de digestibilité risque de se poser aussi chez l’homme dont les chitinases identifiées paraissent insuffisantes pour lyser ce polymère de chitine (5). La poudre de L. migratoria (criquets) est obtenue par le broyage mécanique des insectes, pattes et ailes comprises [4].
Ceci permet de reconsidérer la destination naturelle des insectes dans la chaine alimentaire des conditions naturelles de la vie.

Ces nouveaux produits, nommés « nouveaux aliments », relèvent du règlement de l’UE (2015/2283) [6]. Par ce règlement, l’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA, European Food Sanity Authority), à la demande de la Commission Européenne élabore un document qui sera complété par le demandeur de l’autorisation de mise sur le marché de ces produits. Ce document contient un ensemble d’informations sur le « nouvel aliment », dont les évaluations qui démontrent son innocuité [7].
Pour rendre son avis, l’EFSA se baserait seulement sur les informations contenues dans le rapport réalisé par l’entreprise (le demandeur) d’autorisation de mise sur le marché [7].

Ce rapport serait confidentiel et son contenu ne serait accessible que plusieurs années après l’entrée en vigueur du règlement (délai de 5 années après l’entrée en vigueur du règlement) [1] [2] [3] [4].

Il est important de noter que cette autorisation de mise sur le marché est dédiée à un seul demandeur qui a l’exclusivité sur la vente de sa production pendant plusieurs années, avec le maintien d’une confidentialité stricte sur les procédés que le demandeur peut utiliser. Par exemple, s’agissant de la convention relative à A. Domesticus , on peut lire [1] :
Article 13 « La requérante a déclaré qu’elle détenait des droits de propriété et exclusifs de référence aux études scientifiques et aux données relatives à la description détaillée du procédé de production… les tiers ne peuvent légalement accéder à ces données et études, les utiliser ou s’y référer.
Article 14 … En conséquence, seul le demandeur devrait être autorisé à mettre sur le marché de l’Acheta domesticus (grillon domestique) une poudre partiellement dégraissée dans l’Union Européenne pendant une période de cinq ans à compter de l’entrée en vigueur du présent règlement. »

Les principaux aliments concernés par ces farines sont :

– pour A. Domesticus : pains et petits pains, barres de céréales, prémélanges pour produits de boulangerie, pâtes, pâtes farcies, produits transformés à base de pomme de terre, de légumineuses, soupes, soupes en poudre, confiseries chocolatées, noix et oléagineux, préparations de viandes…[1]
– pour A. Diaperinus : barres de céréales, pains, pâtes, pâtes farcies, céréales petit déjeuner, pommes de terre frites, chips, produits à base de céréales, sandwichs prêts à consommer, préparations de viande, confiseries au chocolat, compléments alimentaires…[2]
– pour T. Molinor : biscuits, plats à base de légumes, produits à base de pâtes…[3]
– pour L. Migratoria : produits de pomme de terre transformés, plats à base de légumes, produits à base de pâtes, substituts de viande, soupes, légumineuses et légumes en conserve en bocal, salades, saucisses , confiserie au chocolat, boisson type bière…[4]

Les risques sanitaires liés à la consommation d’insectes

On s’appuie surtout sur le rapport de l’ANSES de 2014 qui donne un état des lieux des connaissances scientifiques et des risques potentiels liés à la consommation d’insectes en tant que « nouveaux aliments ». Ces risques sont variés et se trouvent aux différents stades de la mise en œuvre du procédé industriel de l’élevage au produit fini.

1- Les dangers liés à la transformation de l’insecte

La transformation en poudre des insectes d’élevage passe par plusieurs étapes successives. Elle est ainsi décrite dans la convention relative à la transformation d’A. domesticus : une période de jeûne de 24 heures pour que les insectes vident leur tube digestif, une mise à mort par congélation, lavage, traitement thermique, séchage, extraction de l’huile (par extrusion mécanique) et mouture [1]. Les insectes séchés sont commercialisés entiers ou sous forme de farines après broyage. Les dangers sanitaires liés aux insectes ou produits dérivés d’insectes sont soit spécifiques à l’espèce (présence de corps étrangers, substances toxiques, allergènes…), soit liés à la production, de l’élevage au transport.

Le rapport insiste surtout sur le manque de connaissances scientifiques concernant ces dangers sanitaires, aussi bien pour les produits destinés à l’animal que ceux destinés à l’homme (5). Le rapport de l’EFSA 2015 le confirme : les données sur la consommation d’insectes par les humains (et aussi par les animaux) sont pratiquement inexistantes [8].

– Les contaminants : comme pour tous les aliments transformés, ils peuvent être présents à différents stades de la production d’insectes. Il peut s’agir de bactéries comme celles qui provoquent l’anthrax (B. anthracis) ou qui sont liées à des intoxications alimentaires (B. cereus) ; elles peuvent être transmises par des insectes eux-mêmes contaminés à partir de sol servant de substrat d’élevage [5]. Il peut aussi s’agir de matériau tels les supports plastiques grignotés par les insectes [5]

Il y a peu de données sur les risques de contamination des insectes par des contaminants chimiques situés dans les différents substrats d’élevage [8].
Le rapport de l’EFSA de 2018 [9] soulève les risques potentiels des nanoparticules en contact avec la nourriture : les études désignées sont expérimentales et en cours d’évaluation.

L’oxyde de graphène (OG) est un nanomatériau semi-conducteur ayant une structure fine et capable d’extensibilité ; il est utilisé pour de nombreuses applications dans les domaines de l’industrie (écrans, cellules photo-voltaïques…). Il est utilisé aussi pour les élevages de certains insectes (Lepidoptera et Diptera) pour pallier au manque de nourriture destinée à ces insectes, et favoriser leur prolifération, selon le brevet chinois de 2021 (Université de Hebei) [10]. Il pourrait ainsi participer à la réduction du coût de la production des insectes. Son utilisation pourrait-elle s’étendre aux élevages d’autres espèces d’insectes ? Si de tels traitements sont appliqués, on s’interroge sur le risque sanitaire de l’OG sur l’homme par ingestion, d’autant que le broyage des insectes augmente la biodisponibilité de ces substances indésirables.

Certaines expérimentations chez les souris montrent que l’ingestion d’une faible dose d’OG entraine des lésions de la paroi digestive ; cette effraction pourrait être à l’origine d’une distribution du nanomatériau dans le corps de la souris [11].

Les insectes subissant le même processus pourraient contaminer l’homme lorsque celui-ci les consomme. Les risques chez l’homme liés à l’OG dépendent de multiples facteurs dont les caractéristiques de ce nanomatériau. Leur toxicité dans les études expérimentales est surtout liée à la génotoxicité : les dommages à l’ADN peuvent entraîner des maladies cancéreuses et menacer la santé de la génération suivante si les cellules reproductrices sont aussi atteintes [11] [12].

– Les substances néoformées : Les procédés de transformation induisent des réactions chimiques au sein des aliments pouvant amener à la formation de composés néoformés toxiques [13] [14]. Ces derniers peuvent se former au cours de traitements thermiques, au cours des procédés de fermentation ou au cours de différentes étapes de conservation [13] [14].
Les amines aromatiques hétérocycliques (AAHs) sont des composés néoformés lors des procédés thermiques [13]. Les AAHs sont mutagènes et génotoxiques (IARC, 1993). En effet, même à de très faibles concentrations, elles induisent des dommages génétiques en formant des adduits avec l’ADN (fixation à l’ADN de manière covalente) [13].

– Accidents au cours de la production (par exemple, accident de manipulation de solvant)

2- les dangers microbiologiques

Là aussi il y a peu de documentation sur ce type de dangers. Il n’y a pas seulement des risques liés aux bactéries (cf ci-dessus) ; on sait que des parasites ont été mis en évidence dans des échantillons d’insectes ; cela veut dire que les insectes peuvent être porteurs de parasites potentiellement néfastes pour la santé de l’homme. Il peut s’agir de parasitoses à cercaires et métacercaires [5] (dont certaines donnent des cécités).

Le risque infectieux lié aux prions (agents transmissibles non conventionnels) ne peut être exclu [5]. Le prion est une protéine pathogène qui peut entraîner des maladies neurodégénératives mortelles comme l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ou maladie de la vache folle chez les bovins, ou la maladie de Creutzfeldt-Jakob chez l’homme. L’ESB est liée au type d’alimentation donnée aux bovins : des farines animales contaminées par le prion pathogène (parties d’os et de viandes non utilisées dans l’alimentation humaine, transformées et réduites en farines). À partir de 1990, ces farines ont été interdites et malgré cela, d’autres cas d’ESB sont apparus : ces bovins malades étaient alimentés dès leur plus jeune âge par des aliments composés du commerce [15] [16] [17].
De même, les insectes d’élevage pourraient être porteurs de prions si le substrat leur servant d’alimentation comporte des protéines d’origine humaine ou animale comme les ruminants ; une évaluation de ces risques doit être réalisée [8]. Or, selon le rapport de l’ANSES 2015, l’alimentation fournie aux insectes dans les élevages s’appuie sur le recyclage de déchets organiques.
Ce risque est bien connu et demande de faire preuve de la plus grande prudence : le règlement de l’UE 2017/893, entré en vigueur le 1e juillet 2017, a permis d’inclure une liste restreinte de 7 espèces d’insectes dans les aliments pour l’élevage de poissons (aquaculture). Avant cela, l’ajout de tout insecte pour les animaux d’élevage n’était pas autorisé en raison du risque de maladies liées aux prions [6].

Ce risque peut aussi être lié au mésusage de produits destinés à l’alimentation animale réorientés pour l’homme [5]. Le prion pathogène est résistant aux processus industriels d’inactivation notamment ceux utilisant de la chaleur [18].

3- Le danger allergène

Les insectes ont des allergènes communs à d’autres organismes comme les crustacés, les mollusques, les acariens…
Les cas d’allergie alimentaire liés à une ingestion d’insectes rapportés sont probablement sous-estimés ; ceux qui ont pu être rapportés concernent le ver de farine (T. molitor) et autres types de ver [5]. Ces accidents peuvent être sévères, et mettre en danger la vie du consommateur (réaction anaphylactique).

Certains de ces allergènes d’insectes correspondent à des protéines que l’on retrouve un peu partout dans d’autres organismes, ce qui peut donner lieu à des réactions croisées, par exemple celle qui concerne le ver de farine et les acariens [5]. La consommation d’insectes par des individus allergiques aux acariens ou aux crevettes pourraient très bien déclencher des réactions allergiques imputables à cette réactivité croisée [5].

La chitine est aussi considérée comme un allergène avec des effets complexes sur le système immunitaire [5].
L’effet allergique peut aussi être renforcé par stabilisation de la protéine allergisante lors de certaines réactions chimiques (réaction de Maillard) [14].
L’EFSA a exigé, du fait de risques allergiques, un étiquetage des produits alimentaires qui contiendront des produits industriels dérivés des insectes [1] [2] [3] [4].

De ce fait, les personnes allergiques seront privées d’une grande variété de spécialités alimentaires de consommation courante, y compris le pain.

En effet on estime en France environ 100 000 personnes, soit la population d’une ville française moyenne, qui pourraient être potentiellement concernées par ces réactions ou allergies croisées [5].

4- Les dangers chimiques : les substances toxiques

Les insectes via l’environnement ou l’alimentation peuvent accumuler dans leur organisme (bioaccumulation) des substances toxiques telles que les polluants organiques persistants, les pesticides, les métaux lourds. La bioaccumulation est une des stratégies adaptatives de l’insecte pour éviter toute intoxication. Les criquets sont des bioaccumulateurs de pesticides ; on retrouve aussi un métal lourd dans les larves de T. molitor : le cadmium [5]. Ce dernier se trouve dans les matières fertilisantes utilisées dans l’agriculture, contamine le sol, les végétaux, les insectes et l’homme par l’alimentation. Ce toxique est reconnu comme cancérigène, mutagène et toxique pour la reproduction [19].
Les pesticides, comme les polluants organiques persistants résistent généralement aux traitements thermiques [5].
Les données publiées sur les produits chimiques des insectes en élevage sont rares [8].

5- Les dangers chimiques : les facteurs antinutritionnels

Là aussi, il y a un manque de données sur la concentration de ces substances chimiques dans les insectes et leurs dérivés. Les animaux sont sensibles à ces facteurs antinutritionnels [5].
On peut citer par exemple l’acide phytique dont le risque est de former avec certains minéraux de l’organisme humain des complexes insolubles qui ne seront pas absorbés ; il peut en résulter une carence de ces minéraux (comme le phosphore).

La chitine et l’un de ses dérivés, le chitosan, ont un rôle similaire ; en se liant à des lipides, ils forment des gels qui emprisonnent certaines vitamines et minéraux diminuant ainsi leur biodisponibilité [5].

L’acide cyanhydrique utilisé pour fabriquer des pesticides se retrouve dans l’organisme des insectes ; il peut aussi provenir des plantes riches en glycosides cyanogènes consommés par les insectes (les glycosides cyanogènes libèrent de l’acide cyanhydrique).
Les intoxications liées à l’acide cyanhydrique sont habituellement d’ordre professionnel par inhalation. On le retrouve aussi dans la fumée de tabac et les gaz d’échappement. Il agit aussi par ingestion ou par contact cutané. Il est rapidement absorbé sous forme de cyanure, métabolisé par le foie et excrété surtout par voie rénale [20] [21].
Il est hautement toxique chez l’homme : l’acide cyanhydrique et les cyanures métalliques sont inscrits au tableau A des substances vénéneuses.

Il existe quelques données expérimentales sur le risque lié à une exposition chronique du cyanure par ingestion : études avec le rat où l’on observe à fortes doses une réduction du nombre des spermatozoïdes ; études avec le porc qui développe des perturbations comportementales avec un allongement du temps de réponse aux stimuli nerveux (en faveur d’une souffrance neurologique) [22]. D’autres études expérimentales avec le rat ont aussi rapporté des effets neurologiques, thyroïdiens et sur la reproduction avec des malformations chez les fœtus de rats exposés [23] [24].
Il existe aussi quelques données cliniques chez l’homme : des études épidémiologiques confirment l’existence d’une association entre l’exposition chronique au cyanure par ingestion (consommation de manioc amer riche en glycosides cyanogènes) et des troubles neurologiques. Ces troubles sont de type neuropathie ataxique tropicale ou de type konzo (apparition brutale d’une paraplégie spastique parfois associée à des troubles visuels) [18] [25].
L’intoxication liée à l’exposition chronique à l’acide cyanhydrique par inhalation a aussi été le sujet de quelques observations cliniques chez l’homme avec des troubles de la vision, des troubles de la fonction de la thyroïde, et la survenue d’une anémie dite pernicieuse (carence en vitamine B12) [24]. Ces observations confortent le fait qu’une exposition chronique avec des seuils en dessous de ceux provoquant les signes cliniques d’une intoxication aiguë entraine des effets délétères sur la santé humaine à long terme.

Ce risque potentiel lié à l’exposition chronique à l’acide cyanhydrique par ingestion est d’autant plus préoccupant pour les jeunes enfants en plein développement et maturation cérébrale.

Plusieurs seuils de concentration liés au risque de toxicité aiguë par l’acide cyanhydrique ont été proposés ; l’UE en 2009 a estimé une concentration d’acide cyanhydrique devant être inférieure ou égale à 0.5 mg/kg de denrée alimentaire solide pour éviter une intoxication aiguë [22]. Le rapport de l’ANSES 2014 (annexe 2) nous donne une concentration d’acide cyanhydrique estimée à 2,19 mg/100g de poids sec pour une espèce de la famille des Gryllidae (communément appelée grillons), soit 21,9 mg/kg de poids sec [5]. C’est une concentration bien supérieure à celle préconisée par l’UE.
Les populations de grillons dans le cadre de la convention 1 ont un taux d’acide cyanhydrique inférieur ou égal à 0,5 mg/kg de poudre poids sec [1]. Comment expliquer cette différence aussi importante avec le résultat d’analyse des populations décrites dans le rapport de l’ANSES 2014 (annexe 2) : la différence semble trop importante pour être attribuée à des méthodes de détection et/ou d’analyse différentes. Il serait raisonnable de penser que la différence pourrait se situer au niveau de l’apport alimentaire en terme de qualité ; si c’est le cas, quel type d’aliments pour la population d’insectes d’élevage ?
Les analyses de la convention concernant les criquets ne mentionnent pas le composant toxique acide cyanhydrique [4].
Par ailleurs il n’existe pas de données chez l’homme sur la cancérogenèse du cyanure [22] [23]. De même, les effets génotoxiques ne sont pas documentés [23]). Ces données doivent être complétées par des études toxicologiques approfondies.

6- Utilisation d’insectes génétiquement modifiés

La possibilité d’utiliser des insectes génétiquement modifiés est soulevée ; c’est aussi le problème global de l’impact sanitaire des aliments génétiquement modifiés qui refait surface avec le risque sanitaire potentiel chez l’homme et chez l’animal, mais aussi le risque d’altération irréversible de l’écosystème [26].

Discussion et conclusion

1- Manque de données scientifiques de toxicité

Il existe un manque de données scientifiques de toxicité sur les risques sanitaires liés à la consommation d’insectes. Le rapport de l’ANSES 2014 a mis en évidence un fort déficit d’informations scientifiques et d’études toxicologiques pour démontrer l’innocuité de ces insectes, et a fortiori, de ces insectes transformés par des procédés industriels. Ces lacunes sont soulignées dans le rapport même de l’EFSA de 2015 qui note l’absence de collecte de données sur la consommation animale et humaine d’insectes et qui recommande fortement la production d’études toxicologiques [8].

Le caractère confidentiel des procédés, études et analyses sur la toxicité des demandeurs interroge.

L’exposition chronique à ces produits industriels d’insectes et dérivés d’insectes sera réelle puisqu’ils vont se retrouver dans un nombre considérable d’aliments ou de préparations alimentaires consommés de façon régulière, tous les jours comme par exemple le pain : les risques de toxicité chronique seront amplifiés par la généralisation de la consommation de cette farine d’insectes dans les divers aliments fournis par l’industrie agro-alimentaire. Les doses même infimes de ces substances indésirables (substances néoformées, contaminants, toxiques, substances non identifiées, résidus des produits utilisés pour le lavage des insectes…) consommées régulièrement peuvent être à l’origine d’une intoxication chronique.
L’hypothèse d’un lien entre l’exposition chronique à certains contaminants contenus dans les aliments et la recrudescence de certaines pathologies telles que les cancers, maladies neurodégénératives a déjà été soulevée (9) ; de même pour les composés néoformés même s’ils sont à l’état de trace dans les aliments [13].
Les études scientifiques sur le long cours sont manquantes. Il est indiqué dans la convention 2 qu’une surveillance a été réalisée sur un laps de temps de 90 jours [2]. S’il s’agit d’une surveillance post-exposition aux produits, nous ne savons pas quelle dose de produits a été consommée et pendant combien de temps. Dans les intoxications chroniques, il faut souvent envisager une surveillance sur une durée plus longue ; en effet, les effets néfastes potentiels peuvent apparaître plusieurs mois voire plusieurs années après l’exposition et dans le cas d’un risque d’atteinte génotoxique, il faut envisager une surveillance transgénérationnelle. Les études relatives à la génotoxicité sont aussi manquantes. La question de la génotoxicité a été soulevée dans le cadre des analyses réalisées pour les criquets [4].

Les données sur les interactions entre ces différents éléments chimiques sont aussi manquantes : quel est leur impact sur la santé humaine ? Là aussi, on a peu de données ; le mélange de contaminants néoformés peut avoir un effet synergique ou antagoniste. Les teneurs en métaux lourds varient selon les farines issues des différents insectes. Par exemple la teneur maximale en cadmium est ≤ 0,025 mg/kg de poudre A. domesticus ; ≤ 0,05 mg/kg de poudre A. diaperinus ; ≤ 0,05mg/kg de poudre L migratoria [1] [2] [4]. Ces quantités vont se retrouver cumulées puisqu’un aliment déjà commercialisé pourra contenir des farines d’insectes issues de différents insectes (exemple : les pâtes).
Il faudrait aussi prendre en compte l’ajout de toute cette diversité chimique à celle qui existe déjà dans les produits agroalimentaires actuellement commercialisés.
La dose de poudre issue d’A. Diaperinus admise varie de 5 g/100g de denrée alimentaire (dans les confiseries chocolatées par exemple) à 20 g pour les sandwichs prêts à consommer. Or, la dose maximale admise dans les compléments alimentaires est de 4 g/100g [2] : s’agit-il d’interactions néfastes entre les composés de cette poudre et ceux des compléments alimentaires ?
En outre toutes ces substances ne sont pas forcément identifiées et/ou détectées comme c’est le cas pour les composants néoformés [13] et les prions [9].

Ces risques sanitaires posent davantage d’inquiétude pour les personnes vulnérables comme les nourrissons et les personnes âgées à l’égard des composés néoformés qui peuvent induire des pathologies chroniques inflammatoires [9]. Par analogie, les études déjà citées à propos de l’ESB ont montré que les jeunes bovins soumis à des aliments industriels durant leurs premiers mois de vie ont une augmentation significative du risque de contracter l’ESB [15] [16] [17].
Les facteurs antinutritionnels posent aussi un problème chez les personnes carencées en vitamines ou autre nutriment important [5].
L’étude déjà citée sur le mélange A.diaperinus et les compléments alimentaires indique que ces compléments alimentaires ne devraient pas être consommés par les jeunes de moins de 18 ans [2].
Un autre exemple : celui du cyanure qui est métabolisé par le foie et éliminé par voie rénale. Les personnes ayant déjà des défaillances de ces organes pourraient être plus sensibles à ce toxique, des doses plus faibles pouvant causer des effets potentiellement graves chez ces personnes. On souligne à nouveau le risque potentiel de la toxicité neurologique du cyanure chez les enfants en pleine croissance.
En France, les actions des comités indépendants des autorités sanitaires s’attachent à mettre en œuvre des études indépendantes, indispensables pour éviter tout conflit d’intérêts : quels sont ces comités ?

2- Problème de traçabilité

En effet, la distribution concernera une grande majorité de produits alimentaires. L’exposition généralisée de la population à ces substances ne permettra pas de rechercher un lien de causalité en cas de survenue d’effets néfastes qui pourraient être liés à ces produits industriels.
Le mélange de ces différentes poudres dans un même aliment rendra aussi impossible, en cas de survenue d’effets néfastes, d’identifier le nouvel aliment responsable.
En outre le mélange de ces diverses substances d’une part, la méconnaissance de la quantité de ces poudres ingérées par un individu d’autre part, ne permettront pas de mettre en place d’études d’évaluation des niveaux d’exposition et des risques spécifiques à chacune de ces substances.

3- Rapport bénéfice/risque

L’importance des risques potentiels sur la santé et l’environnement semble sous-estimée. Le rapport bénéfice/risque est dès lors très discutable. En outre, adopter de « nouveaux aliments » doit aussi prendre en compte l’environnement en termes de protection. L’usage de solvant, d’engrais, d’énergie (l’élevage d’insectes nécessite par exemple une température constante et élevée), de moyens de transport, d’emballage, de rejets de déchets chimiques, polluants, toxiques… utilisés dans la transformation complexe d’une matière première ne sont pas à la faveur de la contribution à la sauvegarde de l’environnement. Des textes internationaux promeuvent le contrôle voire l’élimination des émissions de ces substances dans l’environnement (protocole d’Aarhus 1998, convention de Stockholm 2001). Ces éléments vont à l’encontre de l’objectif émanant de l’hypothèse à l’origine de cette proposition d’élevage d’insectes. La mise en œuvre de « nouveaux aliments » va à nouveau générer des déchets ou coproduits de ces industries agroalimentaires inhérents au mode de production et de commercialisation (fixation des prix au nom du profit, destruction de la partie invendue). Ces aspects ne répondent pas à la question du gaspillage alimentaire. On note aussi que certaines de ces sociétés se situent hors continent européen.
Très peu d’études existent sur l’impact environnemental de l’élevage des insectes. Selon le rapport EFSA de 2015, les dangers liés à l’environnement devraient être comparables à ceux d’autres systèmes de production animale. Dans l’hypothèse où les risques générés pour l’environnement liés aux élevages d’insectes sont comparables à ceux liés aux élevages traditionnels, il faut ajouter aux risques sanitaires pour l’homme et pour l’animal la question du bénéfice nutritionnel ; quelle est la quantité de protéine assimilable issue de ces farines ? Et quelle est la qualité nutritive après ces transformations et stockages ?
Aucune évaluation de ces mesures ne peut être mise en œuvre : les indicateurs ne sont pas définis et les objectifs de l’étude restent imprécis.
Il faut rappeler la différence fondamentale entre la consommation traditionnelle, occasionnelle d’insectes par certains groupes d’individus et la consommation généralisée de produits industriels à base d’insectes et cette différence doit être prise en compte sur les plans sanitaire et environnemental, et aussi sociologique et culturel.
L’existence d’une consommation traditionnelle naturelle de certains insectes par certaines populations ne devrait pas justifier une consommation, d’autant au long cours, d’insectes et produits dérivés d’insectes obtenus par des procédés industriels qui peuvent engendrer de nouveaux risques sanitaires et environnementaux.

Octobre 2023
Anonyme

Références bibliographiques

[1] Règlement d’exécution (ue) 2023/5 de la commission du 3 janvier 2023 autorisant la mise sur le marché de poudre partiellement dégraissée d’Acheta domesticus (grillon domestique) en tant que nouvel aliment…EUR-Lex-32023R0005-EN-EUR-Lex
[2] Règlement d’exécution (ue) 2023/58 de la commission du 5 janvier 2023 autorisant la mise sur le marché des formes congelée, lyophilisée en pâte et en poudre de larves d’Alphitobius diaperinus (petit ténébrion mat) en tant que nouvel aliment…EUR-Lex-32023R0058-EN-EUR-Lex
[3] Règlement d’exécution (ue) 2021/882 de la commission du 1e juin 2021 autorisant la mise sur le marché de larves séchées de Ténébrio molitor en tant que nouvel aliment …EUR-Lex-32021R0882
[4] Règlement d’exécution (ue) 2021/1975 de la commission du 12 novembre 2021 autorisant la mise sur le marché de formes congelée, séchée, en poudre de Locataria migratoria (criquet migrateur) en tant que nouvel aliment…L_2021402FR.01001001.xml-Europa
[5] ANSES saisine 2014-SA -0153 du 12 /02/2015
Avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire relatif à la valorisation des insectes dans l’alimentation et l’état des lieux des connaissances scientifiques sur les risques sanitaires en lien avec la consommation des insectes BIORISKS 2014 sa 0153.pdf
[6] Efsa journal 2019 ; 17(S2) :e170907 Insectes dans les denrées alimentaires et les aliments pour les animaux-évaluation des risques d’allergénicité et détection analytique https://doi.org/j.efsa.2019.e170907
[7] Efsa journal 2016 ; 14 (11) :4594 Orientations sur la préparation et la présentation d’une demande d’autorisation d’un nouvel aliment dans le cadre du règlement (ue) 2015/2283 https://doi.org/10.2093/j.efsa.2016.4594
[8] Efsa journal 2015 ; 13(10) :4257 Profil de risque lié à la production et à la consommation d’insectes destinés à l’alimentation humaine ou animale https://doi.org/10.2093/j.efsa.2015.4257
[9] Efsa journal 2018 ; 16 (7) : 5327 risque des nanotechnologies sur les denrées alimentaires https://doi.org/ 10.2903/j.efsa.2018.5327
[10] CN 109497353B-Application of graphene oxide in preparation of feed for lepidoptera and diptera insects
[11] particleandfibretoxicology.biomedcontrol.com/articles/10-1186/s12989-016-0168-y (« toxicité des nanoparticules de la famille des graphènes : revue générale des origines et des mécanismes »)
[12] particleandfibretoxicology.biomedcontrol.com/articles/10.1186/s12989-022-00502-w (« La récupération pulmonaire des dommages à l’ADN induits par l’oxyde de graphène dépend de la taille de la dose et du profil d’inflammation »
[13] Les composés néoformés toxiques et leur remédiation : foccus sur les produits carnés Meurillon M. et Engel E. Revue « Innovations agronomiques »2019 INRA UR 370 Qual A ( attention , rechercher la référence exacte comme noté sur l’article en mentionnant l’url ou doi )
[14] Anses, 2015. Dangers chimiques liés à la présence de substances néoformées dans les aliments au cours des procédés de fabrication, de transformation et de préparation des aliments. Fiche outils
[15] N. Jarrige, C. Ducrot, G. Cazeau, E. Morignat, & D. Calavas, « Contamination alimentaire des bovins naïfs atteints d’ESB ; Études complémentaires sur la période de distribution des aliments composés aux bovins et sur le rôle des aliments pour volailles » [archive], J. Epidémiol. et santé anim., vol. 49, 2006, p. 45-53.
[16] N. Jarrige, C. Ducrot, G. Cazeau, E. Morignat & D. Calavas, « Les aliments pour bovins, principale cause des cas d’ESB nés après l’interdiction des farines animales », dans 13. Rencontres autour des Recherches sur les Ruminants (3R), 2006-12-06/2006-12-07, Paris, FRA. Institut de l’Élevage.
[17]N. Jarrige, C. Ducrot, G. Cazeau, E. Morignat, C. La Bonnardière, & D. Calavas, « Case-control study on feed risk factors for BSE cases born after the feed ban in France » [archive], Veterinary research, vol. 38, no 3, 2007, p. 505-516.
[18] Organisation Mondiale Santé Animale « encephalopathie spongiforme bovine »
[19] ANSES -saisine 2015-SA-0140 Avis de l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation de l’environnement et du travail relatif à l’exposition au cadmium CAS 7440-43-9
[20] Medecinelégale.wordpress.com>2010>10>31/intoxication-par-lacide-cyanhydrique
[21] Sfmu.org/toxin/PROTOCOL/ACCYA
[22] ANSES -saisine n°2009-SA-0320 Avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation de l’environnement du travail relatif à la contamination de lots de sarrazin et de farines de sarrazin par de l’acide cyanhydrique RCCP 2009sa0320.pdf
[23] inrs institut national de recherche et de sécurité inrs.fr fiche toxicologique numéro 111 Cyanure de sodium, cyanure de potassium Edition septembre 2022
[24] ineris institut national de l’environnement industriel des risques . Fiche de données toxicologiques et environnementales des substances chimiques cyanures et dérivés M.Bisson, J.Bureau, S.Denys…
[25] Substances toxiques et facteurs antinutritifs (fao.org/3/t0207f/T0207F0/c/htm)
[26] efsa journal 2020 evaluation des risques environnementaux des insectes modifiés par l’entraînement génétique 10/2093/sp.efsa.2020.FR-1819

Source

 


on suit l'évolution des textes....29 juillet 2023

Bientôt du lait d'insectes ?

Nous boirons bientôt du lait d'insectes

 

L'élevage des vaches suscite la controverse : ces dernières sont en effet responsables d'une grande partie des émissions de méthane et consomment des hectolitres d'eau. Après la viande, c'est au tour du traditionnel lait de vache de voir des substituts débarquer sur le marché. Le lait d'insecte pourrait bien être la solution.

 

C'est une start-up sud-africaine Gourmet Grubb qui s'est lancée la première dans l'EntoMilk. Le produit est obtenu à partir des larves de la mouche soldat noire. Les larves ne produisent pas de lait et ne sont pas traites, mais broyées. Le processus de production exact est gardé secret par l'entreprise, mais l'EntoMilk serait très similaire au vrai lait. À ceci près qu'il contient plus de protéines et que sa matière grasse est plus saine.

Sans lactose et durable

Il existe de nombreux substituts végans au lait, la plupart à base de plantes comme le riz, l'avoine ou le soja. L'EntoMilk, quant à lui, ne contient pas de lactose, mais n'est pas pour autant végan. Alors pourquoi le monde aurait-il besoin d'un ersatz de lait à base de larves d'insectes ? Le lait d'insecte se veut être une solution saine et respectueuse de l'environnement. Le processus de production nécessite beaucoup moins de ressources que le lait réel ou ses substituts végétaux.

Le lait d'insecte n'est pas encore disponible en magasin. L'entreprise ne commercialise que trois parfums de crèmes glacées à base d'EntoMilk au Cap. Dans les mois à venir, la start-up a prévu de lancer un produit de type yaourt et un fromage aux insectes comme annoncé dans une interview récemment.

La nourriture du futur : des vers de farine dans un élevage d'insectes en Argau.

La nourriture du futur : des vers de farine dans un élevage d'insectes en Argau.

De la traite des cafards

Il y a trois ans, des chercheurs ont découvert une sorte de « lait » produit par une espèce de cafards. La femelle « diploptera punctate » ne pond pas d'œufs, mais porte ses petits. Après la naissance, elle les nourrit avec du lait cristallisé, quatre fois plus énergétique que le lait de vache. Le problème : traire des cafards n'est pas tâche aisée. Le lait est extrait des entrailles des blattes, pour 100 grammes il faut 1000 animaux. Les chercheurs voudraient donc produire ce lait artificiellement grâce à une levure.

Vous pourrez bientôt commander un cappuccino avec du lait d'insecte pour votre brunch dans le café branché en bas de la rue. Ou même déguster une larve d'ovi. La question est de savoir si vous en aurez le courage ?

Source

 

pourquoi veulent ils que nous ingestions des insectes ?????????

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Ils veulent ajouter des Séquences d'ADN Artificielles dans les Farines d’Insectes qui affecteront le Chromosome X et la Reproduction comme avec les Vaxxins à ARNm ! 

Le Dr Thul, pédiatre allemande, affirme que l’ajout d’insectes à la nourriture, sous quelque forme que ce soit, est extrêmement dangereux. 

Des séquences d’ADN artificielles ont été mises dans tout ce matériel, qui sont introduites dans le génome humain. 

Ce qu’ils ont fait pendant deux ans avec des seringues, ils le font maintenant avec ces insectes. A-t-elle déclaré !

 

 

Alcyon Pleiades Conseillé

https://www.etresouverain.com/dr-allemande-se-nourrir-dinsectes-modifie-ladn-tel-que-les-vaccins-cela-affecte-la-reproduction/

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Les insectes trouvent leur place dans les assiettes italiennes malgré les résistances

Dans une petite pièce près des Alpes, dans le nord de l’Italie, des conteneurs remplis de millions de grillons sont empilés les uns sur les autres.

Ces grillons, qui sautent et gazouillent bruyamment, sont sur le point de devenir de la nourriture.

 

Le processus est simple : ils sont congelés, bouillis, séchés, puis pulvérisés.

Ici, à l’Italian Cricket Farm, la plus grande ferme d’insectes du pays, environ un million de grillons sont transformés en ingrédients alimentaires chaque jour.

Ivan Albano, qui dirige la ferme, ouvre un récipient pour découvrir une farine brun clair qui peut être utilisée dans la production de pâtes, de pain, de crêpes, de barres énergétiques et même de boissons pour sportifs.

Manger des grillons, des fourmis et des vers est une pratique courante depuis des milliers d’années dans certaines régions du monde comme l’Asie.

Aujourd’hui, après que l’Union européenne a autorisé la vente d’insectes pour la consommation humaine au début de l’année, l’attitude des Européens va-t-elle changer ?

la suite sur

https://www.aubedigitale.com/les-insectes-trouvent-leur-place-dans-les-assiettes-italiennes-malgre-les-resistances/

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour remplacer les protéines animales dans l’élevage ou dans l’alimentation humaine, plusieurs fermes françaises ont fait le pari des insectes. Le marché devrait s’élever à plusieurs milliards d’euros en 2030.

Des entreprises françaises sont devenues leader sur la scène mondiale des produits à base d’insectes pour nourrir les animaux, et bientôt les hommes. À Rethel (Ardennes), dans une ferme de 16 000 m2 sortie de terre en 18 mois, Cédric Auriol a développé son entreprise, Agronutris. 12 ans de recherche et 100 millions d’euros investis ont permis d’inventer les conditions d’élevage de la mouche soldat noire. Cette espèce à la capacité de transformer ses œufs microscopiques en larves 10 000 fois plus grosses. Pendant dix jours, elles se nourrissent de déchets végétaux récupérés dans les industries voisines.

L’Etat français confiant

L’élevage d’insectes est une filière prometteuse sur laquelle l’Etat français a misé pour assurer sa souveraineté alimentaire. La banque publique d’investissement a soutenu plusieurs start-ups afin qu’elles se développent à dimension industrielle. La plus grande ferme d’insectes du monde se trouve ainsi à Nesles, dans la Somme. Ce marché est évalué à plusieurs milliards d’euros d’ici 2030, dans une filière où la France se positionne en tête.

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https://fr.sott.net/article/42136-Les-enfants-malades-sont-une-veritable-mine-d-or-pour-les-grandes-societes-pharmaceutiques-et-alimentaires-affirme-un-denonciateur-a-Russell-Brand

Les enfants malades sont une véritable mine d'or pour les grandes sociétés pharmaceutiques et alimentaires, affirme un dénonciateur à Russell Brand

 

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Aux États-Unis, chaque "enfant malade est une mine d'or" pour les grandes sociétés pharmaceutiques et alimentaires, a déclaré Calley Means, cofondateur de TrueMed, à l'humoriste et commentateur politique Russell Brand lors d'un récent épisode de l'émission "Stay Free with Russell Brand" (Restez libres avec Russell Brand).

M. Means, ancien consultant en produits alimentaires et pharmaceutiques devenu dénonciateur, a expliqué à Brand qu'il y a de fortes chances qu'un adolescent américain de 15 ans à faible revenu souffre de pré-diabète et d'obésité, d'hypercholestérolémie et d'hyperglycémie - en raison de la consommation d'aliments ultra-transformés qui génèrent d'énormes profits pour leurs producteurs.

Ces pathologies n'entraînent pas la mort, mais elles nécessitent la prise de médicaments à vie, comme les statines pour le cholestérol, l'insuline pour le diabète, l'Adderall pour le trouble du déficit de l'attention/hyperactivité (TDAH) que les médecins diagnostiquent chez 15 % des enfants américains et les opioïdes pour ce qui devient chronique, a expliqué M. Means à M. Brand.

"Medicaid verse un budget supérieur à celui du ministère de la Défense", a-t-il déclaré. Et cet argent va directement à Big Pharma (les grandes compagnies pharmaceutiques).

Selon M. Means, trois ingrédients principaux de notre alimentation provoquent des inflammations et nous rendent malades : les sucres ajoutés, les céréales hautement transformées qui manquent de fibres et les huiles de graines.

Il a ajouté :

"Soixante-quinze pour cent de notre alimentation est constituée de faux aliments ultra-transformés que nous ne sommes pas biologiquement faits pour manger...

"Si vous supprimiez ces trois ingrédients : le sucre, les huiles de graines et les céréales hautement transformées, vous n'auriez plus de maladie cardiaque, qui est la première cause de mortalité. Vous n'auriez plus de diabète de type 2. Vous élimineriez, dans une large mesure, la maladie d'Alzheimer, que l'on appelle maintenant le diabète de type 3″.

M. Brand estime que les sociétés humaines sont passées d'une société où les plantes et les animaux étaient considérés comme sacrés et traités avec déférence, à une société où l'on vit dans "de vastes monocultures, où les animaux sont abattus en masse, où les cultures sont cultivées en masse et où nous sommes devenus comme la nourriture que nous mangeons : Nous sommes un produit".

M. Brand a demandé à M. Means s'il existait une législation susceptible d'être adoptée pour changer de manière significative la santé des gens, compte tenu notamment de la puissance des lobbies de l'alimentaire et de la pharmacie.

"Ce type d'intérêts, qui disposent de fonds [large amounts of] de lobbying, ne se laisseront pas faire sans se battre", a déclaré M. Brand.

M. Means est d'accord. Il a déclaré que malgré la dégradation des résultats en matière de santé, le secteur des soins de santé est le plus important et celui qui connaît la croissance la plus rapide aux États-Unis.

"Cela va causer la banqueroute de notre pays", a déclaré M. Means, avant d'ajouter : "Nous sommes en train de devenir une civilisation grasse, non compétitive et infertile" :

"Il ne s'agit pas de modifier légèrement Medicare Part D. Il s'agit de comprendre que le problème des soins de santé est que chaque levier qui touche à notre santé profite des personnes malades et perd de l'argent lorsqu'elles sont en bonne santé.

Même les compagnies d'assurance maladie souhaitent que les coûts des soins de santé augmentent, a-t-il déclaré, car leurs bénéfices sont plafonnés à 15 % des coûts. Plus les coûts sont élevés, plus les bénéfices sont importants.

Selon lui, l'un des principaux problèmes réside dans le fait que les personnes chargées d'élaborer les lignes directrices nutritionnelles - qui recommandent notamment que les enfants de deux ans et plus reçoivent 10 % de leur apport calorique quotidien sous forme de sucre - se trouvent en situation de conflit d'intérêts, car elles sont directement rémunérées par les entreprises de Big Food ou de Big Pharma..

Selon lui, les Américains écoutent les autorités et il est donc impératif que les recommandations changent.

Les animaux sauvages n'ont pas les mêmes problèmes de santé que les humains, a-t-il dit, ajoutant :

"La seule différence entre nous et les autres animaux, c'est que nous avons des experts qui disent aux enfants de s'asseoir à des bureaux toute la journée dans des pièces sans soleil, de ne pas bouger alors qu'ils sont faits pour bouger, d'apprendre de l'enseignant et de manger de la cochonnerie transformée.

 

 

 https://youtu.be/zk3gqQ1I2KQ

 

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samedi 15 avril 2023

https://youtu.be/S4nNUZsDVac

Vous reprendrez bien un peu de Petit Ténébrion Mat !

 

 

Vous reprendrez bien un peu d’Alphitobius diaperinus, ce Petit Ténébrion Mat discrètement ajouté dans vos Aliments Préférés, à l'Insu de votre Plein Grès !

Ténébrions molitor


Bon appétit à tout le monde…. 
Liste des futurs aliments touchés par cette autorisation : 

Barres de Céréales, Pains et Petits Pains, Céréales Transformées et Céréales pour Petit-Déjeuner, Gruau, Prémélanges secs pour Produits cuits au Four, Produits à base de Pâtes séchées, Produits à base de Pâtes Farcies, Lactosérum en poudre, Soupes et Potages, Plats à base de Céréales ou de Pâtes, Plats à base de Pizza, Nouilles, En-Cas autres que les Pommes de Terre Frites, Pommes de Terre Frites/Chips, Biscuits Secs et Gressins, Beurre d'Arachide, Sandwich salé prêts à consommer, Préparations de Viandes, Substituts de Viande, Substituts de Lait et de Produits Laitiers, Confiseries au Chocolat, Compléments Alimentaires pour Adultes ! 
Il y en aura partout !  
Règlement d'Exécution (UE) 2023/58 de la Commission du 5 janvier 2023
autorisant la mise sur le marché des formes congelée, lyophilisée, en pâte et en poudre de larves d’Alphitobius diaperinus (petit ténébrion mat) en tant que nouvel aliment et modifiant le règlement
d’exécution (UE) 2017/2470
Vous pouvez consultez l’article de loi du Journal Officiel en PDF sur le lien suivant : https://www.cjoint.com/c/MDpi3zo7XFF

 

Source : Mentality Infos

https://lesmoutonsenrages.fr/2023/04/15/vous-reprendrez-bien-un-peu-dalphitobius-diaperinus/

 

 

 

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lundi 10 avril 2023

Un Député Polonais propose une "loi anti-insectes" !

Un Député Polonais propose une "loi anti-insectes" visant à Rendre Obligatoire l’Étiquetage des Aliments Contenant des Insectes !


Un vice-ministre polonais de l’agriculture a proposé une "loi anti-insectes" qui exigerait que tous les produits alimentaires contenant des insectes soient étiquetés avec un avertissement spécial. 
Cette décision du membre du parti conservateur au pouvoir intervient sur fond d’accusations selon lesquelles, si les partis d’opposition progressistes remportent le pouvoir lors des élections de cette année, ils lanceront une campagne orwellienne "mangez les insectes" visant à restreindre la consommation de viande traditionnelle. 

L’opposition n’a pas officiellement annoncé de tels projets, selon Notes from Poland.
"Les larves de vers de farine séchées, les grillons en poudre font partie des insectes que les eurocrates et Rafał Trzaskowski [le maire de Varsovie, membre de l’opposition] qualifient de nouveaux aliments", a déclaré Janusz Kowalski, vice-ministre de l’agriculture, lors de la présentation de ces projets au parlement jeudi. 
"C’est pourquoi nous, la Pologne unie [Solidarna Polska], avons entamé la préparation d’une réglementation légale, suivant les exemples de la Hongrie et de l’Italie, qui donnera aux consommateurs polonais des informations claires sur les produits alimentaires contenant ce que l’on appelle des additifs anti-insectes", a-t-il poursuivi.
"Il s’agit d’une loi anti-insectes !"  
Image
En vertu de la proposition de loi du parti Droit et Justice (PiS) au pouvoir, les produits contenant des insectes devraient porter sur leur emballage une étiquette indiquant "Attention, ce produit alimentaire contient des protéines d’insectes".
"Si Rafal Trzaskowski veut manger du mazurek [un gâteau de Pâques polonais traditionnel] à base d’insectes séchés, il a le droit de le faire", a déclaré Kowalski, en faisant référence au maire de l’opposition. 
"En tant que conservateurs, en tant que Polonais, nous préférons nettement la nourriture polonaise normale, la viande polonaise, les produits laitiers polonais."  
notesfrompoland.com
Polish farmers back EU ban on vegetarian "burger" and "sausage" labelling
"The fate of our common heritage is at stake," say farmers ahead of a European Parliament vote.

Plus d’informations via Notes from Poland
En janvier de cette année, la Commission européenne a approuvé les produits fabriqués à partir de larves de vers de farine et de grillons domestiques comme étant propres à la consommation. 
Il ne s’agissait pas des premiers produits à base d’insectes approuvés par Bruxelles, et la Commission a souligné à l’époque que "personne ne sera forcé de manger des insectes". 
Néanmoins, de nombreux conservateurs en Pologne et ailleurs en Europe y ont vu une tentative de saper les cultures culinaires traditionnelles, en particulier la consommation de viande. 
Peu après, une nouvelle controverse a éclaté en Pologne lorsque le journal Dziennik Gazeta Prawna a publié un article sur un rapport du groupe C40 Cities qui recommandait de réduire la consommation de viande dans le cadre des efforts de réduction des émissions. 
Varsovie est membre du groupe C40 et son maire, Trzaskowski, a participé et pris la parole lors d’événements organisés par l’organisation. 
Les politiciens et les médias liés au camp au pouvoir ont donc confondu les histoires de l’UE et du C40 pour affirmer que l’opposition polonaise veut restreindre ou interdire la viande traditionnelle et la remplacer par des insectes.
Image
https://twitter.com/danieltilles1/status/1627750137157062658/photo/1
Publié par Jade le 10 avril 2023 : 
https://www.aubedigitale.com/un-depute-polonais-propose-une-loi-anti-insectes-visant-a-rendre-obligatoire-letiquetage-des-aliments-contenant-des-insectes/

 

 

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mardi 28 mars 2023

L'Italie et la Hongrie contre la Farine d'Insectes !

La Hongrie et l'Italie veulent protéger leurs Populations contre la Nocivité des Aliments à base d'Insectes avec des Étiquettes Informatives ! 


La Hongrie fait également avancer l'agenda de la "Grande réinitialisation" du Forum économique mondial. 

Comme l'Italie, la Hongrie a de nouvelles réglementations pour protéger les personnes contre les aliments contenant des insectes.

Le ministre hongrois de l'Agriculture Istvan Nagy a annoncé sur Facebook que les aliments contenant des protéines d'insectes doivent être étiquetés comme suit : "Attention ! Cet aliment contient des protéines d'insectes ! 
Il devrait également y avoir des étagères séparées pour ces produits." 
La Hongrie a été le seul État membre à ne pas soutenir l'initiative de l'UE visant à autoriser la mise sur le marché d'aliments contenant des insectes. 
"La Commission européenne met en danger nos traditions et nos habitudes alimentaires", a déclaré le ministre de l'Agriculture. 
Dans trois mois, tous les produits doivent être correctement étiquetés. 
Les gens qui aiment manger de la nourriture hongroise ne veulent pas d'insectes. 
De plus, les agriculteurs hongrois fournissent toujours à la population des aliments de haute qualité, et nous n'avons pas à craindre les pénuries alimentaires, a souligné le ministre. 
Bientôt, il pourrait y avoir des insectes en poudre dans vos courses. Parce que la Commission européenne déclare de plus en plus de produits à base d'insectes sans danger pour la consommation. 
En janvier, l'approbation a été accordée pour la poudre de grillon dégraissée à utiliser dans les soupes, les pains et les sauces. 
La Commission a officiellement autorisé l'utilisation commerciale des insectes depuis 2022, bien que certains pays, dont les Pays-Bas, aient autorisé leur vente plus tôt.

Source : 
https://uncutnews.ch/so-schuetzt-ungarn-seine-bevoelkerung-vor-dem-insektenfrass/

 

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Dans l’article « A Davos, ils veulent que vous mangiez des insectes pour que vous attrapiez le cancer », nous expliquions que la Chitine est un polysaccharide que poossèdent les insectes provoquant le cancer. Nous comprenions alors pourquoi les satanistes de Davos veulent imposer la consommation des insectes. (https://profidecatholica.com/2023/01/25/a-davos-ils-veulent-que-vous-mangiez-des-insectes-pour-que-vous-attrapiez-le-cancer/)

 

Après l’adoption par l’UE d’un nouveau règlement autorisant à l’avenir l’utilisation des insectes dans les aliments, un grand remue-ménage a éclaté. On trouve des insectes dans de nombreux aliments et nous révélons lesquels.

Le nouveau règlement de l’UE suscite le mécontentement et le dégoût de nombreuses personnes, car depuis peu, les grillons domestiques et les coléoptères de la moisissure peuvent également être transformés dans nos aliments. Les grillons domestiques pourront désormais être réduits en poudre et mélangés aux aliments. La désignation officielle de l’ingrédient, qui doit être indiquée sur les produits, est la suivante : “poudre partiellement dégraissée d’Acheta domesticus (grillon domestique)”.

Les larves de l’insecte céréalier peuvent également être utilisées sous forme séchée, congelée, en poudre et en pâte dans les produits de boulangerie, les pâtes, les céréales et les snacks (sauf les chips).

Des insectes sont déjà présents dans ces aliments.

Même si le grillon domestique et le scarabée des céréales sont nouvellement autorisés, l’idée n’est pas nouvelle. Les insectes sont utilisés dans les aliments depuis bien plus longtemps. L’exemple le plus connu est l’additif E 120, appelé “carmin rouge”. Celui-ci est composé de cochenilles écarlates cuites et écrasées, dont on extrait un colorant rouge. Celui-ci est particulièrement apprécié dans l’industrie alimentaire pour rendre les aliments plus attrayants. On le trouve également souvent dans les produits cosmétiques. Malheureusement, il est aussi souvent utilisé dans les produits végétaliens pour colorer les alternatives végétariennes ou végétaliennes à la viande. On trouve particulièrement souvent le “carmin rouge” dans les sucreries, par exemple dans :

– Müller “Müllermilch Kirsch-Banane”.

– Trolli “Saure Glühwürmchen” (lucioles acides)

– Mentos : Chewing-gum “Full Fruit”

– Enfants “Riegel Mini”

– Kinder “Pinguin Chocolat-Caramel”

– m&m’s “Crisp”

– Ehrmann “Verger Fraise”, “Verger Framboise”, “Verger Myrtille”, “Verger Groseille et Cassis”.

– Chupa Chups : Sucettes “Do you love me ?”

L’additif E 904 est également volontiers utilisé dans les produits alimentaires. Il s’agit des sécrétions résineuses de la cochenille gommeuse. On l’appelle aussi gomme laque. Il est souvent utilisé pour enrober le chocolat, les noix, les grains de café ou les bonbons. On retrouve cet additif dans ces produits :

– Ferrero “Bons de chocolat pour enfants”.

– Mentos : Chewing-gum “Pure White”

– Milka “Lentilles de cacao colorées

Article traduit : Diese bekannten Lebensmittel enthalten schon jetzt Insekten (89.0 RTL)

 

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POUR TOUT RENSEIGNEMENT:

laurentglauzy1@gmail.com

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https://regisliber.wordpress.com/2022/10/30/pourquoi-soudainement-veut-on-nourrir-dinsectes-lhumanite-entiere/

 https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqA5fS1gh4nKV8ByQOby4CaNgxu5eQAq5yXhBJ7UQnEsbaGbJMApiTMiVqeHYG8YpJAmn90QvkTIvywomal7cZAtBgDaIM2v5sq2uzuOm_XnRQxsP6MUrD9lJlRBW2maK9xxLsNkve5ifutIINyOuSVNa6qwAFrfURn_GQFwaVloefbvxInFSjF62wAw/s357/image00kkk00001.jpgdonc cette agence dit tout et son contraire depuis 2015 !

Pourquoi soudainement veut-on nourrir d’insectes l’humanité entière ?

Homo chimericus: les processus de Chitinisation de l’alimentation insectivore, en synergie avec les processus de Graphénisation, vont engendrer un nouvel organisme humain chimérique et connecté

 

« Voici ma dernière monographie portant sur la synergie entre la Graphénisation, de la vie humaine, et la Chitinisation induite par la présence de la chitine dans l’alimentation insectivore… vers Homo chimericus. »

Homo chimericus: les processus de Chitinisation de l’alimentation insectivore, en synergie avec les processus de Graphénisation, vont engendrer un nouvel organisme humain chimérique et connecté

 

Avant-Propos

Au sujet de la Chitine

Découvertes fascinantes de l’entomologiste, et biologiste, Philip Callahan portant sur la Chitine d’Insectes et les Bio-Electroniques Moléculaires

Découvertes fascinantes de l’entomologiste et bio-physicien Russe, Viktor Stepanovich Grebennikov, portant sur les Propriétés anti-Gravitationnelles de certaines Chitines d’Insectes

Chitine et Chitosane dans la production d’électricité

Chitine et Chitosane dans la “Médecine Nano-Particulaire”

Chitine et Chitosane dans les polymères, à base de Graphène, de la “Médecine Nano-Particulaire”

Chitine et Chitosane dans les Hydrogels de la “Médecine Nano-Particulaire”

Hydrogels et Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène… vers Homo chimericus

Toxicité de la Chitine, et du Chitosane, dans l’Organisme Humain

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Source:

https://t.me/brigadesantigraphene/1178

 

Depuis hier, un additif alimentaire à base de criquets en poudre a commencé à apparaître dans des aliments allant de la pizza aux pâtes en passant par les céréales dans toute l’Union européenne.

 

Des grillons domestiques dégraissés sont au menu des Européens sur tout le continent, sans que la grande majorité d’entre eux ne sachent qu’ils se trouvent désormais dans leur alimentation.

 

« Cela est dû à une décision de la Commission européenne adoptée au début du mois », rapporte un média russe.

 

« Selon la décision, qui cite l’avis scientifique de l’Autorité européenne de sécurité des aliments, l’additif peut être utilisé en toute sécurité dans toute une série de produits, y compris, mais sans s’y limiter, les barres de céréales, les biscuits, les pizzas, les produits à base de pâtes et le lactosérum en poudre. »

 

Mais ne vous inquiétez pas, car les grillons doivent d’abord être contrôlés pour s’assurer qu’ils « rejettent le contenu de leurs intestins » avant d’être congelés.

Les critiques ont suggéré qu’une fois que les insectes seront largement acceptés comme additifs alimentaires, leur consommation sera normalisée à tous les niveaux.

 

« L’ordre mondial libéral a décidé que les petites gens devaient manger des insectes pour empêcher le climat de fluctuer, conformément à l’idéologie de la classe dirigeante », écrit Dave Blount.

 

« Pourtant, plutôt que d’obéir bêtement aux Experts comme la plupart l’ont fait avec la politique du Covid, les gens ont résisté. Alors nos seigneurs lunaires introduisent furtivement des insectes dans la nourriture. »

 

« Cela leur permettra de révéler dans un avenir proche que nous avons déjà mangé des insectes, il n’y a donc aucune raison de s’opposer à ce qu’ils mettent fin aux exploitations agricoles et imposent un nouveau régime alimentaire. »

 

L’Union européenne a également récemment approuvé l’utilisation d’Alphitobius diaperinus, autrement connu sous le nom de petit ver de farine, pour la consommation humaine.

 

Comme nous l’avons documenté de manière exhaustive, les technocrates mondialistes et les militants contre le changement climatique ont toujours fait pression pour que les gens commencent à manger des insectes pour lutter contre le réchauffement climatique, bien que cette pratique soit liée à des infections parasitaires.

 

Je doute quelque peu que les technocrates élitistes qui se sont récemment rendus à Davos se mettent au régime des insectes, même s’ils nous rabrouent sur le changement climatique provoqué par l’homme.

 

En novembre dernier, le Washington Post conseillait aux Américains de remplacer le traditionnel dîner de Thanksgiving, désormais inabordable pour un quart des familles, par la consommation d’insectes.

 

Alors que les éleveurs de bétail des Pays-Bas font l’objet d’une réglementation visant à mettre fin au changement climatique, les écoliers sont endoctrinés pour manger des insectes, tandis qu’une autre école allemande a complètement interdit la viande.

 

 

https://profidecatholica.com/2023/01/25/a-nancy-la-baguette-aux-insectes-est-lancee-video/

 

KLA.TV – Dégoûtant – Le dossier « Insectes dans l’alimentation »

Nouvelle tendance ou calcul qui fait froid dans le dos ? Récemment, d’autres insectes ont été autorisés dans notre alimentation et les médias s’efforcent de nous les faire apprécier. Des parallèles avec les mesures Covid s’imposent.

 

Les risques pour la santé sont minimisés et les motivations réelles qui se cachent derrière ne sont pas du tout mentionnées. Ce documentaire révèle ces deux aspects, ainsi que d’autres conséquences potentiellement graves de cet agenda mondial peu ragoûtant. 

Cliquez sur ce LIEN si vous ne voyez pas la vidéo.

 

KLA.TV est un média indispensable de nos jours pour diffuser de réelles informations.


Retrouvez-moi sur Telegram et GETTRCe contenu ainsi que les informations et les opinions qui y sont exprimées sont ceux de leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement mon opinion.

https://www.etresouverain.com/kla-tv-degoutant-le-dossier-insectes-dans-lalimentation/

 

 

 

 



Poulets nourris à l’huile d’insectes

 

 

En juin dernier, 4.000 volailles nourries à l’huile d’insectes étaient commercialisées dans plusieurs supermarchés Auchan du Nord de la France. Une opération menée par Innovafeed, qui entend bien pérenniser cette nouvelle filière, afin de répondre aux enjeux environnementaux et sociétaux liés à la production animale, comme l’explique Mathilde Bussard, chargée de communication pour Innovafeed.

Quelle est l’idée à l’origine de l’entreprise Innovafeed ?

L’entreprise est née du constat que les systèmes alimentaires de demain devront faire face à plusieurs challenges, tels que la croissance démographique et les changements de mode alimentaire des pays en développement vers des régimes plus proches de pays développés. De nouvelles urgences sont aussi apparues ou ont été accrues avec le Covid-19, notamment en termes de sécurité, de traçabilité et de santé. L’épisode de Covid a également mis en avant la dépendance de nos systèmes alimentaires. L’Europe importe en effet près de 70 % des protéines à destination de l’alimentation animale. On constate donc une volonté de participer à la création d’un système alimentaire plus durable. C’est de ce constat qu’Innovafeed est né en 2016.

Quel produit proposez-vous ?

L’entreprise élève des mouches soldats noires (hermetia illucens), dont les larves sont transformées à destination de l’alimentation animale. Les larves sont composées de protéines, de lipides et d’eau. Nous séparons ces éléments pour récupérer d’un côté les protéines, transformées en poudre d’insectes, et de l’autre, les lipides, transformés en huile d’insectes. Ces ingrédients sont ensuite intégrés dans la formulation d’aliment pour animaux.

Quels animaux sont concernés ?

La protéine d’insecte est utilisée pour alimenter les poissons, tels que les truites, saumons et les crevettes. Nous commercialisons d’ailleurs depuis 2018 de la truite nourrie à l’insecte chez Auchan. L’huile d’insecte quant à elle est utilisée dans l’alimentation des porcs et des volailles. Nous avons ainsi lancé la commercialisation de la première volaille nourrie à l’insecte chez Auchan en juin dernier et lancerons le porc très prochainement !

 


Des éleveurs de poulets américains se sont emparés des médias sociaux pour avertir que les aliments pour poulets sont empoisonnés.

 

Dans de nombreuses vidéos virales, des agriculteurs ont documenté l’arrêt brutal de la ponte de leurs poules au cours de l’année dernière.

Les agriculteurs concluent tous à l’unanimité que leur alimentation commerciale est responsable de la baisse de production de leurs poules.

Vous trouverez ci-dessous des vidéos d’agriculteurs qui décrivent tous le même phénomène, certains nommant les marques qu’ils soupçonnent d’être responsables :

Sur Facebook, un agriculteur a noté :

« J’ai appelé plusieurs fermes qui vendent des poulets et ils me disent que leurs poulets ont cessé de pondre des œufs et qu’ils n’en ont donc pas à vendre. J’ai regardé un peu plus loin et apparemment ils mettent quelque chose dans l’alimentation pour les empêcher de pouvoir pondre des œufs ! »

 

 


Des scientifiques avertissent désormais le public que la consommation d’œufs pourrait provoquer des caillots sanguins, des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques.

Selon une nouvelle étude, un nutriment présent dans les œufs augmente le risque de coagulation du sang.

 

Le site Express.co.uk rapporte : L’étude menée par la Cleveland Clinic, suggère que la choline pourrait rendre le sang plus enclin à la coagulation.

 

La choline est parfois vendue dans des compléments alimentaires en vente libre.

oline, mais la majorité provient de sources alimentaires.

Des chercheurs ont toutefois découvert que la consommation de ce nutriment en forte concentration pouvait entraîner la formation de caillots.

 

Ils ont suggéré que les bactéries présentes dans les intestins pouvaient interagir avec la choline pour produire un composé qui encourage les plaquettes sanguines à s’agglutiner, formant ainsi un caillot de sang.

 

L’équipe a observé qu’en interagissant avec les bactéries intestinales, la choline produisait une substance appelée TMAO.

 

Cette substance, qui signifie triméthylamine N-oxyde, est produite lorsque les bactéries intestinales décomposent un certain nombre de nutriments alimentaires.

 

Pour leur étude interventionnelle, les chercheurs ont fourni des suppléments de choline par voie orale à des végétariens et des omnivores en bonne santé.

Dans les deux groupes, les niveaux plasmatiques de TMAO ont été multipliés par 10 après la supplémentation en choline.

 

Ils ont également observé une augmentation de la réactivité des plaquettes, un facteur de risque d’événements thrombotiques.

 

Selon l’auteur principal de l’étude, cette substance a été liée à un risque accru de caillots sanguins, de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral dans des études antérieures.

 

Des niveaux élevés de cette substance dans le sang ont été associés à un risque accru de maladie cardiovasculaire.

 

Selon les chercheurs, si le risque de formation de caillots sanguins a augmenté chez l’homme, il a pu être minimisé par la consommation de faibles doses d’aspirine.

 

Si le médicament a réussi à réduire le risque de formation de caillots, il n’a toutefois pas permis de l’éliminer complètement.

 

Il convient de noter que les concentrations de choline présentes dans les aliments sont généralement sans danger, mais que la consommation de suppléments de choline pourrait présenter des risques pour la santé.

 

Les chercheurs de l’étude, le docteur Stanley L. Hazen de la Cleveland Clinic dans l’Ohio, ont déclaré : « À moins que votre médecin ne vous le prescrive, évitez les compléments contenant de la choline. »

 

Parmi les autres habitudes alimentaires susceptibles d’augmenter le risque de coagulation du sang, citons la déshydratation, car elle entraîne un épaississement du sang.

 

Lorsque le corps est privé de liquides, les vaisseaux sanguins peuvent également se rétrécir, un autre facteur de risque connu de coagulation.

 

Lire aussi : Chercheur : « La peur et la désinformation peuvent provoquer des effets secondaires liés aux vaccins, comme des caillots sanguins et des crises cardiaques »

Source : Planet Today – Traduit par Anguille sous roche

 

 

 


« Great Food Reset » : réingénierie de l'approvisionnement alimentaire mondial

 

 

 

 

Le journaliste James Corbett identifie le casting des personnages à l'origine de la Great Food Reset, comme un plan visant à réorganiser l'approvisionnement alimentaire mondial, sous le couvert d'une fausse crise alimentaire.

 

"Des boulettes de poudre de cricket, des hamburgers d'insectes aux OGM et au glyphosate, en passant par les bioréacteurs et les microbes créateurs, la nutrigénomique et le matériel imprimé en 3D, l'avenir de la nourriture s'annonce radicalement différent de tout ce que vous avez mangé auparavant", selon le rapport de James Corbett.

La nourriture, note Corbett, a été exploitée tout au long de l'histoire humaine comme un "puissant outil de contrôle".

Mais il n'est pas trop tard pour "commencer à formuler nos propres plans pour contrecarrer ce programme de contrôle", a déclaré Corbett.

Quelle est la première étape ? Regardez attentivement qui est derrière l'ordre du jour

Selon Corbett :

«Afin de vraiment faire quelque chose pour faire dérailler la folie qu'est le Great Food Reset, nous devons d'abord le comprendre, et pour le comprendre, nous devons savoir qui sont ces personnes derrière ce programme.

Corbett a fourni un aperçu riche en informations des groupes et des individus qui, selon lui, sont les moteurs historique et présents, de la Great Food Reset.

La Fondation Rockefeller

Selon Corbett, les Rockefeller et leur fondation éponyme, qui « sont à bien des égards les ancêtres et les architectes de la Great Food Reset », font pression pour une plus grande centralisation du contrôle de l’approvisionnement alimentaire, y compris « un nouveau système intégré de sécurité nutritionnelle ».”

"Depuis le début de la soi-disant " révolution verte ", jusqu'à la soi-disant" révolution génétique ", les Rockefeller ont été là", a déclaré Corbett, "aidant à faire avancer les choses à travers leurs dons" philanthropiques "."

Corbett a cité le travail récent des Rockefeller en Afrique, qui opère sous le nom d'Alliance pour une révolution verte en Afrique. L'objectif déclaré de l'alliance : "élever une voix africaine unique", semble agréable et flou, jusqu'à ce que vous appreniez que 200 organisations se sont réunies "pour dénoncer l'alliance et ses activités", a déclaré Corbett.

Corbett a déclaré que les 200 détracteurs de l'alliance "affirment que le groupe a non seulement échoué sans équivoque dans sa mission, mais a en fait nui aux efforts plus larges pour soutenir les agriculteurs africains".

Bill Gates

Corbett a souligné que Bill Gates, Sr., en 2009, a admis qu'il s'était tourné vers la Fondation Rockefeller quand il a aidé son fils à créer la Fondation Bill & Melinda Gates, il n'est donc «pas surprenant» que Bill Gates soit fortement investi dans la Great Food Reset.

"Gates est littéralement investi dans la réinitialisation alimentaire, grâce à son financement de l'industrie des substitus de viande", a déclaré Corbett.

"Gates est tristement célèbre, comme l'un des premiers bailleurs de fonds de la société 'Impossible Burger' et de son substitut alimentaire de biologie synthétique cultivé en laboratoire", a déclaré Corbett. «Il a également fourni des capitaux au rival d'Impossible, Beyond Meat... jusqu'à ce que Beyond commence à s'effondrer...

« Miraculeusement, le Bill & Melinda Gates Foundation Trust a pu se départir de son action Beyond Meat juste avant que les actions ne chutent en 2019 », a déclaré Corbett, ajoutant : « Les Gates doivent vraiment être des investisseurs super avisés !

Corbett a également noté que Gates avait investi des millions dans le "piratage de votre microbiome", pour réorganiser les bactéries intestinales humaines.

Gates est devenu le plus grand propriétaire de terres agricoles américaines en 2021.

"Je me demande pourquoi quelqu'un qui est obsédé par la réingénierie complète de l'approvisionnement alimentaire et veut nous rendre dépendants des substituts alimentaires synthétiques, cultivés en laboratoire, qu'il finance, achèterait des terres agricoles ?" dit Corbett.

Forum économique mondial

Le Forum économique mondial (WEF) est à l'origine de nombreux aspects de la soi-disant quatrième révolution industrielle, y compris les initiatives alimentaires de la «grande réinitialisation», a déclaré Corbett.

Le WEF veut que plus de gens mangent plus d'insectes....

" [Klaus] Le désir de Schwab d'éloigner les humains des sources traditionnelles de protéines et de nutriments fait partie intégrante de ce plan de la grande réinitialisation", a déclaré Corbett.

Corbett a déclaré aux lecteurs qu'une recherche rapide du mot "insectes" sur le site Web du WEF révèle que l'organisation émet régulièrement des idées telles que " 5 raisons pour lesquelles manger des insectes pourrait freiner le changement climatique " et " Les insectes pourraient bientôt apparaître sur les menus des restaurants ", en Europe ».

"Les gros chats se détendent maintenant après leur dure semaine à Davos ", a déclaré Corbett. « Vous pouvez parier qu'ils ne grignotent pas de croquettes de crickets ou de la pyrale flambée... bien qu'ils souhaites à ce que vous le fassiez.

Le Forum EAT (Davos pour l'Alimentation)

Se décrivant comme le « Davos de l'alimentation », une organisation appelée EAT Forum, cofondée par le Wellcome Trust, affirme qu'il s'agit d'une «plate-forme mondiale scientifique pour la transformation du système alimentaire».

Corbett a souligné que selon une analyse du 17 février 2022 du Dr Joseph Mercola, la plus grande initiative du Forum EAT, FReSH, vise à transformer le système alimentaire dans son ensemble et présente des partenaires de projet tels que Bayer, Cargill, Syngenta, Unilever et Google...

De plus, le Forum EAT, a-t-il dit, travaille également avec « près de 40 gouvernements en Europe, en Afrique, en Asie, en Amérique du Nord, en Amérique du Sud et en Australie, et aide le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), financé par Gates, à créer des directives diététiques actualisées. ”

Tout est dit

Corbett a discuté d'un document de travail - " Solutions systémiques pour l'adaptation et l'atténuation du changement climatique dans l'agriculture, la nutrition et les systèmes alimentaires" - publié en 2022 par le Conseil pour le développement international de l'alimentation et de l'agriculture de l'Agence américaine pour le développement international (USAID), en collaboration avec " Feed the Future », l'initiative du gouvernement américain contre la faim dans le monde et la sécurité alimentaire.

"L'ensemble du document est formulé dans le double langage bureaucratique insipide d'équité, d'inclusion et de durabilité", a déclaré Corbett. "Mais, si vous savez lire entre les lignes, il n'est pas difficile de comprendre ce que dit vraiment le rapport."

"L'effet de levier de l'USAID sur les pays en développement, spécifiquement référencé pas moins de 125 fois, donne un aperçu de la mentalité Kissingérienne de la nourriture comme arme, qui est à la base même de l'USAID et de sa mission", a déclaré Corbett.

Il ajoute:

"L'ensemble de cette entreprise est néocoloniale et accapare les terres, déguisé en "philanthrope", le genre de captation de territoires contre laquelle les gens en Afrique et ailleurs ont mis en garde depuis des décennies."

Source

 

LES ZAMIS,

Il devient de plus en plus important aujourd’hui de lire les étiquettes des produits que nous consommons.

Il devient de plus en plus important de se passer de certains produits : biscuits et tout produit pré fabriqué, ils contiennent du poison.

De plus en plus important  de manger sain, de manger bio, il y va de notre survie… 

On oublie vite, mais rappelez-vous les viandes aimantées à cause du graphème!  Si vous consommez encore de la viande et du poisson, au super marché, ayez votre aimant pour vérifier.

Instruire les enfants. Ils sont intelligents, ils comprennent. Pas trop de biscuits et BON BON à la maison.Très tôt, les enfants sont de plus en plus obèses et c’est souvent irréparable.

Bon appétit, les zamis!

NOUS SOMMES EN GUERRE et L’ENNEMI UTILISE TOUS LES MOYENS POUR NOUS ÉLIMINER …

À surveiller dans les produits importés d’Europe.  (Certains produits en contiennent déjà)

A noter que ces produits peuvent causer des allergies alimentaires (cause : la chitine) 

– Ils ne l’inscriront pas sur le devant du produit.

– Donc, comment découvrir si dans les aliments achetés il y a des insectes broyés?

– après la vidéo, voir le texte plus bas

À surveiller dans les produits importés d’Europe. 

– Acheta domesticus ou grillon domestique, 

– Coléoptère des moisissures, 

– Larve du scolyte des céréales, 

– Cochenille écarlate, 

– Sécrétions résineuses de la cochenille gommeuse

À l’avenir, les aliments, ceux de l’UE contiendront des insectes

Le nouveau règlement de l’UE provoque le mécontentement et le dégoût de nombreuses personnes, car désormais, les grillons domestiques et les coléoptères des moisissures seront également intégrés dans notre alimentation.

Ainsi, le grillon domestique sera également réduit en poudre pour être intégré à la nourriture destinée à l’alimentation humaine, par l’industrie agro-alimentaire. 

Le nom officiel de l’ingrédient qui doit être déclaré sur les produits est « poudre partiellement dégraissée d’Acheta domesticus (criquet domestique) ». 

Les larves du scolyte des céréales peuvent également être utilisées sous forme séchée, congelée, en poudre et sous forme de pâte dans les produits de boulangerie et les pâtes, les céréales et les collations (à l’exception des croustilles).

L’incorporation de farine d’insectes broyés dans la nourriture humaine, tel que le ver de ténébrion, qui est un ver de farine, et le grillon domestique en poudre, sous forme dégraissée a été validée, le 24 janvier 2023, en catimini par l’Union Européenne. On parle bien d’alimentation humaine. 

Avec la nouvelle réglementation, il n’y a presque plus de limites à l’utilisation des insectes et vous pourrez bientôt les trouver dans toutes sortes d’aliments. 

En particulier dans:

 Produits de boulangerie

 Boissons de type bière

 craquelins et gressins

 Barres de céréales

 pâtes (sèches)

 sauces

 produits de pommes de terre

 Plats à base de légumineuses

 substituts de viande

 soupes et concentrés ou poudres de soupe

 Snacks à base de semoule de maïs

 produits chocolatés

 noix et oléagineux

Cependant, les produits ne doivent pas être spécialement marqués. 

Il n’y aura pas de signe séparé et facilement reconnaissable sur l’emballage. 

Ce n’est que dans la liste des ingrédients que le nom de l’insecte respectif doit être visible en allemand et en latin.

Cependant, les mêmes spécialistes scientifiques responsables du désastre sanitaire récent, affirme la bouche en coeur et la main sur le portefeuille, que l’utilisation d’insectes ne serait absolument pas nocive pour la santé, car ils ont été spécialement conçus pour la consommation, comme l’est la démarche altruiste et sans conflit d’intérêts de ces nouveaux influenceurs rémunérés, mais en blouse blanche. 

Cependant, les allergiques devront se montrer nettement plus prudents être avec leurs courses qui prendront trois fois plus de temps à force de devoir déchiffrer la liste des ingrédients sur l’emballage.

Rappelons que toute personne allergique aux mollusques, crustacés et acariens sera donc aussi être allergique aux aliments contenant des insectes.

Toute personne avec un régime sans protéine animale (végétarien ou végétalien) ou allergique aux petits insectes devra désormais être plus vigilante. Elle ne pourra plus acheter de pain ou de brioches, ni manger au restaurant sans interroger les boulangers et les serveurs, si ces derniers n’ont pas pris l’initiative de renseigner leur clientèle en amont.

Ces aliments du quotidien contiennent déjà des insectes

L’UE vient d’adopter, sans concertation, un nouveau règlement qui permettra à l’avenir de transformer davantage d’insectes en aliments.

Le grillon domestique et le scolyte des céréales viennent d’être approuvés, pour compléter les préparations alimentaires comme tant d’autres insectes déjà utilisés dans les aliments depuis longtemps.

L’exemple le plus célèbre est l’Additif E 120, la dite« rouge carmin ». 

Il s’agit de cochenilles écarlates bouillies et broyées, à partir desquelles un colorant rouge est extrait. Ceci est particulièrement populaire dans l’industrie alimentaire pour rendre les aliments plus attrayants. 

On le trouve aussi souvent dans les produits cosmétiques. 

Malheureusement, il est également utilisé dans les produits végétaliens pour colorer les substituts de viande végétaliens et végétariens. 

Le « carmin rouge » se retrouve aussi dans les confiseries, par exemple dans :

 meunier« Müllermilch Cerise Banane »

 chariot« Lucioles aigres »

 Mentos: Chewing Gum « Plein Fruit »

 enfants« mini-bar »

 enfants« Pingouin Tranches Chocolat Caramel »

 m&m’s« croustillant »

 homme d’honneur« Verger de Fraises », « Verger de Framboisiers », « Verger de Myrtilles », « Verger de Rouges et de Cassis »

 Chupa Chups: « Est-ce que tu m’aimes ? » de Lollipop

L’Additif E 904 est utilisé dans énormément d’aliments de notre quotidien. 

Ce sont les sécrétions résineuses de la cochenille gommeuse. 

Ce E 904 s’appelle aussi gomme laque. 

E 904 est souvent appelé enrobage de chocolat, enrobage de noix, enrobage de grains de café ou enrobage de bonbons. 

L’additif E 904 dans l’ensemble de ces produits est bien mieux accepté par les consommateurs sous l’appellation enrobage que sous sa définition réelle : sécrétions résineuses de la cochenille gommeuse qui n’est pas très ragoutante.

Enrobage de chocolat de bonbons pour :

 Ferrero« Bonbons au chocolat pour enfants »

 Mentos: Chewing-gum « Pure White »

 Milka« Lentilles Cacao Colorées »

Comme toujours, ces éléments seront mentionnés dans la composition, comme des protéines animales, mais plus probablement avec un code, plus vendeur, commercialement parlant que ver de farine, tenebrio molitor, locata migratoria ou acheta domesticus.

On estime que chaque personne mange en moyenne 500 grammes d’insectes par an en France sans le savoir, ce qui équivaut à 31 500 tonnes.

Cette consommation est « aveugle » du fait de la contamination d’une partie des fruits et légumes utilisés dans l’industrie. C’est par ce biais que des insectes se retrouvent dans nos pots de confiture, briques de jus de fruits ou de soupe aux légumes ou encore en conserve. 

Tous ces aliments contiennent le colorant E120 de couleur rouge, pigment issu de la cochenille Dactylopius coccus costa. Cet insecte produit l’acide pour se protéger des prédateurs. 

L’acide carminique est l’agent colorant du carmin, que l’on retrouve aussi dans les yaourts et les fromages industriels aromatisés, les desserts et crèmes glacées, les confiseries, les chewing-gums, les produits transformés à base de pomme de terre, dans les poissons fumés, et aussi dans certaines sauces, dans les céréales du petit-déjeuner, et même dans la charcuterie.

Depuis janvier 2021,  l’Union Européenne autorise les larves de scarabée molitor et les scarabées Buffalo dans l’alimentation humaine. 

La société française Ynsect, installée à Paris, élève ces insectes dans trois sites de production, dont La Ferme à Insectes à Damparis dans le Jura créée en 2016, à Ermelo aux Pays Bas et dans le Nebraska aux États-Unis. 

Les insectes servent à faire des poudres de protéines solubles. 

Ynsect se prépare également à ouvrir la plus grande ferme verticale du monde à Amiens et figure déjà comme le champion mondial du secteur.

Les insectes les plus consommés sont : les scarabées et blattes ; les mouches ; les poux ; les cigales ; les guêpes, abeilles et fourmis ; les termites ; les papillons de jour et de nuit ; les libellules ; les criquets, les sauterelles et les mantes.

Dire qu’un aliment est comestible ne veut pas dire qu’il est consommable pour un être humain. 

Pour qu’il le soit, deux critères doivent être réunis : le premier veut qu’il soit sain, ce qui serait prétendument le cas des insectes autorisés par la nouvelle loi. 

Le second critère est totalement culturel et subjectif. 

Il faut qu’il ne provoque pas le dégoût chez le consommateur, d’où la codification ou l’utilisation de termes plus édulcorés.

 

Jeudi 02 février 2023 par : Mike Adams
son article peut contenir des déclarations qui reflètent l’opinion de l’auteur

https://citizens.news/696519.html

    Diverses formes de grillons sont désormais vendues pour la consommation humaine dans le cadre fallacieux du “culte du climat” qui prétend que si suffisamment d’humains mangent des insectes, nous changerons le climat.

Alors que la chaîne d’approvisionnement en viande est volontairement détruite par des gouvernements qui prétendent que l’azote est diabolique – oui, les mêmes gouvernements qui prétendent encore que le dioxyde de carbone est un polluant alors qu’il est le pilier de la photosynthèse – on nous dit à tous de manger des grillons et des vers de farine pour sauver la planète.

Voir l’article intitulé “Les Européens mangeront bientôt des insectes après que les vers de farine aient reçu le feu vert des autorités de réglementation alimentaire”.
https://foodsupply.news/2021-02-09-efsa-approves-mealworms-for-human-consumption.html

    À l’heure actuelle, diverses formes de grillons – snacks de grillons “cheesy ranch”, poudre de grillons et poudre de protéines de grillons – sont vendues sur Amazon.com et étiquetées pour la consommation humaine.

Nous avons acheté trois marques de grillons destinés à la consommation humaine – Cricket Bites, Entomo et Bud’s – ainsi qu’une marque étiquetée pour la consommation des reptiles : Fluker’s.

Voici un aperçu des marques que nous avons achetées et de la configuration du microscope vidéo que nous utilisons dans notre laboratoire de science alimentaire :

Nous avons ensuite pris des photos microscopiques à des grossissements allant de 50X à 300X.

Voici quelques photos microscopiques de la poudre de protéines de grillons d’Entomo Farms, qui est étiquetée comme “le super aliment le plus durable de la planète”. De nombreux produits à base de grillons sont également étiquetés sans produits laitiers, sans OGM, compatibles avec le régime paléo et sans gluten.

    Aucun d’entre eux n’est cependant étiqueté sans chitine, car ils sont chargés de chitine, qui fait partie de l’exosquelette des grillons et des insectes. La consommation de chitine comporte ses propres risques pour les humains et les chiens, mais nous n’en parlerons pas dans cet article.

Ici, remarquez comment cette poudre de protéine de grillon contient toutes les parties des grillons : les pattes, les poils, les segments des yeux, les organes d’excrétion, les ailes et plus encore :

Ensuite, nous présentons des photos au microscope de grillons lyophilisés de Fluker, qui sont étiquetés pour la consommation par les reptiles. Cependant, ceux-ci semblent être les mêmes grillons utilisés dans les formules de consommation humaine vendues sous d’autres marques.

Rencontrez votre nouveau bug lunch :

La partie du criquet qui ouvre et ferme l’extrémité arrière du criquet pour éliminer les matières fécales est appelée “valve dorsale” (en haut) et “valve ventrale” (en bas). On peut également l’appeler la “griffe du conduit à caca”, car elle se ferme après que le criquet a fait caca.

Voici un gros plan de la griffe de la goulotte à caca, que vous mangez également si vous mangez des grillons :

Certaines parties des grillons étaient non identifiables mais effrayantes, ressemblant à des créatures de la série des films Aliens :

N’oubliez pas vos ailes croustillantes :
Grillons “Cricket Bites” Cheesy Ranch pour la consommation humaine

Les fabricants d’aliments pour grillons ont essayé de rendre leurs grillons croustillants plus savoureux en ajoutant du sel et des arômes. La marque Cricket Bites ajoute diverses épices et des arômes de fromage pour produire son goût “Cheesy Ranch”. Elle propose également des grillons au “bacon fumé à l’hickory”, ce qui semble un peu hilarant, étant donné que le but de manger des grillons est d’éviter de manger des produits carnés comme le bacon.

Cette marque utilise également de l’extrait de levure autolysée, un exhausteur de goût connu pour contenir du glutamate :

Voici à quoi ressemblent les grillons du Cheesy Ranch de près :
Bud’s Cricket Power

En ce qui concerne les produits alimentaires à base de grillons, il faut reconnaître que la plupart des fournisseurs ne mentent pas sur le contenu de leurs produits. Une marque appelée Bud’s Cricket Power est étiquetée comme “100% pure poudre de grillon”.

Pas de mensonges. Pas de tromperie. C’est juste du grillon moulu, purement et simplement. C’est à vous de décider si vous devez vraiment manger du grillon moulu, mais au moins il n’y a pas d’étiquetage malhonnête en jeu ici, contrairement à de nombreux produits de malbouffe transformés qui sont très trompeurs.

Voici à quoi ressemble de près la “poudre de grillon 100 % pure” de Bud’s Cricket Power :

J’ai un podcast complet sur tout cela, publié vendredi en fin de matinée sur ma chaîne sur Brighteon.com :

https://www.brighteon.com/channels/hrreport

Voici ce qu’il y a dans le podcast :

– Des photos effrayantes de grillons révèlent ce que contiennent réellement les poudres protéinées pour grillons.
– Bienvenue dans le futur : Manger de la poudre de cricket tout en conduisant un véhicule électrique qui transporte un clandestin.
dernières nouvelles sont publiées ici en premier)

 

 

Ils veulent nous faire manger des Insectes !

Publié le 17 Juillet 2022

Ils veulent nous faire manger des Insectes !
 
Alors que des usines alimentaires brûlent, une usine géante ouvre ses portes pour transformer les insectes en produits de consommation humaine !


Alors que les usines de transformation des aliments aux États-Unis continuent de brûler mystérieusement, une nouvelle usine géante a discrètement ouvert ses portes et fabrique des aliments à partir d’insectes.  
Fin mai, Aspire Food Group a annoncé qu’il avait ouvert à London, dans l’Ontario (Canada), la plus grande usine de production de "protéines alternatives" au monde, qui utilise des grillons comme principal ingrédient.

 

"La nouvelle usine d’Aspire produirait chaque année 9.000 tonnes métriques de grillons destinés à la consommation humaine et animale. Cela représente environ deux milliards d’insectes qui seront distribués chaque année au Canada et aux États-Unis", indique un rapport. 
Aspire se vante d’avoir déjà des commandes qui l’occuperont pendant les quelques années à venir.

Westernjournal.com rapporte : Aspire affirme que les grillons sont riches en protéines et devraient être considérés comme le prochain « super aliment ». Cette source alimentaire riche en fibres se trouve déjà dans les épiceries et les restaurants, disent-ils, et ils "ont une empreinte environnementale plus faible que les sources de protéines traditionnelles". 


Les gauchistes vantent la "durabilité" des insectes en tant qu’aliments depuis des décennies, bien sûr, et les entités quasi-gouvernementales ont essayé de fouetter les insectes pendant des années. 
Récemment, le New York Food Policy s’est demandé "Pourquoi ne mangeons-nous pas plus d’insectes ?", et le Smithsonian a récemment publié sur son site web une section entière consacrée à la promotion des insectes en tant que nourriture.

En Grande-Bretagne, des scientifiques et des chercheurs tentent d’obtenir du gouvernement britannique qu’il commence à servir aux écoliers de la nourriture provenant d’insectes dans les écoles contrôlées par le gouvernement.
"Des chercheurs prévoient de nourrir des insectes comme des grillons domestiques et des vers de farine à des enfants âgés de cinq à onze ans dans quatre écoles primaires du Pays de Galles", a rapporté le Daily Mail en mai. 
Les médias diffusent aussi souvent des articles sur la façon dont les humains devraient réorienter la production alimentaire vers la consommation d’insectes. 

 

L’année dernière, le magazine Time a publié un article intitulé "How Humans Eating Insects Could Help Save the Planet" (Comment les humains mangeant des insectes pourraient aider à sauver la planète). 
Le Guardian s’est lancé dans le jeu en affirmant que "L’avenir de la nourriture passe par les insectes". 
Et pour ne pas être en reste, la chaîne de gauche CNN s’est penchée sur le sujet, affirmant que les insectes sont "les aliments qui peuvent nourrir, et peut-être sauver, la planète". 

En effet, Aspire Food Group est né en 2013 lorsque Mohammed Ashour, un étudiant de McGill d’origine égyptienne, et son équipe ont remporté le prestigieux prix Hult d’un million de dollars pour leurs recherches sur les insectes comme source de nourriture pour les humains. 
Ce prix, remis par le président Bill Clinton, a incité Mohammed Ashour et son équipe à créer Aspire Foods afin d’explorer davantage l’utilisation des insectes dans l’alimentation.

Aspire est enregistrée dans la nation africaine du Ghana et possède maintenant des installations aux États-Unis et au Canada.
"Nous avons essentiellement cartographié l’ensemble du parcours d’un grillon, de l’éclosion au lot, et nous avons examiné toutes les possibilités de collecter des données et d’appliquer l’automatisation", a déclaré Ashour à Food Navigator en 2017.
 
Ashour n’est guère seul. 
Le milliardaire gauchiste Bill Gates a également essayé de pousser les bugs pour l’alimentation. 
Un groupe dédié au développement d’insectes pour l’alimentation a obtenu une importante subvention de la Fondation Bill & Melinda Gates en 2012 et s’est efforcé de faire passer l’humanité à la consommation d’insectes. 

Gates a également essayé de guider les gens vers les aliments synthétiques. 
L’année dernière, il a fait parler de lui en insistant pour que le monde cesse de manger du bœuf et le remplace par des produits carnés synthétiques.

Pendant ce temps, alors que les élites milliardaires et les scientifiques de gauche tentent de nous pousser à manger des insectes et des aliments synthétiques créés chimiquement, l’Amérique connaît un nombre croissant de catastrophes qui frappent nos fermes, nos usines et nos usines de transformation, mettant encore plus de pression sur notre chaîne alimentaire déjà sous tension. 
Alors que les prix continuent de monter en flèche dans les épiceries américaines, nous assistons à une catastrophe après l’autre.
 
La semaine dernière, des milliers de bovins gras sont soudainement morts – apparemment de problèmes liés à la chaleur – au Kansas, plus d’un demi-million de livres de poulet précuit ont dû être rappelées par crainte de maladies et des milliers de poulets sont morts dans un incendie massif dans une ferme de l’Arkansas. 
Tout cela s’ajoute à la liste d’un nombre croissant d’installations détruites au moment même où elles sont le plus nécessaires. 

Au milieu de toutes ces destructions, un groupe de gauchistes au Canada ouvre une énorme installation pour nous inciter à manger des insectes. 

 


lundi 5 juin 2023

Vous reprendrez bien une Assiette de Pesticides !

 

 

Voici les Aliments qui contiennent la plus grande quantité de Pesticides qui peuvent vous rendre Malade et détruire votre Santé ! 

 

Une grande partie des produits vendus aujourd'hui dans les supermarchés provient d'agriculteurs qui pratiquent l'agriculture conventionnelle
En d'autres termes, les produits ont été cultivés à l'aide d'engrais chimiques ainsi que de pesticides et d'herbicides. 
De nombreuses études scientifiques ont révélé que les effets des pesticides de synthèse peuvent être préjudiciables à notre santé ; une étude suggère que la consommation de pesticides peut entraîner un TDAH chez les enfants ; dans certains autres cas, l'exposition peut entraîner de nombreuses  formes de cancers, des problèmes d'infertilité et  des malformations congénitales
En plus des nombreux autres produits alimentaires pauvres que nous mangeons, il existe une gamme de substances étrangères qui pénètrent dans notre corps. 
Au fur et à mesure que nous nous exposons à ces substances synthétiques au fil des ans, notre corps devient surchargé et nos mécanismes de "nettoyage" ne fonctionnent pas. 
En conséquence, beaucoup d'entre nous développons des maladies parce que notre corps ne peut plus éliminer efficacement ces toxines. 
Afin d'aider votre corps à se reposer de cet assaut chimique, nous avons proposé quels aliments devraient être consommés de manière biologique.
Les aliments ci-dessous sont parmi les plus toxiques pour notre corps s'ils sont consommés à partir de sources conventionnelles. 
D'après le  groupe de travail sur l'environnement  (EWG), ils contiennent le plus de pesticides, à la fois sur et à l'intérieur, par rapport aux autres aliments ; donc, si vous envisagez de passer au bio, nous vous suggérons de prendre en compte les aliments ci-dessous comme première propriété de votre transition.

Top 12 des aliments que vous devriez manger biologiquement (de la plus petite à la plus grande quantité de pesticides) :

1. Pommes :  elles contiennent  42  résidus de pesticides connus découverts par le programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 42 résidus de pesticides, il y a 7 cancérogènes connus, 19 perturbateurs hormonaux suspectés, 10 neurotoxines, 6 toxines du développement ou de la reproduction et 17 toxines des abeilles.

2. Cerises :  elles contiennent  42  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 42 résidus de pesticides, 7 cancérogènes connus ou probables, 22 perturbateurs endocriniens suspectés, 7 neurotoxines, 8 toxines du développement ou de la reproduction et 18 toxines des abeilles.

3. Haricots verts :  Ils contiennent  44  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 44 résidus de pesticides, il y a 8 cancérogènes connus, 22 perturbateurs hormonaux suspectés, 11 neurotoxines, 8 toxines du développement ou de la reproduction et 18 toxines des abeilles.

4. Chou vert :  ils contiennent  46  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 46 résidus de pesticides, il y a 9 cancérogènes connus, 25 perturbateurs hormonaux suspectés, 10 neurotoxines, 8 toxines du développement ou de la reproduction et 25 toxines des abeilles.

5. Épinards :  Il contient  48  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 48 résidus de pesticides, il y a 8 cancérogènes connus, 25 perturbateurs hormonaux suspectés, 8 neurotoxines, 6 toxines du développement ou de la reproduction et 23 toxines des abeilles.

6. Poivrons doux :  ils contiennent  49 résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 49 résidus de pesticides, il y a 11 cancérogènes connus, 26 perturbateurs hormonaux présumés, 13 neurotoxines, 10 toxines du développement ou de la reproduction et 19 toxines des abeilles.

7. Laitue :  Elle contient  51  résidus de pesticides connus trouvés par le Programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 51 résidus de pesticides, il y a 12 cancérogènes connus, 29 perturbateurs hormonaux présumés, 9 neurotoxines, 10 toxines du développement ou de la reproduction et 21 toxines des abeilles.

8. Myrtilles :  elles contiennent  52 résidus de pesticides connus découverts par le Programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 52 résidus de pesticides, il y a 8 cancérogènes connus, 24 perturbateurs hormonaux suspectés, 14 neurotoxines, 7 toxines pour le développement ou la reproduction et 21 toxines pour les abeilles.

9. Fraises :  elles contiennent  54  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 54 résidus de pesticides, il y a 9 cancérogènes connus, 24 perturbateurs hormonaux suspectés, 11 neurotoxines, 12 toxines du développement ou de la reproduction et 19 toxines des abeilles.

10. Chou Frisé :  Il contient  55  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 55 résidus de pesticides, il y a 9 cancérogènes connus, 27 perturbateurs hormonaux suspectés, 10 neurotoxines, 10 toxines du développement ou de la reproduction et 23 toxines des abeilles.

11. Pêches :  elles contiennent  62 résidus de pesticides connus trouvés par le Programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 62 résidus de pesticides, il y a 10 cancérogènes connus, 29 perturbateurs hormonaux suspectés, 12 neurotoxines, 11 toxines du développement ou de la reproduction et 25 toxines des abeilles.

12. Céleri :  Il contient le plus de  64  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 64 résidus de pesticides, il y a 13 cancérogènes connus, 31 perturbateurs hormonaux suspectés, 12 neurotoxines, 14 toxines du développement ou de la reproduction et 20 toxines des abeilles.

Mentions honorables 

 

– Brocoli :  Il  33  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA.

 

– Concombres :  Ils contiennent  35  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA.

– Raisins :  Ils contiennent  34  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA.

– Pommes de terre :  elles contiennent  37  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA.

– Tomates :  elles contiennent  35  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA.

5 aliments qui contiennent le moins de résidus de pesticides

Bananes :  elles contiennent  12  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 12 résidus de pesticides, il y a 4 cancérogènes connus, 7 perturbateurs hormonaux suspectés, 2 neurotoxines, 5 toxines du développement ou de la reproduction et 2 toxines des abeilles.

Pamplemousse :  Il  11  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données contient sur les pesticides de l'USDA. Sur les 11 résidus de pesticides, il y a 4 cancérogènes connus, 4 perturbateurs hormonaux suspectés, 4 neurotoxines, 4 toxines du développement ou de la reproduction et 2 toxines des abeilles.

Amandes :  elles contiennent  9  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 9 résidus de pesticides, il y a 1 cancérigène connu, 4 perturbateurs hormonaux suspectés, 3 neurotoxines, 0 toxine pour le développement ou la reproduction et 4 toxines pour les abeilles.

Asperges :  elles contiennent  9  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 9 résidus de pesticides, il y a 1 cancérigène connu, 7 perturbateurs hormonaux suspectés, 4 neurotoxines, 3 toxines du développement ou de la reproduction et 5 toxines des abeilles.

Oignon :  Il contient  1  résidus de pesticides connus trouvés par le programme de données sur les pesticides de l'USDA. Sur les 9 résidus de pesticides, il y a 0 cancérogène connu, 0 perturbateur hormonal suspecté, 0 neurotoxine, 0 toxine pour le développement ou la reproduction et 0 toxine pour les abeilles.

Lorsque vous achetez des produits, envisagez toujours d'acheter des produits biologiques. Mieux encore, pour assurer la fraîcheur, achetez local autant que vous le pouvez. Lorsque vous pouvez acheter à la fois local et biologique, vous pouvez garantir que le produit est à la fois exempt de pesticides et plein de nutriments. De plus, vous éviterez également tout aliment potentiel pouvant avoir été génétiquement modifié. Pour vérifier les résidus de pesticides sur d'autres sources de nourriture, vous pouvez visiter :  http://www.whatsonmyfood.org/index.jsp . En remplaçant les 12 principaux aliments chargés de pesticides par des aliments biologiques, vous pouvez éliminer jusqu'à 80 % des pesticides de votre alimentation.

Par GreenMedInfo
Origine

https://eraoflight.com/2023/06/05/foods-that-contain-the-highest-amount-of-pesticides/