La vaccination est bloquée par voie judiciaire depuis le 26 août dernier
!
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INFO DE LA PLUS HAUTE IMPORTANCE
(De notre amie Laurence Larzul)
“La vaccination est bloquée par voie judiciaire depuis le 26
août dernier…
Je suis vraiment étonnée de ne pas voir de commentaires concernant le référé établi par l’”Association Réaction 19″, présidée par Maitre Carlo Alberto Brusa, à l’encontre de l’ANSM, le
CNOM, le CNOP, le Vidal pour utilisation de produits non autorisés.
Ce référé sera plaidé devant le tribunal judiciaire de Paris le 21 octobre 2021. Ce n’est pas loin.
Motif : les produits vaccinaux utilisés depuis le 27 décembre 2020 sont illégaux car non conforme aux AMM conditionnelles attribuées aux fabricants par la Commission européenne.
Depuis cette date de début des vaccinations, toutes les injections ont été faites avec des produits illégaux en France.
Tous les remboursements de la Sécurité sociale sont aussi illégaux.
La procédure en cours impose l’ARRÊT IMMÉDIAT de toute vaccination.
Il serait temps que les médias fassent leur travail d’information du public, puisqu’ils ont tous reçu le communiqué de presse du 27 août 2021, émanant de “Réaction 19” signé de son
Président Maitre Brusa.
Nous aussi, nous devons faire notre part car aujourd’hui plus personne ne devrait être vacciné, ce qui peut rassurer tous
ceux qui craignaient de devoir le faire pour préserver leur emploi ou, pire encore, de devoir faire vacciner leur enfant.
Plus nous diffuserons cette information, plus vite les vaccinations cesseront.Dès l’instant que nous avons connaissance de cette procédure, nous sommes responsables de toutes les vaccinations qui continuent. Ne comptons pas sur les médias pour diffuser l’info, prenons-nous par la main et inondons nos contacts, nos voisins, les cabinets médicaux et les
pharmacies de notre quartier etc. car qui oserait continuer de vacciner illégalement après avoir pris connaissance de ce fait ? Les sanctions judiciaires seront sévères et personne n’y échappera !"
VACCINATION. Pourquoi et comment dire dit non - quelles analyses sanguines en cas de vaccination ?
envoyé : 4 septembre 2021 à 21:34 de : Eric Gandon <eric@jeunerpoursasante.fr> à : ruffault.alain@wanadoo.fr objet : VACCINATION. Pourquoi et comment dire dit non - quelles analyses sanguines en cas de vaccination ?
Pourquoi et comment je dis non à la
"vaccination Covid" ?
On me contacte pour connaître pourquoi je ne me vaccine pas contre le Covid. J'ai même reçu un appel téléphonique par le biais de la
sécurité sociale pour m'inviter à venir au centre de vaccination le plus proche.
Je comprends que beaucoup de personnes manquent d'informations pour une décision éclairée avant vaccination. Cela m'a convaincu que je
devais faire cette lettre où je reprends des vidéos de chercheurs qui soutiennent ma décision de ne pas me faire vacciner. La
vaccination affaiblit le système immunitaire au lieu de le stimuler.
Pour moi c'est facile, je ne travaille pas dans une entreprise qui exige le vaccin Covid et je ne fréquente pas les lieux qui imposent
le pass sanitaire
Je vous transmets néanmoins ce que propose la ligue pour la liberté vaccinale pour mieux se défendre face au rouleau compresseur de la
vaccination.
Certains sont vaccinés et souhaitent connaître ce qui peut-être fait pour limiter les effets. Pour commencer il est bon de faire des
analyses pour comprendre si le sang est impacté ou pas. Enfin en l'absence d'analyses démontrant que tout va bien, il faut éviter tout
effort physique et donc aussi éviter de jeûner..
Au lieu de booster le système immunitaire, il apparaît que la vaccination Covid entrave les fonctions naturelles du système
immunitaire. La vaccination Covid augmenterait les inflammations d'un côté et ferait baisser les globules blancs de l'autre. Ce
phénomène est normalement constaté chez les personnes âgées où la production de cellules souches (globule blancs) est réduite dû au
vieillissement. Plus on vieillit, plus le niveau de globule blanc baisse par manque de cellules souches. En cas de vaccination, même
chez les personnes jeunes on observe une baisse du nombre des globules blancs malgré les inflammations. Normalement, lorsqu'il y
a inflammations les globules blancs augmentent pour la combattre. Ici les globules blancs baissent, ce qui indiquerait que la
vaccination empêche la capacité naturelle du corps à se régénérer et donc à s’auto-guérir. Si la production de cellules souches et donc
la régénération est déréglée il faut s'attendre à une augmentation des maladies inflammatoires et une accélération du
vieillissement.
Autopsie des vaccinés, Docteur Ryan Cole explique l’effet de la protéine Spike sur nos mitochondries. Il constate une inflammation du
cerveau créant un brouillard mental et une inflammation du cœur avec une augmentation par 200% des myocardites, affaiblissement du
système immunitaire.
« Le Dr Vladimir Zelenko est connu à New York pour avoir trouvé un traitement préventif très efficace contre le
covid19. Il a publié de nombreuses études et a soigné des milliers de personnes avec succès. Il explique ici devant un tribunal
rabbinique – Beth din – pourquoi la vaccination actuelle anti covid est une hérésie scientifique beaucoup plus dangereuse
pour la santé publique que ce qu’affirme la Doxa !
Il revient dans cette vidéo sur les chiffres de la pharmacovigilance aux États-Unis avec une mortalité catastrophique des
plus jeunes et une multiplication par 8 des fausses couches chez les femmes enceintes !!! Il explique que même si la planète entière
avait le covid, il y aurait au maximum 35 millions de décès ; par contre, si on vaccinait 7 milliards d’individus, comme préconisé par
Bill Gates, il y aurait près de 2 milliards de morts ! Il rappelle également que la mortalité à explosé en Israel à partir de fin
décembre, date du début de la vaccination »
Comment le sang réagit suite à la vaccination?
Des chercheurs dans la vidéo ci-dessous observent une baisse des globules blancs, une agglomération des globules rouges, une
coagulation excessive, une baisse d'oxygène. Ils s’inquiètent du risque d'avortement chez les femmes enceintes, les perturbations
cérébrales chez les fœtus, les leucémies, les lymphomes, les embolies pulmonaires, les thromboses veineuses.
Et si on regarde au microscope électronique. Que
pouvons nous voir apparaître ? Cliquer sur l'image ci-dessous.
La Ligue nationale pour la
liberté des vaccinations (LNPLV) vient de publier un « Guide juridique pour la liberté vaccinale » pour aider les Français à contrer
par des moyens légaux une ségrégation sanitaire manifestement hors-la-loi.
La nouvelle loi instaurant le pass sanitaire pour les activités du quotidien et l’obligation vaccinale, bien qu’adoptée par les deux
assemblées le 25 juillet dernier, puis validée par le Conseil Constitutionnel le 5 août 2021, entre en totale contradiction avec tous
les textes de Droit, qu’ils soient nationaux, européens ou internationaux.
Conformément à sa mission et
ses statuts, la Ligue entend contribuer à faire respecter les droits et libertés des citoyens, notamment leur intégrité
physique.
Face au désarroi manifeste des Français confrontés à un Etat désormais sans foi ni loi, nous mettons à disposition un
guide juridique de 40 pages qui rassemble :
- les avis juridiques de plusieurs cabinets d’avocats
- des modèles de courrier à adresser aux employeurs ou aux institutions
- un « rappel à la loi » vis-à-vis de toute personne qui obligerait à la vaccination ou interdirait l’accès à un lieu, comme les
hôpitaux
"Le monde de demain est le nôtre, c'est à nous de nous interroger" - Juliette Deschateaux
L'épreuve que nous traversons
est là pour nous obliger à nous positionner et à faire des choix. Cela peut-être des choix professionnels, des choix de qualité de vie,
de fréquentations...
Je ne pense pas que nous puissions combattre et changer le monde actuel. Nous pouvons néanmoins nous adapter et créer un nouveau monde
plus en phase avec nos valeurs ; Les miennes sont le respect du vivant et le respect du corps humain. Je crois profondément que le
corps à d'énormes capacités si on lui apporte les bonnes conditions. Nous sommes de plus en plus nombreux à avoir la foi dans une
nouvelle façon de faire et de ne plus donner prise aux obligations imposées par un gouvernement et des médias qui nous induisent en
erreur. Ici l'exemple de Juliette Deschateaux.
Jeune étudiante de 18 ans, après une classe préparatoire, Juliette Deschateaux devait se lancer cette année en école de commerce,
avant que le pass sanitaire ne la fasse déchanter. Elle a décidé de ne pas se laisser faire et de la jouer autrement en créant un
site web : Contre la vaccination obligatoire des étudiants. De cette façon, elle réunit de nombreux jeunes qui vivent mal la
supercherie, et recueille leurs témoignages.
Le projet actuel est de faire 2 puis 3 puis 4 puis 5 injections, il est question d'un vaccin covid tous les 5 mois.
Vous pouvez commencer par stopper et ne plus vous faire vacciner car à chaque vaccination supplémentaire les effets indésirables
s'aggravent et les risques sur votre santé augmentent.
Vous pouvez faire des examens sanguins pour connaître les dégâts et chercher à corriger votre formule sanguine si nécessaire, Parlez en
à votre médecin et demandez lui comment corriger votre formule sanguine. Dans l'attente de ces examens éviter les efforts physiques et
le jeûne. On observe une mortalité importante chez les sportifs et militaires vaccinés durant les exercices physiques. Nous avons à
déplorer la mort d'une personne durant nos séjours, pourtant habituée au jeûne hydrique long, mais vaccinée peut avant sa cure de
jeûne. Du coup la vaccination Covid entre dans les contre-indications à l'effort physique et au jeûne.
Selon la Dre Lee Merritt, chirurgienne dans la Marine étasunienne, les cancers et affections cardiaques se sont multipliés ces derniers
mois. Par le passé, on a stoppé des essais vaccinaux pour bien moins que ça, relève la doctoresse militaire.
Mort d'un adolescent de 16 ans qui s’est effondré en jouant au basket, 5 jours après sa première dose de Pfizer. Le rapport d’autopsie
révèle que le cœur de Ernesto Ramirez faisait le double de sa taille normale.
Par Orwell City Recherche mondiale, le 07 juillet 2021
Il s’agit d’un rapport controversé basé sur les conclusions de chercheurs espagnols. Il reste à être pleinement déterminé.
Ce qui est requis, c’est d’avoir des détails précis sur la composition du vaccin à ARNm, à partir d’un ou plusieurs échantillons du médicament, y compris également l’identification de la puce
dite numérique.
Études de laboratoire indépendantes basées sur plusieurs échantillons des quatre principaux « vaccins » à ARNm, à savoir AstraZeneka, BioNtech-Pfizer, Moderna Inc, Johnson et
Johnson.Les déclarations relatives aux impacts futurs du « vaccin » doivent être corroborées et confirmées.Voir le rapport scientifique de l’équipe de recherche espagnole
***
Aujourd’hui, La Quinta Columna a fait une annonce urgente qui, ils l’espèrent, touchera
autant de personnes que possible, en particulier celles impliquées dans les services de santé et juridiques, comme le biostatisticien Ricardo Delgado, le Dr José Luis
Sevillano et l’équipe de chercheurs et de professeurs avec lesquels ils ont mené leurs recherches ont confirmé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène dans les flacons de
vaccination.
Dans le programme nº63, l’équipe a montré quelques photos des
analyses effectuées , en particulier les résultats obtenus par observation en microscopie optique et électronique à transmission, réservant les résultats d’autres techniques utilisées
pour les programmes futurs. Ils ont également annoncé que le rapport basé sur l’ensemble des techniques réalisées, qui ont permis de déterminer la présence d’oxyde de graphène, sera
officialisé par les chercheurs qui ont effectué les analyses très prochainement.
Orwell City , comme toujours, a traduit le message de La Quinta Columna et sous-titré la vidéo qu’ils ont
partagée il y a quelques heures sur leur chaîne officielle Telegram .
Ci-après, La Quinta Columna vous fournira des informations vitales pour votre santé, votre intégrité physique et celle de votre environnement.
Les masques utilisés et actuellement commercialisés contiennent de l’oxyde de graphène. Non seulement ceux qui ont été retirés à l’époque, comme indiqué par les médias, les écouvillons
utilisés dans les tests PCR et antigéniques contiennent également des nanoparticules d’oxyde de graphène.
Les vaccins COVID dans toutes leurs variantes, AstraZeneca, Pfizer, Moderna, Sinovac, Janssen, Johnson & Johnson, etc., contiennent également une dose considérable de nanoparticules
d’oxyde de graphène . Cela a été le résultat de leur analyse par microscopie électronique et spectroscopie, entre autres techniques utilisées par diverses universités publiques
de notre pays.
Le vaccin anti-grippe contenait des nanoparticules d’oxyde de graphène et les nouveaux vaccins anti-grippe et les nouveaux vaccins anti-COVID soi-disant intranasaux qu’ils préparent
contiennent également d’énormes doses de nanoparticules d’oxyde de graphène .
L’oxyde de graphène est une toxine qui génère des thrombus dans l’organisme, l’oxyde de graphène est une toxine qui génère la coagulation du sang. L’oxyde de graphène provoque une altération
du système immunitaire. En décompensant la balance oxydative par rapport aux réserves de gulation. Si la dose d’oxyde de graphène est augmentée par n’importe quelle voie
d’administration, cela provoque l’effondrement du système immunitaire et la tempête de cytokines qui s’ensuit.
L’oxyde de graphène accumulé dans les poumons génère des pneumonies bilatérales par diffusion uniforme dans le tractus alvéolaire pulmonaire. L’oxyde de graphène provoque un goût
métallique. Peut-être que cela commence à avoir du sens pour vous maintenant. L’oxyde de graphène inhalé provoque une inflammation des muqueuses et donc une perte du goût et une perte
partielle ou totale de l’odorat.
L’oxyde de graphène acquiert de puissantes propriétés magnétiques à l’intérieur de l’organisme . C’est l’explication du phénomène magnétique que des milliards de
personnes dans le monde ont déjà connu après diverses voies d’administration de l’oxyde de graphène. Parmi eux le vaccin.
En bref, l’oxyde de graphène est le supposé SARS-CoV-2, le supposé nouveau coronvirus provoqué avant la maladie appelée COVID-19. Par conséquent, nous n’avons jamais eu de véritable
isolement et purification d’un nouveau coronavirus, comme le reconnaissent la plupart des établissements de santé au plus haut niveau et dans différents pays lorsqu’ils ont été interrogés à ce
sujet. La maladie COVID-19 est le résultat de l’introduction d’oxyde de graphène par diverses voies d’administration .
L’oxyde de graphène est extrêmement puissant et puissant dans les aérosols, tout comme le prétendu SARS-CoV-2. Comme tout matériau, l’oxyde de graphène possède ce que nous appelons une
« bande d’absorption électronique ». Cela
signifie une certaine fréquence au-dessus de laquelle la matière est excitée et s’oxyde très rapidement, rompant ainsi l’équilibre avec la prolifération dans l’organisme du toxique contre nos
réserves naturelles de glutathion antioxydant. C’est précisément cette bande de fréquences qui est émise dans les nouvelles bandes passantes d’émission de la nouvelle technologie sans fil
5G. C’est pourquoi le déploiement de ces antennes n’a jamais cessé pendant la pandémie.
En fait, ils étaient parmi les rares services qui ont été maintenus, en dehors d’une surveillance spéciale par les forces et corps de sécurité de l’État à ces antennes. On soupçonne en ce
que l’oxyde de graphène de la campagne anti-grippe 2019 a été introduit dans ces flacons, puisqu’il était déjà utilisé comme adjuvant.
Avec les essais ultérieurs de la technologie 5G dans différentes parties du monde, la maladie COVID-19 s’est développée en interaction des champs électromagnétiques externes et de l’oxyde de
graphène maintenant dans leur corps. N’oubliez pas que tout a commencé à Wuhan, et c’était la première ville pilote au monde à faire l’essai de la technologie 5G fin novembre 2019. C’est une
coïncidence dans l’espace et dans le temps.
Les versions pangolin et soupe aux chauves-souris étaient tout simplement des éléments distrayants. Le but de l’introduction de l’oxyde de graphène est encore
plus obscur que vous ne l’imaginez . Par conséquent, il vous suffit amplement d’assimiler ces informations et de « réinitialiser » les connaissances que vous aviez de la
maladie jusqu’à présent auprès des plus hautes institutions gouvernementales disant à la population de se protéger et même de la forcer avec ce qui la rendra potentiellement malade avec la
maladie elle-même. Logiquement, maintenant que l’on sait que la cause ou l’agent étiologique de la maladie est justement un toxique chimique et non un agent biologique, on sait comment
l’atténuer : en augmentant les taux de glutathion . Le glutathion est un antioxydant naturel que nous présentons dans les réserves de l’organisme.
Quelques détails vous aideront à comprendre parfaitement tout ce qui a été rapporté dans les médias. Le glutathion est extrêmement élevé chez les enfants. Par conséquent, la maladie n’a
pratiquement aucun impact sur la population infantile. Le glutathion chute très considérablement après 65 ans. Par conséquent, COVID-19 est particulièrement répandu dans la population
sénile. Le glutathion est à des niveaux très élevés dans la population sportive intensive. C’est pourquoi seulement 0,22 % des athlètes avaient la maladie.
Vous comprendrez maintenant pourquoi d’innombrables études en pratique ont montré qu’un traitement à la N-acétylcystéine (qui est un précurseur du glutathion dans l’organisme), ou au glutathion
administré directement, guérissait très rapidement la maladie COVID-19 chez les patients. Clair et simple parce que les niveaux de glutathion ont été augmentés pour faire face au toxique
administré appelé oxyde de graphène.
La découverte faite ici par La Quinta Columna est une attaque à part
entière du bioterrorisme d’État , ou du moins avec la complicité des gouvernements envers l’ensemble de la population mondiale, constituant désormais des crimes contre l’humanité.
Il est donc absolument essentiel et vital que vous mettiez cette information à la disposition de votre communauté médicale. Médecins généralistes, services de soins infirmiers et de santé en
général, mais aussi médias et presse locaux et régionaux, ainsi que tout votre environnement. La Quinta Columna estime que des dizaines de milliers de personnes mourront chaque
jour . Rien que dans notre pays, lorsqu’ils procèdent à la nouvelle et prochaine mise en marche technologique de la 5G.
Gardant à l’esprit que maintenant ce ne sont pas seulement les personnes âgées dans les maisons de retraite qui sont vaccinées avec ce vaccin contre la grippe avec de l’oxyde de graphène, mais,
comme vous le savez, une grande partie de la population a été vaccinée, ou graphénée, avec des doses progressives d’oxyde de graphène .
Le corps a une capacité naturelle à éliminer ce toxique, c’est pourquoi nous vous proposons jusqu’à une troisième dose par an pendant toutes les années pour garder le graphène dans votre corps.
Nous avons chacune et chacune des preuves de ce qui a été manifesté ici . Pendant que la justice essaie d’agir, les gens continueront d’être poussés d’une falaise sans
fond. Si vous regardez ce matériel audiovisuel, vous comprendrez que depuis plus d’un an vous avez été totalement et naïvement trompé par les plus hautes institutions. Ce n’est que
maintenant que vous comprendrez toutes les incongruités que vous avez observées au journal télévisé.
Pour compléter ces précieuses informations, vous pouvez accéder à
où plus de 100 000 personnes sont déjà au courant de la vérité et ne font pas partie de la tromperie massive à laquelle elles étaient soumis. S’il vous plaît, rendez cette vidéo virale
autour de vous et arrêtons-nous parmi nous tous. Le destin qui nous attend, fruit de la feuille de route de l’Agenda 20/30 , ne dépend que de nous.
Merci pour votre attention.
La Quinta Columna.
Note aux lecteurs : Suivez-nous sur Instagram, @crg_globalresearch.
Transférez cet article à vos listes de diffusion. Crosspost sur votre site de blog, forums internet. etc.
1/ Les Coronavirus d’une manière générale ne sont pas dangereux.
Ils sont responsables de syndromes grippaux. Mais le SARS-Cov2 peut en outre être responsable de troubles temporaires de certains sens (goût, odorat et même audition). Ils peuvent se compliquer
s’ils ne sont pas traités précocement. Les complications les plus dangereuses sont surtout au niveau respiratoire (infection et insuffisance respiratoire nécessitant assistance) et au niveau
cardiaque (myocardites et péricardites) mettant la vie en danger. Ils atteignent surtout des personnes en co-morbidités (surpoids-obésité, diabète, hypertension artérielle, immunodépressions
connues ou inconnues…).
En mutant le virus original se transforment en ”variants”. Ceux-ci heureusement diminuent leur dangerosité (charge pathogène) au fur et à mesure de leur évolution à partir du virus original.
2/ Le Coronavirus SARS-COV2 a une origine naturelle qui a été modifiée dans un laboratoire d’où il est sorti. C’est une chimère pathogène.
Quel laboratoire, je ne sais pas. Celui de Wuhan en Chine désormais très connu a été inauguré en présence des plus hautes personnalités françaises.
Ce SARS-Cov2 est un virus à ARN. Il contient deux parties qui appartiennent étonnamment :
a) l’une au virus du Sida, virus également à ARN, très instable contre lequel depuis 1982 la science cherche encore un vaccin efficace d’importance mondiale.
Des morceaux d’ARN du coronavirus sont identiques à des séquences présentes dans le génome des virus du Sida VIH-1 et VIH-2. Elles sont localisées dans la région du gène codant pour la protéine
de fixation (protéine Spike) du coronavirus sur les cellules où le virus peut se multiplier.
Bien que petites les séquences des VIH peuvent coder pour un motif antigénique de la protéine d’enveloppe du VIH.
b) l’autre au plasmodium du parasite du Paludisme contre lequel aussi les chercheurs s’acharnent pour mettre au point un vaccin efficace d’importance mondiale.
New Microbes New Infect. 2020 Nov; 38: 100817. Published online 2020 Nov 19. doi: 10.1016/j.nmni.2020.100817
SARS-CoV-2 and Plasmodium falciparum common immunodominant regions may explain low COVID-19 incidence in the malaria-endemic belt – M.A.M. Iesa, and al.
Ces deux parties que viennent-elles faire là ? Peut-être pour la recherche dans un but vaccinal contre le Sida et le Paludisme. Une forte probabilité.
Tout ceci implique des manipulations expertes d’origine humaine.
A la différence du virus de la grippe dont le génome est fait de 8 chaines d’ARN qui le rendent très instable, le SARS-COV2, possède une seule chaîne d’ARN, ce qui est rare.
3/ Les virus à ADN comme à ARN sont constitués des bases azotées qui appartiennent à des nucléotides.
Dans tout organisme vivant existent 5 bases azotées (molécules contenant plusieurs atomes d’azote) symbolisées par des lettres (A, T, G, C, U) : A pour Adénine, T pour Thymidine, G pour Guanine,
C pour Cytosine et U pour Uracile.
L’ADN ou acide désoxyribonucléique est dans le noyau de la cellule.
L’ARN ou acide ribonucléique est fabriqué par transcription à partir de l’ADN du noyau cellulaire. A partir de l’ARN, les ribosomes, petites usines, présente s dans la cellule, fabriquent par
traduction des protéines.
ADN et ARN sont constitués d’un enchaînement de nucléotides. Chaque nucléotide contient un groupe phosphate, un sucre (le ribose ou le desoxyribose) et une base azotée (ou base nucléique).
Les nucléotides s’accrochent les uns aux autres pour constituer les brins d’ARN et/ou d’ADN. C’est la base azotée qui fait la différence des nucléotides.
Une base ne peut se lier qu’à une autre base.
Dans l’ADN, les 4 bases azotées qui se succèdent sont A-T et G-C. Elles sont fixées au sucre, le desoxyribose, d’où le nom Acide Désoxy…
L’ADN a une structure très stable de double hélice constituée de 2 brins entrelacés.
La densité de l’ADN est à 1,7 car elle contient une molécule d’eau supplémentaire avec le desoxyribose.
Dans l’ARN, les 4 bases azotées ou ”lettres” qui se succèdent sont A-U et G-C. Elles sont fixées au sucre qu’est le ribose, d’où le nom Acide Ribo…
L’ARN est une copie d’une région de l’un des 2 brins de l’ADN. L’ARN a généralement un seul brin indépendant.
Les liaisons G-C sont plus fortes, plus solides que les liaisons A-U.
Ces liaisons G-C sont présentes dans les vaccins à ARN messager pour se maintenir plus longtemps dans l’organisme.
Le génome du coronavirus est constitué de 30 000 lettres, publié pour la première fois le 11 janvier 2020, tandis que le génome humain est constitué de 3 milliards de lettres.
4/ Les variants sont d’autant plus fréquents que les vaccins se généralisent.
Le coronavirus comme tous les virus à ARN, a une forte capacité à changer, se modifier, varier, on dit aussi muter.
Il vit et se reproduit après avoir pénétré dans les cellules humaines. Pour cela il copie son génome au sein de la cellule qu’il a infectée, ce qui consiste à recopier chaque lettre (base) de son
brin d’ARN. De nouvelles particules de virus vont être formées dans la cellule infectée, contenant ces copies d’ARN et vont rentrer dans d’autres cellules et les infecter à leur tour.
L’entrée du virus dans la cellule se fait à l’aide de la protéine Spike du coronavirus qui se fixe sur certains récepteurs de la cellule du patient, dits ACE2, localisés en particulier au niveau
du poumon et de l’intestin grêle.
Sur ces récepteurs, la protéine Spike fonctionne comme une clef pour ouvrir une porte.
Les nouveaux variants se forment d’autant plus que l’on vaccine. Ils sont causés par des mutations sur la protéine Spike. Le virus sait parfaitement contourner les vaccins dont l’efficacité se
réduit au fur et à mesure de leur utilisation. Les vaccins ont déjà perdu 50% de leur efficacité face au variant delta.
Lors de la copie du génome du coronavirus, des erreurs sont observées : une lettre peut être remplacée par une autre (substitution), rajoutée (insertion) ou effacée (délétion). Ce sont les
mutations et elles apparaissent aléatoirement. On ne sait pas quand, ni où elles vont apparaître dans la molécule d’ARN, sur quelle molécule de protéine, ni quelle erreur va être créée. C’est un
phénomène normal que l’on observe dans tous les virus.
Les vaccins à ARN messager (ARNm) injectent dans le corps du vacciné de l’ARNm qui va faire fabriquer la protéine Spike en grande quantité. En réaction les défenses immunitaires de l’organisme
(si elles sont robustes) produisent des anticorps anti-protéine Spike pour éviter les complications de la maladie.
Les mutations affectant la protéine Spike sont très suivies par les scientifiques. Au 15 décembre 2020, les chercheurs qui analysent les coronavirus britanniques avaient déjà identifié 1777
mutations différentes qui modifient la protéine Spike.
On a mesuré que pour SARS-CoV-2, environ 2 mutations apparaissent chaque mois.
Le virus est plus malin que les vaccins. Quand il mute, il mute sur la protéine Spike fabriquée après vaccination. La vaccination favorise donc la fabrication des variants.
Ainsi les variants peuvent devenir plus contagieux, mais ne l’oublions pas, ils sont moins dangereux.
5/ Les vaccins à ARN messager ont pour but de fabriquer un antigène toxique : la protéine Spike.
Après un vaccin à ARNm (vaccins Pfizer et Moderna) ou à protéine recombinante (Johnson & Johnson), le système immunitaire peut contrer cette protéine en fabricant des anticorps anti-protéine
Spike dont la durée de vie risque d’être courte, d’où les revaccinations prévues chaque année, et déjà la 3ème puis on voit venir la 4ème dose.
Les vaccinés ont donc un système immunitaire qui va fabriquer essentiellement des anticorps anti-protéine Spike (anti-S) qui seront libérés dans leur circulation sanguine.
Les non-vaccinés qui ont développé la Covid, avec ou sans symptômes, ont dans leur circulation sanguine, dosables dans une simple prise de sang deux types d’anticorps :
– les anticorps anti-protéines Spike (anti-S) ;
– les anticorps anti-protéine N (anti-N) contre la Nucléocapside du virus laquelle protège son génome : ces anticorps anti-protéine N (anti-N) peuvent persister longtemps (au moins 8 mois*) et
peut être à vie (l’avenir nous le dira), si le système immunitaire de la personne fonctionne bien.
* Immunological memory to SARS-CoV-2 assessed for up to 8 months after infection. Dan JM, et al. Science. 2021. PMID: 33408181
Ainsi la protection immunitaire après avoir eu la Covid peut être meilleure et plus longue qu’après la vaccination.
Chez ces personnes, au moins 10 millions, c’est une aberration scientifique d’imposer même une seule injection d’un vaccin à ARN messager. Ils ont suffisamment d’anticorps pour neutraliser un
nouveau variant, et éventuellement développer une nouvelle Covid à minima en accueillant un nouveau variant.
6/ Le devenir du virus
Isolé, il meurt. Dans une cellule, il peut se multiplier et muter en devenant un variant, virus plus contagieux mais moins dangereux.
Les cellules infectées par le virus deviennent inflammatoires et peuvent en outre être infectées par les bactéries présentes dans le microbiote respiratoire.
Le SARS-Cov2 et ses vaccins ne sont en rien comparables aux virus et vaccins contre les diphtérie-tétanos-polio (DTP), les rougeole-oreillons-rubéole (ROR) ou la variole ou même le bacille de la
tuberculose.
Pour être efficace, le vaccin a besoin d’un bon système immunitaire.
Chez les personnes fortement immuno-déprimées, les vaccins ne sont pas efficaces.
7/ Vacciner en période épidémique est un non-sens, augmentant les effets indésirables : les épidémiologistes le savent.
En Europe actuellement, il est très difficile de savoir le nombre exact dans chaque pays des effets secondaires et des éventuels décès liés aux différents vaccins.
Plusieurs raisons permettent de comprendre :
– les services de pharmacovigilance partout en Europe ont toujours minimisé les effets indésirables des médicaments et des vaccins en particulier.
– les décès liés aux vaccins sont systématiquement contestés : les ”experts”parlent de temporalité et jamais de causalité.
– les contrôles post mortem sont rarement réalisés et même quand ils sont faits, il serait très difficile de relier la mort à la vaccination.
– au ”pays de Pasteur”, la politique de santé est parvenue à imposer cette affirmation : ”vaccins=vie” avec l’argument majeur du rapport ”bénéfices/risques”, sans expliquer que les bénéfices sont
financiers pour peu de personnes et les risques pour tous.
Dans l’European Economic Area (EEA), 5 décès sont rapportés aux vaccins, évidemment en soulignant que les personnes étaient âgées ou en comorbidités.
En Belgique, l’agence fédérale des médicaments des produits de santé (afmps) le 10 août fait état de :
– 6788 cas graves du fait « d’une incapacité de travail temporaire ou de l’impossibilité de quitter la maison à cause de la fièvre, de douleurs musculaires, d’un malaise et de réactions au
point d’injection ».
– 199 rapports de décès : il n’y a pas de tableau clinique commun (situations médicales différentes) et les délais entre l’administration et le décès diffèrent. Comme on pouvait s’y attendre pas
plus de 4 décès sont reconnus comme étant liés aux vaccins…
En France, l’ANSM fait état de 33 296 cas d’effets indésirables :
– 64 cas de myocardites et 111 cas de péricardites dont on minimise les effets.
– des cas de polyarthrite rhumatoïde (22 cas graves depuis le début de la vaccination, dont 15 avaient des antécédents de polyarthrite) et des cas de néphropathie glomérulaire, un trouble rénal
(12 cas depuis le début de la vaccination, dont 8 sont des récidives), conduit le comité à considérer qu’il s’agit de signaux potentiels, communs aux vaccins à ARNm (Comirnaty de Pfizer et
Spikevax de Moderna).
La majorité des cas sont survenus chez des personnes de plus de 50 ans. Ces évènements font l’objet d’une surveillance spécifique et seront partagés au niveau européen.
Il est également précisé : « depuis le 3 avril 2021, les femmes enceintes, à partir du 2e trimestre, sont prioritaires pour accéder à la vaccination avec un vaccin à ARNm (Comirnaty des
laboratoires Pfizer BioNtech et Moderna). Un suivi spécifique des effets indésirables rapportés avec l’ensemble des vaccins chez les femmes enceintes a donc été mis en place. » Les femmes
enceintes jouent le rôle de cobaye.
Evidement les agences de santé dans le monde entier affirment sans complexe : ”tous les effets indésirables ne remettent pas en cause le rapport bénéfices/risques des vaccins. »
En Suisse l’Institut des produits thérapeutiques au 10 août 2021 compte chez les personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin :
« 34,7% des déclarations sont considérés comme des cas graves.
Les personnes concernées étaient âgées en moyenne de 57,7 ans (au sein d’une fourchette allant de 16 à 101 ans), et parmi elles, 21,9 % avaient 75 ans ou plus. Dans les cas considérés comme
graves l’âge moyen était de 61,3 ans, et dans les déclarations faisant état de décès concomitants à la vaccination la moyenne s’établissait à 80,7 ans. Dans 133 de ces cas graves, l’on a dû
déplorer le décès de la personne vaccinée après un laps de temps plus ou moins long. Malgré la concordance temporelle, rien n’indique concrètement que le vaccin est à l’origine du
décès. »
Pour les USA, le Docteur Jessica Rose, de l’Institute for Pure and Applied Knowledge (IPAK) – Public Health Policy Initiative (PHPI) publie en mai 2021 les différents effets indésirables des
vaccins en analysant les données officielles du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) de la Food & Drug Administration (FDA) américaine.**
En résumé, elle rapporte 34 décès par million de personnes vaccinées en comparaison à 1500 décès par million de personnes infectés de la Covid. Cependant elle donne les références démontrant que
les effets secondaires rapportés dans cette base de données sont sous-évalués, estimés à seulement 1% de la réalité. Cela porterait le taux réel de décès à 3400 cas par million, soit plus que la
Covid.
L’analyse suggère que les vaccins sont probablement aussi la cause de fausses couches, de réactions allergiques anaphylactiques, de maladies auto-immunes, cardiovasculaires et neurologiques. La
vaccination des femmes enceintes n’est certainement pas conseillée.
8/ La nature est plus forte que les scientifiques : l’immunité collective est un leurre.
La nature a choisi de s’adapter en utilisant les séries harmoniques de nombres, que les artistes connaissent mais peu les scientifiques.
Il s’agit surtout de la série Fibonacci que l’on retrouve dans les coronavirus, comme dans la nature.
De quoi s’agit-il ? La suite de Fibonacci (Leonardo Fibonacci, mathématicien italien, 1175-1250) apparaît sous de nombreuses formes biologiques : la répartition de la ramification des arbres, la
disposition des feuilles sur une tige, la disposition d’une pomme de pin, la coquille d’escargot, le nombre de pétales des marguerites, le nombre d’or…
Le nombre d’or est appelé « divine proportion » ou « rectangle d’or ». Il explique entre autres qu’une structure a trois qualités, la force, l’utilité et la beauté, et surtout
que l’architecture peut être une imitation de la nature.
Etonnamment, tous les variants du SARS-Cov2 ont de plus en plus de séries Fibonacci à partir du rapport des nucléotides A-U sur G-C ; mais pas les vaccins parce qu’ils sont enrichis en liaisons
fortes G-C.
Les vaccins ont donc des difficultés à s’adapter, d’où la prévision des fabricants de vaccins qui promettent de changer l’ARNm autant de fois que nécessaire.
9/ Le passe sanitaire impose la vaccination quasi obligatoire à trop de personnes, pour éviter la responsabilité du gouvernement ou des fabricants.
Il y aura de plus en plus d’accidents car on ne sait rien à l’heure actuelle des effets indésirables des vaccins expérimentaux à ARNmessager, à moyen et long terme.
Vacciner les femmes enceintes dès le premier trimestre de la grossesse est une erreur scientifique énorme, qui utilise femmes et enfants à naître comme des cobayes.
Aux USA, les membres du CDC (Center for Diseases d’Atlanta), chargés du registre ”sécurité des femmes enceintes”, rapportent en juin les premiers résultats*** du taux des fausses couches post
vaccination. Entre le 14 décembre 2020 et le 28 février 2021, les taux sont les mêmes chez les femmes vaccinées ou pas. En conclure qu’il est nécessaire de vacciner les femmes enceintes n’est ni
scientifique ni honnête quand on sait comme vu plus haut que seulement 1% du nombre des effets indésirables sont rapportés. ***Preliminary Findings of mRNA Covid-19 Vaccine Safety in Pregnant Persons – June 17, 2021 – N Engl J Med 2021; 384:2273-2282 DOI: 10.1056/NEJMoa2104983
10/ Messages à 227 300 médecins français
– comportez-vous en vrai médecin, soignez avec des médicaments peu coûteux qui on fait leur preuve : Hydroxychloroquine, Ivermectine, Antibiotiques (Azithromycine) selon l’état infectieux
du malade; anticoagulants selon le bilan biologique (D-Dimères); et anti-inflammatoires (corticoïdes).
De plus, complémentez vos patients en Zinc, Vitamines D et C en plus d’une alimentation très végétale de qualité.
– ne vous faites pas vacciner, ne vaccinez pas, entrez en RESISTANCE et unisssez-vous – ne vaccinez ni les enfants, ni les jeunes, ni les femmes enceintes TOUS en bonne santé.
Les risques de la vaccination pour ces populations sont supérieures aux bénéfices attendus.
Leurs défenses immunitaires suffisent pour qu’ils développent la covid à minima et sans danger.
Pr Luc Montagnier
Lettre publiée via le site du professeur gastro-entérologue-cancérologue Henri Joyeux août 2021 diffusion large autorisée
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Le 15 juin 2021 était publié au JO de l’Union Européenne, le Règlement (UE) 2021/953 du Parlement Européen et du Conseil du 14 juin 2021 relatif à un cadre pour la délivrance, la
vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE) afin de faciliter la libre circulation
pendant la pandémie de COVID-19 (https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX%3A32021R0953)
Ce règlement est applicable depuis le 1er juillet 2021 et fait suite à une proposition du 17.3.2021
Il rappelle les dispositions de l’article 21 du Traité sur le Fonctionnement de l’Union Européenne (TFUE), et le principe de la libre circulation sur le territoire des états membres :
« (1) Tout citoyen de l’union a le droit fondamental de circuler et de séjourner librement sur le territoire des états membres, sous réserve des limitations et conditions prévues
par les traités et par les dispositions prises pour leur donner effet. La directive 2004/38/ce du Parlement européen et du Conseil établit les modalités d’exercice de ce
droit. »
Il rappelle également que le pourvoir des états membre de limiter la libre circulation pour des motifs de santé publique doit s’exercer dans le respect des principes directeurs de
non-discrimination
« (6) Les états membres peuvent, conformément au droit de l’union, limiter le droit fondamental à la libre circulation pour des motifs de santé publique. Toute restriction à
la libre circulation des personnes au sein de l’union qui est mise en place pour limiter la propagation du SARS-COV-2 devrait être fondée sur des motifs d’intérêt public spécifiques et
limités, à savoir la préservation de la santé publique, comme le souligne la recommandation (UE) 2020/1475. Il est nécessaire que de telles limitations soient appliquées
conformément aux principes généraux du droit de l’union, en particulier les principes de proportionnalité́ et de non-discrimination. Toute mesure prise devrait dès lors être
strictement limitée dans son champ d’application et dans le temps, conformément aux efforts déployés pour rétablir la libre circulation au sein de l’union, et ne devrait pas aller
au-delà̀ de ce qui est strictement nécessaire pour préserver la santé publique. en outre, ces mesures devraient être cohérentes avec les mesures prises par l’union pour assurer la libre
circulation fluide des biens et des services essentiels dans l’ensemble du marché́ intérieur, y compris la libre circulation des fournitures médicales ainsi que du personnel médical et du
personnel soignant, grâce aux points de passage frontaliers pour les voies réservées visés dans la communication de la commission du 23 mars 2020 sur la mise en œuvre des voies
réservées prévues par les lignes directrices relatives aux mesures de gestion des frontières visant à protéger la santé publique et à garantir la disponibilité́ des biens et des
services essentiels. »
Dans sa proposition du 17 mars, le Parlement précisait déjà que :
« (26) il y a lieu d’empêcher toute discrimination à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font
pas partie du groupe cible pour lequel le vaccin est actuellement recommandé, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité́ de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le
faire. Par conséquent, la détention d'un certificat de vaccination, ou la possession d'un certificat de vaccination mentionnant un vaccin spécifique, ne devrait pas
constituer une condition préalable à l’exercice des droits de libre circulation, en particulier lorsque les personnes sont, par d'autres moyens, en mesure de démontrer qu’elles
respectent les exigences légales liées à la santé publique, et ne saurait constituer une condition préalable à l’utilisation de services de transport de voyageurs transfrontaliers tels
que les avions, les trains, les autocars ou les transbordeurs. »
Le règlement réaffirme clairement ce principe de non-discrimination, ajoutant que ses dispositions ne peuvent être interprétées comme instaurant un droit ou une obligation d’être vacciné
« (36) il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales,
parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auquel le vaccin contre la COVID-19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou
parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité́ de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. Par conséquent, la possession d’un certificat de vaccination, ou la
possession d’un certificat de vaccination mentionnant un vaccin contre la COVID-19, ne devrait pas constituer une condition préalable à l’exercice du droit à la libre
circulation ou à l’utilisation de services de transport de voyageurs transfrontaliers tels que les avions, les trains, les autocars ou les transbordeurs ou tout autre moyen de
transport. En outre, le présent règlement ne peut être interprété́ comme établissant un droit ou une obligation d’être vacciné ».
Les avertissements effrayants du Pr Montagnier, virologue et prix Nobel de médecine, ainsi que du Pr. Van den Bosche, virologue de renom, concernant les vaccins anti-Covid sont ignorés par le
gouvernement et les grands médias (TrialSite News)
Lorsque deux grands esprits arrivent à des conclusions similaires sur la pression mondiale actuelle pour vacciner tout le monde avec les vaccins expérimentaux contre la COVID, nous devrions
prêter une attention particulière. Ces deux scientifiques très expérimentés ont une vision totalement négative de l'effort de vaccination. Pire que l'inefficacité, ils prévoient
des conséquences négatives pour la santé de la population mondiale. Ces deux chercheurs médicaux accrédités qui disent la vérité font paraître Fauci aussi inepte, fourbe et dangereux
qu'il l'est.
L'argument avancé dans cet article est que non seulement Fauci a mis en avant la mauvaise solution pour une pandémie potentiellement désastreuse, mais il a également bloqué la bonne solution.
Une grande partie des propos des deux virologues est de nature très technique. Cet article simplifie leurs messages controversés sans en perdre le sens essentiel. Le public doit
comprendre leurs avertissements qui réfutent toute la propagande en faveur des vaccins émanant des agences gouvernementales et de santé publique ainsi que des grands médias.
Avertissement : Continuez à lire et vous risquez de devenir dépressif.
Dr Luc Montagnier
Le Dr Luc Montagnier, virologue français et lauréat du prix Nobel de médecine 2008 pour sa découverte du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), est le premier à s'exprimer. Il
est titulaire d'un doctorat en médecine. Mais il y a beaucoup plus pour conclure qu'il est un grand expert : il a reçu plus de 20 récompenses majeures, dont l'Ordre national du mérite
français et la Légion d'honneur. Il a reçu le prix Lasker, le prix Scheele, le prix Louis-Jeantet de médecine, le prix Gairdner, le prix Golden Plate de l'American Academy of
Achievement, le prix international King Faisal (connu sous le nom de prix Nobel arabe) et le prix Prince des Asturies.
Il a travaillé dur pour exposer les dangers des vaccins contre la COVID-19, encore expérimentaux mais qui, malheureusement, pourraient bientôt être totalement autorisés. Les vaccins
n'arrêtent pas le virus, affirme l'éminent virologue, ils font le contraire - ils "nourrissent le virus" et facilitent son développement en variants plus forts et plus transmissibles.
Ces nouveaux variants du virus seront plus résistants à la vaccination et pourront avoir des conséquences sanitaires plus importantes que leurs versions "originales".
Montagnier qualifie le programme de vaccination de masse d'"erreur inacceptable" et d'"erreur scientifique autant que médicale". Il affirme que "les livres d'histoire montreront que...
c'est la vaccination qui crée les variants." En d'autres termes : "Il y a des anticorps, créés par le vaccin", qui obligent le virus à "trouver une autre solution" ou à mourir.
"C'est là que les variants sont créés. Ce sont les variants qui "sont une production et un résultat de la vaccination." Arrêtez-vous et réfléchissez à ces pensées. Avez-vous
entendu une meilleure explication de la création des variants ? J'en doute.
Il parle de la mutation et du renforcement du virus à partir d'un phénomène connu sous le nom de "Antibody Dependent Enhancement" (ADE). L'ADE est un mécanisme qui augmente la capacité
d'un virus à pénétrer dans les cellules et à provoquer une aggravation de la maladie.
Les données recueillies dans le monde entier confirment que l'ADE se produit dans le cas du SRAS-CoV-2, qui est à l'origine de la COVID-19, indique Montagnier. "On le voit dans chaque pays,
c'est la même chose : la courbe de la vaccination est suivie de la courbe des décès." Cela ressemble à ce dont nous entendons davantage parler aujourd'hui, à savoir l'escalade des
infections de rupture qui tuent certaines personnes. Et cette spirale vers le désastre pourrait ne pas avoir de fin.
Dans un documentaire de novembre 2020, il a mis l'accent sur les obligations de masques nocifs et irrationnels ainsi que sur les confinements, les quarantaines, les abus de la surenchère
gouvernementale, et a soutenu l'utilisation de traitements COVID efficaces comme l'hydroxychloroquine. Le film a été interdit par YouTube et la plupart des autres médias grand
public. À l'époque, Fauci avait réussi à bloquer l'utilisation à grande échelle des traitements génériques bon marché contre la COVID et poursuivait la stratégie d'attente du vaccin.
Montagnier a été un critique virulent de la campagne de vaccination de masse. Dans une lettre adressée au président et aux juges de la Cour suprême de l'État d'Israël, qui a lancé la
campagne de vaccination la plus rapide et la plus massive du monde, Montagnier a plaidé pour sa suspension. Il a déclaré : "Je voudrais résumer les dangers potentiels de ces vaccins
dans une politique de vaccination de masse." Les voici :
1.Les effets secondaires à court terme : il ne s'agit pas des réactions locales normales que l'on retrouve pour toute vaccination, mais de réactions graves mettant en jeu la vie du
receveur comme un choc anaphylactique lié à un composant du mélange vaccinal, ou des allergies graves ou une réaction auto-immune allant jusqu'à l'aplasie cellulaire. Dans ce groupe,
nous devrions inclure un certain nombre de problèmes sanguins mortels impliquant des caillots et la perte de plaquettes qui provoquent des accidents vasculaires cérébraux, des hémorragies
cérébrales et d'autres impacts.
Absence de protection vaccinale :
2.1 Les anticorps induits ne neutralisent pas une infection virale, mais au contraire la facilitent en fonction du receveur. Ce dernier peut avoir déjà été exposé au virus de
manière asymptomatique. Les anticorps induits naturellement peuvent entrer en compétition avec les anticorps induits par le vaccin.
2.2 La production d'anticorps induits par la vaccination dans une population fortement exposée au virus va conduire à la sélection de variants résistants à ces anticorps. Ces
variants peuvent être plus virulents ou plus transmissibles. C'est ce que nous observons actuellement. Une course sans fin virus-vaccin qui tournera toujours à l'avantage du
virus.
Les effets à long terme : Contrairement à ce que prétendent les fabricants de vaccins à ARN messager, il existe un risque d'intégration de l'ARN viral dans le génome humain. Nos cellules
ont la capacité d'inverser la transcriptase de l'ARN en ADN. Bien que cet événement soit rare, son passage dans l'ADN des cellules germinales et sa transmission aux générations futures ne
peuvent être exclus.
Sa conclusion : "Face à un avenir imprévisible, il vaut mieux s'abstenir." Mais la plupart des gens auront énormément de mal à résister à toute la coercition et aux mandats de
vaccination.
Retour en avril 2020, avant que l'on ne parle de variants et avant le déploiement des vaccins expérimentaux, Montagnier a exhorté la population à refuser les vaccins contre la COVID-19
lorsqu'ils seront disponibles. Il faut toujours se souvenir de son point principal : "au lieu de prévenir l'infection, ils [accéléreraient] l'infection". Aujourd'hui, les nouveaux
variants du SRAS-CoV-2 qui touchent les personnes vaccinées confirment sa thèse. Avec son raisonnement scientifique, la vaccination de masse pourrait provoquer une nouvelle vague
d'infection pandémique, plus mortelle.
Quant à l'immunité collective, dont on parle beaucoup et que l'on espère, il a déclaré : "les vaccins Pfizer, Moderna, Astra Zeneca n'empêchent pas la transmission du virus de
personne à personne et les vaccinés peuvent tout aussi bien transmettre le virus que les non vaccinés. Par conséquent, l'espoir d'une 'immunité collective' par une augmentation
du nombre de vaccinés est totalement futile."
Du côté positif, il préconise ceci : "Le traitement précoce de l'infection par l'ivermectine et un antibiotique bactérien car il existe un cofacteur bactérien qui amplifie
les effets du virus. "
Dr. Vanden Bossche
L'opinion tranchée de Montagnier a été partagée par le Dr Vanden Bossche, un virologue belge estimé. Lui aussi possède des références considérables qui font que son point de vue mérite
d'être pris en considération. Il est titulaire d'un doctorat en virologie de l'université de Hohenheim, en Allemagne. Il a occupé des postes de professeur dans des universités en
Belgique et en Allemagne. Il a travaillé au Centre allemand de recherche sur les infections à Cologne en tant que chef du bureau de développement des vaccins. Il a travaillé dans
le secteur privé pour plusieurs entreprises de vaccins (GSK Biologicals, Novartis Vaccines, Solvay Biologicals), où il s'est occupé de la R&D et du développement de vaccins. Il a
également travaillé pour l'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI) à Genève en tant que responsable du programme Ebola.
Son point de vue a été analysé dans un article récent. Lui aussi a réclamé haut et fort
l'arrêt des programmes de vaccination de masse. Il estime que si les vaccinations ne sont pas interrompues, elles pourraient conduire à l'évolution de variants de plus en plus forts du
virus jusqu'à ce qu'un "supervirus" s'installe et élimine un grand nombre de personnes.
Voici son point de vue audacieux :
"Compte tenu de l'énorme quantité d'évasion immunitaire qui sera provoquée par les campagnes de vaccination de masse et les mesures de confinement connexes, il est difficile d'imaginer
comment les interventions humaines ne feraient pas en sorte que la pandémie de la COVID-19 se transforme en une incroyable catastrophe pour la santé mondiale et individuelle."
Voici un élément essentiel de son raisonnement. Presque tout ce qui est fait dans la pandémie ne garantit pas l'élimination du virus. Ce qui se passe, c'est une "évasion
immunitaire" virale sélective, où les virus continuent d'être excrétés par les personnes infectées (vaccinées ou non) parce que les anticorps neutralisants ne parviennent pas à empêcher la
réplication et l'élimination du virus.
La pression de sélection évolutive exercée sur le virus par l'"échappement immunitaire" crée des souches de virus toujours plus virulentes qui ont un avantage compétitif sur les autres
variants et qui auront de plus en plus la possibilité de passer au travers des défenses anticorps. Les défenses fournies par le système immunitaire induit par le vaccin. C'est la
"résistance au vaccin". Ce qui se passe, c'est que les fabricants de vaccins essaient de déjouer les variants, mais échouent. Ils continuent donc à promouvoir les rappels et les
injections annuelles de vaccins. C'est l'approche "plus est mieux". Cette approche est favorisée par la suppression de nombreux faits négatifs concernant les vaccins par les
grands médias.
Selon une prévision effrayante de Bossche, le pire de la pandémie est encore à venir. Difficile à croire au vu de toute la propagande de mauvaises nouvelles concernant les cas, les
hospitalisations et les décès. Mais il pense que nous vivons actuellement le calme avant l'ultime tempête. Imaginez une nouvelle vague d'infection bien pire que tout ce que nous
avons vu jusqu'à présent, c'est ce que pense Bossche.
Comment cela va-t-il se produire ? Il y aura davantage de mutants ou de variants contre lesquels le système immunitaire adaptatif des vaccins n'offre qu'une faible résistance.
Dans le même temps, l'efficacité du système immunitaire inné ou naturel diminuera. À moins que les gens ne prennent un certain nombre de mesures pour renforcer leur immunité
naturelle.
Bossche souligne constamment l'absence de preuves que le programme actuel de vaccination de masse à l'échelle mondiale, qui a été mis en place alors que l'infection est encore importante, est
sans précédent et qu'il n'existe aucune preuve scientifique de son efficacité. C'est pourquoi il est largement ignoré.
Il souligne que les programmes de vaccination historiques ont toujours mis l'accent sur l'importance de vacciner les populations à titre prophylactique en l'absence de pression infectieuse.
Il fait également valoir que si l'on utilisait différents types de vaccins offrant une immunité neutralisante, c'est-à-dire empêchant l'échappement immunitaire et tuant tous les virus chez
les personnes vaccinées, la situation serait entièrement différente. La plupart des gens ne comprennent pas que les vaccins expérimentaux actuels ne tuent pas réellement le virus et que
les personnes vaccinées et non vaccinées excrètent le virus. Ces vaccins n'arrêtent pas la transmission virale. Et toutes les mesures de contrôle de la contagion ne sont tout
simplement pas assez efficaces pour arrêter la propagation du virus sous ses différentes formes.
Voici sa vision d'ensemble : "Il n'y a qu'une seule chose en jeu à l'heure actuelle, et c'est la survie de notre race humaine, pour parler franchement."
Mais il y a d'autres mots forts prononcés récemment par Bossche auxquels il faut prêter attention : Chaque personne qui est
"partiellement" ou "totalement" vaccinée est un système d'incubation de maladies ambulant qui fait courir à tous les autres le risque de contracter un "variant" mortel, causé par le vaccin,
qui pourrait les tuer. Les "vaccinés" sont des meurtriers ambulants qui propagent la maladie aux autres. Se faire vacciner contre la grippe de Fauci n'est pas seulement une folie,
c'est aussi une forme de meurtre dans la mesure où les personnes non vaccinées risquent maintenant de contracter les maladies mortelles fabriquées à l'intérieur des corps des vaccinés.
Si Trump n'avait jamais introduit le vaccin, la pandémie se serait éteinte depuis longtemps. Puisque ses vaccins continuent d'être promus ... cependant, le variant 'Delta' se répand
comme une traînée de poudre, bientôt suivie par d'autres 'variantes' alors que nous entrons dans la saison d'automne. "
C'est aussi un avis très tranché. Le "programme de vaccination de masse est... incapable de générer une immunité collective". Si cela est vrai, il y a peu d'espoir de voir la
pandémie de la COVID prendre fin.
Quelle est la solution ? Bossche a identifié l'alternative nécessaire à l'effort massif actuel de vaccination. C'est la suivante : "Cette première étape critique ne peut être
franchie qu'en mettant immédiatement un terme au programme de vaccination de masse et en le remplaçant par une utilisation généralisée de chimioprophylaxies antivirales, tout en consacrant
des ressources massives de santé publique à la mise en place de traitements multimédicamenteux précoces de la maladie de Covid-19." Il s'agit des protocoles de traitement précoce à
domicile ou en ambulatoire basés sur des génériques bon marché, sûrs et entièrement approuvés, comme l'ivermectine et l'hydroxychloroquine, qui sont également efficaces à titre
préventif. Pandemic
Blunder fournit de nombreuses données et conseils sur l'utilisation de cette approche thérapeutique. Ainsi, les deux virologues soutiennent l'utilisation de ce que Fauci a bloqué.
Ces recommandations d'action ont également été formulées par Bossche : "Fournir - gratuitement - un traitement polychimique précoce à tous les patients qui en ont besoin. Mener des
campagnes pour promouvoir une alimentation et un mode de vie sains." En d'autres termes, les gens doivent prendre des mesures pour stimuler leur immunité naturelle, ce qui devrait
inclure des vitamines et des suppléments, dont ce cocktail : vitamine C, vitamine D, zinc et quercétine.
Conclusions
Prenez un instant pour considérer que Patrick Wood, dans l'émission de Bannon du 21 août, a conclu que toutes les données disponibles aux États-Unis et en Europe montrent que quelque 100 000
personnes sont mortes à cause des vaccins expérimentaux de COVID. Je suis d'accord avec cette évaluation. Et au moment où vous lirez ces lignes, la FDA pourrait avoir donné son
approbation au vaccin Pfizer.
Après avoir examiné les propos de ces deux experts, il convient de critiquer ce que disent les responsables gouvernementaux actuels, à savoir que les non-vaccinés sont responsables de
l'augmentation des cas de COVID, des hospitalisations et des décès. La principale alternative à ce raisonnement est que ce sont les personnes vaccinées qui créent les problèmes de
pandémie, y compris les variants. La conclusion forte est que les vaccins actuels sont inefficaces, non protecteurs et dangereux.
Ce qu'il faut, c'est une approche entièrement nouvelle des vaccins contre la COVID. Il y a peut-être des entreprises qui y travaillent. Cela menacerait le business de mille milliards de
dollars des fabricants actuels de vaccins.
Si les personnes, agences et institutions qui détiennent tout le pouvoir écoutaient ces deux personnes très intelligentes, elles consacreraient toute leur énergie à utiliser des alternatives
aux vaccins actuels. Nous en avons. Notamment les protocoles de traitement que tant de grands médecins ont créés et utilisés pour aider leurs patients.
De nombreux autres médecins et chercheurs en médecine ont demandé que l'on mette un terme à la manne vaccinale actuelle des grandes sociétés pharmaceutiques. Entre-temps, tous les
jours, pour tous ceux qui sont prêts à examiner les faits, il est de plus en plus clair que les vaccins expérimentaux ne sont pas efficaces. Il est insensé de continuer à faire ou à
étendre ce qui ne fonctionne pas. C'est le monde insensé que nous vivons actuellement, alors même que de plus en plus de personnes meurent d'infections pernicieuses, de problèmes
sanguins et d'autres effets néfastes des vaccins sur la santé.
Peut-être que l'horrible vérité sur les vaccins ne sera révélée que lorsqu'il y aura des décès massifs et généralisés malgré toutes les injections et les piqûres. Il sera alors trop
tard pour que la gestion de la pandémie passe d'une stupidité motivée par l'argent à des actions médicalement morales permettant de sauver des vies.
* Le Dr Joel S. Hirschhorn, auteur de Pandemic Blunder et de nombreux articles sur la
pandémie, a travaillé sur les questions de santé pendant des décennies. En tant que professeur titulaire à l'Université du Wisconsin, à Madison, il a dirigé un programme de recherche
médicale entre les collèges d'ingénierie et de médecine. En tant que haut fonctionnaire de l'Office of Technology Assessment du Congrès et de la National Governors Association, il a
dirigé d'importantes études sur des sujets liés à la santé ; il a témoigné lors de plus de 50 audiences du Sénat et de la Chambre des représentants des États-Unis et a rédigé des centaines
d'articles et de tribunes libres dans les principaux journaux. Il a été cadre bénévole dans un grand hôpital pendant plus de 10 ans. Il est membre de l'Association des médecins et
chirurgiens étatsuniens et de America's Frontline Doctors et contribue depuis longtemps aux sites de Kettle Moraine.
La cinquième vague DELTA est créée grâce aux rayonnements ionisants et au graphène
Depuis 17 minutes
Comment un virus fait-il des vagues ? Comment un coronavirus fait-t-il des variants? Tout cela est une invention mondialiste. Toute la pandémie n’a été que le produit de l’attaque de la
population avec la technologie militaire : électro-fréquences, graphène et ARN synthétique pour breveter le génome humain .
Le but de la technologie 5G qui n’a cessé d’être mise en œuvre pendant les confinements, n’était rien de plus que de rendre les gens malades et de les tuer sous le couvert d’un agent dont
l’existence n’a été prouvée par aucun CDC au monde.
Les compteurs Geiger révèlent que nous sommes irradiés par des impulsions électromagnétiques ionisantes.
La Quinta Columna a déjà demandé à quiconque possède l’un de ces compteurs d’enregistrer la preuve de ses mesures. Si possible, envoyez-leur les vidéos mentionnant le jour, l’heure et le lieu où
les légumineuses sont enregistrées.
Dans l’extrait suivant qu’Orwell City apporte aujourd’hui, le Dr José Luis Sevillano et Ricardo Delgado rendent compte de la prétendue « cinquième vague ».
Dr Sevillano : Obtenez un compteur Geiger et commencez à mesurer. Vous allez découvrir ce qui est fait en l’utilisant.
Ricardo Delgado : Et l’article sur l’effet multiplicateur des fréquences aussi. Parce qu’avec ça, vous le comprenez déjà. La technologie micro-ondes classique, l’effet
multiplicateur et le fait que les nanoparticules d’oxyde de graphène se multiplient. Ils multiplient la fréquence jusqu’à la plage d’ionisation.
Dr. Sevillano : L’ensemble des articles plus les vidéos des compteurs Geiger. Celui que nous avions d’hier et celui d’aujourd’hui. Ces deux vidéos plus ces trois articles : celle
du Canada*, qui démontre ce qu’est la COVID ; l’article sur la multiplication via le graphène en suspension ; et celui sur l’amplification des ondes. Avec ça, vous savez que ce qu’ils font, c’est
la cinquième vague.
Sur ce, vous dites : « Voici la cinquième vague. Ou la variante delta. Ici vous l’avez.
Avez-vous vu comment La Quinta Columna vient de vous donner la réponse à la création de la cinquième vague ?
Là, vous avez des gens qui mesurent et regardent l’aiguille osciller. Il y a des rayonnements ionisants là-bas. Et cela correspond aux maux de tête que nous avons. Diarrhée que nous voyons chez
les patients. Les problèmes que nous voyons. Parce qu’ils l’ont déjà commencé. Ils rayonnent, mes amis.
Et quand vous voyez un signe distinctif de rayonnement aigu , vous dites : « Qu’est-ce que c’est ? Diarrhée, morve, fièvre, courbatures, fatigue… C’est ça l’irradiation. Nous sommes irradiés, mes
amis .
Si cet homme , à distance, reçoit ce signal, imaginez ceux près de la source qui l’émet.
C’est si ce n’est pas une chose localisée. Mais il se multiplie en fonction de la densité de graphène dans l’atmosphère. C’est aussi possible. Les villes, bien sûr, sont réduites en cendres . Les
avions les survolent simplement, générant cet effet, de sorte que la charge sur eux est plus importante.
Et, sûrement, pour rendre la multiplication encore plus grande . Notez que les impulsions atteignent la limite. Mais s’ils continuent, ils casseront l’aiguille, tu sais ? Cela étant donné les
impulsions enregistrées. Ils doivent tous être très puissants pour le faire. Ils vont jusqu’au bout de l’échelle. Je te dis.
Voici la cinquième vague. C’est ici. Des impulsions électromagnétiques ionisantes grâce, sûrement, à la potentialisation créée par le graphène en suspension . C’est pourquoi les avions ne
s’arrêtent pas de voler juste au moment où les vagues commencent.
Maintenant, comprenons-nous ou non? VOIR LA VIDEO SUR LE LIEN JOINT
Le cancer est un business. Tant de remèdes naturels et de technologies ont été supprimées depuis des décennies par la mafia pharmaceutique.
La vitamine C a une fonction antioxydante à large spectre avec la capacité de protéger les structures cellulaires et l’ADN des dommages causés par les radicaux libres. La vitamine C est
remarquablement sûre même à des doses extrêmement élevées. Comparativement aux médicaments d’ordonnance couramment utilisés, les effets secondaires sont pratiquement inexistants.
Quelle que soit la concentration, la vitamine C ne nuit pas aux cellules saines. Pourtant, grâce à un éventail de réactions enzymatiques et métaboliques, la vitamine C a une capacité
impressionnante de protéger et de traiter un large éventail de maladies, dont le cancer. Quand quelque chose est aussi efficace pour traiter la maladie, la FDA ne reculera devant rien pour
empêcher l’accès du public.
Les avantages d’une consommation à long terme de vitamine C supérieure à l’apport quotidien recommandé par le gouvernement américain (AJR) sont largement reconnus et comprennent la réduction des
risques de cancer, de maladies cardiovasculaires et de cataractes.
Des apports en vitamine C supérieurs à l’ANR ont été associés à une augmentation du bon cholestérol HDL, à une diminution de l’oxydation du cholestérol LDL, à une baisse de la tension artérielle
et à une diminution de la mortalité cardiovasculaire.
Le premier médecin à utiliser agressivement la vitamine C pour traiter la maladie fut Frederick R. Klenner, M.D., au début des années 1940. Le Dr Klenner a traité avec succès la varicelle, la
rougeole, les oreillons, le tétanos et la polio avec d’énormes doses de vitamine C.
Il a utilisé des doses massives de vitamine C pendant plus de 40 ans en médecine familiale. De nombreux praticiens qui pratiquent avec la vitamine C IV considèrent que le traitement est plus
efficace que n’importe quel vaccin jamais inventé.
La vitamine C joue un rôle antioxydant de premier plan dans l’espace intercellulaire entourant chaque cellule. Il a également la capacité de régénérer et d’optimiser d’autres antioxydants clés
tels que la vitamine E.
C’est une vitamine hydrosoluble scientifiquement connue sous le nom d’acide ascorbique (forme réduite). Son absorption est relativement efficace à 70-90% pour les faibles doses. Tout excès de
vitamine C qui n’est pas absorbé dans le tube digestif est excrété. Cela prévient le surdosage par ingestion orale.
Les humains sont l’une des rares espèces d’animaux qui ne sont pas capables de produire de la vitamine C. Nous comptons sur l’apport alimentaire pour maintenir nos réserves. De nombreuses
personnes ayant un faible apport alimentaire en fruits et légumes ont des niveaux sous-optimaux de vitamine C. En fait, il est souvent démontré que les patients atteints de cancer ont des niveaux
très bas de vitamine C.
Les preuves démontrent que la vitamine C est l’un des meilleurs agents antiviraux actuellement disponibles. La vitamine C peut neutraliser et éliminer un large éventail de toxines. La vitamine C
augmentera la résistance de l’hôte, augmentant considérablement la capacité du système immunitaire à neutraliser les infections bactériennes et fongiques.
Une étude publiée dans l’American Heart Journal a révélé que le risque d’insuffisance cardiaque augmentait avec la diminution de la vitamine C plasmatique ; chaque augmentation de 20 moles/L de
la concentration plasmatique de vitamine C était associée à une réduction relative de 9% du risque d’insuffisance cardiaque.
La vitamine C dans le traitement du cancer
Dans les années 1970, les docteurs Ewan Cameron, Nikolaas Campbell et Linus Pauling ont été les premiers à signaler l’utilisation de fortes doses de vitamine C pour traiter les patients en phase
terminale du cancer. Ils ont constaté que les traitements IV et oraux augmentaient le temps de survie par rapport aux patients qui n’avaient pas reçu de traitement.
Depuis les premières études de Cameron et Pauling, le mécanisme anticancéreux exact de la vitamine C a été étudié et clarifié.
Considérant les différentes fonctions de la vitamine C dans l’organisme humain, deux modes d’action distincts ont été identifiés en matière de cancer. En prévention, la vitamine C a des effets
antioxydants qui protègent la structure et les fonctions cellulaires clés.
Il prévient également la formation de composés cancérigènes dangereux. La dose pour obtenir un effet antioxydant est faible (moins de 2 grammes) et peut être obtenue par l’apport alimentaire ou
la supplémentation orale.
Le deuxième mécanisme d’action est en fait un effet pro-oxydant. Il est prouvé que les doses supérieures à 15 grammes ont un effet “pro-oxydant” en générant du peroxyde d’hydrogène, qui à son
tour détruit sélectivement les cellules cancéreuses.
De fortes doses de vitamine C sont administrées de préférence dans les régions entourant la tumeur parce que la molécule de vitamine ressemble à une molécule de sucre et que les cellules
cancéreuses ont une demande accrue de sucre pour alimenter leur croissance non régulée.
Lorsqu’elle se trouve à proximité des cellules, la molécule de vitamine C réagit avec un ion métallique comme le fer ou le cuivre et forme une molécule de peroxyde d’hydrogène qui endommage la
cellule cancéreuse.
Au-delà des effets pro- et antioxydants, il a été démontré que la vitamine C régularise la division cellulaire via la protéine p53 (essentielle au traitement et à la prévention du cancer),
améliore la réponse immunitaire et réduit la gravité de la cachexie (perte de poids due au cancer).
Une étude récente a également révélé que la vitamine C à forte dose réduisait les taux de protéines C-réactives et les cytokines pro-inflammatoires chez les patients cancéreux, ce qui a eu des
effets positifs sur les marqueurs tumoraux.
Linus Pauling, Ph.D., et Ewan Cameron, M.D., ont publié un rapport de cas portant sur une centaine de patients atteints d’un cancer en phase terminale qui avaient reçu des doses élevées de
vitamine C par voie IV et orale. Les patients ayant reçu ce traitement ont survécu en moyenne 300 jours de plus qu’un groupe témoin de patients ayant un état pathologique similaire, et 22 % de
ceux-ci ont vécu au-delà de un an, contre seulement 0,4 % dans le groupe témoin.
Sur la base de ces résultats, le Dr Pauling a convaincu le National Cancer Institute (NCI) d’évaluer ce traitement dans le cadre d’un essai clinique auprès de patients atteints d’un cancer
avancé. Mais lorsque les résultats ont été publiés, la vitamine C n’a montré aucune valeur thérapeutique.
Pourquoi ? Parce que plutôt que d’utiliser la vitamine C par voie intraveineuse et orale comme l’avaient fait les Drs Pauling et Cameron, le NCI a utilisé uniquement de la vitamine C par voie
orale. Bien sûr, l’étude a échoué – il est impossible d’atteindre les niveaux sanguins requis avec des doses orales.
L’organisme contrôle étroitement les niveaux de cette vitamine en limitant l’absorption intestinale. L’administration intraveineuse contourne ce mécanisme de contrôle et les concentrations
sanguines augmentent en fonction de la dose.
Par exemple, 10 g de vitamine C IV augmentent les concentrations sanguines 25 fois plus élevées que la même dose prise par voie orale, et ce chiffre peut être multiplié par 70 à mesure que les
doses augmentent. Néanmoins, l’étude imparfaite a donné aux médecins conventionnels une excuse pour éviter la vitamine C, et jusqu’à ce jour, ils la déterrent comme preuve que la vitamine C est
inefficace comme traitement contre le cancer.
Mark Levine, M.D., chercheur aux National Institutes of Health, a fait beaucoup de travail sur les mécanismes de la vitamine C dans le traitement du cancer. C’est l’équipe du Dr Levine qui a
découvert exactement comment la vitamine C tue le cancer.
La vitamine C interagit avec le fer et d’autres métaux dans le fluide extracellulaire (par opposition à l’intérieur des cellules) pour créer du peroxyde d’hydrogène. Le peroxyde d’hydrogène joue
un rôle vital de signalisation dans le système immunitaire, en acheminant les globules blancs vers les sites de blessure ou de maladie.
En concentrations élevées, il fait beaucoup plus. Le peroxyde d’hydrogène endommage l’ADN et les mitochondries des cellules aberrantes, coupe leur approvisionnement énergétique et les tue. Mieux
encore, contrairement à presque tous les médicaments de chimiothérapie conventionnels qui détruisent les cellules cancéreuses, il est sélectivement toxique. Quelle que soit la concentration, la
vitamine C ne nuit pas aux cellules saines.
Attentes, résultats et posologie
Quelle quantité de vitamine C est une dose thérapeutique efficace ? Le Dr Klenner a administré jusqu’à 300 000 mg par jour. En général, il administrait de 350 à 700 mg par kilogramme (2,2 livres)
de poids corporel par jour. Le Dr Klenner a souligné que les petites quantités ne fonctionnent pas.
La posologie et la voie d’administration de la vitamine C sont essentielles pour déterminer si elle a une action antitumorale directe ou une fonction antioxydante de soutien. Les niveaux
nécessaires pour obtenir des effets tumoricides directs sont d’au moins 200-1000 micromol/L. Pour atteindre ces niveaux plus élevés d’anticancéreux, des doses IV de 25 à 50 grammes sont
nécessaires. 50 grammes de vitamine C IV peuvent atteindre un taux plasmatique de plus de 14 000 micromol/L. La supplémentation orale est insuffisante en raison d’une absorption très limitée dans
le tube digestif.
Les taux plasmatiques de vitamine C atteignent leur maximum après 200 mg de suppléments oraux, et la dose orale maximale avant l’apparition de selles molles est d’environ 4 grammes. L’absorption
orale peut être augmentée si les doses sont fractionnées au cours de la journée, prises avec un repas ou dans une préparation à libération prolongée. Même en utilisant la même dose de 10 grammes,
l’administration intraveineuse a permis d’obtenir un taux plasmatique de vitamine C 50 à 150 fois plus élevé que la supplémentation orale.
Les taux de vitamine C (et de peroxyde d’hydrogène) atteignent leur maximum dans les 30 minutes suivant l’administration intraveineuse, puis reviennent à la normale dans les 24 heures. Cela rend
le traitement anticancéreux direct efficace pour une courte période de temps seulement et donc des traitements fréquents sont nécessaires.
L’avantage est que d’autres thérapies peuvent être utilisées peu de temps après la prise de vitamine C, sans crainte d’interactions. La plupart des oncologues intégrateurs recommandent des
traitements IV une ou deux fois par semaine, avec supplémentation orale tous les autres jours, pendant au moins 12 mois, avec des tests de laboratoire réguliers pour évaluer les marqueurs
tumoraux et leur progression.
Un certain nombre d’études de synthèse et d’études de cas réalisées par des médecins et des chercheurs spécialisés en cancérologie intégrative ont fait état d’une amélioration du temps de survie
au cancer et de la qualité de vie, voire d’une régression tumorale dans certains cas, après des traitements hebdomadaires à la vitamine C IV effectués régulièrement pendant 12 mois ou plus.
Il est également important de noter que la thérapie à la vitamine C peut ne pas fonctionner pour tout le monde et pour tous les types de cancer. Il est toujours recommandé de consulter votre
médecin naturopathe pour savoir si le traitement à la vitamine C vous convient.
Le président de l’association médicale de Tokyo appelle aujourd’hui de nouveau à utiliser l’ivermectine
contre la Covid-19 !
Le président de l’association médicale de Tokyo appelle aujourd’hui de nouveau à utiliser l’ivermectine contre la Covid-19 et d'étudier son efficacité avec le lancement de recherches scientifiques
sur l'efficacité de cette molécule prometteuse !
La première autopsie d'une personne décédée vaccinée contre le Covid révèle la présence de Protéines Spike dans
tous les organes du corps !
Des chercheurs allemands ont mené la toute première étude post-mortem au monde sur un cadavre qui, avant sa mort, avait été "vacciné" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Ils ont découvert que chaque organe du corps de la personne décédée avait été infesté par des Protéines Spike suite à la
vaccination.
Environ un mois avant sa mort, l'homme de 86 ans avait reçu sa première dose du vaccin antigrippal Fauci.
Il a ensuite été infecté par des germes chinois et a dû être transporté d'urgence dans un hôpital voisin pour y être
soigné.
Mais il était déjà trop tard.
Le corps de l'homme a été envahi par les Protéines Spike du vaccin Fauci qui ont dévoré ses organes vitaux et l'ont laissé pour
mort.
Selon les rapports, l'homme avait reçu un "vaccin ARN modifié par des nucléosides, BNT162b2, sous forme de nanoparticules
lipidiques, en dose de 30 µg".
"Ce jour-là et au cours des deux semaines suivantes, il n'a présenté aucun symptôme clinique", peut-on lire dans un article consacré à ce cas et publié dans l'International Journal of Infectious
Diseases.
"Le 18e jour, il a été admis à l'hôpital pour une diarrhée qui s'est aggravée.
Comme il ne présentait aucun signe clinique de COVID-19, l'isolement dans un cadre spécifique n'a pas eu lieu.
Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine.
Le test d'antigène et la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour le SRAS-CoV-2 se sont révélés négatifs."
Au 25e jour, l'homme a finalement été testé "positif" pour les germes chinois.
Il a fallu attendre le 25e jour pour que l'homme soit enfin testé "positif" à la grippe de Fauci.
Un jour plus tard, il est mort à l'hôpital d'une insuffisance rénale et respiratoire causée par le vaccin.
Les chercheurs ont découvert plus tard que le corps entier du patient avait été envahi par des charges élevées d'ARN viral, également connues sous le nom de protéines Spike induites par le
vaccin.
L'homme a clairement été tué par le vaccin.
"En résumé, les résultats de notre étude de cas autopsique chez un patient ayant reçu un vaccin à ARNm confirment l'opinion selon laquelle la première dose de vaccination contre le SRAS-CoV-2
peut déjà induire une immunogénicité, alors que l'immunité stérile n'est pas suffisamment développée", conclut l'étude.
S'il a été découvert que l'injection mortelle a bien déclenché une réponse immunitaire dans le corps de l'homme, elle n'a absolument rien fait pour arrêter la propagation du virus ou des
Protéines Spike qui ont provoqué la défaillance de ses organes.
Ce que tout cela montre, bien sûr, c'est que les vaccins Fauci font plus de mal que de bien - si tant est qu'ils fassent du bien.
Ils semblent également accélérer la propagation du virus chinois et des maladies qui lui sont associées.
C'est pourquoi nous exhortons nos lecteurs à dire simplement non aux injections de médicaments expérimentaux du gouvernement.
Il n'est tout simplement pas nécessaire que quelqu'un reçoive ces injections, à moins qu'il ne souhaite mourir, auquel cas
il existe des lignes d'aide au suicide pour le dissuader de s'ôter la vie avec les injections mortelles de Fauci.
"Malheureusement, après quelques mois, la vérité sera révélée, et ceux qui ont pris ces vaccins deviendront les parias de la société !" a écrit un commentateur sur
Infowars.
"Rappelez-vous, toute cette affaire de faux vaccins viole chaque article du Code de Nuremberg, que les États-Unis ont
adopté il y a des décennies."
"Ce qui est incroyable dans toute cette affaire, c'est que les inventeurs du médicament, ni les fabricants ne sont responsables de toute conséquence indésirable liée à leurs vaccins
Covid-19, car ils ont été créés dans le cadre d'une déclaration d'urgence et considérés comme immunisés contre toute irrégularité, parce que leur intention était de sauver
l'humanité", a noté un autre, suggérant que ce format consistant à pousser des médicaments mortels et sans responsabilité sur les masses fait partie de la "nouvelle
normalité".
"Cela vous semble familier ?
Habituez-vous-y, car l'intention couvre une multitude de péchés."
Rumble — Alerte ! Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d'oxyde de graphène dans les injections
Covid et leur létalité.
Karen Kingston, ancienne employée de Pfizer et actuelle analyste des industries pharmaceutiques et des dispositifs médicaux, présente les preuves et les documents démontrant le danger
indiscutable des injections Covid. Face aux preuves, La conclusion est claire : personne ne devrait se soumettre à ces injections.
Les Génocidaires, qui nous dirigent, ont fait fabriquer des Masques Diaboliques qui nous "vaccinent" à
petites doses tous les jours avec de l'Oxyde de Graphène associé à des Composés Volatiles !
Nous avons attendu longtemps les masques chirurgicaux, car les anciens stocks constitués du temps du Professeur Christian
Perronne, il y a plus de 10 ans, ont été brûlés car périmés !
En fait, s'ils avaient été bien stockés, le milliard de masque partis en fumée quelques mois avant la "pandémie", devaient
être utilisables sans problème !
Cette destruction, en fait, n'est pas innocente !
En effet, dans leurs plans pour réduire la population, ils voulaient mettre tous les atouts de leur côté pour tuer le
maximum de personnes, même les réfractaires aux vaccins !
Comme leur arme de destruction massive est l'oxyde de graphène, ils vont en mettre partout, dans les vaccins à hautes doses,
mais aussi dans les écouvillons des tests PCR qui vont aller déposer des oxydes de graphène au fond du nez, juste sous la membrane qui protège le cerveau, dans les masques
chirurgicaux qui apporteront les oxydes de graphène dans le nez et les voies respiratoires jusqu'aux poumons, dans les gels désinfectants, qui en dissolvant les graisses
protectrices de la peaux, permettant aux graphènes de pénétrer aussi, et certains auteurs parlent aussi de diffusion aériennes par des chemtrails ou par épandages avec des drones
!
Nous avons vu une vidéo de 2 femmes qui allaient déposer plainte, car elle avaient remarqué que le haut de leur nez était
devenu magnétique, permettant la fixation d'aimants des 2 côtés !
Les écouvillons allant beaucoup plus loin, ce magnétisme ne peut provenir que par l'air qui pénètre par le nez
!
Dans certaines professions, les personnes portent des masques toute la journée, en les changeant régulièrement toutes les 4
heures !
Certaines personnes peuvent utiliser jusqu'à 1000 masques par an !
Nous avons vu une vidéo où un expérimentateur à mesuré un dépassement du seuil d'alerte au toluène et au formaldéhyde en une
dizaine de secondes de d'inspirations et d'expirations !
Pourquoi un taux si important de ces composés classés comme Composés Organiques Volatiles (COV), et de plus classés comme
carcinogènes ?
Ces COV sont des molécules organiques dites aromatiques à 6 carbones, justement comme le Graphène qui a 6 carbones et une
forme hexagonale comme les substances aromatiques !
Le grahène n'étant pas volatile, il a besoin de substances volatiles comme les COV et leurs structures hexagonales
identiques à 6 carbones leurs donnent une affinité qui va leur permettre de s'associer et ainsi le graphène bénéficie d'un transporteur qui pénètre facilement jusqu'aux poumons où
les substances aromatiques ont la propriété de pénétrer facilement les membranes des cellules, tout comme l'oxygène et le gaz carbonique !
Une fois dans la circulation sanguine les oxydes de graphène, devenus magnétiques à la température du corps, vont attirer
les globules rouges chargés en fer et créer des mini-caillots qui boucheront les petits capillaires, réduisant la circulation sanguine des poumons et l'oxygénation du corps,
créant un milieu propice aux cellules cancéreuses qui peuvent être induites par les substances aromatiques inhalées !
Ainsi, l'obligation du port du masque en plein été, n'est pas anodine, car l'été, avec la chaleur et le soleil, les COV
deviennent très volatiles permettant un transport maximum des molécules de graphène vers les poumons !
Cette analyse explique le pourquoi de certaines décisions !
La destruction des anciens stocks de masques a été dictée par les élites
génocidaires car ils ne contenait pas d'oxyde de graphène !
Alors que de nombreux importateurs pouvaient fournir des masques en grandes quantités, il fut interdit d'en vendre, sans
doute parce que le Gouverne-Ment ne voulait pas de ces masques sans graphène et ils ne rentraient pas dans leurs plans de dépopulation !
Donc, il a fallu un certain temps pour modifier le processus de fabrication afin de pulvériser, sur la couche intérieure des
masques, un mélange d'oxyde de graphène de de COV aromatiques !
Cela aurait pu être plus rapide, mais la demande d'oxyde de graphène à explosé avec le développement de nombreux produits
sanitaires qui devaient être tous contaminés avec cette substance diabolique !
Les Régions qui ont réussis à avoir des masques avant l'état, ont vu leur cargaisons préemptées par les Préfets sur ordre
des Ministères !
Les Pharmaciens qui voulaient vendre des masques étaient passibles de poursuites et de fortes amendes !
Les professionnels de la santé étaient démunis devant ces pénuries !
Cela montre que nos Élites ne voulaient pas travailler mour notre bien et qu'il fallait suivre les plans et attendre les
Masques Diaboliques pour commencer à les distribuer !
D'ailleurs, ce qui est aussi bizarre, c'est le déploiement des forces armées spéciales lorsque ces précieux masques
arrivaient dans les aéroports, comme si c'était des cargaisons d'Or !
Comme pour la fausse épidémie H1N1, il était prévu au départ que ce soit l'armée qui vaccine toute la population, avant que
les directives soient éventées, ce qui a fait reculé le pouvoir qui a mis en place des vaccinodromes civils !
De même la décision d'utiliser des Test PCR avec des écouvillons qui pénètrent profondément dans les voies respiratoires,
n'a pas de sens, sauf si c'est de transporter de l'oxyde de graphène juste sous le cerveau et aussi de les utiliser pour créer de fausses statistiques de contamination en faisant
jusqu'à 50 cycles d'amplification pour avoir de nombreux cas positifs (jusqu'à 95% de faux positifs) alors que pour une utilisation fiable il ne faut pas dépasser 25 cycles, et
qu'il existait d'autres méthodes bien plus fiables, moins coûteuses et moins intrusives pour faire ces tests !
Et pour couronner le tout, mettre du graphène dans les gels hydro-alcooliques afin de contaminer le maximum de gens
!
Avec la peur d'un virus, jamais isolé et purifié, il y a des personnes qui vont se mettre ce
gel hydro-alcoolique plus de 10 fois par jour, détruisant la couche protectrice de la peau et contaminant les mains d'oxyde de
graphène, mains allant régulièrement sur le visage et près du nez !
Lorsque les personnes seront chargées au maximum d'oxyde de graphène avec les vaccins, les masques, les écouvillons, les
gels et peut-être des contaminations atmosphériques, l'activation du réseau 5G à l'automne va rendre encore plus actif et nocif l'oxyde de graphène qui sera encore plus
magnétique, développent des caillots bien plus importants qui seront fatals pour de nombreuses personnes très charges en ces molécules diaboliques !
Avant ces période fatidique pour beaucoup il est possible de se protéger un peu plus en mettant des masques en tissus bien
lavés (Il avait été envisagé de les interdire, car parait-il moins protecteur, justement pour nous obliger à utiliser leurs masques diaboliques !), en prenant régulièrement du
zinc qui peut neutraliser l'oxyde de graphène, du glutathion, de la suramine obtenue en faisant trois tisanes d'aiguilles de pin par jour, la vitamine C à hautes doses qui peut
aider à éliminer le graphène ainsi qu'avec la zéolite qui l'absorbe…
« Passe sanitaire » et « obligation » vaccinale contre la Covid-19 : La France méconnaîtrait-elle le « Règlement (UE) 2021/953 du Parlement européen et du Conseil du 14 juin 2021 » ?
En France, une soi-disant « loi »,
concernant lepasse
sanitaireet l’obligationvaccinale contre la Covid-19, aurait été votée par le parlement
français.
Le CTIAP (centre territorial d’information
indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet a déjà pu affirmer, à plusieurs reprises, que cette soi-disant « loi » heurte notre corpus juridique composé de
textes nationaux (français), régionaux (européens) et internationaux.
Avant sa promulgation (sa publication dans le Journal
Officiel de la République Française), cette soi-disant « loi » devrait être soumise au contrôle du Conseil constitutionnel.
En plus des textes qui ont déjà été rappelés par le
CTIAP dans ses précédentes analyses, il y a lieu d’informer le Conseil constitutionnel de l’existence d’un Règlement européen qui est d’application directe en France. Ce Règlement, qui
s’impose au Conseil constitutionnel, est ainsi intitulé :
« RÈGLEMENT (UE) 2021/953 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 14 juin 2021 relatif à un
cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE) afin de
faciliter la libre circulation pendant la pandémie de COVID-19. »
Dans son« Considérant »n°« 36 », notamment, ce Règlement indique :
« Il y a lieu d’empêcher toute
discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple, pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auquel le
vaccin contre la COVID-19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner
ou ne souhaitent pas le faire. Par conséquent, la possession d’un certificat de vaccination, ou la possession d’un certificat de vaccination mentionnant un vaccin contre la COVID-19, ne
devrait pas constituer une condition préalable à l’exercice du droit à la libre circulation ou à l’utilisation de services de transport de voyageurs transfrontaliers tels que les avions, les
trains, les autocars ou les transbordeurs ou tout autre moyen de transport. En outre, le présent règlement ne peut être interprété comme établissant un droit ou une obligation d’être
vacciné. »
Son « Considérant »n°« 14 »précise :
« Le présent règlement entend
faciliter l’application des principes de proportionnalité et de non-discrimination en ce qui concerne les restrictions à la libre circulation pendant la pandémie de COVID-19, tout en assurant un
niveau élevé de protection de la santé publique. Il ne devrait pas être interprété comme facilitant ou encourageant l’adoption de restrictions à la libre circulation ou de restrictions à d’autres
droits fondamentaux en réaction à la pandémie de COVID-19, étant donné leurs effets néfastes sur les citoyens et les entreprises de l’Union. (…). »
SonConsidérant »n°« 62 »mentionne :
« Le présent règlement respecte les
droits fondamentaux et observe les principes reconnus notamment par la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne (ci-après dénommée ʺCharteʺ), en particulier le droit au respect de la
vie privée et familiale, le droit à la protection des données à caractère personnel, le droit à l’égalité devant la loi et le droit à la non-discrimination, la liberté de circulation et le droit
à un recours effectif. Les États membres sont tenus de respecter la Charte lorsqu’ils mettent en œuvre le présent règlement. »
Ce Règlement européen est entré en vigueur le jour de
sa publication au Journal Officiel de l’Union Européenne : le 15 juin 2021. Il s’applique du 1er juillet 2021 au 30 juin 2022. Il« est obligatoire dans tous ses
éléments et directement applicable dans tout État membre ».
La soi-disant « loi », votée par le
parlement français, ne peut donc prospérer.
Par conséquent, tout employeur, toute autorité
constituée, ne peut ignorer une telle hiérarchie des normes ; sous peine de poursuites.
Informations complémentaires (non
exhaustives) :
Articledu CTIAP publié le 23 juillet 2021 :« Projet de loi « Passe sanitaire »
et « obligation » vaccinale contre la Covid-19. Réponse aux nombreux TÉMOIGNAGES (appels au secours) reçus : proposition de deux solutions d’urgence ».
Entretien (durée : 38min. 32s.) du samedi 24 juillet 2021 avec
le journalFranceSoir(publié le 25 juillet 2021) :« Passe sanitaire et obligation
vaccinale : deux solutions d’urgence, avec Amine Umlil ».
Articlepublié le 16 juillet 2021 parFranceSoir:« L’association BonSens avertit les parlementaires sur les conséquences d’un vote en
faveur de l’obligation vaccinale et du passe ».
Articledu CTIAP en date du 5 juillet 2021 :« Vaccins contre la Covid-19. Le consentement
libre et éclairé : « un frein à l’expérimentation médicale », « un obstacle à l’obligation vaccinale » (Par Philippe SÉGUR, Professeur de droit public à l’Université de
Perpignan) ».
ArticledeFranceSoiren date du 23 juillet 2021 :« Pourquoi la vaccination anti-covid viole
l’État de droit »(Par Philippe
SÉGUR, Professeur de droit public à l’Université).
« Voici une boite d’AstraZeneca de 10 doses contre le Covid-19… Sauf que la date de fabrication est antérieure à l’apparition de la maladie: 2018.07.15 (15 juillet 2018). »
Fabio Giuseppe Carlo Carisio Mondialisation.ca
jeu., 29 juil. 2021 05:37 UTC
Le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) des États-Unis, la plus haute autorité sanitaire du gouvernement américain pour le monitorage des maladies et en particulier des maladies
infectieuses, a lancé une alerte de la portée d'un missile nucléaire contre le mur de caoutchouc du récit international sur l'urgence causée par le virus SARS-Cov-2 (que de nombreuses recherches scientifiques croient maintenant créé en laboratoire).
« Après le 31 décembre 2021, le CDC retirera la demande d'Autorisation d'Utilisation d'Urgence (EUA) auprès de la Food and Drug Administration (FDA) du kit de diagnostic RT-PCR en temps réel du
nouveau coronavirus (2019-nCoV), le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SRAS-CoV-2 uniquement. Le CDC fournit cet avis préalable afin que les laboratoires
cliniques disposent de suffisamment de temps pour sélectionner et mettre en œuvre l'une des nombreuses alternatives autorisées par la FDA ».
Il s'agit de la « Lab Alert » lancée par la Division of Laboratory System (DLS), la section spécialisée du CDC (lien en bas de l'article). À elle seule, elle suffirait déjà à confirmer toutes les
enquêtes menées ces derniers mois sur les tests non fiables à 97%, comme l'affirment diverses recherches scientifiques et autorités judiciaires internationales.
Mais la communication officielle du CDC (organisme ramifié dans tous les États confédérés) énonce entre les lignes quelque chose de déjà choquant, anticipé par Gospa News déjà l'année
dernière : c'est le risque que les prélèvements nasopharyngés PCR, soumis à des cycles d'amplifications variables, ne puissent pas distinguer le Covid-19 d'une simple grippe.
« Visitez le site de la FDA pour obtenir la liste des méthodes de diagnostic autorisées pour le COVID-19. Pour un résumé de la performance des méthodes moléculaires autorisées par la
FDA avec un panel de référence de la FDA, visitez cette page », ajoute le CDC. « En préparation de ce changement, le CDC recommande aux laboratoires cliniques et aux sites d'essai qui utilisaient le test
RT-PCR de sélectionner et de commencer leur transition vers un autre test COVID-19 autorisé par la FDA. Le CDC encourage les laboratoires à envisager l'adoption d'une méthode multiplexée qui
puisse faciliter la détection et la différenciation des virus du SRAS-CoV-2 et de la grippe. De tels tests peuvent faciliter le dépistage continu de la grippe et du SRAS-CoV-2 et permettre
d'économiser du temps et des ressources à l'approche de la saison de la grippe. Les laboratoires et les sites d'essai doivent valider et vérifier l'essai qu'ils ont choisi dans leur
établissement avant de commencer les essais cliniques ».
La PCR en temps réel - également connue sous le nom de PCR quantitative, en abrégé qPCR - est une méthode qui amplifie (réaction en chaîne par polymérase ou PCR) et quantifie simultanément l'ADN,
similaire mais à ne pas confondre avec la méthode RT-PCR (Reverse Transcriptase -PCR). L'ADN est amplifié par des réactions en chaîne de l'ADN-polymérase. Après chaque cycle d'amplification,
l'ADN est quantifié. Les méthodes courantes de quantification comprennent l'utilisation de colorants fluorescents qui s'intercalent dans l'ADN double brin (ds) et d'oligonucléotides d'ADN
modifiés (appelés sondes) qui sont fluorescents lorsqu'ils sont hybridés avec un ADN. La PCR en temps réel est souvent combinée à la PCR rétro-transcriptionnelle (RT-PCR) pour quantifier les
niveaux d'expression d'ARN spécifiques : la rétro-transcription (ou transcription inverse) produit de l'ADN complémentaire simple brin appelé ADNc (ADN complémentaire) en maintenant inchangés les
rapports de concentration relatifs des différentes espèces d'ARN. De cette manière, il est possible, par exemple, de mesurer l'expression relative d'un gène à un moment donné, soit dans une
cellule, soit dans un type de tissu particulier. La combinaison de ces deux techniques est souvent appelée RT-PCR quantitative.
Pour la première fois dans l'histoire d'une pandémie, une autorité sanitaire gouvernementale admet ce qui est déjà soupçonné par de nombreux experts et journalistes d'investigation et rapporté
par Gospa News. Nous avons en effet été les premiers à rapporter un article de Russia Today qui, grâce à un journaliste aux spécialisations scientifiques, a signalé l'anomalie
et ce prétendu risque de confusion entre le Covid-19 et la grippe normale.
Une hypothèse indirectement confirmée également par l'un des principaux chercheurs italiens, le professoral Francesco Vaia, directeur de l'Institut national des Maladies infectieuses Lazzaro
Spallanzani à Rome. Il a été le premier à admettre
qu'ils attendaient des tests de diagnostic capables de distinguer le virus SARS-Cov-2 du rhume, comme le rapporte également notre média.
Le Dr Vaia lui-même a récemment atténué en partie l'alerte pour le variant Delta du Covid-19, confirmant, comme le montrent les très faibles hospitalisations et soins intensifs (environ 2% en
Italie), qu'il est très contagieux mais a une « symptomatologie
très faible ».
Alors que le variant Epsilon, identifié en Californie, a montré une incroyable
résistance aux vaccins de manière à corroborer les thèses de ces scientifiques qui pensent qu'il est causé précisément par les sérums anti-Covid car il est considéré comme dangereux de «
vacciner pendant une pandémie », comme le rapporte le biologiste Franco Trinca qui, citant d'éminents virologues internationaux, l'a défini comme une
pratique similaire à « une arme de destruction massive ». Des contradictions qui confirment que le virus SRAS-Cov-2 existe et peut aussi être très dangereux.
La communication sensationnelle du CDC est destinée à avoir de grandes répercussions dans le monde entier car elle contribue en fait à certifier qu'il n'y a aucune certitude sur le nombre de
personnes réellement infectées par le Covid-19 et sur le nombre de faux positifs, même si en réalité ce n'est pas nouveau.
Déjà le professeur Giorgio Palù, virologue académique en Italie et aux États-Unis, lorsqu'il s'est ouvertement prononcé contre la possibilité de nouveaux confinements en octobre 2020 (avant
d'être appelé par le gouvernement Conte à diriger l'Agence italienne du Médicament - AIFA) sur la base de deux éléments : les thérapies efficaces identifiées par les médecins (mais largement
ignorées par le Ministère de la Santé) et l'incertitude du résultat des prélèvements PCR variables selon le nombre de cycles d'amplification, capables de détecter la
présence de toute bactérie.
Après l'alerte lancée par le CDC, le scénario de la « pandémie » à partir de 2020 change diamétralement, surtout en Italie, où les gouvernements Conte et Draghi ont tous deux été soutenus par le Parti démocrate qui a eu de multiples intrigues avec les géants du vaccin depuis le secrétariat de Matteo Renzi dans le respect du plan mondial de vaccination voulu
par Barack Obama et Bill Gates.
Dans ce sombre tableau, les actions en justice entreprises par le magistrat Angelo Giorgianni prennent encore plus d'importance, il a porté plainte auprès de la Cour
pénale internationale de La Haye en qualifiant le confinement de crime « contre l'humanité ». Mais aussi les plaintes déposées par le
biologiste Franco Trinca, par l'avocat Alessandro Fusillo et par Marco Tiberti pour massacre d'État.
En effet le manque de fiabilité des prélèvements PCR, utilisés comme principale méthode de contrôle des infections par le virus SRAS-Cov-2, rend illégitime toute fermeture et restriction de
liberté tant en Italie que dans de nombreux autres pays de l'Union européenne.
D'autre part, le risque de confusion entre Covid-19 et grippe a rendu inadéquates les directives du Ministère de la
Santé sur l'attente vigilante et le paracétamol. Confirmant ainsi l'hypothèse, soutenue dans la dénonciation signée par Trinca, Fusillo et Tiberti, d'un massacre parmi ceux qui avaient
effectivement contracté le virus. Le SRAS-Cov-2, selon le bio-ingénieur Pierre Bricage, a en effet été élaboré avec la greffe de séquences de VIH de charge virale différente qui le rendent donc
peu, moyennement ou hautement létal.
Penser que tout cela a eu lieu sur la base des intrigues des politiciens démocrates italiens et américains avec Big Pharma pour vendre des vaccins dessine un horizon glacial, inhumain,
apocalyptique mais malheureusement de plus en plus confirmé par d'innombrables indices. Parmi lesquels s'ajoute maintenant le cas des tests PCR certifiés non fiables.
Ces dernières nouvelles représentent une gigantesque épée de Damoclès sur la ligne gouvernementale du premier ministre italien Mario Draghi qui - comme le président américain Joseph Biden
(financé par Pfizer), a « menacé » du risque de mort les
personnes non vaccinées - afin de justifier le Green Pass obligatoire dans de nombreux contextes de la vie sociale adopté ces derniers jours en Italie et
en France sur la base d'un contrôle des positifs au Covid basé en réalité sur de faux tests !