Pourquoi notre univers pourrait-il être un univers holographique ?
La théorie de l’univers holographique, est une hypothèse qui à première vue semble impossible. Mais l’idée que notre univers se comporte à l’image d’un hologramme, gagne en popularité au prêt de
la communauté scientifique.
À l’image de Nassim Harameim, qui a passé plus de 30 ans de sa vie à chercher et découvrir des relations entre la physique, les mathématiques, la biologie, la chimie et la mécanique quantique.
Ces études l’on conduit à des théories révolutionnaires. Ce scientifique autodidacte a réussi à compléter la théorie d’unification des champs d’Einstein, par des calculs prenant en compte
l’énergie du vide. Pour lui sa théorie prouve que l’infiniment petit et l’infiniment grand sont reliés.
De plus, Il a acquis la reconnaissance lorsqu’il a calculé de manière très précise, le rayon d’un proton en prenant en compte l’énergie du vide. Ces calculs aboutirent
à un rayon 4% plus petit que ce que les scientifiques classiques prédisaient. source: Scientific
Research
Cette théorie confirme également que nous existons dans un univers connecté, ou chaque point contient tout. Pour cet avant-gardiste, le moindre échange
d’informations dans la structure holographique de l’espace, produit notre expérience quotidienne de la réalité.
Nassim dirige actuellement la Fondation, « Resonance Science Foundation » s’adressant a des
auditoires du monde entier et poursuit ses recherches novatrices.
Le port obligatoire du masque à l’école et l’enseignement en alternance, deux mesures prises par le gouvernement autrichien au printemps afin de tenter d’endiguer la pandémie de
coronavirus, sont des dispositions « illégales », a estimé mercredi la Cour constitutionnelle.
« Pour faire face aux conséquences de la COVID-19 dans le système scolaire, un décret publié par le ministre de l’éducation en mai 2020 a ordonné que les classes soient divisées
en deux groupes et enseignées alternativement à l’école », a écrit la Cour dans un communiqué.
En Autriche, certains écoliers avaient cours le lundi et le mardi et les autres le mercredi, le jeudi et le vendredi seulement. Ils devaient rester à la maison le reste de la semaine.
« En outre, il a été décidé que toutes les personnes présentes dans le bâtiment scolaire, sauf pendant les heures de cours, devaient porter un dispositif de protection couvrant la
zone de la bouche et du nez », a-t-elle ajouté.
« Dans sa décision publiée aujourd’hui, la Cour constitutionnelle a jugé que les dispositions contestées étaient illégales », ont fait savoir les juges.
Deux enfants et leurs parents avaient fait appel devant la Cour constitutionnelle, faisant valoir que ces dispositions violaient le principe d’égalité, le droit à la vie privée et le
droit à l’éducation.
« Le ministre n’a pas pu expliquer de manière compréhensible pourquoi il considérait les mesures contestées comme nécessaires », a détaillé la Cour.
L’Autriche est gouvernée depuis janvier par une coalition entre les conservateurs et les écologistes. Le ministère de l’Éducation est occupé par les conservateurs du chancelier Sebastian
Kurz.
La plupart des gouvernements européens ont institué la fermeture de leurs économies, des restrictions à la liberté de
mouvement et d’autres politiques connues comme le confinement.
C’était prétendument une démarche afin de faire face à la propagation du Sars-Cov-2, un virus respiratoire originaire de
Wuhan en Chine.
Très peu de pays ont refusé cette approche; la Suède est le pays dont on a le plus entendu parler.
Cependant, un cas très intéressant concerne le contraste qui existe entre le récit officiel à l’international et la
Biélorussie par le biais de son chef Aleksandr Lukashenka. (Ndlr : Il avait dit qu'on lui avait proposé pas loin d'un million d'Euros pour suivre les ordres de
l'OMS, c'est à dire sans doute un confinement strict avec arrêt de l'économie, ce qu'il avait refusé, ce qui en a fait un vilain petit canard aux yeux de la pressetituée !)
Cet article décrira l’approche de Loukchenka face à la prétendue pandémie, suivi d’une analyse des chiffres des décès et de la manière dont le cas biélorusse expose les mensonges des
partisans du confinement.
L’approche biélorusse contre le Covid-19 :
La prétendue pandémie a éclaté en Europe en mars 2020, et la plupart des gouvernements européens ont suivi la stratégie stricte consistant à imposer des confinements.
La stratégie pour contenir le covid-19, de Loukachenka a été beaucoup souple.
Un communiqué de presse biélorusse du 25 mars parle des quarantaines mises en place pour les personnes qui entrent en
Biélorussie :
Des stations de quarantaine ont été installées à tous les lieux d’entrée dans le pays.
Les mesures de dépistage comprennent des contrôles de température.
Ce système de contrôle fonctionne vraiment très bien, a noté le ministre de la santé, Vladimir
Karanik.
Cela a aidé à identifier les symptômes d’une infection virale chez plus de 250 personnes, mais la majorité absolue d’entre
elles avaient la grippe, la parainfluenza et l’adénovirus.
Si une personne est testée positive au coronavirus, les agents de santé mettent leurs contacts sous surveillance
médicale.
"Une telle approche ciblée aide à freiner la propagation du virus", a déclaré le ministre.
Loukachenka a également préconisé de rester à la maison s’il on présente des symptômes du virus.
covid le point en shéma et vidéo de scientifiques de part le monde entier :
Le monde continue de vivre dans les conditions médiatiques d’une hystérie permanente face à l’épidémie de COVID-19, certaines sources suggérant même qu’une deuxième vague de propagation
du coronavirus est attendue à l’automne. Dans le même temps, de plus en plus de faits apparaissent suggérant que l’hystérie médiatique sur la situation actuelle n’est pas basée sur des faits, ou
même qu’elle est créée artificiellement. Alors que le coronavirus est un facteur important influençant la situation dans le monde, la menace de l’épidémie semble être considérablement
surestimée.
30 experts de la santé nous informent sur le vaccin anti-COVID-19 — Demandez aux experts (vaccin COVID-19) – désormais interdit sur YouTube et Facebook
30 experts de la santé nous informent sur le vaccin anti-COVID-19 — Demandez aux experts (vaccin COVID-19) – désormais interdit sur YouTube et Facebook
Cliquez sur l’écran ci-dessous pour voir : d’importants témoignages de médecins censurés par Youtube et Facebook. Les opinions d’éminents scientifiques qui remettent en question le verrouillage,
le masque facial ou la distanciation sociale sont « prises en compte » par Google :
« YouTube n’autorise pas les contenus qui diffusent des informations médicales erronées contredisant les informations médicales de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ou des
autorités sanitaires locales sur la COVID-19, notamment sur les méthodes de prévention, de traitement ou de diagnostic de la COVID-19, et les moyens de transmission
de COVID-19″. (c’est nous qui soulignons)
Ils appellent cela la « vérification des faits ». De même, Twitter a confirmé qu’il « supprimera tous les messages qui semblent indiquer qu’il y a des « effets négatifs ou des effets de la
vaccination »… Twitter le fera : « supprimera tous les messages qui « invoquent une conspiration délibérée » ou « avancent des récits nuisibles, faux ou trompeurs » sur les vaccins.
La grippe qui cause la fin du monde… peut s'arrêter demain
Le Docteur Roger Hodkinson est l'ancien président de la commission COVID du Collège Royal des Médecins et Chirurgiens d'Ottawa.
Il a été PDG d'un grand laboratoire médical à Edmonton, dans l'Alberta et a occupé durant 20 ans le poste de président d'une société de biotechnologie médicale en Caroline du Nord,
laquelle vend actuellement un test de COVID-19.
Il est aussi spécialisé en pathologie, virologie et a été formé à l'Université de Cambridge, au Royaume-Uni.
Le déclaration que vous entendez dans cette vidéo a été faite lors d'une réunion de la Commission des Services au Public et à la Communauté, le 13 novembre 2020.
Le docteur Roger Hodkinson s'adresse ici au Président de la Commission, Aaron Paquette.
Voici une transcription, avec une traduction légèrement corrigée, de la vidéo :
"Monsieur le Président, je suis le Dr. Hodkinson. Je veux juste vous faire savoir que je suis prêt.
— Oh, d'accord. Nous serions ravis de vous entendre. La parole est à vous.
— Merci beaucoup. J'apprécie d'avoir l'opportunité de m'adresser à vous sur cette grave question. Ce que je vais dire sera dans un langage profane et direct. Cela va à l'encontre
du discours habituel. Et par conséquent, pour que vous ne pensiez pas immédiatement que je suis un charlatan, je vais brièvement résumer mes références, afin que vous puissiez
comprendre mes origines et la base de mes connaissances en la matière.
Je suis médecin en pathologie, ce qui inclut la virologie. J'ai été formé à l'Université de Cambridge, au Royaume-Uni. Je suis l'ex-président du Département de pathologie de
l'Association Médicale.
Auparavant, j'étais professeur adjoint à la Faculté de médecine où j'ai longuement enseigné. J'ai été président du Collège Royal des médecins du Comité d'Examen des Pathologies, à
Ottawa.
Mais de façon plus pertinente, je suis actuellement le président d'une société de biotechnologie en Caroline du Nord, laquelle vend un test pour le COVID-19, et je pense que vous
pourriez dire que j'ai quelques connaissances dans ce domaine.
Il faut se rendre à l'évidence : il existe une hystérie du public totalement dépourvue de fondement, provoquée par les médias et les politiciens.
C'est scandaleux ! C'est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance.
Il n'y a absolument rien qui puisse être fait pour contenir ce virus, à part protéger les personnes âgées plus vulnérables.
Cela ne devrait pas être pris pour autre chose qu'une mauvaise grippe saisonnière. Ce n'est pas ebola. Ce n'est pas le SARS. C'est la politique qui joue au docteur. Et
c'est un jeu très dangereux.
Aucune action d'aucune sorte n'est nécessaire, autre que celles effectuées l'année dernière, quand on ne s'est pas senti bien. Nous sommes restés à la maison, nous avons pris de la
soupe de poulet vermicelles, nous n'avons pas rendu visite à grand-mère et nous avons décidé nous-mêmes quand nous retournerions au travail. Nous n'avons pas eu besoin que qui que ce
soit nous le dise.
Les masques sont complètement inutiles. Il n'y a aucune preuve de leur quelconque efficacité. Les masques de papier et de tissu sont simplement des symboles de vertu. Ils ne sont même
pas portés efficacement, la plupart du temps. C'est complètement ridicule de voir ces malheureuses gens, sans instruction, et je ne dis pas ça dans un sens péjoratif – de voir
ces gens qui vont et viennent comme des lemmings, obéissant sans la moindre base de connaissance pour mettre ce masque sur leur visage.
La distanciation sociale est tout aussi inutile, parce que le COVID est répandu par des aérosols qui voyagent sur une distance de 30 mètres avant de se déposer.
Les confinements ont eu des conséquences inattendues si terribles. Tous les lieux devraient rouvrir demain, comme il était indiqué dans la Déclaration de Great Barrington, que j'ai diffusée avant cette réunion.
Et un mot sur les tests. Je tiens à insister sur le fait que je travaille dans le domaine des tests pour le COVID. J'insiste sur le fait que des résultats de test positifs ne
signifient PAS (souligné en rouge) une infection clinique. Cela ne fait que provoquer une hystérie généralisée et tous les tests devraient être arrêtés. À moins que vous vous
présentiez à l'hôpital avec des problèmes respiratoires.
(passage absent de la vidéo, mais présent dans la transcription anglaise)
Tout ce qui devrait être fait devrait l'être pour protéger les personnes vulnérables et leur donner, dans tous les établissements infirmiers qui sont sous votre contrôle, donnez-leur
à tous 5000 unités internationales de Vitamine D chaque jour, qui s'est avéré réduire radicalement les risques d'infection.
Je voudrais vous rappeler que selon les statistiques de la province, les risques de décès pour les personnes de moins de 65 ans, dans cette province, sont de 1/300 000 !
Vous devez intégrer ça.
L'ampleur de la réponse que vous entreprenez sans aucune preuve à l'appui est complètement ridicule, étant données les conséquences des actions que vous proposez. Toutes sortes de
suicides, fermetures d'entreprises, funérailles, mariages, etc. c'est tout simplement scandaleux.
C'est juste une autre mauvaise grippe et vous devez vous rentrer ça dans le crâne. Laissez les gens décider par eux-mêmes. Vous devriez vous retirer complètement du domaine de la
médecine. Vous êtes en train d'être menés en bateau par le responsable sanitaire en chef de cette province.
Je suis absolument scandalisé que cela ait été aussi loin. Tout cela devrait s'arrêter demain.
Lettre du professeur Christian Perronne à la France et au monde
Chers amis,
La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille. Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la
démocratie.
En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les
incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d'être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui
critiquent ou challengent la pensée unique. Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n'ayant jamais changé depuis le début de l'épidémie. Je considère donc qu'il
est de ma responsabilité de m'exprimer à nouveau ce jour sur l'ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l'élément central et quasiment unique de
la politique de santé de l'Etat.
Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l'épidémie, pire que la première. Le Ministre de
la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l'Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l'Institut Pasteur nous
ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés. Même le Président de la République, lors d'une
allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de
Pasteur. Ces chiffres irréalistes n'avaient qu'un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l'usage généralisé des masques en population générale n'a
aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l'épidémie de SARS-CoV-2. L'utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et
les soignants au contact.
Or l'épidémie régresse et n'a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d'un rebond épidémique saisonnier qui s'observe avec certains virus, une
fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l'adaptation du virus à l'homme et est aussi le reflet de l'immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège
naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c'est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait
commencé avant même sa mise en place. La régression de l'épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l'instauration du couvre-feu.
Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d'un diabète sévère, d'hypertension artérielle grave, de
maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister
et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l'hydroxychloroquine et l'azithromycine dont l'efficacité et l'innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement
précocement.
Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques
inutiles reste incompréhensible.
Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l'intérêt d'un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette
vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.
Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l'évaluation de ces produits se sont faites à
la va-vite et qu'aucun résultat de l'efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n'a été publié à ce jour. Nous n'avons eu le droit qu'à des communiqués de presse des industriels fabricants,
permettant de faire flamber leurs actions en bourse.
Le pire est que les premiers « vaccins » qu'on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication
d'éléments du virus par nos propres cellules. On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c'est une première chez l'homme. Et si les cellules de certains « vaccinés »
fabriquaient trop d'éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l'ADN.
Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l'ADN vers l'ARN, mais l'inverse est possible dans certaines circonstances, d'autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des
temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l'ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus
du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l'envers, de l'ARN vers l'ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par
injection pourrait coder pour de l'ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s'intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la
possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces
thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. Nous ne voulons pas devenir,
comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d'un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours
qu'il espérait un effet de protection individuelle, mais qu'il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l'épidémie. C'est bien là un aveu
déguisé qu'il ne s'agit pas d'un vaccin. Un comble.
Je suis d'autant plus horrifié que j'ai toujours été en faveur des vaccins et que j'ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd'hui, il faut dire stop à
ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.
La science, l'éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.
La circulaire qui prouve les intentionscriminelles
dugouvernement
Transcription:
"En coordination et sous l'autorité du
Haut-Commissaire au Plan, il est demandé aux préfets et aux autorités locales en charge de la gestion de la crise, d'accorder une attention particulière aux mouvements
sociaux susceptibles de manifester contre le confinement.
Le Conseil de Défense ayant statué pour un troisième
confinement au 12/03/2021, un climat contestataire ne saurait être
admis avant le déconfinement du printemps 2021, sans quoi, la campagne de vaccination massive ne pourra susciter un consentement populaire.
Le Ministère de l'Intérieur, le Haut-Commissariat au Plan ainsi que le Service central du renseignement
territorial attendent que leur soient transmis des rapports quotidiens suivant la norme 584P."
Commentaire:
La qualité du scan n'est malheureusement pas très bonne mais suffisante, toutefois, pour se rendre compte que, en provenance du Ministère de
l'Intérieur, "Direction Générale de la Sécurité Civile et de la Gestion des Crises" (malheureusement, l'on ne dispose présentement pas de
la deuxième page, où se trouve probablement la signature), à la date du 10/11/2020:
- Un reconfinement est déjà annoncé, en tant que décision unilatérale du "conseil de défense", et ce de façon complètement déconnectée de l'évolution réelle de l'épidémie, (imprévisible à
plus de quinze jours) pour le 12 mars 2021.
- "Un climat contestataire ne saurait être admis avant le
déconfinement du Printemps 2021, sans quoi la campagne de vaccination massive ne pourra pas
susciter un "consentement populaire"(sic!!!)"!!!
- Les préfets sont chargés de fliquer la
population par des rapports quotidiens.
Le but est donc clairement - sans aucune relation avec l'épidémie (en dehors de la boule de cristal, comment savoir ce qu'il en
sera à ce moment-là, dans plusieurs mois?) - d'enfermer la population à domicilede sorte à éviter
qu'elle descende dans la rue pour contester la dictature du "conseil de
défense" (défense contre quoi ou contre qui, on aimerait bien le savoir!)
Le comble de l'ignominie est d'oser parler d'un "consentement populaire" (sic!!!) à des mesures complètementdictatoriales.
Cela montre bien que la volonté du peuple ils s'en moquent éperdument, ils veulent juste obtenir un "consentement" à leur dictature vaccinale et sanitaire. Autrement dit, que leur
opération d'assassinat ou
de mutilation de la population ne rencontre pas d'opposition et se passe ... "dans le calme"!
ALERTE : Le gouvernement fait voter en procédure accélérée la pérennisation de l’état d’urgence sanitaire et permet de
transformer les non vaccinés en citoyens de seconde zone
+++22/12 - LE "MONSIEUR CORONA" ALLEMAND,
LE VIROLOGUE CHRISTIAN DROSTEN,
VA DEVOIR RÉPONDRE DEVANT LA JUSTICE
DES PRÉMISSES FAUSSÉS DE LA GESTION DE CRISE.
Il est poursuivi par
l'avocat Reiner Fuellmich. Une nouvelle fois, il faut parler des tests PCR que les dirigeants, mais aussi les préfets, les patrons, les directeurs d’école continuent à imposer comme s’ils
signifiaient quelque chose.Les pires sont les citoyens lambda qui courent se faire tester pour se « rassurer ». De quoi
ont-ils peur ? Les virus sont des milliards autour de nous et manifestement ce coronavirus n’est pas pire que les autres (mortalité globale comparable aux années précédentes et
mortalité spécifique inférieure à celle de la grippe asiatique).
Il faut vraiment ouvrir les yeux et rappeler tous les mensonges qui nous ont conduit à la situation catastrophique
actuelle.La responsabilité des décideurs et de certains de leurs conseillers est engagée et les
problèmes actuels de C.Drosten leur ouvriront peut-être les yeux.
La plainte engagée contre le conseiller de Merkel résume toutes les fausses informations mondiales [1] Ça chauffe pour Christian Drosten, le biologiste favori de Mme Merkel et grand ordonnateur des tests PCR frelatés dans le monde
et en conséquence, des mesures liberticides, confinement, masques, fermetures des commerces, écoles, universités etc., bref, de la ruine des pays occidentaux soumis aux recommandations de l’OMS
et imposées par une majorité des gouvernants des pays riches.
Lettre d’injonction de réparation Le 15 décembre 2020, l’avocat Reiner Fuellmich, dont la plainte du 23 novembre centrée sur la
fraude des tests PCR, a été largement médiatisée,[2][3] diffuse une missive au Prof. Dr. Christian Drosten, en faveur de son client de Green Mango GmbH, patron d’un bar avec karaoké, représentée par Nils
Roth. Cette lettre longue de 18 pages de l’avocat Fuellmich défendant les intérêts de son client, expose au dr Drosten les dommages
que ce dernier lui a fait subir, et lui fait l’injonction forte de les réparer avant le 22 décembre, faute de quoi se profilera un procès pénal.[4] Mon client « a subi et subit encore des dommages considérables en raison des mesures manifestement disproportionnées imposées sans aucune base factuelle pour contenir la pandémie de
COVID-19 ». Démonstration de la cause des dommages du patron de bar allemand en grandes difficultés par l’avocat. Vous avez conseillé les politiques et affirmé des FAITS FAUX. "Vous êtes personnellement responsable de ces dommages parce que vous, en tant que l'une des personnes qui ont été impliquées dans le conseil
politique de manière significative et décisive, avez intentionnellement affirmé et
maintenez toujours des faits faux et - de même délibérément – caché des faits essentiels". La lettre détaille ensuite les points étayant la désinformation dont C Drosten est personnellement responsable et qu’il devrait
retirer officiellement avant le 22 décembre. Résumons ici les principaux arguments illustrés dans le texte de Reiner Fuellmich, par de nombreuses références bibliographiques disponibles sur
PUBMED.
HYPOTHESES DE BASE DE LA POLITIQUE ANTICORONAVIRUS FAUSSES Les hypothèses de base de la politique du coronavirus en Allemagne (qui seront suivies via l’OMS dans le monde et donc en
France) sont basées sur des hypothèses fausses qui ont conduit à des mesures drastiques injustifiées.
1. La première fausse affirmation : pas d'immunité de base "La thèse selon laquelle il s'agit d'un agent pathogène complètement nouveau devrait être confirmée si l'on voulait affirmer que personne n'est à
l'abri du virus.
Il y a
plusieurs mois, l'alliance terrestre a reçu un téléchargement akashique critique des forces de la lumière qui contenait des détails sur un alignement céleste majeur qui signalerait le
moment tant attendu de la libération complète de la planète Terre et de la grande ascension évolutive de l'humanité. En ce jour, nous vous présentons un grand message d'espoir, de liberté
et d'encouragement qui vient directement des Pléiadiens.
Le 4
avril 2020 a commencé un alignement céleste très important et rare où Pluton et Jupiter se
rejoignent.
Les
puissants effets de cet alignement cosmique seront ressentis jusqu'au solstice du 21 décembre 2020 qui est le point exact sur la ligne de temps de l'ascension de la planète Terre lorsque
le nouvel âge d'or du Verseau commence.
Le
soleil central (Sgr-A), situé dans le noyau galactique, au centre de la galaxie de la Voie Lactée, dans la constellation du Sagittaire, a montré au début de l’année 2020, une activité
accrue due à des éjections de masse cycliques dans le trou noir du noyau
galactique.
Ces
éjections du soleil central font exploser ce système solaire avec des particules de haute fréquence. La lumière du plasma de photons gamma qui a été mesurée par la résonance de Schumann
de la Terre est dans la gamme des 40-100 hertz.
L'état
de conscience gamma, c’est-à-dire celui de la félicité et des capacités surhumaines, résonne entre 40 et 100
hertz.
La
limite inférieure de la 5ème dimension commence à exactement 40 hertz et la limite supérieure se
termine
Le rassemblement méditatif concret ou par la pensée d’un nombre élevé d'êtres humains du monde entier permet l'élimination des énergies nocives de la
surface de la Terre et permet d’élever la vibration de tout le royaume de la Terre à des niveaux
élevés.
La méditation, le recueil, l’introspection, le temps de silence expérimentés par les humains, permet une connexion aux énergies massives qui circulent
depuis 2020, et permet à la nouvelle Terre de s’instaurer.
Les Pléiadiens ont déclaré que "d'ici la fin de l'année terrestre 2020, après le grand flash solaire, la vie sur Terre sera totalement changée de la
manière la plus profonde et la plus positive".
D'ici le 21 décembre 2020, l'humanité n'aura plus la mémoire des choses de basses vibrations et aura achevé avec succès son évolution dans la 5ème
dimension.
La date du 21/12/2020 est connue comme le point culminant du grand événement, le véritable "âge
du
CES VACCINS VONT STERILISER VOS ENFANTS A VIE en plus de leur changer leur ADN ALORS REFLECHISSEZ BIEN AVANT DE VOUS ENGAGER POUR EUX AVEZ VOUS LE DROIT DE FAIRE CELA
?????????????????????????????????????
NON EVIDEMMENT !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!VOUS NE DISPOSEZ PAS DE LEUR VIE.
L’ancien directeur de la recherche en pneumologie du labo Pfizer demande un arrêt immédiat des études sur le vaccin pour raison de sécurité… Sait-il quelque chose qu’on ne dit pas sur la
stérilisation par exemple ?
Dépeuplement ? Les docteurs Wordarg et Yeadon demandent l’arrêt immédiat de toutes les études sur le vaccin COVID-19 qu’ils considèrent dangereuses [pour les personnes servant de
cobayes]
Le 1er décembre 2020, l’ancien directeur de la recherche en pneumologie de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, et le pneumologue et ancien directeur du département de santé publique, le Dr Wolfgang
Wodarg, ont déposé une demande auprès
de l’Agence européenne des médicaments — responsable de l’approbation des médicaments à l’échelle de
l’Union européenne — pour la suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin Sras-CoV-2, et en particulier l’étude BioNtech/Pfizer sur le BNT162b (numéro EudraCT
2020-002641-42).
répondre aux importantes préoccupations en matière d’innocuité, préoccupations exprimées par un nombre croissant de scientifiques de renom à l’encontre du vaccin et du protocole
d’étude.
Les pétitionnaires demandent d’une part qu’un séquençage dit de Sanger soit utilisé en raison du manque patent d’études sérieuses quant au test PCR. C’est la seule façon de faire des déclarations
fiables sur l’efficacité d’un vaccin anti-Covid-19. Sur la base des nombreux tests PCR de qualité très variable, ni le risque de maladie ni l’éventuel bénéfice d’un vaccin ne peuvent être
déterminés avec une certitude suffisante, et c’est la raison pour laquelle les tests du vaccin sur des humains sont en soi contraires à l’éthique.
En outre, ils exigent qu’il soit exclu, par exemple au moyen d’expérimentations animales, que des risques déjà connus par des études antérieures — qui proviennent en partie de la nature des
coronavirus — puissent se concrétiser. Les préoccupations portent en particulier sur les points suivants :
La formation d’anticorps dits « non neutralisants » peut entraîner une réaction immunitaire exagérée, surtout lorsque la personne testée est confrontée après la vaccination au vrai virus «
naturel ». Cette amplification dite aggravation dépendante des anticorps, l’ADE, est depuis longtemps connue grâce à des expériences avec des vaccins anti-coronavirus chez les chats, par
exemple. Au cours de ces études, tous les chats qui avaient initialement bien toléré la vaccination sont morts après avoir attrapé le virus « naturel ».
On s’attend à ce que les vaccins produisent des anticorps contre les protéines Spike du Sras-CoV-2. Cependant, ces protéines Spike contiennent également des protéines analogues à la
syncytine, qui sont essentielles pour la formation du placenta chez les mammifères tels que l’homme. Il faut absolument exclure qu’un vaccin contre le Sras-CoV-2 puisse déclencher une réaction
immunitaire contre la syncytine-1, sous peine de provoquer une stérilité de durée indéterminée chez les femmes vaccinées.
Les vaccins à ARNm de BioNTech/Pfizer contiennent du polyéthylène glycol (PEG). Il se trouve que 70 % des personnes développent des anticorps contre cette substance — cela signifie que de
nombreuses personnes peuvent, suite à cette vaccination, développer des réactions allergiques, potentiellement mortelles.
La durée beaucoup trop courte de l’étude ne permet pas une estimation réaliste des effets sur le long terme. Comme dans les cas de narcolepsie après la vaccination contre la grippe
porcine, des millions de personnes en bonne santé seraient exposées à un risque inacceptable si une autorisation d’urgence était accordée et que la possibilité d’observer les effets sur le
long terme de la vaccination ne devait qu’advenir ensuite. Néanmoins, BioNTech/Pfizer a apparemment soumis une demande d’approbation d’urgence le 1er décembre 2020.
APPEL À L’AIDE : Wodarg et Yeadon demandent au plus grand nombre possible de citoyens européens de cosigner leur pétition en
envoyant à l’Agence européenne des médicaments le mail préparé ICI.
Source de l’article initialement publié en anglais le 1er décembre2020 : 2020news.de
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Additif de M.K Scarlett de Sott.net
Considérons la possibilité que ce « vaccin » anti-Covid — notamment celui de BioNTech/Pfizer, mais ce n’est peut-être pas le seul, les données sont à ce jour trop partielles — cache une
volonté de dépopulation…
Tout d’abord, après quelques recherches, il s’avère que, selon cette étude publiée en avril 2014 sur le Journal of Assisted Reproduction and Genetics,la syncytine-1 est également présente dans le sperme. Ce ne serait donc pas
seulement les femmes qui seraient stérilisées, mais aussi les hommes.
EN PLUS de supprimer toute responsabilité qui pourraient incomber aux fabricants de vaccins, il est fait usage de tests PCR largement considérés comme inadéquats. En outre, ils exercent une forte
pression sur les populations pour les inciter à se faire vacciner.
Pourquoi ?
S’agirait-il — sous couvert de lutter contre un coronavirus — de concrétiser ce qui est gravé sur les Guidestones en Géorgie ?
Il n’existe à ce jour aucune données sur l’efficacité du vaccin chez les enfants et les femmes enceintes. Et pour
cause, ces deux catégories n’ont pas participé aux essais. Pas encore… Le 2 décembre, Selon l’article de Nature
du 3 décembre, Moderna a dévoilé ses plans pour tester son vaccin chez les enfants.
La Grande-Bretagne est le premier pays à avoir autorisé l’usage du vaccin contre le Covid-19 mis au point par Pfizer et BioNtech, et son gouvernement précise que ce vaccin n’est pas destiné aux femmes enceintes ou aux femmes « qui prévoient de tomber enceintes » :
« Il n’existe pas encore de données sur l’innocuité des vaccins Covid-19 pendant la grossesse, qu’elles proviennent d’études sur l’homme ou sur l’animal. Étant donné le manque de preuves,
la JCVI privilégie une approche de précaution et ne conseille pas actuellement la vaccination Covid-19 pendant la grossesse.
Il convient de conseiller aux femmes de ne pas se présenter pour la vaccination si elles sont enceintes ou prévoient de l’être dans les trois mois suivant la première dose.
Des données sont attendues qui alimenteront les discussions sur la vaccination pendant la grossesse. Le JCVI les examinera dès qu’elles seront disponibles. »
Donc, et selon Wodarg et Yeadon, dans le cadre d’une grossesse existante, le vaccin composé de syncytine-1 attaquerait le placenta et provoquerait rapidement une fausse couche. Des vaccins de
l’OMS/Gates ont déjà produit ces effets aux femmes d’Amérique latine : « Quand Bill Gates stérilisait des millions de femmes à coups de seringue ».
Pourquoi ne veulent-ils pas — à ce stade — que les femmes enceintes soient vaccinées ? Il peut bien sûr exister tout un tas de bonnes raisons de ne pas le faire, et d’ailleurs, les femmes
enceintes ne font en général pas partie des essais vaccinaux. Toutefois, est-il possible que ce soit parce que les fausses couches se produiraient tellement rapidement qu’il pourrait devenir
par trop évident que le « vaccin » en serait la cause ? Le fait de ne pas vouloir — au début — inclure dans leurs programmes de vaccination des femmes qui sont enceintes ou veulent tomber
enceintes leur permettrait-il d’enterrer la vérité sur les effets réels du vaccin, suffisamment longtemps pour que la majorité de la population l’accepte?
Beaucoup de questions, mais peu de réponses. À ce stade, on ne peut que conjecturer en prenant en compte notre connaissance des desiderata d’une élite mondialiste psychopathe.
Pour rappel, les produits qu’on veut nous injecter à tout prix ne sont pas des vaccins mais des thérapies géniques… Contre une fausse
pandémie, inventée de toutes pièces. OD
Photo AFP/Thomas Samson
On ne peut pas trouver plus ironique que cela.
Pour copier les Anglais (et les Américains), la France devait nommer un “monsieur vaccin“.
Un énarque avait été pressenti [voir ici]. Mais le type ne semblait pas très casher. Et on mesure une fois de plus la confusion mentale qui règne au sommet de l’état.. un énarque pour… des vaccins ?
C’est comme demander à un charcutier de piloter un Boeing 747 ; c’est possible mais ça peut provoquer des dégâts.
Alors, zou, ils ont choisi un médecin. Et vieux, c’est encore mieux.
Une personne âgée comme on dit maintenant, c’est rassurant.
Alain Fischer, 71 ans, directeur de recherche à l’Inserm et de l’institut des maladies génétiques Imagine. (source Le Figaro)
En 2016 Marisol Touraine lui avait demandé de plancher sur la “défiance” croissante des Français face aux vaccins.
L’immunologue préconisait alors de rendre gratuits et obligatoires certains vaccins supplémentaires pour les enfants de moins de deux ans, des vaccins qui
n’étaient jusqu’alors que seulement recommandés.
On sent déjà le mec motivé.
Tu te méfies des vaccins ? Tiens je t’en refile 2 nouveaux ! Et obligatoires.
Mais là où on touche au sublime c’est quand il s’exprime aujourd’hui au sujet du couillonavirus.
Fischer a également dit souhaiter mettre à contribution les chercheurs «spécialistes de l’hésitation vaccinale [la réticence à se faire vacciner, NDLR]» qui sont
«susceptibles d’apporter des propositions sur la meilleure façon de communiquer et par ailleurs de faciliter la vaccination».
Voilà. Nous sommes donc rassurés. Le gouvernement va embaucher des spécialistes… afin de s’occuper de notre “hésitation vaccinale“…
Plainte contre l'Institut Pasteur pour crime contre l'humanité
Pour ceux qui ne l'ont pas encore vue, la vidéo antérieure dont parle Frédéric Chaumont est COVID-19, LA SOLUTION FINALE 2.
Vous trouverez aussi, dans l'article du blog du 20 août 2020, les liens vers les documents scientifiques qui expliquent les aspects techniques dont parlent ces médecins.
Le niveau d'expertise en virologie et génétique de ces scientifiques dépasse très largement la capacité de compréhension du commun des mortels, et même celle des singes savants
surpayés qui s'agitent à la télévision pour convaincre la population de se soumettre à des rituels auxquels, en réalité, elle ne comprend rien : masque, gel, confinement,
distanciation antisociale, vaccins.
Ce n'est pas grave, on ne demande pas aux moutons qu'on mène à l'abattoir d'avoir fait une école de boucherie.
Tout ce qu'on demande à ces pauvres bêtes, c'est d'avoir assez d'instinct pour sentir le danger réel (vaccin) et non le danger illusoire (COVIDE).
Comment distinguer le danger réel du danger illusoire ?
C'est comme à la chasse. Vous avez la menace apparente faite par le bruit des rabatteurs, un leurre qui canalise le gibier vers une autre menace, bien réelle, mais invisible, le fusil
du chasseur caché dans les hautes herbes ou derrière les fourrés.
Considérez que le tapage des rabatteurs, ce sont les médias qui effrayent le bon peuple avec le canular du COVIDE, et le fusil pointé pour tuer les bêtes, le vaccin.
Ma position vis-à-vis de toute cette science est ambiguë. Je ne crois pas aux virus comme sources de maladie.
Je crois par contre à la génétique et sa capacité d'opérer des mutations, tout comme je crois à la toxicité des métaux lourds, nano-particules, et à la capacité de l'électronique
ambiante (3G, 4G, 5G) d'électrifier et magnétiser ces particules.
Je pense donc que la tentative des eugénistes mondialistes de générer de nouvelles pandémies avec un vaccin échouera comme les précédentes (HIV, H1N1), mais pour ce qui est
d'empoisonner les vaccinés et faire monter les statistiques de cancer, d'autisme infantile et d'Alzheimer sénile, la réussite sera totale.
Sans parler de faire bouillir les vaccinés s'ils activent la 5G à plein volume.
Une étude fournit des informations sur la réponse immunitaire du vaccin ARNm-1273 de Moderna. Mais celle-ci est
issue de la phase 1 des essais cliniques de l'entreprise. C'est très prometteur, mais limité en portée. Voici ce qu'il faut retenir, à ce stade, de cette étude.
Alors que Pfizer et Moderna ont récemment annoncé la finalisation de leur phase 3, et qu’une première autorisation
a été émise au Royaume-Uni pour Pfizer, la communauté scientifique internationale attend de nouvelles publications de la part des deux entreprises, principalement celles qui sont
issues de la phase 3. Le problème est bien que, pour l’instant, les seules données disponibles sur cette phase-ci sont essentiellement issues de communiqués de presse. Comme nous vous
l’indiquions pour d’autres sujets liés au coronavirus, il est impossible de tirer des conclusions rigoureuses d’un communiqué.
Il se trouve que le 3 décembre 2020, The
New England Journal of Medicinea publié une étude issue de la phase 1 des essais conduits par Moderna, phase débutée en mars 2020. Ce ne sont donc pas les données tant attendues de la phase 3,
mais elles fournissent quelques premières informations sur la durée de la réponse immunitaire. Les résultats fournis dans cette étude sur le vaccin de Moderna sont prometteurs, validés
par un comité de lecture indépendant, mais limités en portée.
Voici ce qu’il faut en retenir à ce stade.
LES INFORMATIONS APPORTÉES
Alicia T. Widge, immunologue au National Institute of Allergy and Infectious Diseases, et ses consorts, en
arrivent à la conclusion que « ces
résultats montrent que malgré une légère baisse attendue des titres d’anticorps de liaison et de neutralisation, l’ARNm-1273 [nom du vaccin] a
le potentiel de fournir une immunité humorale durable ».
Les données issues de la phase 1 des essais cliniques de Moderna montrent en effet que la réponse immunitaire
contre le coronavirus a persisté pendant les 3 mois qui ont suivi les injections. Plus spécifiquement, les anticorps neutralisants ont été détectés encore 119 jours après la première
dose, et 90 jours après la deuxième dose. Cela donne un indice important pour estimer que la réponse immunitaire créée par le vaccin de Moderna peut persister dans le temps.
Dans certains groupes, la réponse immunitaire a légèrement baissé au fil des semaines, principalement dans les
deux groupes comprenant les patients les plus âgés. Mais cette baisse était prévue et n’est donc pas spécialement cause d’inquiétude. Chez les 34 personnes vaccinées, le niveau
d’anticorps est en tout cas resté au-dessus de celui détecté dans le groupe de contrôle — 41 personnes guéries de la maladie Covid-19 — même après la baisse attendue.
Autre bonne nouvelle que les auteurs livrent au cours de leur papier : aucun effet secondaire néfaste n’a été
détecté, même après 3 mois.
LES LIMITES À ÉCLAIRCIR
Il s’agit ici surtout de la réponse en anticorps. Ce n’est qu’une partie du
fonctionnement de la réponse immunitaire — reste la question des lymphocytes T et B. Les auteurs indiquent que « des
études sur les cellules B induites par le vaccin sont en cours », et précisent que le vaccin aurait par ailleurs provoqué des réponses des lymphocytes T auxiliaires encore après
43 jours, sans donner toutefois plus de détails. Concrètement, cette étude ne fournit qu’une réponse partielle sur la réponse immunitaire créée par le vaccin.
Qui plus est, il s’agit des résultats issus de la phase 1. Cette première phase est
plus limitée que les phases suivantes (les recherches de Moderna viennent actuellement de boucler leur phase 3, raison pour laquelle le processus d’autorisation est enclenché). Cela signifie
que les données fournies dans cette étude se basent sur un échantillon limité, comme c’est toujours le cas en phase 1. Les résultats concernent ici un échantillon de 34
adultes.
Pour comparaison, dans la phase 3, plus de 30 000 personnes ont été impliquées. La
marge est importante. Il est toutefois assez logique qu’en matière de durée de l’immunité, les premiers résultats proviennent de la phase 1 : il faut un recul temporel important pour
évaluer cette durée, or la phase 1 date de plusieurs mois. Les auteurs précisent par ailleurs que les patients vont continuer à être surveillés pendant 13 mois. Il en ira de même pour les
patients des autres phases. Et même les personnes qui seront vaccinées hors essais cliniques, après autorisation par les autorités sanitaires indépendantes, feront l’objet d’un suivi de
pharmacovigilance pour surveiller leur immunité et des effets secondaires.
En conclusion, pour cette étude, le relevé la persistance de l’immunité après 3 mois
est très prometteur. Mais il faut garder à l’esprit que ce résultat est tiré d’essais cliniques menés au début des phases de recherches, sur un nombre faible de patients. Les résultats
des phases suivantes, conduites sur des milliers puis des dizaines de milliers de personnes, seront plus parlants. Quant au recul sur la durée de l’immunité, celui-ci viendra avec le
temps. Une immunité à court ou moyen terme générée par des vaccins représenterait déjà une arme de poids pour freiner la propagation du coronavirus, même si cela impliquerait par exemple
de réitérer de manière saisonnière le vaccin. la suite sur numérama.com
Cet interview de Philippe de Villiers a déjà publié sur diverses chaînes, mais abondance de vérité ne
nuit point.
Bien entendu, Soros n'est que le sous-fifre d'une puissance financière supérieure qui opère dans l'ombre.
Mon petit doigt me dit qu'il serait piloté par la machine Blackrockfeller.
Nous sommes vraiment les dindons d'une farce de très mauvais goût. Non seulement nous votons par le biais d'un système de machines électorales truquées, piratées, mais
en plus, une fois les usurpateurs au pouvoir, ils obéissent à des entités politiques européennes, elles-mêmes placées comme des pions par Soros.
Après quoi, ces non élus officient sous la surveillance locale d'éminences grises qui s'assurent que le
pantin ne s'emmêle pas dans ses ficelles et ne va pas commettre une boulette entre deux pétards et un rail de coke.
L'Europe, c'est le IVe Reich où l'on a remplacé la fanfare militaire par une berceuse.
MAJ #Covid19 : la stratégie vaccinale de la #France + Macron, «on ne sait pas tout sur ce vaccin comme on ne sait pas tout sur ce virus»
Êtes vous
prêt à être génétiquement modifié de manière irréversible ?
Personne ne
pourra ensuite corriger cette anomalie génétique jusqu'à la fin de vos jours et vous la transmettrez à votre descendance...
L’Europe entre dans une ère fasciste, et dit adieu aux libertés individuelles. Le cas de la France
C’est tellement évident que l’on peut se demander si cet « agenda » gouvernemental, pourra aboutir sans qu’il y ait une révolte. Des tests non fiables, des morts étiquetés
« covid » quelle que soit la cause du décès, des chiffres bidonnés et une propagande journalière pour mettre la pression. Personne n’a envie de contaminer sa famille ou ses amis, celui
ou celle qui se sent malade, va éviter le contact rapproché. Tous, nous l’avons vécu un jour où l’autre, alors pourquoi infantiliser les gens, leur dire ce qu’ils doivent faire ? Cette crise
« sanitaire » a jeté des millions de gens dans la précarité, leur souci ne sera pas le nombre de convives à table, mais s’ils pourront mettre quelque chose dans les assiettes, tout ça à
cause du « terrible » virus. Pour ceux qui aiment les chiffres, comparez le nombre de morts réels du virus avec le nombre de la population. Un peu plus de 50.000 décès
attribué au covid en France sur 67 millions d’habitants, ça n’interpelle personne ? La grippe saisonnière (qui a bizarrement disparu), a tué 600.000 personnes en 2017, on a pas confiné et
empêché les gens de vivre, on a pas détruit l’économie et la vie des gens. Est-ce que ces 50.000 morts supposés du covid, justifient la mise en résidence surveillée des français et l’ingérence de
l’état dans notre vie privée ? Pour ceux qui se posent les bonnes questions, les fameux conspirationnistes, les amendes sont là pour les dissuader de penser. PartagezPar Liliane Held Khawam
Fascisme, Attitude autoritaire, arbitraire, violente et dictatoriale imposée par quelqu’un à un groupe quelconque, à son
entourage.
Définition du Larousse
« Je souhaite que le gouvernement et le Parlement prévoient les conditions pour s’assurer de l’isolement des personnes contaminées, y compris de manière plus
contraignante. (…)« Si nous voulons éviter un confinement, nous devons être plus contraignants à l’égard de celles et ceux qui ont le virus. »
Président Emmanuel Macron.
Hier c’était la lèpre qui justifiait le bannissement. Aujourd’hui, c’est le/la Covid.
Ce groupe parlementaire s’est formé en pleine crise Covid le 26 mai 2020.
Il inclut des architectes-clés du Nouveau Monde.
Nous avons retenu 2 femmes qui sont actives dans des projets parlementaires essentielles pour la Nouvelle Société.
Laure de La Raudière, une spécialiste de la numérisation de la société. Elle a notamment été co-rapporteuse de la mission d’information sur la blockchain. Selon elle, si on appliquait celle-ci à
la gestion de l’Etat, elle serait source de gain de productivité et d’efficacité qui ferait baisser les dépenses publiques.
Une autre membre de ce parti est Valérie Petit qui, en mai 2020, co-signa avec Gaspard Koenig et Marc de Basquiat une tribune en faveur de l’instauration d’« un socle citoyen, véritable
revenu de liberté et mécanisme de solidarité universelle ».
Ce parti politique semble essentiel au gouvernement pour faire muter la structure organisationnelle et sociétale du pays. Or, c’est ce parti qui a déposé une proposition de loi sur
le dépistage massif, l’accompagnement/isolement des personnes positives et cas contacts et un système
d’indemnisation et de sanction ». Et l’article 3 de ce texte prévoit de « rendre obligatoire l’isolement des personnes positives ou définies comme cas contacts » et
de « sanctionner son non-respect », avec une possible amende allant jusqu’à 1’500 euros.
Mieux que des clés de prison ou un bracelet électronique, une amende hors budget pour l’essentiel de la population.
En contrepartie, la proposition de loi veut suspendre le délai de carence, créer une « gratification financière exceptionnelle » de 30 euros par jour pour les personnes
concernées – qui devraient les rembourser en cas de rupture de l’isolement – et « faciliter le recours aux hébergements aménagés ». Le texte veut enfin mobiliser la
réserve civique pour accompagner les personnes placées à l’isolement.
La mesure est si liberticide qu’un élu s’est demandé si on allait créer des camps d’internement!
Le sénateur LR Alain Houpert.
Ce n’est plus la république qui est en marche, mais l’enterrement des droits humains.
Un cauchemar d’ampleur exceptionnelle se déploie tous les jours plus, repoussant les limites du supportable en matière de respect de l’être humain. Ami lecteur, nous ne sommes pas en train de
dire qu’il faut mettre des personnes infectées dans l’espace public. Nous sommes en train de constater que l’espace public entre dans l’espace privé pour se charger de contrôler des
individus SAINS chez eux.
Lorsque l’on nous explique que l’on applique un nombre de cycles d’amplification qui monte jusqu’à 45 et même 50, et qu’à ces taux la positivité de la PCR n’a aucune portée
pathologique, que simultanément on renonce à se faire confirmer les résultats par une mise en culture des prélèvements et par le diagnostic médical, on est en train de nous dire que l’on
veut augmenter par pure volonté le nombre de « cas » positifs.
La PCR (Polymerase Chain Reaction) est une méthode NAT (Nucleic Acid Amplification Technology), de la biologie moléculaire moderne, pour amplifier les acides nucléiques (ARN ou
ADN) présents dans un échantillon in vitro puis les détecter avec des systèmes de détection adaptés. Cependant, la détection de l’acide
nucléique ne donne aucune conclusion sur la présence d’un pathogène infectieux. Cela ne peut être fait qu’au moyen d’une détection de virus et d’une augmentation de la culture
cellulaire.
Le temps s’accélère et chaque semaine apporte son lot de révélations sur la coque-vide faussement intronisée comme pandémie dévastatrice. Avant-hier, je pensais vous parler de l’étude réalisée par les CDC (Centres américains de
prévention et de lutte contre les maladies) et publiée mercredi dernier. Les chercheurs ont prélevé et testé le sang de plus de 3.000 soignants dans 13 hôpitaux américains d’avril à juin 2020 :
194 personnes (6%) étaient porteuses d’anticorps au coronavirus. Deux mois plus tard, 156 d’entre elles ont été à nouveau testées : chez 94%, le niveau d’anticorps avait baissé et chez 28%, il
était tombé en-dessous du seuil qui indique généralement une infection passée. Ça signifie que les tests de sérologie sous-estiment le nombre de personnes qui ont déjà été contaminées et qu’un
résultat négatif n’exclut pas forcément une rencontre antérieure du système immunitaire avec le sars-cov-2. Mauvaise nouvelle ? Que du contraire ! Ça veut dire que des tas d’épisodes infectieux
sont très probablement passés sous le radar et que plein de gens ont « fait le covid » sans s’en apercevoir. Ils sont restés asymptomatiques ou ont à peine ressenti l’état grippal accompagnant le
séjour et l’excrétion de l’agent viral. En clair, cette étude confirme ce que dit depuis le début John P.A Ioannidis, professeur de médecine et chercheur à l’Université de Stanford, pour qui la
grippe covid est en réalité moins meurtrière que la grippe saisonnière. Évalué initialement à plus de 5% et estimé pour l’instant à 0,37% maximum, son taux de létalité (nombre d’issues fatales
parmi les infectés) est sans doute encore très inférieur ! Dans plusieurs pays, il se confirme aussi que des réinfections peuvent survenir en l’espace de quelques mois. On ne compte plus les
covidés du printemps qui ont récidivé en automne. Cela suggère également que la maladie est le plus souvent tellement légère – un simple rhume – que les cellules immunitaires ne mémorisent même
pas l’information. Puisque la maladie elle-même n’est pas, ou à peine, immunisante, cela anéantit au passage l’espoir d’un vaccin efficace. À moins de se vacciner plusieurs fois par an avec
toutes les souches mutantes, l’échec de la solution vaccinale est garanti sur piqûre !
Pas de morts en plus !
Malgré l’intérêt évident de cette étude, je pensais cependant vous entretenir d’autre chose aujourd’hui, à savoir d’un article explosif publié le 22 novembre dans l’infolettre de la prestigieuse
Université américaine John Hopkins. Vous pouvez le lire (en anglais) en cliquant ici, mais
sachez d’abord que cet article a été rétracté par la direction de l’établissement universitaire. Motif ? Il était l’œuvre d’un étudiant et il contenait des éléments pouvant « faussement » et «
dangereusement » faire douter de l’impact de la pandémie COVID-19. En réalité, l’auteur estudiantin n’a fait que rapporter et coucher sur papier une conférence tenue le 13 novembre par Geneviève
Briand, professeur d’économie et de statistiques au sein de la même institution. Cette allocution a été enregistrée et diffusée sur YouTube mais ne la cherchez pas car elle a été – elle aussi –
prestement censurée ! Pour avoir le fin mot de cette imbroglio, vous pouvez cependant lire cet article en
français publié ce matin. Qu’avait donc exposé de si scandaleux Geneviève Briand ? Pour le savoir dans la langue de Molière, vous pouvez aller sur le site de France Soir et lire l’article que ce média français, décidément
en pointe de la ré-information, a consacré à l’affaire. Directrice-adjointe du programme de maîtrise en économie à Hopkins, la brillante enseignante a analysé de manière critique les données de
mortalité des six dernières années aux États-Unis. Et elle a découvert le pot-aux-roses, à savoir que les décès toutes causes n’étaient pas plus nombreux en 2020 sur le territoire américain ! En
examinant les causes officielles de décès, elle a aussi trouvé que les morts par crises cardiaques et autres affections mortelles habituelles (cancer, diabète, grippe, pneumonie, maladies
respiratoires chroniques…) avaient drastiquement et anormalement baissé cette année, autrement dit que les CDC ont abusivement labellisé « covid » une bonne part des trépassés US. Clou de la
démonstration statistique: les pourcentages de décès parmi toutes les tranches d’âge restent relativement identiques par rapport aux années précédentes et il n’y a même pas de surmortalité parmi
les personnes âgées ! « La raison pour laquelle nous avons un nombre plus élevé de décès par COVID-19 signalé chez les personnes âgées est tout simplement que chaque jour aux États-Unis, les
personnes âgées meurent en plus grand nombre que les personnes plus jeunes » a déclaré Geneviève Briand. On comprend que ces propos aient fait scandale et que l’économiste ait été réduite au
silence, tant son analyse contredit le « story telling » officiel !
La PCR ne vaut pas tripette !
Ce matin, il y avait une troisième bombe informative dans ma boîte mail et c’est sur elle que je choisis de zoomer cet
après-midi : un rapport établi par une vingtaine de scientifiques renommés et publié le 27 novembre conclut que le fameux test PCR n’est pas un outil de diagnostic fiable ! Plus
exactement, ces spécialistes en sciences de la vie (microbiologistes, généticiens moléculaires, biochimistes, immunologues…) ont passé au crible l’étude dite « Corman-Drosten » et sur laquelle a
été fondé un protocole de dépistage du sars-cov-2 abondamment utilisé en Europe et dans le monde. On évalue que ce test PCR mis au point en Allemagne a permis de détecter 60% des cas à travers le
globe. Or d’après le consortium de scientifiques, cet outil de séquençage génétique fabriqué à la hâte ne correspond pas aux standards de qualité requis et comporte pas moins de 10 erreurs de
fabrication majeures ! Si vous ne voulez pas vous farcir tout le rapport, de toute façon peu compréhensible par le profane, allez directement à la fin pour lire le résumé des dix « failles » ou «
défauts » dénichés par les 22 rapporteurs. Pour ma part, ce sont le 1er et le 7ème point qui ont retenu toute mon attention. En voici la traduction française :
1) Il n’existe aucune raison précise d’utiliser ces concentrations extrêmement élevées d’amorces dans ce protocole. Les concentrations décrites entraînent une augmentation des liaisons
non spécifiques et des amplifications des produits PCR, ce qui rend le test inadapté en tant qu’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2.
7) Le test PCR ne contient ni un témoin positif unique pour évaluer sa spécificité pour le SARS-Cov-2, ni un témoin négatif pour exclure la présence d’autres coronavirus, ce qui le rend
inutilisable comme outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SARS-CoV-2.
En d’autres termes, le test PCR « Corman-Drosten » manque de spécificité, c’est-à-dire que les amorces et les séquences d’ARN sélectionnées ne permettent pas de distinguer le sars-cov-2 des
autres coronavirus qui donnent des rhumes banals et des syndromes grippaux bénins. C’est très important car jusqu’à présent, seule la trop grande sensibilité des tests faisait l’objet de
critiques scientifiques. Selon le nombre de cycles d’amplification arbitrairement choisi, la méthode PCR peut en effet trouver la trace de débris cellulaires et de fragments viraux qui ne sont ni
vivants ni entiers. A fortiori, ces traces infinitésimales n’autorisent pas à dire que le patient dépisté est malade, ni même contaminé, et qu’il représente un quelconque danger de propagation.
Le problème est désormais archiconnu et même les médias mainstream ne nient plus qu’il y a un gros souci avec le dépistage moléculaire. Par son extrême sensibilité, le test PCR peut
générer une foultitude de cas faussement positifs ! C’est d’ailleurs ce que souligne aussi le rapport. Mais la grande nouveauté, j’insiste là-dessus, c’est que ce document détonant dénonce
également les failles du procédé en termes de spécificité : l’écouvillon prélève du matériel génétique qui peut tout aussi bien appartenir à des particules coronavirales communes et inoffensives
! Cette probabilité de confusion, la revue Néosanté en a déjà maintes fois fait état depuis 10 mois. Notamment dans le dossier rédigé par le scientifique canadien David Crowe et reproduit dans
notre numéro de juin dernier. Aujourd’hui, 22 chercheurs et praticiens de renom accréditent l’hypothèse à travers un rapport accablant pour la PCR. Comme je l’ai déjà écrit plusieurs fois, la
technique de Polymerase Chain Reaction est le sable sur lequel a été planté le chapiteau du Corona Circus. Ce sable est à présent inondé, l’édifice s’en trouve ébranlé et la
mystification pandémique pourrait s’écrouler avec lui. Vœu pieu ou pronostic réaliste ? Tout dépendra de la capacité des décideurs à ouvrir leurs œillères et à cesser de faire aveuglément
confiance aux experts maintenant que le principal instrument de détection du covid s’avère carrément bidon.
« Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire », selon Philippe Guillemant, Docteur et ingénieur physicien, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au
CNRS. « Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place. Le principal but
de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais
seulement en interdire l’usage. La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Mais je le
répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde. »
En plus des articles écrits par les membres de la rédaction, Nexus diffuse désormais des messages rédigés par d’autres personnes à la plume alerte. Nous partagerons avec vous leurs
coups de gueules et de sang, cris du coeur, évasions et analyses de l’esprit que nous trouvons pertinents. Aujourd’hui, nous vous proposons pour la troisième fois les écrits de Philippe
Guillemant, ingénieur physicien français, Docteur en Physique, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS.
Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire
Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents
lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des
informaticiens en virologues.
Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide.
Il y a deux cas à considérer :
– Port d’identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main…
– Port d’identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique…
Dans le second cas il sera impossible, sauf opération chirurgicale, de se débarrasser de son identité.
Dans un premier temps, seul le premier cas est à considérer sérieusement. Ce n’est que lorsque l’usage d’une identité numérique sera normalisé par l’habitude (de vivre autrement) que le second
cas s’imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l’usage.
Aujourd’hui, ce port d’identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n’en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l’application TousAntiCovid. Tout le
monde a le droit d’entrer dans n’importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d’avoir un portable. D’autre part, le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa
précision étant comprise entre 1 et 10 mètres. On peut considérer que pour l’instant, avoir un portable est inoffensif.
Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G. En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS,
mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.
Le port non lié au corps d’identité numérique, dans un environnement peuplé d’objets connectés (maisons, voitures, routes, villes…) permettrait les recueils de données suivants par une I.A. :
– Vérification d’autorisation d’accès pour les vaccinés
– Contrôle de vitesse et stationnement (voiture connectée)
– Identification de toutes sortes d’infractions à la conduite
– Identification des personnes avec qui l’on déjeune
– Mémorisation de tous les déplacements
– Calcul de temps de travail ou temps de présence…
– Détection de déplacement inhabituel…
– Etc
Il convient de préciser qu’aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage. Toutefois, il serait
extrêmement difficile de détecter qu’un tel usage n’est pas effectué. Seule son exploitation pourrait être rendue visible, mais cela laisse une grande place à une exploitation inavouée, par
exemple par une société d’assurance où le calcul des droits est déjà réalisé de façon informatique.
Considérons maintenant le deuxième cas, et allongeons la liste précédente :
– Maison intelligente (interactions, commandes, dialogues…)
– Analyse d’activités privées (dormir, lire, faire l’amour…)
– Surveillance de l’activité des enfants
– Analyse des interactions familiales
– Analyse de situation (repos, activité, chute…)
– Analyse de comportement (geste brusque, activité sportive…)
– Détection et mémorisation des habitudes
– Etc
J’en oublie certainement, sachant qu’il est difficile d’imaginer d’avance tout ce que la quatrième révolution industrielle pourrait nous inventer. Je ne parle ici que d’un transhumanisme très
doux, presque acceptable, sans faire référence à quoi que ce soit d’intrusif comme une puce dans le cerveau, des nanorobots dans nos veines ou une vision artificielle et connectée. Mais il va de
soi que l’acceptation de ces technologies intrusives est conditionnée à l’acceptation de l’usage d’identité numérique.
La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin.Il est en effet peu probable
que l’on oblige chaque citoyen à porter une identité numérique lors de ses déplacements si 50% de la population n’est pas vaccinée, car on ne va pas limiter à ce point la liberté de circulation.
Par contre, si seulement 5% de la population n’est pas vaccinée, il est fort probable qu’on entrera dans ce nouveau monde.
La réalité sera évidemment bien plus complexe que cette simplification binaire, qui n’a d’autre but que d’éveiller aux véritables enjeux.
Donc, je le répète, nous ne sommes pas confrontés à un problème sanitaire avec le virus. Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique
de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.
Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde.
M.K. Scarlett Sott.net
mer., 02 déc. 2020 16:22 UTC
L'article publié par Daisy
Luther le 23 novembre dernier sur Organic Prepper décrit ces sept théories depuis le point de vue des États-Unis. Toutefois, et de par le contexte de Coup d'État mondial/ mondialiste
actuel, ce point de vue vaut pour toutes les populations — notamment occidentales, mais pas seulement — quelles que soient leurs nationalités.
Il y a un mois, Basta ! publiait la carte des suppressions de lits dans les hôpitaux publics. Depuis, le ministre de la Santé répète vouloir en finir avec ces fermetures de lits.
Pourtant, sur le terrain, les projets de restructuration sont toujours à l’ordre du jour. Et les personnels toujours très inquiets.
« Je sors totalement du dogme de la réduction des lits lorsqu’il y a des transformations de projets hospitaliers. Ça c’est terminé ! » C’est le ministre de la Santé Olivier
Véran qui le dit, le 18 novembre, lors d’un séminaire professionnel des hospitaliers [1].
Après dix mois d’épidémie de Covid, pendant lesquels les projets de suppressions de lits ont été maintenus et en l’absence de mesures conséquentes pour améliorer la situation des hôpitaux,
peut-on le croire ? « Sur le terrain, à la Réunion, à Nantes, à Caen, à Paris... les projets de restructuration hospitalière sont toujours à l’ordre du jour, prévoyant la fermeture
de centaines de lits et la suppression de nombreux emplois hospitaliers », constate Olivier Milleron, cardiologue à l’hôpital Bichat, lors d’une conférence de presse du collectif
inter-hôpitaux le 1er décembre.
3400 lits hospitaliers ont été fermés en 2019, 4000 en 2018. Ces fermetures s’ajoutent aux 69 000 places d’hospitalisation à temps complet qui ont disparu entre 2003 et 2017 [2]. Il y a un mois Basta !
établissait une carte des suppressions de lits d’hôpitaux engagées ces dernières années. Ces suppressions ont encore lieu ces derniers mois, comme à l’hôpital de Juvisy, en région
parisienne : 50 lits d’hospitalisation ont été fermés fin septembre alors qu’ils avaient accueilli des malades du Covid lors de la première vague, selon le collectif de défense des hôpitaux
du Nord-Essonne. À Nancy, la suppression prévue de près
de 200 lits au CHU sera-t-elle maintenue malgré la crise sanitaire ? Le 22 novembre, le maire socialiste de Nancy, Mathieu Klein, a demandé au ministre de la Santé de confirmer sans
ambiguïté l’abandon des suppressions de lits à l’hôpital lorrain.
Lors d’un point de presse diffusé en direct sur plusieurs plateformes de réseaux sociaux, M.
Bolsonaro a déclaré qu’il avait déjà décidé de refuser un futur vaccin contre les coronavirus.
« Je vous le dis, je ne vais pas le prendre. C’est mon droit », a-t-il déclaré.
Le leader de droite a déclaré à plusieurs reprises que les
Brésiliens ne seront pas obligés de se faire vacciner une fois qu’un vaccin contre le coronavirus chinois sera largement disponible.
Bolsonaro l’a réitéré lors d’un point de presse, en déclarant que le Congrès brésilien n’exigerait probablement pas des Brésiliens qu’ils prennent un futur vaccin contre les
coronavirus.
« Le président brésilien a également exprimé son scepticisme quant à l’efficacité de l’utilisation des masques lors de la diffusion en direct, laissant entendre qu’il y avait
peu de preuves concluantes de son succès à freiner la transmission du virus », selon le site d’information sud-américain Infobae.
Bolsonaro a été testé positif pour le coronavirus chinois au moins deux fois. Après avoir contracté le virus pour la première fois le 7 juillet, Bolsonaro a déclaré qu’il avait
d’abord souffert d’une faible fièvre et de symptômes légers.
En annonçant son diagnostic positif lors d’une conférence de presse tenue à l’extérieur sur les terrains du palais présidentiel brésilien, Bolsonaro a pris du recul et a retiré son masque pour montrer au public qu’il était « absolument
bien » malgré les légers symptômes.
Il est ensuite entré dans une période de semi-isolement pendant près de 20 jours, tout en se remettant du virus.
Pendant cette période, le leader a continué à s’aventurer sur les terrains du palais présidentiel pour saluer ses supporters.
Partisan de l’hydroxychloroquine, un médicament antipaludéen, comme thérapie contre le coronavirus, Bolsonaro a déclaré qu’il avait reçu ce médicament dans le cadre de son propre
traitement.
Le 25 juillet, le président a annoncé sur Twitter qu’il avait
été testé négatif pour le coronavirus.
« Je suis guéri du Covid. J’ai des anticorps, aucun problème. Dans mon cas particulier, je remercie d’abord Dieu, et ensuite le médicament prescrit par le médecin
présidentiel : l’hydroxychloroquine », a déclaré Bolsonaro le 30 juillet.
« Le lendemain, j’étais déjà bien. Si c’était une coïncidence ou non, je ne sais pas. Mais ça marche », a ajouté le leader.
MODIFICATION DE L’ADN HUMAIN
Les
vaccins COVID-19 posent de réels problèmes. Ce ne sont PAS des « vaccins » au sens traditionnel du terme.
Dans le passé, pour créer un vaccin, les scientifiques isolaient en laboratoire l’agent pathogène qui provoque la maladie.
Une fois isolés, les scientifiques retirent les « boyaux » d’ADN du virus et les remplacent par des boyaux de levure inoffensifs.
En d’autres termes, ils « recombinent » le virus avec des boyaux de levure inoffensifs.
Ainsi, l’extérieur du virus ressemble à l’agent pathogène qui rend les gens malades, mais les boyaux sont des levures inoffensives.
C’est ce qu’on appelle un vaccin « recombinant » parce qu’ils ont recombiné l’enveloppe extérieure du virus avec des boyaux de levure inoffensifs à ADN.
Ils reproduisent ce nouveau « virus » inoffensif et injectent le virus recombinant inoffensif à l’homme.
Lorsque notre corps voit l’extérieur de cet « envahisseur », il commence sa réponse immunitaire et nous développons une immunité contre ce que le virus original
ressemble à l’extérieur.
C’est ainsi que fonctionnaient les anciens vaccins.
Ce nouveau vaccin COVID-19 n’a rien à voir avec l’ancien. Ce nouveau vaccin contient de l’acide ribonucléique « ARN messager », une base de l’acide
désoxyribonucléique (ADN).
Il « programme » l’homme à qui il est injecté de sorte que l’ADN humain déclenche une réponse à ce qui serait le COVID-19.
Le problème, c’est que les scientifiques ne savent pas exactement ce que cet ARN pourrait « programmer » une fois qu’il est libéré dans un être humain !
Il pourrait commencer à reprogrammer d’AUTRES aspects de l’ADN humain.
Dans une horrible possibilité, une fois libérées, ces particules d’ « ARN messager » pourraient transformer quelqu’un d’humain en … pas humain !
Il n’y a aucun moyen de le savoir.
Pire encore, il n’y a aucun moyen de défaire ce que fait cet ARN messager. Les changements sont permanents et ne peuvent être annulés.
D’un point de vue scientifique, cet ARN messager pourrait avoir des conséquences mortelles s’il provoque chez l’homme des changements qui le rendent incapable de vivre.
Presque 100 % des personnes qui ont accepté ce vaccin lors des essais cliniques ont eu de très fortes réactions indésirables à celui-ci. Certaines sont mortes !
TOUS les essais de ce vaccin sur les animaux ont dû être arrêtés parce que TOUS les animaux sont morts.
Au lieu de prendre cela comme un signal d’alarme, les autorités ont simplement « renoncé » à l’expérimentation animale et sont passées directement à l’expérimentation
humaine !
Comme indiqué précédemment, presque 100% des personnes qui ont reçu le vaccin lors des essais ont souffert de réactions indésirables TRÈS FORES.
C’est l’aspect scientifique, mais il y a un autre aspect : D’un point de vue RELIGIEUX, cela pourrait altérer une personne de sorte qu’elle ne soit plus reconnaissable comme
« humaine » par Dieu.
Le livre des Révélations met en garde contre cela, et le fait SPÉCIFIQUEMENT dans les Révélations 18:23 : Et la lumière de la chandelle ne luira plus en toi; et la voix de l’époux et de l’épouse ne sera plus ouïe en toi; parce que tes marchands étaient des Princes en la terre; et
parce que par tes empoisonnements toutes les nations ont été séduites.Source
Le président brésilien Balsonaro a donc de multiples raisons de ne pas prendre le vaccin. Maintenant, vous avez ces mêmes raisons.
Ne vous laissez pas tromper par les compagnies pharmaceutiques en prenant un vaccin qui altère votre ADN. Les changements qu’il provoque seront irréversibles et pourraient vous
coûter cher.
Ces nouveaux "Vaccins" qu'on nous
propose ne sont pas des Vaccins, mais des produits de thérapie génique qui peuvent modifier notre ADN !
Pr. Christian Perronne le 30 novembre 2020
Chers amis,
La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.
Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la
démocratie.
En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé
publique, y compris sur les vaccins, je mesure, chaque jour, les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens.
Je prends le risque d'être à nouveau qualifié de "complotiste" ou mieux de "rassuriste", termes désignant ceux qui critiquent
ou challengent la pensée unique.
Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n'ayant jamais changé depuis le début de l'épidémie.
Je considère donc qu'il est de ma responsabilité de m'exprimer à nouveau, ce jour, sur l'ensemble du volet médical de la
Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l'élément central et quasiment unique de la politique de santé de l'État.
Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l'épidémie, pire que la première.
Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l'Élysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l'Institut
Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.
Même le Président de la République, lors d'une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés, peu
de temps auparavant, par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur.
Ces chiffres irréalistes n'avaient qu'un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués.
Pourtant l'usage généralisé des masques en population générale n'a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer
l'épidémie de SARS-COV-2.
L'utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.
Or l'épidémie régressé et n'a entraîné aucune apocalypse.
La dynamique de la courbe montrait, depuis des semaines, le profil d'un rebond épidémique saisonnier qui s'observe avec
certains virus, une fois la vague épidémique terminée.
Cela témoigne de l'adaptation du virus à l'homme et est aussi le reflet de l'immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement.
Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence.
Les autorités ne pourront pas dire que c'est grâce au confinement, car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa
mise en place.
La régression de l'épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l'instauration du couvre-feu.
Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d'un diabète sévère, d'hypertension artérielle grave, de
maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.
Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des
symptômes par l'hydroxychloroquine et l'azithromycine dont l'efficacité et l'innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement.
Beaucoup de décès auraient pu être évités.
Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter.
Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.
Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin.
Or quel est l'intérêt d'un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05%?
Aucun !
Cette vaccination de masse est inutile.
De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.
Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l'évaluation de ces produits se sont faites à
la va-vite et qu'aucun résultat de l'efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n'a été publié à ce jour.
Nous n'avons eu le droit qu'à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.
Le pire est que les premiers "vaccins" qu'on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.
On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d'éléments du virus par nos propres cellules.
On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c'est une première chez l'homme.
Et si les cellules de certains "vaccinés" fabriquaient trop d'éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans
notre corps ?
Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l'ADN.
Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l'ADN vers l'ARN, mais l'inverse est possible dans certaines
circonstances, d'autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits "endogènes" intégrés dans l'ADN de nos chromosomes.
Ces rétrovirus "domestiqués" qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase
inverse, capable de transcrire à l'envers, de l'ARN vers l'ADN.
Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l'ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s'intégrer dans nos chromosomes.
Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement.
Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces
modifications génétiques à nos enfants.
Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées "vaccins", sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour
des cobayes.
Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le mais transgéniques, des OGM (organismes génétiquement modifiés).
Un responsable médical d'un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré, il y a quelques jours, qu'il espérait un
effet de protection individuelle, mais qu'il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l'épidémie.
C'est bien là un aveu déguisé qu'il ne s'agit pas d'un vaccin.
Un comble.
Je suis d'autant plus horrifié que j'ai toujours été en faveur des vaccins et que j'ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.
Aujourd'hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant.
Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.
La science, l'éthique médicale, et par-dessus tout le bon sens, doivent reprendre le dessus.
Les villes de Gagny, Coubron, Gournay-sur-Marne, Montfermeil, Villemomble, Rosny-sous-Bois,
Neuilly-Plaisance, Neuilly-sur-Marne et Noisy-le-Grand ont déposé un référé pour demander la réouverture «immédiate» des restaurants et débits de boisson.
Les élus estiment qu'un restaurant sur deux «pourrait définitivement fermer en
raison des mesures
imposées». LOIC VENANCE / AFP
Neuf maires du Grand Paris-Grand Est, une structure intercommunale, attaquent en justice le décret sur la
fermeture des bars et des restaurants, qui constitue, selon eux, une «incohérence administrative de plus, aux lourdes conséquences», ont rapporté mardi 1erdécembre
nos confrères de France Bleu Paris.
Sur les quatorze communes du Grand Paris-Grand Est, neuf ont entrepris cette action commune. Il s'agit de
Gagny, Coubron, Gournay-sur-Marne, Montfermeil, Villemomble, Rosny-sous-Bois, Neuilly-Plaisance, Neuilly-sur-Marne et Noisy-le-Grand.
Les maires de ces villes de Seine-Saint-Denis ont déposé un référé en justice pour demander la réouverture
«immédiate» des restaurants et débits de boisson et attaquent le décret du 27 novembre concernant leur fermeture.
«Perte irrécupérable de recettes»
«Nous ne pouvons pas admettre cette situation, quand dans le même temps, les restaurants d'entreprises
restent ouverts. Une incohérence administrative de plus, aux lourdes conséquences. D'ailleurs, aucune étude scientifique n'indique que ce sont des lieux de contamination. Chaque jour qui passe
constitue une perte irrécupérable de recettes pour tous les établissements concernés. Chaque jour qui passe en rapproche un nombre de plus en plus important de la faillite»,
écrivent-ils dans un communiqué.
Les élus estiment qu'un restaurant sur deux «pourrait définitivement fermer en raison des mesures
imposées». Emmanuel Macron a déclaré le 24 novembre que les restaurants pourront rouvrir à partir du 20 janvier si les conditions sanitaires le permettent. Mais aucune date n'a été fixée
pour les bars.
J'espère que vous prendrez autant de plaisir à lire cet article que j'ai eu à le faire. Préparez-vous, il y a pas mal de lecture
et de visionnage, mais ça en vaut la peine et comme on le disait dans mes jeunes années "en France, tout finit par des chansons. Ce sera le cas ici. Après on poussait les tables et on dansait au son
de l’accordéon. Mais, là il faut encore un peu attendre pour retrouver ces bonnes
habitudes.
Dans la vidéo qui suit vous trouverez des clés formidables, efficaces, simples....pour connaître notre mission, pour ne pas se faire tromper par le bas
astral.... Serge Boutboul enseigne des techniques d'éveil depuis plus de vingt ans, par le biais de cours, séminaires, conférences,
émissions de radio, qui sensibilisent un vaste public. Il fut élève et ami de Raymond Réant, l'un des plus célèbres clairvoyants
français. Son objectif est d’éveiller la personne à ses potentiels énergétiques et spirituels, dans une démarche d’autonomie. Il transmet l’idée que tout le monde peut développer son intuition
avec des exercices adaptés. Il est l’auteur de :
*** Développez vos facultés psychiques et spirituelles
*** Comment percevoir et agir sur les mondes subtils qui nous entourent
*** Comment déployer l’être spirituel que nous sommes
*** Développez vos potentiels énergétiques (cartes exercices)
*** Éveillez vos facultés subtiles (cartes exercices)
*** Comment réaliser un bon Nettoyage Énergétique
*** Comment acquérir une bonne Protection Énergétique Le rêveur doit s'éveillez et voir le Monde, le merveilleux qu'il nous offre et que nous ne voyons pas... Nous sommes venus faire un travail sur cette Planète école, profitons de ses beautés en
attendant de retrouver le Paradis sur Terre et une fois notre mission remplie, continuer notre voyage. https://www.youtube.com/watch?v=zIySEDw6438&ab_channel=SergeBoutboul
------------------------------------- Les Enfants "actuels" : Le grand défi "cerveau droit" dans un univers "cerveau gauche" – 18 avril 2006 de Marie-Françoise
Neveu Depuis quelques décennies, de plus en plus d'enfants, de jeunes, nous interpellent. Ils n'entrent pas dans les cadres classiques, ils évoluent différemment, ont
une autre manière d'être, de regarder, de percevoir le monde. Ils déroutent par la pertinence de leurs propos, leur maturité, leur sens aigu de la vérité, de la justice, de la cohérence... En un
mot, ils dérangent. La plupart de nos systèmes éducatifs et pédagogiques sont mis en échec. Qui sont ces enfants ? Quelles sont leurs caractéristiques ? Quel est leur dénominateur commun ?
Comment les accueillir dans leurs spécificités alors même qu'ils nous dérangent ? Comment les accompagner dans leur développement ? Autant de questions auxquelles l'auteur propose des réponses
innovantes. La terminologie actuelle d'enfants indigo, enfants cristal, enfants arc-en-ciel... ne correspond que très partiellement à
leur réalité. En effet, bien que très récemment reconnus et identifiés comme tels, les enfants cerveau droit existent depuis fort longtemps et s'inscrivent dans le processus naturel de
l'évolution de l'humanité. https://www.youtube.com/watch?v=jjX_o67prms&ab_channel=MalgorzataDEBOWSKA
------------------------------------------------------- La prophétie des Andes James Redfield "Et si les coïncidences révélaient le sens de la vie ?" Paru en novembre 2003
À l'origine, un manuscrit fabuleux rédigé six cents ans avant J.-C. et une prophétie : notre société va subir un grand bouleversement. Intrigué, le héros de cette histoire s'envole pour le
Pérou à la recherche du mystérieux grimoire, objet de toutes les convoitises, qui va transformer sa vie. Commence alors une aventure magique et enchanteresse, une dangereuse initiation : une
quête en neuf étapes qui le mène du sommet des Andes au coeur de la forêt amazonienne sur la voie des révélations de la vie. Quand, au terme de son périple, le héros découvre le vrai sens de son
existence, c'est notre propre quête qui débute. Pour James Redfield, si nous restons attentifs et savons percevoir le grand mystère de l'existence, nous nous apercevrons que nous avons été
judicieusement placés, à l'endroit adéquat... pour changer quelque chose en ce monde. https://www.youtube.com/watch?v=-bH5Vw5eNzk&ab_channel=M%C3%A9tamorphoseLepodcastqui%C3%A9veillelaconscience
----------------------------------------------------------------------- Philippe de Lyon, le Maître spirituel de Papus https://www.youtube.com/watch?v=58rco7OGhK0&ab_channel=OrdredelaRose-Croix
Philippe de Lyon : Médecin, thaumaturge et conseiller du tsar – 18 mai 2012
de Renée-Paule
Guillot Philippe de Lyon 1849-1905: un homme de tous les jours réalisant "d'impossibles" guérisons à l'aide d'une seule recette, l'Amour, clé d'un univers entièrement
vivant. Ses disciples voient en lui un maître authentique. Pionnier d'une médecine de l'énergie touchant à l'essence même des êtres, il lit dans leur aura le destin des peuples et des individus.
Comment s'étonner, dès lors, si les grands comme les petits font appel à lui ? Nicolas II, tsar de toutes les Russies, le reçoit en ami..
----------------------------------------------------------------------- Carl Gustav Jung Fils de pasteur, Carl Gustav Jung est né le 26
juillet 1875 à Kesswil, au bord du lac de Constance en Suisse. Ses années au collège de Bâle l’ont conduit à s’intéresser aux sciences naturelles, à la philosophie, à la
religion. https://www.cgjung.net/qui.htm ----------------------------------------------------------------------- Film "La vie est belle" https://www.youtube.com/watch?v=D3-KV8pyLQg&ab_channel=PutoisBlogueur
---------------------------------------------------- Neuvaine https://fr.wikipedia.org/wiki/Neuvaine#:~:text=Une%20neuvaine%20(du%20latin%20novem,de%20soupir%20et%20de%20pri%C3%A8re.
Les Choristes - Making-of "Partie 1" (2004) https://www.youtube.com/watch?v=G2LiKHLndIw&ab_channel=RCADistribution
----------------------- Le Cercle des poètes
disparus Todd Anderson, un garçon plutôt timide, est envoyé dans la prestigieuse académie de Welton, réputée pour être l'une des plus fermées et austères des
États-Unis, là où son frère avait connu de brillantes études.C'est dans cette université qu'il va faire la rencontre d'un professeur de lettres anglaises plutôt étrange, Mr Keating, https://www.allocine.fr/personne/fichepersonne-1191/filmographie/top/ Robin Williams, incarnation du prof idéal https://cursus.edu/articles/32854/robin-williams-incarnation-du-prof-ideal ----------------------- LE MAÎTRE D'ÉCOLE avec Coluche Gérard Barbier,
vendeur de jeans, est renvoyé. Possesseur du baccalauréat, il décide de devenir instituteur suppléant. Nommé dans une école, il s'aperçoit vite que le métier d'instituteur n'est pas comme il
l'imaginait... https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=5517.html ------------------------------------ MUSIQUE !!!!! Johnny Hallyday a bien rempli sa mission, il a chanté l'Amour durant 60 ans et a donné du bonheur aux humbles Le 5 décembre 2017, Johnny Hallyday nous quittait. La France entière a été bouleversée par le départ de celui qui partageait notre vie depuis plus de 60 ans. Un
hommage national a été rendu à ce monument. Jean-François Chenut, témoin privilégié de l’immense carrière du rocker, 110 concerts et réalisation de projets les plus fous, retrace en images et en
photos avec des documents rares et inédits, l’histoire du plus grand chanteur français depuis sa découverte avec l’émission historique «Salut les copains» jusqu’à son dernier show avec les
«Vieilles Canailles». Jean-François Chenut, publicitaire, formateur en management du sport, fan de Johnny, a suivi les temps forts de la carrière de la star à Canal +, à RTL, fondateur du Johnny
club de la pub, a aussi collaboré au magazine du fan club, animé sur Internet un forum sur le chanteur. Il est consultant pour Universal Music sur l’exploitation du fond musical de
Johnny. La presse en parle "De Salut les copains à ses obsèques en passant par les concerts anniversaires de ses 50, 60, 70 ans, découvrez dans cette édition revue et richement augmentée les
60 ans de scène de l'artiste. L'auteur, fan de la première heure (110 concerts à son actif), livre au lecteur tous ses secrets et anecdotes sur celui qui a été pendant longtemps l'idole des
jeunes. Un beau livre illustré incontournable pour rendre hommage au rockeur mythique de la chanson française". https://livre.fnac.com/a6110493/Jean-Francois-Chenut-Johnny-Hallyday https://www.youtube.com/watch?v=sPJK4o_5Pg0&ab_channel=ParislaNuit Et oui, pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je suis fan de notre Jojo national qui a ouvert les Champs-Elysées au Peuple pour son départ en musique. Nous
y retournerons très bientôt pour fêter la VICTOIRE. Je vous donne RDV avec des drapeaux, de la couleur, en
fanfare... ------------------------------------------------------------ Une prière en musique :
Du jamais vu depuis le Moyen-Âge : c’est quoi cet alignement planétaire exceptionnel qui aura lieu le 21 décembre ?
Les spécialistes appellent cela « la Grande conjonction ». Le 21 décembre, Jupiter et Saturne, deux des astres les plus lumineux dans notre voûte céleste, vont se rapprocher,
formant une sorte de « double planète » vue de la Terre. Ce phénomène astronomique, qui n’était pas arrivé depuis 800 ans, va mériter le coup d’œil. Explications.
Les astronomes, amateurs ou professionnels, vont se régaler. Depuis l’été, les planètes Jupiter et Saturne se sont petit à petit rejointes et, dans quelques semaines, elles seront
particulièrement proches, vues de la Terre.
« Elles seront séparées par un espace pas plus grand qu’un cinquième du diamètre d’une pleine lune », précise l’astronome américain Patrick Hartigan, sur le site de l’université
Rice, à Houston.
Le résultat visible dans le ciel sera exceptionnel : ces deux astres qui font partie des plus lumineux dans notre voûte céleste, donneront l’impression de former une double planète.
Quand aura lieu ce phénomène astronomique ?
Les spécialistes ont fait le calcul. Cette synchronisation de planètes s’opérera entre le 16 et le 25 décembre 2020. Et c’est lors du solstice d’hiver, le 21 décembre, que
Jupiter et Saturne seront les plus proches.
Pourquoi cet alignement planétaire est-il si exceptionnel ?
Ce spectacle, en plus d’être captivant, est peu fréquent. « Ces conjonctions se produisent une fois tous les vingt ans environ, mais celle de cette année est
exceptionnellement rare en raison de la proximité des deux planètes l’une par rapport à l’autre, a déclaré Patrick Hartigan, dans un communiqué de son université. Il faut remonter au
4 mars 1226, juste avant l’aube, pour voir un tel alignement. »
Que pourra-t-on observer exactement le 21 décembre ?
La paire de planètes apparaîtra dans le ciel nocturne pendant environ une heure, après le coucher du soleil, chaque soir, entre le 16 et 25 décembre. À la date du solstice de
décembre, le 21 décembre, les deux astres vont presque sembler entrer en collision. On pourra alors observer un seul point de lumière particulièrement brillant,
indique le magazine Forbes.
Cette impression de « double planète » ne sera qu’un effet d’optique vu de la Terre. En réalité, Jupiter et Saturne ne seront pas du tout proches. En unité astronomique (UA),
mesure utilisée par les astronomes qui correspond à la distance de la Terre au Soleil, Jupiter sera à 5 UA de nous et Saturne à 10 UA.
Tout le monde pourra-t-il en profiter ?
Il faudra se trouver près de l’équateur pour avoir les meilleures conditions d’observation. Mais l’événement sera observable partout sur Terre, si la météo le permet et offre une vue
dégagée du ciel. Selon l’astronome américain, le duo de planètes apparaîtra dans le ciel occidental pendant environ une heure après le coucher du soleil chaque soir.
Pour profiter de ce spectacle inédit, les spectateurs dans l’hémisphère Nord devront être à l’heure car ce sont eux qui verront le moins longtemps la conjonction, qui sera
particulièrement basse dans le ciel et s’enfoncera donc très rapidement dans l’horizon, une fois le soleil couché. Heureusement, les planètes seront suffisamment lumineuses pour être vues
au crépuscule.
Pour ceux qui ne sauraient pas où regarder, l’astronome conseille des logiciels pour vous aider, indiquant la direction à observer suivant où vous vous trouvez, comme Stellariumpar exemple.
Les planétariums français ne devraient pas rater le spectacle. En Bretagne, par exemple, le rendez-vous est déjà pris à Pleumeur-Bodou (Côtes-d’Armor).
Reverra-t-on un jour ce phénomène ?
Si vous loupez ce spectacle, vous aurez peut-être la chance de le revoir. Du moins les plus jeunes d’entre nous. Il faudra attendre soixante années, le 15 mars 2080 exactement,
prévient l’astronome américain. Une telle apparition ne risque ensuite plus de se produire de sitôt : après l’an 2400, estiment les spécialistes.
Jupiter et Saturne n’auront jamais été aussi près sur la voûte céleste depuis le Moyen-Âge. La dernière fois qu’on a vu un tel alignement, cela remonte au
XIIIe siècle.Observer les deux astres dans un même champ de vision est exceptionnel. Les deux planètes apparaîtront en un seul point de lumière particulièrement brillant.
L’avis d’Eveilhomme : Ce mois de Décembre s’annonce exceptionnel vibratoirement avec une éclipse de lune hier, l’alignement fantastique Saturne-Jupiter et une éclipse de Soleil le 14/12/2020
(la 13ème du siècle). Ainsi œuvrons à nous aligner également en nous et à appeler, amener les énergies d’Amour et de Lumière de la Source sur Terre et pour l’Humanité. Nous vous proposons à cet
effet, une méditation guidée pour vous accompagner journalièrement si vous le souhaitez. Namasté
D’après certains témoignages, Joe Biden se prépare à concéder l’élection présidentielle et tend la main à Trump pour négocier une grâce pour tous les crimes commis par lui-même et les membres de
sa famille.
Cette affirmation, attribuée à une « source très fiable », a été diffusée par Lude Media (Gnews.org), le même groupe qui a été le premier à révéler la vérité sur l’ordinateur portable
de Hunter Biden et tout le contenu scandaleux qu’il contenait.
Un tel accord protégerait bien sûr les Biden mais servirait essentiellement à vendre Obama, Brennan et d’autres acteurs de l’État Profond qui ne veulent pas être poursuivis pour trahison et qui
sont très capables, par exemple, de casser les chevilles de quelqu’un pour l’amener à se conformer à leurs règles. L’histoire officielle sur la récente blessure de Biden est que Joe Biden s’est
fracturé la cheville en « promenant son chien », mais personne ne le croit, sauf les ceux qui ne comprennent rien à ce qui se passe en réalité.
Cette affirmation selon laquelle Biden cherche à obtenir un accord de concession, qui n’est pas encore confirmée par d’autres sources, est couverte par le podcast de la mise à jour de la
situation d’aujourd’hui que j’ai posté ci-dessous. Voici la vidéo de GTV (Guo / Lude Media) où cette affirmation non confirmée est faite :
Également abordé dans le point de la situation d’aujourd’hui (30 novembre)
Le devoir de Lin Wood pour les patriotes.
Les devoirs de Lin Wood pour les patriotes.
Le 57e NSAM – Mémorandum d’action sur la sécurité nationale.
Ordonnance d’urgence sur les machines à voter de Géorgie.
La transition de l’accent juridique vers la fraude électorale criminelle, et pas seulement des arguments civils.
Les trois théâtres de guerre : constitutionnel (civil), extraconstitutionnel (sécurité nationale) et nous le peuple (briser le verre en cas d’urgence).
L’effort du FBI pour mettre un terme à toutes les enquêtes réelles sur la fraude électorale.
Comment les patriotes se battent-ils dans les trois couches de la guerre moderne: guerre de l’information, guerre psychologique, guerre cybernétique.
Comment prendre le contrôle de son propre état mental et éviter d’être aspiré au désespoir par les médias mensongers.
« Vous souvenez-vous de l’annonce de la création d’une monnaie mondiale annoncée en couverture de The Economist (9 janvier 1988) sous la forme d’un phoenix ?
Selon l’article qui accompagne cette couverture, cette monnaie mondiale devait voir le jour dans un délai de 30 ans (soit à l’horizon 2018) [1].
Il sort d’un « œuf-Covid-19 ». Ce
qui semble évoquer que la crise sanitaire n’est que l’outil (l’allume-gaz si l’on peut dire) pour parachever un idéal ancien d’unité planétaire doublée d’une spiritualité bien définie.
Il semble être une symbiose entre une créature
biologique et numérique (il est constitué de 0 et de 1). Cela nous rappelle les propos récents de Klaus Schwab, patron du forum économique de Davos, qui n’hésite pas à affirmer que la grande
réinitialisation, qui est la quatrième révolution industrielle, se prépare sur fond de transhumanisme : « une fusion de notre identité physique, numérique et biologique »… et voyez ici la
suite.
Et les ailes sont faites en nœuds ce qui
semble être une référence aux cryptomonnaies. Est-ce que cela annonce la création d’une monnaie numérique ?
On peut voir aussi des constellations
au-dessus et autour de la tête de l’oiseau.
Bon an, mal an, les pièces du puzzle semblent bien se mettre en place ».
Covid 1984 : le Ministre Socialiste Belge de la Santé avoue que la Fermeture des Commerces n’avait Pas de Fondement Sanitaire mais visait à créer un Electrochoc parmi la Population
(vidéo)
En Belgique, tous les commerces rouvriront ce 1er décembre après plusieurs semaines de deuxième confinement. Le ministre fédéral de la santé Frank Vandenbroucke (socialiste flamand) a
scandalisé la population en avouant à la télévision flamande que le risque de contamination dans les magasins est faible et que la décision de fermer les commerces prise il y a un
mois n’avait d’autre but que de créer un électrochoc.
Le ministre doit maintenant faire face à une avalanche de critiques. De nombreux commerces sont condamnés à la faillite. Beaucoup de commerçants sont dans une détresse sociale qui a
également d’importantes conséquences psychologiques et de santé. Des suicides de commerçants ont fait la une des médias belges.
De tels ministres ne devraient-ils pas être poursuivis devant la Justice et condamnés lourdement ?
Le chiffre paraît énorme et pourtant, c'est ce qu'affirme Charles Prats, magistrat en charge de la lutte contre la fraude aux finances publiques au ministère des Finances de 2008
à 2012. Auditi...
Je ne résiste pas au plaisir de partager le résultat de cette expérience réalisée par Puran Bair en 1997, qui prouve, avec une vraie démarche scientifique, les capacités du cœur à émettre de la
lumière physique (photonique).
Ces expériences rejoignent celles du Docteur Fritz-Albert Popp, qui a écrit un livre sur la biologie de la lumière (bases scientifiques du rayonnement cellulaire ultra-faible). Il est très connu
pour ses travaux de communication cellulaire par l’intermédiaire de biophotons.
Mais ce sont ici les expériences de Puran Bair qui nous intéressent, qui est à l’origine de la création de l’institut de méditation appliquée aux États-Unis. Ce qui est fascinant dans les
résultats présentés, c’est que l’émission photonique du cœur est faible et aléatoire quand le sujet utilise des techniques sophistiquées d’origine Soufi. A l’inverse quand il dirige son intention
sur la guérison d’une personne, l’émission devient stable et puissante.
Voilà de quoi nous faire réfléchir à la fois sur le pouvoir de l’intention et sur la puissante de l’empathie et de la connexion cardiaque !
Merci à Eric pour la trouvaille et la traduction !
LUMIÈRE VISIBLE ÉMISE PAR LE CŒUR AVEC MÉDITATION DU RYTHME CARDIAQUE
Puran Bair, M.S.
Résumé
Des recherches menées à l’université de Kassel à Witzenhausen, en Allemagne, en 1997, ont montré qu’il est possible de produire de la lumière visible à partir de la région thoracique dans
certaines conditions. La première condition est que la technique de méditation doit être centrée sur le cœur, et non transcendante. Deuxièmement, une personne spécifique ayant un besoin réel doit
être identifiée comme récepteur de la lumière transmise. Dans ces conditions, une émission de lumière soutenue de 100 000 photons par seconde a été mesurée, alors que seul le bruit de fond de 20
photons par seconde a été observé sans méditation.
DESCRIPTION DE L’ÉQUIPEMENT
TUBE PHOTOMULTIPLICATEUR
Le tube était un EMI Type 9635 QA à très haute efficacité, spécialement sélectionné pour le mode de comptage de photons uniques. Des intensités lumineuses allant jusqu’à 10-17 watts sont
mesurables avec ce tube. Le tube est sensible dans la plage de 200 nm (ultraviolet) à 630 nm, où la sensibilité diminue fortement de manière à exclure les photons thermiques (infrarouge) à
compter. Le taux de comptage dans l’obscurité sans substrat était de 12 photons/seconde, le taux de comptage dans l’obscurité dans la chambre noire était de 20 photons/seconde.
PRÉAMPLIFICATEUR/DISCRIMINATEUR
Le préamplificateur/discriminateur amplifie le signal initialement très faible à un niveau de 5 volts et supprime les sources “artificielles” de photons
LOGEMENT RÉFRIGÉRÉ
Le refroidissement sert à maintenir le taux de comptage des obscurs extrêmement bas. Nous avons utilisé un système de refroidissement de type Peltier capable de refroidir le boîtier du tube de la
température ambiante à -25C. Les mesures ont été prises à -20C.
MATÉRIEL ET LOGICIEL
Le logiciel et le matériel ont été spécifiquement conçus par ALV de Langen, en Allemagne, un spécialiste de renommée internationale pour les applications laser et les mesures de très petites
particules (un de leurs projets était avec la NASA). Le logiciel a été conçu pour faire fonctionner l’équipement en mode de comptage de photons uniques.
CHAMBRE NOIRE
Pour cette expérience, la chambre noire a été entièrement recouverte d’un tissu noir absorbant la lumière, de sorte que le nombre total de photons sans objet à mesurer n’était que de 20 photons
par seconde.
Figure 1. Installation expérimentale.
PROCÉDURE EXPÉRIMENTALE
L’équipement a été mis en place et contrôlé par Winfried Fuchshofen, qui était à l’époque doctorant à l’université de Kassel (figure 1). Le méditant était Puran Bair, co-fondateur de l’Institut
de Méditation Appliquée.
Le méditant s’est déshabillé et est entré dans la chambre sombre et climatisée, qui a ensuite été scellée. À l’intérieur de la chambre, de la taille d’un placard, se trouvaient des couvertures
noires que le méditant enroulait autour de lui pour se réchauffer. Au bout d’une heure environ, l’ordinateur a affiché un comptage de fond de 20 photons/seconde dans la chambre, que le méditant
soit nu ou enveloppé. Ce délai d’une heure était nécessaire pour dissiper la fluorescence du corps, car il émet la lumière qu’il a absorbée de la lumière ambiante extérieure. La nudité était
nécessaire pour éliminer la florescence des tissus et pour éviter les décharges électriques statiques.
Au début, le méditant essayait de s’asseoir avec l’extrémité du boîtier refroidi contre sa poitrine nue. Cependant, cela s’est avéré inconfortable car le tube métallique était assez froid, relié
au photomultiplicateur refroidi à l’hélium liquide, et il ne pouvait pas mettre ses jambes sous la table, donc s’asseoir était gênant. On décida donc de s’asseoir droit sur une chaise, la
poitrine à environ un mètre du boîtier.
À ce moment-là, le méditant commença une série de méditations destinées à augmenter l’énergie de la colonne vertébrale et du cœur et à faire rayonner la lumière. Ces méditations comprenaient des
pratiques de kundalini, des invocations de la lumière divine et le dhikr.
LES PRATIQUES DE KUNDALINI
Dans ces méditations, l’énergie est tirée de la colonne vertébrale de la terre en utilisant une forte inhalation avec cette visualisation. Ensuite, le souffle est retenu, l’attention étant placée
au-dessus de la couronne. L’expiration est pleine et complète, forçant l’énergie à descendre (vue du haut de la couronne) le long de la colonne vertébrale, puis à avancer du cœur. Cette pratique
est extrêmement énergique, ce qui donne une sensation d’extase et de rayonnement.
INVOCATIONS DE LA LUMIÈRE DIVINE
Ce sont des méditations soufies qui utilisent des chants, à haute voix et en silence, pour créer des vibrations qui stimulent le cœur et le troisième œil. Plus précisément, les mots arabes Nur et
Mu-now-wirr sont prononcés lentement, en mettant l’accent sur les voyelles, ce qui fait résonner le son dans la gorge et la poitrine. Ils donnent la sensation d’avoir un soleil miniature dans la
poitrine.
DHIKR
La répétition de la phrase arabe “La illaha illa ‘llah Hu” est une prescription ancienne pour entrer dans la conscience de l’Etre Unique. Elle est exécutée avec l’attention portée sur le cœur
comme centre de l’expérience et donne un sentiment de profonde centralité du cœur.
PREMIERS RÉSULTATS
Il y a eu quelques mesures brèves et erratiques de 37 000 à 45 000 photons/seconde pendant que le méditant méditait (figure 2). Ensuite, il y a eu des périodes de 10 à 20 minutes sans relevés,
puis à nouveau de brèves périodes de quelques secondes de lumière. Lorsque la lumière était mesurée, l’expérimentateur communiquait les résultats au méditant par une liaison audio
unidirectionnelle (l’expérimentateur avait un microphone et le méditant portait des écouteurs.) Cette performance erratique était très frustrante pour le méditant, qui essayait d’utiliser le
retour d’information comme un guide vers une sortie de lumière plus fiable. Aucune des méditations n’a produit de résultats cohérents, mais toutes ont produit de la lumière à certains moments.
INTERMISSION
Après environ dix heures de méditation, l’expérience a été annulée et le méditant est sorti de la chambre. L’expérimentateur et le méditant se sont retirés chez l’expérimentateur pour le dîner.
Le fils de l’expérimentateur, âgé d’environ quatre ans, avait attrapé un gros rhume. Le méditant, découragé par les efforts de la journée, se retira dans sa chambre et dormit.
Tôt le matin, le méditant s’est réveillé avec une intense perspicacité : le jeune garçon avait besoin de lumière pour sa guérison. À 8 heures du matin, l’expérience a repris. Figure 3.
Mesures des photons par seconde.
RÉSULTATS
Après que le méditant ait passé une heure dans la chambre noire, le comptage du fond est revenu à 20 photons/seconde (figure 3). Ensuite, le méditant a fait une méditation de guérison au cours de
laquelle il a placé mentalement le garçon malade devant lui et a “envoyé de la lumière” au garçon sur l’expiration venant de son cœur. Il s’agit d’une technique de méditation du rythme cardiaque.
Il s’agissait, par rapport aux méditations complexes et intenses de la veille, d’une méditation plutôt simple et facile. L’effort demandé au méditant était émotionnel plutôt que mental et très
mineur par rapport aux précédentes épreuves de concentration intense. L’ordinateur a mesuré 100 000 photons/seconde de façon constante pendant une demi-heure, jusqu’à ce que la méditation soit
arrêtée. Cela suffisait pour que la lumière soit à peine visible. On a estimé que 1000 photons/seconde pénétrant dans l’œil suffisent à créer une sensation visible. En fait, seuls quelques
photons/seconde frappant la rétine sont suffisants, mais le globe oculaire absorbe près de mille photons/seconde dans son cristallin et son liquide.
À titre de comparaison, le méditant a ensuite déballé sa montre-bracelet qui avait un cadran fluorescent et l’a tenue devant sa poitrine. L’ordinateur a indiqué 1 million de photons/sec. Dans la
chambre noire, avec ses yeux ajustés à l’obscurité absolue, la lumière du cadran de la montre-bracelet semblait être assez forte pour lire.
CONCLUSION
La génération de lumière a finalement été obtenue par la combinaison d’une technique de méditation efficace et de l’intention d’envoyer de la lumière à un patient spécifique ayant besoin de
guérison. La technique de méditation utilisée s’appelle la méditation du rythme cardiaque et est détaillée dans le livre “Living from the Heart” (Random House, 1998), écrit par le méditant. Sans
intention de guérison, malgré tous ses efforts en utilisant une variété de méditations qu’il avait maîtrisées, le méditant n’était pas capable de générer des émissions de lumière constantes.
La quantité de lumière émise par sa poitrine et atteignant un photomultiplicateur situé directement devant lui, à trois pieds de distance, était supérieure de deux ordres de grandeur à ce qui est
nécessaire pour la visibilité, et inférieure d’un ordre de grandeur à ce qui est nécessaire pour lire avec des yeux réglés sur l’obscurité.
Les résultats servent d’avertissement à ceux qui mènent des expériences objectives dans l’énergie subtile où il n’y a pas besoin d’une véritable guérison. Il semble qu’un sujet récepteur connu et
spécifique soit nécessaire pour donner du pouvoir au sujet émetteur.
L’émission de lumière sous d’autres angles et à partir d’autres parties du corps n’a pas été testée. En outre, la fréquence de la lumière n’a pas été mesurée, mais seulement l’amplitude dans la
plage de sensibilité de l’instrument.
CORRESPONDANCE : Puran Bair – Institut de Méditation Appliquée – P.O. Box 86149 – Tucson, AZ 85754
RÉFÉRENCES ET NOTES
Puran Bair, Living From the Heart (Random House, New York, NY, 1998).
Source: lifesitenews.com (LifeSiteNews) 23 Novembre 2020
Par Patrick Delaney Follow Trad. Strategika Photo: Reuters Dado Rivic
Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et scientifique en chef pour les allergieset les maladies respiratoires, déclare que la campagne pour
un vaccin universel à “une odeur de soufre” à laquelle il “s’opposera vigoureusement“.
Alors que Pfizer Pharmaceuticals a fait la une des journaux en annonçant en grande pompe la sortie imminente de son vaccin COVID-19, un ancien vice-président et responsable scientifique de la
société a catégoriquement rejeté la nécessité de tout vaccin pour mettre fin à la pandémie de COVID-19.
Dans un article récent, article, le Dr Michael Yeadon, qui “a passé plus de 30 ans à
diriger la recherche sur les nouveaux médicaments [contre les allergies et les maladies respiratoires] dans certaines des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde” et qui a pris sa
retraite de Pfizer avec “le poste de recherche le plus élevé dans ce domaine“, a écrit :
“Il n’y a absolument pas besoin de vaccins pour éteindre la pandémie. Je n’ai jamais entendu un telle absurdité que de parler de vaccins. On ne vaccine pas les personnes qui ne sont pas
menacées par une maladie. On ne se lance pas non plus dans la planification de la vaccination de millions de personnes en bonne santé avec un vaccin qui n’a pas été testé de manière approfondie
sur des sujets humains“.
Les commentaires du ressortissant britannique arrivent à la fin d’une critique détaillée du Scientific Advisor Group for Emergencies (SAGE), une agence gouvernementale du Royaume-Uni chargée de
conseiller le gouvernement central en cas d’urgence. Le SAGE a joué un rôle prédominant dans la détermination des politiques de confinement public au Royaume-Uni, y compris celles récemment mises
en œuvre, recentlyimplemented, en réponse au virus COVID-19.
Après avoir souligné que le SAGE manquait d’une expertise essentielle dans le domaine qu’il traite, sans “aucun immunologiste clinique” parmi ses membres, Yeadon souligne deux erreurs
fondamentales le SAGE a commises dans ses présupposés et qui font que ses conclusions générales sont radicalement erronées, conduisant à “torturer la population depuis environ sept
mois“.
Première erreur fondamentale : Présomption “ridicule” de 100% de sensibilité des populations.
La première hypothèse erronée de SAGE est que “100% de la population était sensible au virus et qu’il n’existait aucune immunité préexistante“.
Yeadon déclare que cette idée est “ridicule car si le SRAS-CoV-2 est effectivement nouveau, les coronavirus ne le sont pas. Il n’existe pas de “virus sans ancêtre“”. En effet, il
souligne qu’il existe au moins “quatre coronavirus endémiques, en période froide, qui circulent librement au Royaume-Uni et ailleurs“. Ceux qui ont été infectés par “un ou plusieurs
de ces coronavirus endémiques produits en période froide dans le passé, ont une immunité [des cellules T] robuste et de longue durée, non seulement contre ces virus, mais aussi contre des virus
étroitement apparentés. Le SRAS-CoV-2 est l’un de ces virus étroitement liés“.
S’attaquant une fois de plus à la compétence du SAGE, le Dr. Yeadon déclare: “Ne pas s’attendre à un tel croisement est … démontrer le manque de compréhension nécessaire pour construire un
modèle suffisamment fiable pour être utilisé“.
Il ajoute que le test PCR communément utilisé pour détecter les “cas” de COVID-19 peut s’avérer positif lorsqu’une personne est infectée par l’un de ces coronavirus froids communs, ce qui rend ce
test beaucoup moins fiable. Bien entendu, sur la base des résultats finaux de ces tests, plusieurs milliers d’individus ont reçu l’ordre de perturber leur vie et de se mettre en
“auto-quarantaine” pendant une période pouvant aller jusqu’à 14 jours.
Enfin, s’appuyant sur les données scientifiques, le Dr Yeadon conclut qu’en raison d’une exposition antérieure aux coronavirus froids communs, “une proportion significative (30 %) de la
population est entrée en 2020 armée de cellules T capables de les défendre contre le CoV-2 du SRAS, même si elle n’avait jamais vu le virus… SAGE a eu naïvement tort de supposer que “tout le
monde était sensible“”.
Deuxième erreur fondamentale : Une “sous-estimation d’amateur” du taux d’infection
La deuxième hypothèse erronée de SAGE est “la croyance selon laquelle le pourcentage de la population qui a été infectée peut être déterminé en enquêtant sur la fraction de la population qui
a des anticorps“, développée en raison de l’infection par COVID-19.
En raison de cette hypothèse, “SAGE estime que moins de 10% de la population a été infectée jusqu’à présent par le SRAS-CoV-2“.
Toutefois, M. Yeadon précise qu’il est “bien entendu que toutes les personnes infectées par un virus respiratoire ne produisent pas d’anticorps. Et beaucoup de personnes, ayant une immunité
préalable, ne sont jamais véritablement infectées de toute façon“.
Alors que presque toutes les personnes présentant des symptômes importants, qui ont été admises à l’hôpital, produisent des anticorps, celles qui ont des “réponses plus légères au virus”
ne “produisent pas toutes des anticorps“. Néanmoins, il a été démontré que toutes les personnes infectées ont “des cellules T dans leur sang, capables de répondre au
SRAS-CoV-2“, et qu’elles développent donc toujours une immunité.
S’appuyant sur deux méthodes indépendantes, qui aboutissent à la même conclusion générale, Yeadon démontre que le taux d’infection réel se situe “entre 20 et 30 %“, et que l’estimation
de 7 % du SAGE “est une sous-estimation grossière d’amateurs”.
Pourquoi est-il important de dire… “la pandémie est effectivement terminée“
Avec une fausse présomption que 100% de la population est sensible au virus, alors que seulement 7% ont été infectés, SAGE estime que “la pandémie ne fait que commencer“. Yeadon précise
cependant qu’il s’agit là d’une “évidenteabsurdité“.
Comme il est démontré qu'”environ 30 % de la population avait une immunité antérieure“, et si l’on inclut certains jeunes enfants “résistants“, 40 %, et tout en considérant que
le taux d’infection est “quelque part entre 20 à 30 %“, cela signifie qu’environ 65 à 72 % de la population a actuellement une immunité contre la COVID-19.
Et si l’on considère la réalité de l’immunité collective, lorsque la sensibilité à un virus tombe aussi bas, aux alentours de 28 à 35 %, “cette population ne peut plus supporter une épidémie
en expansion“, et donc le virus “s’affaiblit et disparaît“.
Par conséquent, conclut M. Yeadon, “la pandémie est effectivement terminée et peut facilement être gérée par un NHS (National Health Service) qui fonctionne correctement. En
conséquence, le pays devrait être immédiatement autorisé à reprendre une vie normale“.
Il précise en outre qu’il est “fou de rage devant les dégâts” que le SAGE a “infligés” au Royaume-Uni, en accusant celui-là d’avoir été “irrémédiablement incompétent”
ou “malhonnête“, et donc “qu’il devrait être dissous immédiatement et reconstitué“, car “il n’a même pas compris les bases nécessaires pour construire un modèle et parce que
ses modèles sont souvent effroyablement inutiles“.
Inquiétudes concernant le vaccin COVID-19 de Pfizer : Graves complications
Bien que l’on estime que 65 à 72% de la population soit maintenant immunisée contre COVID-19, un pourcentage qui indique un niveau critique d’immunité collective, l’opération Warp Speed aux
États-Unis semble vouloir suivre la campagne mondialiste avancée par Bill Gates et vacciner les 328 millions de personnes du pays avec le produit Pfizer ou d’autres produits dont la distribution
sera approuvée dans les prochains mois.
Bien qu’aucun vaccin n’ait jamais été développé avec succès pour aucun coronavirus, et qu’un tel effort prendrait normalement des années à être mené à bien de manière sûre et adéquate, la Food
and Drug Administration (FDA) a autorisé l’accélération de ce processus en sautant l’étape standard des tests sur les animaux pour tester directement ces vaccins sur les
humains.
Les résultats immédiats de certains de ces essais ont fait apparaître des complications “graves“, impliquant des maux de tête, de la fièvre, des douleurs corporelles et des symptômes
semblables à une “gueule de bois sévère”. En outre, comme l’a souligné le New York Times, l’affirmation initiale de Pfizer selon laquelle son vaccin était “efficace à plus de 90 %”
a été “présentée dans un communiqué de presse, et non dans une revue médicale disposant d’un comité de lecture“. Il ne s’agit pas d’une preuve concluante que le vaccin est sûr et
efficace“.
Un volume élevé d’effets indésirablesattendu
Et étant donné l’ampleur de l’objectif déclaré, qui est d’administrer ces produits chimiques à des centaines de millions de personnes, alors que l’utilisation des vaccins entraîne normalement un
certain taux de complications graves, les résultats négatifs peuvent être importants. Par exemple, une étude sur les vaccins antigrippaux administrés aux adultes de plus de 65 ans a révélé un
taux d’environ 1 % d’effets secondaires graves. Si un vaccin COVID-19 est simplement similaire pour des individus de la même tranche d’âge (54M de population), cela équivaudrait à 540 000
individus de cette seule tranche d’âge qui pourraient avoir besoin de soins médicaux dans un système hospitalier qui fournit moins de 925 000 lits au total.
Curieusement, il est prouvé que le Royaume-Uni se prépare à un nombre élevé d’effets indésirables dus aux vaccinations COVID-19. L’Agence de réglementation des médicaments et des produits de
santé (MHRA) de ce gouvernement a publié un appel d’offres indiquant que “pour des raisons d’extrême urgence“, ils recherchent “un outil logiciel d’intelligence artificielle (IA)
pour traiter le volume élevé prévu d’effets indésirables du vaccin COVID-19“. On nous explique ensuite qu'”il n’est pas possible de mettre à niveau les systèmes existants de la MHRA pour
traiter le volume d’EIM qui sera généré par un vaccin Covid-19“, et que cela “représente une menace directe pour la vie des patients et la santé publique“.
Nouvelle technologie d’ARNm “non éprouvée” : 20% de “taux de blessures graves”.
Le vaccin de Pfizer suscite d’autres inquiétudes, car il serait le premier à utiliser “une plate-forme technologique encore non éprouvée qui repose sur quelque chose appelé ARN messager,
généralement raccourci en ARNm“. Moderna, une autre société qui s’efforce de développer un vaccin COVID-19, s’aventure également à utiliser cette plateforme d’ARNm. En mai, Children’s Health
Defense a rapporté que les essais cliniques du vaccin de Moderna avaient un “taux de blessures graves” de 20% dans son groupe à forte dose.
Debi Vinnedge, directrice exécutive de Children of God for Life, une organisation pro-vie spécialisée dans l’évaluation morale des vaccins, a déclaré à LifeSiteNews : “Si Moderna et Pfizer
fournissent les premières séries de vaccins et qu’ils le mandatent, cela pourrait être un désastre. Ils utilisent tous deux une toute nouvelle technologie avec l’ARNm qui n’a jamais été utilisé
dans un vaccin auparavant et ils font en sorte que cela se fasse en quelques mois de tests, au lieu des 4 à 6 ans de tests habituels“.
Mandats et méfiance du public
Alors que la pression en faveur des mandats de vaccination est en hausse et que la résistance à ces mesures invasives se fait jour, une étude récente indique un malaise croissant des Américains à
l’égard des vaccins en général.
Un rapport de Civic Science (CS) indique “une baisse constante du pourcentage d’adultes américains qui se disent “très” à l’aise avec les vaccins en général“. En fait, selon CS, “le
pourcentage mensuel de ceux qui sont très à l’aise avec les vaccinations en général a diminué de plus de vingt points de pourcentage depuis le début de 2020 (69% en janvier contre 47% en
octobre)“.
En outre, “seulement 22 % des personnes interrogées déclarent qu’elles se feraient vacciner immédiatement“, et CS conclut, “il est clair que l’hésitation à recevoir un futur vaccin …
se répand dans tout le pays” et cela “montre à quel point il est difficile pour beaucoup de faire confiance à un futur vaccin dès maintenant“.
Manipulation du public
Afin de contrer cette tendance, l’université de Yale, en collaboration avec le gouvernement américain, a parrainé une étude visant à déterminer les moyens les plus efficaces de persuader les
Américains de se faire vacciner contre le COVID-19.
L’étude teste diverses approches, telles que les appels à la “liberté personnelle”, au “bénéfice économique“, à l'”intérêt personnel“, la crainte de la “culpabilité“,
de l'”embarras” et le fait d’être réellement un lâche.
Si plusieurs de ces appels sont des arguments simples, d’autres laissent entrevoir une volonté d’utiliser la honte publique pour obtenir le respect des règles.
L’un d’eux, par exemple, “demande au participant d’imaginer la culpabilité qu’il ressentira s’il ne se fait pas vacciner et s’il propage la maladie“, avec des variantes où la culpabilité
est échangée contre la colère ou l’embarras. Un autre suggère que celui qui refuse la vaccination “ne comprend pas comment les infections se propagent ou ignore la science“. Un autre
déclare que “ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre le COVID-19 ne sont pas courageux“.
Les conclusions de cette étude influenceront probablement le message des fonctionnaires et des institutions universitaires qui ont discuté de l’obligation de vaccination, ainsi que les campagnes
publicitaires entourant un vaccin une fois celui-ci terminé.
Pression surles communautés noires et les enfants
D’autres stratégies de coercition sont en cours d’élaboration, notamment le “regroupement” des mandats de vaccination “avec d’autres services de sécuritésociale” pour
les pauvres, y compris “l’aide alimentaire, l’aide au loyer et les services de clinique gratuite” pour les “populations vulnérables“, avec une mention spéciale pour les
“communautés noires et minoritaires“.
Et le District de Columbia (DC) avance un projet de loi qui contourne le consentement parental lorsqu’il s’agit de vacciner leurs enfants mineurs. Le “Minor Consent for Vaccinations Amendment
Act of 2019″, stipule que “ce projet de loi permet à un mineur de tout âge de consentir à recevoir un vaccin lorsque la vaccination est recommandée par le Comité consultatif des
États-Unis sur les pratiques d’immunisation“. Il établit également que “si un mineur est capable de comprendre la nécessité, la nature et les risques importants inhérents aux soins
médicaux, alors le consentement éclairé est établi“.
Selon The Vaccine Reaction, “Le projet de loi permettrait non seulement aux enfants âgés de 11 ans et plus de donner leur consentement pour que les médecins et autres administrateurs
de vaccins leur administrent des vaccins à l’insu de leurs parents ou sans leur consentement, mais il exigerait également que les compagnies d’assurance, les administrateurs de vaccins et les
écoles cachent aux parents que l’enfant a été vacciné“.
Le rapport précise que “si ce projet de loi est adopté, il est clair que les enfants mineurs risquent de subir des pressions et d’être contraints à se faire vacciner contre le COVID-19 dans
le dos de leurs parents“.
Pfizer, un “criminel en série reconnu coupable”
Robert F. Kennedy Jr, neveu de l’ancien président américain John F. Kennedy, avocat spécialiste de l’environnement, auteur et fondateur de Children’s Health Defense, sensibilise depuis
des décennies aux vaccins qui blessent les enfants. En plus de la ferme opposition de l’organisation au projet de loi DC ci-dessus, Kennedy a désigné Pfizer comme l’un des nombreux producteurs de
vaccins ayant un casier judiciaire lourd de sanctions pénales concernant leurs produits.
Lors d’un débat en juillet, Kennedy a souligné que Pfizer, et trois autres grands développeurs de vaccins contre les coronavirus, Glaxo, Sanofi, Merck, sont “des criminels en série
condamnés“.
“Au cours des dix dernières années, ces sociétés ont payé 35 milliards de dollars en sanctions pénales, dommages et intérêts, amendes, pour avoir menti aux médecins, pour avoir fraudé la
science, pour avoir falsifié la science, pour avoir tué des centaines de milliers d’Américains en connaissance de cause“, a déclaré Kennedy au cours du débat.
“Il faut une dissonance cognitive pour que les gens qui comprennent la culture criminelle de ces quatre entreprises croient qu’elles font cela dans tous les autres produits qu’elles ont, mais
qu’elles ne le font pas avec les vaccins“.
Suite à l’annonce du vaccin contre le coronavirus de Pfizer, “efficace à 90 %”, avec l’anticipation d’une diffusion imminente, le cours de l’action de la firme a augmenté “de 15 %,
passant de 36,40 $ … à 41,94 $ par action“, moment que le PDG et président du conseil d’administration de la société, Albert Bourla, a choisi pour vendre 61,8 % de ses actions dans la
société “pour près de 5,6 millions de dollars“. L’Independent rapporte qu’en réponse à des demandes de renseignements, Pfizer a répondu que cette transaction était un “processus
automatisé, mis en place plus tôt cette année” dans lequel “les actions sont vendues à condition qu’elles dépassent un prix convenu à l’avance“.
Yeadon : Les propositions de vaccins “sentent le soufre”.
Alors qu’une campagne menée par le gouvernement, les médias et les entreprises se prépare à “inoculer 300 millions d’Américains d’ici le printemps 2021“, la voix de Michael Yeadon, ainsi
que celles de dizaines de milliers d’autres scientifiques et praticiens de la médecine, restent étouffées et ignorées.
OH......CACHEZ CE BRACELET ELECTRONIQUE QUE NOUS NE SAURIONS VOIR...........IL EST UN TEMPS POUR TOUT ET EST VENU CELUI DE PAYER POUR SES ACTIONS VILS......
MAJ #JoeBiden va porter une botte orthopédique pendant plusieurs semaines (comme #HillaryClinton et le Sénateur John «Daesh» #McCain et d'autres ...)
Publié par Brujitafr sur 30 Novembre 2020, 11:07am
INTERNATIONAL - Le président élu des États-Unis, Joe Biden, s'est finalement fait une fracture du pied droit en jouant avec son chien, a indiqué dimanche 29 novembre son équipe en citant
le ...