Le Dr José Luis Sevillano explique la manière dont l’oxyde de graphène intervient dans les champs électriques du tissu cardiaque et génère finalement des arythmies. En particulier chez les
athlètes et ceux qui pratiquent un sport intensif ou pendant de longues périodes.
Il mentionne également en quoi les champs électromagnétiques empirent la situation, conduisant potentiellement à une mort subite.
Ricardo Delgado: José Luis, très bonne soirée.
Dr. Sevillano: Bonsoir.
Ricardo Delgado:Nous disions en introduction que nous avions vu… Eh bien, l’émission de LaQuintaColumna, devient malheureusement une... notice nécrologique.
Nous avons eu aujourd’hui des nouvelles d’au moins neuf cyclistes âgés de 40, 21 et 24 ans, certains professionnels et d’autres amateurs. Mais on entend parler d’athlètes qui décèdent
subitement. Dans deux cas, nous avons même corroboré la théorie de l’environnement de manière très concrète. Il y a des cas où ces gens sont morts juste devant une antenne.
Avec tout ceci, il est compréhensible qu’on tente maintenant de justifier le fait que le sport détériore le cœur alors qu’on nous a toujours dit le contraire. C’était une certitude en béton
pour les crises cardiaques. Pratiquer des sports, de manière pas trop intensive, travaille le système cardiovasculaire. Ralentit le rythme cardiaque au repos. C’est ce que nous savions. Mais
nous avons le sentiment qu’ils vont changer la petite connaissance que nous tenions pour exacte. Ils vont la changer selon leurs intérêts, ce qu’ils ont toujours fait.
Dr. Sevillano:Sans aucun doute. Je pressens que le graphène présent dans le tissu de conduction cardiaque déclenche des arythmies. C’est comme si
vous portiez une sorte de pacemaker bizarre qui, une fois excitépendant lesport, accroitratoutel’énergiepossible. Et
il finit par entrainer des arythmies mortelles. C’est la missiondu graphènechezles athlètes.
Quand le cœur accélère, le graphène est excité et accroit encore le nombre des battements. Ce qui crée à un endroit du cœur une zone où se produira une arythmie. C’est ce qui tue les jeunes
sportifs. Ce ne sont pas des crises cardiaques. Même s’il peut y en avoir. Nous avons déjà vu des photos.
Mais en général ces morts subites sans douleursà la poitrine ou quoi que ce soit qui les annonce, sont des arythmies. Et elles sont sûrement dues au graphène qui imprègne le
tissu de conduction cardiaque et le tissu du myocarde. Ce qui doit générer des foyers qui, au lieu de respecter le rythme imposé par la nature aux structures normales du cœur, créent des
foyers d’arythmie.
Dès que le graphène est excité, il crée une activité. La température corporelle augmente. Et il y a de plus une augmentation de l’activité électrique intracardiaque, une polarisation des
myocites [fibres musculaires] et une dépolarisation du tissu de conduction. Plus l’énergie augmente, plus le graphène est excité et plus il génère à son tour des battements anormaux qui
prennent le pas sur les battements normaux. C’est ce qui tue les gens.
Voilà pourquoi ils nous disent, ‘Attention. Ne faites pas de sport’. ‘N’en faites pas’, parce qu’ils ont réalisé que celui qui en fait est candidat à une mort subite. Et s’il y a trop de cas,
les gens vont commencer à s’inquiéter. C’est pourquoi ils vous disent, ‘Ne faites pas de sport. Restez tranquille.’ Pour cacher les choses. Vous allez ensuite mourir n’importe quand sans
faire de sport. Ce qu’ils ne veulent pas, c’est que vous cherchiez la cause. Parce que si vous cherchez, vous trouvez.
Ricardo Delgado:José Luis, les sports d’endurance, comme le cyclisme et les marathons, sont ceux où il y a le plus d’activité
cardiovasculaire.
Dr. Sevillano:Plus vous saturez, c’est à dire, activez votre cœur, plus il est probable que le graphène vous affecte. Un coureur de marathon ou des
athlètes comme les cyclistes restent actifs pendant de longues périodes. Ilspédalentou passent beaucoup
de temps à courir. Et plusleur activité se poursuit, plus ils ont un risque d’arythmie. Mais
d’autres gensenferont aussi.Par exemple quelqu’unqui marche à un rythme moyen dans la rue.
Ricardo Delgado: C’est ce que j’allais dire. Pour quelqu’un de 70 ans, faire du sport consiste à faire une marche matinale.
Dr. Sevillano: Une marche matinale. Exactement. Gardez cela en tête… En plus d’une augmentation d’activité calorique ou électrique du cœur, il faut ajouter le fait de passer devant une
antenne, par exemple. C’est une question d’énergie. Le graphène la multiplie. Et en accroissant la température corporelle par l’exercice, ce qui accroit aussi l’activité électrique, on
augmente le nombre de battementspar seconde. Vous créez une meilleure capacité énergétique dans vos structures anatomiques. Et le graphène reçoit
toute cette énergie. Si vous ajoutez une antenne, elle accumule de l’énergie, et la libère. Le graphène ne retient rien. Il récupère et envoie.
Puis quand on augmente sa capacité à générer de l’énergie avec de l’exercice et en restant près d’une de ces antennes, l’énergie se dirigera quelque part. Le problème, c’est qu’en se
dirigeant vers le cœur, elle créera des arythmies. Le cœur n’y est pas préparé et si on ajoute une toxine électromagnétique, c’est fichu.
Toute son comportement dépend du fonctionnement correct du tissu de conduction qui génère des impulsions électriques cadencées à un rythme spécifique avec des structures qui, si l’une d’elles
faiblit, une autre prendra le relais, puis encore une autre. Jusqu’à ce que finalement, si aucune ne fonctionne, c’est le cœur qui prend le relais à 40 battements par seconde. Je parle de la
masse musculaire du cœur, du myocarde.
Mais en ajoutant une substance toxique… si elle s’accumule à un endroit plus qu’à un autre, c’est là que les impulsions débridées seront générées. Ce qui créera la pathologie, la
catastrophe : la mortelle arythmie.
Préparez-vous à un déluge d’informations dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui présenté ci-dessous.
Au-delà de la bombe mondiale qu’est le document DARPA divulgué à DRASTIC, qui montre que EcoHealth Alliance et Fauci ont conspiré pour libérer des nanoparticules de protéine de pointe en aérosol,
pénétrant la peau, dans les populations de chauves-souris sauvages en Chine (qui se transmettraient immédiatement aux humains comme prévu), nous avons également une bombe d’informations sur quelque
chose d’autre qui rend la situation encore pire.
DRASTIC a confirmé que Daszak et Fauci, travaillant via l’Institut de virologie de Wuhan (WIV), ont pu créer 180 souches de coronavirus comme armes biologiques et les placer sous le contrôle des
Chinois communistes (un acte de trahison). Nous savons maintenant, grâce à d’autres sources, que des équipes de déploiement d’armes
biologiques dirigées par le PCC ont traversé la frontière américaine, transportant des armes biologiques augmentées du MERS avec un taux de mortalité d’au moins 30 %, avec l’intention de les libérer
dans les grandes villes américaines sur ordre.
Avec tout le crédit à DRASTIC, nous avons reflété leur analyse PDF des documents DARPA disponible ici : Defuse-Project-Drastic-Analysis-1Télécharger
La proposition originale de l’Alliance EcoHealth au DARPA porte le numéro HR001118S0017-PREEMPT-PA-001.
La journaliste d’investigation Lara Logan a confirmé tout cela par ses propres sources, puisqu’elle avertit maintenant que la crise des migrants au Texas est la “couverture parfaite” pour que les
ennemis de l’Amérique puissent introduire en douce une arme biologique dangereuse.
Nos sources, qui ont été en contact avec Lara Logan, ont confirmé qu’elle en sait beaucoup plus, mais qu’elle n’a pas encore la liberté de rendre publics tous les détails. https://www.naturalnews.com/2021-09-23-lara-logan-told-migrant-crisis-at-border-perfect-cover-bioweapon.html
Nous avons tous les détails ici. Lisez attentivement ces points.
C’est le plan qui est maintenant en cours, au meilleur de notre connaissance.
C’est bien pire que ce que vous avez probablement imaginé.
L’attaque du “Super MERS” est maintenant imminente, et les opérateurs de déploiement d’armes biologiques sont déjà prépositionnés à travers
les villes américaines, probablement armés de drones et d’accessoires de drones aérosolisants.
Nous sommes sur le point d’être pulvérisés avec une arme biologique super dangereuse : La Darpa a initialement financé le Mers mais a refusé
de soutenir tout effort pour le libérer dans la nature. Ils voulaient le garder comme une arme biologique stratégique de dernier recours pour les situations d'extrême urgence !
Fauci et EcoHealth Alliance ont réussi à mettre la main sur le MERS, qui est devenu le modèle pour le gain de la recherche fonctionnelle qui a été blanchie par le WIV, en utilisant l’argent des
contribuables américains.
Des éléments du MERS, du VIH, du SRAS et d’autres souches virales ont été assemblés pour créer des armes biologiques “chimériques” présentant une affinité particulière pour les récepteurs ACE2
humains.
Daszak et Fauci se sont adressés à la DARPA pour demander un financement afin de diffuser leurs armes biologiques en Chine.
La DARPA a refusé.
Mais ils ont trouvé des fonds auprès de sources mondialistes qui soutiennent la dépopulation.
Si la Darpa avait accepté le financement, Daszak et Fauci avaient prévu d'inviter Shi Zheng Li (la "Bat Lady") à une annonce festive au
siège de la Darpa !
Le SRAS-CoV-2 n’a jamais été conçu pour tuer.
Il a été conçu pour se propager rapidement, avec un faible taux de mortalité, afin de créer une panique mondiale et une demande de vaccins,
ainsi que des fermetures gouvernementales et un communisme mondial en raison des “cas” diagnostiqués par des tests PCR frauduleux.
Mais le MERS est une arme biologique super mortelle.
Il s’agit d’une version améliorée du MERS qui a été militarisée par Fauci, les NIH et le WIV sous le contrôle de l’APL (Armée populaire de
libération).
La proposition de projet de l’Alliance EcoHealth à la DARPA mentionne leurs plans pour développer trois à cinq souches de coronavirus pour armes biologiques chaque année.
Il s’agissait d’un assaut permanent et sans fin contre l’humanité au moyen d’armes biologiques, le tout financé par l’armée américaine en
collaboration avec la Chine communiste.
Nous ne connaissons pas encore la désignation officielle de cette arme biologique MERS, mais je vais l’appeler “Super MERS” pour l’instant.
Le Super MERS est déjà entre les mains d’opérateurs de l’APL qui sont entrés aux États-Unis via les routes de contrebande des
narco-trafiquants mexicains.
Des centaines de conseillers militaires du PCC/APL travaillent avec les narcos Mexicains, avec la promesse que les narcos recevront un morceau du sud des États-Unis une fois que la Chine occupé
et vaincu les États-Unis.
On dit à ces agents chinois spécialisés dans les armes biologiques de libérer simultanément le “Super MERS” dans les villes américaines lorsqu’ils reçoivent l’ordre d’activation, qui peut être
donné par des moyens publics tels que l’ordre donné par la Chine au New York Times d’utiliser une certaine phrase un certain jour. (Le New York Times est depuis longtemps à la solde de la Chine,
tout comme la plupart des démocrates, la moitié du Sénat américain et l’ensemble de Big Tech).
La Maison Blanche est presque entièrement contrôlée par le PCC, et Biden est la marionnette de la Chine.
Cette souche du Super MERS tuera au moins 30% des personnes infectées, dans des circonstances normales.
Mais comme les vaccins covidés ont détruit la réponse immunitaire des personnes vaccinées, le taux de mortalité chez ces dernières pourrait
être nettement plus élevé. (50% ?)
La souche Super MERS est effectivement la seconde moitié du système d’arme binaire, la première moitié étant le vaccin.
C’est pourquoi les gouvernements tyranniques ont tant insisté sur les vaccinations de masse.
C’est la préparation pour le meurtre.
Au cours d'une conférence de presse qui s'est tenue le 21 septembre, deux pathologistes allemands au long cours ont présenté les résultats de leurs investigations menées sur 10 décès en lien avec
des vaccinations contre le Covid-19. Ce qu'ils ont découvert les a sidérés.
Le professeur Arne Burkhardt et le professeur Walter Lang, qui ont présenté leurs résultats lors d'une conférence de presse aujourd'hui, sont deux pathologistes avec de nombreuses années
d'expérience à leur actif. Burkhardt a dirigé l'Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans, Lang a dirigé pendant 35 ans un institut privé spécialisé entre autres dans les pathologies
pulmonaires. Avec d'autres pathologistes anonymes, ils ont enquêté sur dix décès survenus après vaccination contre le COVID-19. Les médecins légistes et les pathologistes qui avaient réalisé les
autopsies leur ont fourni les tissus. Les défunts examinés avaient tous plus de 50 ans.
Sur ces dix décès, ils ont constaté que cinq étaient très probablement liés au vaccin, et deux l'étaient probablement ; un cas a été considéré comme douteux, et ils n'ont observé
aucun lien de causalité dans les deux derniers cas. Ce qui les a étonnés, cependant, ce sont les similitudes entre les cas qu'ils ont reliés à la vaccination.
Dans trois cas, ils ont découvert des maladies auto-immunes rares ; l'une d'entre elles est si rare qu'elle n'a été découverte qu'en inspectant de plus près l'image numérisée. Il
s'agissait de la thyroïdite de Hashimoto, une hypothyroïdie auto-immune ; de la vascularite leucoclastique, une réaction inflammatoire dans les capillaires qui entraîne des saignements
intracutanés ; et du syndrome de Sjögren, une inflammation des glandes salivaires et lacrymales. Même si les décès soupçonnés d'être en lien avec la vaccination sont loin de constituer un
échantillon représentatif de la population, trois maladies auto-immunes (qui plus est très rares) sur dix constituent un taux étonnamment élevé.
La découverte la plus frappante, cependant, concernait les lymphocytes. « Les lymphocytes se déchaînent dans tous les organes », a déclaré le professeur Lang. On observe des
accumulations de lymphocytes dans une grande variété de tissus, du muscle cardiaque aux reins, du foie à la rate en passant par l'utérus ; en outre, sur les images présentées, on observe
une agression massive des tissus consécutifs à ce déchaînement de lymphocytes, ainsi que toute une série de follicules lymphocytaires, qui sont de petits ganglions lymphatiques
se développant à un endroit totalement aberrant, par exemple dans le tissu pulmonaire.
Les chercheurs ont également observé des décollements de cellules endothéliales - les cellules lisses qui forment les parois des vaisseaux sanguins -, des amas de globules rouges générateurs de
thromboses, et des cellules géantes qui se sont formées autour de corps étrangers « encapsulés ».
Lang a déclaré qu'il n'avait jamais vu de tels amas de lymphocytes dans des centaines de milliers d'examens pathologiques réalisés auparavant. Normalement, en cas d'inflammation,
on observe la présence d'autres globules blancs appelés granulocytes. Dans ces cas, cependant, on ne les trouve pratiquement pas, mais on observe à la place des masses de lymphocytes.
D'autres recherches sont nécessaires pour déterminer quel type de lymphocytes est impliqué dans ce processus et de quelle manière il se déclenche, afin d'apporter la preuve solide d'un lien avec
la vaccination ; les examens histologiques requis prendront encore au moins six mois. Néanmoins, les résultats disponibles à ce jour sont suffisamment importants pour être d'ores et déjà annoncés
via cette conférence de presse.
« Nous en ratons 90 % », a déclaré Lang, en référence au taux de réactions fatales aux vaccins. Ce n'est pas la faute des médecins légistes ni des pathologistes ; après tout, on ne peut voir que
ce que l'on connaît, et la médecine légale ne peut de toute façon pas effectuer d'examens histologiques. Mais il est urgent de pratiquer plus d'autopsies sur ces cas. Malheureusement, ce genre de
démarche est souvent entravée.
« Notre travail consiste à fournir des informations sur les risques et les effets secondaires », déclare Lang à propos de l'objectif de son travail. Une tâche qui, dans le cas de vaccins
expérimentaux, devrait en fait être remplie par des institutions telles que l'Institut Paul Ehrlich, avec une autorisation d'urgence.
Résumé des points clés de la conférence de presse :
Femme, 82 ans, vaccination : Moderna (1ère et 2e doses), décès : J+37
Femme, 95 ans, vaccination : Moderna (1ère et 2e doses), décès : J+68
Femme, 73 ans, vaccination Comirnaty (1ère dose)
Homme, 54 ans, vaccination Janssen (1ère dose), décès : J+65
Femme, 55 ans, vaccination Pfizer-BioNTech (1ère et 2e doses), décès : J+11
Homme, 56 ans, vaccination Comirnaty (1ère et 2e doses), décès : J+8
Homme, 80 ans, vaccination Pfizer-BioNTech (1ère et 2e doses), décès : J+37
Femme, 89 ans, vaccination : type de vaccin inconnu (1ère et 2e doses), décès : approx. 6 mois après injections
Homme, 62 ans, vaccination : type de vaccin et nombre de doses inconnus, décès : J+20
Décès associés aux vaccinations Covid
10 cas autopsiés examinés au préalable
Lien très probable : 5
Lien probable : 2
Lien douteux/possible : 1
Corrélation probablement due au hasard : 1
Pas encore évalué : 1
Sur l'enregistrement des effets secondaires post-vaccinaux aux conséquences fatales
Les données des certificats de décès ne comportant aucune information sur le statut vaccinal sont parfaitement inutiles
Les personnes touchées et leurs proches se taisent parce qu'ils sont affectés
Aucune motivation de la part des médecins et des procureurs impliqués pour enregistrer ces effets secondaires
Les autopsies pratiquées dans les instituts de médecine légale sans examen histologique de routine sont, a priori, méthodologiquement inappropriées
Les autopsies font en partie l'objet de refus dans les instituts de pathologie ; souvent la connaissance des schémas relatifs à une « nouvelle » maladie fait défaut
Une autopsie couplée à une évaluation interdisciplinaire menée par des médecins légaux et des pathologistes avec obligation d'examen histologique de tous les organes et lésions est la seule
façon justifiable d'aborder ce problème
Des cellules endothéliales se détachent de la paroi vasculaire. Exemple 1
Des cellules endothéliales se détachent de la paroi vasculaire. Exemple 2
Agglutination d'érythrocytes à l'intérieur d'un vaisseau. Thrombose. Exemple 1
Agglutination d'érythrocytes à l'intérieur d'un vaisseau. Thrombose. Exemple 2
Vaisseau avec infiltration lymphocytaire (points bleus : lymphocytes). Exemple 1
Vaisseau avec infiltration lymphocytaire (points bleus : lymphocytes). Exemple 2
Au cours de cette conférence de presse, les chercheurs ont également montré des détails microscopiques des modifications tissulaires. Le professeur Werner Bergholz a présenté les paramètres
actuels d'enregistrement statistique des événements vaccinaux.
Une analyse d'échantillons de vaccins COVID-19 effectuée par un groupe de recherche autrichien a également été présentée. Les résultats correspondent aux conclusions de chercheurs japonais et
états-uniens. Des éléments métalliques non déclarés ont été détectés dans le vaccin. Ces éléments sont visuellement frappants du fait de leur forme inhabituelle.
Corps étrangers, contaminants, adjuvants dans le vaccin. Examen microscopique de particules de nature inconnue. Exemple
Corps étranger dans un tissu pulmonaire inflammé. Similaire à une embolie graisseuse après fracture osseuse. Des cellules géantes inflammées sont visibles.
Grave inflammation d'un tissu pulmonaire avec présence de corps étranger.
Image du tissu contenant le corps étranger (microscopie en champ sombre). Ce corps provient-il du vaccin ?
Ces découvertes devraient entraîner l'arrêt immédiat du programme de vaccination
Bien entendu, lorsque l'on découvre des fragments métalliques non déclarés par les fabricants dans des vaccins administrés à des centaines de millions de personnes, les autorités responsables
devraient immédiatement suspendre le programme de vaccination.
Dans leur communiqué de presse, les chercheurs déclarent :
Les résultats de cette investigation donnent lieu à des requêtes juridiques et politiques, à savoir que les autorités devraient collecter immédiatement des informations afin d'évaluer le
risque sanitaire auquel la population est confrontée à cause des vaccins COVID-19. Par exemple, en consultant le registre des FIV, on peut vérifier les signes précoces d'une baisse de la
fertilité chez les vaccinés. Le registre des cancers peut être utilisé pour acquérir des connaissances sur le développement du cancer à la suite de modifications génétiques de l'ARN viral.
L'interruption des vaccinations COVID-19 doit être envisagée.
Nous apprenons donc qu’il existe une bonne quinzaine d’études qui démontrent que l’immunité naturelle après une infection au SARS-CoV-2, même légère, est très largement supérieure à celle obtenue
par la vaccination (puissante et durable). Dans cet article, on se demande du coup pourquoi les autorités américaines et Biden, continuent d’affirmer l’inverse en mettant en danger la santé
des citoyens ? C’est d’ailleurs ce que vont faire les autorités françaises ainsi que les morticoles cathodiques pendant quelques semaines encore car, vous l’aurez compris, tout ceci n’a rien à
voir avec la science ni la médecine, nous sommes en guerre contre un ennemi redoutable, contre des menteurs et des manipulateurs.
Il est normal d’avoir une hypothèse scientifique incorrecte. Mais lorsque de nouvelles données prouvent que c’est faux, vous devez vous adapter. Malheureusement, de nombreux
dirigeants élus et responsables de la santé publique ont retenu bien trop longtemps l’hypothèse selon laquelle l’immunité naturelle offre une protection peu fiable contre le covid-19 – une
affirmation qui est rapidement démystifiée par la science.
Plus de 15 études ont démontré le pouvoir de l’immunité acquise avec une
infection naturelle du virus. Il y a deux semaines, une étude menée en Israël auprès
de 700 000 personnes a révélé que ceux qui avaient déjà été infectés étaient 27 fois moins susceptibles de contracter une deuxième infection symptomatique que ceux
qui avaient été vaccinés. Cela a confirmé une étude de la June Cleveland
Clinic sur les travailleurs de la santé (qui sont souvent exposés au virus), dans laquelle
aucun de ceux qui avaient déjà été testés positifs pour le coronavirus n’a été réinfecté. Les auteurs de l’étude ont conclu que « les personnes qui ont eu
une infection par le SRAS-CoV-2 ne bénéficieront probablement pas de la vaccination contre le covid-19 ». Et en mai, une étude de l’Université de Washington ont constaté que même une infection légère
au covid entraînait une immunité de longue durée.
Ainsi, la science émergente suggère que l’immunité naturelle est aussi bonne ou meilleure que l’immunité induite par le vaccin. C’est pourquoi il est si frustrant que l’administration
Biden ait affirmé à plusieurs reprises que l’immunité conférée par les vaccins est préférable à l’immunité causée par une infection naturelle, comme l’a déclaré le directeur du NIH Francis
Collins à l’animateur de Fox News à Bret Baier il y a quelques
semaines. Cette adhésion rigide à une théorie dépassée se reflète également dans l’annonce récente du président Biden selon laquelle les grandes entreprises doivent exiger
que leurs employés se fassent vacciner ou se soumettent à des tests réguliers, qu’ils aient ou non déjà eu le virus.
Minimiser le pouvoir de l’immunité naturelle a eu des conséquences mortelles. En janvier, février et mars, nous avons gaspillé de rares doses de vaccins sur des millions de personnes qui
souffraient auparavant de covid. Si nous avions demandé à des Américains déjà protégés par une immunité naturelle de se retirer de la filière vaccinale, des dizaines de milliers de vies
auraient pu être sauvées. Ce n’est pas seulement avec le recul, c’est 20/20 ; beaucoup d’entre nous plaidaient et écrivaientavec
véhémence à l’époque pour une telle stratégie de rationnement.
L’une des raisons pour lesquelles les responsables de la santé publique peuvent avoir peur de reconnaître l’efficacité de l’immunité naturelle est qu’ils craignent que cela amène certains à
choisir de contracter l’infection plutôt que de se faire vacciner. C’est une préoccupation légitime. Mais nous pouvons encourager tous les Américains à se faire vacciner tout en étant
honnêtes sur les données. Dans mon expérience clinique, j’ai trouvé les patients extrêmement indulgents avec l’évolution des données si vous êtes honnête et transparent avec eux. Pourtant,
lorsqu’on lui pose la question courante : «Je me suis remis du covid, est-ce absolument essentiel que je me fasse vacciner ? de nombreux responsables de la santé publique ont mis de côté
les données et ont répondu par un oui» synchronisé, même si des études ont montré que les réinfections sont rares et souvent asymptomatiques ou bénignes lorsqu’elles se produisent.
La marée pourrait enfin changer, alors que la pression s’est accrue sur les fonctionnaires fédéraux. La semaine dernière sur CNN, Anthony S. Fauci, le plus grand spécialiste des maladies
infectieuses du pays, a laissé entendre que le gouvernement pourrait repenser sa position sur l’immunité naturelle, déclarant : «Je pense que c’est quelque chose dont nous devons nous
asseoir et discuter sérieusement.» Certains grands centres médicaux, comme Spectrum Health à Grand Rapids, Michigan, ont déjà annoncé qu’ils reconnaîtraient l’immunité naturelle pour
leurs besoins en vaccins. Certains gouverneurs républicains ont ressenti la frustration du public quant à la contradiction entre les directives scientifiques et les données, le gouverneur de
Floride Ron DeSantis accusant l’administration
Biden de «ne pas suivre la science» en élaborant son mandat de vaccin sans prendre en considération «l’immunité conférée par l’infection».
La position actuelle des Centers for Disease Control and Prevention concernant la vaccination des enfants rejette également les avantages de l’immunité
naturelle. Le district scolaire du comté de Los Angeles a récemment
imposé des vaccins aux élèves de 12 ans et plus qui souhaitent apprendre en personne. Mais les jeunes sont moins susceptibles de souffrir de symptômes graves ou durables de covid-19 que les adultes, et ont connu de rares complications
cardiaques à cause des vaccins. En Israël, une inflammation cardiaque a été observéechez 1 homme sur 3 000 et 1
homme sur 6 000 âgés de 16 à 24 ans ; le CDC a confirmé 854 rapports à l’échelle nationale chez des personnes de 30 ans et moins qui ont reçu le vaccin.
Une deuxième dose du vaccin à ARNm à deux injections comme celle produite par Pfizer et Moderna peut même ne pas être nécessaire chez les enfants atteints de covid. Depuis février, le
ministère israélien de la Santé recommande que toute personne, adulte ou adolescente, qui s’est remise du covid-19 ne reçoive qu’une seule dose de vaccin à ARNm, au lieu de deux. Même si le
risque de maladie grave lors d’une réinfection est extrêmement faible, certaines données ont démontré un léger bénéfice à une dose dans cette situation. D’autres pays utilisent une
approche similaire. Les États-Unis pourraient adopter cette stratégie dès maintenant comme une prochaine étape raisonnable dans la transition d’une politique d’exigence de vaccins trop
rigide à une politique d’exigence de vaccins plus flexible. À titre de comparaison, le CDC recommande depuis longtemps aux enfants de ne pas se faire vacciner contre la varicelle s’ils
ont déjà été infectés par la varicelle.
L’hypothèse erronée selon laquelle l’immunité naturelle n’est pas fiable a entraîné la perte de milliers de vies américaines, des complications vaccinales évitables et a nui à la
crédibilité des responsables de la santé publique. Compte tenu de l’annonce récente du mandat par la Maison Blanche, il serait bon que nos responsables de la santé publique
fassent preuve d’humilité en reconnaissant que l’hypothèse qu’ils ont vanté à plusieurs reprises était non seulement fausse, mais elle peut être nocive. Rassemblons-nous tous autour du
corpus croissant de littérature scientifique et d’expérience clinique réelle qui nous dit de ne pas exiger le schéma vaccinal complet chez les personnes qui se sont remises de la covid dans
le passé. Les responsables de la santé publique changeant de position sur l’immunité naturelle, après tant d’hostilité envers l’idée, contribueraient grandement à rétablir la confiance
du public.
« Le passe sanitaire est un moyen extrajudiciaire de désactiver socialement les gens »
Selon le professeur de droit Guillaume Zambrano, le passe sanitaire est une atteinte aux droits fondamentaux ainsi qu’une sanction extrajudiciaire. La pérennisation de ce dispositif
signifierait d’après lui la normalisation de l’atteinte à l’intégrité physique des individus et de la privation de sortie et de mouvement.
Reporterre : En quoi le passe sanitaire porte-t-il atteinte aux droits fondamentaux ?
Guillaume Zambrano : Être exclu des transports publics, hôpitaux, cafés, restaurants, bibliothèques, associations sportives et culturelles et autres lieux de réunion est une
privation de liberté extrêmement lourde : c’est une privation du droit de réunion, de la liberté d’aller et de venir, une véritable exclusion de la vie sociale. Le plus grave est qu’il
s’agit d’une sanction extrajudiciaire. Depuis le XVIIᵉ siècle et le Bill of Rights anglais destiné à limiter l’arbitraire des souverains, notre tradition juridique est fondée sur le principe de l’habeas corpus : toute
personne privée de liberté a le droit de passer devant un juge. De fait, quand une personne est assignée à résidence ou condamnée à porter un bracelet électronique, la mesure doit être approuvée
par le juge des libertés et de la détention. Quand on condamne des personnes pour des dommages sociaux comme le vol, la fraude fiscale, les coups et blessures, elles ont eu droit à un procès. Et
généralement, le but visé est la réinsertion sociale : même pour des délits graves, il y a du sursis, des aménagements de peine. Mais avec le passe sanitaire, toute une catégorie de
personnes reçoivent une sanction pénale maximale sans qu’il y ait eu de jugement, sans même avoir pu se défendre.
Qu’est-ce qui justifie cette sanction ? Le fait de ne pas pouvoir (ou ne pas vouloir) présenter un QR code à l’entrée des lieux
publics, de ne pas être vacciné ou testé. Ce qui est reproché aux gens, c’est d’être potentiellement contagieux. C’est d’autant plus grave qu’il est très rare en droit que l’on soit condamné pour
une infraction par omission. La règle est d’être condamné pour avoir fait quelque chose, et non pour ne pas avoir fait quelque chose. Il existe le délit de non-assistance à personne en danger
(article 223-6 du Code pénal), mais ses conditions sont très restrictives et les condamnations rares. Il existe aussi une jurisprudence pour des personnes ayant contaminé d’autres personnes avec
le Sida en connaissance de cause, mais les juges ont retenu l’aspect intentionnel : non seulement elles se savaient malades et n’ont pas pris de précautions, mais elles ont déclaré vouloir
contaminer d’autres personnes, c’est ce qui a motivé la condamnation [1].
« Ce ne sont plus les juges mais la population elle-même qui applique la sanction. »
Le passe sanitaire — sanction extrajudiciaire selon vous — représente-t-il un basculement ?
Le passe sanitaire sort du cadre ordinaire du droit pénal. Il donne lieu à des sanctions sociales inédites qui sont un mélange de privation de liberté, de stigmatisation et d’incitation à
l’humiliation publique. C’est un moyen extrajudiciaire de désactiver socialement les gens, de les débrancher, en quelque sorte. Et ce ne sont plus les juges, mais la population elle-même — les
cafetiers, les bibliothécaires, les gardiens de musée ou les employés des hôpitaux — qui applique la sanction. Cela indique que le gouvernement est passé dans une logique de répression
massive : comme il ne peut pas mettre un juge derrière chaque citoyen, il se repose sur la population et sur des moyens automatisés pour le faire. C’est une révolution anti-libérale. La
seule comparaison possible est celle du crédit social en Chine, une forme de rééducation à la carotte et au bâton : je t’interdis de prendre le train, d’accéder à tel emploi, d’aller au
cinéma…
La pandémie de Covid-19 ne justifie-t-elle
la suite sur :https://reporterre.net/Le-passe-sanitaire-est-un-moyen-extrajudiciaire-de-desactiver-socialement-les-gens
Une fuite révèle une discussion hallucinante entre des responsables d’un hôpital
Fuite d’une vidéo hallucinante révèlant l’échange entre un médecin en chef et une directrice marketing en Caroline du Nord, qui discutaient de la manière de faire gonfler les chiffres des
hospitalisations et continuer à faire peur aux gens pour qu’ils finissent par accepter de se faire vacciner : « Je pense que nous devons être plus brutaux, plus énergiques, nous devons dire
quelque chose du genre : Si vous ne vous faites pas vacciner, vous savez que vous allez mourir. Soyons vraiment brutaux avec ces gens ! ».
SHOCK VIDEO: Senior doctors and a marketing director at in North Carolina discussed inflating COVID-19 numbers by counting recovered patients as active COVID patients.
"We need to be... more scary to the public... If you don't get vaccinated, you know you're going to die." pic.twitter.com/66CcIsVR4B
omment le gouvernement va récupérer les 200 milliards "donnés" aux Français
Le petit banquier de chez Rothschild devenu président de la République par la grâce d’un superbe montage médiatico-bancaire et d’un miracle comptable au premier tour, pourrait
passer pour l’homme le plus généreux du monde. N’a-t-il pas versé 206 milliards d’aides aux entreprises, petites ou grandes, depuis mars 2020, au début de l’opération
mondialiste « Covid contre les humains » ?
On pourrait le croire, mais on peut aussi sortir la calculette. Et là, on se rend compte que la manne céleste tombée de l’Élysée représente un cadeau à élastique, un surcoût à crédit. Le
cadeau à élastique est celui qu’on donne avec grâce et qui revient deux fois plus fort.
Nous n’allons pas rentrer dans le détail technique des aides et des prêts, ça reviendrait à jongler avec les milliards et les sigles du type « PGE ». Plus intéressant est la
mise en relation de ces 12 mois d’aides diverses avec la situation économique actuelle, et surtout celle des ménages. Car ce sont les entreprises en premier lieu, même s’il y a
évidemment des millions d’employés derrière, qui ont bénéficié de la pluie d’argent en apparence gratuit.
Deux changements notables marquent la période actuelle post-confinements : l’explosion du prix des carburants, et une inflation record, toujours pas admise officiellement par l’INSEE
malgré l’évidence dans les caddies au supermarché (on a moins de produits avec autant d’argent).
Pourtant, le fameux indice des prix à la consommation (IPC) inclut un millier de produits, dont seuls 10 % sont rendus publics, histoire d’évider les manipulations des grandes
enseignes. On se demande comment l’INSEE peut nous pondre une inflation de 1,1 % en 2019 et de 0,5 % en 2020, avec une estimation à 1,9 % en 2021 alors que les principaux
produits alimentaires, pour ne parler que d’eux – on reparlera des carburants plus loin – ont pris 20 % sur l’étiquette !
Le programme orwellien du passeport vaccinal repose sur le mensonge du « contrat social »
Par Brandon Smith − Le 2 septembre 2021 − Source Alt-Market
Il y a une question fondamentale qui doit être posée lors de l’examen de la question du passeport vaccinal, et ce que je constate, c’est que presque personne dans les médias dominants
ne s’y attaque directement. Cette question est la suivante :
Est-il légalement et moralement acceptable de restreindre les droits et l’accès économique des personnes afin de les forcer à se soumettre à un « vaccin » expérimental, ou à
toute autre procédure médicale ?
En outre, qui décide des procédures médicales qu’il est acceptable d’appliquer ? Qui peut être le superviseur tout puissant et bienveillant du parcours de santé de chaque être humain ? Je
pose cette question parce que je ne pense pas que beaucoup de gens réalisent les répercussions futures de permettre aux gouvernements ou aux entreprises (qui sont fortement entremêlés de nos
jours) de dicter les vaccinations Covid. Cela ne s’arrête pas là ; en fait, nous n’avons aucune idée d’où cela s’arrête une fois que la boîte de Pandore est ouverte.
Par exemple, le principal argument du culte Covid et de l’establishment en faveur des passeports vaccinaux est le fantasme du « contrat social ». Ils prétendent que parce
que nous « vivons dans une société », tout ce que nous faisons affecte tout le monde d’une manière ou d’une autre, et parce que nous sommes tous interconnectés dans notre
« collectif », nous sommes donc redevables à la collectivité. En d’autres termes, la collectivité a le « droit » de microgérer la vie de l’individu car
si l’individu est autorisé à prendre ses propres décisions, il pourrait potentiellement causer du tort à l’ensemble du groupe.
Au cas où vous ne seriez pas familier avec cette philosophie, il s’agit d’une extension du socialisme et du marxisme culturel, et elle est au cœur même de la propagande du passeport vaccinal.
Dans le passé, j’ai eu des débats publics avec des personnes pro-socialistes qui ont essayé de défendre les mérites du socialisme et, à chaque fois, l’argument se résume à une seule
déconnexion – je dis que si un groupe de personnes veut partir et créer sa propre petite communauté socialiste, il en a parfaitement le droit… tant que c’est VOLONTAIRE. Ensuite, si elle
échoue et s’effondre, cela n’a pas d’importance car cela ne m’affecte pas, ni moi ni quiconque n’a pas voulu participer.
Le problème est que ces socialistes/communistes/Marxistes/collectivistes ne saisissent tout simplement pas la notion de volontariat. Ils pensent qu’il faut forcer les gens à faire ce qu’il
faut ou à aider les autres, et que ce sont eux qui décident de ce qu’il faut faire et qui reçoit l’aide. Ce sont eux qui décident quelles libertés sont acceptables et quelles libertés ne
conviennent pas à leur programme. Quand ils disent « Nous vivons dans une société… », ce qu’ils veulent vraiment dire, c’est « Vous vivez dans NOTRE société, et
NOUS allons déterminer ce qui est le mieux pour vous ».
Lorsque je soutiens qu’une communauté socialiste devrait être volontaire, ils affirment inévitablement que les gens ne s’engageront pas volontairement dans un tel système et qu’il faut donc
les forcer à faire ce qui est le mieux pour le « plus grand bien ».
En ce qui concerne les passeports vaccinaux, le contrat social collectiviste est un élément clé. Ils affirment que le fait de ne pas être vacciné n’est pas une liberté personnelle car les
personnes non-vaccinées représentent un risque pour la vie de tous les autres. Le contrat social est donc violé car en faisant un choix de vie personnel, vous mettez en danger les droits des
autres.
Il est intéressant de noter que le culte Covid est composé de personnes qui n’appliquent pas la même logique à d’autres problèmes de santé comme l’avortement. Je veux dire qu’il n’y a aucune
preuve corroborée pour soutenir l’affirmation selon laquelle les personnes non vaccinées sont plus dangereuses pour la vie des autres que les personnes vaccinées, et nous allons y revenir
dans un instant. Mais, lorsque nous parlons d’un avortement, nous parlons d’une décision médicale personnelle qui conduit à la mort directe et observable d’un autre être humain innocent ayant
ses propres droits. Les avortements mettent fin à la vie de plus de 800 000 personnes à naître par an aux États-Unis, bien plus que ce que la Covid est censé faire.
Le principe « Mon corps, mon choix » ne s’applique apparemment qu’au meurtre de bébés, mais pas aux personnes qui ne veulent pas devenir des cobayes pour un cocktail d’ARNm
dont l’innocuité n’est pas prouvée par des tests à long terme.
Imaginez cependant que nous inversions le scénario et appliquions l’argument du contrat social au sens large à quelque chose comme les enfants et la population ? Un membre
collectiviste/gauchiste du culte du réchauffement climatique pourrait également soutenir que l’avortement devrait être légalement obligatoire, parce que le fait d’avoir un enfant ou
« trop d’enfants » augmente les émissions de carbone et met ainsi la société « en danger » encore plus (encore une fois, sans aucune preuve à l’appui).
En permettant au récit du contrat social de ne pas être contrôlé, nous ouvrons la porte à de nouvelles mesures d’oppression horribles et à un effacement complet de notre autonomie.
Je pense que l’on peut dire que l’idéologie du « contrat social » est très sélective et hypocrite. Le culte Covid ne se soucie pas de sauver des vies, il ne se soucie que
de son récit idéologique et du pouvoir de faire en sorte que les gens s’y soumettent. Mais creusons un peu plus le raisonnement derrière la revendication du contrat social. Qui meurt
réellement à cause des personnes non vaccinées, qui, selon les statistiques nationales sur les vaccins, représentent environ 50 % de la population américaine ?
Le taux moyen de mortalité par infection (IFR) du covid est de seulement 0,26 % selon des
dizaines d’études et les propres chiffres du gouvernement. Cela signifie que les personnes non-vaccinées ne représentent même pas une menace lointaine pour 99,7% de la population. Environ
40 % de tous les décès dus à la Covid-19 sont constitués de
personnes en maison de retraite présentant des conditions préexistantes, ce qui signifie que nous ne savons pas si elles sont réellement mortes de la Covid-19 ou en raison des problèmes de
santé dont elles souffraient déjà. Le bassin de personnes susceptibles d’être affectées par les non-vaccinés se réduit de plus en plus…
Et que dire de la contradiction ridicule qui surgit lorsque l’on parle du récit des obligations et du récit du passeport ? Si les masques et les vaccins fonctionnent réellement, alors comment
une personne non vaccinée ou non masquée peut-elle constituer une menace pour une personne vaccinée ? Si les vaccins et les masques ne fonctionnent pas, alors pourquoi les utiliser, et
pourquoi exiger des vaccinations forcées par le biais de mesures de passeport ?
La propagande dominante affirme que les personnes non vaccinées deviendront en quelque sorte des boîtes de Pétri pour de nouvelles mutations qui nuiront aux personnes vaccinées. Il n’y a
aucune preuve à l’appui de cette affirmation. En fait, il y a plus de preuves qui suggèrent que ce sont les personnes vaccinées qui déclencheront les mutations et les variants. Les médias
affirment qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter, mais si ce n’est pas le cas, nous ne devrions pas non plus nous inquiéter des mutations qui se développent dans la population non vaccinée, si
tant est qu’il y en ait.
Le fait est que de plus en plus de preuves scientifiques démontrent que les vaccins expérimentaux ne sont PAS efficaces et que les personnes non-vaccinées sont en fait plus à l’abri de la
Covid-19, quelle que soit la variante ou la mutation.
Il est impossible de connaître le nombre réel d’infections aux États-Unis car, selon le CDC, 59 % des personnes qui attrapent la Covid et la propagent sont asymptomatiques. Elles ne
savent jamais qu’elles sont infectées et il est donc peu probable qu’elles se soumettent à un test de dépistage. Cela dit, il est clair que des millions d’Américains ont été confrontés au
virus et ont maintenant une immunité naturelle contre lui (il se trouve que j’en fais partie). Les élitistes de l’establishment comme Anthony Fauci refusent de reconnaître l’immunité
naturelle comme un facteur, et ils disent que SEULS les personnes vaccinées sont qualifiées pour recevoir un passeport. Pourquoi ?
De multiples études sont publiées par des pays ayant un taux de vaccination élevé, comme Israël, qui contredisent complètement le discours de Fauci sur l’immunité naturelle. Israël a un taux
de vaccination d’environ 63% selon les statistiques gouvernementales, mais les preuves scientifiques qu’ils ont publiées montrent que les personnes vaccinées ont 13 à 27 fois plus de risques
de contracter la Covid et 8 fois plus de risques d’être hospitalisées par rapport aux personnes qui ont une immunité naturelle. Il semble presque que les vaccins à ARNm rendent les gens PLUS
sensibles au virus plutôt que moins sensibles.
Des données récentes publiées par l’État du Massachusetts confirment cette préoccupation. Au cours du mois de juillet, le Massachusetts a signalé au moins 5 100 infections par la Covid,
toutes des personnes qui étaient entièrement
vaccinées. Plus de 80 d’entre elles sont mortes, ce qui représente un taux de mortalité beaucoup plus élevé que chez les personnes non vaccinées. Dans mon comté de 20 000 habitants, où le
taux de vaccination est faible et où le masque n’est pas obligatoire, il n’y a eu au total que 17 décès dus à la Covid pendant la première année de la pandémie.
Cela soulève la question : Pourquoi prendre le cocktail ARNm ? Qu’y a-t-il à gagner ? Eh bien, il n’y a rien à gagner en termes de sécurité sanitaire. Même si vous faites partie des 0,26 % de
personnes exposées au risque de Covid, il est préférable sur le long terme de tenter votre chance avec l’immunité naturelle plutôt que de vous faire vacciner.
La réponse à la question ne concerne pas la santé, mais le refus d’accès. Les gouvernements et leurs partenaires commerciaux essaient de faire en sorte que vous soyez OBLIGÉ de prendre le
vaccin pour participer à des activités sociales normales, voire pour garder un emploi. En plus de cela, le processus s’éternise car, chaque année, il y a de nouveaux variants et de nouvelles
piqûres de rappel. La seule raison de se faire vacciner est de conserver au moins une poignée de ses libertés et d’éviter la pauvreté et la famine.
C’est ici que nous devons revenir à la question initiale présentée au début de cet article :
Est-il légalement et moralement acceptable de restreindre les droits et l’accès économique des gens afin de les forcer à se soumettre à un « vaccin » expérimental ?
La secte Covid dira que les droits des entreprises privées l’emportent sur les droits individuels et que les entreprises devraient donc être autorisées à discriminer leurs employés en
fonction de leur statut vaccinal. Mais encore une fois, ce à quoi nous sommes confrontés dans la plupart des cas, ce ne sont PAS des entreprises privées, mais des conglomérats financés par
des renflouements gouvernementaux et qui sont de connivence directe avec les gouvernements pour appliquer l’agenda du passeport. Je dois donc dire que ces entreprises n’ont pas le droit de se
nourrir de l’argent des contribuables et de prétendre ensuite qu’elles sont des entités privées qui ont la liberté d’envahir la vie privée des employés et des clients.
Et depuis quand les collectivistes se soucient-ils réellement des droits des entreprises privées, de toute façon ? Encore de l’hypocrisie…
Si nous parlons de petites et moyennes entreprises qui ne sont pas stimulées par le gouvernement, la question devient plus délicate. Dans de nombreux États et autres pays, les entreprises ne
font qu’appliquer les passeports parce que, si elles ne le font pas, elles seront punies par le gouvernement. Dans ce cas, l’argument des droits de l’entreprise privée tombe à l’eau. Le culte
Covid ne respecte l’indépendance des entreprises que lorsque cela les arrange.
Franchement, ce sont les petites entreprises qui sont les plus touchées par les obligations Covid et les coûts supplémentaires qu’implique la simple application des passeports dans leurs
propres établissements vont les ruiner. Tout propriétaire de petite entreprise qui soutient volontairement les règles du passeport doit avoir une envie de mort financière.
En ce qui concerne le gouvernement, la secte Covid prétendra qu’il existe des précédents de la Cour suprême pour l’application légale des vaccinations. Honnêtement, je m’en fiche, et des
millions d’autres Américains non plus. Une bande de grands prêtres en robe noire n’a pas à dicter mes décisions indépendantes en matière de santé ; je prends ces décisions et ils ne peuvent
rien y faire. C’est là qu’il faut en venir à la morale et aux principes impliqués – La vie des autres n’est en rien affectée par ma décision de refuser de me conformer aux passeports
vaccinaux. Et ce n’est pas parce qu’un groupe de personnes a des peurs irrationnelles face à la menace de la Covid qu’il faut exiger des personnes ayant plus de discernement sur les faits
qu’elles les fassent se « sentir mieux » ou se sentir plus en sécurité.
La ligne de fond est la suivante : Nos libertés sont plus importantes que vos peurs paranoïaques, et nous ne nous y plierons pas. Nous ne souscrivons pas à votre faux contrat social, et vous
n’êtes pas en position de dicter les termes de notre « société ». Vous n’aimez pas ça ? Vous êtes plus que bienvenus de quitter le pays et de créer une utopie vaccinale
ailleurs. Nous verrons comment cela fonctionnera pour vous à long terme.
Un climatologue de l’USGS, le Dr. Ethan Trowbridge a déclaré que «Nibiru va ravager la Terre».
Publié parVivre Librele
Un climatologue de l’USGS, le Dr.
Ethan Trowbridge a déclaré que
«Nibiru va ravager la Terre»
À l’approche de Nibiru, le nombre de lanceurs d’alertes prêts à rompre le silence semble avoir augmenté de façon exponentielle, malgré les risques pour leur sécurité, rapporte ibtimes.sg.
Un ancien climatologue de l’United States Geological Survey (USGS), le Dr Ethan Trowbridge, rejoint la liste croissante d’hommes et de femmes courageux qui ont rompu leurs vœux de
silence et violé des accords de non-divulgation pour dénoncer la dissimulation la plus diabolique de l’histoire de l’humanité.
Le Dr Trowbridge a obtenu son diplôme à l’université d’État de l’Iowa. Il a travaillé pendant quatorze ans à l’USGS, une agence scientifique gouvernementale qui étudie le paysage de la Terre,
ses ressources naturelles et, surtout, les risques naturels qui la menacent.
L’USGS est géré par le Département de l’intérieur et constitue la seule branche scientifique de ce département. Il a notamment pour mission de cataloguer et d’analyser les modifications de la
Terre liées aux changements climatiques graduels et radicaux.
Au cours de son mandat au sein de cette agence souvent incomprise, M. Trowbridge a supervisé son programme de géomagnétisme et sa division des sciences fondamentales. Il a également pris
connaissance d’un danger céleste souvent appelé Nibiru, un terme lié à un système solaire composé d’une étoile naine brune et de sept planètes en
orbite.
Le système Nibiru, a révélé le Dr Trowbridge, tourne autour de notre soleil une fois tous les 3600 ans. Son orbite allongée et elliptique, par rapport à notre hémisphère sud,
rend la détection, le suivi et le calcul mathématique d’une arrivée spécifique presque impossible.
Le témoignage de Trowbridge soutient les affirmations de l’astronome renégat Paul Cox et des scientifiques discrédités de la NASA, qui conviennent tous que l’intrus céleste représente un grave danger pour la Terre.
Selon le Dr Trowbridge, l’USGS et la NASA sont au courant de l’existence de Nibiru depuis au moins trente ans, et ensemble, avec d’autres agences gouvernementales, ont conspiré pour dissimuler l’existence de Nibiru.
«Je ne répéterai pas les mêmes propos catastrophistes tenus par d’autres lanceurs d’alerte», a déclaré le Dr Trowbridge. «L’USGS a appris l’existence de Nibiru après la NASA. Lorsque
nous avons présenté tant de rapports détaillant un changement climatique anormal, ils nous ont, avec la permission je suppose, renseigné sur ce qui se passe réellement.».
«Ces informations sont très fragmentées. Je pense que 40 ou 50 personnes ont une idée de ce qui se passe. Le reste est maintenu dans l’ignorance, nourrie de mensonges.Nous, ceux qui
savent, avons juré de garder le secret.La Terre est en péril en ce moment. Et Nibiru en est la cause», a déclaré le Dr Trowbridge.
Le Dr Trowbridge a critiqué l’USGS pour avoir perpétué la dissimulation, mais il ne s’est pas déchargé de sa responsabilité. L’USGS, dit-il, a concocté
des mensonges élaborés pour cacher la véritable nature des changements climatiques radicaux liés à l’approche de Nibiru.
Par exemple, il a assisté à des réunions au cours desquelles de hauts responsables de la Maison Blanche et des scientifiques de la NASA ont collaboré avec l’USGS pour mettre au point
une autre des stupéfiantes dissimulations à l’humanité: attribuer le changement climatique inexplicable à la dépendance
excessive de l’homme vis-à-vis des combustibles fossiles et à d’autres causes imaginaires, comme le rejet de chlorofluorocarbones dans l’atmosphère.
Le Dr Trowbridge cite la hausse du niveau des mers, les profonds changements de température et la fonte des glaces polaires comme autant de preuves de l’influence de
Nibiru sur notre planète.
«Je vis dans les Adirondacks, à environ 600 mètres d’altitude», a déclaré le Dr Trowbridge. «En moyenne, cette région reçoit, peut-être, un jour par an, où la température grimpe à
quatre-vingt-dix degrés. Cette année, cinq jusqu’à présent. Comment expliquer cela? De plus, le nord-est est connu pour l’abondance de ses précipitations en avril, mai et, dans une
certaine mesure, juin, soit environ 10 cm par mois.»
«Cette année, c’est la moitié. Pour couronner le tout, nous n’avons pas eu de neige l’hiver dernier, et nous parlons d’une région qui a généralement un mètre de neige au sol la première
semaine d’avril. Et c’est juste mon petit coin du monde. Cela se passe dans le monde entier.»
Il a raison; l’année 2021 a connu jusqu’à présent une augmentation alarmante des phénomènes météorologiques inexpliqués. Le Dr Trowbridge pense que
Nibiru va irrémédiablement bouleverser la planète.
Lorsqu’on lui demande quel sera l’impact final de Nibiru sur notre environnement, le Dr Trowbridge répond: «Nibiru va ravager la
Terre.».
Pendant ce temps, la NASA avait assuré aux gens que Nibiru était un «canular sur Internet».
Voici quelques exemples, parmi tant d’autres, qui illustrent le fait que la pollution électro-magnétique est un FAIT reconnu par la science. (Bien-sur, comme pour tant
d’autres questions, on trouvera également des études commanditées dans le seul but de noyer le poisson au sujet de ce fait.) Nous sommes malheureusement par rapports à ça
dans le même déni que nos prédécesseurs l’étaient par rapport aux produits chimiques, à la radio-activité ou au tabac. « Comme ça ne se voit pas, alors ça ne compte
pas ? »
2011 – L’objectif de l’étude était d’évaluer les lésions de l’ADN dans les cellules rénales, hépatiques et cérébrales de rats après une exposition in vivo à des
rayonnements de radiofréquence/micro-ondes de la gamme de fréquences des téléphones cellulaires. Les animaux ont été irradiés pendant une heure par jour, sept jours
par semaine pendant deux semaines. Les résultats de cette étude suggèrent que, dans les conditions expérimentales appliquées, l’irradiation répétée pourrait être une
cause de cassures de l’ADN dans les cellules rénales et hépatiques.
2020 – Dans cette étude, l’impact d’une radiofréquence standard de 2,45 GHz pendant 40 jours consécutifs sur le foie de rats femelles a été examiné. Les données actuelles ont révélé que
l’exposition au Wi-Fi entraîne un stress oxydatif grave dans le foie des rats. En outre, l’exposition au Wi-Fi a eu des effets délétères sur la fonction hépatique et a modifié sa
structure moléculaire. De plus, des altérations histologiques et structurales sévères sont rapportées dans les tissus hépatiques, ce qui indique des effets hépatotoxiques induits par
l’exposition au Wi-Fi. En conclusion, il convient d’être prudent lors de l’utilisation d’appareils émetteurs de Wi-Fi en raison de leur impact sévère sur le foie. Il faut sensibiliser le
public à la nécessité de réduire le temps d’exposition et d’augmenter la distance par rapport aux sources d’exposition Wi-Fi, dans la mesure du possible.
nformations à destination des parents ... et des enfants!
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Des informations concernant
le «vaccin covid»
qui ne sont pas divulguées
dans les médias officiels
1. Je reçois un
"vaccin" expérimental, entièrement nouveau, avec des ingrédients inédits
qui n’ont jamais été administrés en masse avant cette année 2021.
2. Je participe à uneexpérience internationalemenée par des entreprises pharmaceutiques et des politiciens qui n’assument aucune
responsabilité pour tout dommage causé.
3. Je fournis mes données médicales personnelles pendant 2 ans, au cours de cette étude post-autorisation de phase 3 puis 4.
4. Les vaccins sont encore en phase expérimentale et les essais cliniques de phase 3 sont en cours – leurs achèvements prévus en octobre 2022 pour Moderna et en janvier 2023 pour
Pfizer-BioNTech Comirnaty.
5. Les résultats définitifs de la sécurité et de l’efficacité de ces vaccins expérimentaux sont inconnus à ce jour.
6. Ce vaccin expérimental est un produit de génie génétique 100% synthétique – c’est un OGM, un organisme génétiquement modifié, qui sera injecté dans mon corps.
7. Ce vaccin expérimental peut:
• ne pas me protéger de la maladie Covid-19 (ne protégerait potentiellement que des formes graves)
• ni prévenir la transmission du virus SRAS-CoV-2.
8. L’analyse du ratio bénéfice-risque de ce vaccin expérimental est fondée sur des risques inconnus et minimisés, et des avantages surestimés et présumés. Les risques potentiels incluent
l’atteinte à la fertilité, troubles de la coagulation, troubles cardiaques et troubles neurologiques.
9. J’accepte l’idée fausse selon laquelle, être humain, signifie être toujours un contaminant potentiel et un vecteur de maladie, idée faite pour susciter la peur.
10. Avec le vaccin, je dois garder les gestes barrières: règles de distanciation sociale, du port du masque, PCR et quarantaine si je suis testé positif à l’avenir.
11. A ce jour, des milliers de décès ont été signalés à la suite de cette campagne de vaccination expérimentale, ainsi que des centaines de milliers de blessés souffrant de troubles
neurologiques, d’inflammations sévères et d’effets indésirables
cardiovasculaires (thromboses, AVC, infarctus).
12. La maladie Covid n’est à haut risque que pour les personnes âgées et les immunodéprimés, et pour plus de 99.7% de la population le décès n’est pas un risque: 99.7% de survie!
13. Je comprends et j’ai lu la liste des effets indésirables significatifs signalés en lien avec les injections contre le Covid-19.
Les effets indésirables connus comprennent: l’infection au Covid-19, l’anaphylaxie, des problèmes neurologiques, troubles cardio-vasculaires graves, maladies auto-immunes, affections
chroniques, la cécité et la surdité, problèmes de fertilité, dommages sur les fœtus, fausses couches, mort-nés et décès.
14. Je suis informé que la probabilité statistique de décès par Covid-19 est de 0,003% pour les jeunes (entre 0 et 19 ans), 0,02% entre 20 et 49 ans, 0,5% pour des individus âgés de 50 à
69 ans, 5,4% pour les seniors âgés de 70 ans et plus quand non soignés (tel qu’il a été fortement recommandé de le faire: «restez chez vous!»).
15. J’ai pris connaissance que? bien que vendues sous le nom de «vaccins», ces injections Covid-19 ARNm sont des thérapies géniques expérimentales.
Les fabricants de vaccin décrivent officiellement l’approche ARNm, jamais autorisée auparavant, comme un moyen de «programmer les cellules d’un individu» ou, en usant de la terminologie
de la société Moderna, comme le déploiement d’un nouveau «logiciel».
Dans la recherche passée, les injections de ARNm ont montré qu’elles avaient un élément inflammatoire intrinsèque, ce qui rend difficile la
détermination d’une balance bénéfice/risque «acceptable».
16. En tant que cobaye, je suis bien conscient que, contrairement à tout autre essai thérapeutique de médicament, je ne serai pas payé/défrayé par
le laboratoire pour cet essai de phase 3 dans la population générale.
J’ai bien lu et compris, je donne mon consentement éclairé et j’accepte de me faire vacciner en toute liberté avec le vaccin expérimental Moderna/Pfizer et décharge entièrement mon
médecin de toute responsabilité civile et pénale concernant cette injection et ses possibles conséquences.
Où vérifier ces informations?
Effets secondaires et décès: Le site américain VAERS (Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins), le site européen adrreports.eu.
Les experts qui en parlent: Dr. Richard Fleming, Dr. Peter McCullough, Dr. Mike Yeadon , Dr. Sucharit Bhakdi...
Le total des décès liés au vaccin en Europe:
Vous seul décidez de prendre les risques encourus par cette injection, vous seul décidez d’accepter ou non le passe sanitaire. Le pass sanitaire n’a rien à voir avec la santé publique,
mais sert à instaurer une société basée sur la surveillance de masse et plus tard l’instauration d’un système similaire au crédit social déjà en place en Chine.
Soyez courageux, ne renoncez pas à votre dignité et ne léguez pas votre souveraineté.
Chacun est invité à vérifier ces informations.
Plus d'informations et d'avis d'experts concernant le covid et soi-disant vaccins:
- chaîne vidéoJeanne Traduction: trouvable sur Odysee, Rumble, Telegram et Twitter.
- profession gendarme.com
- alliance humaine (ah2020.org)
- reinfocovid.fr
- santeglobale.world
- verite-covid19.fr
- laissons les médecins prescrire
- laminutedericardo.com
- launetv.com
- cogiito.com
- odysee.com@FlowerPower:b
- association bon sens.org
- agoratv.ch
Cher lecteur, chère lectrice,
Je vous transfère la grande pétition nationale de l’Observatoire International pour le Pouvoir d’Achat, que je soutiens pleinement. Elle a réussi à créer un véritable mouvement avec 45
000 signataires.
Il faut absolument dire STOP à nos gouvernants, avant qu’ils sabotent notre système de
successions, et la solidarité essentielle entre proches.
Lisez vite cet appel, dans les quelques jours qui restent pouréviter le pire:
SCANDALE:
Les énarques de Bercy choisiront
bientôt vos héritiers à votre place
La nouvelle loi sur les successions prive nos enfants et nos proches du DERNIER moyen de les
aider
Madame, Monsieur,
Depuis des années, vous préparez un patrimoine à léguer à vos proches.
Et vous avez sûrement une assurance-vie, parce qu’elle permet de transmettre librement votre patrimoine à ceux que vous souhaitez, sans taxation abusive.
Dès 2022, si nous ne faisons rien, le gouvernement aura écrasé tout cela, pour créer un régime unique qui imposera de façon autoritaire et dirigée votre
succession.
C’est même tout votre projet de transmission qui s’apprête à partir en fumée, avec cette nouvelle loi. Le projet déposé par la députée Christine Pirès Beaune
veut “en terminer avec le régime fiscal spécifique à l’assurance-vie au décès du
titulaire”.
Si cette nouvelle loi liberticide est passée en urgence par le gouvernement, vos efforts pour
organiser une juste succession seront réduits à néant.
Il ne reste que quelques jourspour sauver l’assurance-vie, et notre liberté de transmettre à qui nous voulons:
Dès demain, plus aucun moyen de choisir librement à qui vous voulez transmettre!
Avec le régime qu’ils veulent mettre en place, on peut dire ADIEU à l’assurance-vie et au libre choix des ayants-droits.
C’est une attaque sans précédent contre ceux qui ont travaillé dur toute leur vie, contre les valeurs de nos familles et contre les liens humains.
Demain, tout votre héritage sera rentré de force dans le régime général, de sorte que la succession ira d’abord à l’Etat, puis aux descendants selon le régime imposé.
Alertés par ce projet de loi, les journaux Le Figaro, Investir, ou Capital ont déjà réagi en appelant cette réforme un «Big Bang sur la
fiscalité des successions»!
Sans la soupape de l’assurance-vie, vous ne pourrez plus choisir librement les bénéficiaires de votre héritage, ni leur transmettre jusqu’à 150 000 € de patrimoine de
façon non imposée.
A peine serez-vous décédé, que l’Etat veut tout de suite vous priver de vos dernières libertés, et de tout ce que vous auriez pu prévoir et planifier avec l’argent d’une
vie…
La “double imposition” sur notre argent est totalement INJUSTE
Surtaxer nos successions est une nouvelle barrière morale franchie par nos autorités.
Même pour les puristes de la fiscalité, une telle loi est indéfendable
Car il existe un interdit moral dans la théorie fiscale, que ces politiciens de Bercy sont prêts à faire sauter sans vergogne pour ruiner nos familles:
On ne taxe pas deux fois le même argent.
Ce verrou parait logique,
le gouvernement taxe déjà de votre vivant vos revenus à la source, et votre immobilier.
il n’a aucune raison de retaxer le même argent en profitant que vous êtes mort!
Mais voici comment le gouvernement voudrait faire passer la pilule : il décide que désormais, ce n’est plus vous, mais vos successeurs qui seront taxés sur votre argent.
C’est une pure entourloupe de forme, dont le Rapport officiel (1) assume que le seul but est de ruiner “les plus aisés”.
Ces manipulations sont honteuses, car c’est l’argent durement gagné toute notre vie dont ils parlent!
Il est totalement injuste de re-prélever ce même argent une fois de plus en profitant de notre futur décès.
C’est pourquoi il est urgent d’agir avant que cette loi soit votée, pour sauver nos héritages et nos proches de ce jeu politique insupportable.
Transmettre librement à ceux qui nous sont chers, et choisir à qui va notre argent sont des droits fondamentaux de notre
démocratie.
Disons NON au projet de loi qui veut ruiner nos libertés et nos successions.
Cette “réforme d’ampleur” bientôt poussée à la va-vite inclut plusieurs mesures liberticides et inacceptables, qui vont remettre à zéro tout ce que vous aviez prévu pour votre
famille et vos proches :
1. Supprimer les donations anticipées? C’est
NON!
Les donations anticipées, utilisées par des millions de Français, seront bientôt supprimées, car elles sont considérées par les pouvoirs publics comme un moyen d’échapper au
système.
Pire : ceux qui ont déjà fait des donations anticipées à leurs proches risquent de voir leur effet annulé a posteriori, puisqu’à leur mort l’Etat considérera la
totalité de la fortune transmise. C’est une raison de plus d’agir vite afin d’éviter cette terrible réforme.
2. Plafonner les transmissions d’entreprises familiales?
C’est NON!
L’exonération pour la transmission des entreprises familiales sera maintenant plafonnée.
3. Augmenter encore l’impôt sur les successions? C’est
NON!
Cette réforme veut ENCORE augmenter les impôts généraux sur les successions, alors qu’il sont déjà au sommet: “Le nouveau système imposerait la totalité des
transmissions (...) de sorte que ceux qui reçoivent davantage soient imposés à des taux plus élevés.”
4. Tuer nos Assurances-vie et l’exonération fiscale? C’est
NON!
La victime n°1 de cette réforme est sans conteste “l’exonération des assurances-vie plafonnées à 150 000 euros, ainsi que les taux préférentiels qui s’appliquent au-delà
de ce seuil”.
Cela fait des années que notre dernier gros avantage d’épargne est dans le viseur des dirigeants.
Rien que depuis 2019, sa suppression a été évoquée dans 4 rapports officiels de l’Etat! (2)
L’heure est grave: dans quelques jours ils auront tué nos assurances-vie et supprimé l’exonération si nous ne faisons rien.
Et comme si cela ne suffisait pas, le rapport préparatoire prévoit même un dernier coup de couteau dans le dos.
5. Offrir un chèque-cadeau à tous les Français avec l’argent de nos successions? STOP À CETTE FOLIE!
Cette idée complètement folle vient du Rapport commandé par Emmanuel Macron lui-même.
Une fois toutes ces nouvelles taxes récupérées en plus, voici la première réforme qui est recommandée (lisez au moins les passages soulignés):
Du vol organisé pour permettre à l’Etat d’offrir des chèques-cadeaux d’anniversaire...
On retombe ici dans les pires travers des politiques d'assistanat, où l’Etat prélève au-delà du raisonnable ceux qui travaillent dur, en les privant de transmettre aux
personnes de leur choix.
Disons STOP au Ministre avant qu’il ne soit trop tard
Le Rapport officiel demande, dès ses premières lignes, d’écouter d’abord les citoyens et associations. Mais cela n’a jamais été fait!
Le gouvernement s’apprête à passer en force cette réforme auprès de toute la population, au milieu d'un paquet de nouvelles lois, alors que les seules personnes qui ont préparé le
rapport et réfléchi au sujet sont 28 universitaires...
Le peuple français n’a pas eu son mot à dire!
Alors il est urgent de faire entendre nos voix, et d’indiquer à notre Ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, Bruno Le Maire, que nous
attendons des garanties fermes sur les successions avant les prochaines élections présidentielles.
Nous devons lui montrer combien cette loi est dangereuse, et comment elle s’apprête à ruiner les successions et la liberté de choix de millions de français et de
retraités.
Seulement quelques jours pour agir: cela va aller très vite!
Le projet est déjà à l’Assemblée, et Emmanuel Macron a reçu fin Juin le rapport final qu'il
avait commandé.
Souvent par le passé, ces grands rapports économiques ont débouché sur des lois adoptées en quelques
jours :
Le plan du RapportPinay-Rueff, commandé par Georges Pompidou en 1958, a été remis le 8 décembre 1958
et adopté dans la foulée le 23 décembre 1958. C’est ce rapport qui a donné naissance au nouveau franc et une dévaluation immédiate de 17%.
Le Livre blanc sur les retraites préfacé par Michel Rocard a été rendu juste avant l’été 1991. Il a été suivi de
“quatre lourdes réformes des retraites” en 1992 et 1993. (3)
Le Rapport Gallois sur la compétitivité française, commandé par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, a
provoqué dès le lendemain un “Séminaire gouvernemental sur la compétitivité”. Puis le surlendemain, alors que le rapport n’avait même pas été écrit par un spécialiste
mais par un chef d’entreprise, la quasi-totalité des préconisations du rapport Gallois étaient transformées en lois.
Lorsque ces Rapports sont commandés directement par la tête de l'État, ils ont pour rôle de promulguer des mesures critiques au plus
vite.
C’est pourquoi il est urgent d’exprimer notre opposition à ces mesures liberticides, avant qu’elles ne soient passées en quelques jours par
le gouvernement!
Notre liberté de choix supprimée dès demain? Il est encore temps d’agir.
Agissons maintenant pour soutenir nos libertés fondamentales, et continuer à transmettre librement à ceux qui nous sont chers.
Si vous avez travaillé dur pendant des années, il est normal que ce travail soit respecté.
Et si vous espérez transmettre vos avoirs à vos proches, il est hors de question de laisser l’Etat nous prendre
ce droit élémentaire au nom d'un nouvel impôt immoral et passé en urgence.
Un pilote libère accidentellement (ou pas 😉 ) la traînée chimique alors qu’il se trouve encore à l’aéroport.
Ceci est pour ceux qui pensent encore que les chemtrails sont des « traînées de condensation » : https://t.me/qode17/7498
Découvrez, en 3D, comment la pluie pourrait devenir une nouvelle source d’énergie
DEMAIN – Ce soir, nous vous faisons découvrir une nouvelle vertu de la pluie. Des scientifiques ont trouvé le moyen de produire de l’électricité à partir des gouttes d’eau.
Dans le futur, le petit crachin d’automne sera une bonne nouvelle, puisque nous pourrons recharger notre téléphone portable avec de la pluie. Cela fonctionne grâce à un dispositif prototype
composé d’un collecteur d’eau, d’un générateur électrique et d’une batterie. L’eau sera stockée dans le réservoir et va traverser à grande vitesse le générateur. C’est cette action qui créera de
l’électricité. Les chercheurs ont réussi à allumer 22 ampoules Led pendant une minute grâce à sept litres d’eau de pluie.
Pour charger une voiture électrique, il faudra un peu plus de puissance. La solution a été trouvée grâce à un autre prototype. Il s’agit cette fois d’une petite boîte qui ressemble à un
transistor avec des électrodes de chaque côté. Quand la goutte d’eau tombe sur la surface du dispositif, elle va se répandre, toucher les électrodes, créer un pont. Le courant passe et
l’électricité est créée. Cette fois-ci, les chercheurs ont réussi à allumer 100 Led grâce à une seule goutte d’eau de pluie.
Autre découverte peu croyable, la pluie permettrait de produire de l’énergie solaire sans soleil. Tout se passe sur les toits des maisons, sur des panneaux photovoltaïques recouverts d’une fine
couche de graphène. Cette matière est issue du carbone. Grâce à une réaction mécanique, la friction des gouttes d’eau sur le graphène crée de
l’électricité.
Je ne sais pas comment exprimer ça autrement. J'ai reçu ma deuxième dose de Pfizer il y a deux semaines et je suis convaincu qu'il y a quelque chose dans ces vaccins qui coupe les gens de
l'esprit.
C'est comme si ma conscience était tenue en laisse et que la vie avait baissé son volume à un niveau très bas. J'ai eu un réveil spirituel intense il y a environ 2 ans déclenché par des expériences
psy. Maintenant, c'est comme si toute la connexion que j'avais acquise avait été effacée.
Je pense que c'est une sorte de technologie extraterrestre maléfique. Je ne plaisante pas, c'est comme cette merde "Law of One Orion"(une entité
extraterrestre s'efforcerait de soumettre les habitants de plusieurs planètes, selon des canalisations médiumniques)[...].
Je ne peux pas décrire le changement qui se produit dans ma conscience, j'ai du mal à y croire moi-même. C'est comme si mon mode de fonctionnement avait été modifié. J'ai de la chance d'en être
moi-même conscient. Mais, j'ai l'impression que la plupart des gens ne sont pas vraiment en contact avec leur esprit et ne remarquent rien d'anormal.
Pour moi, c'est l'enfer. Et je sais que certains d'entre vous savent de quoi je parle quand je dis que j'ai l'impression d'avoir trahi la mission de mon âme. C'est comme s'il n'y avait pas de pardon
pour moi, j'ai échoué et je me suis permis d'échouer en sachant que quelque chose n'allait pas, je n'avais pas la foi. Une partie de moi pense que je l'ai fait exprès parce que ma connexion était si
douloureuse. Mais rien n'est pire que ça, je préfère souffrir.
Je ne peux plus :
- Ressentir de l'empathie, ou une émotion profonde, une émotion sincère. Vous savez cette chose dans votre poitrine où vous vous sentez physiquement, pas intellectuellement, c'est parti. Pas d'amour,
de bonheur, de tristesse, de colère, rien. Aucune compassion.
- Me transcender dans la méditation, ressentir l'infini, Dieu et ainsi de suite. Comme si j'avais été réduit à mes 5 sens, et même ceux-ci ont été diminués.
- Avoir de l'intuition. Sans intuition, c'est comme si j'étais devenu complètement aveugle.
- Ressentir la musique, l'art, la nourriture.
- Être passionné par tout, avoir de la motivation pour tout, je ne ressens ni la faim ni la fatigue, je ne ressens rien. Ce n'est ni un engourdissement ni une dissociation (j'ai eu les deux), mais
c'est un vide pur et simple, une rupture avec cette étincelle qui anime notre vie intérieure.
- Avoir des rêves lucides, sentir la dimension astrale, sentir mon corps énergétique, tout cela s'est dissipé.
- Bien dormir. Je ne peux plus entrer dans un sommeil aussi profond qu'avant.
- Respirer ou bâiller aussi profondément qu'avant. Ce qui peut sembler sans rapport mais souffle = prana = force de vie.
En gros je me sens comme un robot.
[...]
J'avais eu une intuition extrêmement forte (la dernière que j'ai ressentie) me disant que je mourrais fondamentalement si je prenais cette dose(injection
anti-covid). Mais je ne voulais pas contrarier ma mère. J'ai donc cédé quand elle m'a demandé de me faire vacciner. Je dépends financièrement d'elle.
Honnêtement, j'aurais dû me retrouver sans domicile plutôt que de faire ça. Maintenant, c'est certain, je préfère être à la rue que de recevoir une autre dose de rappel. Il n'y a pas de vie sans
amour et pourtant c'est la vie que je connais actuellement. Si quelqu'un a des doutes sur le vaccin, voici mon exposé sur ce qu'il provoque, d'après mon expérience personnelle.
Apparemment, le cœur contient 40 000 neurones, et je suis presque sûr que le cœur est le "cœur" de tout cela pour ainsi dire. C'est à la fois le siège de l'émotion et le siège de l'esprit, reliant
l'âme et le corps, l'esprit, etc. Je pense que le "vaccin" arrête ce processus.
Est-ce que quelqu'un sait quelque chose sur les neurones cardiaques ou comment je pourrais inverser les dommages qui leur sont
causés et comment les réactiver ?
Dans le logo de l'"Operation Warp Speed", programme mis en place par Trump pour administrer rapidement l'injection Covid, la représentation du virus est sur le
symbole de l'esprit (antahkarana). Les psychopathes ont signé leur crime : l'injection est effectivement dirigée contre l'esprit :
Petite
bombe !
Emmanuel MACRON a été élu par fraude électronique et le ministère de l’intérieur a dit que c’est un SECRET D’ÉTATet
qu’on ne peut pas savoir où se trouvent les machines de votes!
L’expert en sécurité électorale de SuisseFrançois
De SIEBENTHAL dévoile
Plus de 900 pages de documents top secrets
récemment publiés sur la pandémie révèlent pour la première fois, par le biais de documents officiels, comment les États-Unis ont financé la recherche sur les coronavirus mortels au
laboratoire de Wuhan par l’intermédiaire d’une organisation appelée EcoHealth Alliance.
Note ExoPortail : Bien que des preuves de ces recherches aient été signalées dans des études publiées, la communication au titre de la loi sur la liberté d’accès aux
informations fournit une pièce essentielle du puzzle qui jette une nouvelle lumière sur ce qui se passait. Surtout sur les liens entre la Cabale Chinoise (PCC) et américaine. Certains personnes
ne s’arrêtant qu’au PCC pour «analyser cette plandémie» devraient revoir leurs grilles de lecture…
Des documents récemment publiés fournissent des détails sur les recherches
financées par les États-Unis sur plusieurs types de coronavirus à l’Institut de virologie de Wuhan en Chine.
The Intercept a obtenu plus de 900 pages de documents détaillant le travail d’EcoHealth Alliance, une organisation de santé basée aux États-Unis qui a utilisé des fonds fédéraux pour financer la
recherche sur les coronavirus de la chauve-souris dans le laboratoire chinois.
Le trésor de documents comprend deux propositions de subventions inédites financées par le «National Institute of Allergy and Infectious Diseases», ainsi que des mises à jour de projets
relatifs à la recherche de l’Alliance EcoHealth, qui a été examinée de près dans un contexte d’intérêt accru pour les origines de la pandémie.
Les documents ont été publiés dans le cadre de l’action en justice intentée par The Intercept contre les «National Institutes of Health» en vertu de la loi sur la liberté d’information.
The Intercept met l’intégralité des documents à la disposition du public.
«Il s’agit d’une carte routière des recherches à haut risque qui auraient pu conduire à la pandémie actuelle», a déclaré Gary Ruskin, directeur exécutif de U.S.
Right To Know, un groupe qui a enquêté sur les origines du Covid-19.
L’une des subventions, intitulée «Understanding the Risk of Bat Coronavirus Emergence» (Comprendre le risque d’émergence du coronavirus des chauves-souris), décrit un effort ambitieux mené par le président
d’EcoHealth Alliance, Peter Daszak, pour dépister de nouveaux coronavirus dans des milliers d’échantillons de chauves-souris. La recherche a également impliqué le dépistage des personnes qui
travaillent avec des animaux vivants.
Les documents contiennent plusieurs détails essentiels sur les recherches menées à Wuhan, notamment le fait que les principaux travaux expérimentaux sur des souris humanisées ont été réalisés
dans un laboratoire de niveau de biosécurité 3 du Centre d’expérimentation animale de l’université de Wuhan, et non à l’Institut de virologie de Wuhan, comme on le supposait auparavant.
La subvention pour le coronavirus de la chauve-souris a permis à EcoHealth Alliance de recevoir un total de 3,1 millions de dollars, dont 599 000 dollars que le Wuhan Institute of Virology a
utilisé en partie pour identifier et modifier les coronavirus de la chauve-souris susceptibles d’infecter l’homme.
Avant même la pandémie, de nombreux scientifiques s’inquiétaient des dangers potentiels liés à de telles expériences.
La proposition de subvention reconnaît certains de ces dangers :
«Le travail sur le terrain comporte le risque le plus élevé d’exposition au SRAS ou à d’autres CoV, alors que l’on travaille dans des grottes où la densité de chauves-souris est élevée et où
la poussière fécale peut être inhalée.»
Alina Chan, biologiste moléculaire au Broad Institute, a déclaré : «Dans cette proposition, ils soulignent en fait qu’ils savent à quel point ce travail est risqué. Ils ne cessent de parler
de personnes susceptibles d’être mordues – et ils ont conservé les dossiers de toutes les personnes qui ont été mordues. Est-ce que EcoHealth a ces dossiers ? Et si non, comment peuvent-ils
exclure un accident lié à la recherche ?»
Selon Richard Ebright, biologiste moléculaire à l’université Rutgers, les documents contiennent des informations essentielles sur les recherches menées à Wuhan, notamment sur la création de
nouveaux virus.
«Les virus qu’ils ont construits ont été testés pour leur capacité à infecter des souris qui avaient été modifiées pour afficher des récepteurs de type humain sur leurs
cellules», a écrit Ebright à The Intercept après avoir examiné les documents.
Ebright a également déclaré que les documents montrent clairement que deux types différents de nouveaux coronavirus étaient capables d’infecter des souris humanisées.
«Pendant qu’ils travaillaient sur le coronavirus lié au SRAS, ils menaient en parallèle un projet sur le coronavirus lié au MERS», a déclaré Ebright, en référence au
virus qui cause le syndrome respiratoire du Moyen-Orient.
La subvention a été initialement accordée pour une période de cinq ans – de 2014 à 2019.
La proposition, rédigée en 2019, semble souvent prémonitoire, se concentrant sur l’intensification et le déploiement des ressources en Asie en cas d’épidémie d’une «maladie infectieuse
émergente» et faisant référence à l’Asie comme «ce plus chaud des points chauds de l’EID».
Entre-temps, le scientifique britannique controversé Peter Daszak a été écarté de la commission COVID-19 chargée d’étudier les origines de la pandémie après avoir contribué à dénoncer secrètement
la théorie de la fuite du laboratoire, tout en omettant de mentionner ses liens étroits avec le même établissement.
Bien que les grands médias ne s’orientent que maintenant vers la théorie de la fuite de laboratoire, il existe de nombreuses preuves qui montrent que la pandémie était en fait prévue depuis le
début.
Fauci a financé la création de « coronavirus chimériques » à Wuhan :
Lorsque le Dr Anthony Fauci s’est emporté contre le sénateur Rand Paul (R-KY) en juillet – le
traitant de menteur pour l’avoir accusé de financer des recherches dites de « gain de fonction » (GdF) à Wuhan, en Chine, afin de rendre les coronavirus plus
transmissibles à l’homme, l’argument s’est finalement évanoui en raison de l’affirmation non étayée de Fauci selon laquelle la recherche ne correspondait pas techniquement à la définition de GdF.
Aujourd’hui, grâce aux documents déclassifiés on sait que EcoHealth Alliance, une organisation à but non lucratif basée à New York et dirigée par Peter Daszak, financée par Fauci.
Et comme le note Richard H. Ebright, professeur de chimie au Conseil des gouverneurs de l’université Rutgers, «les documents montrent clairement que les affirmations du directeur des
NIH, Francis Collins, et du directeur du NIAID, Anthony Fauci, selon lesquelles les NIH n’ont pas soutenu la recherche sur les gains de fonction ou l’amélioration d’agents pathogènes pandémiques
potentiels à l’Institut de Virologie de Wuhan (IVW) sont mensongères.»
En bref, Fauci a menti au Congrès lorsqu’il a refusé de financer la recherche sur les gains de fonction (GdF).
Dans cet article co-écrit par dix avocats, ces derniers expliquent pourquoi l’obligation vaccinale résultant de la loi du 5 août relative à la crise sanitaire est, selon eux, contraire au droit
international et, par conséquent, illégale.
Le conseil constitutionnel n’a pas validé l’obligation vaccinale.
Si le conseil constitutionnel a été saisi de la loi du 5 août [1], il n’a pas conclu à la constitutionnalité de l’obligation
vaccinale puisqu’il ne s’est pas prononcé sur les articles concernés de la loi (art. 12 et 13) mais, uniquement,
sur le régime transitoire jusqu’au 14 septembre 2021 et résultant de l’article 14. I. A.
Surtout, il ne juge pas au regard des textes internationaux qui ont une valeur supérieure à la loi. La conformité de l’obligation vaccinale au droit international pourrait en revanche être
appréciée par tout juge à l’occasion d’un procès, introduit par exemple par un professionnel suspendu.
Jurisprudence européenne sur l’obligation vaccinale.
La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a validé, le 8 avril 2021, l’obligation d’administrer aux enfants des vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, les infections à
Haemophilus influenzae de type b, la poliomyélite, l’hépatite B, la rougeole, les oreillons et la rubéole (Vavřička c.
République Tchèque). Mais, contrairement à ce qu’a relevé la Cour européenne le 8 avril,
Le choix du vaccin covid-19 est limitatif (versus
CEDH §299),
Il n’y a pas de consensus général sur l’efficacité
des vaccins en question (versus CEDH §300),
Les cas graves de réactions aux vaccins covid-19
ne sont pas rares mais 14 fois plus fréquents [2] que dans l’affaire jugée en avril (§301 de la CEDH
versus veille de l’ANSM au 29 juillet en France : 17 572 cas graves pour
72 753 000 injections),
Les contre-indications ne sont pas appréciées au
cas par cas (versus CEDH §301),
La sanction est disproportionnée (versus CEDH
§§293,307),
L’objection de conscience n’est pas reconnue
(versus CEDH §§93,292).
Par ailleurs, la Cour européenne a posé comme cadre juridique d’appréciation l’article 26 alinéa 1er de la convention d’Oviedo concernant les médicaments qui ne sont pas en phase de recherche
(CEDH §141).
Droit européen et international relatif aux vaccins en phase d’essais cliniques.
Justement, les vaccins disponibles en France sont en phase 3 d’essais cliniques, jusqu’au 27 octobre 2022 pour Moderna et au 2 mai 2023 pour Pfizer : jusqu’à ces dates, il s’agit de
médicaments expérimentaux [3] utilisés dans un
essai clinique [4], « study type :
interventional (Clinical Trial) » [5], quel
que soit le nombre de vaccins administrés.
L’Agence européenne du médicament n’a en conséquence délivré qu’une autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle [6].
Or, tant la convention
d’Oviedo (art. 26 al. 2) que l’Union européenne imposent un consentement libre et éclairé pour tout médicament en phase d’essai clinique [7] [8].
L’obligation vaccinale apparaît donc « illégale » et pourrait être écartée par un juge. Précisons que, si la Cour européenne a rejeté le 24 août 2021 la requête des pompiers, elle a
seulement refusé de se prononcer en urgence sans se prononcer sur le fond (CEDH n°41950/21).
Contre-indications aux vaccins.
Le décret du 7 août dresse une liste limitative des contre-indications n’incluant pas les indications figurant
aux résumés des caractéristiques des produits (RCP) des vaccins visés dans la décision européenne (annexe I). Par exemple, les RCP considèrent que la vaccination doit être reportée en cas
d’infection aiguë, que l’utilisation chez la femme enceinte doit être envisagée seulement si les bénéfices potentiels l’emportent sur les risques potentiels pour la mère et le fœtus, ce qui
justifie de « demander conseil à son médecin ou pharmacien » comme pour l’allaitement. La
HAS recommande pour les personnes ayant la Covid-19 de différer le vaccin de trois mois après leur infection (avis du 3 juin).
Une personne présentant un terrain allergique très développé a des risques importants de développer une allergie à tout nouveau médicament et donc au vaccin. Une des réactions allergiques connues
au vaccin covid-19 étant un choc anaphylactique, faut-il courir le risque et attendre une réaction allergique grave à la première dose pour la dispenser de la seconde ? La HAS
indique d’ailleurs qu’il faut interroger le patient sur des réactions anaphylactiques antérieures à des vaccins, médicaments ou aliments et disposer toujours d’un traitement médical
approprié en cas de réaction de ce type.
Dans son avis du 19 juillet (point 18), le Conseil d’État n’a pas envisagé que le
gouvernement décide à la place des médecins d’une contre-indication qui ne peut qu’être appréciée au cas par cas et le projet de loi qui lui était soumis pour avis ne prévoyait rien de tel.
L’interdiction de prescrire d’autres contre-indications que celles listées se révèle donc illégale et pourrait être écartée par les juges.
Atteintes aux libertés fondamentales.
Par ailleurs, les atteintes causées par l’obligation vaccinale aux libertés fondamentales apparaissent disproportionnées, n’étant justifiées ni par la nature de la tâche à accomplir ni par
l’objectif poursuivi : l’obligation inclut des soignants et étudiants soignants même s’ils ne sont pas en contact avec des personnes vulnérables tels que les pharmaciens conseils de la CNAM
travaillant dans un bureau sans contact avec le public, alors que les agents d’accueil en contact permanent avec le public n’y sont pas soumis. Ou encore, selon qu’une personne âgée est
attributaire ou non de l’APA, son salarié doit être vacciné ou non : quel est donc le rapport entre l’objectif de protection alléguée et les ressources de la personne employeur ?
Alors que nombre de psychologues et orthophonistes ont mis en place des séances en visio ou par téléphone, le patient devra pourtant changer de praticien si ce dernier ne souhaite pas se faire
vacciner. Or, interrompre l’accompagnement, qui dure parfois depuis des années, de personnes en situation de souffrance psychique est contraire au libre choix du praticien de même qu’à l’objectif
de santé publique.
Enfin, la contre-indication au vaccin dans les cas prévus par le décret permet au personnel concerné d’exercer son activité sans vaccin ni test virologique négatif.
Or :
Soit le risque de transmission ou de contamination
est tel qu’il justifie le vaccin et alors les personnes exemptées ne doivent pas travailler dans les lieux identifiés comme justifiant la vaccination ; un système de mise à l’écart aurait dû
être prévu, tel qu’un congé temporaire rémunéré le temps de la pandémie ;
Soit le risque de transmission ou de contamination
peut être évité pour les personnes exemptées, par exemple par le respect des gestes barrières, et c’est bien le cas puisqu’elles peuvent continuer à exercer : pourquoi la loi prévoit-elle
alors une atteinte si importante aux libertés pour les autres personnels pour lesquels le respect des gestes barrières est considéré comme insuffisant, et une telle rupture d’égalité ?
En outre, si l’objectif de l’obligation vaccinale est d’assurer, sur les lieux concernés, la seule présence de personnes « protégées » contre la covid-19, les personnes ayant des
anticorps devraient être exemptées.
Si l’objectif est d’assurer la seule présence de personnes ne présentant pas un « risque » de transmission du virus, l’obligation vaccinale n’est pas justifiée par l’objectif puisque
les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contagieuses [9], sachant que le CDC, Agence de santé publique américaine,
affirme même que les personnes vaccinées sont autant contagieuses avec le variant Delta que celles non vaccinées [10].
Le présent propos s’en tient à l’obligation vaccinale mais la loi est encore contraire au droit international
concernant le passe sanitaire pour accéder à certains lieux et services. Il y a en vue de nombreux contentieux car le respect par la loi des normes à valeur supra législatives n’engage rien de
moins que la survie de l’État de droit.
Capucine Augustin, Grégoire Belmont, Françoise Besson, André Bonnet, Marc Gâteau-Leblanc, Benoit de Lapasse, Camille de Rambures, Bruno Le Griel, Loïc Lerate, Delphine Loiseau, Avocats.
De nombreuses informations complémentaires sont régulièrement demandées sur les vaccins. Parmi elles, la question des AMM (autorisations de mise sur le marché)
conditionnelles est à l’ordre du jour, directement liée à celle des documents attestant de l’efficacité des vaccins, normalement fournis par leurs fabricants respectifs.
En effet, alors que nous avons dépassé les délais d’introduction d’une demande de renouvellement initiallement prévus par les AMM, et que nous n’avons aucune
nouvelle de la part des autorités de santé, nous sommes en bon droit de nous poser la question suivante : la vague des troisièmes doses, qui est déjà annoncée, aura-t-elle lieu dans le
bon respest du règlement européen ? Comme nous le disions dans l’article précédent, ou bien il n’a pas été respecté, ou bien elle l’a été mais sans aucune transparence sur les
différentes étapes à respecter, dont une instance comme l’ANSM devrait rendre compte publiquement au vu des enjeux.
Devant l’absence de réponse des autorités et la non disponibilité de ces informations, trois associations (l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante, la Ligue Nationale pour la liberté des vaccinations et BonSens) ont saisi le Conseil d’État dans le cadre d’un référé-liberté contre l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits
de santé (ANSM), le ministre des Solidarités et de la Santé et la Haute Autorité de Santé. L’objet de cette procédure est d’obtenir les documents demandés concernant les vaccins, par
l’intermédiaire de l’avocat des associations Me Teissedre.
Par lettre en date du 26 août 2021, le conseil des associations requérantes a écrit à la Directrice générale de l’ANSM pour demander qu’elle
lui fournisse les éléments permettant de s’assurer du bon respect de la procédure en question – prévue par deux règlements européens consacrés aux AMM conditionnelles. À ce jour, ce courrier
est resté sans réponse et les associations ont donc mandaté Me Teissedre pour obtenir gain de cause.
Il s’agit d’informations capitales, puisque le gouvernement français est engagé dans une vaccination à marche forcée depuis l’annonce
du président Macron du 12 juillet 2021. Annonce qui a donné lieu à l’obligation vaccinale pour les soignants, et au passe sanitaire pour le reste de la population.
Sur le papier, une AMM conditionnelle dure un an, mais exige que les fabricants des vaccins fassent une demande de renouvellement six mois avant l’échéance
finale. Pour cause, les autorisations reposent sur l’étude approfondie des documents fournis par les fabricants, ce qui nécessite du temps – l’avis de l’Agence Européenne du Médicament doit
être rendu dans les 90 jours suivant la demande. Ces délais sont donc supposés impératifs, d’autant qu’ils concernent aujourd’hui l’ensemble de la population.
À noter : Le vaccin BioNTech/Pfizer a obtenu une AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. (fin d’AMM 21 juin 2021)
Le vaccin Moderna a obtenu une AMM conditionnelle le 6 janvier 2021.
(fin d’AMM 6 juillet 2021)
Le vaccin AstraZeneca a obtenu une AMM conditionnelle le 29 janvier 2021.
(fin d’AMM 29 juillet 2021)
Le vaccin Janssen a obtenu une AMM conditionnelle le 11 mars 2021.
(fin d’AMM 11 septembre 2021)
Il y a donc lieu de vérifier si pour les vaccins Pfizer, Moderna et AstraZeneca, la procédure ci-dessus décrite a bien été respectée.
Le mémoire de l’avocat développe ensuite sur le caractère incomplet des preuves relatives à la qualité des vaccins autorisés en Europe, sur les arguments
relatifs à leur efficacité, en expliquant qu’ils se révèlent incapables de bloquer la propagation du variant Delta. Avec une protection plus courte et plus faible que celle
annoncée par les fabricants et le gouvernement, il y a lieu de vérifier que la règlementation européenne précitée a bien été respectée, d’autant que la vaccination est aussi à l’origine des
différentes mesures de plus en plus attentatoires aux droits et aux libertés fondamentaux de la personne humaine.
Me Teissedre demande donc au Conseil d’État :
1. D’enjoindre, sous astreinte de 1 000 € par jour de retard, à l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé, au
ministère des Solidarités et de la Santé et à la Haute Autorité de Santé de produire, dans les plus brefs délais qui ne sauraient dépasser 15 jours à compter de l’ordonnance à
intervenir, les informations et preuves visées par le règlement*, ainsi que les informations et données complémentaires visées aux
annexes 2 paragraphe E de chaque AMM conditionnelle, et ce pour chaque vaccin anti Covid-19 autorisé en France et dans l’Union Européenne. Ces informations et données portent notamment sur la
qualité de la substance active utilisée et des excipients, le procédé de fabrication, la reproductibilité des lots commercialisés, dès lors que les délais stipulés dans chacune de ces annexes
sont dépassés ;
*(CE) n°507/2006 du 29 mars 2006 relatif au respect de la procédure relative au renouvellement annuel des Autorisations de Mise sur le Marché
conditionnelles.
2. À défaut, d’ordonner la suspension sur le territoire français de l’utilisation des quatre vaccins auxquels une AMM conditionnelle a
été octroyée par l’Agence Européenne du Médicament et par la Commission européenne ;
Et de condamner le ministre des Solidarités et de la Santé, l’ANSM et la Haute Autorité de Santé à verser aux requérantes la somme de
4 500 € sur le fondement des dispositions de l’article L. 761-1 du code de justice administrative.
Contacté ce jour, Me Teissedre nous informe que son mémoire a été réceptionné et enregistré. Reste à savoir si cela donnera lieu à une audience.
Vaccins contre la Covid-19 : le récent aveu du Conseil scientifique
Tout ce que nous vivons aujourd’hui, en France notamment, à cause du « passe sanitaire » et de l’« obligation » vaccinale (contre la
Covid-19) repose essentiellement sur une seule affirmation, d’ordre scientifique, émise par le Gouvernement et par son Comité scientifique. Cette affirmation a été produite
auprès du Conseil d’État, du Parlement (le législateur) et du Conseil constitutionnel.
Comme le révèle le Conseil constitutionnel, cette seule affirmation consistait
à dire ceci :« le législateur a estimé que, en
l’état des connaissances scientifiques dont il disposait, les risques de circulation du virus de la covid-19 sont fortement réduits entre des personnes
vaccinées ».
Or, cette affirmation vient d’être récemment contredite par notamment le Conseil scientifique,
lui-même.
En effet, dans une« Note d’alerte »ci-jointe, en date du 20 août 2021 (actualisée le 25 août 2021), ledit Conseil
scientifique vient d’admettre notamment ce qui suit :
« Les personnes vaccinées infectées ont des pics de charge virale du même ordre de grandeur que ceux
des personnes non-vaccinées infectées (…) suggérant que les personnes vaccinées infectées pourraient être contagieuses (…) » ;
« (…) dans les conditions actuelles d’obtention du pass sanitaire, celui-ci ne saurait être à lui seul le
garant de l’absence de contamination entre les personnes qui se retrouvent dans un lieu où celui-ci est exigé et ne doit pas être compris ni mis en œuvre comme une protection absolue contre
la contamination. Renforcer le contrôle du respect du pass sanitaire voire chercher à atteindre son respect absolu pourrait faussement faire croire à ses utilisateurs qu’ils sont
totalement protégés et nous paraît devoir être évité. Le Conseil scientifique privilégie un message sanitaire que « le pass sanitaire réduit le risque de contamination sans l’éliminer et
qu’il convient de respecter le plus possible les gestes barrières même dans les lieux sous pass sanitaire, en particulier pour les personnes les plus à
risque » ;
« (…) La très grande transmissibilité du variant Delta, son incubation rapide, et sa capacité d’échappement
(immunitaire) vaccinal (…) » ;
« (…) le risque d’introduction du virus à partir de personnes vaccinées mais infectées (…) de faux-négatifs de
tests virologiques, ou d’incubation très rapide chez des sujets testés dans les 72 dernières heures, fait que ces lieux soumis au pass sanitaire ne peuvent pas être entièrement considérés
comme sécurisés» ;
« Le Conseil scientifique souhaite rappeler que les mesures
barrières devraient être conservées même pour les sujets complétement vaccinés (…) » ;
« Chez les personnes âgées (…) l’utilisation d’une 3ème dose autologue paraît être une réponse
opérationnelle à court terme pour cette rentrée bien qu’on manque de données scientifiques solides» ;
«A moyen terme, dans un contexte de circulation accrue de virus présentant des variations antigéniques,
l’utilisation d’une 3ème dose de vaccin identique pourrait apporter un bénéfice limité. Pour restaurer une bonne protection il sera probablement nécessaire d’utiliser un
nouveau vaccin comportant un immunogène (protéine S) actualisé, proche de celle du virus variant circulant. Ces vaccins ne sont pas disponibles
actuellement» ;
« Etc. »Cette nouvelle preuve vient confirmer, encore davantage, le bien-fondé des précédentes alertes
du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet.
Le passe sanitaire et l’obligation vaccinale (contre la Covid-19) n’ont donc aucun
fondement : ni scientifique, ni juridique.
Pièce jointe :« Note d’alerte du Conseil scientifique
COVID-19 ; 20 août 2021 (actualisée le 25 août 2021) ; Fin de la période estivale et pass sanitaire ; Rentrée de septembre 2021. »
Des scientifiques justifient le choix du refus du vaccin par les blouses blanches. La protéine spike est dangereuse.
Je vous invite à visionner ce documentaire très intéressant et très touchant qui fait intervenir un certain nombre de personnes travaillant dans le secteur de la santé qui refuse le vaccin et
dont la vie professionnelle pourrait basculer ce 15 septembre.
Il y a définitivement quelque chose qui ne va pas avec les documents « autorisation complète » de #Pfizer-BioNTech
Publié par Brujitafr sur 10 Septembre 2021, 08:45am
L’« autorisation complète » de la Food and Drug Administration pour le vaccin Pfizer-BioNTech pour Covid-19 a été annoncée avec pas mal de bruit et de fanfare. Le président des États-Unis a
annoncé ce développement monumental et l’a présenté comme la justification du lancement des pass sanitaires dans le secteur privé, dans
l’ensemble du gouvernement et dans l’armée américaine.
Le président Joe Biden était sur place lundi matin avec une réaction rapide à l'”autorisation complète” de la FDA des vaccins Covid-19.
“La FDA a officiellement approuvé le vaccin Pfizer COVID-19”, a déclaré Biden. « Bien que les trois vaccins COVID aient satisfait aux normes strictes de la FDA pour une utilisation en cas
d’urgence, cette approbation de la FDA devrait donner une confiance supplémentaire que ce vaccin est sûr et efficace. Si vous n’êtes pas encore vacciné, c’est le moment.
L’annonce de Biden a fait suite à la large couverture médiatique selon laquelle Pfizer-BioNTech avait une approbation « totale »
pour l’utilisation du vaccin aux États-Unis.
“La Food and Drug Administration a accordé à Pfizer et BioNTech l’approbation complète des États-Unis pour leur vaccin Covid-19 – devenant le premier aux États-Unis à remporter la désignation
convoitée et donnant à encore plus d’entreprises, d’écoles et d’universités une plus grande confiance pour adopter des mandats de vaccin”, a rapporté CNBC. .
« Jusqu’à présent, le vaccin à ARNm était sur le marché américain sous une autorisation d’utilisation d’urgence, qui a été accordée par la FDA en
décembre. Depuis lors, plus de 204 millions de vaccins Pfizer ont été administrés, selon les données compilées par les Centers for Disease Control and Prevention », ajoute le
rapport.
Mercredi, le Pentagone a finalement donné l’ordre aux troupes américaines de se faire vacciner, sinon.
“Pour défendre cette nation, nous avons besoin d’une force saine et prête”, a déclaré le mémo du ministère de la Défense. « Après une consultation minutieuse avec des experts militaires et
des dirigeants militaires, et avec le soutien du président, j’ai déterminé que la vaccination obligatoire contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) est nécessaire pour protéger la force
et défendre le peuple américain. »
Mais un examen plus approfondi des documents «d’autorisation complète» a le sentiment d’être trompé par certains Américains. Il y a le fait que
Pfizer-BioNTech semble toujours bénéficier des protections légales qui accompagnent l’autorisation d’utilisation d’urgence, tout en étant prétendument approuvée par la FDA. Comment
l’entreprise pharmaceutique a-t-elle réussi un tel « coup » commercial ?
À un examen plus critique des documents, il semble désormais bien que l’entreprise, avec l’aide indispensable d’un média complice et de l’administration
Biden, se soit engagée dans un classique appât-and-switch.
Avant de continuer, examinez le langage technique utilisé dans le communiqué mal formulé. La nouvelle étiquette du vaccin « entièrement autorisé » s’appelle
« Comirnarty ».
« Le 11 décembre 2020, la Food and Drug Administration (FDA) a délivré une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) pour l’utilisation d’urgence du
vaccin Pfizer-BioNTech COVID‑19 pour la prévention du COVID-19 pour les personnes de 16 ans et plus conformément à l’article 564 de la loi », a déclaré la FDA dans une lettre adressée à la directrice principale mondiale de Pfizer, Mme Elaine Harkins. « La FDA a réémis
la lettre d’autorisation les 23 décembre 2020, 25 février 2021, 10 mai 2021, 25 juin 2021 et 12 août 2021. »
« Le 23 août 2021, la FDA a approuvé la demande de licence de produits biologiques (BLA) soumise par BioNTech Manufacturing GmbH pour COMIRNATY (vaccin
COVID-19, ARNm) pour une immunisation active afin de prévenir le COVID-19 causé par le SRAS-CoV-2 chez les individus de 16 ans d’âge et plus.
Doctorat. Kathleen Lee, étudiante en biochimie et biologie moléculaire, a compris le changement de langage et a décidé d’aller plus loin.
“J’ai appelé le numéro Pfizer BioNtech 1-800-666-7248”, a-t-elle déclaré. « L’enregistrement indique clairement qu’il n’a pas été approuvé par la FDA. Pfizer BNT162B2 est toujours sous EUA.
Cela clarifie l’autorisation désordonnée de la FDA entre Comirnaty et Pfizer BioNtech. »
Surplombant le choix étrange d’un indicatif régional, j’ai décidé d’appeler et j’ai confirmé que c’était toujours le cas. Mais ce pourrait être juste un vieil enregistrement. Lee a continué à
exprimer son analyse de l’apparente divergence.
“C’est trompeur”, a déclaré Lee. « Si le flacon indique Comirnaty, c’est approuvé par la FDA. Si le flacon indique
Pfizer BioNtech – c’est sous EUA et ils ne sont pas soumis à la responsabilité. Il y a des millions de doses à éliminer en premier.
Pourtant, si le prochain lot de vaccins distribués était produit sous le label Cominarty, cela semblerait réconcilier le problème.
Sauf que ce n’est pas le cas. Enfouie profondément dans les notes de bas de page des documents Pfizer-BioNTech, se trouve une note de bas de page qui
met en perspective plutôt secouante le fait que les vaccins actuellement étiquetés sont toujours sous autorisation d’utilisation d’urgence (EUA).
« Bien que COMIRNATY (vaccin COVID-19, ARNm) soit approuvé pour prévenir le COVID-19 chez les personnes de 16 ans et plus, il n’y a pas suffisamment de vaccin approuvé disponible
pour la distribution à cette population dans son intégralité au moment de la réémission de cet EUA . De plus, aucun produit n’est approuvé pour prévenir le COVID-19 chez
les personnes âgées de 12 à 15 ans, ou qui est approuvé pour fournir une dose supplémentaire à la population immunodéprimée décrite dans cet EUA . »
Les implications profondes de cet aveu ont été mentionnées par le célèbre critique des vaccins Alex Berenson, ancien du New York Times et auteur à succès sur le sujet.
2/ Ou est-ce une autre raison pour laquelle @us_fda fait tout son possible pour dire que Comirnaty n’est pas disponible ?
« Alors maintenant que Come-Here-Naughty est approuvé (ish), le [Moderna] et [Johnson & Johnson] perdent leurs autorisations d’utilisation d’urgence, n’est-ce pas ? »
demanda Berenson. « Parce qu’il existe une alternative approuvée et que vous ne pouvez pas avoir d’EUA lorsqu’il existe des « alternatives adéquates, approuvées et
disponibles ». »
« Ou est-ce une autre raison pour laquelle [la FDA] fait tout son possible pour dire que Comirnaty n’est pas disponible ? » Berenson continua. « [B] bien que COMIRNATY
(vaccin COVID-19, ARNm) soit approuvé… il n’y a pas suffisamment de vaccins approuvés disponibles pour être distribués à cette population. »
L’avocat Robert Barnes est entré dans le vif du sujet dans un article publié mercredi soir :
“Il n’y a pas de vaccin homologué *disponible* approuvé par la
FDA”, a déclaré Barnes. « Voici ce qui se passe. Si le vaccin COVID19 approuvé et autorisé par la FDA, il devrait révoquer les vaccins EUA et soumettre le
fabricant de vaccins à plus de risques de responsabilité. Il n’a donc approuvé qu’un futur vaccin qui n’est pas “disponible”.
Lorsqu’un utilisateur a remis en question son analyse avec le point extrêmement persuasif « point final », Barnes a répliqué avec un point indiscutable.
“Avez-vous omis de lire la partie de la lettre de la FDA où il est dit que le vaccin autorisé n’est pas encore” disponible “?” demanda Barnes.
« Comment existe-t-il des vaccins EUA lorsque la loi ne les autorise pas s’il existe un vaccin homologué ? »
Le Dr Robert Malone, qui est décrit comme l’inventeur de l’ARNm et de l’ARN en tant que médicament, est apparu lundi dans la salle de guerre de Steve Bannon et s’est également penché sur la
controverse Pfizer-BioNTech/Cominarty.
“Donc, le petit truc qu’ils ont fait ici est qu’ils ont émis deux lettres distinctes… Le vaccin Pfizer, qui est
actuellement disponible… est toujours sous autorisation d’utilisation d’urgence”, a déclaré le Dr Malone. « Une fois de plus, les médias grand public vous ont menti. »
L’ensemble du déploiement du vaccin a brisé la confiance du public – des mensonges sur « 15 jours pour arrêter la propagation » au mensonge selon lequel le vaccin COVID empêche la
transmission et protège ainsi « le public » – les sociétés pharmaceutiques, ainsi que l’administration Biden et ses bras bureaucratiques, n’ont plus le bénéfice du doute.
Si le vaccin Pfizer-BioNTech est traité comme un vaccin « entièrement autorisé », alors il ne devrait plus bénéficier des protections offertes par l’EUA.
Il y a un moyen pour le peuple américain de le savoir avec certitude : que les poursuites commencent.
The Food and Drug Administration's "full authorization" for the Pfizer-BioNTech vaccine for Covid-19 was announced with a fair amount of hooplah and fanfare. The President of the United
States ...
L’American Medical Association publie un document époustouflant enseignant aux médecins à mentir aux patients tout en exagérant délibérément les allégations de décès par COVID… l’AMA admet sa
propre complicité dans les crimes contre l’humanité
La séquence d’autodestruction qui fera tomber la cabale et son culte de la mort des mondialistes anti-humains a déjà été activée.
Avec des tentatives de Fake News hilarantes comme le récent article de Rolling Stone contre l’ivermectine, les médias de la cabale s’autodétruisent de jour en jour. Avec l’impression
sans fin de monnaie fiduciaire par la Fed, l’ensemble des fondements financiers du grand gouvernement illégitime est en train d’imploser.
Et avec les tentatives risibles et désespérées de faire croire à l'”approbation” du vaccin contre le COVID tout en proposant des injections de rappel totalement non prouvées et soutenues par
aucune donnée, la grande science s’arrache les yeux et les jette à travers la pièce.
Nous assistons à l’autodestruction totale de Big Pharma, Big Science, Big Media et Big Government, alors qu’ils trébuchent les uns sur les autres en essayant de discréditer l’ivermectine et la
vitamine D tout en poussant les vaccins mortels et l’autoritarisme médical. Tout ce qu’ils ont vraiment accompli, cependant, c’est le réveil accéléré des masses qui sont témoins de la folie
autoritaire et du culte de la mort de la science de pacotille qui défile autour de nous, prétendant à tort que nos libertés doivent être anéanties au nom de la “sécurité”.
À Victoria, en Australie, d’ailleurs, le premier ministre Daniel Andrews qui est un fou, vient de déclarer que les personnes non vaccinées seront “exclues” de tous les soins de santé et
services hospitaliers.
Étant donné la toxicité, la mortalité et l’incompétence des médecins conventionnels, c’est probablement une bénédiction.
Peut-être que le peuple libre d’Australie se tournera enfin vers la nutrition et la médecine naturelle, et qu’il survivra ainsi aux zombies des vaccins qui commettent un suicide médical.
L’AMA publie un document enseignant aux médecins comment tromper les patients par une désinformation qui peut les tuer.
L’American Medical Association – qui forme actuellement ses membres à mentir aux patients pendant qu’ils les assassinent – a publié un document qui fait froncer les sourcils et qui affirme que la
“désinformation rampante” “érode la confiance du public dans la science et sape la confiance dans les médecins et les institutions médicales”. Et pour regagner cette confiance perdue, l’AMA
enseigne aux médecins comment mentir au monde sur le COVID.
A la page 9 du document, on dit aux médecins de remplacer l’expression “taux d’hospitalisation” par l’affirmation que tous les patients hospitalisés sont des “décès”, exagérant ainsi de manière
sauvage les décès dus au COVID afin de provoquer une hystérie de masse.
Ne vous y trompez pas : L’AMA ordonne directement aux médecins de mentir sur les décès dus au covid. C’est de la fraude médicale pure et simple.
De même, on dit aux médecins de remplacer le mot “lockdown” par “stay-at-home order”, car cela semble moins totalitaire.
Dans le même document, à la page 8, les médecins reçoivent des instructions sur la manière de bloquer, de détourner et de réorienter les questions afin de dissimuler la vérité sur les
blessures et les décès dus aux vaccins.
Ils ont pour instruction spécifique de changer de sujet et de rejeter les questions des journalistes ou des patients, tout en diffusant la propagande “officielle” approuvée par l’AMA en
prétendant que tout est basé sur des “faits”, et non sur la “science” ou la “médecine”.
En substance, l’AMA tente maintenant de transformer les médecins en marionnettes de propagande pour le programme de dépopulation
mondiale.
Pratiquer une véritable médecine n’est plus la priorité de l’AMA, semble-t-il.
Au contraire, les médecins doivent pratiquer le mensonge afin de rester un membre en règle de l’AMA.
Voici une section du document, intitulée “COVID-19 Language Swaps”.
L’AMA est l’équivalent de l’Ordre des médecins.
L’AMA vient de fournir des preuves qui peuvent être utilisées pour poursuivre ses propres fonctionnaires corrompus pour crimes contre l’humanité.
Ce qui est tout aussi inquiétant dans tout cela, c’est que l’AMA ne semble pas se rendre compte qu’en publiant ce document, elle admet sa propre complicité dans des crimes contre l’humanité.
C’est ce qu’on appelle parfois “dire la partie silencieuse à haute voix”, et ce document qui donne des instructions aux médecins pour conduire les patients à leur propre mort peut être utilisé
comme preuve dans les tribunaux internationaux pour crimes de guerre qui cherchent à arrêter et à poursuivre les dirigeants de l’AMA qui participent à ce projet meurtrier.
J’ai appris l’existence de cet extraordinaire document de l’AMA en regardant le Dr Bryan Ardis interviewé par Stew Peters (tous deux animateurs de l’émission Brighteon.TV). Cette interview
étonnante, présentée ci-dessous, donne encore plus de détails sur la tromperie audacieuse de l’AMA et sur la manière dont elle recrute des médecins pour en faire des propagandistes chargés de
mener à bien le génocide médical contre l’humanité :
J’aborde également le sujet de manière plus détaillée dans mon podcast Situation Update du 6 septembre, qui révèle des informations extrêmement positives sur la manière dont nous pouvons
l’emporter en rejetant ce culte médical de la mort qui est en train de détruire sa propre crédibilité (tout en tuant ses propres partisans avec des armes biologiques) :
De partout bruissent – sur ordre, car l’unanimité des médias mainstream démontre sans ambiguïté l’existence d’ordres supérieurs et d’un Ordre supérieur – des rumeurs sur la pénurie
alimentaire qui vient. Déjà, l’année dernière, avec un vice consommé, au cours du 2e confinement, Le Monde avait sorti un article sur cette possibilité qui fait trembler les
Français : au pays de la bonne bouffe, de la gastronomie, de la suffisance alimentaire, du goût, des 2000 hypermarchés et des 10 000 supermarchés, sans oublier les
10 000 marchés tout simples qui regorgent de produits frais, donc dans ce pays de cocagne, ce paradis terrestre, on risquerait de manquer à manger, d’avoir faim, à cause du
covid ?
Chacun sait désormais que le nom covid recouvre l’agression mondialiste contre les pays non alignés sur cette idéologie néolibérale mortifère. Et on souligne mortifère car s’il s’agit de
lancer des conflits entre pays (le choc migratoire contre les pays jugés encore trop nationalistes), des maladies non soignées, c’est-à-dire une guerre bactériologique (tout a été fait pour qu’un
nombre surnuméraire de Terriens décède de la grippe wuhanaise que les médecins avaient interdiction de soigner normalement), les mondialistes incarnés par l’axe Gates-Soros-Macron-Attali-Trudeau
ne reculent devant rien. Et s’il faut sortir un virus un peu plus méchant que le Covid-19 des laboratoires, ils le feront. Mais comme l’opération covid a bien marché, pour l’instant, pas
besoin : les bovins se sont précipités en masse dans les enclos prévus à leur effet.
Dans les enseignes de meubles ou de bricolage, le désordre de la reprise mondiale conjugué à la course aux conteneurs génère de plus en plus de ruptures de stocks. Les professionnels ne
paniquent pas, mais ils estiment que le phénomène durera encore une année et qu’il tirera les prix à la hausse. (Les Échos)
Et que découvre-t-on, donc, un an après la menace du Monde, ce journal des Marchés et des Lobbies ? Qu’on se dirige peut-être vers une pénurie alimentaire, alors que la pénurie de
matières premières est bien là, qui se répercute par exemple sur les prix des matériaux du bâtiment. Les biens de consommation deviennent plus chers, l’inflation est là (regardez le niveau
historique des prix des carburants), qui va faire rentrer encore plus de taxes dans les États soi-disant généreux avec leurs concitoyens lors de l’année 2020. La France a lâché des centaines de
milliards de fausse monnaie dans l’activité, ou plutôt dans le ralentissement de l’activité, il s’agit maintenant de se rembourser, comme le souligne Villeroy de Galhau, le gouverneur de la
Banque de France, qui prête à hauteur de 20 % à l’État, ou qui compte pour 20 % dans la dette de l’État.
Remboursez !
Le moment est donc venu de rembourser l’opération covid en France, et comme de plus en plus de Français comprennent que le vaccin est inutile, ou en tout cas inefficace, en plus d’être dangereux,
ils se demandent s’ils ne font pas l’objet d’une intoxication. Pour le coup non alimentaire, mais politico-médiatico-médicale. Et comme l’exemple mondialiste vient toujours de nos voisins
anglo-saxons, c’est au Royaume-Uni que se lance l’opération covid-pénurie. Le quotidien Sud-Ouest titre :
Tout change, mais rien ne change : l’oligarchie gouverne toujours par la peur, elle change parfois de curseur, tout simplement. Elle dispose, pour terroriser « ses » habitants, du
curseur terrorisme, du curseur chômage, du curseur guerre, du curseur pandémie, et du curseur pénurie, qui peut avoir des répercussions inattendues, un effet rétroactif assez violent (émeutes
dites de la faim). Les ingénieurs sociaux et apprentis sorciers du mondialisme s’en donnent malgré tout à cœur joie, avec un public à la fois captif et totalement désorienté. C’est la fête chez
Minc-Attali et consorts !
Derrière lui, sa petite échoppe aligne des rayons à moitié vide. « La semaine dernière je n’avais plus de Coca Cola. Je n’ai plus de grandes bouteilles d’Évian depuis trois
semaines », énumère-t-il. « Sans marchandises, il n’y a pas de commerce. Avec des étagères vides comme celles-ci, personne ne va venir dans le magasin. » (Sud-Ouest)
[…]
On aura bien compris que le covid n’est pas une crise sanitaire tombée du ciel, mais bien une crise économique provoquée, une guerre mondiale contre les lois du travail (uberisation forcenée),
contre la démocratie (lois d’exception provisoires qui durent), contre les libertés (pass, surveillance), contre le vivre-ensemble (distanciation), contre les services publics (école et hôpital
déstructurés), et in fine contre les gens (mortalité provoquée), le tout au profit des nouvelles entités politico-économiques que sont le Big Pharma, le Big Tech et la
sempiternelle haute Banque qui profite du chaos et de l’endettement.
Moralité : il faudra au Français dit moyen plus de lucidité, donc plus de conscience politique, pour sortir par le haut de ce piège diabolique. Et nous, on est là pour ça,
dans la mesure de nos moyens. Car il n’est pas d’action efficace sans connaissance, sinon cela donne les Gilets jaunes récupérés par le gauchisme, Mai 68 qui finit en pornographie d’État, ou
le syndicalisme qui finit par trahir les travailleurs. Les pièges à cons sont partout, la politique est un slalom.
Je suis kinésithérapeute en libéral dans la banlieue immédiate de Bordeaux et je voudrais ici témoigner du fait suivant, qui va à l'encontre de la dramatisation actuelle de nos
autorités concernant le nombre de cas de Covid et leur potentielle létalité. En effet, depuis le début de la pandémie début 2020, avec un nombre de patients en moyenne de 15 par
jours (je suis ostéopathe aussi), n'ayant pris que 15 jours de vacances en Aout 2021, je n'ai eu que 6 personnes m'ayant déclaré avoir eu le Covid ! et une seule annulation pour
cas contact !
Sur les 6 Covid+, 4 n'ont pratiquement pas eu de symptômes, et parmi les deux autres, un Monsieur de 73 ans a effectivement été secoué comme après une grippe très dure (selon ses
dires) mais a pu s'en sortir sans aucune séquelles…
Ma patientèle est diverse allant des jeunes adolescents aux seniors. J'ai vite compris que la propagande officielle était en complet décalage par rapport à la réalité. J'ai vite
compris aussi après quelques mois de suivi strict des recommandations, l'exagération des mesures prophylactiques qu'on nous imposait. En effet, simplement avec les gestes
barrières usuels (compliqués pour un ostéopathe qui est parfois corps à corps avec son patient pour le manipuler, et le masser avec l'impossibilité d'ouvrir la fenêtre pour aérer
avec un patient en maillot de bain sur la table, en hiver), je n'ai jamais été responsable d'un quelconque foyer épidémique et personne ne m'a jamais contaminé.
Je ne manierai pas la langue de bois en disant que je suis étonné seulement.
Je suis scandalisé par ce qui se passe en France et aussi dans d'autres pays et je vous suis intensément reconnaissant pour votre action et vos informations que je partage autant
que possible avec mes patients.
Il est marqué quelque part : "la vérité vous rendra libre", et "Vous reconnaitrez l'arbre à ses fruits ».
Dans le cadre de l'enquête sur la gestion gouvernementale de la crise sanitaire pendant son mandat, l’ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn sera convoquée vendredi 10 septembre par les juges de
la Cour de justice de la République. Elle risque une mise en examen pour «mise en danger de la vie d’autrui».
Agnès Buzyn, ministre de la Santé entre 2017 et 2020 et qui avait démissionné au début de l’épidémie de Covid-19, est convoquée vendredi à la Cour de justice de la République (CJR) à Paris en
vue d’une possible mise en examen, annonce l’AFP en se référant à une source judiciaire confirmant une information du Monde.
Sa carrière politique
Novice en politique, cette médecin spécialiste des leucémies et de la greffe de moelle est inconnue du grand public lorsqu'elle est nommée en mai 2017 au sein du gouvernement d’Édouard
Philippe.
En février 2020, au tout début de l'épidémie de coronavirus, elle quitte son poste pour remplacer Benjamin Griveaux. À l'issue d'une campagne calamiteuse, l'ancienne ministre arrive troisième
au second tour et doit se contenter d'un mandat de conseillère municipale dans le XVIIe arrondissement de Paris.
En juillet 2020, une enquête judiciaire à l’encontre d’Édouard Philippe, d’Agnès Buzyn et d’Olivier Véran a été ouverte pour la gestion de l’épidémie. Neuf plaintes à l’encontre du
gouvernement, sur 90 déposées, ont été transmises au Parquet.
Détails à suivre
mercredi 8 septembre 2021
Procès de Bill Gates, Jour 4 : Les Essais des Vaccins Tueurs !
Procès de Bill Gates, Jour 4 le jeudi 2
septembre 2021: Témoignages d'une Participante aux Essais des Vaccins Tueurs de la Fondation Gates
!
À l'issue de la troisième journée, qui s'est déroulée mercredi dernier (1er septembre 2021), l'armée américaine a affirmé disposer de preuves démontrant que Bill Gates, ou des personnes agissant
en son nom, a injecté à au moins 250 personnes non averties un vaccin antigrippal expérimental conçu pour éroder lentement les organes corporels et provoquer finalement la mort.
L'avocat de Gates, l'animé et théâtral David Baluarte, a demandé une prolongation pour pouvoir parler à son client en privé.
Lorsque le procès a repris jeudi matin 2 septembre 2021, M. Baluarte a demandé au corps des juges-avocats généraux de la marine américaine
de produire les cadavres des 250 victimes présumées, afin qu'il puisse engager un médecin légiste indépendant pour exhumer et examiner les cadavres.
"Mais vous ne pouvez pas faire ça, n'est-ce pas, vice-amiral Hannink ?
Vous savez pourquoi vous ne pouvez pas ?
Parce que ces personnes n'existent pas, et les injections n'ont jamais eu lieu.
Vous tentez de poursuivre cet homme sur la base de jeux de rôle qu'il a eus avec des amis.
Ce tribunal est une imposture", a déclaré M. Baluarte.
Le vice-amiral Hannink, cependant, semblait prêt à relever le défi de Baluarte.
"Bill Gates est arrogant et narcissique", a déclaré le vice-amiral Hannink en désignant l'accusé, "mais il n'est pas négligent.
Même s'il y avait des corps à exhumer, il est peu probable qu'on en trouve beaucoup après 20 ans.
Mais Bill s'est assuré qu'aucune exhumation n'aurait lieu.
Tous ont été incinérés, dans certains cas au mépris des dernières volontés du défunt".
Il a montré au tribunal une annonce que la toute jeune Fondation Gates avait publiée dans le Seattle Times en août 2001.
L'annonce recherchait des volontaires pour recevoir un vaccin antigrippal "révolutionnaire" qui, selon l'annonce, durerait cinq ans et
interagirait automatiquement avec le corps humain pour combattre des variantes encore inconnues de la grippe saisonnière.
Les participants, poursuivait l'annonce, devaient avoir entre 65 et 75 ans et ne pas souffrir de maladies chroniques telles que les maladies
cardiaques ou le diabète.
Les bénéficiaires de la concoction diabolique devaient signer une série d'accords de non-divulgation et une renonciation absolvant la
Fondation Gates, Microsoft Corporation et le Harborview Medical Center, où le médicament était administré, de toute "perte de vie".
En outre, elle a indemnisé Chiron Corporation - le partenaire biotechnologique de Gates à l'époque - contre toute récrimination découlant de
la réception du prétendu vaccin.
Baluarte s'est interrompu, demandant où l'armée avait obtenu sa copie et, plus important encore, où il pouvait obtenir une copie pour vérifier sa véracité.
Il a déclaré que le Bureau des commissions militaires aurait pu dessiner l'annonce sur photoshop simplement parce que l'armée déteste son
client.
"Bill Gates, le détenu Bill Gates, est très doué pour purger les données numériques.
Et ce qui était alors un internet très rudimentaire - eh bien, il n'a eu aucun problème à s'assurer que tous les enregistrements numériques
étaient détruits ou supprimés.
Il n'est pas aussi minutieux pour éliminer les preuves analogiques, et heureusement pour l'accusation, le Seattle Times sauvegardait encore
ses impressions sur microfiches", a déclaré le vice-amiral Hannink, et a produit une petite boîte métallique.
"Nous avons également obtenu de Harborview une liste des 253 destinataires, et des documents portant la signature de Gates.
Baluarte a objecté, prétendant que le JAG (Service Judiciaire des Marines) avait inventé de façon fantaisiste 3 nouveaux décès.
"Vous avez dit 250 ? Maintenant c'est 253 ? Lequel est-ce ?" Baluarte a aboyé.
Le vice-amiral Hannink a fait une révélation étonnante ; il a dit qu'il y avait 3 participants ajoutés qui avaient miraculeusement survécu au vaccin Gates, mais dont deux ont péri des années plus
tard.
"Étonnamment, l'une d'entre elles vit encore, elle a maintenant 91 ans. Et je pense que nous devrions entendre ce qu'elle a à dire", a déclaré le vice-amiral Hannink devant le jury.
Grâce à un ZOOM, une femme qui s'est identifiée comme la "destinataire 163", Mary Johnson, est apparue à l'écran, un léger sourire sur son visage buriné.
Elle parle lentement, donnant à chaque mot l'espace qui lui est dû : "J'ai été vaccinée le 24 août 2001, sur les conseils de mon médecin, après lui avoir montré la publicité.
La saison de la grippe était sur le point de commencer, et je ne voulais pas tomber malade.
J'ai aussi la phobie des aiguilles, alors quand j'ai appris que je pouvais me faire vacciner pendant cinq ans, j'ai été ravie.
Le dépliant disait que l'injection était sûre et efficace et qu'elle pouvait n'avoir que des effets secondaires légers - mal au bras, brefs
frissons, fièvre légère, ce genre de choses.
J'ai lu qu'elle était parrainée par la Fondation Bill Gates et Chiron et je n'y ai pas réfléchi à deux fois - jusqu'à un an plus
tard."
Douze mois plus tard, Mme Brown a subi une défaillance catastrophique de ses organes.
D'abord, une nécrose corticale des reins qui a nécessité une double transplantation.
Ensuite, une sclérose inexpliquée du foie, alors qu'elle ne buvait pas et ne prenait pas de médicaments connus pour provoquer une telle
affection.
Un mois plus tard, elle a eu une appendicite aiguë et a dû subir une ablation de l'appendice, puis de la vésicule biliaire un mois plus
tard.
Trois mois plus tard, elle a survécu à deux crises cardiaques en un mois ; un an plus tard, ses nerfs optiques se sont dissous, lui laissant
moins de 15 % de vision.
Son médecin a parlé d'une "défaillance systémique inexplicable des organes en cascade", mais Mme
Johnson a insisté sur le fait que le vaccin de Gates était à l'origine de son déclin rapide.
"Écoutez, je n'étais pas jeune, mais je n'étais pas en mauvaise santé, et c'est un sacré miracle que je sois encore en vie aujourd'hui.
Et voici le pompon : après ma transplantation du foie, j'ai reçu un appel téléphonique à l'hôpital, et l'appelant a dit qu'il était Bill
Gates, et il m'a demandé comment j'allais.
J'étais tellement drogué à la morphine que je ne savais pas ce que je disais, mais j'ai dit quelque chose comme "Oh, salut, Bill, je suis
content que tu prennes de mes nouvelles".
Il m'a dit de me souvenir que j'avais signé des accords, des accords qui devaient être respectés, et il a raccroché", a déclaré Mme Johnson
au tribunal.
"Si j'avais su que mes organes se liquéfieraient, je n'aurais jamais accepté cette merde", a-t-elle dit, respirant lourdement entre les mots.
Après le témoignage de Mme Johnson, le vice-amiral Hannink a suspendu les travaux du tribunal jusqu'à la fin du week-end, pour les reprendre le mardi 7 septembre.
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J'invoque la Terre Mère et l'Archange Uriel, Feu de Dieu, Lumière de Dieu, l'Archange de la Sagesse
Divine, au Nord et Régisseur des Éléments de la Terre.
Je projette la gratitude, la lumière et l'amour, je projette mon être, mes énergies, mes pensées au plus
profond du magma et de la structure énergétique cristalline de couleur jaune, violette, orange, de la Terre Mère, en demandant de l'aide pour amener l'énergie du magma créatif et des cristaux, à
travers mes pieds, jusqu'au chakra racine ou Plexus du coccyx puis dans le deuxième chakra sexuel et sacré, le Plexus de la création.
J'invoque la Source Créatrice Divine et l'Archange Jophiel, Beauté de Dieu, l'Archange de la Puissance
Créatrice et l'Illumination, Gardien de l'Arbre de la Connaissance, avec l'Archange Uriel, Lumière de Dieu.
Je rejoins et projette gratitude, lumière et amour, au plus haut des cieux, en appelant la lumière
blanche dorée de l'énergie de la Source, faisant descendre cette lumière blanche dorée à travers mes chakras cérébraux, descendant en passant par le chakra du cœur, y ajoutant l'amour de mon
cœur, et descendant vers le plexus sacré ou le centre créateur juste au-dessus de l'os pelvien.
Je fais appel à l'Archange Zaphkiel, Gardien de la Flamme Orange de la Création, Ange de l'Extase et de
la Compassion, pour apporter l'énergie créative de la flamme orange dans le Plexus Sacré, avec l'intention de créer 24 brins d'ADN parfaits, pour la Célébration de notre
Existence.
J'appelle les Enfants des Étoiles, Gardiens des 24 brins d'ADN humain perfectionné, avec l'intention de
manifester ces 24 brins d'ADN dans mon plexus sacré, dans le deuxième chakra sexuel et créatif, puis dans chaque cellule de mon corps.
En plaçant les 24 brins d'ADN dans chaque cellule de mon corps, j'ai l'intention de manifester, à un
niveau quantique, la perfection dans mon corps, mes os, mon sang, mon système lymphatique, dans mes nerfs, et tous mes organes, hormones, glandes, protéines, télomères, organelles, glucides,
artères, veines, système immunitaire, tissus adipeux, membranes cellulaires, mitochondries et toutes les autres cellules de mon corps, manifestant la perfection des humains
originels.
Je reforme les 12 doubles hélice des 24 brins, en connectant 2 brins chacun, en une spirale double
rotative, parfaitement connectée, de double brin d'ADN, avec des télomères perfectionnés aux extrémités, agissant comme de petites antennes, transmettant la perfection, depuis le champ quantique
et l'énergie de la Source, dans chaque cellule de mon corps pour le rajeunir, le revitaliser à un éternel état de santé et de forme parfaites.
Je tresse ces 12 doubles hélices dans chaque cellule de mon corps, en un câble ADN à 24 brins, incluant
mon sang et ma lymphe, me rendant fort, invincible, indestructible et impénétrable à toutes les toxines, produits pétrochimiques, nanobots et
radiations.
Mes 12 doubles hélices me connectent aux énergies quantiques de tous les autres royaumes
célestes.
Je suis maintenant connecté et intégré à tous mes Êtres Divins Interdimensionnels dans le
Multivers.
Je suis maintenant un Être Illuminé de Lumière et d'Amour
!
Alors Qu'il en soit ainsi!
Et, par la magie du chiffre 3 :
Et cela Est!
Et cela Est!
Et cela Est!
AMEN ! | JE SUIS !
Contre-indications vaccinales et insécurités juridiques : l'inquiétant décret 1059
Dans la nuit du 7 août 2021, le gouvernement français reconnaît que le vaccin peut être synonyme d'effets secondaires graves
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Auteur(s): Moufid Azmaïesh, pour FranceSoir
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TRIBUNE - La nuit n’apporte pas toujours conseil mais son lot de décrets, entraînant dans son sillage de papiers gras, boîtes de conserves éventrées et autres détritus, un nouveau lot
d'insécurité juridique. L'un des derniers en date, émis le 7 août 2021 (décret
n°2021-1059), concerne inter alia les contre-indications aux injections dites anti-Covid que l'on veut désormais imposer à certains métiers, et ouvre un boulevard à l'action pénale.
Une vaccination obligatoire, malgré des accidents aléatoires
On se souviendra que les essais cliniques pratiqués pendant quelques petites semaines aux États-Unis en 2020 avaient exclu les personnes âgées, les femmes enceintes et allaitantes, les
handicapés, les immunodéprimés… Et ce, afin de décrocher l'AMM conditionnelle rapidement.
Or, aucune des catégories exclues des essais cliniques ne figure dans le décret 1059 comme présentant des contre-indications à l'injection obligatoire. D'autant plus qu'il manque aussi, petit
détail, les études de cancérogénicité, génotoxicité, foetotoxicité, teratogénicité, immunotoxicité, pharmacocinétique… La liste est longue.
Tout à son bonheur d'omnipotence ministérielle, le décret concède, bon prince, qu'en cas d'accident grave suite à la première dose, la deuxième sera épargnée au patient désormais handicapé.
Par ailleurs, on peut soutenir que ces substances, sous AMM conditionnelle mais obligatoires pour la première fois de l'histoire de la médecine, sont administrées, sinon sous menaces de
mort, sous menace de "non-vie". En effet, le gouvernement a prévu que tout salarié, se soustrayant à l'obligation, sera suspendu et privé, non seulement de rémunération, mais
d'assurance-chômage qui, eu égard à son caractère d'assurance à laquelle il cotise, lui revient pourtant de plein droit. Ce n'est nullement une gratification de l'État. Comment acheter à manger ?
Comment se loger, se soigner ? La menace est à peine voilée.
Sous cette menace, on oblige des Français à se vacciner.
J'invite les avocats spécialisés à se saisir du texte de ce décret. Un boulevard pour l'action pénale, vous dis-je.
Il y est question d’une courte liste de contre-indications médicales censées épargner pour ainsi dire, des catégories très restreintes de personnes.
Nous citerons ce texte et le commenterons.
« Art. 2-4.-Les cas de contre-indication médicale faisant obstacle à la vaccination contre la covid-19 et permettant la délivrance du document pouvant être présenté dans les cas prévus au 2°
du A du II de l'article 1er de la loi du 31 mai 2021 susvisée sont mentionnés à l'annexe 2 du présent décret.
« L'attestation de contre-indication médicale est remise à la personne concernée par un médecin. »
Concernant le risque d’anaphylaxie
« ANNEXE 2
« I.-Les cas de contre-indication médicale faisant obstacle à la vaccination contre la covid-19 mentionnés à l'article 2-4 sont :
« 1° Les contre-indications inscrites dans le résumé des caractéristiques du produit (RCP) :
«-antécédent d'allergie documentée (avis allergologue) à un des composants du vaccin, en particulier polyéthylène-glycols et par risque d'allergie croisée aux polysorbates ;
«-réaction anaphylaxique au moins de grade 2 (atteinte au moins de deux organes) à une première injection d'un vaccin contre le COVID, posée après expertise allergologique ;
Commentaire: Le polyéthylène glycol (PEG) est une substance utilisée dans certains médicaments de type laxatif, jamais auparavant utilisé dans un vaccin. La vaste
majorité de la population n’y ayant pas été exposée, prédire qui peut y être allergique relève de l’impossible.Tout médicament contenant le PEG est déjà fortement déconseillé aux personnes âgées
et aux femmes enceintes ; aucune étude n’est disponible sur son éventuel passage d’ailleurs, dans le lait maternel.
Les réactions au PEG comprennent le choc anaphylactique. Qu’est-ce donc ?
« Trouble grave de l’homéostasie circulatoire induit par l’introduction dans l’organisme d’une substance étrangère responsable de réactions immunologiques, le choc anaphylactique
représente la manifestation la plus grave d’hypersensibilité immédiate. C’est une urgence médicale absolue, la thérapeutique s’impose dès que le diagnostic est évoqué,
remplissage vasculaire et administration d’adrénaline® étant les deux mesures essentielles. » - Cf. sante.ujf-grenoble.fr
Traduction du décret en langage courant : si l’on veut espérer échapper à la deuxième dose, il faudra attendre d’avoir subi une réaction avec atteinte d’au moins deux
organes (!) suite à une première dose, et aussi se soumettre à une expertise allergologique.
La Base Claude Bernard déconseille le "vaccin" Pfizer aux femmes enceintes ou allaitantes, au moins de 16 ans, en cas de fièvre, aux immunodéprimés, en cas de trouble de la coagulation,
hémophilie ou thrombose, en cas de réaction allergique pic.twitter.com/90EdB006md
« -personnes ayant déjà présenté des épisodes de syndrome de fuite capillaire (contre-indication commune au vaccin Vaxzevria et au vaccin Janssen). »
Commentaire : Il se fait que ces vaccins sont connus pour avoir provoqué l’hyperperméabilité capillaire, avec au moins un décès documenté. Piquons, et qui
vivra verra ?
Voici un appel passé à la Base Claude Bernard (base officielle de données sur les médicaments), il est confirmé que le Comirnaty (= Pfizer) est DÉCONSEILLÉ en cas de grossesse !
« 3° Une recommandation établit, après concertation médicale pluridisciplinaire, de ne pas effectuer la seconde dose de vaccin suite à la survenue d'un effet indésirable d'intensité sévère ou
grave, attribué à la première dose de vaccin, signalé au système de pharmacovigilance (par exemple : la survenue de myocardite, de syndrome de Guillain-Barré …). »
Traduit en langage courant cela signifie :
1/ que si la personne, sous menace de perdre son travail, se soumet à la première dose et subit un accident irréversible , la deuxième lui sera épargnée.
2/ que les autorités ignorent totalement qui, dans la population, peut subir un tel accident dont la survenue est considérée comme aléatoire, quoique susceptible d’être mortelle.
3/ que l’on « assume » sereinement la survenue d’accidents graves tels qu'une myocardite.
Or, une myocardite n’est jamais bénigne : elle détruit à coup sûr des cellules cardiaques qui ne se régénèrent pas. Une myocardite peut entraîner maintes complications dont la
transplantation. Quant à la péricardite, l’un des déclencheurs est (surprise !) un infarctus ou une embolie pulmonaire non détectée.
Embolie non-détectée : en France, les dosages D-Dimères destinés à détecter des micro-caillots dans les quatre à sept jours, suite à la vaccination, ne sont ni recommandés ni pratiqués,
contrairement aux orientations émises par les Dr. Bhakdi (Kiel), Hoffe (Lytton) et P. Bellavite (Vérone) entre autres.
Un autre déclencheur de péricardite est un désordre inflammatoire systématique ; des soupçons, de source officielle, pèsent sur ces nouveaux vaccins : cf. article du CDC.
Si la personne vaccinée atteinte de péricardite post-vaccinale prend notamment des anti-coagulants par voie orale (médicaments très courants), les dangers sont considérables et une
hospitalisation d’urgence est pratiquement certaine (cf. article Libre Belgique).
Syndrome de Guillain-Barré
C’est une maladie auto-immune (polyradiculonévrite inflammatoire) qui atteint le système nerveux périphérique et déclenche des parésies, celles-ci figurant dans la littérature comme étant
généralement précédées d’une infection aiguë virale. Quoiqu’il en soit, l’EMA et la FDA classent ce syndrome parmi les effets indésirables connus des injections. Dans 15 % des cas le
syndrome devient définitif, tandis que la guérison est imprévisible.
Commentaire sur les contre-indications dites « temporaires »
« II.-Les cas de contre-indication médicale temporaire faisant obstacle à la vaccination contre la covid-19 mentionnés à l'article 2-4 sont :
« 1° Traitement par anticorps monoclonaux anti-SARS-CoV-2.
« 2° Myocardites ou péricardites survenues antérieurement à la vaccination et toujours évolutives. ».
Commentaire : Comme expliqué, la péricardite et la myocardite sont des affections cardiaques dont la guérison est incertaine dans l’état actuel des connaissances.
Une personne ayant subi un tel accident de santé avant de se soumettre à ces injections, pâtit déjà d’une faiblesse cardiaque notoire. Lui injecter des protéines
Spike en profusion risque de… faut-il poursuivre ?
Commentaire sur la grossesse, exclue de la liste des contre-indications
La grossesse ne figure pas au décret comme contre-indication à la vaccination.
Or, les femmes enceintes et allaitantes ont été exclues des essais de fabricant conduits aux États-Unis en 2020. Nous ne savons donc strictement rien sur les effets
potentiels à court, moyen et long terme sur la fertilité, tous les processus de reproduction en général, sur le fœtus...
Aucune étude n’a été conduite sur les effets tératogènes (malformations) ou foetotoxiques éventuels de ces vaccins, présents sur le marché depuis quelques mois seulement.
Selon le Vidal, « (…) les médicaments récemment commercialisés ne sont pas prescrits chez la femme enceinte car ils ne bénéficient pas d’un recul suffisant, même si aucun effet
toxique n’a été observé lors des études chez l’animal. »
La liste des substances interdites depuis des décennies aux femmes enceintes est longue (alcool, cigarette, certaines nourritures, les dérivés de la vitamine A, tetracyclines, divers
antifongiques, anti-histaminiques, benzodiazepines, chloramphenicol, codéine, warfarine, fluoroquinolones, anti-inflammatoires non-stéroïdiens, primaquine, sulfonamides, topiramate,
Primsol…) Dans beaucoup de cas les effets délétères, voire catastrophiques, ont été découverts longtemps après.
Commentaire sur le cancer, exclu de la liste des contre-indications
Le cancer ne figure pas non plus au décret comme contre-indication à la vaccination. Pour « gérer le risque pénal », mieux valait ne pas en parler, car aucune étude de cancérogénicité
n’a été conduite sur ces injections.
Le gouvernement ne peut que se réjouir de l’absence totale d’information sur ce sujet.
En effet, selon le Centre Gustave Roussy (qui encourage pourtant la vaccination des cancéreux à quelques nuances près, et même une 3ème dose !) :
« Aucune étude menée dans le contexte de la vaccination anti-covid, en cours de traitement anticancéreux, n’est disponible à ce jour. »
En cas de radiothérapie :
« Aucune donnée n’est à ce jour disponible, mais aucun élément ne semble empêcher l’administration du vaccin... » Cf. article gustaveroussy.fr
Nous savons déjà que les antennes 5G sont une arme au service de la dépopulation et d’une neuromodulation. Pourtant certains détails concernant ces antennes restent inconnus, tels les
logiciels mystérieux qui permettent de contrôler les heures d’émission, les secteurs à irradier et à quelle puissance.
À cet égard, La Quinta Columna a partagé une vidéo du microbiologiste Bartomeu Payeras – le même qui a postulé avec le Dr José Luis Sevillano la théorie environnementale du covid-19 – dans
laquelle il raconte comment une source confidentielle lui a révélé les détails de la programmation de ces antennes à l’origine des dénommées "vagues", en conjonction avec l’oxyde de graphène.
Ricardo Delgado: C’est une très bonne intervention de notre ami microbiologiste Bartomeu Payeras Cifre. Je pense que ça se passait en juin. Il a reçu une information "confidentielle" de
quelqu’un haut placé dans les télécommunications. Et il nous dit ici ce qui s’est passé. Prêtez attention. Voilà la vidéo.
Bartomeu Payeras: Bien, ils doivent réguler et savoir quand démarrer, à quelle température et à quelle heure terminer, etc.
Cette pandémie tout entière est prévue avec ces trois concepts : l’amplificateur, le déclencheur et le thermostat.
Pour parler du thermostat, je peux utiliser la photo des antennes que vous avez vue plus tôt. Sur les antennes, je ne dirai pas pour l’instant qui me l’a dit, car tout ce que j’ai expliqué
jusqu’ici peut être démontré avec des photos et des chiffres.
Je ne peux révéler la source de ce que je vais vous dire maintenant. Parce que j’ai eu la chance ou le privilège de contacter un manager haut placé d’une grande compagnie de
télécommunications qui a décidé de me donner cette information. Il a répondu à plusieurs questions et m’a donné l’information suivante.
La voici. Une fois que les opérateurs ont terminé l’installation des antennes sur la tour, une autre équipe arrive, on ne sait d’où ni qui ils sont. Mais ils savent que ces gens installent un
logiciel sur les antennes et que ce logiciel est connecté à l’antenne de base et au centre de contrôle. Et ce logiciel programme la puissance que les antennes transmettent. À quel moment ou à
quelle heure, pendant combien de jours, et dans quel emplacement géographique il convient d’opérer. C’est un logiciel spécial 5G.
C’est effrayant selon moi, car quand ils remettent le poulet au four, ils savent à quelle température le mettre. Et de quelle manière pour ce voisinage, pour cette ville dans telle région,
pour ce pays… Ils peuvent contrôler le déclenchement avec l’effet thermostat.
Pour Jean-Michel Claverie, les myocardites ont explosé chez les enfants : il faut vraiment arrêter ce délire !
« Rien ne justifie scientifiquement d’injecter ce produit aux adolescents »
«Une maladie qu’ils ne font pas» : un virologue s’insurge contre la vaccination des enfants
Le virologue Jean-Michel Claverie, connu pour ses propos iconoclastes sur l’épidémie, s’est emporté au micro de Cnews: «Vacciner les enfants pour ne pas avoir à vacciner les 80 ans […] c’est
comme demander aux gens qui ne font pas de vélo de porter un casque.»
« L’immunité qui est naturellement acquise par les enfants est de meilleure qualité, elle est plus durable, elle est plus générale, car elle ne repose pas uniquement sur un composant du
vaccin, mais sur plein de protéines du virus. Et on l’acquiert au niveau des muqueuses, ce qui est très important pour des maladies respiratoires. »
Le virologue Pr Claverie « très choqué » ce matin sur CNews par la possible vaccination covid des enfants. « On ne vaccine pas des gens pour une maladie qu’ils ne font pas ! »
« Fantasme de l’immunité collective par le vaccin, qui ne tient plus »
Stop à la folie ! ⤵️ pic.twitter.com/mZnllg5zdY
Tous les citoyens de l’Union européenne (UE), de l’Espace économique européen (EEE) et de la Suisse
Tous les citoyens du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord (Royaume-Uni)
Tous les citoyens des États-Unis d’Amérique (USA)
À:
L’Agence européenne des médicaments (EMA)
L’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA)
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis
Centres for Disease Control and Prevention (CDC)
De:
Médecins pour l’éthique Covid (D4CE)
20 juillet 2021
Chers Messieurs/Mesdames,
Les sources officielles, à savoir EudraVigilance (UE, EEE, Suisse), MHRA (Royaume-Uni) et VAERS (États-Unis), ont désormais enregistré plus de blessures et de décès dus au déploiement
du vaccin «Covid» que de tous les vaccins précédents combinés depuis le début des enregistrements.
UE/EEE/Suisse jusqu’au 28 août 2021 – 23 252 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,8 million de blessures, selon la base de données EudraVigilance.
Royaume-Uni jusqu’au 18 août 2021 -1609 décès liés à l’injection de Covid-19 et 1,165646 million de blessures, selon le programme de carte jaune de la MHRA.
États-Unis jusqu’au 20 août 2021 – 13 627 décès liés à l’injection de Covid-19 et 2,932001 millions de blessures, selon la base de données VAERS.
TOTAL pour l’UE/Royaume-Uni/USA – 38 488décès liés à l’injection de Covid-19 et 6,262922 millions de blessures signalés à ce jour (30 août 2021).
Nota Bene : Il est important de souligner que les chiffres officiels ci-dessus (rapportés aux autorités sanitaires) ne représentent qu’un faible pourcentage des chiffres réels. De
plus, des personnes meurent (et subissent des blessures) de manière quotidienne en raison des injections du vaccin et par conséquent les chiffres officiels sont évidemment plus élevés au
moment de la rédaction – c’est-à-dire le 30 août, 2021 qu’aux dates limites indiquées ci-dessus, à savoir le 18 août 2021 (Royaume-Uni), 20 août, 2021 (États-Unis) et 28 août, 2021
(UE/EEE/Suisse).
Cette situation catastrophique n’a pas été rapportée par les médias au grand public, bien que les chiffres officiels ci-dessus sont disponibles.
Le préjudice encouru par les victimes du vaccin ARNm est désormais incontestable, et conformément aux normes éthiques universellement acceptées pour les essais
cliniques, Médecins pour l’éthique Covid (D4CE) exige que le programme de vaccin « Covid » soit immédiatement discontinué.
La poursuite de ce programme en toute connaissance de cause des dommages graves et de la mortalité en cours, tant pour les adultes que pour les enfants, constitue un crime contre
l’humanité/génocide dont les personnes reconnues responsables ou complices seront tenues responsables.
MESSAGE AU PEUPLE : Les gouvernements du monde entier mentent à vous les citoyens qu’ils sont censés servir.
Ne nous faisons pas d’illusions, ce n’est pas seulement « expérimental », c’est aussi un « vaccin tueur » Big Pharma qui modifie le génome humain. Les preuves de mortalité
et de morbidité résultant de l’inoculation vaccinale présentes (données officielles) et futures (par exemple, des caillots sanguins microscopiques non détectés) sont accablantes.
De nombreuses études scientifiques publiées de manière indépendante confirment la nature du vaccin à ARNm du Covid-19 qui est imposé à l’humanité dans son ensemble. L’objectif déclaré est
d’appliquer la vaccination mondiale de 7,9 milliards de personnes dans plus de 190 pays, suivie de l’imposition d’un « passeport vaccinal » numérisé. Inutile de dire qu’il s’agit d’une
opération de plusieurs milliards de dollars pour Big Pharma.
Le projet vaccinal intitulé COVAX est coordonné au niveau mondial par l’OMS, GAVI, le CEPI, la Fondation Bill et Melinda Gates en liaison avec le Forum économique mondial (WEF), le Wellcome
Trust, la DARPA et Big Pharma qui est de plus en plus dominé par le partenariat Pfizer-GSK établi à peine quatre mois avant le début de la crise du Covid-19 début janvier 2020.
La chronologie du Covid-19
Faux chiffres des cas positifs au covid-19 et des décès liés au covid-19. Mensonge après mensonges.
Il y a un calendrier complexe de la crise du covid-19 qui aboutit à la mise en oeuvre du vaccin : la crise débute en janvier 2020.
Une fausse urgence de santé publique mondiale (PHEIC) a été annoncée par l’OMS le 30 janvier 2020 (sur la base de 83 cas positifs dans le monde entier en dehors de la Chine), suivie du début de
la crise du transport aérien et du commerce international de marchandises (Trump le 31 janvier 2020), du krach financier du 20 février 2020, du verrouillage du 11 mars 2020, suivi des deuxième,
troisième vagues et quatrième vagues.
Pour plus de détails sur le calendrier des événements, voir le chapitre II de
Le verrouillage du 11 mars 2020 et ses conséquences sociales et économiques dévastatrices
À partir du 11 mars 2020, 44 279 « cas positifs » de RT-PCR confirmés (dans le monde entier hors de Chine) et 1 440 décès de Covid ont été utilisés pour justifier :
confinement social,
le verrouillage et la fermeture de 190 économies nationales, la crise de l’économie mondiale,
de vastes faillites d’entreprises dans des secteurs clés de l’activité économique,
l’élimination pure et simple des petites et moyennes entreprises,
le déclenchement de la pauvreté et du chômage de masse,
distance sociale, le masque facial, pas de rassemblement social,
une crise artificielle du système de santé national,
la fermeture d’écoles, de collèges et d’universités,
la fermeture des musées, salles de concert, activités culturelles et sportives,
l’effondrement institutionnel et la perturbation de la société civile.
L’objectif déclaré a toujours été de sauver des vies. Le résultat de ces politiques a littéralement détruit la vie des gens. Des millions de personnes dans le monde ont été entraînées dans
l’extrême pauvreté.
Et puis dix mois plus tard, le vaccin Covid-19 est venu à notre rescousse.
Il fut annoncé au début novembre 2020 et lancé dans le monde entier fin décembre.
La campagne de peur a été le fer de lance de la conformité et de l’acceptation auprès de l’autorité supérieure.
Le vaccin à ARNm a été présenté comme une solution, comme un moyen de freiner l’épidémie, de sauver des vies, de rouvrir nos économies nationales (qui sont dans un état chaotique) et de rétablir
un sentiment de normalité dans notre vie quotidienne.
Une campagne de propagande massive a été lancée en faveur du vaccin: Une fausse promesse d’une nouvelle vie. Un retour à la raison et à la normalité.
Tout cela s’est avéré être une illusion, menée par des mensonges. L’idéologie des élites milliardaires a été imposée : le vaccin a été maintenu comme un moyen de réaliser la « grande
réinitialisation » du Forum économique mondial :
« You’ll Own Nothing and Be Happy » : un avenir stylisé fondé sur la dette et l’extrême pauvreté jumelé à un « vaccin tueur». Ce qui est envisagé dans le cadre du « Great Reset »
est un scénario selon lequel les créanciers mondiaux se seront appropriés d’ici 2030 de la richesse mondiale, tout en provocant l’extreme pauvreté partout dans le monde.
Les élites milliardaires ne cachent pas leur intention. En 2030, « Vous ne posséderez rien, et vous serez heureux. »
Mensonge par omission : la tendance et les données relatives à la mortalité et de la morbidité liée au vaccin (confirmée par des sources officielles) depuis début janvier 2021 sont tout
simplement pas mentionnées.
« Virus tueur » ou « vaccin tueur » ?
La première question qui se démarque est la suivante : avons-nous besoin d’un vaccin ?
La réponse est NON ! Il n’existe aucune base scientifique qui justifie un vaccin fondé sur la manipulation génétique (gene editing) afin de sauver des vies et de protéger la santé des populations
dans le monde entier.
La prétendue « justification scientifique » du programme de vaccination repose sur les trois « phrases » ou « étiquettes » simples et trompeuses qui sont totalement invalides :
Le SRAS-COV-2 est un « virus tueur »
Il y a une tendance mondiale croissante des infections liées à la covid-19,
Des gens meurent des suites d’une infection liée à la covid-19.
1. Le CoV-2 du SRAS est « un virus tueur ».
C’est la pierre angulaire de la campagne de peur et de désinformation des médias 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 soutenue par des déclarations persistantes de politiciens et d’autorités
sanitaires nationales.
Tant les définitions « officielles » du CoV-2 du SRAS préconisées par l’OMS, la CDC (aux Etats Unis) ainsi que par les scientifiques (peer reviewed) disent exactement le
contraire. Leurs définitions du SRAS-2 abrogent leurs propres mensonges. (Pour plus de détails, voir l’annexe)
2. Il y a une tendance mondiale à la hausse de l’infection à Covid-19.
Cette prétendue tendance ver la hausse serait corroborée par la progression du un nombre de cas Covid positifs.
La méthodologie utilisée pour générer ces chiffres dépend du test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) parrainé par l’OMS, dont les
estimations sont compilées dans le monde entier par les autorités sanitaires nationales.
Bien que les estimations de la rRT-PCR aient été remises en question dès le début, il est maintenant confirmé par l’OMS dans un avis du 20 janvier 2021 que le test rRT-PCR adopté comme moyen de
détecter les cas de virus SARS-COV-2 est TOTALEMENT invalide. (Il s’agit des données positives pour le Covid-19 compilées depuis fin janvier 2020). (Voir annexe)
3. Les gens meurent à la suite de l’infection liées à la Covid-19.
On nous dit qu’il y a une tendance à la hausse de la mortalité par Covid-19. À savoir les décès qui seraient le résultat de l’infection virale par le SRAS-2.
Il existe de nombreuses preuves que ces causes probables de décès liées au Covid-19 et les données sous-jacentes sur la mortalité par le Covid-19 sont manipulées par les autorités sanitaires
nationales. Les tests, et les autopsie ne sont pas effectués. Les statistiques de mortalité relatives au Covid-19 sont TOTALEMENT invalides (fabriquées de toutes pièces) (voir
l’annexe qui se concentre sur les données de mortalité liées aux case de Covid-19 aux États-Unis)
En résumé,
1. il n’y a pas de virus tueur,
2. l’estimation des cas positifs Covid-19 n’est pas valide,
3. les données de mortalité de la Covid-19 sont manipulées.
Ces trois conclusions sont amplement documentées. Pour plus de détails, voir l’annexe de cet article ci-dessous.
Je dois mentionner que la clause dite « d’utilisation d’urgence » pour justifier un vaccin expérimental et non approuvé est également invalide. Pourquoi ? Car le critère
d’utilisation d’urgence repose sur des estimations erronées des cas covid positifs du rRT-PCR et des données de mortalité liées au Covid-19, qui sont toutes deux invalides. (Voir annexe)
Le vaccin. Agenda caché ?
Le vaccin ne sauve pas de vies et ne résout pas le problème de la pandémie, car il n’y a pas de pandémie.
C’est une opération profitable pour Big Pharma: des centaines de milliards de dollars (voir les données ci-dessous).
Par ailleurs, plusieurs doses sont envisagées. Il est prévu que le projet s’étende sur une période d’au moins deux ans.
Il est appliqué dans le monde entier sans exception. Aucun pays, à l’exception du Burundi, de la Tanzanie et d’Haïti, n’a eu le courage de refuser le « vaccin tueur ».
Bien qu’il n’existe aucune preuve fiable, il convient de noter que les présidents de la Tanzanie et du Burundi sont morts dans des circonstances mystérieuses.
Haïti était jusqu’à récemment le seul pays de l’hémisphère occidental à refuser catégoriquement la mise en œuvre du vaccin ARNm. C’est ironique, immédiatement après l’assassinat du président
Jovenel Moïse (7 juillet 2021), Joe Biden a rapidement envoyé un demi-million de doses du vaccin (et plus à venir) (« courtesy of Uncle SamÈ) furent livrées à Port-au-Prince
six jours plus tard, le 14 juillet.
Cette première livraison vers Haïti faisait partie d’un programme d’aide américain composé de 500 millions de doses du « vaccin tueur » destinées à un grand nombre de pays en
développement (pour plus de détails, voir ci-dessous).
Mortalité et morbidité : Bien qu’il n’y ait pas de « virus tueur », il existe un « vaccin tueur ».
Les preuves sont accablantes. Au moment de la rédaction du présent rapport, près de 20 000 décès attribuables au vaccin Covid furentenregistrés dans l’Union européenne (17 juillet
2021). Aux États-Unis, le nombre de décès liés au vaccin enregistrés est de l’ordre de 12 000 (9 juillet 2021).
Selon la base de données EudraVigilance (17
juillet 2021), 18 928 décès et 1 823 219 blessures ont été signalés à la suite d’injections de quatre vaccins expérimentaux COVID-19.
Sur le total des
blessures enregistrées dans l’UE, « la moitié d’entre elles (904 609) sont des blessures graves« . Selon EuroViligance (cité par Brian Shilhavy) :
« La graveté … peut être classée comme « grave » si elle correspond à un événement médical qui entraîne la mort, met la vie en danger, nécessite une hospitalisation, entraîne une
autre condition médicalement importante ou une prolongation de l’hospitalisation existante, entraîne une incapacité ou une incapacité persistante ou importante, ou est une anomalie congénitale /
anomalie congénitale. »
Il s’agit de statistiques officielles basées sur un processus officiel d’enregistrement des décès et des « effets adverses ». Le nombre réel de décès et de blessures déclenchés par le
vaccin à ARNm est beaucoup plus élevé. Moins de dix pour cent des victimes ou des familles du défunt passeront par le processus fastidieux de déclaration des décès et des blessures liés au vaccin
aux autorités sanitaires nationales.
UE/EEE/Suisse au 17 juillet 2021 – 18 928 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,8 million de blessures, par base de données EudraVigilance.
Royaume-Uni jusqu’au 7 juillet 2021 -1 470 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus d’un million de blessures, selon le système de carton jaune de la MHRA.
États-Unis au 9 juillet 2021 – 10 991 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 2 millions de blessures, par base de données VAERS.
TOTAL pour l’UE/Royaume-Uni/États-Unis – 31 389 décès liés à l’injection de Covid-19 et près de 5 millions de blessures signalés jusqu’à présent en juillet 2021.
Blessures cachées : les caillots sanguins microscopiques
Les personnes vaccinées ne seront pas immédiatement au courant des blessures subies. Dans la plupart des cas, ces derniers ne sont pas discernables et ne sont pas enregistrés. Alors que les
caillots sanguins « Big Blood Clots » résultant du vaccin sont révélés et signalés par les personnes vaccinées, une importante étude du Dr. Charles Hoffe, suggère (reste à confirmer) que le vaccin à ARNm génère des
« caillots sanguins microscopiques ».
« Les caillots sanguins dont nous entendons parler et dont les médias affirment qu’ils sont très rares sont les gros caillots sanguins qui causent des accidents vasculaires cérébraux et qui
apparaissent lors de la TDM, de l’IRM, etc.
Les caillots dont je parle sont microscopiques et trop petits pour être trouvés sur n’importe quel balayage. Ils ne peuvent donc être détectés qu’à l’aide du test D-dimère. »
« Ces gens n’ont aucune idée qu’ils ont même ces caillots sanguins microscopiques. La partie la plus alarmante de cela est qu’il y a certaines parties du corps comme le cerveau, la moelle
épinière, le cœur et les poumons qui ne peuvent pas se régénérer. Lorsque ces tissus sont endommagés par des caillots sanguins, ils sont endommagés de façon permanente.
« Ces tirs causent d’énormes dommages et le pire est encore à venir. »
Voici son interview (Anglais), avec Laura Lynn Tylor Thompson (également disponible sur la chaîne Rumble).
Contrôle totalitaire, mensonges, manipulation, dépopulation massive,… Ces médecins et chercheurs de renom Tirent la sonnette d’alarme avant qu’il ne soit trop tard ! Vidéo.
Dr Sucharit Bhakdi:« A force de nous dire qu’ils avaient tout planifié, et à vrai dire je pense que je n’ai pas vraiment envie de le savoir… »
Michael Yeadon:« Ce système est mis en place en utilisant des mensonges, et on sait qu’il a été mis en place en utilisant des mensonges, dans un certain but, et je
crois que ce but, c’est un contrôle totalitaire… et je pense que le but de ce contrôle, sera la dépopulation massive ! »
Dr Robert Malone:« Un de nos problèmes ici, c’est le fait que tout le monde croit que nous avons affaire à des vaccins comme ceux qu’on a connus par le passé,
alors que ça n’a rien à voir ! »
Dr Sucharit Bhakdi:« Il s’agit de la plus grande expérimentation jamais réalisée dans l’histoire de la médecine… Et pourtant, elle est en train d’être réalisée sur
des êtres humains ! C’est tout simplement incroyable ! »
Dr Peter MacCullough:« Nous avons commencer à rassembler nos analyses et nos remarques de médecins, et on s’est tous sentis très mal à l’aise en tant que médecin,
car c’est tout le secteur de la santé qui dérape… Le CDC n’a pas fait son job, ils n’ont jamais expliqué les raisons précises de tous ces nouveaux décès ! Et le lien avec les vaccins est très
inquiétant, la moitié des spécialistes de santé ne comprennent pas cette omission et nous n’avons pas confiance en leurs données… Le renard a ouvert le poulailler… Les Big Pharmas ont donné leurs
propres chiffres, il n’y a pas de groupes d’observateurs indépendants, vous devriez rejeter toutes les annonces sur les taux de cas dans votre communauté, car elles sont complètement frauduleuses
! L’inventeur même du Test PCR, le prix Nobel Karry Mullis, a déclaré lui-même que ce test n’est pas un diagnostic, et avec le test PCR, si vous le faites correctement, pour pouvez trouvez
presque n’importe quoi chez n’importe qui… Mais ils ont dit que nous subissons des pressions internes pour ajouter le Covid lors du décès indépendant de tout diagnostic sérieux… alors que nous
pensons que cela n’a rien à voir avec la cause réelle du décès. En tant que médecin, j’ai reçu la semaine dernière un courriel du ministère de la santé m’expliquant comment remplir les
certificats de décès… On est passé à un nouveau seuil de criminalité ! Nous sommes très nombreux en tant que médecins à penser la même chose… Beaucoup se sentent menacés et effrayés pour parler
de ces sujets. Et dès que quelqu’un en parle trop, immédiatement il y a un message, et vous vous retrouvez devant l’Ordre des Médecins ! c’est complètement dingue ! Le Dr Robert Malone est un
expert en vaccins. Il est l’inventeur de la technologie de l’ARNm messager. Il est systématiquement attaqué, ce qu’il a prouvé est littéralement effacé sur Internet… Ces groupes de Fact
Check.org, par exemple, sont financés par une organisation qui détient plus de 1,8 milliard d’actifs dans des grands groupes de vaccins !