"Les médecins administrent des médicaments dont ils savent très peu, à des malades dont ils savent moins,
pour guérir des maladies dont ils ne savent rien." (Voltaire)
INCROYABLE : Un groupe de médecins qui ont défié le discours sur le COVID vient de compiler 18 traitements alternatifs contre le cancer qui FONCTIONNENT !
INCROYABLE : Un groupe de médecins qui ont défié le discours sur le COVID vient de
compiler 18 traitements alternatifs contre le cancer qui FONCTIONNENT !
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INCROYABLE : Un groupe de médecins qui ont défié le discours sur le COVID vient de compiler 18 traitements alternatifs contre le cancer qui FONCTIONNENT !
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est temps de découvrir la vraie histoire ! Ma gratitude à tous mes lecteurs !
INCROYABLE : 18
traitements alternatifs contre le cancer puissants et soutenus par la science, abordables ou gratuits. Du régime cétogène aux compléments naturels comme la vitamine D3,
l'ivermectine et la curcumine, apprenez à combattre le cancer avec ces thérapies efficaces qui vont au-delà des méthodes conventionnelles.
Une
percée INCROYABLE : 18 traitements alternatifs contre le cancer défiant la norme et gagnant la guerre contre le cancer !
À
une époque où les traitements conventionnels contre le cancer font la une des journaux et font la une des salles d'hôpital, un groupe révolutionnaire de médecins a émergé,
remettant en question le statu quo. Ces pionniers ont compilé une liste impressionnante de 18 thérapies alternatives contre le cancer qui sont non seulement efficaces mais
également scientifiquement prouvées. Qu'est-ce qui rend cette avancée encore plus remarquable ? Bon nombre de ces interventions sont très abordables ou entièrement gratuites. Il
est temps de se pencher sur ces thérapies qui changent la vie et qui pourraient transformer notre approche du traitement du cancer, une étape à la fois.
Combattre
le cancer grâce à la science et à une sagesse non conventionnelle
Nous avons tous entendu des histoires déchirantes. Un proche atteint d’un cancer est plongé dans un tourbillon de chimiothérapie, de radiothérapie et, trop souvent, de désespoir.
Mais que se passerait-il s’il existait des solutions alternatives – des interventions éprouvées et soutenues par la science qui ne font pas partie du discours dominant ? Et si
vous pouviez combattre le cancer avec des outils à la fois efficaces et accessibles ? Préparez-vous à
découvrir 18 traitements alternatifs contre le cancer qui
ébranlent les fondements de la médecine moderne. Ce ne sont pas que des théories, ce sont des stratégies efficaces, soutenues par la recherche, qui pourraient très bien sauver des
vies.
Covid-19: une étude montre que la pilule de Merck accélère les mutations du virus
Des chercheurs ont publié ce lundi une étude dans laquelle ils affirment que le traitement anti-Covid via la pilule de
Merck accélère le développement de nouveaux variants dangereux.
La pilule anti-Covid de Merck risque-t-elle d'aggraver la pandémie ? Des chercheurs affirment que ce traitement contribue à
faire émerger des mutations du virus, avec un risque pour l'heure théorique: donner naissance à des variants dangereux.
"Le traitement au molnupiravir a laissé une trace visible dans les bases de données mondiales de séquençage" du
génome du virus, conclut une étude publiée lundi dans la revue Nature.
Le molnupiravir est un traitement développé par le géant pharmaceutique américain Merck (dit MSD à l'international).
Première pilule anti-Covid
Mis sur le marché en 2021, il s'agissait de la première pilule anti-Covid, une avancée notable pour un arsenal
pharmaceutique qui n'était jusqu'alors composé que de vaccins et de traitements nécessitant une administration complexe par intraveineuse.
Mais le molnupiravir, vendu sous le nom Lagevrio, a vite fait l'objet de critiques. Celles-ci ont en partie visé son
efficacité limitée, notamment par rapport à son grand concurrent, le Paxlovid de Pfizer, qui l'a rapidement rejoint sur le marché.
Surtout, son mode d'action a provoqué de vives réticences. Contrairement à d'autres antiviraux, comme le Paxlovid, le
Lagevrio agit en s'intégrant directement au génome du virus.
Que sait-on d'Eris, le nouveau variant du Covid-19 ?
L'objectif est de déclencher une série de mutations de plus en plus désordonnées qui aboutissent à terme à l'extinction du
virus dans l'organisme. Mais des chercheurs ont, dès son lancement, estimé que ce mécanisme risquait de favoriser l'apparition de virus mutants et transmissibles d'un individu à
l'autre.
"Signature" spécifique
Ce risque avait contribué à une certaine frilosité des autorités sanitaires comme la FDA américaine qui n'avait approuvé le
molnupiravir qu'à une faible majorité, ou la Haute Autorité de Santé (HAS) française, qui l'a carrément écarté.
C'est dans ce contexte que s'inscrit l'étude publiée lundi, alors que l'étoile de la pilule de Merck a déjà pâli au vu de
sa faible efficacité mais qu'elle reste encore largement prescrite dans certains pays, notamment en voie de développement.
Les chercheurs ont étudié une vaste base de données, dite Gisaid, qui rassemble les génomes des virus recueillis chez de
nombreux patients à travers le monde.
Pour eux, la conclusion est sans appel: l'usage du molnupiravir est associé à l'apparition de mutations spécifiques.
Ils ont constaté l'apparition d'une "signature" spécifique au moment où la pilule avait commencé à être prescrite dans
certains pays. Par contraste, elle est presque absente des endroits où le traitement n'était pas approuvé.
En résumé, ce traitement "peut donner naissance à des virus qui ont muté de façon notable et qui restent viables, voire
dans certain cas transmissibles", a expliqué l'un des auteurs, le généticien Theo Sanderson.
Ces conclusions ont été rejetées par Merck. Selon le laboratoire américain, l'étude ne met en avant qu'une corrélation sans
permettre d'affirmer un lien de cause à effet entre son traitement et ces mutations. Les auteurs se basent sur des "associations circonstancielles", a déclaré le groupe.
Pas de risque immédiat
Reste que l'étude convainc plusieurs chercheurs qui n'y ont pas participé, tel le virologue Stephen Griffin qui a salué
auprès du Science Media Center (SMC) britannique un travail "bien mené et d'une importance exceptionnelle".
Comme les auteurs de l'étude, il insiste sur un point: les mutations repérées ne semblent pas, en elles-mêmes, avoir été
particulièrement dangereuses ou contagieuses.
"Mais ces résultats ont des implications importantes pour la suite de la pandémie", prévient Stephen
Griffin.
En effet, tout phénomène qui accélère les mutations du virus fait courir à terme le risque de faire naître des variants
plus dangereux ou, comme l'avait été Omicron à son apparition, nettement plus transmissibles que ses prédécesseurs.
Faut-il dans ce contexte cesser de prescrire du molnupiravir ? Les auteurs de l'étude se gardent bien de se prononcer,
restant sur le terrain de la génétique et renvoyant les autorités sanitaires à leurs responsabilités.
Et pour certains chercheurs, si ces résultats rappellent la nécessité de ne pas prescrire du molnupiravir à tour de bras,
il ne faut pas y renoncer purement et simplement.
"Bien sûr, il ne faut pas systématiquement prendre du molnupiravir quand on est infecté" au coronavirus, conclut
l'infectiologue Chris Butler auprès du SMC. "Mais dans certains cas difficiles, c'est un médicament qui peut être très utile".
VOICI LA PREUVE DU GENOCIDE PROGRAMME A GRANDE ECHELLE ET DU RESPECT DE L AGENDA 2030 TOUT COMME L EMPRESSEMENT DE L ETAT A VOULOIR COMME ILS PRECISENT ALLER VITE
POUR LES REFORMES EN 2023 ALORS QUE LA COLERE EST BIEN PRESENTE ET QUE LE FEU COUVE ALORS UNE SIMPLE ETINCELLE REMETTERA LES PENDULES AVEC VIOLENCE A L HEURE ! c'est comme ça l'humain incarné
sans âme fonctionne ainsi et met à l'épreuve les humains incarnés avec une âme faites vos recherches il est grand temps de s'unir et d'être bienveillants les uns envers les autres !
16 avril 2023
Covid et Artémisia
Cet homme a risqué sa vie pour avoir voulu sauvé son pays et son peuple en luttant contre le vaccin nocif
Outre l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, ou certains antibiotiques, il existe de nombreux produits qui étaient
potentiellement efficaces contre le SARS-Cov-2 ou la covid, soit comme drogue principale, soit comme adjuvants comme la vitamine D ou le zinc. On peut discuter du niveau de cette potentielle
efficacité, qui sera toujours supérieure à celle du Doliprane imposé.
Ces drogues ont été largement utilisées dans les pays qualifiés de « sous-développés » par les pays occidentaux, ce qui ne les
empêche pas de s’être bien mieux sortis de cette épidémie, avec des mortalités de 10 à 50 fois moindre, même en tenant compte de populations plus jeunes, et malgré des conditions sanitaires très
inférieures. Ces drogues sont très utilisées car faisant partie de la pharmacopée traditionnelle et ancestrale.
On a vite oublié l’épidémie de coronavirus du SARS-CoV à la fin de 2002 dans la province chinoise du Guangdong qui s’est
propagée rapidement en 2003. Au départ, les taux de mortalité étaient de 52% à Pékin, contre 18% à Hong Kong et Singapour, plus médicalisés. L’introduction de la médecine traditionnelle a ramené
en 3 semaines, ce taux de 52% à 1%.
Parmi ces drogues traditionnelles, il y a l’artémisinine. Ses vertus médicinales sont connues en Chine depuis plus de 2
000 ans, notamment pour traiter les fièvres. Elle est issue d’une plante, l’Artemisia annua (Armoise annuelle). Il s’agit d’une lactone sesquiterpénique (l’ivermectine est une lactone
macrocyclique, l’Azithromycine une autre lactone), portant un groupe peroxyde qui lui donne ses propriétés médicinales. Elle est surtout connue comme antipaludéen efficace. Il
existe aussi une bonne potentialité comme médicament pour traiter la bilharziose et de la shistomatose. Des essais sont également en cours, notamment avec son dérivé la dihydroartémisinine, pour
traiter certains cancers, dont celui du sein, avec moins d’effets secondaires que la chimiothérapie classique.
La sortie de Chine de l’artémise après 2 000 ans est très récente et originale. Lors de la guerre du Viêt Nam, les anophèles
transporteurs du paludisme pullulaient dans les souterrains gorgés d’eau creusés par les Viêt-Cong. Le paludisme y tuait plus de combattants que les combats. Les Nord-vietnamiens se sont alors
tournés vers la Chine pour trouver une solution. En 1967, des chercheurs militaires chinois ont constaté qu’une région de Chine était peu touchée par cette maladie. Au premier symptôme de
paludisme, les habitants de cette région buvaient, selon une tradition millénaire, une décoction issue de qing hao, à base d’artémise. Elle n’avait pas d’effet secondaire visible
et semblait très efficace. Notons au passage que c’était une étude observationnelle, qui serait bannie aujourd’hui…
L’isolement de l’artémisinine fut réussi sous la direction de madame le professeur Tu Youyou. Ses actions antipaludiques et
l’élaboration d’un procédé d’extraction simple ont rapidement suivi en 1972. Sa structure a été confirmée en 1979 par cristallographie. Le caractère totalement asymétrique de la molécule
d’artémisinine rend sa synthèse artificielle particulièrement difficile, en particulier à des coûts acceptables.
Au début des années 1990, l’aggravation des phénomènes de résistance du parasite envers les médicaments antipaludéens
classiques, fait que les laboratoires pharmaceutiques ont commencé à s’y intéresser, et il fallut attendre 2001 pour que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) déclare l’artémisinine « le plus
grand espoir mondial contre le paludisme ». En 2006, elle recommande toutefois d’arrêter la monothérapie afin d’éviter les risques de résistance, l’artémisinine affaiblissant le parasite mais ne
le tuant pas systématiquement, par contre elle présente une efficacité maximale en association avec d’autres antipaludéens. En 2015 la pharmacologue et chimiste chinoise Tu Youyou a reçu un le
Prix Nobel de médecine pour sa découverte.
Tu Youyou devient ainsi la première femme Chinoise (et la douzième femme) depuis la création du prix en 1901 à être récompensée
par le Nobel de médecine. Elle l’a partagé avec deux hommes, honorés eux aussi pour leurs travaux dans la lutte contre des maladies parasitaires : l’irlandais William C. Campbell et le japonais
Satoshi Omura, qui ont mis au point un nouveau médicament, l’ivermectine, contre les infections dues à des vers nématodes. “Les lauréats du prix Nobel cette année ont développé des thérapies
qui ont révolutionné le traitement de certaines des maladies parasitaires les plus dévastatrices”, avait précisé le comité Nobel.
MODE D’ACTION
La biodisponibilité de l’artémisinine est assez faible, et elle est vite transformée en dérivés restant actifs car conservant
tous la liaison peroxyde. Les peroxydes sont des composés qui renferment plus d’oxygène que les oxydes. Elle bloquerait une enzyme qui permet au parasite de pomper le calcium, l’empêchant ainsi
de se développer. La clairance est rapide avec une demi-vie entre 1,9 et 2,6 heures dans le sang.
L’artéméther, molécule de peroxyde réduite de l’artémisinine, réagit avec le fer des globules rouges pour créer des radicaux
libres qui, à leur tour, détruisent les membranes du parasite ou de certaines cellules cancéreuses et les tuent. À noter cependant que la présence de toute substance antioxydante pourrait
contrarier son efficacité.
Au début des années 1980, des chercheurs chinois ont découvert que l’artémisinine et ses dérivés sont aussi des
anthelminthiques efficaces contre Schistosoma japonicum, un des schistosomes responsables de la bilharziose. Des essais cliniques de phase 3 furent menés, au début des années 2000 et avec succès
en Afrique et en Chine.
D’autres recherches in vitro ont montré l’action anticancéreuse de l’artémisinine combinée à du fer. En arrêtant le facteur de
transmission E2F1, l’artémisinine intervient dans la destruction des cellules cancéreuses, selon les essais menés sur les cancers du poumon et du sein.
COVID-ORGANICS
Covid-Organics est un médicament à base d’Artemisia, développé et produit par l’Institut Malgache de Recherche
Appliquée (IMRA), à la suite de plusieurs recherches menées dans des pays africains, en France et au Canada. Le 20 avril 2020, le Président Malgache Andry Rajoelina, lors d’une conférence
de presse, a recommandé son utilisation, disant que cela pouvait prévenir et guérir le covid-19, et en a ordonné la distribution dans tout le pays, jusque dans les écoles. De peur que
cela ne soit utilisé en France, l’ANSM a immédiatement mis en garde contre son utilisation, « inefficace et potentiellement dangereux » (sur quelles études ? Il n’y en avait pas), alors que le produit est
totalement sans danger. En juin c’est l’Académie de Médecine qui fait de même. À l’OMS on tergiverse.
Réponse du Président malgache à ces critiques dans une interview le 11 mai 2020 :“Le problème, c’est que
cela vient d’Afrique, et on ne peut pas accepter qu’un pays comme Madagascar, qui est le 163e pays le plus pauvre du monde, ait mis en place cette formule pour sauver le
monde”
Les critiques portent sur le peu d’études, ce qui n’est pas faux mais qui ne justifie pas un a priori défavorable et
l’affirmation “inefficace et potentiellement dangereux” en l’absence d’informations, mais surtout critiques sur le risque de résistances contre le paludisme, ce qui est hors sujet. Cette
résistance est une réalité, et a été constatée dans plusieurs pays asiatiques, mais c’est aussi le cas de tous les autres antipaludéens. Cette résistance n’a toutefois pas été constatée en Chine.
Il semble que cela soit dû aux préparations qui sont très différentes. Tisanes, infusions, décoctions, macérations, eau froide, chaude, température de cuisson ,… les recettes sont très variées,
l’extraction de l’artémisinine étant très différente d’une recette à l’autre (l’ajout de lait favorise sa dissolution grâce aux lipides). Quant à l’ANSM qui évoque un produit dangereux pour
justifier son rejet, elle ne connaît manifestement pas le produit, et c’est un motif qu’elle utilise systématiquement pour dénigrer ce qu’elle ne veut pas valider, tout en validant des produits
très toxiques.
Quoi qu’il en soit, le résultat ne devait pas être nul sur le covid, car l’OMS s’est intéressée à
l’artémisia en août 2021, un an après avoir dit qu’elle allait le faire, souhaitant participer à plusieurs études. A priori elle n’est pas allée plus loin que ses déclarations, comme
elle l’a fait avec l’ivermectine dans l’Uttar Pradesh en Inde. Personnellement j’ai épluché nombre de publications sur artémisinine et Covid. C’est effectivement la panne en ce qui concerne les
essais cliniques, sans doute car utilisée dans quasiment un seul pays qui n’a pas les moyens de publier, sans oublier les campagnes chinoises. Par contre les études biochimiques et in vitro sont
légion, également antérieures au Covid-19, donc non manipulées. L’article le plus intéressant et le
plus complet, réservé aux connaisseurs, est celui de chercheurs américains et anglais, qui ont étudié près de 200 publications sur l’artémisinine dans toutes ses indications.
Leur synthèse : « De nombreuses données in vitro et in vivo ont révélé que A. annua , l’artémisinine, l’artéannuine B
et/ou ses produits dérivés “artémisinines”, ont un large spectre de capacités biologiques antiparasitaires, antifongiques, antibactériennes, anti-inflammatoires, immuno régulatrices,
anticancéreuses et antiasthmatiques et antivirales. Les effets et mécanismes anti-COVID-19 de l’Artemisia et de ses constituants comprennent, mais sans s’y limiter : (1) l’inhibition de
l’invasion et de la réplication du SRAS-CoV-2 en ciblant les protéines de pointe, ACE2, l’interaction pointe-ACE2 ; (2) réguler les réponses immunitaires et inflammatoires en ciblant les
cytokines et les chimiokines inflammatoires ; (3) protégeant contre le SDRA et le MODS en supprimant les signaux de la toxicité virale, des dommages endothéliaux et de la tempête de cytokines.
»
RÉSULTATS MALGACHES
Comme ces publications ne suffisent pas pour savoir si l’artémisia est efficace ou non, le mieux est de regarder ce qui s’est
passé dans le seul pays au monde qui semble l’avoir utilisé massivement avec l’appui des autorités. Avantage : aucun autre produit n’a pu venir introduire de biais dans les résultats globaux, y
compris la vaccination, puisque Madagascar n’est vacciné qu’à 8%. Malgré son caractère insulaire, Madagascar a connu comme le reste du monde ses 6 ou 7 vagues :
Maintenant, comparons avec la France qui a exclu l’artémise et tout autre traitement préalablement existant. Comparer les cas
n’a aucune valeur : chez nous on a testé massivement, acceptant tous les positifs et faux positifs, chez eux on peut dire : pas de tests, pas de cas. Par contre la courbe de décès est beaucoup
plus significative, car dans tous les pays, même les plus pauvres et les communes les plus reculées, tous les décès sont signalés et colligés par les autorités locales, avec les causes.
On voit que … en fait on ne voit rien, car la différence est telle que l’échelle des courbes France (en rouge) aplatit
complètement celles de Madagascar (en vert). Le mieux est donc de faire le bilan sur 3 ans, avec le cumul des décès depuis le premier jour. Là on constate qu’à Madagascar, en 3 ans, le taux de
mortalité par covid, selon l’Université John Hopkins qui fait référence, est de 50 fois inférieur à celui de la France.
Pour être honnête, ces chiffres sont toutefois à corriger. En effet, le covid tue essentiellement les vieux, et pas de vieux,
pas de décès ! J’ai donc regardé la pyramide des âges des deux pays, et pris en compte uniquement les plus de 65 ans. Dans la population, il y en a 7 fois plus chez nous qu’à Madagascar (21%
contre 3%). Pour supprimer ce biais, ces 50 fois plus sont donc à diviser par 7. Résultat final, il y a 7 fois plus de décès chez nous qu’à Madagascar, chez les plus de 65 ans.
J’ai aussi voulu voir ce que donnait ce traitement avec les premières souches de virus, plus létales, au moment où leur
Président vantait les mérite de l’artémisinine, et avant vaccinations. Si on arrête les chiffres au 1er mars 2021, les premiers « fully vaccinated » apparaissant à partir de mars, on est
alors à 130 fois moins de décès ! L’amélioration du rapport sera dû pour les uns aux variants de moins en moins létaux, pour d’autres aux effets des vaccins…
CHINE ?
Qu’en est-il de la Chine, qui n’a pas interdit sa pharmacopée traditionnelle (ni l’hydroxychloroquine, ni l’ivermectine) ?
La Chine a 30 fois moins de décès par habitant que nous. Compte tenu de la population de plus de 65 ans (13% contre 21%), cela fait 20 fois moins.
Certains, j’en ai fait partie, émettront des doutes quant à la fiabilité des chiffres fournis par la Chine, avec beaucoup plus
de morts, sans toutefois pouvoir fournir d’images ou de témoignages venant des centaines de milliers d’étrangers vivant en Chine, concernant une hécatombe. Des doutes, mais pas des faits.
Toutefois les chiffres de la dernière vague chinoise, après abandon du zéro covid sont tout à fait cohérents, donnant plus de
crédibilité aux chiffres fournis par l’OMS pour OWD (au lieu de Hopkins). Par habitant, 4 fois plus de cas qu’en France pour le dernier omicron, avec 1,5 fois plus de décès, montrant sans doute
qu’ils ne cachent rien. Moins pendant leur black-out, un rebond sévère après, logique.
CONCLUSIONS
Peut-être un potentiel, mais nous sommes à ce jour très loin de l’ivermectine, avec ses presque 100 publications. Pas (assez)
d’études pour juger, mais des résultats sur le terrain qui semblent excellents, tant que l’on ne nous présente pas une autre explication cohérente pour Madagascar. Il est dommage que l’OMS n’ait
pas joint les actes à la parole en mai 2020 puis un an plus tard pour conduire à des études. La peur du résultat ?
Le panel de modes d’actions sur les virus et dans d’autres pathologies est bien plus large pour l’ivermectine, mais
l’artémisinine est encore jeune dans la pharmacopée occidentale. Il y a encore un tri à faire avec tous ses métabolites actifs, c’est en cours. On n’a pas le même recul non plus.
L’artémisinine n’a pas la toxicité pour les insectes et batraciens de l’ivermectine, mais est écotoxique pour le plancton. Son
prix de revient est élevé comparativement à celui d’une quelconque molécule 100 % synthétique. Il faut 30 à 35 tonnes de plantes fraîches entières pour produire 2,5 à 3 tonnes de feuilles sèches
dont est extrait environ 1,3 % d’artémisinine. Entre 2005 et 2008, son prix a varié entre 120 et 1 200 USD le kilogramme. Depuis, en utilisant une levure transgénique, le laboratoire Sanofi
Pasteur annonçait en 2013 que le groupe était capable de produire l’artémisinine au prix de revient de 350 à 400 USD le kilogramme.
Enfin pour ceux que la médecine par les plantes ferait sourire, qu’ils n’oublient pas que les plantes ont été et sont encore
aujourd’hui à l’origine de nos médicaments les plus efficaces. Qu’ils sachent que sans curare, pas d’anesthésie, que la morphine qui est le plus puisant des antalgiques vient du pavot, que
l’aspirine nous vient du saule, que l’if a révolutionné la chimiothérapie du cancer du sein, que la digitaline pour le cœur vient de la digitale, j’en passe et des meilleurs, sans oublier la
pervenche de Madagascar pour traiter les leucémies. Alors l’Artémise, faute de mieux et pour les pays pauvres, fera toujours mieux que le Doliprane qui lui, a poussé dans un laboratoire.
Tous les traitements efficaces contre le Covid doivent être pris IMMÉDIATEMENT dès les premiers symptômes, sinon leur
efficacité diminue très rapidement.
dimanche 16 avril 2023
Les Gels Antibactériens seraient Carcinogènes !
Les Gels Antibactériens pour les Mains, diffusés à grande échelle pendant la Plandémie Covid, seraient Carcinogènes pour le
Foie !
Un élément, qui est en contact avec la peau, peut passer dans le sang et donc dans les reins et le foie.
C’est par ailleurs le principe des huiles essentielles que l’on applique à l’intérieur du poignet, là où la peau est très
fine, avant de les respirer.
Nous pouvons lire aussi des histoires d’agents secrets, qui sur ce même principe, empoisonnent une personne avec une
pougnée de main…
Beaucoup ont un flacon dans son sac pour se nettoyer les mains rapidement et se débarrasser des microbes, mais les gels antibactériens seraient loin de nous vouloir que du bien.
Sur le long-terme, ils pourraient causer des cancers du foie.
Les gels antibactériens sont devenus l’apanage de toute femme qui prend les transports en commun.
Pratiques, ils nous permettent de nous nettoyer les mains facilement et rapidement sans avoir besoin
d’eau.
Néanmoins, ces petites bouteilles si utiles seraient à l’origine de cancers du foie.
Pourquoi les gels antibactériens sont-ils dangereux ?
Tous les gels antibactériens ne sont pas dangereux. Seuls ceux contenant du triclosan constituent une menace pour notre santé.
Le doute planait depuis plusieurs mois et il a été récemment confirmé.
Une étude publiée il y a quelques jours dans la revue médicale Proceedings of the National Academy of
Science a révélé que les effets du triclosan étaient plus néfastes que bénéfiques.
Pour en arriver à cette conclusion, l’équipe de chercheurs a alimenté une souris avec de la nourriture et de l’eau contenant du triclosan durant six mois.
Ils ont alors réalisé que comparé avec d’autres souris, celle ayant absorbé du triclosan avait plus
de risques d’avoir un cancer du foie.
L’année dernière, la FDA (Food and Drug Administration) a proposé que les fabricants de gels antibactériens apportent la preuve que leurs produits sont sains.
Le triclosan se trouve-t-il uniquement dans les gels antibactériens ?
Si à l’origine le triclosan était uniquement utilisé pour les savons médicaux, aujourd’hui, on le retrouve un peu partout.
Cosmétiques, produits ménagers, désinfectants et même emballages plastique, le
triclosan s’est réellement immiscé dans notre quotidien.
A tel point qu’une précédente étude américaine avait montré qu’une grande partie de la population des Etats-Unis avait du triclosan dans ses urines ou dans son lait
maternel.
De plus en plus de cas de dommages causés par les vaccins COVID-19 continuent d’être publiés dans les revues médicales, et à présent des
chercheurs japonais publient quelques cas de caillots sanguins inhabituels découverts lors d’autopsies après les vaccins Pfizer COVID qui semblent corroborer ce que certains embaumeurs de
pompes funèbres signalent également, soit, d’étranges caillots sanguins trouvés dans les corps de personnes décédées.
Une étude publiée dans l’édition de novembre 2022 de Legal Medicine intitulée Un rapport de cas d’autopsie de dissection aortique
compliquée de péricardite histiolymphocytaire et d’inflammation aortique après la vaccination par ARNm COVID-19, a rapporté un homme japonais âgé sans maladie antérieure, et qui est décédé
deux semaines après sa troisième dose du vaccin Pfizer COVID-19.
Un homme japonais âgé de 90 ans a consulté un médecin lui expliquant qu’il éprouvait depuis plusieurs jours une fatigue générale et de la
dyspnée. Ses jambes étaient œdémateuses et la radiographie pulmonaire montrait un épanchement pleural droit. Des niveaux élevés de peptide natriurétique pro-cerveau N-terminal (NT-pro BNP ; 3 706
pg/mL) et de protéine C-réactive (47,9 mg/L) ont été détectés. Les résultats de l’électrocardiogramme n’ont montré aucun changement anormal.
Il a reçu un diagnostic d’insuffisance cardiaque mais a refusé d’être admis à l’hôpital. Le patient s’est vu prescrire un traitement
diurétique de 3 jours, qui a soulagé ses symptômes et diminué le taux de NT-pro BNP.
Cependant, il a été retrouvé sans vie dans sa cuisine le matin du quatrième jour après avoir consulté le médecin. Il avait reçu une
troisième dose de BNT162b2 environ 2 semaines avant le décès.
Aucune maladie antérieure n’a été signalée. Il n’avait pas d’antécédents de tabagisme ni de consommation habituelle d’alcool. Une enquête
policière au domicile de l’homme n’a révélé aucune activité suspecte.
Une autopsie a révélé des caillots sanguins dans le cœur :
… une autopsie post mortem a été pratiquée 35 h après le décès. Le défunt mesurait 156 cm et pesait 52 kg. Le sac péricardique était rempli
de caillots rouge foncé (Fig. 1A). L’aorte ascendante présentait une déchirure intimale de 2,5 cm à 4 cm au-dessus de l’anneau aortique (Fig. 1B). La média aortique a été disséquée et l’adventice
a été perforée dans la cavité péricardique. Le cœur pesait 458 g et avait une surface villeuse blanche (Fig. 1C). Les artères coronaires montraient une athérosclérose légère.
Le rapport d’examen microscopique est intéressant car ils rapportent avoir vu des “fibres élastiques” similaires à ce que Richard Hirschman,
directeur de pompes funèbres et embaumeur, a également rapporté avoir vu .
L’examen microscopique a révélé un épicarde épais et fibreux avec une infiltration cellulaire inflammatoire principalement composée de
macrophages et de lymphocytes (Fig. 2A et 2B). Une nécrose minimale de la couche la plus externe du myocarde dans la paroi latérale gauche a également été détectée.
La membrane péricardique était épaisse avec des dépôts de fibrine et des fibroblastes hypertrophiques. Des macrophages et des lymphocytes
ont également été détectés dans la membrane (Fig. 3).
La racine aortique a été disséquée au niveau de la lésion collagène ; il a montré une infiltration de cellules inflammatoires dans la
tunique médiane (Fig. 4A et 4B). Les fibres élastiques médiales se sont avérées perturbées dans la coloration Elastica van Gieson (Fig. 4C). Le test immunohistochimique a révélé une infiltration
de macrophages et de lymphocytes T et B dans la paroi aortique (Fig. 4D).
Les chercheurs ont utilisé des “résultats histopathologiques” qui, selon eux, “ne sont souvent pas utilisés dans le diagnostic en raison de
la difficulté de la procédure d’échantillonnage” car “les échantillons péricardiques ne peuvent être obtenus que par voie chirurgicale”.
Bien que la biopsie percutanée guidée par péricardioscopie du péricarde ait été rapportée sans complications majeures, cette procédure est
techniquement difficile et un opérateur expérimenté est nécessaire.
À notre connaissance, il s’agit du premier rapport de cas de péricardite histologiquement prouvé après la vaccination contre le
COVID-19.
Lire l’ étude complète ici .
Un deuxième cas japonais a été publié dans Thrombosis Journal intitulé Histopathologically TMA-like distribution of multiple organ
thromboses after the initial dose of the BNT162b2 mRNA vaccine (Comirnaty, Pfizer/BioNTech) : an autopsy case report.
s12959-022-00418-7Télécharger
Ce cas était une femme de 72 ans qui a reçu la première dose du vaccin à ARNm de Pfizer et est décédée 2 jours plus tard.
L’autopsie a révélé de multiples microthrombi dans le cœur, le cerveau, le foie, les reins et les glandes surrénales. Les thrombus étaient
CD61 et CD42b positifs et étaient situés dans les vaisseaux sanguins principalement dans la face péricardique du myocarde et la région sous-capsulaire des glandes surrénales ; leurs diamètres
étaient d’environ 5 à 40 μm.
Macroscopiquement, une hémorragie myocardique caractéristique a été observée et l’histopathologie de la distribution caractéristique du
thrombus, qui différait de celle du syndrome hémolytique et urémique et de la coagulation intravasculaire disséminée, suggérait que la physiopathologie sous-jacente pouvait être similaire à celle
de la microangiopathie thrombotique (MAT).
Elle n’avait aucun antécédent de caillots sanguins avant de recevoir le vaccin Pfizer.
Elle n’avait aucun antécédent médical de thrombose veineuse profonde, de lupus érythémateux disséminé, de perte de grossesse récurrente,
d’hématurie et de greffe de cellules souches hématopoïétiques ou d’organe solide. Les tests de laboratoire ont montré que ses fonctions hépatique et rénale, ainsi que sa formule sanguine, étaient
dans les limites normales un mois avant la vaccination. L’absence de thrombocytopénie et d’anémie a été confirmée 10 jours avant la vaccination.
Une autopsie médico-légale a été réalisée environ 24 h après qu’elle a été retrouvée décédée pour enquêter sur les circonstances de son
décès, la vaccination étant suspectée d’en être la cause.
Autopsie et résultats histopathologiques :
À l’autopsie, la taille et le poids du patient étaient respectivement de 155 cm et 53,0 kg. Aucune rougeur ou papule n’a été observée à la
surface du corps. Le poids du cœur était de 394 g et 170 ml de liquide péricardique jaune translucide concentré avec un précipité fibrineux étaient présents dans le péricarde. Une hémorragie
pétéchiale marquée a été trouvée à la surface du péricarde postérieur (Fig. 1a). L’examen macroscopique après fixation au formol tamponné à 10 % a révélé une décoloration noir-rouge sur toute la
circonférence du péricarde et la surface externe du myocarde (Fig. 1b).
De nombreux microthrombus sans cellules inflammatoires ont été trouvés dans les petits vaisseaux, les artérioles et les capillaires des
parois antérieure, postérieure et latérale du ventricule gauche, du ventricule droit et du septum interventriculaire, situés principalement à la frontière entre les zones hémorragiques et non
hémorragiques. (Fig. 1c et f).
Le diamètre vasculaire des microthrombus était d’environ 5 à 40 μm et les microvaisseaux étaient congestionnés et dilatés.
Comme mentionné ci-dessus, des microthrombus plaquettaires ont été détectés dans plusieurs organes, principalement dans le cœur, et les
lésions aux autres organes étaient limitées. Par conséquent, il était concevable que la mort subite soit d’origine cardiaque.
Lire l’ étude complète ici .
Ces autopsies et études ont été réalisées parce que les personnes sont décédées peu de temps après avoir reçu une dose de vaccins à ARNm de
Pfizer. Les caillots sanguins et les « fibres élastiques » observés semblent correspondre à ce que voient les embaumeurs qui préparent les corps pour les funérailles, bien que dans de nombreux
cas, les embaumeurs voient peut-être des corps qui sont morts des semaines ou des mois après avoir reçu les vaccins, et donc les plus grandes structures fibreuses qui ils sortent des
veines.
Professeur Sucharit Bhakdi : Les preuves de dommages vasculaires et organiques causés par les vaccins à ARNm sont irréfutables
De l'inflammation de la
paroi vasculaire aux lésions des organes lymphatiques et des corps étrangers non identifiés aux signes d'activation généralisée du système immunitaire contre les
structures endogènes, les phénomènes pathohistologiques chez les personnes décédées après la vaccination contre le Covid sont divers. Le professeur Sucharit Bhakdi combine les découvertes du pathologiste Dr. Arne Burkhardt sur
une chaîne de causalité allant de l'injection à une issue parfois fatale et appelle à nouveau à l'arrêt immédiat de toutes les vaccinations Covid
19.
Dans l'article
actuel « Dommages
vasculaires et organiques induits par les vaccins à ARNm : preuve irréfutable de causalité », le Dr. Michael Palmer et le professeur
Dr. Sucharit Bhakdi résume les résultats des études et des autopsies de patients décédés après la vaccination contre le
Covid-19 comme suit :
Les vaccins à ARNm ne restent pas sur
le site d'injection. Ils voyagent dans tout le corps et s'accumulent dans divers organes.
Les vaccins Covid à base d'ARNm induisent une expression durable de la
protéine de pointe du SRAS-CoV-2 dans de nombreux organes.
L'expression de la protéine de pointe induite par le vaccin induit une
inflammation de type auto-immune.
L'inflammation induite par le vaccin peut entraîner de graves lésions des
organes, en particulier des vaisseaux, parfois avec une issue fatale.
Les preuves présentées dans ce travail
démontrent, selon les auteurs, une chaîne causale allant de
l'injection de vaccin à la distribution rapide du vaccin dans la circulation sanguine, à l'expression généralisée de protéines de pointe bien visibles dans les vaisseaux
sanguins, et à l'inflammation de type auto-immune et aux lésions organiques. Dans l'ensemble, ces vaccins ne
peuvent plus être qualifiés d'"expérimentaux" - l'"expérience" a conduit au désastre que de nombreux médecins avaient prédit dès le
départ. C'est pourquoi la demande est d'arrêter les
vaccinations Covid-19 et de révoquer tous les permis et droits d'usage.
Le médecin
pathologiste Dr. Arne Burkhardtprincipalement responsable des preuves
La
réalisation exceptionnelle du pathologiste Dr. Arne Burkhardt sur la question de savoir dans quelle mesure les vaccinations Covid 19 sont responsables de
dommages à la santé et de décès chez les personnes. Burkhardt ne savait pas à quoi s'attendre lorsqu'il a accepté
d'examiner le défunt à la demande de proches, dans la mort desquels la vaccination contre le Covid-19 a pu jouer un rôle. Après seulement quelques cas examinés, il est devenu clair que les choses sont différentes qu'auparavant dans le contexte de la
vaccination. Les résultats sont assez inquiétants et le pathologiste est confronté à une vague
d'enquêtes.
Beaucoup de choses se sont passées depuis
lors. La conférence de pathologie est
lancée. Les pathologistes peuvent trouver des conseils et des
suggestions pour l'autopsie des victimes potentielles de la vaccination au bureau d'enregistrement
du MWGFD, pour les décès par vaccination. Burkhardt
et son équipe ont même réussi à détecter des protéines de pointe induites par le vaccin dans le
cerveau. En conséquence, la conclusion est claire
: Toute poursuite de la vaccination contre le Covid 19 est
criminelle. Cependant, le pathologiste ne se lasse
pas d'affronter les autorités, de poser des questions détaillées aux fabricants de vaccins, de donner des conférences et de présenter ses découvertes aux politiciens et faire appel aux
décideurs. Les accusations
d'être non scientifiques sont résolument et factuellement
réfutées.
De nombreuses blessures au défunt
Le 10 août 2022,
l'avocat Dr. Holger Fischer un
« Résumé général
des lésions tissulaires
trouvées ». Cette "étude de Reutlingen" est un résultat intermédiaire des examens pathologiques du Prof. Dr. Burkhardt et son équipe.
Les scientifiques déclarent ce qui suit (emphase ajoutée par les
éditeurs):
"Lors des deuxièmes examens
de plus de 51 personnes décédées en lien avec les "vaccinations"
Covid, nous avons trouvé les phénomènes pathohistologiques énumérés
ci-dessous, pas chez tous les décédés et sous diverses formes. Des résultats analogues pourraient également être obtenus
à partir d'échantillons de biopsie :
Inflammation de
laparoi vasculaire des petits
vaisseaux dans le sens d'une maladie endothéliale, en
particulier du cœur, des poumons et du cerveau, pouvant aller jusqu'à l'oblitération vasculaire.
Inflammation de
laparoi vasculaire et troubles de la texture des gros
vaisseaux (artères, artères et artère principale (aorte)
avec vascularite lymphocytaire, périvasculite et médianécose. Celles-ci peuvent entraîner des déchirures de la paroi vasculaire (dissection) avec saignement entre les
couches, mais aussi à un saignement intermenstruel (perforation) du vaisseau.
Rétrécissement et déplacement de la lumière vasculaire dus à la formation atypique de
thrombuset à l'épaississement de la paroi vasculaire lié au stockage . Les thrombi typiques contiennent des globules rouges, des plaquettes et de la fibrine. Cependant, d'autres substances seraient impliquées dans les thrombus retrouvés après les vaccinations contre le Covid.On soupçonne qu'il
s'agit de protéines mal repliées liées aux prions - des substances de type amyloïde
Ces « dépôts d'amyloïde en pointe » se trouvent non seulement dans les thrombus pleinement développés, mais également dans les parois des vaisseaux -
avec/en cas de lésion endothéliale. Vraisemblablement, ces inclusions de type amyloïde sont formées à partir de la
protéine de pointe induite par le vaccin partiellement similaire (appelée amyloïde fonctionnelle). Le problème est
que ces protéines ne peuvent pas être décomposées par le corps, elles sont donc liées à une maladie rare bien connue associée à une inflammation chronique,
l'amylose.
Myocardite,
à prédominance lymphocytaire. L'inflammation lymphocytaire se retrouve dans les processus inflammatoires auto-immuns, ou viraux, par opposition à l'inflammation
granulocytaire que l'on retrouverait après une crise cardiaque.
Lésions des
organes lymphatiques (rate et ganglions lymphatiques) dans
lesquelles on a retrouvé des signes d'activation avec formation de pseudolymphomes, mais aussi des symptômes de déplétion (« épuisement » du tissu lymphatique dû à une
déplétion de consommation de suractivation lymphocytaire). Un cas de lymphome gastrique malin à grandes cellules B
avec une réponse stromale lymphocytaire inhabituelle après la vaccination a montré une forte expression de protéine de pointe dans les cellules stromales mais pas dans
la néoplasie
Les troubles de la texture de la paroi retrouvés dans les artérioles et les artères des autres organes semblent développer une caractéristique particulière avec une stratification régulière dans la rate, connue sous le nom de « onion skin
arteriolic disease » (maladie artériolique de la peau de l'oignon) dans les maladies auto-immunes. Une
nécrose circonscrite de la rate, des infarctus et une périsplénite (inflammation autour de la rate) sont parfois également retrouvés.
Objets
étrangers non identifiés à l'intérieur et à l'extérieur des vaisseaux dans divers organes tels que le cœur, les poumons, les tissus musculaires, le foie, le pancréas, mais surtout dans et autour des vaisseaux spléniques,
éventuellement des formations complexes de cholestérol, de protéines de pointe et de fibrine. En fonction de la
quantité de matériel, il ne doit pas s'agir de matériel étranger/contamination par le vaccin. D'autres
investigations (spectrométrie Raman) sont actuellement en cours.
Alvéolite avec lésions alvéolaires
diffuses dans une pneumonie interstitielle à prédominance lymphocytaire, éventuellement causée par des allergies endogènes
Signes
d'activation généralisée du système immunitaire contre des structures endogènes dans le sens d'une réaction auto-immune. Ici, certains infiltrats lymphocytaires
folliculaires, c'est-à-dire nodulaires, se retrouvent à des endroits atypiques, c'est-à-dire en dehors des organes lymphatiques (« amok lymphocytaire
»). Nous avons trouvé de telles inflammations lymphocytaires locales dans de nombreux organes non lymphatiques du
corps, tels que le cœur, les poumons, la glande thyroïde, la glande salivaire, les reins, le tissu adipeux rétropéritonéal, les muscles, le foie, le pancréas, les
ovaires, la prostate et les testicules.
Dans le
cerveau, nous avons trouvé l'image d'une encéphalite lymphocytaire associée à la transfection ainsi que d'une vascularite lymphocytaire et d'une destruction focale des
vaisseaux sanguins intracérébraux et sous-arachnoïdiens . Des saignements plus petits dans les parois des vaisseaux sont observés, qui
peuvent rester asymptomatiques et sont apparemment associés à des absences de courte durée. Il n'est pas rare,
cependant, que des hémorragies cérébrales mortelles ou des hémorragies sous-arachnoïdiennes se produisent, avec ou sans anévrismes des artères de la base
cérébrale. Des infiltrats lymphocytaires focaux peuvent également être retrouvés dans la dure-mère dans le cadre du
« rampage lymphocytaire ». La nécrose de l'hypophyse que nous avons observée peut également être l'une des
manifestations (point central de commutation entre le cerveau et le système hormonal).
Les dépôts amyloïdes
fonctionnels dans et autour des vaisseaux, en particulier
dans le cerveau, suggèrent des liens avec des maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer, qui sont apparemment de plus en plus observées chez les
personnes vaccinées contre le corona.
Les tromperies continues du COVID : Comment les élites dirigeantes ont menti à propos des masques et des obligations de porter un masque
La mauvaise gestion de la pandémie de covid-19 par les élites mondiales a gravement érodé la confiance dans l’opinion des experts.
De nouvelles informations montrent que des hauts fonctionnaires ont douté des politiques imposées au public américain. En partageant les résultats de sa déposition avec le Dr Anthony Fauci, le
procureur général du Missouri, Eric Schmitt, a révélé
que le plaidoyer de Fauci en faveur des masques faciaux n’était pas sincère :
Un autre détail de la déposition de Fauci : Le 20 février, il a envoyé un e-mail à une amie pour lui dire que les masques étaient
inefficaces.
Confirmé à nouveau le 31 mars.
Le 3 avril, il est catégorique sur le fait que les masques devraient être portés même s’il ne peut pas citer une seule étude pour le prouver.
Les mandats ont suivi – des vies ont été ruinées.
De nombreuses études ont contesté l’efficacité des masques faciaux, mais l’obligation de porter des masques s’est imposée au niveau national. À
l’apogée de l’hystérie pandémique, l’American Institute for Economic Research a publié une série d’articles cinglants dénonçant l’utilité des masques. En fait, une importante étude de 2020 a admis avec audace que l’utilisation des masques est principalement symbolique :
Nous savons que le port d’un masque en dehors des établissements de soins de santé n’offre que peu, voire aucune, protection contre les
infections. Les autorités de santé publique définissent une exposition significative au Covid-19 comme un contact face à face dans un rayon de 1,80 m avec un patient présentant des
symptômes de Covid-19, qui se prolonge pendant au moins quelques minutes…
Le risque d’attraper le Covid-19 lors d’une interaction passagère dans un espace public est donc minime. Dans de nombreux cas,
le désir d’un masquage généralisé est une réaction réflexive à l’anxiété suscitée par la pandémie.
Même les enfants n’ont pas été épargnés par l’hystérie du Covid-19. Les masques sont devenus monnaie courante dans les écoles à
travers l’Amérique et le reste du monde, malgré le grand nombre de recherches indiquant qu’ils pouvaient nuire aux mineurs. Une étude allemande a noté que les parents s’inquiétaient des effets néfastes de l’utilisation des masques sur les enfants. En outre, il est
prouvé que l’utilisation de masques limite la capacité d’expression des enfants. La lecture des expressions faciales des enseignants et des pairs favorise le développement du langage chez l’enfant, mais malheureusement, les
masques étaient même exigés lors des conversations entre groupes.
Un article récent publié dans la revue Cognitive Research: Principles and Implications soutient que l’utilisation de masques a entravé les capacités de reconnaissance
des visages chez les enfants. Selon les chercheurs, l’altération des capacités de reconnaissance des visages a des conséquences négatives sur le développement émotionnel des enfants, car
« les changements dans les performances de reconnaissance des visages et l’altération du traitement des visages partiellement occultés pourraient avoir des effets significatifs sur les
interactions sociales des enfants avec leurs pairs et leur capacité à établir des relations avec les éducateurs ».
La généralisation du port du masque n’a pas profité aux enfants et, au lieu d’éviter les décès liés aux covid, elle a entraîné la mort de personnes.
Selon le Dr
Zacharias Fogen, d’Allemagne, « les masques obligatoires ont en fait causé environ 1,5 fois le nombre de décès ou [environ 50 %] de décès supplémentaires par rapport à
l’absence de masque obligatoire ». Le Dr Fogen a émis l’hypothèse que la ré-inhalation de gouttelettes hyperconcentrées captées par les masques entraînait des affections plus
graves et alimentait les taux de mortalité.
Le scandale du covid-19 a démontré que les élites ont délibérément désinformé le public à tout bout de champ. Les citoyens ont été réprimandés pour
avoir ignoré l’obligation de porter des masques, alors qu’il était évident qu’ils ne fonctionnaient pas. La diffamation de ceux qui refusaient de cautionner les vaccins covid-19 était encore plus
flagrante.
Les vaccins sont généralement efficaces, mais les vaccins covid-19 ont été imposés au public sans recherches appropriées. Contrairement à ce que
prétendent les acteurs politiquement motivés, les dernières recherches sur les vaccins covid-19 sont étonnamment négatives. Les recherches scientifiques montrent que les taux de myocardite sont plus élevés
chez les vaccinés et que l’immunité naturelle offre une grande protection contre le virus. De plus, il existe des preuves accablantes que les mesures de confinement tant vantées ont été un désastre. Après la tromperie orchestrée par l’élite dirigeante à l’égard du public, nous serions
stupides de faire confiance à leurs propositions.
La pandémie nous a appris, à juste titre, que les élites gouvernantes fabriqueront des preuves et abuseront des données pour promouvoir leur
programme à nos dépens, et il est peu probable qu’elles puissent un jour regagner notre confiance.
« Bien que très controversée lors de sa formulation initiale, cette théorie (des germes) a été validée à la fin du
XIXe siècle et constitue désormais un élément fondamental de la médecine moderne et de la microbiologie clinique. »
(Je précise que cette théorie inclut les bactéries ET les virus.)
Le site précise qu’elle a été validée avant 1900 soit bien avant le premier microscope électronique fabriqué en 1930
permettant de « voir » des virus.
Rien sur cette page sur la découverte des virus, des preuves de leur existence, du moyen de les isoler, de la preuve de la
contagion, rien…
Il existe pourtant d’autres théories qui arrivent à la conclusion inverse, que les virus n’existent pas (j’y reviendrai un
peu plus loin).
Je vous invite à vous pencher sur les modèles de Béchamp vs Pasteur2.
« Les travaux de Béchamp
Trente ans avant l’instauration de l’idée du monomorphisme, le microbiologiste Antoine Béchamp, docteur ès sciences,
docteur en médecine, en chimie, et en pharmacie, découvrait, à la suite de travaux expérimentaux et d’observations minutieuses, que toute cellule animale ou végétale est constituée de petites
particules capables, sous certaines conditions, d’évoluer pour former des bactéries qui continuent à vivre après la mort de la cellule dont elles proviennent. Béchamp appela ces petits
éléments autonomes, des « mycrozimas ». …
Béchamp et Pasteur qui étaient contemporains s’opposèrent farouchement pour défendre leurs théories bactériennes devant
les milieux scientifiques de l’époque. …
Pasteur défendait la théorie selon laquelle toute maladie infectieuse était causée par des micro-organismes invariables dans leur forme
et provenant TOUJOURS de l’extérieur de l’organisme, le milieu intérieur de tous les organismes vivants étant stérile. …
Béchamp voyait à la maladie une origine interne, et affirmait que toute matière organique est sujette à des modifications naturelles
dues à des processus normaux de fermentation. Ces processus provoquent, dans des conditions pathologiques, le développement des mycrozomas et aboutissent à la formation de bactéries ayant des
propriétés de putréfaction et de fermentation. »
« Je suis le précurseur de Pasteur, exactement comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le
nargue et le calomnie. »
Wikipédia, garant de la doxa, comme nous pouvons le vérifier chaque jour, vient encore à notre secours pour parler du « déni de la
théorie des germes »4.
Il est intéressant de voir que celle-ci n’est pas présentée comme une autre voie, un courant scientifique alternatif, mais comme un
« déni » qui de fait relèverait du charlatanisme, de la foi ou de la psychiatrie, fin de non-recevoir :
« Le déni de la théorie du germe est une croyance pseudoscientifique qui prétend que les bactéries et virus ne causent
pas de maladies. …
Cette croyance est souvent rattachée à la théorie d’Antoine Béchamp, désormais réfutée par la science, qui affirmait que les tissus humains malades pouvaient produire des microbes, et donc
que la présence de ceux-ci étaient une conséquence de la maladie et non l’inverse. Mais il a été démontré que les micro-organismes se transmettaient par contagion. »
Il n’y a donc pas de sujet et seuls des illuminés ou des complotistes 4ème dan pourraient s’y intéresser.
Comme pour le Covid, il n’y a pas de débat possible sur l’efficacité du masque, des confinements, de l’existence de traitements, de l’efficacité ou de la dangerosité des
« vaccins ».
Nous vivons dans un monde de « consensus scientifique » et « d’illuminés » qui gravitent autour.
Je vous rappelle que je ne m’interdis aucun sujet et que je me suis même interrogé sur la théorie de la Terre plate5.
Si l’affirmation de la non-existence des virus est scientifiquement exacte ?
[Note de Joseph : ce qui est actuellement réfuté par des précurseurs tels que les Docteurs Lanka, Kaufman, Bailey et Kiseleva, c’est l’existence de virus « pathogènes », car
ces derniers mentionnent qu’il existe bien des structures cellulaires d’apparence similaires à celle des supposés virus pathogènes, mais qu’elles ont été scientifiquement et rigoureusement
démontrées comme étant produites par les cellules elles-mêmes sous forme d’« endosomes » (appelés « exosomes » lorsqu’ils sortent des cellules). Par contre, aucun des
virus et rétrovirus supposés « pathogènes » (Ebola, HIV, Rougeole, Polio, etc.) n’a pu être correctement isolé et caractérisé du fait que la méthodologie utilisée depuis les
années 1950 ne respecte aucunement la démarche scientifique et n’effectue aucune expérience de contrôle pour valider notamment les liens supposés de causalité.]
Il n’y a donc pas de sars-cov2.
Il n’y a donc pas de virus manipulé.
Il n’y a donc pas de gains de fonctions.
Il n’y a donc pas de virus volontairement répandu.
Il n’y a donc pas de Covid en tant que maladie nouvelle causée par un virus nouveau.
Il n’y a donc pas d’épidémie de Covid en tant que maladie nouvelle.
Il n’y a donc pas de variants.
Il n’y a donc pas de tests possibles.
Il n’y a donc pas de mesures préventives possibles axées sur ce virus.
Il n’y a donc pas de traitements spécifiques possibles contre ce virus.
Il n’y a donc pas aucun vaccin possible.
Il n’y a donc plus de dictature sanitaire possible.
[Note de Joseph : dans le cadre de la théorie alternative à la virale, il peut très bien exister des « virus » manipulés (en fait au mieux des « exosomes » ou autres
composants cellulaires manipulés) et donc des supposés « gains de fonction » (dont il resterait cependant à vérifier la réalité par des contre-expériences adéquates qui n’ont pas
davantage lieu que pour l’isolement supposé des virus).]
Le Covid serait de fait une épidémie médiatique s’appuyant sur les épidémies habituelles.
Revenons un peu sur l’hypothèse des virus qui n’existeraient pas :
Les virus seraient ainsi une théorie non prouvée.
Qui a vu un virus ?
Les représentations en couleur ou 3D [trois dimensions] que nous avons des virus sont des dessins ou des constructions informatiques directement issues de l’imaginaire des artistes.
On n’a donc jamais « vu » un virus en regardant par exemple un tissu pulmonaire d’un malade, jamais !
De plus nous n’avons jamais pu observer « en live » un virus « vivant », qui se déplace, qui rentre dans une cellule saine ou qui en sort après l’avoir tuée et utilisée
comme usine de production.
Il n’existe que des « photos » au microscope électronique, donc des représentations statiques de « trucs » plutôt ronds que l’on a nommées « virus ».
Question : Qu’est-ce qui prouve que ces machins sont des virus et qu’ils ont les comportements qu’on leur prête ?
Croyez bien que sans ces représentations artistiques omniprésentes depuis notre naissance, notre regard sur le sujet en serait fortement bouleversé.
C’est du même ordre que les films ou documentaires dans lesquels nous voyons des dinosaures :
Se déplacer ou courir d’une certaine façon.
Avoir un type et une couleur de peau spécifique.
Se nourrir.
Émettre des sons ou même avoir une communication et un « langage ».
Se reproduire.
Etc.
Même si nous disposons de quelques maigres indices, nous n’avons strictement aucune idée de leur apparence et comportement réel.
Question : Pourquoi est-il impossible d’observer et photographier des virus dans le milieu dans lequel ils sont présumés se « reproduire » et tuer des cellules
saines ?
(alors même que l’on peut observer des « bouts » de bactéries)
Une « isolation » du virus semble possible en ajoutant dans la mixture d’autres éléments vivants (avec leur propre patrimoine génétique comme des cellules de singe, des cellules
fœtales ou autres), mais aussi des éléments chimiques comme des antibiotiques, conservateurs, poisons…
***
Brève histoire de la virologie
Pendant de nombreuses années, l’existence des virus était purement théorique, avant l’arrivée du microscope électronique.
« Diagnostic direct : La culture virale in vivo n’est pas réalisable en routine, et les tentatives d’isolement in vitro se sont soldées par des échecs. …
À l’heure actuelle, bien qu’encore non standardisée, la technique de mise en évidence du génome par RT-PCR est la plus sûre et la plus pratiquée ».
La raison (officielle ?) de l’échec in vivo serait qu’il y en aurait insuffisamment dans un prélèvement et… qu’une culture directe « se solde par un échec ».
Raison pour le moins étrange étant donné qu’ils seraient suffisamment présents pour contaminer une autre personne.
« L’interprétation7 et
la comparaison des données fournies par les fabricants nécessiteraient de connaître la fourchette de charge virale retrouvée habituellement dans les échantillons de patients atteints exprimée
avec chacune de ces unités. Or, il existe peu de données dans la littérature sur ce sujet (Cheng et al, 2010, Journal of Clinical Virology, Volume 47, Issue 2, February 2010, Pages 182–185 :
Spécimens de patients avec charge virale exprimée en TCID50/ml, 103-107. Suess
et al. PLoS One. 2012;7 (12) : spécimens exprimés en nombre de copies d’ARN viral/ml=102 -105,
Loeb et al., J Infect Dis. 2012 Oct 1;206 (7):1078-84 : spécimens exprimés en nombre de copies d’ARN viral/ml =102 -105 ».
Mais bon, pourquoi pas.
Dans « Apport de la biologie moléculaire dans l’identification de nouveaux virus »8 :
« Les débuts de la virologie furent longs et difficiles, et le concept de virus lui-même n’a évolué que très progressivement entre la fin du XIXe siècle et le milieu du XXe siècle. Près de
soixante ans ont été nécessaires… La principale difficulté résidait dans le fait de concevoir des êtres vivants submicroscopiques, en les définissant principalement sur des critères
d’exclusion (trop petits pour être vus, non-cultivables), à un moment où la bactériologie pouvait, chaque jour, faire état de succès bien tangibles. Les progrès réalisés grâce à la biochimie,
la microscopie électronique ainsi que la maîtrise des techniques de culture cellulaire ont conduit à la certitude que les virus étaient des agents infectieux entièrement originaux. »
« Les progrès dans le domaine de la virologie seront plus lents pour deux raisons au moins : les virus ne sont pas visibles en microscopie optique, et ils ne sont pas cultivables en
laboratoire sur les milieux usuels. »
Tour ceci confirme qu’il semble impossible de cultiver et voir un virus dans son milieu.
Question : Pourquoi cette culture est-elle impossible alors même qu’il se reproduit précisément dans ledit milieu et pourquoi ce fait ne semble-t-il pas être de nature à perturber les
chercheurs et la médecine ?
« Pour étudier un virus, il faut donc 2 éléments essentiels : le virus et sa cellule cible. Cette découverte confirme que la virologie humaine est dépendante d’un autre champ
de recherche, celui de la culture en laboratoire des cellules animales. Sans cellule permissive au virus, impossible d’isoler le virus en laboratoire, et donc d’en faire une analyse
poussée. »
On a donc « trouvé » et « observé » l’effet cytopathique9 ou
« cytopathogène » pour les « cultiver ».
Le principe consiste à prélever des cellules de singe ou autres (selon le virus à étudier), les affamer sans les tuer, ajouter des tissus fœtaux de bovin (ou autres) pour ralentir le
processus, ajouter des antibiotiques, de l’antigel, etc., mais surtout le prélèvement supposé infecté d’une personne malade afin d’assister en quelques jours à la « cytopathie ».
Il est alors possible « d’observer » au microscope électronique des cellules mourir « à cause [supposément] du virus » et voir apparaître les fameux petits machins ronds que l’on
appelle « virus ».
L’effet cythopatique dans l’étude de Enders sur la découverte du « virus » de la rougeole représenterait l’étalon OR prouvant l’existence des virus et le moyen de les cultiver et
les isoler.
C’est ce principe qui est utilisé depuis des dizaines d’années par tous les chercheurs et virologues qui observent des virus. Principe qui n’est nullement remis en cause par la communauté
scientifique au pouvoir.
Pour autant l’auteur10 lui-même
n’était pas si affirmatif :
« Les résultats qui viennent d’être résumés appuient la présomption que ce groupe d’agents est composé de représentants de l’espèce virale responsable de la rougeole. »
Ces « virus » seraient la cause de la mort des cellules saines.
Question : Pourquoi affirmer que ces observations sont des virus alors même que l’on pourrait émettre l’hypothèse qu’ils ne seraient que des déchets de cellules mortes affamées ou
empoisonnées par les divers produits ou les antibiotiques ?
L’effet cytopathique ou cytopathogène11 ne
se produit pas pour tous les « virus ».
« Certains virus ne donnent pas d’effet cythogénique au cours de leur réplication en culture cellulaire : virus grippaux …
Certains virus ne se répliquent pas en culture cellulaire : virus des hépatites, rubéole, etc., etc. »
Ils ne peuvent donc pas être cultivés ou n’ont pas d’effet cythopatique.
Question : Pourquoi le fait que l’effet cytopathogène ne fonctionne pas avec tous les virus n’est pas de nature à interroger sur la réalité du phénomène sinon de l’existence des
virus ?
Quid de l’expérience témoin ?
Il est vital de savoir si la destruction des cellules et l’apparition des « virus » durant ces expériences sont dues au virus observé ou si nous assistons au film de la mort d’une
cellule (empoisonnée) et que ces « virus » vus au microscope électronique ne seraient que des déchets de cellules mortes.
Enders lui-même semble apporter une réponse à cette question.
Il aurait constaté ce même effet cytopathique alors même qu’il n’avait pas ajouté de matériel génétique (exemple : crachat) « contaminé par un virus ».
Je le cite :
« Ce faisant, il faut cependant garder à l’esprit que des effets cytopathiques qui ressemblent superficiellement à ceux résultant de l’infection par les agents de la rougeole peuvent
éventuellement être induits par d’autres agents viraux présents dans le tissu rénal du singe ou par facteurs inconnus. »
Question : Pourquoi Enders (et donc tous les successeurs), au lieu de déduire que les « machins ronds » (statiques, car microscope électronique) obtenus ne seraient peut-être
pas des virus, mais des débris de cellules mortes, car on les trouve aussi sans ajouter un support présumé contaminé, a émit l’hypothèse que d’autres virus pouvaient être déjà présents dans
les cellules du singe et donc que l’effet cytopathique était une réalité ?
N’importe quel imbécile se dirait que son essai ne prouve strictement rien !
Il a aussi précisé que cette observation « in vitro » n’était peut-être pas le processus qui se déroule dans la vraie vie c’est-à-dire « in vivo »
Question : Pourquoi tous les doutes et interrogations d’Enders ont-ils été balayés ?
Comprenez que toute la théorie virale moderne, et les vaccins qui en découlent ne reposent que sur cette expérience (puis les tests PCR), qui lui a valu un prix Nobel.
Les antigènes ou « protéines virales »
Ainsi pour « prouver » l’existence de certains virus que l’on n’a JAMAIS pu observer (incroyable, mais vrai) on va alors utiliser la méthode de l’antigène pour les détecter et
confirmer leur existence supposée être à l’origine d’une maladie.
Question : Pourquoi la communauté scientifique ne semble-t-elle nullement traumatisée à l’idée qu’il existerait de façon « certaine » des entités que l’on appelle
« virus » alors même que l’on n’a jamais pu les observer ?
La théorie est simple.
Si des personnes avec des symptômes grippaux ont dans leur sang un certain type d’antigène, alors cela constitue la « preuve » que le patient a contracté le virus de la grippe qui
aurait induit la production de ces antigènes.
C’est ainsi que l’on a pu « prouver » l’existence de virus que l’on n’a jamais pu voir (comme, par exemple, le HIV).
Question : La présence d’un couteau ensanglanté sur les lieux d’un présumé crime est-elle la preuve qu’il y a eu meurtre et la preuve que le couteau est l’arme du crime ?
Les antigènes sont-ils la preuve d’une attaque virale présente ou ancienne ou ne seraient que la conséquence d’un autre phénomène ou des débris issus du processus de guérison, désintox du
corps et ne prouveraient en rien la présence de tel ou tel virus ?
Il est couramment admis que l’on puisse être porteur d’un virus non détectable (Hépatite B, C, VIH…)
Selon le Dr Henri Agut12 médecin
virologue à Paris :
« Un virus ne peut survivre très longtemps à l’état de particule virale libre dans le milieu ambiant. Il doit donc trouver rapidement une cellule à infecter. C’est essentiellement sous la
forme de cellules infectées, des « usines » à fabriquer des virus, qu’il existe dans la biosphère. »
Question : Comment pourrait-on être un porteur sain ou porteur d’un virus non détectable dès lors que la survie du virus dépend de sa capacité à prendre le contrôle de cellules saines
pour se reproduire et que cette prise de contrôle se traduira obligatoirement par la destruction de ces cellules saines, par la destruction d’autres cellules saines et donc de la production
de déchets ou de mécanismes de défense (antigènes ?).
Question : Comment une diffusion à bas bruit dans les tropiques peut-elle exister alors même qu’un virus ne peut pas survivre sans attaquer des cellules saines et donc se
multiplier ?
La biologie moléculaire (le RT-PCR)
« Les outils de la biologie moléculaire ont permis l’amélioration du diagnostic des infections virales et la découverte de nouveaux virus. En effet, grâce à des outils tels que la (RT — )
PCR ou le séquençage, on peut maintenant faire face à des situations de diagnostiques nouvelles.
On peut :
Mettre en évidence la présence de génomes de virus indétectables par d’autres méthodes :
Recherche des papillomavirus humains (HPV) responsables de cancers du col utérin
« Cependant, il existe de nombreux inconvénients :
La mise en évidence d’un génome viral dans un échantillon ne signifie pas que les particules virales infectieuses complètes soient présentes…
La grande sensibilité de ces techniques les rend très sensibles aux contaminations par des acides nucléiques extérieurs à l’échantillon initial ».
On est donc peut-être en train de faire la PCR d’un moustique ou d’un pollen avalé par inadvertance.
Question : Comment la « science » a-t-elle la « preuve » de l’existence de virus qu’il est impossible de voir in vivo, qu’il est parfois impossible de voir dans la
soupe cytopathogénique, qu’il est impossible de détecter par la présence d’antigènes et dont la « preuve » de l’existence repose sur un RT-PCR (douteux) sur quelques séquences
issues de la soupe contenant un nombre impressionnant de matériaux génétiques (ou organismes divers dans l’échantillon prélevé) ?
La causalité
Trouver un « virus » n’est pas suffisant, il faut ensuite s’assurer que celui-ci est bien la cause de la maladie.
Pour se faire il faut que le « virus » ainsi trouvé soit bien le « coupable » de ladite maladie et donc l’inoculer à un porteur sain.
Il faut donc isoler le virus dans la soupe ou dans l’échantillon (en effet, les autres substances ou organismes présents dans celle-ci pourraient aussi causer des maladies).
Ici se pose un grand problème, car la soupe de Enders contient des cellules de singe (ou autre animal), des cellules fœtales de bovin et l’échantillon prélevé sur le malade (qui peut aussi
contenir d’autres « virus », bactéries, mais aussi du matériel génétique comme des pollens, des insectes inspirés par le malade, etc.)
Sans compter toutes les toxines comme des antibiotiques et autres substances chimiques présentes dans cette soupe.
Ajoutons le fait que toutes ces substances biologiques et chimiques se sont peut-être mélangées et qu’il devient alors impossible de les filtrer ou les séparer pour ne prélever que le virus
incriminé.
Question : Étant donné qu’il semble impossible d’isoler de façon certaine des virus dans un prélèvement in vivo, comment serait-il possible d’infecter un porteur sain en ayant la preuve que
l’infection transmise est UNIQUEMENT causée par cet agent pathogène dit virus et ce afin de s’assurer qu’il provoque bien la même maladie chez celui-ci ?
La Contagion
Une fois le virus « isolé », il faut contaminer le porteur sain avec une méthode compatible avec la vie réelle.
Par exemple s’il est admis que le virus étudié se transmet aéroporté alors il ne s’agira pas d’injecter directement le supposé virus dans le cerveau d’un cobaye ou par intraveineuse pour voir
si le sujet tombe malade.
À ce stade, si le sujet sain « contaminé » par la soupe bactériologico-virale développe une maladie, il faudra s’assurer que c’est bien de la même maladie avec les mêmes symptômes
et les mêmes marqueurs biologiques comme indiqué précédemment.
Question : Est-ce le virus qui va entraîner la maladie de la personne en bonne santé ou les produits chimiques et autres tissus en décomposition utilisés dans la soupe pour
« isoler » le virus ou d’autres bactéries présentes dans le prélèvement du patient, voir même un effet placebo ou d’autres actions que nous ne comprenons pas ?
Le problème est que les rares expériences qui ont été menées pour prouver le principe de la contamination et de la contagion se sont soldées par des échecs comme celle de 1918 menée par
Rosenau14.
L’objet était d’infecter par la grippe espagnole réputée extrêmement dangereuse par 100 « volontaires » sains et sans symptômes, fournis par la Navy :
« Ensuite, nous avons procédé au transfert du virus obtenu à partir de malades ; c’est-à-dire que nous avons recueilli les sécrétions matérielles et muqueuses de la bouche, du nez et des
bronches de 19 malades et les avons transférées à nos volontaires. Nous avons toujours prélevé le matériau de la manière suivante : le patient fiévreux, au lit, a devant lui un grand
aménagement peu profond en forme de plateau, et nous avons lavé une narine avec une solution saline stérile, en utilisant peut-être 5 cc, qui est autorisé à couler dans ce plateau ; et cette
narine est soufflée vigoureusement dans le plateau. Cela est répété avec l’autre narine. Le patient se gargarise ensuite avec la solution. Ensuite, nous obtenons du mucus bronchique en
toussant, puis nous tamponnons la surface muqueuse de chaque narine et aussi les muqueuses de la gorge. » …
Ensuite, ils ont mélangé tous les « trucs » ensemble et ont pulvérisé 1 cc du mélange dans chacune des narines de 10 volontaires, et « dans la gorge, tout en inspirant, et
sur l’œil » et ont attendu 10 jours pour que les volontaires tombent malades. Cependant, « aucun d’entre eux n’est tombé malade de quelque manière que ce soit ». »
Dans son livre, Eleanor McBean « l’aiguille empoisonnée »15 nous
rapporte :
« Au cours de l’une des plus grandes épidémies de poliomyélite (1949), « la contraction de la poliomyélite par contact précis avec d’autres victimes de la maladie n’a pas été établie
dans une étude élaborée réalisée par le département de la Santé de l’État de New York. Le service de santé publique des États-Unis, dans ses études, a également trouvé la même réponse
négative lors des épidémies successives de poliomyélite. Bref, ils ont appris que la maladie n’était pas contagieuse ». Time Magazine a commenté cette révélation inattendue de ces
enquêtes en remarquant que “quand et où les gens attrapent la poliomyélite reste un mystère. » …
La supposition que les virus pénétraient par la bouche et le nez a conduit les expérimentateurs à faire des tests exhaustifs aussi bien sur des animaux que sur des êtres humains, pour la
plupart des détenus et des orphelins en institution. Ils ont été exposés (par association étroite) à des patients atteints de poliomyélite et leur gorge et leurs voies nasales ont été
fréquemment tamponnées avec de la matière (provenant des patients) censée contenir des virus. Aucune poliomyélite n’a été produite de cette manière et le seul effet secondaire notable était
que les sujets des expériences avaient perdu leur sens du goût et de l’odorat en raison des effets néfastes des poisons contenus dans le sérum utilisé sur les écouvillons. »
Le site cv1916 liste
un ensemble d’expériences de tentatives de contamination soldées par un échec pour prouver la théorie de la contagion :
En 1919, Rosenau et Keegan sur la grippe.
En 1919, Wahl et al sur la grippe.
En 1920, Schmidt et al sur la grippe et le rhume.
En 1921, Williams et al sur la grippe et le rhume.
En 1924, Robertson & Groves sur la grippe.
En 1930, Dochez et al sur le rhume.
En 1940, Burnet et Foley sur la grippe.
…
Remarquez que si les expériences pour prouver le principe de la contagion étaient nombreuses dans la première moitié du XXe siècle, celles-ci se sont raréfiées tandis que Big Pharma prenait
le pouvoir en imposant la médecine basée sur le pétrole.
En 2018 des chercheurs analysent l’état de la science sur les modes de transmission des virus17 pourtant
censés être démontrés depuis fort longtemps et « nullement source de questionnement » selon Wikipédia ou la communauté scientifique au pouvoir.
Voici leurs conclusions :
« La plupart des études sur les voies de transmission interhumaines ne sont pas
concluantes. »
« L’importance relative des voies de transmission des virus respiratoires n’est pas
connue. »
« Les méthodes de détection modernes peuvent faire progresser les expériences de
transmission. »
En 2018 aucune étude n’était donc en capacité de démontrer les modes de transmission alors même que c’est cette théorie virale qui conduit aux masques, aux confinements, aux gestes barrières
et surtout à la vaccination !
Pierre Lécot de Décoder l’éco18 nous
livre des éléments statistiques pour le moins troublants :
Sur ce graphique des décès nous pouvons voir que les épidémies se produisent chaque année au même moment dans divers pays dont la France, la Suède ou le Portugal.
À noter qu’il en est de même si l’on observe les hospitalisations.
Si les épidémies se propageaient par contagion c’est-à-dire de patients vers patients alors il serait logique de constater un décalage dans le temps entre le Portugal et la Suède quand bien
même il existe des avions… Or elles se produisent en même temps !
C’est donc une preuve que le phénomène d’épidémie (réel) n’est absolument pas lié à la transmission interhumaine. [Note de Joseph : sans compter que les analyses statistiques de Pierre
Lécot démontrent que l’hypothèse de contamination exponentielle ne tient pas du tout. Ceci, car la « dérivée » devrait être elle-même exponentielle, mais se révèle plate !]
Question : Si le processus de contagion est le fruit d’une transmission virale d’un porteur A vers un porteur B, puis d’un porteur B vers un porteur C, comment le porteur A (ou patient 0)
a-t-il pu être contaminé et par qui ? Nous
touchons à la théologie ou au Big bang… Il y avait quoi avant rien ?
Il est important d’être conscient que les médecins sont comme les maraîchers, ils ont leurs saisons !
Saison de la grippe, saison de la gastro, saison de l’angine, saison des rhumes des foins…
Ils ont ainsi une forte propension à donner le même nom aux pathologies qui se présentent à un instant donné.
Et ce d’autant plus qu’ils reçoivent les données du réseau Sentinelle qui leur fournit les dernières tendances.
Cette information obligatoirement différée dans le temps, car fournissant les données de la semaine précédente, sont certainement de nature à induire un décalage dans le temps et ainsi
montrer une courbe d’évolution qui pourrait ressembler à un phénomène de « contagion ».
(L’information est aussi véhiculée par les médias qui, s’ils disent qu’il y a une épidémie de grippe, vous feront penser que vos symptômes respiratoires relèvent plus de celle-ci que d’une
angine.)
Cela a été largement vérifié pour le Covid.
Plus de grippes, plus de pneumo, plus d’angines, plus de gastros, etc. plus rien sauf le Covid !
Point tout aussi intéressant Pierre Lécot a corrélé les décès au climat (à la température).
Il se trouve que plus vous êtes âgé et plus vous décédez lors des périodes de froid et plus vous êtes jeune et en bonne santé et moins vous décédez.
C’est ce qui expliquerait pourquoi les décès se produiraient au même moment dans des zones géographiques au climat équivalent pour une population à la santé équivalente ??!!
Il est à noter que ce constat apporte plus de questions que de réponses.
Le climat n’étant pas le même dans le sud de l’Espagne qu’en Suède ou dans les Alpes. Les saisons froides étant décalées de même que l’ensoleillement, l’enseignement principal serait
d’affirmer que nous ne savons pas grand-chose.
En tous les cas les épidémies ne peuvent s’expliquer par le principe de la contagion (virale) interhumaine.
Où est le virus de la grippe en été ?
Science et Vie19 a
posé cette question à un chercheur de l’Institut Pasteur (ils ont évidemment toutes les réponses sur les virus) :
« C’est simple : il déménage sous des cieux plus favorables à sa propagation, c’est-à-dire froids et humides.
« Le virus de la grippe est toujours quelque part en un point du globe », confirme Jean-Claude Manuguerra, de l’Institut Pasteur. Dans l’hémisphère Nord, il provoque des épidémies
entre octobre et mars, tandis qu’il s’épanouit dans l’hémisphère Sud entre avril et septembre. C’est le « basculement hémisphérique » de l’hiver septentrional à l’hiver
austral. » »
Question : Il est où au printemps qui correspond à l’automne dans l’hémisphère sud, saisons non favorables à son épanouissement ?
La diffusion virale à bas bruit (et ce n’est pas un extrait du journal de Mickey)
Nul point dans le globe me semble froid et humide à cette période (les pôles étant plutôt très secs)
Que nenni, le chercheur a sa réponse !
« Dans la ceinture intertropicale, le virus circule toute l’année, mais à bas bruit, avec des pics à la saison des pluies »
Cette région serait donc la zone d’échange entre le nord et le sud pour l’alternance de la grippe.
Question : C’est quoi une circulation virale à bas bruit ?
Tout le monde se le passe, mais il ne nous rend pas malade ?
Question : Comment fait le virus de la grippe pour se transmettre sans rendre malade ses hôtes ?
Un virus est un organisme à la fois vivant et mort qui ne peut QUE se reproduire et survivre en infectant des cellules saines de son hôte et en les tuant pour se multiplier !
Question : Comment peut-il se transmettre à « bas bruit » et comment puis-je contaminer mon voisin sans avoir moi-même une charge virale suffisante ?
Si j’ai une importante charge virale alors elle me rendra symptomatique et malade pour le lui transmettre en éternuant sur lui !
Si je n’ai que 2 ou 3 virus, je ne pourrais pas contaminer mon voisin, car je serai asymptomatique et donc dans l’incapacité de transmettre mes virus d’un hémisphère vers un autre.
Question : Si ma charge virale est faible, mon organisme va l’éliminer et comment pourrais-je ici encore le transmettre ?
Si en revanche j’ai une charge virale importante, je vais être malade, et si je suis malade ce n’est plus une diffusion « à bas bruit ».
L’article nous « éclaire » un peu plus :
« A contrario, si un Australien contaminé vient passer ses vacances en France au mois d’août, le virus ne s’y implantera pas, car les conditions « environnementales et
comportementales » ne sont pas réunies. »
Alors là ça devient compliqué.
Si vous recevez votre correspond australien qui a attrapé la grippe pendant son hiver et vient vous voir pendant votre été alors :
Le gars est malade comme un chien, il vous crache dessus, il crache ses virus dans la soupe, il vous embrasse et pourtant vous n’aurez quasi aucune chance de l’attraper parce que vous êtes en
été !
Et ce alors même que la température de votre corps est de 37 degrés aussi bien en été comme hiver.
Nous pouvons donc supposer que son arrivée en Europe va lui permettre de guérir quasi instantanément.
— Pourquoi le gars isolé dans sa cabane au Nunavut ou en Alaska attrape-t-il tout d’un coup la grippe un certain hiver alors qu’il n’a rencontré personne depuis plus d’un mois ?
— Euh ! Bin le virus dormait dans son corps.
— Mais le système immunitaire n’est-il pas censé tuer les virus ? Pourquoi est-il assez sympa pour en maintenir en vie quelques exemplaires pour la saison prochaine ?
— Euh ! Il faut demander aux virologues. Ils doivent bien avoir une explication. Il y a bien des « porteurs asymptomatiques » pour la covid-19, d’après eux, alors pour
la grippe, ça doit bien être pareil.
— Des porteurs asymptomatiques ? Des gens dont le système immunitaire est assez gentil pour laisser traîner quelques poignées de virus ici et là, le temps qu’ils récupèrent
avant de pouvoir mener une prochaine invasion tranquillement ? Et pendant ce temps, ils ne sont pas malade ?
— Eh bien, ils ne sont malades que si suffisamment de virus les envahissent ?
— Combien ? 1 million ? 1 milliard ?
— Ça dépend.
— De quoi ?
— De la maladie et de l’état de santé de la personne.
— Et si la personne est en bonne santé, y a-t-il besoin de plus de virus ?
— Peut-être bien que oui.
— Mais un virus n’est pourtant pas un être vivant, puisque notamment il ne sait pas se multiplier tout seul ?
— Parce qu’il utilise le code génétique d’une cellule pour s’y multiplier.
— Et pourquoi celle-ci se laisse-t-elle couillonner ?
— Bin pas toujours ! C’est là que le système immunitaire intervient. Il empêche le virus de rentrer dans la cellule en supprimant son enveloppe qui possède la clef. Et là le
virus est bien mort.
— Mais ce n’est déjà pas un être vivant. Tout ce qu’il est censé faire, c’est se faire multiplier dans une cellule. Ce n’est qu’un genre de grosse molécule qui demande d’être
dupliquée. Pourquoi cette molécule rendrait-elle malade par ailleurs ?
— Bin, parce qu’elle se multiplie.
— Mais même des milliards de virus, ça n’occupe pas beaucoup de place. Pourquoi ça rendrait malade ?
— Peut-être parce qu’en plus cette molécule est mauvaise pour l’organisme.
— Admettons. Maintenant, pourquoi le fait d’avoir la Covid-19 empêcherait-il d’avoir la Grippe ?
— Les virologues disent qu’en quelque sorte ça bloque l’entrée pour les autres virus.
— Ah bon ? Pourtant, les deux ont une clef d’entrée et peuvent entrer n’importe où sur la paroi cellulaire, tellement il y a de serrures. Et je doute fort que tous les
emplacements soient occupés en même temps par une seule variété de virus, sachant que ces virus ne sont pas censés traîner à la porte d’entrée, mais se précipiter à l’intérieur.
— Je ne sais pas. Il faudrait demander à un virologue.
— Ouais, admettons qu’il ait une réponse logique et satisfaisante, et pas une nouvelle rustine à leur théorie qui me paraît de plus en plus foireuse. En attendant, c’est quand même
une étrange coïncidence que depuis la covid-19, presque plus personne ne meure de la Grippe, comme si celle-ci avait été rebaptisée.]
Notre système immunitaire va dire « là mon gars c’est pas la saison, alors le virus tu repasseras en hiver ! »
Les milliards de microbes que nous allons nous prendre ne pourront donc pas attaquer nos cellules ni se reproduire pendant l’été, période de vacances des virus !
(Sauf pour le coronavirus qui aurait provoqué la 4e vague en juillet, août 2021, sacré corona !)
Question : Au lieu de prétendre savoir, la communauté scientifique ne pourrait-elle pas avoir la modestie ou l’honnêteté de dire qu’elle n’a aucune idée sur l’existence réelle des virus,
sur le processus de contamination (s’il existe) et pourquoi et comment on tombe malade ?
La théorie virale ne repose que sur des théories, sur un effet cythogénique douteux (notamment parce qu’il ne peut être reproduit pour tous les virus) et sur des tests RT-PCR encore plus
douteux (cf. les propos de son inventeur dans la suite de ce texte).
Sujet sans intérêt ?
Si vous regardez la fiche Wikipédia de John Enders20 vous
y trouverez… rien… juste quelques phrases.
Cela n’est-il pas étrange pour un prix Nobel de médecine pour lequel les travaux sont la référence historique et méthodologique pour détecter les nouveaux virus ?
Le vide sidéral est tout aussi présent concernant l’effet cytopathique22 alors
qu’il ne saurait exister de détection ou visualisation de virus sans celui-ci.
Le mot cythogénique, quant à lui, n’est pas trouvé.
Si vous voulez en savoir plus sur Rosenau et ses expériences visant à identifier les modes de contamination de la grippe, vous pouvez aussi demander à Wikipédia qui vous dira que :
« Rosenau est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin »
Strictement rien sur ce chercheur !
Nous vivons dans un monde de virus mortels, avec 11 vaccins obligatoires, le Covid, des couvre-feux, des passe-sanitaires et le sujet semble être sans intérêt ou disons plutôt
« blasphématoire ».
Sources documentaires
Je vous invite à vous documenter pour vous faire votre propre opinion.
Ainsi que l’ensemble des études citées dans ce texte. [Note de Joseph : voir aussi les articles du dossier Vaccins et virus.]
***
Intéressons-nous maintenant au « virus » provoquant le « Covid »
Comme pour les autres virus, celui-ci n’a donc jamais pu être vu dans des « humeurs » de malades (directement au microscope) et il n’y aurait aucune preuve que ce
« Sars-cov2 » provoquerait les symptômes du Covid.
Le séquençage du virus…
Il n’existerait aucun séquençage réel complet de celui-ci, comme pour les autres virus.
En même temps si les virus n’existent pas ce serait plutôt logique.
Pour autant, un séquençage de la soupe virale est créé à partir de la soupe cytopathique.
On recherche quelques nucléotides supposés être présents via test PCR puis on assemble les morceaux qui semblent aller de pair et on fabrique informatiquement un génome totalement théorique
et supposé probable.
Les séquences qui auraient servi à la fabrication des tests PCR, mais aussi du vaccin seraient ainsi à plus de 90% imaginaires.
La pilule rouge28 est
bien entendu difficile à avaler.
Quand nous voyons le simple fait d’émettre l’hypothèse que les « vaccins » anticovid auraient des effets secondaires, imaginez-vous dire à un croyant que les virus et donc les
vaccins ne seraient qu’une chimère ou une escroquerie !
Il est évident que le débat est totalement impossible.
L’histoire du Covid
Comment pourrait-on raconter l’histoire du Covid si les virus n’existent pas ?
Tout ceci se présente assez mal…
Fauci a avoué avoir investi dans le laboratoire P4 de Wuhan sur les gains de fonctions est-ce une escroquerie de plus qui vise à répandre la peur ?
« Ils ont inventé l’histoire du virus créé en laboratoire ou du « virus artificiel » pour donner à la communauté anti-vaxx quelque chose d’existant : « ils ont attrapé les
méchants en flagrant délit ». Les méchants sont plus intelligents qu’eux et ils ont poussé à promouvoir l’histoire « Oh mon Dieu, il y a un virus artificiel mortel qui
circule ». Ça maintient l’histoire du virus et effraie encore plus les gens. Ils sont les grands maîtres des échecs, la plupart des gens jouent aux dames ou ignorent l’existence d’un
jeu. »
Il semble évident que si nous ne sommes pas en capacité de séquencer l’intégralité d’un virus, comment serait-il possible d’obtenir des gains de fonction ?
(Alors que ce serait possible sur des bactéries.)
Il est vrai que toute cette histoire de Covid est une vaste escroquerie, celle-ci pourrait-elle aller jusqu’au fait que les Bill et autres « bienfaiteurs » de ce monde sauraient que
les virus n’existent pas et que l’objectif serait uniquement d’empoisonner les peuples avec des vaccins inutiles et dangereux ou une simple source de profits délirants ?
Le Covid une nouvelle maladie ?
Une méta étude publiée en 2020 dans Cochrane30 nous
apporte des éléments troublants :
« Nous avons identifié 16 études portant sur 7 706 participants au total. La prévalence de la maladie COVID-19 variait de 5% à 38%. …
Nous avons trouvé des données sur 27 signes et symptômes, qui se répartissent en quatre catégories différentes : systémiques, respiratoires, gastro-intestinaux et cardiovasculaires. …
Sur la base des données actuellement disponibles, ni l’absence ni la présence de signes ou de symptômes ne sont suffisamment précises pour confirmer ou infirmer la maladie. »
16 études, 7700 participants et impossible de conclure à l’existence d’une nouvelle maladie !
C’est le grand truc de Big Pharma, changer le nom de maladies existantes pour créer de nouveaux marchés et de nouvelles peurs.
Cette non-spécificité et donc cette non-existence du Covid sont indirectement confirmées par l’OMS pour la classification de la maladie31 :
« Définition des décès dus à la Covid-19.
Est considéré comme UN « DÉCÈS DU À LA COVID-19 » UN DÉCÈS RÉSULTANT D’UNE MALADIE CLINIQUEMENT COMPATIBLE, CHEZ UN CAS PROBABLE OU CONFIRMÉ DE LA COVID.
UN DÉCÈS DÛ À LA COVID-19 NE PEUT PAS ÊTRE IMPUTÉ À UNE AUTRE MALADIE (PAR EXEMPLE, À UN CANCER) ET DOIT ÊTRE COMPTABILISÉ INDÉPENDAMMENT DES AFFECTIONS PRÉEXISTANTES qui sont soupçonnées
d’avoir déclenché une évolution grave de la COVID-19. »
Les médecins et les hôpitaux ont d’autant plus suivi cette règle que leur rémunération a été fortement accrue en codifiant « Covid » toute maladie respiratoire.
Il ne saurait y avoir de différences de rémunération pour des maladies à symptômes ou gravité comparable sauf à vouloir fausser les statistiques et donc la réalité.
Ce seul fait (parmi d’autres) constitue une preuve de la volonté de créer une fausse épidémie à partir de rien.
Nous avons assisté à une disparition magique de toutes les autres pathologies comme le confirme Pierre Lécot32 :
Qui peut raisonnablement croire que le virus de la grippe (ou les autres virus respiratoires) n’a pas frappé en 2020 où il aurait entraîné 72 morts33 officiels
?
Le virus de la grippe qui ne travaille que 3 mois par an prend déjà des vacances bien méritées (Où ? Nul ne le sait), mais avec le Covid il s’est accordé plus de 3 ans de
vacances et va peut-être revenir cet année frais et dispo pour reprendre son carnage annuel !
Va-t-on dire qu’il « circulait à bas bruit » ?
Le Covid identifiable par PCR ?
L’inventeur du RT-PCR Kary Mullis, prix Nobel de chimie disait34 :
« S’ils ont pu trouver ce virus en vous, avec le PCR, si vous le faites bien vous pouvez trouver quasi n’importe quoi chez n’importe qui. ..
Ça vous fait croire à une sorte de notion bouddhiste que tout est dans tout. …
Parce que si vous pouvez amplifier une seule molécule jusqu’à quelque chose qu’on peut vraiment mesurer, ce que la PCR peut faire, alors il y a très peu de molécules que l’on n’a pas dans son
corps au moins une fois »
Cet homme n’a cessé de répéter de son vivant que son procédé était un outil de recherche et certainement pas de diagnostic.
Cela n’a pas empêché le journal Le Monde de déclarer35 :
« On peut être Nobel, avoir révolutionné la science et soutenir des thèses scientifiquement infondées. Les exemples ne sont pas légion, mais celui de l’Américain Kary Mullis, Prix Nobel de
chimie 1993 pour l’invention de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) qui a bouleversé la génétique, est particulièrement éclatant. »
La démonstration soutenant la validité du test PCR et la « folie » de son inventeur reposent sur le fait qu’il est utilisé partout sur la planète, ce qui de fait apporte donc la
« preuve irréfutable » de sa fiabilité.
C’est un peu comme la saignée, elle était utilisée partout jusqu’à ce que l’on découvre son inutilité et sa dangerosité (sauf pathologies spécifiques).
Le PCR est tellement « efficace » que Le Monde a précisé :
« la PCR est aussi la technique qui permet de ressusciter les dinosaures dans Jurassic Park… »
Même l’OMS36 (non
indépendante et corrompue) précise qu’il ne saurait constituer un outil de diagnostic à lui tout seul :
« La plupart des épreuves de PCR sont indiquées à titre d’aide au diagnostic et les prestataires de soins doivent donc examiner les résultats en tenant également compte de la date de
prélèvement, du type d’échantillon, des caractéristiques spécifiques du test, des observations cliniques, des antécédents du patient, du statut confirmé des contacts éventuels et des
informations épidémiologiques. »
Nous savons que des millions de tests ont été pratiqués sans consultation médicale préalable.
La quasi-intégralité des testés étant asymptomatiques (donc non malades) et ce à seule fin de rendre réelle une épidémie dont nous ignorerions encore l’existence sans les médias ou les
masques.
Quand bien même le Sars-cov2 existerait, le RT-PCR ne serait pas en mesure de le détecter sans une marge d’erreur délirante !
Que les virus existent ou pas, que le sars-cov2 existe ou pas, que celui-ci soit naturel ou manipulé, cela ne change pas le fait que le génome de ce prétendu virus est une construction
artificielle imaginaire sur la base d’un génome de Sars-cov1 (tout aussi imaginaire) et que les tests PCR ne permettent pas d’identifier catégoriquement la présence de la globalité de cette
séquence imaginaire.
C’est aussi ce qui expliquerait pourquoi on a pu détecter du HIV (dont le génome est tout aussi imaginaire/inventé) dans le génome du Sars-cov2.
Question : Quelle est la probabilité pour qu’un individu ait dans son corps une séquence complète d’un génome qui n’existe pas et qui n’est qu’une construction humaine ?!
Dès lors que les personnes sont conscientes des réalités objectives suivantes :
Rien ne permet de caractériser le Covid 19 comme une nouvelle maladie.
Le Covid 19 est le nouveau nom donné à toutes les maladies respiratoires des précédentes
années.
Le test PCR ne vaut strictement RIEN !
Alors le château de cartes s’effondre…
Toutes les mesures spécifiques de distanciation, de masque, de confinement n’ont strictement aucune justification.
Je vous invite à lire les dizaines d’études qui prouvent l’inutilité de ces mesures.
Si de plus nous intégrons cette donnée complotiste 4ème dan que les virus n’existent pas, qu’ils ne sont qu’une théorie jamais prouvée, que les expériences cherchant à contaminer des porteurs
sains (grippe, rougeole, polio…) se sont soldées par des échecs (ou que le groupe témoin était plus malade que le groupe à infecter) alors cela enterre définitivement toutes ces mesures.
Je vous rappelle qu’aucun virus prélevé sur un malade n’a pu être directement observé in vivo ! (Comme, par exemple, le virus du sida).
De fait, si la contagion virale n’existe pas, pourquoi et comment s’en protéger ?
Sans compter le nombre d’études qui s’accumulent et que l’on prend bien soin de cacher au public assoiffé de volonté d’ignorer la vérité sur les confinements, distanciation, masques,
couvre-feu qui n’ont aucune incidence positive sur l’épidémie.
Interdiction de soigner une « nouvelle » maladie « mortelle » ?
Cela devient « croustillant » lorsque l’on aborde le sujet du traitement et du vaccin.
Ne trouvez-vous pas « étrange » que les médecins aient été interdits de traitement lors de la première vague (la seule vague avec des malades) ?
On a forcé les malades à prendre du Paracétamol qui est reconnu pour sa dangerosité.
Question : Qui peut être aussi stupide pour croire qu’en cas de nouvelle maladie la marche à suivre est « restez chez vous sans traitement et attendez d’aller très très mal pour aller
(mourir) à l’hôpital » et de ne SURTOUT PAS utiliser les traitements et solutions habituelles ?
Au contraire on a attendu que les patients aient des poumons en très mauvais état pour les mettre sous respirateur avec une pression d’oxygène telle que cela faisait exploser leurs bronches
et donc les achevait…
Et que dire des vieux dans les maisons de retraite interdits de soin non pas sur des critères de santé et de pronostic, mais uniquement d’âge ?
Ils ont été interdits d’hôpital, interdits de traitement (inexistant comme il se doit) et « terminés » au Rivotril !
Les médecins qui ont bravé les interdits, qui ont osé (et ils ont été punis pour cela) soigner leurs patients ont eu des résultats remarquables et n’ont pas constaté plus de décès que les
années précédentes.
L’inversion des valeurs !
Question : L’interdiction de soin (et l’opération visant à fausser les statistiques) pour rendre réelle une maladie indétectable autrement que par un test PCR non fiable n’est-elle pas
un point « étrange » de plus ?
Le malade asymptomatique
Sans compter cette merveilleuse invention du patient contagieux asymptomatique, une première mondiale soulignant le mystère de la contagion !
Je vous rappelle que l’on n’a jamais observé le virus in vivo dans le crachat d’un malade, qu’il fallait obligatoirement aller chercher le « virus tueur » on fond de la gorge [ou du
nez] et non dans la salive.
Qu’il fallait procéder à au moins 30 cycles d’amplification du RT-PCR pour détecter ce que l’on nommait magiquement sars-cov2.
Un peu de bon sens !
Nous avions donc des « positifs asymptomatiques » qui de fait ne toussaient pas et ne crachaient pas, asymptomatiques voulant dire « sans le moindre symptôme d’une quelconque
maladie ».
On prétendait qu’un prélèvement salivaire ne permettait pas de détecter le virus.
Virus dont la présence était uniquement révélée par un PCR suite à un prélèvement au fond de la gorge.
Et il nous a été répété que cette personne sans symptômes pouvait transmettre ce virus, virus indétectable dans la salive !
Question : Comment des millions de Français continuent-ils à gober ce délire ?
Le « vaccin »
Vaccin dont les fabricants reconnaissent qu’il leur a fallu quelques heures pour le mettre au point.
On nous répète depuis des mois que celui-ci a été fabriqué sur la séquence du virus de Wuhan.
Je vous rappelle que ce génome est un génome imaginaire supposé être le génome du « vrai » sars-cov2.
Génome construit avec des briques du supposé sars-cov1 elles-mêmes tout aussi imaginaires et issues d’un autre génome imaginaire.
Si les virus existaient et si les vaccins permettaient de faire des défenses immunitaires pour ne pas tomber malade alors n’importe quel idiot concepteur de ce « vaccin » eut été
conscient du peu de probabilité de l’efficacité de son usine à produire des toxines.
Le fabricant n’eût pu ignorer que la probabilité d’efficacité eut été extrêmement faible au regard du génome imaginaire utilisé.
Ce qui ne l’a pas empêché de dire qu’il était efficace à plus de 90%.
Question : Alors même que l’on nous inonde de nouveaux variants. Alors même qu’il est reconnu que « l’efficacité » des vaccins diminue avec les mutations [tout aussi supposées]. Alors même
qu’il a fallu quelques heures pour programmer le premier vaccin : Pourquoi
la première mise à jour est annoncée pour l’automne, soit 3 ans après l’émergence de la première souche ?
Si maintenant les virus n’existent pas alors il n’est plus question de parler d’efficacité vaccinale.
Vaccins dont la fabrication requiert de nombreux poisons et dont le rapport bénéfice vs risque ne peut qu’être catastrophique.
Consentement vaccinal
Je note aussi que c’est la première épidémie pour laquelle le consentement à vaccination n’a pas été basé sur les craintes et les convictions des personnes éligibles, mais à la mise en œuvre
d’un crédit social.
À part quelques paniqués manipulés, les patients ne se sont pas injectés pour échapper à la mort (et ne me faites pas marrer en parlant d’altruisme), mais pour pouvoir aller au restaurant, au
club de sport ou retrouver « une vie normale ».
C’est dire à quel point le peuple n’a pas gobé la supercherie du virus mortel et que cette épidémie était médiatique.
Je ne connais directement ou indirectement personne en bonne santé et jeune qui serait décédé de ce prétendu virus.
Donc la question qui demeure n’est pas de savoir si l’épidémie de Covid est une escroquerie, mais à quel point elle est une escroquerie (ainsi que les autres épidémies).
Si les virus n’existent pas…
Celles et ceux qui avaient mon « savoir » récent vont avoir du mal à avaler cette pilule rouge grande comme un porte-avions.
Une chose est certaine :
Si la science existait.
Si elle n’était pas dans les mains des industries pharmaceutiques et autres Blackrock.
Il serait indispensable de mettre des millions de dollars dans des études indépendantes et sans conflit d’intérêts afin de déterminer si nous vivons dans un monde de virus menaçants ou si
nous sommes l’héritage d’une escroquerie majeure de Pasteur et autres acolytes.
Il n’est pas possible de rester dans cette incertitude !
Vérité impossible ?
Celui qui serait en capacité de prouver l’escroquerie et ouvrir les yeux du public ferait bien de prendre une bonne assurance vie.
Menacer à la fois des milliards de bénéfices annuels, mais aussi le maintien dans la peur du peuple ne peut se faire sans risques majeurs.
Je dis cela, mais je suis certain que les maîtres du monde et Big Pharma ont déjà prévu cette transition.
En septembre 2021 j’avais écrit un texte à ce sujet, « vous avez tué le principe de la vaccination »37.
Un nouveau marché émergeant
Il semblerait que la menace soit en train de se déplacer.
Poutine n’est qu’une diversion, un interlude entre 2 maux pour nous appauvrir un peu plus.
La variole du singe est un bide, elle ne prend pas, le scénario est trop identique, un mauvais remake.
En revanche le changement climatique est un franc succès avec une belle dictature mondiale à la clef.
Je constate autour de moi que celles et ceux qui ont gobé la fiction Covid gobent totalement le « changement climatique qui va annihiler toute forme de vie si nous ne prenons pas le
taureau par les cornes » (synonyme de « si nous ne mettons pas en place une dictature climatique drastique »).
Les Français accepteront sans se révolter d’utiliser leur véhicule uniquement pour se rendre au travail.
Véhicule qui sera de fait interdit pour les loisirs et les vacances (sauf payer une taxe délirante ou être membre de la caste des demi-dieux).
Les importants pourront continuer à utiliser leur jet privé, mais attention « intégralement compensé CO2 ».
Quid de l’industrie pharmaceutique dans un monde où la vaccination est morte ?
Il faudra toujours des médicaments pour nous « soigner », des médicaments eux-mêmes et des produits chimiques répandus dans l’atmosphère ou dans la nourriture et qui nous rendent
malades, mais quid des vaccins ?
Si le peuple reconnaît qu’il n’y a pas de virus, que toute cette mascarade mortifère est une escroquerie alors il n’y aura plus aucun vaccin !
Il en est de même s’il ouvre les yeux sur ce poison vaccin volontairement répandu.
Est-ce pour autant la mort définitive des vaccins ?
J’imagine qu’il leur suffira de changer de nom. Delfraissy les nomme d’ailleurs « vaccins médicaments »
Les médicaments préventifs de demain seront donc les vaccins d’hier.
Le changement climatique sera une source merveilleuse de peurs et de décès
Il suffira de faire officiellement mourir des millions de personnes à cause du CO2 et du réchauffement climatique puis de rendre obligatoire « l’injection de la survie », celle qui
permet de ne pas mourir à cause des changements !
Le plus complexe sera sans doute les premiers mois de la mise en œuvre du plan.
En effet il faut que le peuple benêt et apeuré croie que des gens meurent à cause du changement climatique, mais surtout que chacun peut y passer, y compris ses enfants.
Car je vous rappelle une règle principale, si c’est le voisin ou l’Africain qui crève, on n’en a strictement rien à foutre !
Le génie de ces enculés, nommons-les tels qu’ils sont, est sans limites.
Si les effets secondaires des injections de « vaccin » Covid se poursuivent ou s’amplifient alors le fonds de commerce sera bien présent.
Ils ont commencé à le faire… aucune de ces morts subites des adultes, de ces AVC, fausses couches, cancers et autres ne sont imputables aux injections expérimentales à ARNm !
De nombreuses études financées par Big Pharma vont pouvoir sortir « prouvant » que ces décès ont été provoqués par le changement de la composition de l’air due au
« réchauffement climatique ».
Vous n’ignorez pas que l’injection de la survie sera efficace à 99,99% pour se protéger du fléau mortel.
Puis une petite étude « honnête » permettra ensuite de « prouver » que les non injectés, recracheront des gaz dangereux, voire mortels pour la santé des injectés,
activement protégés par leur injection récurrente salvatrice.
Les non-injectés seront, comme pour le Covid, les assassins des injectés protégés (vous connaissez le processus maintenant).
« La liberté c’est l’interdit, elle consiste à ne pas nuire à son prochain ».
Mon cul !
Car c’est bien la capacité donnée à autrui de me pourrir la vie avec sa tondeuse le dimanche matin qui garantit MES libertés.
Cette dangerosité des non-injectés pour la planète, le climat et les injectés justifiera totalement le pass climatique qui interdira « enfin » aux non-injectés de fréquenter les
lieux publics, travailler ou partir en vacances.
Puis l’injection miracle prendra le relais des décès dus aux injections anticovid, elle fera son œuvre en provoquant des décès et des maladies inédites grâce aux poisons intelligemment inclus
dans la mixture « tous anti CO2 ».
Décès et maladies qui seront, comme pour le Covid, imputés uniquement au changement climatique et non à l’injection elle-même, et ce avec le soutien de tous nos grands médias indépendants qui
salueront le consensus scientifique corrompu.
« Tous injectés, tous protégés du changement climatique » qui deviendra par la suite « l’injection protège des formes graves de changement climatique »
À force, ils vont bien réussir à dépeupler totalement l’occident…
Les fameux variants (tout aussi imaginaires) ne seront plus le fruit d’un virus imaginaire qui mute, mais issus de « la composition de l’atmosphère qui continuera à se dégrader du fait
des non injectés ».
Car plus on sera en dictature, plus on diminuera les consommations des gueux et plus la situation ira en se dégradant comme il se doit.
Espérons que les Chemtrails existent vraiment et qu’ils permettent de contrôler localement la météo, afin de pouvoir provoquer ici et là des épisodes de canicule ou des inondations
meurtrières bien anxiogènes.
Ainsi le public voyant visiblement les dégâts terribles causés par les variations climatiques (surtout chez les enfants, c’est plus vendeur) sera bien conscient de la nécessité de s’injecter
la pilule pour lutter contre les nouveaux polluants invisibles, mais mortels.
Et je ne vous parle pas du masque qui permettra de filtrer plus de 90% des gaz mortels dus au dérèglement climatique et de protéger le voisin, auquel nous tenons tant et qui respire nos gaz
toxiques.
Vous voyez, l’industrie pharmaceutique peut mettre à mort les vaccins et les remplacer par des injections mensuelles à vie tout aussi rémunératrices et toxiques…
Celles et ceux qui penseraient que je pourrais donner des idées aux enculés qui nous exploitent et nous gouvernent, ne vous inquiétez pas, ils y ont déjà pensé bien avant moi.
Et aux incrédules je dis de garder soigneusement ce texte et de le ressortir dans quelques années.
Car à moins qu’il y ait enfin le grand réveil, ceci n’est pas de la fiction, mais un documentaire.
En même temps, comme dirait l’autre, ils n’ont pas ouvert les yeux sur l’escroquerie de Covid, alors que tout ce que nous avions annoncé s’est concrétisé.
Du moment qu’il nous reste suffisamment d’électricité pour regarder la télé et utiliser notre smartphone, à quoi bon se plaindre ?
J’en terminerais par cette question sur les virus qui n’est pas ou plus :
« Les virus existent-ils ? »
Mais
« Croyez-vous en l’existence des virus ? »
Une entité :
Que l’on ne peut voir in vivo !
Que l’on n’a jamais vu entrer dans une cellule saine, se reproduire, et la détruire en
sortant !
Donc l’effet cythogénique n’a jamais été prouvé, sujet à caution et n’est pas
reproductible avec certains virus !
Dont nul ne sait si les antigènes, parfois absent alors que le virus est présent, seraient
la preuve d’une contamination ou le processus normal d’une maladie non virale.
Dont le test RT-PCR qui permettrait d’établir leur génome puis de les détecter relève de
la construction humaine, de la magie ou de l’escroquerie.
DECLARATION DES PROFESSEURS DE L UNIVERSITE DE LONDRES 05/05/2022
Il n’y a plus de preuves qui suggèrent que quiconque devrait recevoir les vaccins COVID-19, a déclaré un mathématicien britannique alors que le gouvernement britannique lance une autre campagne
de rappel avant la saison hivernale.
Norman Fenton, professeur de gestion des risques et de l’information à l’Université Queen Mary de Londres et directeur de la société de logiciels d’évaluation des risques Agena, a déclaré
à The
Epoch Times qu’il pensait que les personnes exposées à des risques de maladies graves et de décès dus au COVID-19 pouvaient bénéficier des vaccins, mais qu’il ne voyait
plus « aucune
preuve du tout que tout le monde devrait se faire vacciner » sur la base de données plus récentes.
M. Fenton est membre de la Health Advisory and Recovery Team (HART), un groupe d’universitaires britanniques qui critiquent la réponse du gouvernement à la pandémie.
Le Dr Clare Craig, pathologiste, également membre du groupe HART, a appelé le gouvernement à « faire
preuve de réalisme », affirmant qu’on ne peut s’attendre à ce que les gens se fassent injecter « à
grands frais tous les six mois » et que « lancer
une autre campagne de vaccination ne fera que raviver la peur ».
De nombreuses mutations du coronavirus ont été observées dans sa protéine spike, qui se lie aux récepteurs de la cellule hôte, fusionne l’enveloppe du virus avec la membrane de la cellule hôte et
déclenche une infection.
Selon Mme Craig, la vaccination répétée des personnes contre les anciennes versions de la protéine spike « oblige
notre système immunitaire à adopter une stratégie particulière », alors que le virus « évolue
pour ne plus avoir cette apparence ». Elle a également déclaré que la protéine spike, qui est incluse dans les vaccins COVID-19, est la partie « la
plus dommageable » du virus.
Aucune preuve que les vaccins COVID-19 aient réduit la mortalité
Selon le Comité
conjoint sur la vaccination et l’immunisation, le principal objectif du programme de rappel d’automne au Royaume-Uni est d’accroître l’immunité des personnes présentant un risque élevé
d’hospitalisation et de décès dus au COVID-19 cet hiver.
L’organe consultatif du gouvernement a déclaré que les vaccins à ARNm recommandés offrent une protection « plus
faible et de relativement courte durée » contre l’infection et les maladies bénignes, tout en offrant « une
bonne protection contre les maladies graves » dues aux variants du coronavirus, ce qui implique que les vaccins réduiront le nombre de décès dus au COVID-19.
Cependant, Craig et Fenton ont affirmé que les vaccins n’avaient pas démontré leur efficacité à sauver des vies.
Craig a déclaré qu’il n’y avait pas eu de changement dans la trajectoire des décès cumulatifs mondiaux dus au COVID-19 après le déploiement des vaccins, tandis que Fenton a affirmé que les
données britanniques sur la mortalité toutes causes confondues ne montrent « aucune
preuve » que les non-vaccinés meurent à un taux plus élevé que les vaccinés.
Avant l’arrivée du variant Omicron, Craig avait été convaincu par plusieurs articles qu’il existait des preuves montrant que les vaccins COVID-19 prévenaient les décès et les maladies graves,
a-t-elle déclaré, mais l’impact est devenu « vraiment
difficile à voir » lorsqu’on examine l’ensemble des données du monde réel.
« Lorsque vous regardez l’ensemble du tableau, et que vous comparez la trajectoire des décès dus au COVID au niveau mondial, avant et après les vaccins, il n’y a aucun changement. Lorsque
vous comparez le taux de létalité avant et après les vaccins, il n’y a pas de changement. Cette grande différence ne s’est pas produite avec le déploiement du vaccin, mais avec
Omicron », a-t-elle déclaré.
M. Fenton soutient depuis longtemps que le taux de mortalité toutes causes confondues est le meilleur moyen d’évaluer le rapport risque-bénéfice des traitements pour les maladies mortelles, et il
a contesté les statistiques sommaires du COVID-19 publiées par l’Office for National Statistics (ONS), affirmant qu’elles sont basées sur des données erronées.
Selon les dernières données de l’ONS sur les taux
de mortalité normalisés selon l’âge (ASMR), entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2022, l’ASMR toutes causes confondues pour 100 000 personnes-années était de 2 337,5 pour la population
non vaccinée d’Angleterre et de 957,4 pour la catégorie des « jamais
vaccinés », c’est-à-dire ceux qui ont reçu au moins une dose de vaccin COVID-19.
Lorsque les chiffres sont ventilés entre les décès liés au COVID-19 et les décès non liés au COVID-19, l’ASMR du COVID-19 était de 863,2 pour les personnes non vaccinées et de 64,5 pour les
personnes ayant été vaccinées, et l’ASMR des personnes non liées au COVID-19 était de 1 474,3 pour les personnes non vaccinées, soit environ 65 % de plus que le taux pour les personnes ayant été
vaccinées (892,9).
La dernière paire de chiffres « ne
peut pas être correcte », a déclaré Fenton, « parce
que cela signifierait que … d’une certaine manière, les vaccins n’arrêtent pas seulement les décès dus au COVID, mais aussi les décès non dus au COVID chez les vaccinés ».
Fenton a également déclaré que les chiffres « ne
peuvent pas être exacts » car « le taux de mortalité des décès non COVID parmi les vaccinés, selon leurs données, est également bien inférieur aux taux historiques de
mortalité non COVID », ajoutant que les anomalies peuvent être attribué à « une
mauvaise classification [et] un mauvais comptage » des vaccinés et des non vaccinés.
Les ASMR non-COVID-19 entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2022, pour les groupes de personnes ayant reçu leur dernière dose de vaccin depuis moins de 21 jours, étaient également beaucoup plus
faibles que les chiffres pré-pandémiques, soit 647,5 après la première dose, 513,3 après la deuxième dose et 567,1 après la troisième ou une dose de rappel.
Après avoir analysé une tendance similaire dans une version antérieure de l’ensemble de données, Fenton, Craig et d’autres auteurs ont déclaré dans un article
préliminaire non révisé publié en mars que le nombre de décès liés au COVID-19 et non liés au COVID-19 signalés dans la catégorie « dans
les 21 jours suivant la première dose » était « invraisemblablement
bas » et que les décès survenus dans les deux semaines suivant la première vaccination semblaient avoir été omis de l’ensemble de données, ce qui pourrait être dû à des facteurs
tels qu’une mauvaise catégorisation, des retards dans la déclaration et des erreurs dans le traitement ou la transcription des données.
Ils ont également fait valoir que le « grand
échantillon soigneusement sélectionné » de la population utilisé par l’ONS, qui comprend les personnes qui étaient à la fois dans le recensement de 2011 et enregistrées auprès d’un
médecin généraliste en 2019, n’était pas représentatif de l’ensemble de la population, et que les estimations de l’ONS du nombre de décès et de la proportion de personnes non vaccinées étaient
trop faibles, ce qui affectait les conclusions tirées sur les risques et les avantages des vaccinsDans un document
distinct publié en janvier, ils ont également déclaré que le taux de mortalité non COVID pour les groupes d’âge de 60 à 69 ans, de 70 à 79 ans et de plus de 80 ans non vaccinés avait
atteint un pic « au
même moment de l’année » au cours des années précédentes, y compris en 2020, mais chacun d’eux a atteint un pic en 2021 « au
même moment que le pic de déploiement du vaccin pour ce groupe d’âge : Sécurité du vaccin
En ce qui concerne la sécurité des vaccins COVID-19, M. Fenton a déclaré qu’il ne pense pas qu’ils « tuent
beaucoup de gens », comme certains le croient, mais il estime qu’il y a suffisamment de signaux de sécurité, tels que l’augmentation
du taux de myocardite et de péricardite chez les jeunes hommes, pour invalider l’idée d’administrer les vaccins à des jeunes en bonne santé, qui ont un risque extrêmement faible de
mourir du COVID-19.
Parmi la population plus âgée, M. Fenton a déclaré que les vaccins ont peut-être permis d’éviter certains décès dus au COVID-19, mais qu’il existe également « quelques
preuves » que les vaccins ont peut-être accéléré le décès de certaines personnes âgées « de
quelques semaines ».
« Ce que je dirai certainement, c’est qu’il n’y a aucune preuve que la mortalité toutes causes confondues des personnes non vaccinées soit plus élevée que celle des personnes
vaccinées », a-t-il déclaré.
Interrogé sur le Yellow Card Scheme – le système britannique de notification des effets indésirables des médicaments – M. Fenton a critiqué ce système, le qualifiant de « très
médiocre », affirmant qu’il ne recueillait « aucune
information utile », contrairement au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) américain, et que le nombre de décès suspectés d’être liés au COVID-19 signalés au VAERS en 18 mois
était beaucoup plus élevé que le nombre de décès suspectés d’être liés à tous les autres vaccins réunis au cours des 32 dernières années.
Mme Craig a également déclaré que les indicateurs d’« alerte
précoce » étaient « rouges
depuis un certain temps », faisant référence aux systèmes d’alerte des effets indésirables dans le monde.
Elle a ajouté qu’il est « assez
délicat » de décortiquer les données et qu’il faudra beaucoup de temps pour mesurer correctement les problèmes qui pourraient être associés aux vaccins.
Prenant l’exemple du zona, Mme Craig a déclaré qu’il existe « des
preuves circonstancielles assez solides » et certaines études suggérant que les personnes sont exposées à un risque élevé de zona après avoir été vaccinées et qu’il y a
également « des
raisons biologiques pour lesquelles cela peut être dû au fait que le système immunitaire est mis à mal au moment de la vaccination », mais qu’il est difficile de déterminer si le zona
est effectivement devenu plus fréquent après l’introduction des vaccins, car les données pré-vaccination peuvent avoir été dévaluées parce que « les
gens ne consultaient pas leur médecin généraliste à un rythme normal » pendant les périodes de confinement.
Elle a également déclaré qu’il faudra « beaucoup
de temps » pour mesurer correctement les risques, citant une étude publiée
en 2020, une décennie après le déploiement du vaccin contre la grippe porcine Pandemrix, qui a révélé que le risque de narcolepsie attribuable au vaccin était « plus
élevé que ce qui avait été estimé précédemment en Angleterre en raison de l’identification de cas attribuables au vaccin avec des diagnostics tardifs ».
« Nous avons de meilleurs systèmes de big data maintenant dans les soins de santé, ce qui signifie que cela devrait prendre moins de temps, mais … avec la meilleure volonté du monde et avec
tout le monde voulant découvrir à quel point quelque chose est mauvais, cela prend encore beaucoup de temps », a-t-elle dit, ajoutant que « nous
n’avons pas nécessairement la même motivation ici pour que les gens découvrent réellement ce qui se passe ».
Craig : les vaccins sont considérés comme « la
seule solution »
Mme Craig attribue le manque de motivation qu’elle perçoit aux décideurs et aux personnes influentes qui craignent que les « vaccins
soient la seule solution à ce qu’ils croient encore être une maladie très dangereuse et mortelle ».
En conséquence, le « rouleau
compresseur de la vaccination », qui a été lancé pour viser les personnes vulnérables, « a
continué sur cette voie, en administrant [les vaccins] à des bras de plus en plus jeunes et de plus en plus souvent », a-t-elle déclaré.
Mme Craig a également déclaré qu’elle pensait qu’il y avait « un
peu d’erreur de coût irrécupérable dans le fait qu’ils aient acheté tant de doses de ce médicament. Je pense que nous n’avons utilisé que 20 % du stock qu’ils ont acheté ».
Lorsque les vaccins COVID-19 étaient en cours de développement, le gouvernement britannique a poursuivi une stratégie de sur-achat afin de s’assurer qu’il y ait suffisamment de stocks même si
l’un ou plusieurs d’entre eux ne fonctionnaient pas.
Mme Craig a déclaré que c’était « bien » de
poursuivre cette stratégie, ajoutant : « Mais
cela ne signifie pas qu’il faille ensuite les mettre tous dans les bras des gens. »
Elle a déclaré que « nous
ne pouvons pas entrer dans un monde où les gens doivent être piqués à grands frais tous les six mois », appelant le gouvernement à « être
réaliste » et à « admettre
qu’il doit prendre du recul » à un moment donné.
Selon le
dernier rapport hebdomadaire de surveillance du vaccin COVID-19 publié jeudi par l’Agence britannique de sécurité sanitaire, « l’efficacité
du vaccin contre la maladie symptomatique avec le variant Omicron est sensiblement plus faible que contre le variant Delta, avec un déclin rapide. Cependant, la protection contre
l’hospitalisation reste élevée ».
Dans un courriel adressé à The
Epoch Times, un porte-parole du ministère de la Santé et des Soins sociaux a déclaré : « Nous
continuons à faire tout ce que nous pouvons pour protéger le public. »
« Nos vaccins COVID existants ont sauvé d’innombrables vies et continuent de nous permettre de vivre avec ce virus sans restrictions », peut-on lire dans le communiqué.
« Les vaccins restent notre meilleure défense contre les maladies graves dues au COVID et les personnes éligibles doivent se présenter pour leur rappel d’automne lorsqu’elles y sont
invitées. »
L'ivermectine réduit le risque de décès par COVID de 92%, selon une étude évaluée par des pairs
Une nouvelle étude évaluée par des pairs a révélé que l'utilisation régulière d'ivermectine réduisait de 92%
le risque de mourir du COVID-19.
Cette grande étude a été menée par Flávio A. Cadegiani, MD, MSc, PhD. Cadegiani est un endocrinologue avec
une maîtrise et un doctorat en endocrinologie clinique.
L'étude évaluée par des pairs a été publiée mercredi par la revue médicale en ligne Cureus. L'étude a été menée
sur une population strictement contrôlée de 88.012 personnes de la ville d'Itajaí au Brésil.
Les personnes qui ont utilisé l'ivermectine comme prophylaxie ou ont pris le médicament avant d'être infectées
par le COVID, ont connu une réduction significative des décès et des hospitalisations.
Selon l'étude, ceux qui prenaient régulièrement de l'ivermectine avaient une réduction de 92% de leur risque de
décès par COVID par rapport aux non-utilisateurs.
"Le taux d'hospitalisation a été réduit de 100 % chez les utilisateurs réguliers par rapport aux
utilisateurs irréguliers et aux non-utilisateurs", indique l'étude.
La réduction impressionnante pour les utilisateurs réguliers d'ivermectine était évidente, malgré le fait que les utilisateurs réguliers couraient un risque plus élevé de décès
par COVID. Les utilisateurs réguliers étaient plus âgés et avaient une prévalence plus élevée de diabète de type 2 et d'hypertension que les utilisateurs irréguliers et les
non-utilisateurs.
Les utilisateurs irréguliers d'ivermectine présentaient une réduction du taux de mortalité de 37% inférieure à celle des non-utilisateurs.
L'étude a défini les utilisateurs réguliers comme ceux qui ont utilisé plus de 30 comprimés d'ivermectine sur cinq mois. La posologie de l'ivermectine était déterminée en fonction
du poids corporel, mais "la plupart de la population utilisait entre deux et trois comprimés par jour pendant deux jours, tous les 15 jours".
"La non-utilisation de l'ivermectine a été associée à une augmentation de 12,5 fois du taux de mortalité et à un risque sept fois plus élevé de mourir du COVID-19 par rapport à
l'utilisation régulière de l'ivermectine", indique l'étude. "Cette efficacité dose-réponse renforce les effets prophylactiques de l'ivermectine contre le
COVID-19."
Cadegiani pense que l'étude a montré un "effet dose-réponse", ce qui signifie que l'augmentation des niveaux d'ivermectine a diminué le risque d'hospitalisation et de
décès par COVID-19.
Cadegiani a écrit sur Twitter : "Une étude observationnelle de la taille et du niveau d'analyse comme la nôtre est rare et impossible à mener en tant qu'essai clinique
randomisé. Les conclusions sont difficiles à réfuter. Les données sont les données, quelles que soient vos croyances."
Les vaccins illustrent depuis longtemps les conflits d’intérêt récurrents entre l’industrie pharmaceutique et les autorités publiques
C’est une vidéo datée de 2017 qui nous permet d’introduire
ce sujet majeur : bien avant l’apparition de l’épidémie de Covid, le Pr Romain Gherardi, chef de service du centre expert en pathologie neuromusculaire de
l'hôpital Henri-Mondor, explique la dangerosité des adjuvants dans les vaccins et explique comment l’industrie pharmaceutique fait obstruction à toute critique
sur les vaccins, quels qu’ils soient. Il sera vilipendé avant l’heure par ses confrères, les autorités publiques… Cela
rappelle la tyrannie actuelle du CNOM – financée par l’industrie pharmaceutique - contre les médecins qui n’ont pas respecté les protocoles imposés contre
Covid. Les vaccins font partie d’une stratégie sanitaire et financière qui ne date pas d’aujourd’hui. Mais pour la conduire, il faut la collaboration des
autorités sanitaires publiques, Covid n’est qu’un passage à l’échelle. Ou comment créer une idéologie sanitaire qui permet d’inoculer des produits
expérimentaux à des personnes en bonne santé.
Un ancien directeur des laboratoires Merck, Henri Gasden, déclarait en 1976 : « c’est
embêtant de ne vendre des médicaments qu’à des gens qui sont malades ; si on pouvait agrandir notre marché auprès des gens en bonne santé, il est
évident que ça arrangerait nos affaires ». Face à ce constat qu’Henri Gasden n’était pas le seul à partager dans l’industrie pharmaceutique, il y avait deux
solutions : soit rendre les gens malades, soit vendre des produits aux personnes en bonne santé. En réalité, l’industrie pharmaceutique a travaillé
sur ces deux objectifs, notamment en s’associant à l’industrie chimique pour les engrais parfois toxiques (affaire Monsanto et agrochimie) et les adjuvants ou autres colorants dans la
nourriture industrielle devenue le mode de consommation dominant en occident. Les cancers ne sont pas étrangers à notre alimentation.
Mais il est également possible de travailler simultanément à ces 2 objectifs en associant
à la fois la proposition d’un traitement préventif comme le vaccin qui permet de vendre un produit à des personnes en bonne santé et d’y ajouter des
adjuvants toxiques sources de maladies à venir. Cette approche mortifère n’est pas apparue avec l’épidémie de Covid et les vaccins expérimentaux, elle est
bien plus ancienne. Les explications du Pr Gherardi, qui datent de 2017 dans le cadre de la présentation de son ouvrage intitulé Toxic Story, sont tout à fait explicites
et illustrent nos propos.
L’aluminium, un adjuvant toxique dans les vaccins
L’adjuvant des vaccins est un composant prévu pour renforcer leur efficacité et beaucoup
contiennent de l’aluminium, une substance toxique qui peut entrainer une grave maladie (du moins celle-ci est-elle identifiée) : la myofasciite à macrophages.
Voici ce qu’affirme dans une
vidéo le neurologue Romain Gherardi, praticien hospitalier et spécialiste des maladies neuromusculaires :
La myofasciite à macrophages, c’est la détection – aux signes d’une vaccination
antérieure – de macrophages, c’est-à-dire de cellules immunitaires qui sont normalement des éboueurs de l’organisme, qui seront remplies de particules
d’adjuvant et donc maintiennent cet adjuvant à l’intérieur de l’organisme alors que normalement on devrait être capable de s’en débarrasser, de les
l’éliminer d’une manière ou d’une autre, notamment par voie urinaire. La plupart d’entre nous ne faisons aucune complication après avoir été vacciné…une
petite part des vaccinés vont avoir un problème, une maladie identifiée depuis 1969 qui s’appelle l’encéphalomyélite myalgique ou syndrome de fatigue chronique.
Le journaliste : Vous décrivez l’industrie des vaccins comme une
jungle faite pour qu’on n’y mette pas le nez, que voulez-vous dire ?
Un coup d’arrêt a été tenté sur notre recherche en 2004 par l’agence du médicament
français qui s’appelait l’AFSSAPS (aujourd’hui ANSM). Une étude menée par des épidémiologistes de grand renom à
Bordeaux, démontrait qu’il existait une association statistiquement significative entre la présence d’une fatigue, profonde, cognitive et la détection
d’une lésion de myofasciite à macrophages dans le muscle deltoïde (point de vaccination). Ce rapport a été réfuté par un ensemble d’experts du Conseil
scientifique de l’époque et on s’aperçoit que tous – trois sur trois – avaient des conflits d’intérêts avec l’industrie du vaccin ; c’est-à-dire que
c’est l’industrie du vaccin qui a fait cette expertise négative sur ce travail et qui a dit non finalement on ne peut rien dire, circulez il n’y a rien à
voir et pas de recherche, surtout pas de recherche.
L’industrie pharmaceutique contrôle les autorités de régulation sanitaire
Ces adjuvants aluminiques ont été introduits dans la pharmacopée de façon
totalement empirique. En 1928, les spécialistes de ces adjuvants, c’étaient des chimistes, ils n’avaient pas pris en compte que dans le vivant, ça ne se
passe pas comme dans un tube à essai. Deuxième surprise, c’est que le monde des adjuvants est un monde extrêmement clos. Quand on regarde qui dépose des
brevets sur les adjuvants de nouvelle génération, on s’aperçoit que ce sont exclusivement les entreprises de la recherche industrielle. La recherche du
secteur public est totalement absente de ce champ. Quand il a fallu recréer des adjuvants pour les tester en phase expérimentale, on n’a pas été capable de
refabriquer le même adjuvant parce que l’adjuvant aluminique est protégé par un brevet […].
Une recherche comme la nôtre a tout pour déranger, l’OMS dit que le chiffre
d’affaires du vaccin en 2025, ce sera environ 100 milliards d’euros annuels…donc on parle de très, très, grosses sommes. Il faut savoir qu’il y a 120
vaccins en développement et que la plupart sont adjuvantés en hydroxyde d’aluminium. Et donc s’il y a des problèmes (de santé) avec l’hydroxyde
d’aluminium, ça peut impacter de quelques points l’indice de croissance du secteur.
Injections Covid : une répétition de l’histoire ou la mondialisation de la
corruption par l’industrie pharmaceutique
Nos lecteurs seront heureux d’apprendre que les autorités publiques – et donc les
autorités de régulation sanitaire – n’ont pas de compétence dans le domaine de la fabrication des adjuvants et donc sur l’analyse in vitro des effets
secondaires sur la santé humaine. C’est bien ce que nous dit le Pr Romain Gherardi. Les autorités sanitaires sont également celles qui donnent les
autorisations de mise sur le marché pour les injections expérimentales contre Covid… sans réelle compétence donc sur l’analyse des effets secondaires, ce
que révèle les conséquences mortifères post vaccinales que la même agence (ANSM) continue de minimiser.
Nous avions illustré dans un dossier ce que l’on appelle le pantouflage, c’est-à-dire le passage des experts du privé au public et vice versa
ainsi que les conflits d’intérêts permanents entre l’industrie pharmaceutique et les autorités publiques de régulation sanitaire.
Le Pr Gherardi nous explique aussi clairement la corruption des autorités sanitaires
publiques, notamment le Conseil scientifique… celui-là même qui a piloté la gestion de la crise du Covid en France.
Enfin, si certains s’interrogent encore sur l’intérêt des grands de ce monde pour
l’industrie du vaccin – comme Bill Gates qui, il l’assure, agit pour le bien commun (philanthrope) en ayant investi dans cette industrie – on constate que
Gherardi et l’OMS se sont trompés sur un point. En effet l’industrie du vaccin a atteint plus de 72 milliards en 2021 et devrait dépasser les 100 milliards en 2022 … les
chiffre d’affaires de Pfizer a atteint 27,7 milliards au second trimestre 2022. A elle seule, l’entreprise pourrait dépasser 100
milliards de chiffre d’affaires en 2022.
Vous comprenez pourquoi il est urgent de développer des plateformes de vaccin à ARNm pour toutes les maladies virales et dans
le monde entier. C’est bien sûr une question de santé publique, une urgence sanitaire…
L'ivermectine présente une affinité importante pour les canaux chlorures glutamate-dépendants présents dans les cellules
nerveuses et musculaires des invertébrés. Sa fixation sélective sur ces canaux favorise une augmentation de la perméabilité membranaire aux ions chlorures, entraînant une hyperpolarisation de la
cellule nerveuse ou musculaire.
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Des études officielles sur les vaccins COVID-19 ont montré que les vaccins n’empêchent pas efficacement la transmission du virus, ce qui remet en question la nécessité de les rendre obligatoires
dans le monde entier.
Uncanceled.news rapporte : Parmi les études qu’il a résumées, une étude israélienne a montré que les personnes vaccinées qui n’avaient jamais été infectées par le
SRAS-CoV-2 avaient un risque 13 fois plus élevé d’être infectées par le variant delta que celles qui n’étaient pas vaccinées mais avaient été infectées auparavant, ce qui montre que l’immunité
naturelle est plus efficace.
Une autre étude publiée dans le European Journal of Epidemiology a montré qu’il n’y a pas de relation significative entre les cas de COVID-19 et le nombre de personnes vaccinées à
l’échelle nationale. En d’autres termes, le fait de faire vacciner davantage de personnes ne réduit pas nécessairement la propagation du virus.
Les données officielles du Royaume-Uni ont également montré que les adultes entièrement vaccinés présentent désormais un risque plus élevé d’infection par le COVID-19, d’hospitalisation et de décès
que les personnes non vaccinées.
Sur la base de ces études, M. Alexander a conclu qu’il ne faut pas s’attendre à ce que les vaccins COVID contribuent à éliminer la propagation communautaire du virus ou à atteindre l’immunité de
groupe. Il a également déclaré que les études « démêlent la raison d’être des mandats de vaccination et des passeports ».
M. Alexander a également fait remarquer que la prise du vaccin augmente le risque d’infection de la personne. C’est ce qu’on appelle l’efficacité négative, qui est le jargon pour désigner les effets favorisant la maladie dans les médicaments. Dans le cas d’un vaccin, cela signifie que la personne vaccinée est plus susceptible d’être infectée que la personne
non vaccinée.
C’est mauvais, en particulier parce que les preuves montrent que les vaccins ne sont pas stérilisants et qu’ils n’empêchent pas l’infection, la transmission, l’hospitalisation ou la mort. Ils
n’ont jamais fonctionné.
Pour Alexander, ce qui se passe avec les vaccins COVID n’est pas sans rappeler l’efficacité vaccinale négative des vaccins contre la dengue qui ont tué des enfants aux Philippines en 2017, où les
injections n’auraient pas dû être utilisées.
Aujourd’hui, les répercussions des vaccins COVID montrent une augmentation massive des chiffres de mortalité toutes causes confondues rapportés par les compagnies d’assurance. Les décès
excédentaires apparaissent également dans presque toutes les cohortes d’âge et ne peuvent pas être expliqués par d’autres causes, et le vaccin COVID-19 est maintenant qualifié de « plus
grande fraude » de l’histoire moderne.
Alors que les entreprises pharmaceutiques comme Pfizer et Moderna poursuivent leurs activités, et que le bruit court au-delà des censeurs et des silencieux, ce n’est qu’une question de temps
avant que la vérité sur les vaccins inefficaces ne devienne évidente pour tous.
Le gouvernement et Big Pharma bombardent les gens
Les influenceurs médicaux, les responsables de la santé publique et d’autres défenseurs du courant dominant ont également opéré un changement intéressant dans leur discours concernant les vaccins
COVID. Désormais, les gens sont censés croire que les vaccins n’ont jamais été censés arrêter la transmission, ni empêcher les autres d’être infectés par la maladie.
Aujourd’hui, on dit que les vaccins ne préviennent que les maladies graves, les hospitalisations et les décès, la directrice des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), Rochelle
Walensky, admettant effrontément que les injections ne peuvent plus empêcher la transmission.
Cette démarche du gouvernement, de Big Pharma et d’autres « professionnels » de la médecine s’appelle de la manipulation et de l’éclairage. On a dit aux gens dès le début que
les vaccins développés rapidement allaient « mettre fin à la pandémie » et que ceux qui sont entièrement vaccinés sont les seuls autorisés à avoir accès à leur travail et à se
rendre dans les espaces publics.
On attend également des gens qu’ils acceptent les décisions contraires à l’éthique des décideurs politiques concernant leur décision de lever les mandats de vaccination pour les athlètes
professionnels et les artistes, mais pas pour les policiers ou les travailleurs de la santé, dont beaucoup ont déjà perdu leur carrière à cause des mandats que les gouvernements locaux ont
précédemment mis en œuvre sous couvert de sécurité publique.
Il n’y a pas d’autre façon de le décrire : Le vaccin COVID-19 est la plus grande fraude de l’histoire moderne.
Les CDC ont enfin admis ce que beaucoup d’entre nous savaient depuis le début, à savoir que l’immunité naturelle due à une infection antérieure par le Covid est
supérieure à l’immunité vaccinale seule.
Les CDC ont été contraints de rompre leur silence sur l’immunité naturelle mercredi après avoir publié une étude intitulée « Cas et hospitalisations liés au COVID-19 selon le
statut vaccinal et le diagnostic précédent du COVID-19 – Californie et New York, mai-novembre 2021 ». Les résultats ont été rapportés à contrecœur par l’Agence France-Presse, l’un des vérificateurs
de faits pro Big Pharma de Facebook.
« Lors de la dernière poussée américaine du coronavirus piloté par le variant Delta, les personnes non vaccinées mais ayant survécu au Covid étaient mieux protégées que celles qui
étaient vaccinées et n’avaient pas été infectées auparavant », affirme l’AFP.
« Cette découverte est la dernière en date à intervenir dans le débat sur les forces relatives de l’immunité naturelle par rapport à l’immunité acquise par la vaccination contre le
SRAS-CoV-2, mais cette fois-ci avec l’imprimatur des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) », ajoute l’AFP.
Beckernews.com rapporte : L’étude elle-même est fortement analysée et soutient que la vaccination reste la meilleure stratégie pour prévenir les hospitalisations et les décès
dus au Covid. C’est peut-être vrai – mais seulement pour les personnes qui n’ont pas d’immunité naturelle due à des infections antérieures.
De mai à novembre 2021, les taux de cas et d’hospitalisations étaient les plus élevés chez les personnes non vaccinées sans diagnostic préalable. Avant que Delta ne devienne le variant
prédominant en juin, les taux de cas étaient plus élevés chez les personnes ayant survécu à une infection antérieure que chez les personnes ayant été vaccinées seules. Début octobre, les
personnes ayant survécu à une infection antérieure présentaient des taux de cas inférieurs à ceux des personnes ayant été vaccinées seules.
Sans surprise, les CDC ont exhorté tous les Américains à se faire vacciner, indépendamment des infections antérieures. Ceci est conforme aux positions antérieures de l’agence.
Bien que l’épidémiologie du COVID-19 puisse changer avec l’apparition de nouveaux variants, la vaccination reste la stratégie la plus sûre pour éviter les infections, les hospitalisations,
les séquelles à long terme et les décès liés au SRAS-CoV-2. La primovaccination, les doses supplémentaires et les doses de rappel sont recommandées pour toutes les personnes admissibles.
D’autres recommandations futures concernant les doses de vaccin pourraient être justifiées en fonction de l’évolution du virus et des niveaux d’immunité.
Mais si l’on approfondit le communiqué, on obtient une image plus claire de la façon dont l’immunité vaccinale et l’immunité naturelle se comparent.
Sur l’ensemble de la période d’étude, les personnes ayant une immunité dérivée du vaccin et de l’infection présentaient des taux d’hospitalisation beaucoup plus faibles que ceux des personnes
non vaccinées. Ces résultats suggèrent que la vaccination protège contre le COVID-19 et les hospitalisations qui y sont liées et que le fait de survivre à une infection antérieure protège
contre une réinfection. Il est important de noter que la protection dérivée de l’infection était plus importante après que le variant Delta hautement transmissible soit devenu prédominant, ce
qui coïncide avec le déclin précoce de l’immunité induite par la vaccination chez de nombreuses personnes (5). Des données similaires tenant compte des doses de rappel et de la circulation de
nouveaux variants, dont Omicron, devront être évaluées.
L’agence de santé publique a permis au peuple américain de croire au faux argument selon lequel l’immunité naturelle ne fonctionne pas contre le Covid. Mais lorsqu’on analyse les chiffres, on
constate que l’immunité naturelle due à une infection antérieure, tant dans les populations vaccinées que non vaccinées, constitue une protection puissante contre le Covid.
On pourrait même dire que l’immunité naturelle due à une infection antérieure est en fait très efficace dans la population vaccinée, comme nous le verrons plus loin.
Le communiqué de presse des CDC fait spécifiquement référence à la Californie et à New York. Mais c’est un autre cas, celui de Rhode Island, qui illustre le mieux la façon dont les données sont
ventilées.
Le Dr Andrew Bostom, épidémiologiste, a examiné les données et a fourni la ventilation statistique qui nous aide à mieux comprendre ce qui se passe :
Le risque d’hospitalisation lié au covid-19 était ~6X plus faible et le risque de décès lié au covid-19 ~28X plus faible, en comparant les personnes présentant une immunité naturelle
au covid-19, indépendamment de leur statut vaccinal, aux personnes entièrement vaccinées…
Données brutes de Rhode Island sur les infections au covid-19 par vaccination et statut d’infection antérieure, décembre 2021
Si l’on prend ces chiffres de base, qui proviennent du site web du département de la santé de Rhode Island, on arrive à des conclusions étonnantes. Après avoir vérifié les données et la
méthodologie de l’épidémiologiste (le Dr Bostom modifie certains termes utilisés par le département de la santé de Rhode Island et effectue quelques calculs simples avant d’établir les
statistiques), on constate que les cas, les hospitalisations et les décès sont tous fortement réduits par l’immunité naturelle.
La conclusion la plus importante concerne les décès. Même en corrigeant l’échelle, la survie à une infection antérieure était de loin le meilleur prédicteur de survie à une autre infection Covid.
Toutefois, si l’on n’a pas eu d’infection antérieure (ou si l’on ne sait pas si l’on a eu une infection antérieure), on peut affirmer que la vaccination semble être la meilleure stratégie pour
survivre à une infection. (Il est important de noter que la communauté vaccinée de Rhode Island est beaucoup plus importante que la communauté non vaccinée ; elle est environ deux fois plus
importante, par conséquent le taux d’incidence des décès non vaccinés est environ trois fois plus élevé).
Pourtant, même si les CDC ont estimé qu’en septembre, 146,6 millions d’Américains
avaient déjà été infectés, la répartition par État, y compris Rhode Island, s’est avérée nettement plus élevée après la vague d’Omicron, comme Becker News l’avait prédit.
Pourcentage d’infections antérieures à Rhode Island : 92 %.
Voici celui de New York, pour le contexte du dernier communiqué de presse des CDC. Il s’agit d’environ 88 % d’infections
antérieures.
Pour plus de contexte, voici la Floride. Environ 87 %.
À titre de comparaison, la Mayo Clinic considérait autrefois que 200 millions d’Américains
bénéficiant d’une immunité vaccinale ou naturelle étaient suffisants pour prétendre à une « immunité de groupe ». Les derniers chiffres d’Omicron, basés sur les estimations de
la charge Covid des CDC, nous amènent à penser qu’il pourrait y avoir jusqu’à 250 millions d’Américains ayant déjà été infectés. (Les cas, cependant, peuvent être comptés plus d’une fois).
Le modèle de Rhode Island selon lequel l’immunité naturelle est le meilleur prédicteur de résultats positifs en matière de santé se vérifie en ce qui concerne les hospitalisations.
Comme on peut le constater, les groupes vaccinés et non vaccinés ayant déjà été infectés ont obtenu de bien meilleurs résultats en matière de santé. En outre, les résultats de santé du groupe non
vacciné avec immunité naturelle étaient bien supérieurs à ceux du groupe vacciné sans immunité naturelle.
En outre, l’immunité naturelle s’est avérée être une barrière bien plus efficace contre la réinfection par Covid que la vaccination seule.
Le communiqué des CDC et les données au niveau des États indiquent tous deux que l’immunité naturelle a constitué une défense puissante contre le Covid-19. Deux ans après le début de la pandémie,
il a fallu attendre jusqu’à maintenant pour que l’agence de santé publique l’admette.
Mais c’est encore pire que cela, comme le montrent les données. Les vaccins n’ont qu’une utilité marginale, au mieux, pour ceux qui ont déjà été infectés par le SRAS-CoV-2. Et comme le montrent
des études récentes, même si les vaccins et jusqu’à deux « rappels » ne parviennent pas à stopper la propagation et les infections, Omicron semble conférer une immunité
naturelle à d’autres variants, comme Delta.
« Une infection antérieure par le SRAS-CoV-2 s’est avérée induire une immunité efficace et une protection contre les réinfections chez la plupart des individus », indique
l’étude du European Journal of Immunology.
Néanmoins, les médias grand public ont tenté à plusieurs reprises de convaincre le peuple américain que l’immunité naturelle est soit un mythe, soit inefficace contre le Covid.
CNN a « rapporté » l’information plus tôt dans la journée, mais son premier titre était manifestement faux. Il a rapporté l’inverse de ce que les CDC ont dit. Phil
Kerpen a signalé l’erreur de l’article de CNN.
How did this CNN headline that states the exact opposite of what the CDC release said come to be, @Deedrah?https://t.co/Bv6vlbWTP5
CNN a ensuite « édité furtivement » l’histoire avec un nouveau titre… qui était toujours très trompeur, comme nous l’avons vu dans les analyses ci-dessus.
La vaccination était « la plus sûre », mais seulement si vous n’aviez pas d’infection préalable. L’immunité naturelle était le principal indicateur de résultats positifs pour
la santé, que l’on soit vacciné ou non. On n’encourage pas la vaccination de masse pour tous les groupes d’âge et tous les profils de risque pour des bénéfices extrêmement minimes, en particulier
parmi les groupes démographiques dont le risque de mortalité est statistiquement proche de zéro.
L’AP s’est rendue coupable d’une tristement célèbre « vérification des faits » sur l’immunité naturelle en septembre.
Posts continue to circulate online falsely claiming that COVID-19 survivors don’t need vaccines because of natural immunity. In fact, that protection is variable and not long-lasting, so
vaccines are still recommended. Here’s our recent look at this claim. https://t.co/NHiepR24T1
« Des articles continuent de circuler en ligne affirmant à tort que les survivants du COVID-19 n’ont pas besoin de vaccins en raison de leur immunité naturelle », affirme
l’AP. « En fait, cette protection est variable et ne dure pas longtemps, donc les vaccins sont toujours recommandés. »
Mais un examen rapide de la littérature scientifique montre de manière concluante que l’immunité naturelle est réelle et qu’on peut s’y fier pour une forte protection contre le Covid-19. Un
article de perspective du Washington Post datant de septembre a vu juste. Le Dr Marty Makary, professeur à l’école de médecine Johns Hopkins et à l’école de santé publique Bloomberg,
avait raison dans son évaluation de la situation.
« Plus de 15 études ont démontré le pouvoir de l’immunité acquise en ayant déjà eu le virus », a-t-il poursuivi. « Une étude menée en Israël il y a deux semaines sur
700 000 personnes a révélé que les personnes qui avaient déjà été infectées avaient 27 fois moins de chances de contracter une deuxième infection symptomatique au covidien que celles qui avaient
été vaccinées. Ces résultats confirment une étude menée en juin par la Cleveland Clinic auprès de travailleurs de la santé (souvent exposés au virus), dans laquelle aucune personne ayant déjà été
testée positive au coronavirus n’a été réinfectée. Les auteurs de l’étude ont conclu que ‘les personnes qui ont été infectées par le SRAS-CoV-2 ont peu de chances de bénéficier de la
vaccination contre le covid-19’. Et en mai, une étude de l’Université de Washington a révélé que même une infection légère par le covid entraînait une immunité durable. »
Le professeur de Johns Hopkins a fait référence à 15 études sur l’immunité naturelle résultant d’infections antérieures au Covid-19. Un célèbre article de Brownstone a énuméré 30 études
scientifiques de ce type sur le bénéfice de l’immunité naturelle du Covid-19, en plus d’en ajouter quatre autres à sa liste exhaustive de 140 études scientifiques sur
l’immunité naturelle.
Ces « vérificateurs de faits » et ces « agences sanitaires » agissent davantage comme des vendeurs de vaccins que comme des gardiens de la confiance du
public.
Même lorsque la vérité est révélée, ils ne peuvent s’empêcher de continuer à promouvoir le programme de vaccination universelle. C’est triste, pathétique, et ça vieillit.
Deux décisions de conseils de prud’hommes
remettent en cause l’obligation vaccinale des personnels travaillant dans des établissements de santé. Suspendues par leur employeur respectif, deux salariées d’Ehpad non-vaccinées ont
obtenu gain de cause devant les conseils de prud’hommes d’Alençon et de Colmar. Statuant en référé, ces deux instances ont considéré que
“la suspension sans rémunération de salariées travaillant en Ehpad, ayant refusé de se soumettre à l’obligation vaccinale contre le covid-19, constituait un trouble manifestement illicite”.
Les employeurs condamnés ont dû indemniser les deux salariées et reprendre le paiement du salaire. En vertu de la loi du 5 août 2021 sur l’obligation vaccinale, ces deux
salariées non-vaccinées avaient été notifiées de leur suspension de fonction avec non-paiement du salaire. L’une des salariées était infirmière, l’autre était comptable. Pour les
conseils des prud’hommes saisis, le refus de se soumettre à l’obligation vaccinale était justifié dans les deux cas.
Les scientifiques et les médecins ont déjà réalisé d’innombrables expériences pour tenter de prouver la théorie des germes au cours des 120 dernières années, et toutes ont échoué. Voici
quelques-unes des expériences qui ont été réalisées sur le rhume, la grippe et la rougeole.
En mars 1919, Rosenau et Keegan ont mené 9 expériences distinctes sur un groupe de 49 hommes en bonne santé, afin de prouver la contagion. Dans les 9 expériences, 0/49 hommes
sont tombés malades après avoir été exposés à des personnes malades ou aux fluides corporels de personnes malades. En novembre 1919, Rosenau et al. ont mené 8 expériences distinctes sur un groupe
de 62 hommes pour tenter de prouver que le virus de la grippe est contagieux et provoque la maladie. Dans les 8 expériences, 0/62 hommes sont tombés malades. Une autre série de 8 expériences a
été entreprise en décembre 1919 par McCoy et al. sur 50 hommes pour essayer de prouver la contagion. Une fois encore, les 8 expériences n’ont pas réussi à prouver que les personnes atteintes de
la grippe ou leurs fluides corporels provoquaient la maladie. 0/50 hommes sont tombés malades.
En 1919, Wahl et al. ont mené 3 expériences distinctes pour infecter 6 hommes sains avec la grippe en les exposant à des sécrétions des muqueuses et des tissus
pulmonaires de personnes malades. 0/6 hommes ont contracté la grippe dans chacune des trois études.
En 1920, Schmidt et al ont mené deux expériences comparatives,
exposant des personnes en bonne santé aux fluides corporels de personnes malades. Sur 196 personnes exposées aux sécrétions des muqueuses de personnes malades, 21 (10,7 %) ont développé un rhume
et trois ont développé une grippe (1,5 %). Dans le second groupe, sur les 84 personnes saines exposées aux sécrétions des muqueuses de personnes malades, cinq ont développé la grippe (5,9 %) et
quatre des rhumes (4,7 %). Sur quarante-trois témoins qui avaient été inoculés avec des solutions salines physiologiques stériles, huit (18,6 %) ont développé des rhumes. Un pourcentage plus
élevé de personnes ont été malades après avoir été exposées à la solution saline par rapport à celles qui ont été exposées au “virus”.
En 1921, Williams et al. ont essayé d’infecter expérimentalement 45
hommes sains avec le rhume et la grippe, en les exposant à des sécrétions des muqueuses de personnes malades. 0/45 sont tombés malades.
En 1924, Robertson & Groves ont exposé 100 personnes en bonne santé aux sécrétions corporelles de 16 personnes différentes souffrant de la grippe. Les auteurs ont conclu
qu’aucune personne sur 100 n’était tombée malade à la suite de cette exposition aux sécrétions corporelles.
En 1930, Dochez et al. ont tenté d’infecter expérimentalement un
groupe d’hommes avec le rhume. Les auteurs ont déclaré quelque chose d’étonnant dans leurs résultats.
“Il est apparu très tôt que cet individu était peu fiable et, dès le début, il a été possible de le tenir dans l’ignorance de notre procédure. Il présentait des symptômes discrets après son
injection-test de bouillon stérile et pas de résultats plus frappants avec le filtrat froid, jusqu’à ce qu’un assistant, le deuxième jour après l’injection, fasse par inadvertance référence à
cet échec à contracter un rhume.
Ce soir-là et cette nuit-là, le sujet a fait état d’une symptomatologie sévère, comprenant des éternuements, une toux, un mal de gorge et une congestion nasale. Le lendemain matin, il a
appris qu’il avait été mal informé sur la nature du filtrat et ses symptômes ont disparu dans l’heure qui a suivi. Il est important de noter qu’il y avait une absence totale de changements
pathologiques objectifs.”
En 1940, Burnet et Foley ont essayé d’infecter expérimentalement 15 étudiants universitaires avec la grippe. Les auteurs ont conclu que leur expérience était un
échec.
Voici 4 autres expériences menées en 1918 pour
prouver la contagion mais qui ont échoué.
“Notre analyse n’a trouvé aucune étude expérimentale humaine publiée dans la littérature anglophone décrivant clairement la transmission de la grippe de personne à personne. »
SUPERBE PHOTO DE CETTE PROTEINE DANS NOTRE CORPS EN FORME DE CROIX ET BRILLANTE TELLE UNE ETOILE J EN SUIS RENVERSEE D
ETONNEMENT
Les laminines sont une famille de protéines, plus précisément de
glycoprotéines hétérotrimériques3 de grande taille avec un poids moléculaire de 400 à 1000 kDa3.
Les laminines sont composées par l’assemblage de 3 chaînes polypeptidiques : α (alpha), β (bêta) et γ (gamma). Ces trois chaines, codées par
des gènes distincts, sont reliées entre elles par des ponts disulfures4. Les laminines ont une morphologie en croix asymétrique avec trois bras courts et un bras long. Les extrémités N-terminal et C-terminal correspondent respectivement aux
bras courts et au bras long. (Cf schéma)
Les laminines possèdent 3 familles de récepteurs majeurs. Celles-ci se lient principalement à la région globulaire C-terminal des chaînes α. Les
intégrines et les protéoglycanes à glycosaminoglycanes sulfatés s’attachent à toutes les chaînes α, à l’inverse du dystroglycane
qui se lie spécifiquement aux chaînes α1 et α2. Il existe aussi des protéoglycanes pouvant se fixer aux chaînes β et γ, et de l’héparane sulfate aux chaînes α et β. De plus, les chaînes β et γ
fixent les molécules de collagène5. Par ailleurs la laminine peut se lier grâce à des sites de liaisons spécifiques au nidogène, au collagène IV, aux intégrines, et enfin au protéoglycanes (GAGs : glycosaminoglycanes sulfatés)
Les laminines ont plusieurs fonctions cellulaires.
Au niveau du système nerveux, la fasciculation permet l’élongation des axones. Celle-ci résulte de l’interaction entre les laminines de la matrice extra-cellulaire et les intégrines qui sont des molécules spécifiques
exprimées à la surface des axones7.
Les laminines interviennent également dans les phénomènes de migrations cellulaires, entre autres lors de l’embryogenèse. De plus, il a été mis en
évidence que certaines cellules migrent sur une matrice contenant de la laminine qu’elles sécrètent elles-mêmes8.
Les laminines 5, 6 et 7, situées au niveau des hémidesmosomes, jonctions adhésives, participent à la cohésion des cellules épithéliales au niveau de leurs faces basales (caudales)
et permettent ainsi de déterminer leur polarité9.
Les laminines 1 et le collagène IV forment un réseau qui constitue la charpente de la membrane basale afin de réaliser un maintien structural et fonctionnel des tissus 9.
Le Dr Robert Malone, pionnier de la technologie ARNm, a déclaré vendredi que les mandats gouvernementaux sont en violation du code de Nuremberg et a exhorté les gens à s’élever contre eux avant
qu’il ne soit trop tard.
Au cours d’une interview sur le podcast de Joe Rogan, le Dr Malone a lâché une bombe
après l’autre sur la corruption rampante des élites – des fonctionnaires couvrant des traitements précoces efficaces, jusqu’aux pots-de-vin fédéraux versés aux établissements de santé en échange
de chiffres de décès gonflés par le Covid.
« Notre gouvernement est hors de contrôle sur ce sujet [la réponse au Covid] et ils sont sans foi ni loi. Il ignore complètement la bioéthique. Ils ignorent complètement la règle
commune fédérale.
Ces mandats d’un vaccin expérimental sont explicitement illégaux. Ils sont explicitement incompatibles avec le code de Nuremberg. Ils sont explicitement incompatibles avec le rapport
Bellmont. Ils sont carrément illégaux et ils s’en moquent.
Avec un peu de chance, nous allons les arrêter avant qu’ils ne prennent nos enfants. »
On Joe Rogan, Dr Robert Malone indicts our government’s response to covid
“They are lawless. They completely disregard bio-ethics. They’ve broken all the rules that I know, that I’ve been trained on for years”. pic.twitter.com/mxG7phVhIJ
Certes, une grande partie de ce que le Dr Malone a révélé à Rogan avait déjà été rapportée par des médias alternatifs, mais l’audience massive qui écoute The Joe Rogan Experience
l’entend pour la première fois.
Un Joe Rogan stupéfait a sûrement compris le message, comme il l’a dit au Dr Malone :
« C’est fou, c’est tellement fou à entendre. Je pense que nous sommes à un angle descendant de 45 degrés vers une montagne, je le pense vraiment.
Je trouve tellement étrange que personne ne s’insurge contre cela – à part les quelques personnes qui ont été censurées et les quelques personnes qui ont ces points de vue opposés qui sont
considérés comme quelque chose qui ne peut pas être discuté. »
L’interview complète dure plus de 3 heures, voici donc quelques-unes des meilleures et des plus importantes parties – avec l’aimable autorisation de l’utilisateur de Twitter MythinformedMKE.
Tout d’abord, le Dr Malone analyse les « indemnités de décès » versées aux hôpitaux par le gouvernement fédéral en échange de cas covid, qui incitent les
prestataires de soins à gonfler artificiellement le nombre d’infections et de décès.
Incroyablement, les hôpitaux peuvent recevoir jusqu’à 30 000 dollars de prime pour placer un patient sous respirateur, et ils peuvent recevoir encore plus d’argent si le
patient est déclaré mort à cause du virus, qu’il ait contribué ou non à son décès.
En bref, plus les patients sont en bonne santé, moins ils reçoivent de primes. Cela semble un peu rétrograde, non ?
« Les chiffres sont assez importants. Il y a quelque chose comme 3 000 $ d’indemnité de décès pour un hôpital s’il [l’admission d’un patient] peut être déclaré comme étant
Covid.
Il y a une incitation financière à dire que quelqu’un est positif au Covid. Les hôpitaux reçoivent une prime du gouvernement – je crois que c’est environ 3 000 $ – si une personne est
hospitalisée et peut être déclarée positive au Covid.
Ils reçoivent également une prime – je pense que le total est de l’ordre de 30 000 dollars – si quelqu’un est mis sous respirateur.
Puis ils reçoivent un bonus si quelqu’un est déclaré mort avec Covid.
Les CDC ont décidé qu’ils allaient faire une hypothèse de base – si [quelqu’un est] PCR positif, et [qu’il] meurt, c’est un décès dû au Covid.
Donc, l’exemple extrême, juste pour montrer l’absurdité : si le patient arrive avec un trou de balle dans la tête, qu’on lui fait un prélèvement nasal et qu’il est PCR positif, on
détermine qu’il est mort à cause du Covid.«
Regardez :
Dr. Robert Malone explains to Joe Rogan what financial benefits hospitals receive for COVID patients and deaths.
If a person is killed by a gun shot wound and had COVID, the hospital would consider that a COVID death. pic.twitter.com/oOptIgHIAY
Le Dr Malone a également parlé de plusieurs conflits d’intérêts graves entre les fabricants de vaccins et les vérificateurs de faits des médias de gauche.
Plus précisément, Thompson-Reuters. Ce média est devenu le principal
« vérificateur de faits » pour de grandes plateformes comme Twitter, qui s’est attaqué à la soi-disant « désinformation médicale », notamment en ce qui
concerne les vaccins expérimentaux.
Le seul problème est que Pfizer et Thompson-Reuters partagent la propriété de l’entreprise, ce qui pose un problème lorsqu’une grande majorité des informations qu’ils vérifient
comme étant vraies ou fausses – et qui peuvent donc être diffusées parmi les masses – sont directement liées à leurs résultats financiers respectifs.
« Thompson-Reuters est lié à Pfizer, ils ont un actionnariat commun et ils sont les ‘vérificateurs de faits’ de Twitter – ils sont intégrés.
Donc, Thompson-Reuters prend la décision, qui a des liens avec Pfizer, sur les informations qui seront autorisées à être discutées sur Twitter. »
On Joe Rogan, Dr Robert Malone explains how Twitter’s primary fact checking organization has financial connections to Pfizer.
This represent a serious conflict of interest as they help determine what medical information is allowed to be heard and discussed. pic.twitter.com/TzSwpRWhj0
Le Dr Malone aborde ensuite la question de l’« immunité naturelle ». Comme l’ont prouvé de nombreuses données – au fil des ans et même en ce qui concerne spécifiquement Covid –
les personnes qui se rétablissent naturellement et acquièrent une immunité naturelle sont beaucoup mieux protégées que si elles se contentent d’un vaccin manufacturé – en
particulier lorsqu’il s’agit de ces vaccins expérimentaux à ARNm qui ont montré une forte baisse de l’immunité qui, à terme, rend la personne plus susceptible d’attraper le virus que ses pairs
non vaccinés.
Selon le Dr Malone, on craint maintenant que les personnes ayant une immunité naturelle soient en fait plus susceptibles de subir une réaction indésirable aux vaccins que celles
qui n’ont jamais été infectées par le Covid.
« Il est très clair que les personnes qui ont une immunité naturelle ont un facteur de risque beaucoup plus élevé pour toute cette gamme d’événements indésirables si elles se
font vacciner.
Il y a un certain nombre de choses ici qui ne sont pas soutenues ‘par la science’, pour le dire gentiment. [Mais comme nous sommes dans l’émission de Joe Rogan, je peux
parler librement, c’est nucking futz. C’est tout simplement faux.«
Joe Rogan and Dr. Robert Malone discuss how people with natural COVID immunity are at a higher risk of adverse events from the vaccine. pic.twitter.com/faAXiHMuL1
L’une des révélations les plus choquantes du Dr Malone est survenue lorsqu’il a parlé de la province indienne de l’Uttar Pradesh, qui a connu l’un des plus grands succès contre le Covid-19 parmi
toutes les régions du monde, grâce au déploiement rapide de trousses de traitement précoce comprenant plusieurs médicaments pour combattre le virus.
Malgré le succès des traitements précoces distribués dans la province avec l’aide de l’OMS, le gouvernement indien n’a pas officiellement divulgué au reste du monde les médicaments
utilisés dans les kits de soins (bien que l’Ivermectine ait été signalée comme l’un des médicaments utilisés).
Selon le Dr Malone, la décision de l’Inde a apparemment été prise sur l’ordre de Joe Biden, qui a personnellement rendu visite au premier ministre du pays juste avant qu’ils ne
décident de ne pas divulguer les traitements.
« L’Uttar Pradesh, comme vous le savez, a écrasé le Covid. On ne sait pas exactement quels sont les médicaments [qu’ils ont utilisés]. Ce que nous savons, c’est qu’une
décision a été prise [alors que] le virus était en train de déchirer l’Uttar Pradesh, qui a la même population que les États-Unis.
La composition n’a pas été officiellement divulguée. Elle a été faite en coordination avec l’OMS, et la rumeur dit que ces paquets contenaient de l’ivermectine.
Mais Biden a rendu une visite spécifique à Modi [le Premier ministre indien] et le gouvernement indien a décidé de ne pas divulguer le contenu des colis déployés dans l’Uttar
Pradesh.
Ils [les colis médicaux] sont toujours là, et l’Uttar Pradesh est à plat en ce moment. Le reste du monde parle d’Omicron et des hospitalisations, mais l’Uttar Pradesh est toujours à
plat en termes de décès.
Il y a eu une réunion entre Joe Biden et Modi. Tout ce que je sais, c’est qu’immédiatement après, il a été décidé de ne pas divulguer le contenu de ce qui était déployé dans l’Uttar
Pradesh. »
Dr. Robert Malone explains to Joe Rogan how Uttar Pradesh has crushed COVID with early treatment.
Joe Biden met with Narendra Modi and a decision was made to not disclose the contents of the treatment. Why? pic.twitter.com/PG9AkhIHvG
Il n’a jamais été question de sauver des vies. Le Dr Peter McCullough, cardiologue de renommée mondiale, a soulevé un problème similaire concernant la dissimulation de traitements potentiels pour
le Covid-19 au début du mois, lorsqu’il a tiré la sonnette d’alarme sur la bureaucratie américaine de la santé publique qui a délibérément supprimé les traitements afin de promouvoir les vaccins
expérimentaux – également dans l’émission de Joe Rogan.
Enfin, Joe Rogan et le Dr Malone discutent de la censure massive des discours non approuvés qui s’intensifie sur les plates-formes Big Tech. Joe Rogan s’en prend à Twitter qui censure
même les plus qualifiés d’entre nous, simplement parce qu’ils disent quelque chose qui va à l’encontre du récit, avant de passer le micro au Dr Malone pour qu’il parle de son récent
bannissement de la plateforme et des terribles conséquences qui découlent de l’écrasement de la liberté d’expression et d’une discussion ouverte.
Joe Rogan questions big tech for censoring “one of the most qualified people in the world to talk about vaccines”Dr. Robert Malone.
Ce ne sont là que quelques-uns des points les plus importants parmi beaucoup d’autres. Une fois encore, l’ensemble du podcast de plus de trois heures vaut la peine d’être écouté.
L’épisode complet de JRE avec le Dr Robert Malone (avec vidéo) est disponible sur Spotify, ici.
Le Dr Robert Young trouve de l'oxyde de graphène et d'autres ingrédients perturbants dans les quatre vaccins
occidentaux !
Le récent article du Dr Robert Young, qui montre une analyse détaillée du sang et des vaccins, est très technique mais mérite toute notre attention.
En somme, de l'oxyde de graphène a été trouvé dans les quatre vaccins.
De plus, des parasites Trypanosoma cruzi ont
été trouvés dans le vaccin Pfizer, qui sont composés de carbone, d'oxygène, de chrome, de soufre, d'aluminium, de chlorure et d'azote.
Les composants nanoparticulaires de tous les vaccins rendent la lecture très intéressante et dérangeante, tout comme les composants qui créent des effets magnétiques dans le corps. Une
question qui nous reste est, quel est l'effet supplémentaire de tout cela si nous ajoutons le rayonnement environnemental dans le mélange ?
Après tout, l'oxyde de graphène est une substance extrêmement conductrice, très sensible au rayonnement
électromagnétique.
Le travail de Young comprend également l'analyse du sang des vaccinés.
Nous vous recommandons fortement de télécharger l'analyse complète du Dr Young.
Pris ensemble, les composants du "vaccin", qui comprennent l'oxyde de graphène réduit, parmi beaucoup d'autres, et qui peuvent être influencés par des sources de rayonnement
externes à notre corps, créent une soupe chimique et radiative toxique à l'intérieur de notre corps.
Les "vaccins" ne sont certainement "PAS des vaccins, mais des médicaments nanotechnologiques fonctionnant comme une thérapie génétique".
Les travaux du Dr Young jusqu'à présent confirment ce que l'équipe espagnole appelée La Quinta Columna a trouvé.
Trouvez leurs courtes vidéos sur Rumble sous “Orwellito“ et l'Allemand Dr Andreas Noack (qui a été tué) a présenté ici.
***
L'enquête publiée par le Dr Young sur le contenu des vaccins, ainsi que sur le sang des vaccinés, concerne la récente approbation par la FDA du vaccin Pfizer.
Comme Karen Kingston l'a dit très clairement
à Stew Peters la semaine dernière, Pfizer dispose désormais de 14 jours pour se prononcer sur les ingrédients du vaccin, ainsi que sur les événements indésirables,
etc.
Le Dr Young nous donne un
aperçu de ce qui peut être déclaré ou encore caché.
********
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle de l'oxyde de graphène dans les vaccins CoV-19 !
DR. ROBERT O. YOUNG
La microscopie à contraste de phase, la microscopie électronique à transmission et à balayage et la spectroscopie à rayons X à dispersion d'énergie révèlent les
ingrédients des vaccins CoV-19 !
ANALYSE – Des chercheurs, des universitaires, des statisticiens et quelques journalistes essayent d’alerter la
population sur la « mortalité vaccinale », c’est-à-dire sur les morts provoquées par la vaccination COVID, qui se chiffrent déjà en milliers de personnes et qui est aussi
accompagnée de centaines de milliers d’effets secondaires graves dans le monde. Ces personnes qui alertent, trop peu nombreuses si on considère la gravité de la situation, sont
victimes de censure et les États ainsi que les firmes pharmaceutiques, par la bouche des médias, nient ou ignorent ces chiffres alors même que ces données sont officielles et accessibles si on fait
l’effort de les rechercher (CDC-VAERS, Eudravigilance) et on estime que ces remontées ne représentent qu’environ 10% de la réalité.
Issu de (Starr TN et al., 2020)
Le but de cet article est d’évoquer les mécanismes biologiques pouvant expliquer la
toxicité des vaccins qui utilisent des technologies génétiques à base d’ARNm et d’ADN, basées sur la fabrication par l’organisme humain d‘une réplique proche de la
protéine spike du SARS-CoV2. Une fois cette protéine produite, elle induit une réaction immunitaire qui permet l’élaboration d’anticorps contre le virus SARS-CoV2,
responsable de la pathologie du COVID.
Introduction sur la protéine Spike
La maintenant célèbre protéine « Spike » (protéine « de pointe » en français) permet au
virus SARS-CoV2 (le virus qui provoque le COVID) de s’ancrer sur les cellules humaines grâce à son récepteur : l’ACE2. L’image ci-dessus représente cette liaison avec en rouge les
protéines spike du virus qui lui donnent d’ailleurs le nom de coronavirus (couronne) ; la partie rose de la protéine spike (RBD ou domaine de liaison au récepteur) est la partie
précise qui permet la liaison au récepteur ACE2 (en bleu) et permet ensuite au virus de pénétrer dans la cellule humaine où il va libérer son ARN et se répliquer avant d’infecter
d’autres cellules.
Le récepteur ACE2 est une protéine qui traverse la membrane des cellules qui la contiennent (on dit qu’elle
est transmembranaire), et s’appelle Angiotensin-converting enzyme 2.
Pourquoi la Spike est toxique
Commençons par parler du virus. Notre « malchance », comme déjà écrit dans ma lettre d’information à l’attention des parlementaires,
est que le récepteur ACE2 est une protéine clé pour notre santé ! C’est une enzyme (une protéine qui facilite des réactions chimiques) qui a des missions extrêmement positives et
cruciales pour notre organisme : elle aide à réguler la pression sanguine et surtout, ce qui est particulièrement clé dans la pathologie du COVID, elle est très importante pour lutter
contre l’inflammation dans notre organisme ! Et le COVID est une pathologie inflammatoire.
Le virus se fixe donc sur une protéine très utile pour l’équilibre de notre santé. En étant
sollicitée/occupée par son lien avec le virus, l’ACE2 ne peut plus jouer son rôle anti-inflammatoire essentiel. Cela crée un déséquilibre avec une autre enzyme avec laquelle elle
est normalement en balance : l’ACE (l’Angiotensin-converting
enzyme) qui elle, active l’inflammation et qui elle, est laissée libre par le virus. La conséquence de ce déséquilibre ACE2/ACE est une hyper-inflammation qui se développe par
l’intermédiaire de quatre voies biochimiques majeures qui seront ré-évoquées dans cet article.
Donc c’est précisément en se liant à ACE2 que la protéine spike du virus SARS-CoV2 produit une part
significative de l’inflammation que l’on observe dans le COVID ! Et qui peut conduire au fameux « orage de cytokines », à la pneumonie et au syndrome de détresse
respiratoire aiguë potentiel (ARDS) avec coagulation et enfin à la mort.
Et c’est cette même protéine spike que l’on demande aux vaccins ARNm et ADN de produire en grande quantité
(incontrôlée) dans notre organisme ! Avec la même affinité pour le récepteur ACE2, donc capable de déclencher les mêmes processus inflammatoires que la spike du virus, ceci étant
bien connu dans la littérature scientifique depuis dix ans au moins et donc aussi par les fabricants de vaccins.
Une toxicité diffuse de spike dans l’organisme, disséminée par le virus mais aussi par les vaccins
Le deuxième problème très préoccupant qui décuple la toxicité de cet interaction Spike/ACE2 est que ces
récepteurs ACE2 sont présents à peu près partout dans l’organisme : pharynx, trachée, poumons, sang, cœur, vaisseaux, intestins, cerveau, organes génitaux masculins et reins, et
aussi dans les liquides organiques (mucus, salive, urine, liquide céphalo-rachidien, sperme et lait maternel) (Trypsteen W et al., 2020).
Aperçu du niveau d’expression des récepteurs ACE2 dans l’organisme – Le gradient de couleur (orange) indique le niveau bas ou élevé d’expression d’ACE2 dans les tissus ou les fluides
biologiques. Les plus hauts niveaux ont été détectés dans la cavité orale, le tractus gastrointestinal et le système reproducteur masculin – De (Trypsteen W et al.,
2020)
Cela a pour conséquence pour le virus, de pouvoir créer cette inflammation dans de nombreux organes.
D’ailleurs, la majorité des patients atteints de COVID présentent divers autres symptômes en plus de troubles respiratoires, notamment des dysfonctionnements neurologiques,
cardiovasculaires, intestinaux et rénaux (Argenziano MG et al., 2020) (Huang Cet al., 2020) (Lin L et al., 2020) (Chu KH et al., 2005) (Mao L et al., 2020).
La protéine spike étant présente dans le SARS-CoV2 (et ses variants) etdans
les vaccins la produisant, cette toxicité s’applique donc à la fois au COVID (formes graves mais aussi COVID longs) mais aussi potentiellement à tous les
vaccins qui reposent sur une production non maîtrisée de protéine spike par les cellules, au contraire des vaccins qui sont réalisés à partir de virus entier désactivé ou à base de
protéine spike désactivée. En effet, on sait maintenant qu’après injection de tels vaccins, on retrouve cette protéine spike à la fois à la surface des cellules (là où les fabricants
nous avaient dit qu’elle se retrouverait) mais on retrouve aussi une quantité importante libre et circulant dans le sang et atteignant différents organes y compris le cerveau. Tous
ces organes, cerveau compris, exprimant des récepteurs ACE2. L’inflammation peut avoir lieu partout y compris dans des organes vitaux : cœur, cerveau, foie, reins…
Alors ? pourquoi les dossiers des firmes vaccinales (Moderna, Pfizer) ne donnent que des informations (très
incomplètes) sur la toxicité de l’ARNm ? Et rien sur
la sécurité de la protéine spike !? Peut-être parce que des chercheurs ont montré que la protéine spike seule pouvait induire des thromboses. Et on parle bien ici de la spike seule,
sans le virus entier, comme dans le cas des vaccins ARNm et ADN produisant de la spike (Nuovo GJ, et al., 2021). Il a été démontré en effet qu’une partie des protéines spike
synthétisées par les cellules cibles du vaccin se retrouvent sous forme libre et circulent dans le sang où elles peuvent interagir avec les récepteurs ACE2 exprimés par diverses
cellules, y compris les plaquettes, favorisant ainsi les phénomènes inflammatoires évoqués (Angeli F et al., 2021) (Zhang S et al., 2020).
Toxicité de la protéine spike issue des vaccins
Une étude très intéressante a montré qu’en utilisant un pseudo-virus à la surface duquel on a exprimé la
protéine spike (partie S1 qui contient le RBD) du SARS-CoV2 mais dépourvu d’ARN viral, on provoquait une inflammation et des dommages dans les artères et les poumons de souris
exposées par voie intratrachéale (Lei et al., 2021). La même chose a été observée sur des cellules humaines épithéliales (celles qui tapissent la paroi de nos vaisseaux) avec attaque
des mitochondries (compartiment qui fabrique l’énergie de la cellule). Ce travail montre clairement que la protéine spike seule, non associée au reste du génome viral, est suffisante
pour provoquer les dommages cardiovasculaires associés au COVID-19. Les implications pour les vaccins sont évidemment très préoccupantes !
Les images prises en microscopie confocale ci-dessus (Lei et al., 2021) montrent la fragmentation de la mitochondrie dans des cellules endothéliales vasculaires traitées avec la
protéine Spike SARS-CoV-2 (à droite) par rapport à des cellules normales (à gauche).
Au moins aussi préoccupant, dans une étude in
vitro, des chercheurs ont montré que la spike seule (partie S1) induisait une perte d’intégrité de la barrière hémato-encéphalique (qui sépare les vaisseaux irriguant le
cerveau du système nerveux central) sur un modèle reconstituant cette barrière, ce qui suggère la possibilité d’une inflammation dans les vaisseaux du cerveau et dans le cerveau
lui-même (Buzhdygan et al., 2020).
Ce passage de la barrière hémato-encéphalique a été confirmé chez la souris et la protéine spike a été
observée sur les neurones dans tout le cerveau (Rhea EM et al., 2021). C’est très perturbant car on sait que l’ARNm des vaccins peut atteindre le cerveau (Bahl et al., 2017), comme le
précise aussi l’Agence Européenne du Médicament (EMA) à hauteur de 2% de la concentration plasmatique (European Medicines Agency, 2021). Cet ARNm peut y produire de la protéine spike
et les récepteurs ACE2 étant très nombreux dans le cerveau, on peut s’attendre à des problèmes d’ordre nerveux ou de dégénérescence? notamment de cellules qui ne sont pas
renouvelées.
D’autre part, la protéine spike du SARS-CoV2 et du vaccin en mobilisant ACE2 induit aussi une diminution de la
sérotonine, ce qui aggrave ou peut provoquer des états dépressifs voire suicidaires (Klempin F et al., 2018) (de Melo LA et al., 2020).
À noter aussi que des pertes d’odorat (anosmie) ont été décrites suite à la vaccination chez des sujets
négatifs au COVID, ce qui montre que des symptômes identiques au COVID peuvent apparaître et avoir été déclenchés uniquement par la protéine spike (Konstantinidis I et al.,
2020).
Au vu de ces travaux accessibles facilement sur les bases de
données ou même Google… tout chercheur ou médecin consciencieux devrait se poser la question de la toxicité de la protéine spike dans les vaccins. Les déclarations de l’AFP,
des politiques quelles que soient leur fonction, ou des fameux « fact
Checkers » doivent être ignorées au profit d’une vraie recherche critique? car il en va de la santé de la plupart des humains sur cette planète, enfants compris, puisqu’on
est entré dans une « logique » de vaccination de masse.
En fait, de nombreux chercheurs et médecins dans le monde ont conscience et observent la toxicité de ces
nouvelles thérapies géniques, mais on leur donne peu de place dans les médias dans ce cadre très contrôlé de la doxa du COVID et de la
vaccination comme seule solution à la crise que nous traversons, comme évoqué dans cette vidéo du Conseil Scientifique
Indépendant du 29 avril 2021.
Les préoccupations légitimes sur le sujet passent parfois le filtre, comme cette lettre du Dr J. Patrick
Whelan de l’Université de Californie dans un courrier de décembre 2020 à la FDA : https://www.regulations.gov/document/FDA-2020-N-1898-0246
« Aussi important soit-il d’arrêter rapidement la propagation du virus en immunisant la population, ce
serait bien pire si des centaines de millions de personnes subissaient des dommages durables, voire permanents, de leur système microvasculaire cérébral ou cardiaque à la suite d’un
défaut d’appréciation à court terme, un effet involontaire des vaccins à base de protéines de pointe, pleine longueur sur ces autres organes.
Une prudence particulière sera de mise en ce qui concerne la vaccination potentielle à grande échelle des
enfants, avant qu’il n’y ait des données réelles sur l’innocuité ou l’efficacité de ces vaccins dans les essais pédiatriques qui ne font que commencer. »
C’est tout simplement du bon sens, de l’éthique et tout d’abord un peu de recherche bibliographique puisque sa
lettre est étayée de publications.
Ce qui est plus grave encore, c’est que la toxicité de la spike seule (comme dans les vaccins) est connue
depuis plus de dix ans (Chen IY et al., 2010) avec le SARS-CoV1 ! Et la protéine spike du SARS-CoV-1 est identique à 76-78% à celle du SARS-CoV-2 (Wan Y et al., 2021). Ainsi, des
études in
vivo ont démontré que la protéine de pointe du SARS-CoV-1 aggravait l’insuffisance pulmonaire aiguëe par des voies inflammatoires similaires au SARS-CoV2 (Kuba K et al.,
2005) (Patra T et al., 2020).
Encore pire, des études remontant aussi à l’infection par le MERS-CoV et le SARS-CoV-1 ont montré que les
vaccins basés sur la protéine spike entière induisaient une forte réponse inflammatoire immunitaire dans de nombreux organes et en particulier dans le poumon et le foie (Czub M et
al., 2005) (Weingartl H et al., 2004). Dans ces études in
vivo chez le furet, non seulement la vaccination n’a pas empêché l’infection mais les animaux vaccinés ont présenté des réponses inflammatoires significativement plus fortes
que les animaux témoins et une nécrose focale dans le tissu hépatique !
Ces études et d’autres ont montré qu’il était très difficile de vacciner contre les coronavirus (Jaume M et
al., 2012. Même Peter Daszak, le directeur d’EcoHealth Alliance qui a servi de relai financier entre le NIAID américain du Dr Fauci en collaboration avec RalphS. Baric (Université
Caroline du Nord) et le laboratoire chinois de Wuhan, et qui ont très probablement conduit à l’unicité de ce SARS-Cov2, a écrit sur les coronavirus que « certains d’entre eux
peuvent provoquer la maladie du SARS chez des modèles murins humanisés. Ils ne sont pas traitables avec les anticorps monoclonaux thérapeutiques et vous ne pouvez pas vacciner contre
eux avec un vaccin ».
Quels vaccins diffusent la spike et quelles conséquences ?
En effet, c’est cette grande différence qu’il faut comprendre entre les vaccins :
les vaccins dits « classiques » où l’on injecte directement l’antigène
qui est, soit le virus entier désactivé et contenant toutes les protéines du virus (le vaccin chinois Sinovac, le vaccin français Valneva), soit une protéine (Novavax), qui est à
ce jour la spike. Dans les deux cas, la quantité de spike présente est limitée (et désactivée) ; cela va faire produire au corps des anticorps contre le virus mais ces
protéines injectées sont en quantité définie et vont ensuite être éliminées.
les vaccins où l’on injecte de l’ARNm (Pfizer, Moderna) ou de l’ADN (Sputnik, Astrazeneca, Janssen) qui
vont faire produire aux cellules humaines la protéine spike qui devient alors l’antigène de façon indirecte.
Il faut ajouter qu’on ne sait pas précisément quelles cellules vont le faire et que de plus ce n’est pas leur fonction normale de toute façon !!
Une étude de Pfizer montre que l’ARNm a été détectée dans la plupart des tissus dès les premiers instants
après injection (15 minutes) et les résultats confirment que le site d’injection et le foie sont les principaux sites de distribution (EMA, 2021). De faibles niveaux de radioactivité
ont été détectés dans la plupart des tissus, les taux les plus élevés dans le plasma, étant observés une à quatre heures après la dose. Après 48 heures (avec un maximum des
concentrations observées 8 à 48h), on retrouve cet ARNm surtout dans le foie (jusqu’à 21,5 %), les glandes surrénales, la rate (≤ 1,1 %) et les ovaires (≤ 0,1 %).
Ainsi, ce qui paraît « beau » sur le papier, pour beaucoup de scientifiques, semble aussi totalement
inconsidéré et potentiellement très dangereux, en dehors même de la toxicité clairement établie de la spike pour de nombreux autres scientifiques ! Même si trop de ces
derniers se taisent.
En réalité, la production de protéine spike par cet ARNm se fait de façon anarchique et on ne sait pas
précisément combien de temps cette protéine toxique est produite et demeure présente dans les cellules de nos organes mais aussi dans la circulation sanguine. Il semble qu’on la
retrouve après plusieurs semaines avec la possibilité de produire une inflammation chronique dans de nombreux organes.
En plus de la spike qui est libre et circulante, la spike est aussi exprimée sur les cellules endothéliales et
peut activer les plaquettes sanguines et activer la coagulation, ce qui conduit aussi à des thromboses (en libérant du facteur plaquettaire 4 ou PF4) (Hermans C et al, 2021)
(Greinacher A et al., 2021).
Le problème est donc que les vaccins qui induisent la production de protéine spike ont un potentiel
inflammatoire et oxydant très fort et sur une durée qu’il est difficile encore d’évaluer, étant donné qu’on ne le sait pas précisément par les études de sécurité très incomplètes des
fabricants. L’humanité presque entière fait l’objet d’un test clinique. On verra bien ! Une étude a montré que la protéine était retrouvée pendant au moins 15 jours après
vaccination pour Moderna, avec un pic entre un et cinq jours à environ à 68 ng/L (nanogramme = milliardième de gramme par litre de plasma) (Ogata AF et al., 2021). Plus d’études sont
nécessaires bien sûr mais ce travail aurait dû être fait et publié par les firmes elles-mêmes, étant donné la toxicité connue de cette protéine, et cela n’a pas choqué ni la FDA, ni
l’EMA ni l’OMS !
Avec la deuxième injection (à partir de 21 jours) c’est un nouveau boostde
spike qui est produit alors même que les anticorps et l’organisme sont en train de travailler à l’élimination de cette protéine. Même si Ogata et son équipe observent une présence
beaucoup plus courte que pour la première dose (quelques jours), on a potentiellement une inflammation qui peut être chronique et étalée sur plusieurs semaines pouvant ainsi
déstabiliser durablement l’équilibre inflammatoire dans les vaisseaux sanguins, le foie, le cerveau, les reins etc.
On parle donc ici de la possibilité de provoquer les mêmes symptômes que le COVID mais aussi potentiellement
de promouvoir toutes les maladies inflammatoires à moyen et long terme (cardiovasculaires, neurologiques, cancers, auto-immunes) en particulier chez les sujets qui ont déjà un terrain
inflammatoire (diabète par ex) ou des antécédents. « Nous devrions surveiller soigneusement les conséquences à long terme de ces vaccins, surtout lorsqu’ils sont administrés à
des individus, par ailleurs en bonne santé » (Suzuki YJ, Gychka SG, 2021).
Vaccins : effets secondaires graves, morts vaccinales et pathologies inflammatoires à plus long terme
Beaucoup de personnes avaient prévu cette sous-évaluation, étant donné que les entreprises pharmaceutiques se
sont déresponsabilisées des effets secondaires graves vis-à-vis des États qui eux, ont fait de même avec les citoyens. C’est ce qui explique en bonne partie qu’on estime que les
remontées des effets secondaires ne représentent qu’environ 10% de la réalité.
Au niveau de ces effets graves, on sait en particulier que des thromboses sont dues directement à la
vaccination, ainsi que des myocardites et péricardites, AVC etc. avec des taux élevés de D-dimères (marqueur de la coagulation) et de CRP (protéine C réactive : marqueur de
l’inflammation) (Greinacher A et al., 2021) (Diaz GA et al., 2021) (Dionne A et al., 2021).
La thrombose est la présence anormale d’un caillot de sang qui entraîne une occlusion partielle ou
totale? soit
d’une veine (thrombose veineuse ou
« phlébite »), soit d’une
artère (infarctus, AVC).
La myocardite est une inflammation du myocarde (muscle qui, en se contractant, permet au sang de circuler dans
les vaisseaux sanguins et de nourrir les organes du corps)
entraînant la destruction de ses cellules et diminuant ainsi sa capacité de contraction et sa capacité à fournir un apport en sang.
Progressivement, le cœur n’est
donc plus capable de pomper du sang. L’inflammation
peut s’étendre à tout le muscle cardiaque ou se limiter à une ou quelques zones. Une inflammation étendue dans tout le cœur peut entraîner une
insuffisance cardiaque importante, de graves troubles du rythme cardiaque et parfois une mort subite.
L’inflammation à la base de ces phénomènes survient très probablement, comme évoqué précédemment, quand les
protéines spike circulantes viennent réagir avec les récepteurs ACE2 omniprésents dans l’organisme et dérégler l’équilibre ACE2/ACE (Seneff S and Nigh, 2021) (Ogata AF et al., 2021).
Et justement, on sait que dans presque toutes les conditions pathologiques, en particulier celles du système cardiovasculaire mais aussi neuro-dégénératives, il existe une diminution
du rapport ACE2/ACE au sein des organes (Bernardi S et al., 2012) (Lavrentyev EN et al., 2009) (Mizuiri S et al., 2008) (Yuan YM et al., 2015) (Kehoe PG et al., 2016).
Dans une étude post vaccination avec le vaccin AstraZeneca des thromboses ont été observées chez onze sujets
(entre 22 et 49 ans, moyenne 36 ans) ayant développé des thromboses veineuses dont neus cérébrales, trois avec des embolies pulmonaires. Six des patients sont décédés de ces effets
secondaires graves, à un âge ou on ne meurt presque jamais du COVID (Greinacher A et al., 2021).
Devant le silence assourdissant et le déni des politiques, des médecins de plateau de télévision aux multiples
conflits d’intérêts, c’est finalement les chercheurs qui expriment leurs craintes devant ces effets graves et demandent au moins que l’on fasse un suivi post vaccinal :
« L’évaluation doit inclure une formule sanguine complète, une analyse des D-dimères, du fibrinogène, un panel de coagulation, des fonctions rénales et hépatiques et des
électrolytes, ainsi qu’un test ELISA PF4-héparine si disponible » (Long B et al., 2021).
Pour ce qui est de la neurotoxicité, les effets secondaires graves post vaccination peuvent être liés
vraisemblablement à la circulation de l’ARNm vers le cerveau mais aussi à la circulation de spike libre dans le sang qui passe la barrière hématoencéphalique (Buzhdygan et al., 2020)
(Rhea EM et al., 2021). En plus des effets neurologiques observés (dont paralysie de Bell) dans les premiers mois de vaccination, les maladies neurodégénératives seront à suivre dans
les années à venir. (Voir Stéphanie Seneff SARS-Cov2 Vaccines & neurodegenerative
disease)
Des hépatites aussi sont observées suite à la vaccination impliquant potentiellement des réactions
auto-immunes (Bril F et al., 2019) (Rocco A et al., 2021) dont certaines mortelles (Rela M et al., 2021). Les auteurs s’excusent presque de l’exprimer (ici AstraZeneca) :
« Alors qu’un patient s’est rétabli sans incident, un autre a succombé à une maladie du foie… Nous espérons que notre rapport ne dissuadera pas les campagnes de vaccination
COVID. Cependant, nous espérons également faire prendre conscience de ses effets secondaires potentiels et du rôle accru de la pharmacovigilance dans l’orientation du
traitement ».
Il est à noter que les études préliminaires sur les vaccins, comme AstraZeneca par exemple, le furent sur des
sujets assez jeunes et ont exclu les participants atteints de troubles sévères et/ou non contrôlés de maladies cardiovasculaires, gastro-intestinales, hépatiques, rénales,
endocriniennes/métaboliques, de maladies neurologiques, ainsi que les personnes immunodéprimées, les femmes enceintes (Voysey M et al., 2021). C’est donc une façon de minimiser les
effets secondaires graves et au final ces populations sont les premières à être vaccinées massivement parce que fragiles…
Facilitation par les anticorps (ADE en anglais)
Il faut aussi rappeler le phénomène appelé ADE (facilitation par les anticorps en français), où, quand on
a des anticorps défectueux ou pas assez compétents (ils sont appelés facilitants), les cellules immunitaires portant les anticorps contre le virus le reconnaissent, mais au lieu
de le détruire, vont l’« ingérer » et finalement contribuer à sa diffusion. La production d’anticorps facilitants a été observée dans de nombreuses maladies virales et/ou
après vaccination (virus de la dengue, Zika, Ebola, VIH, SARS-CoV, MERS-CoV, rougeole, péritonite infectieuse
féline, etc.).
Ceci a été brillamment vulgarisé par les Dr Fantini et Sabatier (Univ Aix- Marseille) dans cet article.
En résumé, il existe trois catégories d’anticorps fabriqués suite à une infection virale ou une vaccination
:
les anticorps qui n’ont aucun effet sur l’infection virale (anticorps neutres),
les anticorps qui bloquent l’infection virale (anticorps neutralisants),
les anticorps qui facilitent l’infection virale (anticorps facilitants).
Dans le contexte actuel, si les anticorps qui sont acquis par les personnes qui se vaccinent avec les
vaccins actuels, basés sur l’ARNm et ADN du SARS-CoV2 initial (février 2020), devenaient inefficaces pour détruire le variant delta ou les futurs variants (parce que ces virus
auraient trop évolué, muté), alors ces variants se multiplieraient encore plus facilement au contact de ces anticorps (dits alors facilitants), et les personnes
infectées peuvent faire souvent une forme plus grave.
Les auteurs de cet article ont aussi publié leur travail de modélisation, qui montre que les anticorps
facilitant la diffusion du virus (ADE), ont plus d’affinités avec la protéine spike que les anticorps neutralisants en ce qui concerne le variant delta (au contraire de ce qui est
observé avec la souche originale du ARS-Cov2 de 2020, Wuhan/D614G) !
D’où la conclusion des auteurs : « Nous suggérons donc d’évaluer au plus vite, dans les sérums
d’individus vaccinés, la balance neutralisation/ADE sur le variant Delta. » (Yahi Net al., 2021). Cela pourrait expliquer l’inefficacité constatée des vaccins Pfizer et Moderna
par exemple (utilisés en France) sur les contaminations. En ce qui concerne l’évolution de la pathologie en formes graves, pour l’efficacité de la vaccination il est un peu tôt pour
en parler, et les données officielles manquent de transparence, nous serons fixés en octobre-novembre.
Ce phénomène se produit beaucoup plus fréquemment avec des vaccins qu’avec les anticorps produits lors d’une
infection (Ulrich H et al., 2020) (Lee WS et al., 2020) (Cardozo T et al., 2021). C’est aussi un phénomène qui pourrait expliquer en partie le très grand nombre de vaccinés qui
développent le COVID et en meurent, comme les non vaccinés (ex d’Israël, UK, Islande). Il n’est pas idéal, voire dangereux, de vacciner en pleine épidémie.
Possibilité d’intégration de l’ARN à l’ADN
Tous les scientifiques reconnaissent qu’on ne connaît pas les risques de ce vaccin à long terme. Le plus grand
serait que cet ARNm ou ADN s’intègre à notre génome et produise de la protéine spike. Ce genre de phénomène, en plus de produire de la spike de façon continue, peut aussi venir
interférer au niveau du génome sur des gènes promoteurs de tumeurs et induire des cancers. Ceci est un phénomène possible et décrit, réalisé par les enzymes de type transcriptases
inverses (d’ARN à ADN).
La possibilité, et ce serait le pire, que l’ARN s’intègre définitivement dans l’ADN (deux enzymes au
moins du corps humain sont capables de le faire) (Zhang, L et al., 2021) (Chandramouly G et al., 2021). Là, il s’agirait alors d’une flambée de cancers qui pourraient être
observée entre un et dix ans. Maladies neurologiques et auto-immunes peuvent aussi en découler (Seneff S and Nigh, 2021).
Note sur les adjuvants
Certains des nanolipides utilisés par Pfizer ou Moderna pour encapsuler l’ARNm, n’ont jamais été utilisés, ni
en injection, ni par voie orale, non présentés sur le site de référence de l’ECHA (type nanolipides ALC-1059) et dont les sous-produits sont des cancérigènes potentiels connus
(N,N-Dimethyltetradecylamine) (EMA, 2021).
Il y aussi la présence d’adjuvants allergisants, comme le PEG qui peut entraîner jusqu’à un choc
anaphylactique (Shiraishi K et al., 2019) (Kounis NG et al., 2021)
Un point préoccupant, en plus de la toxicité de la spike, est que ces naonolipides sont aussi connus pour
entraîner des problèmes de coagulation. En fait, Moderna l’admet, même si on lit le brevet sur l’injection de vaccin ARNm encapsulé dans des nanolipides, qui est la base de la
technique des vaccins actuels: WO 2017/099823 Al. COMPOSITIONS AND METHODS FOR DELIVERY OF THERAPEUTIC AGENTS. 15 June 2017.
« Dans certains modes de réalisation, l’effet indésirable comprend une coagulopathie, une coagulation
intravasculaire disséminée (DIC), la thrombose vasculaire, la pseudo-allergie liée à l’activation du complément (CARPA), la réponse de phase aiguë (APR), ou une combinaison de
celles-ci. » Il est même prévu dans ce brevet l’ajout d’anticoagulants, antiallergiques ! :
« Dans certains modes de réalisation, l’agent (molécule qu’on peut ajouter) inhibe l’activation
plaquettaire. Dans certains modes de réalisation, l’agent est un inhibiteur de l’agrégation plaquettaire. Dans certains modes de réalisation, l’inhibiteur de l’agrégation plaquettaire
est l’aspirine ou le clopidrogrel (PLAVIX®). Dans certains modes de réalisation, l’inhibiteur de l’agrégation plaquettaire est choisi parmi l’aspirine/pravastatine, le cilostazol, le
prasugrel, l’aspirine/dipyridamole, le ticagrelor, le cangrelor, l’élinogrel, le dipyridamole et la ticlopidine. Dans certains modes de réalisation, l’agent inhibe le CD36 »
(MODERNA, 2017). »
On note clairement que les effets néfastes de ces nanolipides ont beaucoup en commun avec ceux du COVID, y
compris dans leur mode d’action inflammatoire (voie du complément) (Bumiller-Bini V et al., 2021) !
Conclusion
Pour toutes les raisons exposées dans cet article et étayées par la littérature scientifique, on s’aperçoit
que les formes graves et les décès observés, en particulier avec les vaccins de type ARNm et ADN que l’on nomme un peu rapidement vaccins, même s’ils produisent bien des anticorps
dirigés contre le virus SARS-CoV2, peuvent être expliqués par des mécanismes biologiques et biochimiques.
Cette toxicité, en particulier due à la protéine spike, est connue depuis plus de dix ans. Certains des
adjuvants et les nanolipides entourant l’ARNm sont aussi préoccupants et peuvent participer aux effets secondaires graves observés, dont, en particulier, les thromboses.
Nous n’avons pas suffisamment de recul sur ces technologies géniques comme les nomme l’inventeur
lui-même, Robert Malone. Il serait plus sage de
recommander des vaccins classiques (malgré les risques présents aussi d’ADE) ou avec une protéine spike désactivée et des adjuvants plus sûrs et connus. Cela pourrait d’ailleurs
inciter de nombreux citoyens éclairés ou non à se faire vacciner.
Nous assistons donc à une totale expérimentation à l’aveugle à l’échelle planétaire et c’est
inacceptable, car le risque est totalement inconsidéré notamment au vu de la mortalité et de la létalité faible de cette maladie du COVID. La létalité (mortalité chez les gens qui
contractent le virus) est en moyenne, dans le monde, située entre 0.5 et 1% contre 0.1% pour la grippe (John Hopkins data, july 2021).
Il est encore temps de regarder en face les vrais bénéfices et les vrais risques de cette vaccination, et
en particulier chez les jeunes, alors qu’il sont très peu affectés par la maladie, et que les vaccins n’empêchent pas la contamination. Ne perdons pas de vue que la vaccination,
en dehors des populations à risques, s’adresse à des sujets sains, à qui l’éthique impose de ne leur faire courir aucun risque,
primum non nocere.
Le Dr Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, a publié de nombreux ouvrages et articles
scientifiques. Avec son mari, Gérard Delépine, elle a alerté, chiffres à l’appui, sur les dangers et l’inutilité du confinement et des vaccins
expérimentaux. Le Conseil de l’Ordre et les médecins qui ne déclarent jamais leurs conflits d’intérêts occupent tous les écrans. Nicole Delépine n’est
jamais invitée à donner son avis qui dérange les intérêts des laboratoires. Elle fait partie des « justes », comme le Pr Perronne — dont
notre récente interview a été censurée par YouTube —, qui pensent que la médecine est faite pour soigner. Un avis qu’un certain Hippocrate aurait
certainement partagé.
« Les appels à la vaccination des enfants qui fleurissent actuellement dans les médias sont criminels
»
Le Média en 4-4-2 : Avant de commencer, on va vous poser la question que les médias
devraient toujours soumettre à leurs invités médecins : avez-vous des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique ?
Nicole Delépine : Non, je n’ai aucun lien d’intérêt avec l’industrie
pharmaceutique et n’en ai jamais eu. Merci de poser la question, car la loi de 2011, suite au scandale du Mediator, impose aux médecins cette déclaration et
aux médias, y compris les chaînes TV, de l’indiquer (en bandeau par exemple sur l’écran).
Le Média en 4-4-2 : Nous voyons que le gouvernement accélère sa campagne de
communication pour pousser à la vaccination. Nous avons de nombreux témoignages de personnes ayant cédé à cette pression ou à celle de leurs proches en se
faisant vacciner. Sans parler de ceux qui vont le faire pour « retrouver la vie d’avant »… Quels conseils et arguments clés pouvez-vous nous donner pour
convaincre notre entourage de ne pas craquer ?
Nicole Delépine : Cette maladie ne nécessite pas de vaccin ! Le premier
argument qui devrait venir à l’idée de tous est le très faible risque mortifère de ce Covid-19 (moins de 0,1 % de la population), très proche de celui
d’une grippe sévère, et dont l’âge moyen de mortalité est de 84 ans (soit deux ans de plus que l’âge moyen de la mort dans la population française). Les
enfants n’auraient jamais dû être embringués dans ce coronacircus puisqu’ils ne font quasiment jamais de maladie grave, ne contaminent jamais les autres,
ni les enfants ni les adultes, et qu’ils acquièrent à cette occasion une immunité plus solide et plus durable que ce que pourraient leur donner les
vaccins… Les appels à la vaccination des enfants, qui fleurissent actuellement dans les médias, sont criminels puisqu’ils aboutiraient à les
exposer à des risques sans espoir de bénéfice personnel, ni d’ailleurs sociétal, puisque les vaccins n’empêchent pas la transmission de la maladie. Les
jeunes adultes ne risquent pratiquement rien non plus et s’ils se contaminent ils constituent peu à peu le futur rempart qui protégera peu à peu la
population âgée. Les personnes âgées sont à risque relatif, mais les vaccins qu’on leur injecte ne sont pas non plus dénués de risque, comme l’a alerté
l’Agence de santé norvégienne, et ils sont trop peu efficaces. Une récente étude gouvernementale anglaise reconnaît que 70 % des morts attribuées au
Covid-19 depuis la vaccination concernaient des personnes ayant reçu les deux doses de vaccins. Un exemple : la mort récente du prince Philip, vacciné en
janvier pour la promotion vaccinale, et qui a souffert dix jours plus tard d’une aggravation de ses problèmes de santé qui l’a amené à la mort devrait
faire réfléchir.
« Les tests PCR sont une arnaque inventée et imposée par le conseiller de Mme Merkel via
l’OMS »
Le Média en 4-4-2 : Ceux qui n’ont comme source d’informations que les médias
mainstream pensent qu’il n’existe aucun traitement contre le Covid. Vous nous confirmez que la réalité est tout autre ?
Nicole Delépine : Le Covid-19, comme les autres maladies, doit être traité tôt et
il existe des traitements efficaces ! Pour les malades ayant contracté le Covid, et quel que soit leur âge, nous savons depuis février 2020 qu’il
existe des traitements médicaux efficaces, à condition qu’ils soient précoces, dès les premiers symptômes de la maladie. Les médicaments efficaces sont
nombreux et variés, y compris les plantes comme l’artémisine, un antipaludéen, qui ont permis d’éviter l’épidémie dans les pays africains qui les ont
immédiatement utilisés. Plus les mois passent et plus le nombre de médicaments efficaces contre le Covid s’allonge, au-delà des antipaludéens et
antibiotiques, des vitamines D et C et du zinc, et des antiagrégants plaquettaires. L’ivermectine prend actuellement la vedette, mais les antiallergiques
et antiasthmatiques ont manifestement un rôle. Bref, sans refaire la liste exhaustive, on note que ce virus est largement sensible à de nombreux
traitements que les médecins de première ligne devraient utiliser chez les patients présentant des signes cliniques à l’examen clinique.
Le Média en 4-4-2 : Les tests PCR auraient coûté à l’Assurance maladie plus de 4
milliards d’euros depuis leur lancement en juillet. Au-delà de ce coût stratosphérique, ont-ils une quelconque utilité ?
Nicole Delépine : Les tests PCR sont une arnaque inventée et
imposée par le conseiller de Mme Merkel via l’OMS ! Le Covid-19, comme toute maladie, devrait être pris en charge par les médecins
traitants. Le diagnostic doit être clinique et ne pas reposer sur la supercherie des tests PCR dont les faux positifs sont légion (plus de 97 % chez les
asymptomatiques). Ces tests ne doivent en aucun cas être retenus comme critère diagnostique comme l’ont affirmé déjà de nombreuses juridictions, dont celle
du Portugal de novembre 2020. D’autant que l’Académie de Médecine vient d’avertir sur les dangers des tests PCR sur prélèvement nasal. Il est temps. Quoi
qu’il en soit, il faut que cesse cette tragi-comédie du test PCR à toutes les sauces : pour se rassurer après une sortie ou sur injonction d’un patron ou
de la sécu qui ne peuvent légalement vous l’imposer.
« Si ce virus était si contagieux et justifiait le masque (ce qui n’est pas le cas) pourquoi le
chercher si loin dans le nez ? »
Le Média en 4-4-2 : Beaucoup se demandent pourquoi ces tests PCR sont-ils enfoncés si
loin dans le nez. Beaucoup d’hypothèse circulent… Quel est votre avis ?
Nicole Delépine : Il est clair qu’enfoncer un coton-tige aussi loin dans le nez,
atteignant la proximité du cerveau, pour une maladie où l’on n’hésite pas à vous faire promener masqué y compris seul dans une forêt, relève d’une
incohérence évidente. Si ce virus était si contagieux et justifiait le masque (ce qui n’est pas le cas), pourquoi le chercher si loin ? Le geste
est évidemment à risque et traumatisant, avec danger de méningite. Même si l’accident est rare, pourquoi le courir pour un test non fiable ?
Le Média en 4-4-2 : On a d’ailleurs découvert avec ces tests PCR les « asymptomatiques
» ! Quel est votre avis sur ceux-ci ?
Nicole Delépine : Les bien-portants dits asymptomatiques ne sont pas contagieux.
Et dans votre tête, il faut être clair, les asymptomatiques appelés avant ce cirque bien portants ne sont pas contaminants ! Une étude sur dix millions de Chinois l’a encore démontrée récemment. Cette coronafolie que nous vivons depuis un an repose sur deux mystifications, la fiabilité du
test PCR et la contagiosité potentielle des personnes sans symptômes (inventée aussi par C. Drosten). Faisons tomber ces deux mythes et le château de
cartes s’effondre. C’est d’ailleurs ce que s’efforcent de faire l’avocat Reiner Fuellmich et ses collaborateurs.
« Il n’existe aucune raison sanitaire à toutes les mesures prises depuis plus d’un an, qui sont
politiques en vue de soumission des peuples et de réorganisation des sociétés »
Nicole Delépine : Il n’existe aucune raison sanitaire à toutes les mesures prises
depuis plus d’un an, qui sont politiques en vue de soumission des peuples et de réorganisation des sociétés. Le vaccin qu’on veut nous imposer
depuis mars 2020, niant les traitements précoces, est un vaste marché potentiel à une centaine de milliards d’euros, même avant leur mise sur le marché comme en témoignent les cours de la
Bourse des différents labos. Son deuxième volet est la tentative de mise sous contrôle des populations à l’image de la dictature chinoise qui tente
tellement nos gouvernements. Savoir à tout moment ce que fait le citoyen, où il déjeune, avec qui, etc. est un fantasme illustré par le passeport sanitaire
et ses équivalents papier ou puce électronique. Mais les peuples occidentaux, pourtant conditionnés à la soumission depuis quelques décennies, n’en sont
peut-être pas là, après des siècles imbibés de philosophie des Lumières et de Liberté. La bonne nouvelle est que les États-Unis l’ont déjà rejeté tant dans
plusieurs États républicains, qu’au niveau fédéral. Quoique l’Union européenne et ses fidèles serviteurs des entreprises pharmaceutiques espèrent, il
est difficile d’imaginer un passeport vaccinal sans les États-Unis ni la Russie…
« La mise sur le marché du vaccin a été obtenue en violant toutes les règles de sécurité »
Le Média en 4-4-2 : Nous sommes donc actuellement en pleine campagne de vaccination
qui est, c’est le moins que l’on puisse dire, chaotique. Quel est votre point de vue sur ces « vaccins » ?
Nicole Delépine : Voici en pratique, que retenir sur les vaccins (OGM et thérapie
génique) disponibles en France :
Ils sont tous EXPERIMENTAUX : les phases classiques des essais n’ont pas été réalisées et le
site clinicaltrials.gov montre pour
chaque vaccin que la phase 3 (qui doit traditionnellement être terminée avant commercialisation) ne se terminera pas avant 2023.
La mise sur le marché a été obtenue en violant toutes les règles de sécurité, sans recul aucun sur
l’efficacité et les effets indésirables à craindre. Elle est dite « conditionnelle » sur le double mensonge de la gravité de la pandémie
(pourtant comparable à celle des autres grippes) et de l’absence de traitement efficace (malgré le traitement Raoult et autres antipaludéens naturels,
etc). Les campagnes actuelles de vaccination large réalisent de fait une « phase 3-4 » mais sans la surveillance habituelle des accidents et
incidents par le laboratoire. Ce sont les malades qui doivent informer les agences sanitaires.
Ils n’ont démontré aucune efficacité sur l’absence de transmission du virus, sur la protection des
vaccinés. C’est ce qu’affirme le ministre Véran répondant au conseil d’État à la suite d’une plainte d’un sujet vacciné réclamant sa libération des
contraintes liberticides : « Les vaccinés sont au contraire plus susceptibles de faire des formes graves et d’en mourir, et en tout cas
pas protégés à plus de quelques semaines d’autres formes de la maladie dites variants. » Tout ça pour cela, reste l’argent et le contrôle
mais aucun rôle sanitaire.
Ils sont à l’origine de nombreux incidents immédiats qui ont poussé la Haute Autorité de santé à étaler
les vaccinations des personnels pour éviter les absences bloquant les services. Pire, ils sont d’ores et déjà à l’origine de près de 6 000 décès (hors
Grande-Bretagne) reconnus liés par l’Agence européenne depuis le début de la campagne de vaccination versus quelques centaines pour le
vaccin H1N1 pourtant retiré du marché beaucoup plus rapidement (chiffres vérifiables sur le site de l’EMA).
De plus ils semblent bien à l’origine de rebonds de l’épidémie dans les pays lourdement vaccinés pendant les
quelques semaines qui suivent les vaccinations intensives, épidémie qui se calme ensuite comme dans les autres pays vaccinés ou non. En bref, vous n’avez
rien à attendre actuellement des vaccins en expérimentation, si vous n’aimez pas jouer à la roulette russe ou servir de cobaye.
Le Média en 4-4-2 : D’après les gouvernements et l’OMS, la sortie de crise passe donc
UNIQUEMENT par le vaccin. D’après ce que vous nous dites, nous savons que ce n’est pas possible. Quelle est donc notre « sortie de crise » à nous ?
Nicole Delépine : Il semble bien que même le gouvernement et le conseil
scientifique n’en soient plus là et commencent doucement à rétro-pédaler. La déclaration du ministre relativisant largement le rôle bénéfique des vaccins
laisse augurer d’un changement de stratégie devenu indispensable devant les accidents y compris mortels des vaccins utilisés en Union européenne,
et les résultats décevants, voire inquiétants, des pays phares de la vaccination. Les arguments
d’Olivier Véran adressés au Conseil d’État méritent d’être rappelés :
« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux
décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »
Ces affirmations inattendues du ministre de la Santé sur l’incertitude de la capacité de prévention de la
transmission du virus par les vaccins anti-Covid sont confirmées par la Haute autorité de Santé :
« Au vu des données limitées à ce jour sur l’impact de la vaccination avec le vaccin
d’AstraZeneca sur le risque de transmission du SARS-CoV-2, la HAS insiste sur la nécessité de maintenir l’ensemble des gestes barrières et
des mesures de distanciation sociale. »
« Il est temps d’abandonner une politique de la peur centrée sur des confinements itératifs
Leur impact a été dévastateur sur l’économie, le chômage, les dettes et la santé mentale, en particulier sur les jeunes, et le pire reste à venir.
Continuer à confiner globalement n’est plus tenable même si cela reste attractif pour de nombreux politiques. »
Et même des vaccins :
« Des études suggèrent que l’émergence des variants est corrélée à une réponse immunitaire
insuffisante après exposition naturelle ou après vaccination. Si cette évasion immunitaire se généralise, l’espoir de contrôler l’épidémie par les
vaccins pourrait être indéfiniment retardée. »
Au total, l’avenir des vaccins anticovid semble bien ressembler à celui du H1N1 dont un bon nombre ont
fini dans les poubelles. Il est évident qu’il convient de libérer rapidement la population de toute mesure anticovid partout, comme l’ont fait avec succès
plusieurs États républicains ou la Suède d’emblée, et de traiter par les médicaments efficaces les malades qui pourraient consulter un médecin. Les
informations des réseaux Sentinelle semblent très rassurants. L’abandon prévisible des vaccins anticovid à plus ou moins court terme est une bonne
nouvelle, car il permettra d’enterrer de fait le passeport sanitaire déjà mal en point avec son
refus aux États-Unis.
Le Média en 4-4-2 : Nous avons remarqué comme vous une corrélation entre les pays
ayant fortement vacciné et l’apparition de variants (anglais, brésiliens, sud-africain…). Certains scientifiques appellent à stopper d’urgence la campagne
de vaccination car ils s’inquiètent de voir apparaître un « super-variant » qui serait, lui, très dangereux. Ce risque existe-t-il selon vous ?
Nicole Delépine : Je ne suis pas prophète et ne peux pas prévoir l’avenir. Je ne peux
parler que des faits établis. Oui, les virus à ARN mutent fréquemment. Oui, plusieurs études sérieuses ont montré que leur mutation semble
favorisée, entre autres, par les vaccins (cinq membres du comité scientifique l’ont reconnu dans le Lancet). Rien ne permet de craindre qu’un
futur variant soit plus dangereux. L’évolution naturelle se fait habituellement vers une plus grande contagiosité et une moindre dangerosité. Mais les
mutations sont aussi synonymes d’inefficacité des vaccins utilisés (la grippe nécessite un vaccin différent chaque année). Cet échappement immunitaire
explique que le vaccin ne sera pas la solution.
« Trop de médecins restent soumis au gouvernement et ont peur des menaces du Conseil de l’Ordre qui les
sanctionne s’ils traitent efficacement leurs patients »
Le Média en 4-4-2 : Question très concrète pour tous ceux qui nous liront : demain je
tombe malade, sans doute du Covid au vu des symptômes, que me conseillez-vous de faire ?
Nicole Delépine : La première chose à faire si on tombe malade (c’est-à-dire si
on a des symptômes cliniques et pas un faux test PCR) est de voir un médecin qui vous examinera… Le trouver est maintenant difficile ! Regardez
sur manifestedesmedecinsengagés pour avoir une liste par département. Difficile, car trop de médecins restent soumis au
gouvernement et ont peur des menaces du Conseil de l’Ordre qui les sanctionne s’ils traitent efficacement leurs patients. En tout cas, si les symptômes se confirment (évitez le test qui ne prouve RIEN !), exigez un traitement
efficace précoce soit par ivermectine, soit par hydroxychloroquine et azithromycine et prenez en plus de la vitamine D et C, du zinc… Surtout ne
paniquez pas : le traitement précoce est efficace ! En ce qui concerne les variants, pas de panique on n’en sait pas grand-chose pour les
nouveaux mais le principe est le même : faire peur. On peut supposer que ce sera pareil que pour le variant anglais, plus contagieux et moins méchant,
comme c’est la règle avec ce type de virus. Et il semble que, au Brésil comme ailleurs en Inde, les zones qui vont mal sont les non traitées. Toutes celles
qui traitent précocement à l’ivermectine, par exemple, n’ont pas de mortalité élevée. Le danger actuel n’est pas le virus qui, si on le
laisse circuler librement ne fait pas de catastrophe, mais bien le vaccin avec ses gros dangers ! Alors soyez prudents et ne jouez pas les
cobayes.
Le Média en 4-4-2 : Vous vous battez sans relâche depuis plus d’un an pour
dénoncer ce « coronacircus ». Comment faites-vous pour garder la forme et le moral face aux attaques ? Subissez-vous des pressions de l’Ordre des Médecins
ou d’autres organisations ?
Nicole Delépine : Merci ! C’est le combat qui nous permet de tenir ! Et
beaucoup de gens connus ou inconnus surtout nous disent que cela les aide aussi et donc, en quelque sorte, nous poursuivons notre boulot de médecin…
Evidemment, l’Ordre des Médecins fait ce qu’il peut contre nous. Mon mari Gérard avait démissionné de l’Ordre dès sa retraite et donc, comme j’ai
gardé une inscription pour autorisation limitée à la famille, je suis poursuivie devant le conseil national en bonne compagnie (Perronne, Raoult, Nicolas
Zeller, un généraliste qui a eu le malheur de guérir ses patients avec azithromycine, Joyeux et une autre généraliste ). On verra ! Surtout ce combat est
clair quand on suit l’avocat Reiner Fuellmich par exemple et ses démonstrations percutantes. Ça nous beaucoup aidés aussi.
Les rhumes et la grippe sont provoqués par des virus, ce qui signifie que les antibiotiques ne sont pas des traitements efficaces et qu’ils peuvent même retarder votre guérison
Il existe de nombreuses façons de vous débarrasser plus rapidement d’un virus et de prévenir les rechutes
Dr. Mercola
La solution pour traiter votre rhume ne se trouve pas dans votre armoire à pharmacie.
Associez de bons réflexes d’hygiène de vie, des plantes médicinales et une supplémentation en vitamines pour lutter contre le virus et aider votre système immunitaire à vous défendre contre les
attaques virales.
17 Remèdes Maison Naturels
1.La méditation
La méditation a d’importants effets positifs sur le rythme cardiaque, la fonction cérébrale, la réduction du stress et la tension artérielle. La recherche a également démontré que la méditation
en pleine conscience, ou la pratique de l’attention volontaire, a des effets positifs durables sur la fonction cérébrale et le système immunitaire.
2.L’activité physique
Si vos symptômes se manifestent au-dessus du cou, c’est-à-dire par exemple que vous éternuez, avez le nez qui coule et les yeux larmoyants, on considère généralement qu’une bonne ‘suée’ ne fait
pas de mal. Votre système immunitaire fonctionne mieux lorsque vous faites régulièrement de l’exercice, et c’est une bonne mesure préventive.
3.Le sommeil
Le manque de sommeil est associé à une longue liste de problèmes de santé, qui vont de l’impact négatif sur votre système immunitaire, à la démence.
Le sommeil a une forte influence sur la régulation de votre système immunitaire, et favorise l’effet des cytokines qui stimulent l’interaction entre les cellules présentatrices d’antigène et les
lymphocytes T auxiliaires, interaction nécessaire à votre organisme pour combattre les infections virales.
Lorsqu’elles sont malades (et même si elles ne le sont pas), la plupart des personnes ont besoin d’environ huit heures de sommeil par nuit, et de beaucoup de repos dans la journée.
4.Le nettoyage du nez à l’eau salée
Bien que les chercheurs ne puissent qu’émettre des hypothèses à propos de l’efficacité du lavage des fosses nasales pour le traitement et la prévention des infections virales et de leurs
récidives, le fait est qu’il est efficace. Effectuez le lavage uniquement avec une solution saline stérile.
L’eau du robinet peut augmenter la réaction inflammatoire des sinus et être porteuse de parasites susceptibles d’infecter votre cerveau.
5.Le peroxyde d’hydrogène
En 1928, le Dr. Richard Simmons a émis l’hypothèse que le virus du rhume pénétrait dans le corps par le canal auditif, et non par le nez. Sa théorie a été écartée par la communauté médicale.
Toutefois, en 1938, des chercheurs allemands ont traité avec succès des rhumes et la grippe en introduisant du peroxyde d’hydrogène dans le canal auditif des sujets. Bien que les données aient
été largement ignorées par la communauté médicale, j’ai moi-même traité de nombreux patients de cette façon, et obtenu d’excellents résultats.
Vous devez démarrer le traitement dans les premières 24 heures pour qu’il ait un impact significatif sur la durée du rhume.
6.Le vinaigre de cidre
Les virus du rhume augmentent l’acidité de votre organisme. Pour combattre le virus, prenez chaque jour quelques cuillères à soupe de vinaigre de cidre. Cela réduit l’acidité, et le vinaigre de
cidre contient par ailleurs de l’acide acétique qui contribue à prévenir le développement des virus.
7.Le miel
Le miel possède des propriétés naturelles antibactériennes et antivirales. Mais il faudrait faire une overdose de miel pour parvenir à éliminer un virus présent dans votre organisme.
Toutefois, si vous souffrez d’un mal de gorge en plus de votre rhume, le miel cru est aussi efficace que le sirop ou les pastilles pour la gorge. Gardez à l’esprit que le miel est un sucre
naturel et que, consommé en grande quantité, il affectera vos taux d’insuline et de leptine.
Sirop pour la toux au miel et au citron
Procédure
Le citron, en alcalinisant rapidement votre organisme, a un effet bénéfique sur votre santé, et le miel tue toutes les bactéries. C’est la parfaite association pour préparer rapidement un remède
contre la toux.
Versez un demi litre de miel dans une casserole et faites-le chauffer à feu TRÈS doux (ne faites pas bouillir le miel car cela modifie ses propriétés thérapeutiques).
Faites bouillir un citron entier dans une autre casserole remplie d’eau, pendant deux à trois minutes, pour le ramollir et tuer toute bactérie éventuellement présente sur la peau du
citron.
Laissez-le refroidir suffisamment pour pouvoir le manipuler, puis coupez-le en rondelles et ajoutez-le dans la casserole de miel.
Faites cuire le mélange à feu moyen environ une heure.
Otez ensuite le citron du miel, en veillant à ne laisser aucun pépin.
Laissez refroidir, puis versez dans un bocal, fermez-le et placez-le au réfrigérateur.
Ce sirop se conserve deux mois au réfrigérateur. Pour apaiser une toux, comptez 1/2 cuillère à café pour un enfant de 11 kg, et 1
cuillère à café pour un enfant de 22 kilos, environ quatre fois par jour, ou aussi souvent que nécessaire. Les adultes peuvent prendre des doses d’une cuillère à soupe.
8.La soupe de poulet
Bien que l’on ne connaisse pas le fondement biologique de l’utilisation de la soupe de poulet, une équipe de chercheurs de l’Université du Centre Médical du Nebraska a établi la preuve que cette
soupe – aussi bien faite maison qu’en conserve – possède des propriétés anti-inflammatoires pouvant prévenir les effets secondaires du rhume.
9.L’argent colloïdal
L’argent est utilisé dans différents traitements depuis l’époque d’Hippocrate, qui fût l’un des premiers à décrire ses propriétés antimicrobiennes et antibiotiques. Mais les rhumes et la grippe
étant provoqués par des virus, l’argent colloïdal n’aurait aucune efficacité contre eux.
10.L’huile de noix de coco
L’huile de noix de coco possède des propriétés antibactériennes et antivirales, ce qui en fait
un excellent allié pour le traitement et la prévention des rhumes et de la grippe. Appliquez l’huile de coco sur votre peau. Elle est rapidement absorbée par votre organisme et a l’avantage
supplémentaire d’adoucir votre peau. Ajoutez-en une demi-cuillère à café dans votre café ou votre thé lorsque vous avez un rhume, et cuisinez à l’huile de coco.
11.Les aliments fermentés
La santé de votre système immunitaire dépend de vos intestins. Les aliments fermentés apportent à vos intestins une bonne variété de bactéries qui soutiennent votre système immunitaire.
12.Le bicarbonate de soude
La société Arm & Hammer Baking Soda recommande le bicarbonate de soude pour réduire l’acidité de votre organisme dans le traitement des rhumes et de la grippe. J’ai toutefois déjà stimulé le
pH de l’organisme dans la direction opposée et obtenu les mêmes résultats, en réduisant la durée de l’infection.
Voici les dosages que recommandait la société Arm & Hammer en 1925, pour traiter le rhume et la grippe :
Premier Jour – Prenez six doses d’une demi-cuillère à café de bicarbonate de soude dans un verre d’eau froide, à deux heures d’intervalle environ
Deuxième jour – Prenez quatre doses d’une demi-cuillère à café de bicarbonate de soude dans un verre d’eau froide, aux mêmes intervalles
Troisième jour – Prenez deux doses d’une demi-cuillère à café de bicarbonate de soude dans un verre d’eau froide matin et soir, puis une demi-cuillère à café dans un
verre d’eau froide chaque matin jusqu’à disparition des symptômes
Toutefois, ce remède ne doit être utilisé qu’à titre occasionnel (et non comme traitement chronique) et faites attention de ne pas en consommer en quantités excessives, ce qui peut entraîner de
sérieux déséquilibres électrolytiques et acido-basiques.
13.L’hygiène de vie
Stopper ou réduire de façon drastique votre consommation d’alcool et de tabac font partie des autres réflexes d’hygiène de vie qui aideront votre organisme à se remettre d’un rhume. Ces deux
facteurs ont un impact négatif sur votre système immunitaire, et compliquent la tâche de votre organisme dans sa lutte contre l’infection virale.
14.La vapeur
La vapeur ne diminue pas la durée d’un rhume, mais elle aide à dissoudre les mucosités présentes dans les sinus, réduit l’inflammation des fosses nasales et vous aide à mieux respirer.
15.La réduction du stress
Pratiquer la méditation, le yoga ou la Technique de Libération Émotionnelle (EFT) est une façon simple et efficace de soutenir votre système immunitaire et de prévenir d’autres dommages provoqués
par le stress. L’obésité, la maladie d’Alzheimer, la dépression, le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires et les troubles gastro-intestinaux font partie des maladies liées au stress.
16.Le lavage des mains
Se laver les mains est un geste de prévention contre les infections virales, et contre les infections supplémentaires lorsque vous êtes malade. Cela réduit également la propagation du virus aux
autres membres de la famille, mais cela ne réduit pas la durée de votre rhume. Souvenez-vous que se laver les mains de manière excessive est presque aussi mauvais que de ne pas les laver
suffisamment. Un lavage trop fréquent prive votre peau des matières grasses qui la protègent, entrainant crevasses et saignements.
17.Manger de vrais aliments
Manger de vrais aliments et éviter les aliments transformés fournira à votre organisme les outils nécessaires pour lutter contre une infection virale. Cela réduira également les risques d’une
récidive trop rapide de l’infection. Les vrais aliments sont, d’une manière générale, ceux que l’on trouve dans les allées extérieures d’un magasin d’alimentation, et qui nécessitent d’être
conservés au frais.
Huit vitamines pour combattre le rhume
1.Le zinc
Le zinc est, sur le plan nutritionnel, essentiel pour la fonction immunitaire. On trouve du zinc sous forme de pastilles ou de poudre, à prendre lorsque vous avez un rhume ou la grippe ; cela
peut réduire la durée de votre rhume si vous êtes légèrement carencé. Un excès de zinc interfère avec la biodisponibilité du cuivre et un excès de fer peut réduire votre absorption du zinc. Le
homard, les huitres, le bœuf, le crabe, le porc, les noix de cajou, les pois chiches, le poulet et le gruyère font partie des aliments riches en zinc.
2.La vitamine C
Il est prouvé que cette vitamine hydrosoluble réduit la durée du rhume. Les personnes qui présentent un taux sanguin élevé de vitamine C ont également un risque de décès, toutes causes
confondues, plus faible. Généralement, plus la dose est élevée, mieux c’est, mais la prise de vitamine C par voie orale nous limite à une quantité assez faible.
3.La vitamine D
Des études ont démontré que cette vitamine liposoluble est essentielle au fonctionnement du système immunitaire. Toutefois, bien qu’elle soit importante pour prévenir le rhume et la grippe, une
supplémentation alors que vous êtes enrhumé ne vous aidera pas à guérir plus vite.
4.Le magnésium
L’importance de ce minéral pour votre santé était autrefois sous-estimée. Des chercheurs ont constaté que le taux de magnésium diminue lorsque l’on pratique une activité physique intensive,
entrainant une augmentation du nombre d’infections virales. Une supplémentation en cas de rhume n’en réduira probablement pas la durée. Par contre, un bain au sel d’Epsom soulagera vos douleurs
musculaires, contribuera à l’absorption du magnésium présent dans le sel
d’Epsom et vous vous sentirez mieux, tout simplement.
5.La vitamine E
Cette vitamine liposoluble améliore la réaction immunitaire à médiation cellulaire, liée aux cellules T, chez les personnes âgées. Toutefois, bien qu’elle soit importante pour la prévention, il
est peu probable qu’elle entraine des résultats immédiats sur la durée de votre rhume.
6.La vitamine B6
Cette vitamine est essentielle à la production de plus de 100 enzymes responsables du métabolisme des protéines. Bien qu’importante pour votre santé, elle ne diminue pas la durée d’un rhume.
7.La vitamine A
Cette vitamine liposoluble est importante pour la différentiation et la régulation de presque chacune des cellules de votre organisme, ainsi que pour le bon fonctionnement du système immunitaire.
Cette vitamine est importante pour prévenir les rhumes, mais n’en réduira pas la durée.
8.Le sélénium
Cet oligo-élément est important pour de nombreuses fonctions biologiques. Toutefois, bien qu’une carence grave puisse entrainer d’importantes infections virales, il est très peu probable qu’une
supplémentation en cas de rhume puisse en réduire la durée.
11 remèdes contre le rhume à base de plantes
1.L’échinacée
Il s’agit de l’une des plantes médicinales amérindiennes les plus populaires. Les résultats des recherches sur l’utilisation de la tisane d’échinacée sont variables. Des études ont démontré que
les meilleurs résultats en termes de réduction de la durée du rhume, étaient obtenus en buvant deux à trois tasses de tisane d’échinacée par jour, en commençant dès le premier ou le deuxième jour
du rhume.
2.Le ginseng et l’andrographis
Le ginseng est un tubercule et l’andrographis est une plante originaire d’Asie du Sud. Des études en double-aveugle ont montré que le ginseng de Sibérie en particulier, et l’andrographis,
réduisent la durée et la sévérité des rhumes lorsque vous les prenez dans les 72 heures qui suivent les premiers symptômes.
3.Le pélargonium sidoides
La recherche a démontré que cette plante méconnue peut réduire la sévérité et la durée du rhume commun. Les scientifiques supposent qu’elle stimule la fonction des cytokines qui protègent les
cellules hôtes des envahisseurs viraux.
4.L’ail cru
En dépit d’un rapport du National Institue of Health (NIH – Institut National de la Santé), indiquant qu’il existe peu de preuves démontrant l’effet de l’ail sur le rhume commun,
certaines études ont montré que l’ail cru peut prévenir les rhumes et réduire la sévérité
d’un rhume déjà déclaré.
5.L’huile d’origan
Cette huile concentrée de l’origan possède de puissants effets
antibactériens et antiviraux. Au cours d’une étude, les chercheurs ont découvert que, vaporisée en association avec d’autres plantes aromatiques, elle pouvait réduire de façon instantanée les
effets secondaires d’un rhume. Ce traitement n’était efficace que pendant trois jours d’application. L’huile d’origan ne doit pas être utilisée chez les enfants, les femmes enceintes ou
allaitantes, ou celles qui envisagent une grossesse.
6.La racine de réglisse
La racine de réglisse est un remède traditionnellement utilisé pour traiter le rhume et les infections respiratoires hautes. À ce jour, il n’existe aucune recherche soutenant l’utilisation de la
racine de réglisse pour réduire la durée d’un rhume.
7.L’extrait de feuilles d’olivier
Bien connu pour son effet non toxique et stimulant du système immunitaire, il n’existe pas suffisamment de preuves indiquant que l’extrait de feuilles d’olivier peut réduire la durée ou la
sévérité d’un rhume déclaré.
8.Les infusions
Les tisanes d’hydraste du Canada, de baie de sureau, d’achillée, d’eupatoire perfoliée, de menthe poivrée et de gingembre, peuvent contribuer à renforcer votre système immunitaire, à soulager un
mal de gorge et à réduire la durée d’un rhume d’un ou deux jours.
9.Le curcuma
Il s’agit d’un puissant antioxydant qui diminue le nombre de deux enzymes responsables d’inflammation. Il existe des preuves démontrant que le curcuma combat le virus du rhume dans les tubes à essai.
10.La propolis
Il s’agit d’une substance collectée par les abeilles sur les bourgeons foliaires et les écorces d’arbres. Cet extrait peut être efficace pour réduire la dure et la sévérité d’un rhume.
11.Le saule blanc
L’utilisation du saule blanc remonte à l’époque d’Hyppocrate ; on recommandait à l’époque de mâcher l’écorce de cet arbre pour réduire douleurs et fièvre. Les propriétés chimiques de l’écorce
sont similaires à celles de l’aspirine (acide acétylsalicylique). Les douleurs et la fièvre sont soulagées plus lentement que par l’aspirine, mais l’effet dure plus longtemps. Le saule blanc peut
soulager les symptômes mais il ne modifie pas la durée d’un rhume.
La détection de particules de graphène ouvre la voie à des recherches sur la composition des vaccins et soulève de graves questions. Comment expliquer la présence d’ingrédients potentiellement
toxiques, non déclarés par les fabricants ? Quels peuvent être les effets de ces nanoparticules sur l’organisme ?
Ce document, destiné au plus grand nombre, fait la présentation de ces découvertes scientifiques qui modifient radicalement la compréhension de l’actualité.
Remerciements :
Je remercie chaleureusement le trio de laquintacolumna qui a initié en Espagne un travail d’analyse exceptionnel :
Grâce leur rigueur scientifique et à leurs intuitons, ce trio a ouvert des réflexions qui méritent d’être diffusées dans le grand public.
Effets biomagnétiques
Depuis le début de la campagne de vaccination, la population du monde entier observe un phénomène inédit dans l’histoire de l’humanité. Des personnes ont testé une attraction de type magnétique
sur leur corps. Des pièces de monnaie et objets métalliques en tout genre restent collés au point d’injection du vaccin contre le virus Covid-19.
Cette information est tellement stupéfiante qu’elle ne paraît même pas croyable. Surtout après avoir tellement entendu de la part de nos autorités que le vaccin est sûr et efficace. Il paraît
vraiment impossible de voir un tel phénomène se produire. A contrario, dans un monde normal, si phénomène aussi irréel venait à se produite, c’est tout le mythe vaccinal qui viendrait à
s’effondrer.
Voici un témoignage, daté du 30 mai, du médecin Pedro Chavez au Mexique qui a fait des observations sur ses propres patients (voir sous son interview).
D’autres témoignages, issus de partout dans le monde, ont rapporté ce phénomène invraisemblable. On voit l’adhérence d’objets de masse variable. De plus, le magnétisme s’étend souvent à partir du
bras sur tout le tronc.
L’histoire devient encore plus irrationnelle lorsque l’ on voit comment cette information a été niée, notamment sur internet. Une recherche ne propose que des sites qui démontent ces observations
:
Ainsi, il apparaît d’emblée que nous vivons une guerre de la connaissance et de l’information.
Tous les sites listés nient l’existence du biomagnétisme. Voici un exemple d’argumentation :
Des vidéos et des photos de personnes parvenant à se coller des objets métalliques sur la peau après avoir été vaccinées contre le Covid-19 circulent abondamment sur les réseaux sociaux.
Ce phénomène fait dire à certains militants « antivax » que cela prouverait que les vaccins contiennent des puces ou rendent magnétiques le bras. Il n’y a pourtant pas de puce
dans les vaccins et ils ne peuvent pas non plus rendre les bras magnétiques. Les explications de ce phénomène sont à chercher ailleurs, notamment dans un état de la peau qui permet de
rendre le bras « collant ». Ce changement de l’état de la peau pourrait, par ailleurs, être induit pas la réaction inflammatoire créée par l’injection du vaccin mais cette
théorie n’est pas démontrée et demande des analyses scientifiques plus poussées.
……………
Divers trucages possibles
Si les vaccins ne contiennent pas de puces électroniques et ne contiennent aucun élément permettant de rendre le bras magnétique, des trucages sont bien efficaces pour créer le phénomène.
De l’adhésif transparent, des résidus de colle des pansements, ou même du miel permettent de coller des objets à la peau sans que cela se voie, comme l’a démontré l’équipe du site de fact
checking « Fact and Furious ». Une autre hypothèse
est celle d’une éventuelle prothèse d’épaule. Cette dernière peut contenir du cobalt et est donc susceptible d’attirer des aimants.
Il est donc impossible de se fier aux moteurs de recherche Internet. Par contre, à partir du moment où des médecins et un chercheur réputé comme Stefano Montanari, spécialiste de l’analyse des
vaccins en Italie, a rapporté le biomagnétisme, le phénomène pouvait être considéré comme un fait acquis.
Pour compléter les témoignages, un lien britannique à ce sujet :
À ce jour, aucune institution n’a relevé l’existence du biomagnétisme.
Il faudra donc se tourner vers des chercheurs indépendants et notamment le trio de laquintacolumna pour commencer à comprendre ce qui nous arrive.
Détection d’un composé non déclaré
En Espagne, bien avant la crise du Covid 19, Ricardo Delgado, le fondateur du site la quintacolumna, avait constaté un lien entre des décès dans des maisons de retraite et un vaccin particulier
contre la grippe. En collaboration avec le docteur José-Luis Sevillano, ils ont cherché quel pourrait être le composé du vaccin qui expliquerait cet excès de décès. Ils ont pensé à un matériau :
le graphène. Dès lors, ils ont entrepris d’analyser la composition de divers vaccins pour comprendre cette anomalie.
Ils ont réussi à détourner une fiole de vaccin Pfizer contre Covid-19 et ils ont demandé une analyse à l’Université d’Almeria.
Un premier rapport, dit préliminaire, est sorti fin juin. Il a montré, pour la première fois, que des nanoparticules étaient visibles au microscope optique et elles ont été également détectées
avec d’autres méthodes (spectromètres et microscopie électronique).
Le docteur en chimie Campra, qui est l’auteur du rapport, a conclu qu’il s’agissait probablement de nanoparticules de graphène. Pour comprendre les graves questions qui se sont posées suite à la
découverte d’une nanoparticule toxique pour l’organisme, nous allons commencer par voir en quoi consiste ce matériau et quelles sont ses caractéristiques.
En quoi consiste le graphène ?
Pour comprendre ce qu’est le graphène, partons du graphite qui est le matériau qui constitue une simple mine de crayon. Le graphite est uniquement constitué d’atomes de carbone, liés les uns aux
autres. Sa structure montre des plans de carbone superposés. À partir de cette structure, il suffit de détacher un seul plan pour obtenir le graphène.
Le graphène est donc un composé qui n’a qu’une seule couche atomique, comme il s’apparente à une feuille et non à un volume, on parle d’un matériau bidimensionnel. Sa hauteur, avec une seule
couche d’atomes, est la plus petite que l’on puisse créer. Il faut cependant préciser qu’il existe beaucoup de variantes de graphène. Ainsi, on parle de graphène même s’il comporte plusieurs
couches (jusqu’à 10 couches).
À cette échelle de grandeur, on a affaire à un nanomatériau. Si nous prenons 1 mm que nous le divisons par 1000 nous obtenons 1 micromètre et c’est presque la limite observable au microscope
optique. Divisons encore par 1000 et obtenons un nanomètre (nm). A cette échelle, on utilise des microscopes électroniques qui envoient des électrons sur l’échantillon à analyser.
Une nanoparticule de graphène est un petit bout de ce plan. C’est comme si l’on prend un kleenex et qu’on le déchire pour faire des confettis.
Le graphène est extraordinaire à bien des égards. Rendez-vous compte qu’un hamac imaginaire de 1 mètre carré de surface ne pèserait que 0,77 milligrammes, soit moins qu’une unique moustache de
chat. Un tel hamac pourrait cependant supporter le poids d’un chat de 4 kilos !
Si un tel hamac était constitué d’une feuille d’acier mesurant la même épaisseur, il ne supporterait que 40 grammes, soit 100 fois moins que le graphène.
En lui attachant des molécules, on peut modifier le graphène. Cette fonctionnalisation chimique va permettre de le rendre soluble dans un fluide ou même magnétique. Grâce à cette capacité de
fonctionnaliser ce matériau, il existe toute une chimie et une physique propre au graphène.
C’est bien sûr sa capacité de conduire le courant électrique et sa capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique qui focalisent les recherches et placent le graphène au cœur de
la 4ème révolution industrielle. Il est le matériau rêvé pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer un certain paramètre biologique et transmettre le
résultat sans connexion filaire.
Quelques caractéristiques des nanoparticules de graphène :
Très grande résistance mécanique et grande capacité à conduire le courant ( 100 fois plus conducteur que le cuivre) et l’énergie thermique
La nanoparticule de graphène monocouche peut franchir n’importe quelle barrière du fait de son épaisseur infinitésimale et s’intercaler dans n’importe quel tissu biologique.
Ses particules ont la capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique. Cette propriété permet de comprendre pourquoi le graphène est au cœur de la 4ème révolution
industrielle. Il est le matériau rêvé pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer un certain paramètre biologique et transmettre le résultat sans
connexion filaire.
Pour la synthèse du graphène en partant du graphite, il y a diverses méthodes, on passe par une phase intermédiaire d’oxyde de graphène qui est le précurseur du graphène.
Dans le rapport, l’oxyde de graphène de référence représenté ci-dessous a été comparé aux particules présentes dans le vaccin.
Si l’on déchire ce plan de graphène pour en faire des confettis, on obtient des nanoparticules de taille et de forme variable.
Résultat de l’analyse au microscope optique
La taille (en surface) de ces nanoparticules est suffisamment grande pour pouvoir les observer au microscope optique. À droite, nous voyons une particules de graphène de type monocouche de
référence, comparée à gauche avec une particule trouvée dans le vaccin. La similitude est complète, le graphène se présente comme un petit morceau de kleenex déposé au fond d’un récipient plein
de liquide. Il comporte des plis et apparaît un peu froissé.
Voici d’autres particules, identifiées comme du graphène, présentes dans le vaccin analysé :
À part le microscope optique, d’autres méthodes ont été utilisées dont le microscope électronique et une méthode de spectroscopie. (voir l’annexe 1)
Pour affiner ces résultats, le Dr. Campra a entrepris une étude avec une technique d’analyse qui permet d’identifier un composé avec davantage de fiabilité. Cette technique combine un microscope
avec un spectromètre de type Raman et elle a fourni des résultats qui ont confirmé la présence de graphène.
Le fait de combiner le microscope et le spectromètre dans le même appareil permet un grand niveau de confiance dans le résultat. On peut ainsi assurer que la particule pointée grâce à l’optique
est analysée par le faisceau de spectromètre.
Une solution de graphène acheté dans le commerce a constitué la référence. Elle contient divers types de graphène. Ci-dessous, on voit une particule monocouche quasi transparente et une
particule noire multicouche :
Voici un résultat de détection au microscope optique dans un vaccin Pfizer :
Après avoir déposé une goutte de vaccin sur le support du microscope, on laisse cette goutte s’évaporer un certain temps et on voit à gauche une forme blanche qui correspond à ce qu’il en reste
après évaporation. On voit une particule en noir qui est alors analysée avec le spectromètre Raman. Il s’agit d’envoyer un faisceau laser sur la particule et d’analyser le rayonnement qui sera
émis en retour. La position des pics sur le spectre a permis d’identifier le graphène. Il s’agit ici d’une particule multicouche, d’où sa couleur noire.
Plusieurs vaccins ont été étudiés et du graphène a été détecté dans les vaccins Pfizer, Astrazeneca, Moderna et Janssen.
L’importance de ce rapport
Omettre de mentionner un composé toxique dans l’injection contre la Covid 19 est un délit contre la santé publique. La quintacolumna avait déjà formé un réseau qui avait alerté les préfets en
envoyant les résultats du rapport préliminaire.
Désormais, l’intention est de relancer les plaintes dans toute l’Espagne sur la base des conclusions du dernier rapport du Dr. Campra. Porter cette affaire en justice va de pair avec une
opération de diffusion des conclusions scientifiques de ce rapport.
En principe, l’inoculation est le fruit d’un choix conscient. A défaut d’information sur la présence de graphène et de sa toxicité, il est clair qu’il n’est pas possible de donner un consentement
éclairé.
Dans la prochaine section nous allons découvrir les divers aspects de la toxicité du graphène.
Auparavant, il faut savoir que la présence de graphène dans les vaccins se confirme en consultant des brevets et des patentes.
L’état de la recherche confirme la présence d’oxyde de graphène
Le graphène a fait l’objet d’intenses recherches qui ont été largement financées par nos institutions au travers du projet Graphene Flagship . Les brevets déposés concernant le vaccin contre le
coronavirus sont sans équivoque, comme le montre ce brevet chinois.
Abstract
The invention belongs to the field of nano materials and biological medicines, and relates to a vaccine, in particular to development of a 2019-nCoV coronavirus nuclear recombinant nano vaccine.
The invention also comprises a preparation method of the vaccine and application of the vaccine in animal experiments. The novel coronavirus vaccine contains graphene oxide,
carnosine, CpG and novel coronavirus RBD —–
Le brevet KR02010028065, déposé en Espagne (sollicité par KIM H. S. de Corée) pour une solution saline contenant du graphène, précise que le vaccin contre le coronavirus en contient également :
Finalement, l’intuition initiale de la quinta columna suivant laquelle le graphène était présent dans plusieurs vaccins s’est bel et bien confirmée, il a été détecté dans un vaccin contre la
grippe de l’année 2019.
Enfin, voici des images du vaccin PROQUAD, destinée aux enfants entre 9 mois et 3 ans contre diverses pathologie dont la rubéole et la varicelle, photos du bas, comparé à une référence d’oxyde de
graphène, photos du haut :
Toxicité de l’oxyde de graphène
La toxicité des nanoparticules de graphène est un sujet bien connu. Voici un tour d’horizon d’articles sur la question (extraits d’articles).
Le premier article montre les divers modes d’interaction entre la nanoparticules de graphène et une cellule. Ce qui est mis en évidence est que la dimension nano joue un rôle particulier car un
telle particule peut s’introduire dans une cellule et s’intercaler dans tous les tissus.
Cette revue rassemble des études sur les effets toxiques des GFN dans plusieurs organes et modèles cellulaires. Nous soulignons également que divers facteurs déterminent la toxicité des GFN,
notamment la taille latérale, la structure de surface, la fonctionnalisation, la charge, les impuretés, les agrégats et l’effet couronne, etc.
Interactions possibles entre les matériaux liés au graphène avec les cellules (les flocons de graphène ne sont pas à l’échelle).
Adhérence sur la surface externe de la membrane cellulaire.
Incorporation entre les monocouches de la bicouche lipidique de la membrane plasmique.
Translocation de membrane.
Internalisation cytoplasmique.
Endocytose médiée par la clathrine.
Internalisation endosomale ou phagosomique.
Localisation lysosomale ou autre compartiment périnucléaire.
Localisation exosomale.
Effets sur le sang
Les 2 prochains articles montrent que le graphène va déclencher des pathologies semblables à la Covid 19.
L’oxyde de graphène est le sujet brûlant de la recherche biomédicale et pharmaceutique de cette décennie. Cependant, ses interactions complexes avec les composants du sang humain
compliquent la transition des résultats prometteurs in vitro vers les paramètres cliniques. Même si l’oxyde de graphène est composé des mêmes atomes que nos organes, tissus et cellules,
sa nature bidimensionnelle provoque des interactions uniques avec les protéines sanguines et les membranes biologiques et peut entraîner des effets graves tels que la thrombogénicité et
l’activation des cellules immunitaires.
…….
Notre objectif est de faire la lumière sur les problèmes non résolus de la littérature corona d’oxyde de graphène afin de jeter les bases du développement futur de la technologie
d’administration de médicaments.
In the journey of GO after injection in our body, the first process that occurs is undoubtedly the binding of plasma proteins on its surface (see Fig. 3-1). Intravenously injected
nanoparticles encounter multiple lines of defense intended to neutralize the invaders. The first and most critical defense line is the blood protein adsorption and formation of
the biomolecular corona (BC).
[Traduction : Dans le parcours de l’Oxyde de Graphène (OG) après injection dans notre corps, le premier processus qui se produit est sans aucun doute la liaison des protéines plasmatiques
à sa surface (voir Fig. 3-1). Les nanoparticules injectées par voie intraveineuse rencontrent de multiples lignes de défense destinées à neutraliser les envahisseurs. La première ligne de
défense, la plus critique, est l’adsorption des protéines sanguines et la formation de la couronne biomoléculaire (CB).]
Of the thousands of proteins present in our body, 10 to 50 may take part in a nanomaterial BC. The subset of blood proteins that have been identified in at least one nanomaterial BC has
been named ‘‘adsorbome’’.
[Traduction : Sur les milliers de protéines présentes dans notre corps, 10 à 50 peuvent prendre part à une CB de nanomatériaux. Le sous-ensemble des protéines sanguines qui ont été
identifiées dans au moins un nanomatériau CB a été nommé »adsorbome ».]
On pense que le principal mécanisme de toxicité du graphène est causé par des espèces réactives de l’oxygène produites dans les cellules, qui à leur tour interagissent avec diverses
biomolécules, y compris l’ADN. Dans cette revue, nous avons cherché à discuter de différentes études de génotoxicité réalisées avec des Graphene Based Materials en mettant l’accent sur
les différents types et conditions cellulaires. En comparant et en discutant de tels rapports, les scientifiques seront en mesure de concevoir des GBM non toxiques pour de futures études
précliniques et/ou cliniques.
On pense que le principal mécanisme de toxicité du graphène est causé par les espèces réactives de l’oxygène (ROS) produites dans les cellules. L’interaction des cellules avec GO, qui est
la forme oxydée du graphène, provoque une production excessive de ROS , avec l’augmentation de la production de ROS, entraînant un stress oxydatif . ROS agit comme un messager secondaire
dans de nombreuses cascades de signalisation cellulaire. Les ROS affectent également de manière significative les processus cellulaires et le métabolisme, tels que la fragmentation de
l’ADN, les fractures des lipides membranaires et la dénaturation des protéines. Les dommages aux protéines et à l’ADN causés par les ROS conduisent à la mort cellulaire par des voies
apoptotiques et nécrotiques . Par exemple, GO provoquerait l’apoptose et l’inflammation du tissu pulmonaire après inhalation chez les souris C57BL/6,
Lorsque l’oxyde de graphène (GO) est associé au polyéthylène glycol (PEG), on obtient un composé dont nous allons reparler plus loin du fait qu’il peut traverser la barrière
hémato-encéphalique et devenir ainsi particulièrement nocif.
Maintenant, il est possible de fabriquer du GO de haute qualité en grandes
quantités 14,15 et sa production industrielle augmente de façon exponentielle. Avec ses
applications potentielles dans le domaine biomédical, la biosécurité de GO est d’une importance critique. De nombreuses investigations ont porté attention à sa biocompatibilité 16,17,18,19. À une concentration
d’environ 50 g/mL ou plus, GO commence à montrer la toxicité contre les érythrocytes, les fibroblastes et les cellules PC12. Il peut induire l’apoptose cellulaire, l’hémolyse et le stress
oxydatif 16,18,19. La modification chimique de surface, telle que la PEGylation, est susceptible d’améliorer la biocompatibilité de GO 20,21. Cependant, les liaisons chimiques liant le GO au polymère modifié peuvent être rompues in vivo , ainsi le GO modifié en
surface peut également induire une toxicité in vivo .
GO a interféré avec la réplication de l’ADN et induit une mutagenèse au niveau moléculaire
Il a été rapporté que les nanofeuillets GO peuvent s’intercaler efficacement dans les molécules d’ADN24. Nous émettons donc l’hypothèse que GO peut interagir avec l’ADN génomique et interférer avec la réplication des
gènes. Pour tester cette hypothèse, nous avons examiné l’interaction entre GO et ADN génomique.
Le graphène et l’oxyde de graphène (GO), en raison de leurs propriétés physico-chimiques et de leur biocompatibilité, peuvent être utilisés comme matériau biomédical innovant dans la
biodétection, la distribution de médicaments dans le corps, le traitement des néoplasmes, la médecine régénérative et la chirurgie implantaire. Les recherches sur l’utilisation
biomédicale du graphène et du GO qui ont été menées jusqu’à présent sont très prometteuses et montrent que les nanomatériaux de carbone présentent une haute biocompatibilité.
Cependant, l’intolérance du système immunitaire aux nanomatériaux de graphène, si faible soit-elle, peut en conséquence rendre impossible leur utilisation en médecine. Cet article
montre le mécanisme spécifique de l’influence moléculaire du graphène et du GO sur les macrophages et les lymphocytes dans des conditions in vitro et in vivo et leur application pratique
en médecine.
On ne peut qu’être interpellé par les contradictions de cet article de 2015. On commence par évoquer des recherches prometteuses de nanomatériaux qui sont biocompatibles. Ensuite, on constate
l’intolérance du système immunitaire au graphène. Finalement, on conclut qu’il pourrait être impossible de l’utiliser en médecine.
Il est légitime de s’interroger sur les motivations de ces chercheurs.
Si l’on prend un matériau toxique, par quel tour de passe-passe peut-il être qualifié de prometteur ? Comment mettre en avant sa biocompatibilité ?
Comment espérer un progrès scientifique en partant d’un matériau toxique ? Force est de constater qu’en dépit de son caractère toxique, le graphène a trouvé en 2021 beaucoup d’applications,
notamment dans les vaccins.
Cette étude démontre que l’oxyde de graphène induit la cytotoxicité et l’apoptose dans les cellules pulmonaires humaines.
Cet article traite de la manière d’éliminer le graphène.
D’autres articles portant sur les organes de reproduction
Il ressort de ce tour d’horizon que la toxicité du graphène n’est pas à démontrer.
Malgré cela, on poursuit encore et toujours les recherches pour mieux cerner la toxicité du graphène. Ainsi, en 2018, un article relance encore le débat autour de la toxicité :
« En tant que tel, une compréhension globale de l’hémotoxicité des nanomatériaux de graphène est d’une importance cruciale. Cette revue présente une élucidation à jour de
l’hémotoxicité des nanomatériaux de graphène à travers leurs interactions avec les protéines sanguines et les cellules, et offre quelques perspectives sur les défis actuels, les
opportunités et le développement futur de ce domaine important.¨
Il faut savoir que depuis l’arrivée des nanoparticules, la compatibilité avec la biologie humaine et animale fait l’objet de recherches. Il n’est pas vraiment pertinent de parler de ¨défi actuel¨
à telle ou telle date car le problème de la toxicité est intrinsèque aux nanomatériaux du fait de leur taille.
À l’heure où le graphène est introduit massivement et vient interagir avec le monde animal et végétal, il apparaît urgent de prendre conscience des limites à respecter en matière de compatibilité
entre les nanoparticules et les organismes vivants
L’article suivant montre bien que la recherche ne se donne aucune limite et qu’une révolution basée sur l’introduction du graphène est en marche, quelles qu’en soient les conséquences.
« La communauté scientifique a été témoin d’une augmentation exponentielle des applications du graphène et des matériaux à base de graphène dans un large éventail de domaines, de
l’ingénierie à l’électronique en passant par les biotechnologies et les applications biomédicales. Pour ce qui concerne les neurosciences, l’intérêt suscité par ces matériaux est
double. D’un côté, des nanofeuillets constitués de graphène ou de dérivés de graphène (oxyde de graphène, ou sa forme réduite) peuvent être utilisés comme supports pour
l’administration de médicaments. Ici, un aspect important est d’évaluer leur toxicité, qui dépend fortement de la composition des flocons, de leur fonctionnalisation chimique et de
leurs dimensions. D’un autre côté, le graphène peut être exploité comme substrat pour l’ingénierie tissulaire.¨
¨Dans cette revue, nous essayons de donner une vue d’ensemble des réalisations et des nouveaux défis du domaine, ainsi que quelles sont, à notre avis, les directions les plus
excitantes à prendre dans un avenir immédiat. Il s’agit notamment de la nécessité de concevoir des nanoparticules
multifonctionnelles (NP) capables de traverser la barrière hémato-encéphalique pour atteindre les cellules neurales et d’assurer la livraison à la demande de médicaments
spécifiques.¨
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène
Publié le
Tous ceux qui ne sont pas enclins à confronter la vérité du génocide vaccinal, au parfum d’oxyde de graphène – parce qu’ils ont les viscères trop
perméables – peuvent, toujours, considérer que ce dossier présente un spectre d’anti-oxydants qui, pour la plupart, ont été validés à l’encontre du tableau de symptômes dénommés Covidiens.
Aujourd’hui, la mission de tout être humain, qui se respecte, c’est de guérir, quotidiennement, la Nature, en lui, qui est,
perpétuellement, assaillie par les vecteurs génocidaires de la Techno-Culture Transhumaniste. La question est, maintenant, de savoir si toute personne refusant de confronter la vérité du génocide
vaccinal est, authentiquement, capable de “se guérir”.
Tous ceux qui sont enclins à se réveiller peuvent, aisément, commencer à concevoir que la Mafia Pharmacratique n’a pas attendu d’agrémenter les
injections anti-CoqueVide/19, avec de l’oxyde de graphène, pour contaminer les “vaccins”, depuis de nombreuses années, avec une foultitude de nécro-nano-particules – et autres adjuvants.
Et j’en profite, pour rendre hommage, de nouveau, au pharmacien Serge Rader – décédé, en Guadeloupe, en mai 2021,
dans des circonstances relativement mystérieuses – dont les traductions [606][607] ont permis de découvrir les analyses de l’association Italienne,
Corvelva, en 2017, concernant un certain nombre de vaccins conventionnels de la Mafia Pharmacratique. Ces révélations ont été dénommées “VaccineGate” et elles, furent, bien évidemment,
complètement étouffées par les médias à la solde de la Mafia Pharmacratique. Serge Rader est également l’auteur de l’ouvrage “Vaccins – Oui ou Non ?: Les analyses et
les photos au microscope électronique de substances contenues dans les vaccins”.
Ce présent dossier a été, partiellement, traduit en Espagnol: Fuentes de antioxidantes para destruir la corona necro-molecular del
óxido de grafeno.[1622]
Aujourd’hui, le vecteur de l’Ennemi, c’est la graphénisation par le biais du Syndrome de la Couronne Nécro-Moléculaire – en l’occurence,
la Spike de l’Oxyde de Graphène.
Aujourd’hui, la vaccination graphénisante représente, très clairement, la ligne de démarcation entre, d’une part, ceux qui optent pour
le suicide collectif et, d’autre part, ceux qui veulent survivre, et vivre en Paix, dans la Beauté qui Vient.
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Sommaire
* Le Glutathion
* La Cystéine
* La Glycine
* L’Acide Glutamique
* La N-AcétylCystéine
* La Mélatonine
* La Vitamine D et la Fortification du Système Endocannabinoïde
* La Vitamine C
* La Nicotine et le Tabac
* Les Artémisias
* Les Plantes Médicinales très Anti-Oxydantes
* Le Charbon de Bois Activé
* Les Zéolithes
* Les Micro-Organismes Efficaces du Professeur Teruo Higa
*Le Dioxyde de Chlore
* Le Zinc
* L’Acide Shikimique
* Les Protocoles Anti-Graphène
* Autres Substances Anti-Oxydantes et Réductrices de l’Oxyde de Graphène
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Le Glutathion
Le glutathion constitue la protéine de jouvence – par excellence. C’est un protecteur cellulaire, un adaptogène, un anti-oxydant, un détoxifiant, un
promoteur du système dénommé immunitaire, un nutriment essentiel, une substance énergisante, anti-vieillissement et médicinale…
La supplémentation, ou la stimulation de la production endogène, de glutathion est conseillée pour ces diverses conditions ou
pathologies: lactation, stress, performances athlétiques, detoxication, fatigue, épilepsie, troubles du sommeil, maladies neuro-dégénératives (Parkinson, Alzheimer…), maladies cardiaques,
digestion, troubles rénaux, pathologies stomacales et intestinales, maladies pulmonaires, traumatismes, brulures, hépatites, diabètes, sinusites, problèmes d’audition, etc, etc.
La supplémentation directe en glutathion n’est pas très métabolisable et disponible – car il est détruit, en grande partie, par les sucs
digestifs.
Pour une sélection et une analyse des divers produits de supplémentation de glutathion proposés dans le commerce, voir les
articles du site de médecines naturelles, Doctonat.[1343][1344]
Un adulte en bonne santé possède, environ, 10 grammes de glutathion dans le corps. L’apport quotidien, provenant de l’alimentation, constitue seulement
de 1 à 1,5% du glutathion corporel total en circulation.
Le glutathion est le principal anti-oxydant dans l’organisme. Il en existe deux formes: le glutathion réduit (GSH) – qui est
la forme biologiquement active – et le glutathion oxydé (GSSG). Dans les cellules et les tissus sains, le
glutathion réduit représente plus de 90% du glutathion total. Le ratio de glutathion réduit/glutathion oxydé constitue l’un des marqueurs les plus
essentiels du stress oxydatif.
Sur le site du gouvernement US, PubMed, il existe plus de 100 000 articles en référence au glutathion. L’élévation, dans l’organisme, du taux de glutathion a été cliniquement validée dans le soulagement des
pathologies suivantes: tous les cancers, maladies neuro-dégénératives (Parkinson, Alzheimer…), asthme, brulures, cataractes, maladies dénommées auto-immunes, pathologies du foie, du coeur, des reins, des poumons, du système digestif, la sclérose en plaques,
l’hépatite, l’épilepsie, les problèmes dermatologiques, les tumeurs, les glaucomes, les fibromyalgies, les grippes…
Même si l’apport quotidien de glutathion, au travers de l’alimentation, est faible, il participe, néanmoins, à la détoxication quotidienne des intestins
car ce sont les cellules de l’intestin qui, en premier, le métabolisent – et, plus particulièrement, les cellules de la lumière de l’intestin. De ce fait, sa présence dans les intestins
permet, également, d’améliorer l’absorption globale de tous les nutriments.
Chez le nouveau-né, le lait maternel constitue la seule source de glutathion – parce qu’il est composé, à 60%, de
lactosérum extrêmement riche en cystéine. Le lait maternel perd 80% de son glutathion après deux heures de réfrigération ou de congélation et il perd 73% de son glutathion après deux heures de
température ambiante.
Les fruits et légumes qui contiennent le plus de glutathion sont les suivants par ordre d’importance: avocats et asperges (avec près de 30 mg/100 g);
noix et pommes de terre (avec 15 mg/100 g); épinards et gombos (avec près de 12 mg/100 g); brocolis, tomates, melons, carottes, pamplemousses, oranges, courges, fraises, pastèques, papayes,
piments, pêches (entre 5 et 10 mg/100 g); citrons, mangues, bananes, choux, concombre, piments immatures, pommes, raisins (entre 3 et 5 mg/100 g). [1268] En ce qui concerne le glutathion dans les viandes de poulet, de boeuf, de porc, de veau, etc, elles en possèdent, en moyenne, de 13 à 30 mg/100 g – en
fonction des viandes et en fonction des processus de cuisson.
Les taux de glutathion, présentés ci-dessus, concernent des fruits et des légumes qui sont consommés crus. En effet, la cuisson
détruit une bonne partie de cet anti-oxydant.
Le reste du glutathion s’élabore, dans le corps, à partir de trois acides aminés: la cystéine, l’acide glutamique et la glycine. Ainsi, pour
augmenter le taux de glutathion dans le corps, il est, surtout, conseillé de consommer des aliments qui contiennent une abondance de ces trois acides aminés – qui en sont les précurseurs.
Il est à signaler, d’ailleurs, que le glutathion est utilisé comme méthode “écologique” pour “réduire” l’oxyde de graphène ainsi qu’il
l’est explicité dans l’étude, de 2011, intitulée “One-step reduction of graphene oxide with l-glutathione”. [268]
Cette réduction de l’oxyde de graphène, par le glutathion, est, également, explicitée dans l’étude, de 2021, intitulée “Reaction
between Graphene Oxide and Intracellular Glutathione Affects Cell Viability and Proliferation”. [269] En
fait, lors de ce processus, l’oxyde de graphène est transformé en oxyde de graphène réduit tandis que le glutathion (C10H17N3O6S), sous l’effet de l’oxydation du graphène, se transforme en disulfure de glutathion (C20H32N6O12S2).
La Cystéine.
La cystéine est un acide aminé soufré. C’est l’élément constitutif le plus essentiel de ces trois acides aminés car elle contribue au groupe sulfhydryle
du glutathion – d’où l’abréviation de celui-ci en GSH pour Glutathion SulfHydryle.
Il existe diverses études portant sur la réduction (écologique) de l’oxyde de graphène avec la cystéine.[270][271][1491]
Dans l’apport quotidien de nourriture, elle constitue le facteur limitant en ce qui concerne un taux élevé de glutathion dans l’organisme. En effet, elle
doit se présenter sous une forme qui puisse survivre le transit de la bouche aux cellules – à savoir qu’elle doit être incluse dans une plus grosse molécule.
En fonction des sources nutritionnelles, l’apport quotidien conseillé, de cystéine/méthionine, pour un adulte de 70 kgs, est d’environ
de 1200 à 3000 mg.
La cystéine endogène. La cystéine peut être produite par l’organisme à partir d’un autre acide aminé soufré: la méthionine. La méthionine
est l’un des 22 acides aminés protéinogènes, et l’un des 9 acides aminés essentiels (à savoir ne provenant que de la nourriture).
On trouve, principalement, de la méthionine dans: toutes les viandes et poissons, les oeufs, les produits laitiers, la quinoa, l’amaranthe à
grains, le sarrasin, le sésame, les noix de Brésil, les graines de chanvre/cannabis. Il s’en trouve également dans les haricots secs, et autres légumineuses, mais en trop petite quantité,
généralement, pour qu’elle puisse contribuer, de façon conséquente, à la production endogène de cystéine.
La métamorphose de la méthionine, en cystéine, requiert un processus relativement laborieux impliquant la présence de certains enzymes
et vitamines B. Ce processus s’avère facilement perturbé lorsque il prévaut des maladies du foie et autres faiblesses du système métabolique.
De plus, on ne peut pas considérer la méthionine comme la source principale de cystéine, afin d’élaborer le glutathion, car elle se transforme, également, en homocystéine – un acide aminé non protéinogène dont l’excès, dans l’organisme, peut induire des maladies cardiovasculaires graves:
athérosclérose, infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux, thromboses, etc.
La cystéine exogène. La cystéine est présente dans tous les aliments hautement protéinés: viandes, poissons, fruits de mer, produits
laitiers, oeufs, quinoa, avoine, amaranthe à grains… Elle se trouve, également, en moindres quantités dans certains légumes tels que: brocolis, chou de Bruxelles, piments doux, oignons, ail,
graines de tournesol, dattes, graines de chanvre/cannabis, levure de bière, germes de blé, beurre d’amande, champignons Shiitake.
Une portion de 100 grammes de porc, boeuf, poulet, contient 350 mg de cystéine. Une portion de 100 grammes d’avoine en contient 100
mg. Une portion de 100 grammes d’oeuf en contient 290 mg. Une portion de 100 grammes de graines de tournesol en contient 390 mg. Une portion de 100 grammes de gruyère en contient 300 mg. Une
portion de 100 grammes de lentilles en contient 180 mg.
En fait, c’est le petit lait, le lactosérum, qui recèle le plus de cystéine car il contient diverses protéines sériques très riches en cystéine:
β-lactoglobuline, α-lactalbumine, sérum albumine, lactoferrine et immunoglobulines. La lait cru contient de 5 à 10 % de protéines dont la caséine constitue 80% et le petit lait 20%.
Il existe diverses méthodes de réduction de l’oxyde de graphène par le biais des bactéries lactiques telles que
Lactococcus lactis[1465],
Lactobacillus plantarum [1466].
Il existe une étude, de 2020, sur l’action thérapeutique du petit lait à l’encontre du CoqueVide/19 – donc à l’encontre de
l’oxyde de graphène.[1467]
La Glycine
La glycine est produite, dans le corps, à partir des acides aminés sérine et thréonine. En sus d’être l’un des trois composants du Glutathion, elle
participe, également, à l’absorption harmonieuse du calcium ainsi qu’à l’édification d’un système immunitaire robuste. C’est un acide aminé important pour la santé de la prostate.
La glycine est présente dans les aliments suivants: viandes, poissons, fruits de mer, produits laitiers, oeufs, légumineuses et noix, amandes, noisettes,
bananes séchées, oranges, choux, algues, asperges, épinards…
L’Acide Glutamique
L’acide glutamique, en sus d’être l’un des trois éléments constitutifs du glutathion, est une molécule-clé dans le métabolisme cellulaire et, également,
le neuro-transmetteur excitateur le plus abondant dans le cerveau. C’est un acide aminé non essentiel car il est, également, produit par l’organisme. Il en existe deux formes: une forme liée, en
tant que composant de protéines, et une forme libre.
Le lait maternel contient 10 fois plus d’acide glutamique que le lait de vache.
L’acide glutamique libre est présent dans les aliments suivants: produits laitiers non pasteurisés, algues, fruits de mer, poissons, viandes, sauce
fermentée au soja, champignons.
Les légumes qui en contiennent le plus sont: sojas, petits pois, graines de courges et de tournesols, arachides, amandes, pistaches, oignons, lentilles,
tomates, choux, etc.
La N-AcétylCystéine
En juillet 2020, la FDA, aux USA, initia un processus de prohibition de la N-Acétylcystéine et menaça de poursuites légales sept grandes sociétés de
compléments alimentaires. [477] En mai 2021, le géant Amazon a décidé de discontinuer tout produit contenant de la N-Acétylcystéine. [478] Aujourd’hui, aux USA, la FDA n’a pas encore prohibé,
officiellement, [480] la N-Acétylcystéine.
La N-Acétylcystéine (NAC) est un dérivé synthétique – qui n’existe, donc, pas dans la Nature – de la cystéine. La cystéine est un
précurseur du glutathion, l’un des deux anti-oxydants les plus puissants dans le corps.
Pourquoi, donc, la FDA tente-t-elle de prohiber la N-Acétylcystéine (qui possède de très nombreuses qualités thérapeutiques) dans les compléments
alimentaires, alors qu’elle est utilisée, aux USA, depuis 57 années – en tant que remède et en tant que complément alimentaire?
Pour mémoire, la recherche sur la N-Acétylcystéine produit 549 études listées sur le site Clinicaltrials.gov du gouvernement US.
[479]
Tout simplement parce que la N-Acétylcystéine constitue le troisième traitement (allopathique) des symptômes du dénommé CoqueVide/19 – à la suite de
l’Hydroxychloroquine et de l’Ivermectine. Ces deux dernières substances ont été interdites par l’OMS, et/ou leurs valets politiques corrompus, afin que la FDA, et les Agences de Sécurité
Européenne, donnent des autorisations d’urgence à des injections, prétendument “expérimentales”, jusqu’en 2023.
Les études sur le traitement du CoqueVide/19 avec la N-Acétylcystéine ont commencé à émerger au printemps 2020. Une première étude a été publiée, en
avril 2020, dont l’intitulé est: “N-acetylcysteine: A rapid review of the evidence for effectiveness in treating COVID-19”. [484]
Trois études ont, ensuite, été publiées, durant l’été 2020: “Efficacy of N-Acetylcysteine (NAC) in Preventing COVID-19 From Progressing to Severe
Disease” [476]; “Rationale for the use of N-acetylcysteine in both prevention and adjuvant therapy of
COVID-19” [485]; “N-acetylcysteine as a potential treatment for novel coronavirus disease 2019”. [487]
Une autre étude, intitulée “N-Acetylcysteine to Combat COVID-19: An Evidence Review”, fut publiée, en novembre 2020, afin de mettre en exergue les
qualités thérapeutiques de la N-Acétylcystéine à l’encontre du CoqueVide/19. Les conclusions de cette étude sont que la N-Acétylcystéine possède les fonctions les suivantes: elle est antivirale
(pour ceux qui croient aux virus pathogènes); elle est immuno-modulatrice; elle réduit l’émergence des pneumonies; elle fait baisser la mortalité en soignant les poumons. [482]
Une autre étude fut publiée, en avril 2021, qui est intitulée “The efficacy of N-Acetylcysteine in severe COVID-19 patients: A
structured summary of a study protocol for a randomised controlled trial”. [483]
Une autre étude fut publiée, en juin 2021, qui est intitulée “A pilot study on intravenous N-Acetylcysteine treatment in patients
with mild-to-moderate COVID19-associated acute respiratory distress syndrome”. [486]
Voici un extrait de l’introduction de l’une des études pharmacologiques – préconisant l’usage de la N-Acétylcystéine à l’encontre du CoqueVide/19 – afin
de présenter l’identité, et donc les fonctions, de la N-Acétylcystéine.
« La N-Acétylcystéine fut introduite dans les années 1960 comme remède mucolytique dans le cas de maladies respiratoires chroniques. Elle se
caractérise par une fiche de sécurité bien établie et elle est encore communément utilisée, oralement, à raison de doses de 600mg/jour en tant que mucolytique. Dans le cadre hospitalier, elle est
également utilisée comme antidote aux overdoses de paracétamol (avec des formulations contenant jusqu’à 150 mg/kg) et sous mode nébulisé chez les patients souffrant de maladie bronchopulmonaire
aigüe (pneumonie, bronchite, trachéo-bronchite). La N-Acétylcystéine rend les muqueuses bronchiques moins visqueuses. In vitro, les dérivés de la cystéine agissent en cassant les liaisons
disulphure entre les macromolécules – ce qui induit une réduction de la viscosité des muqueuses.
Cependant, à des doses supérieures (≥ 1200mg), la N-Acétylcystéine agit, également, comme antioxydant au travers de mécanismes complexes qui peuvent
combattre des conditions de stress oxydatif. La N-Acétylcystéine est un dérivé de l’acide aminé naturel, la cystéine, qui sert de précurseur à la synthèse du glutathion dans le corps avec une
activité anti-oxydante. Cela permet de réduire la formation de cytokines pro-inflammatoires, telles que la IL-9 et la TNF-α et cela possède, aussi, des propriétés vasodilatatrices en accroissant
les taux de GMP (guanosine monophosphate) cycliques et en contribuant à la régénération du facteur relaxant dérivé de l’endothélium. C’est ce mécanisme potentiel anti-oxydant qui a suscité de
l’intérêt de par la pandémie actuelle du Covid-19 et de par son utilité thérapeutique potentielle dans les communautés». Traduction de Xochi.
[484]
Le dosage conseillé est de 1200 à 2400 mg par jour – sur un estomac vide.
Suite à la prescription sauvage de Paracétamol – pour soulager les symptômes Covidiens ou prévenir les effets adverses post-vaccinaux
– c’est, également, la N-Acétylcystéine qui permet de soigner la toxicité au paracétamol dans le corps. [512]
Il est à noter, de plus, que le paracétamol (qui est le médicament allopathique le plus prescrit en France) réduit les taux de
glutathion, dans le foie, de 70 à 80%. [490] Par conséquent, de par le fait que, déjà, l’oxyde de graphène détruit le glutathion dans le corps, il semble suicidaire de continuer à prescrire le
paracétamol, avant et après les injections anti-CoqueVide/19, afin d’en atténuer les effets secondaires ainsi que certains pharmaciens le conseillent – telle que Marianne Gazzano, pharmacienne
biologiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris [488] ou tel que le psychopathe, Alain Fisher, en charge de la stratégie vaccinale de la PharMacronie. [1116]
Voir, à ce sujet, l’article très éclairant, intitulé “Pas de paracétamol dans la Covid, erreur thérapeutique majeure!”, qui a
été publié par la rédaction de l’AIMSIB, fin août 2021.[1555]
Alerte: la plus grande partie de la N-Acétylcystéine, disponible sur le marché, provient de Chine. Elle est confectionnée à partie de
soies de porcs, de plumes de volaille… et de cheveux humains – qui sont récupérés chez les coiffeurs. Il est donc important de vérifier, avant tout achat, la provenance et l’origine physique de
ce complément alimentaire.
Alerte: l’usage fréquent de la N-Acétylcystéine, sans supervision médicale, n’est pas très conseillé car elle peut provoquer la
manifestation de: vomissements, diarrhées, douleurs épigastriques, brûlures d’estomac, saignements rectaux, dyspepsie, nausées, etc.
La Mélatonine
La mélatonine est sécrétée par la glande pinéale du cerveau (épiphyse) de la tombée de la nuit à la levée du jour. La mélatonine est réputée synchroniser
les oscillateurs périphériques et permet, ainsi, une organisation harmonieuse des fonctions biologiques au travers des rythmes circadiens. La mélatonine constitue une substance thérapeutique
primordiale en ce qui concerne sa détoxification des radicaux libres, son action anti-oxydante, les troubles psychiatriques, les problèmes cardio-vasculaires, les pathologies du système de
reproduction, les dysfonctions neuronales, les troubles gastro-intestinaux, les septicémies, etc.
La mélatonine est un anti-oxydant qui, de plus, joue un rôle dans l’activation d’autres anti-oxydants. La capacité de la mélatonine
d’accroitre le taux de glutathion dans le corps – en particulier dans les tissus du foie, du cerveau, des muscles et du sérum sanguin – a été validée
scientifiquement.
Une requête, sur le site PubMed du Ministère de la Santé US, avec les termes “Melatonin” et “Covid”, renvoie vers 128 études – pour les seules années
2020 et 2021. [1307] Selon ces études, dont certaines cliniques, la mélatonine est très
efficace à l’encontre du tableau de symptômes du CoqueVide/19: inflammations, oxydation, problèmes respiratoires, tempêtes de cytokines, anxiétés, troubles du sommeil, délirium, fibroses
pulmonaires, problèmes cardiaques, myocardites [1308], problèmes neurologiques
[1309], troubles du rythme circadien [1310], apoptosis, perméabilité des vaisseaux sanguins, etc.
Une étude, d’octobre 2020, intitulée “Melatonin restores neutrophil functions and prevents apoptosis amid dysfunctional
glutathione redox system”, a mis en exergue les capacités de la mélatonine a régénérer le niveau de glutathion dans le corps.[1311]
Comme de nombreux scientifiques ne peuvent pas s’empêcher de jouer avec le feu, il existe, même, quelques études sur la
faisabilité de véhiculer, prétendument plus efficacement, de la mélatonine dans le corps… en la fusionnant avec des nano-particulessolides aux lipides ou des
nano-particules polymériques.[1312][1314] Il existe, par exemple, une étude récente, de 2020,
proposant un traitement anti-cancéreux composé de doxorubicine et de mélatonine véhiculées par des nano-particules de graphène et de magnétite ( Fe3O4).[1313]
Par exemple, une étude Allemande, publiée en juin 2020, a mis en exergue les capacités thérapeutiques de la mélatonine à l’encontre des inflammations
pulmonaires. «Les capacités protectrices de la mélatonine ont été mises en exergue en raison, principalement, de ses propriétés anti-inflammatoires et anti-oxydantes. Cette protection a été
validée dans des pathologies aussi diversifiées que: inflammations allergiques des voies aériennes, lésions pulmonaires aiguës induites par des toxines ou des radiations, pathologies
respiratoires telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive, apnées obstructives du sommeil, syndrome néonatal de détresse respiratoire, asphyxie et dysplasie bronchopulmonaires,
problèmes respiratoires induits par une septicémie, fibroses pulmonaires idiopathiques et hypertension pulmonaire?. Les résultats prévalant ont été une protection ou une amélioration grâce à la
mélatonine conjointement à une réduction de l’expression et de la libération de cytokines pro-inflammatoires, telles que IL-1β, IL-2, IL-6, IL-8 et TNFα, qui est souvent explicitée de par
l’interférence avec les récepteurs de type toll, l’inhibition de l’activation de l’inflammasome NLRP3 et la suppression des signaux NF-κB».
Traduction de Xochi. [1315]
Selon Stephen Harod Buhner, dans son ouvrage “Herbal Antivirals”, les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de
cytokines TNF-α incluent: Sureau (Sambucus nigra), Réglisse (Glycyrrhiza glabra), Gingembre officinal (Zingiber officinale), Kudzu (Pueraria montana), Polygale de Virginie (Polygala tenuifolia),
la Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baicalensis), Poivre de Chine (Houttuynia cordata), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum).
Selon Stephen Harod Buhner, les plantes médicinales permettant de réduire les tempêtes de cytokines IL-1β incluent: Scutellaire du
Baikal (Scutellaria baikalensis), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum), Kudzu (Pueraria lobata), Sénéga Chinois (Polygala tenuifolia). Les plantes médicinales permettant de réduire les
tempêtes de cytokines IL-6 et IL-8 incluent: Pastel des Teinturiers (Isatis sp.), Scutellaire du Baikal (Scutellaria baikalensis) et Astragale (Astragalus membranaceus). Sont, également, très
bénéfiques, pour ces types de tempêtes de cytokines, les champignons Cordyceps.
Selon Stephen Harod Buhner, les plantes médicinales permettant de moduler la protéine NF-κB (impliquée dans la réponse immunitaire et
les tempêtes de cytokines) incluent: Astragale (Astragalus membranaceus), Réglisse (Glycyrrhiza glabra), Gingembre officinal (Zingiber officinale), Kudzu (Pueraria montana), Scutellaire du Baikal
(Scutellaria baikalensis), Poivre de Chine (Houttuynia cordata), Eupatoire perfoliée (Eupatorium perfoliatum).
La mélatonine est synthétisée à partir de la sérotonine qui est, elle-même, constituée à partir du tryptophane, un acide aminé essentiel, que l’on
trouve, principalement, dans: poissons, produits laitiers, céréales, viandes, légumineuses noix et graines, chocolat, fruits… [1481]
La Vitamine D et la Fortification du Système Endocannabinoïde
En 1918/1920, alors que des dizaines de millions de personnes mourraient de pneumonie bactérienne – et non point d’une grippe prétendument Espagnole –
les médecins prirent conscience que le taux de mortalité était considérablement diminué lorsque les patients étaient installés au grand air (de par la capacité purificatrice intrinsèque de
l’Atmosphère Vivante) et au Soleil – à savoir en situation de réception de Vitamine D.
Voir l’étude, publiée par Richard Hobday, intitulée “The Open-Air
Treatment of Pandemic Influenza”. [1316][1317]
Aujourd’hui, c’est une centaine d’études, rédigées en 2021 et 2021, portant sur le soulagement des symptômes Covidiens à l’aide de la Vitamine D3, qui
ont été analysées dans une méga-étude intitulée “Vitamin D for Covid-19: real-time meta analysis of 101 studies”. [1320] Selon
PubMed, il existe, en fait, des centaines d’études portant sur les relations entre la Vitamine D et le CoqueVide/19. [1321]
Je ne puis que conseiller une étude, de 2017, qui est intitulée “Vitamin D supplémentation to prevent acute respiratory tract
infections: systematic review and meta-analysis of individual participant data”. Cette étude met, strictement, en lumière que la supplémentation en Vitamine D réduit l’incidence des “grippes”, et
autres pathologies respiratoires, de 50%. [1318]
Que se passe-t-il, de plus, donc, lorsqu’un Coup d’État assigne toute une population à résidence, en tout début
de printemps, avec interdictions de promenades? Il s’ensuit, tout simplement, qu’à la sortie de l’hiver (sans vitamine D de par l’inclinaison du Soleil et des jours courts), cette population ne
peut bénéficier des largesses de notre étoile, le Soleil, dispensant une générosité de vitamine D – au fil des semaines croissantes en intensité solaire.
Vers la fin de sa vie, le philosophe Rudolf Steiner – après avoir gaspillé 20 années à promouvoir la soupe christo-centrique – donna
l’un de ses cycles de conférences, les plus authentiquement Païens, qui fut intitulé “Le Cours aux Agriculteurs” et qui fut à l’origine de l’Agriculture Biodynamique. Ce Cours aux Agriculteurs
fut offert, en 1924, suite à la requête de paysans, Suisses et Allemands, effarés que leurs sols agricoles soient complètement oxydés par les intrants chimiques. En effet, l’Agriculture chimique
avait déjà sévi, en Europe, depuis 1844 – l’année de publication du “Précis de Chimie” de Justus Liebig-Möser.
Le déficit en Vitamine D tue… d’autant plus que cela fait plus d’un siècle que l’agriculture industrielle, et excessivement toxique, produit une
alimentation dont le ratio Omega 3/Omega 6 est de 1/12 à 1/15 alors qu’il devrait être de 1/1 à 1/3. Il en résulte, alors, une oxydation de l’organisme induisant moult pathologies et
cancérisations.
Depuis janvier 2011, et la publication dans la revue Nature des recherches réalisées par une équipe Français, nous savons qu’une déficience en acides
gras Omega 3 invalide totalement le fonctionnement harmonieux du système des endocannabinoïdes. [1403]
«Les cannabinoïdes affectent puissamment les réseaux neuronaux et ils jouent des rôles neuro-modulateurs essentiels au niveau du système immunitaire
et des systèmes nerveux central et périphérique dans le corps humain. Nos corps produisent naturellement des cannabinoïdes (endocannabinoïdes) et les utilisent dans toutes les parties du corps où
ils participent aux communications intracellulaires. Les cannabinoïdes (endo- ou ecto-) jouent des rôles modulateurs au niveau des neurotransmetteurs tels que GABA, 5HT, glutamate, acétylcholine,
noradrénaline et dopamine, à partir d’un certain nombre de structures du système nerveux central telles que le cervelet, l’hippocampe, le striatum, la substance grise et le cortex. Ils agissent
tel un mécanisme autorécepteur présynaptique en modulant le GABA tout autant que l’acide glutamique dans le système neuronal. Les récepteurs au glutamate induisent, en fait, la synthèse
d’endocannabinoïdes en réponse à des indices environnementaux (ou internes) afin de réguler la libération de GABA et les niveaux de système. La production d’endocannabinoïdes altère
l’architecture neurocognitive, stimulant la plasticité neuronale et les réponses aux perturbations environnementales. Durant des périodes de stress intense, ils sont généralement produits en très
forte quantité». Stephen Harrod Buhner. Plant Intelligence and the Imaginal Realm. Traduction de Xochi.
C’est le Professeur Raphael Mechoulam de l’Université Hébraïque de Jérusalem – celui-là même qui a impulsé toute la recherche Israëlienne sur le cannabis
thérapeutique depuis 1962 – qui, en 1964, a découvert le principe actif principal du cannabis, le THC. C’est le Professeur Raphael Mechoulam, de nouveau, qui découvrit l’existence du système
des cannabinoïdes endogènes – ou endocannabinoïdes – lorsque son équipe isola, en 1992, l’Anandamine – une dénomination résolument Védique! Notons, en effet, que cette appellation est dérivée du
terme Sanskrit Ananda, signifiant “joie, félicité suprême”. Dans le corps humain, le système des endocannabinoïdes est vraisemblablement le système physiologique le plus important pour le
maintien de la santé humaine. Il garantit l’homéostasie.
Selon l’INSERM, «Dans les pays industrialisés, les régimes alimentaires se sont appauvris en acides gras essentiels depuis le début du XXème
siècle. Ainsi, le rapport entre les quantités d’acides gras polyinsaturés Oméga 6 et d’acides gras polyinsaturés Oméga 3 dans les rations alimentaires n’a cessé d’augmenter au cours du XXème
siècle. Ces acides gras sont des lipides “essentiels” car l’organisme ne peut les synthétiser de novo. Ils doivent donc être apportés par le régime alimentaire».
Ainsi, d’une part, le système des endocannabinoïdes est totalement dysfonctionnel chez une grande partie des êtres humains tandis que l’alimentation
industrielle est archi-toxique et de plus en plus dépourvue des constituants les plus élémentaires pour la santé de l’humanité – tel qu’un ratio adéquat d’acides gras Omega 3. D’autre part, les
Autorités – sous le prétexte insensé de nous protéger contre nous-mêmes – ont criminalisé une source avérée de cannabinoïdes naturels, le Cannabis, depuis les années 1940, pour protéger les
industriels du papier, du nylon, des fertilisants de synthèse, etc… et maintenant pour protéger les Cartels de la Pharmacie.
D’ailleurs, en avril 2021, le squatter menteur de
l’Élysée– le Guide du Coviet Suprême – a décidé de lancer force répressions policières contre “la consommation de
drogue”: «On se roule un joint dans son salon et à la fin on alimente la plus importante des sources d’insécurité…» Sans plaisanter? C’est le même Macron pour lequel, en juillet
2019, la légalisation du Cannabis pouvait devenir une proposition de sa campagne présidentielle pour 2022. C’est le même Macron qui, le 4 septembre 2016,
déclarait: «Cannabis: je crois que la légalisation a une forme d’efficacité».
La Vitamine C
La Vitamine C a été validée, de très nombreuses fois, comme extrêmement thérapeutique à l’encontre du tableau de symptômes du CoqueVide/19… tout autant
que comme réducteur “vert” de l’oxyde de graphène.
Un étude clinique a mis en valeur une augmentation de 50% du taux de glutathion, chez des personnes en bonne
santé, à la suite d’une prise de 500 mg de Vitamine C, quotidiennement, pendant deux semaines. Caveat: la Vitamine C, tout comme la Vitamine E, agissent en tant que co-facteurs, et non pas en
tant que source principale, dans la production de glutathion: à savoir qu’ils n’agissent qu’en cas de présence des trois acides aminés que sont la cystéine, la glycine et
l’acide glutamique.
A l’encontre du CoqueVide/19, elle a été prescrite en très hautes doses par intraveineuse [1451][1452][1453] et a été utilisée ainsi dans de nombreux pays.
Les très hautes doses signifient de 50 à 200 milligrammes par kilo de poids.
En tant que réducteur non toxique de l’oxyde de graphène, elle a été validée lors de diverses études [1455][1456][1457] dont une de 2018, intitulée “Green reduction of graphene oxide by ascorbic acid”. [1454]
La Nicotine et le Tabac
Le fait que la nicotine participe à l’inactivation de l’oxyde de graphène – et donc à la protection du système neuronal – est d’autant plus intelligible que de nombreuses études ont prouvé que les fumeurs étaient protégés à l’encontre de le symptomatologie dénommée CoqueVide/19.
Pour mémoire, voici quelques extraits de ce que j’ai présenté, en avril 2021, dans ma très longue monographie médicinale sur le Tabac, “Les Qualités
Extrêmement Médicinales et Enthéogéniques des Tabacs”. [590]
La dernière étude, en date, vient d’être publiée, dans la Revue Nature, le 10 septembre 2021.“Inhibiting SARS-CoV-2 infection in vitro
by suppressing its receptor, angiotensin-converting enzyme 2, via aryl-hydrocarbon receptor signal”. [1483][1484]
Au printemps 2020, des chercheurs Chinois s’aperçurent très rapidement, que le pourcentage de fumeurs de Tabac dans les hôpitaux Chinois, accueillant les
patients supposément atteints par le CoqueVide/19, était très faible – à savoir, environ 6%. [659] [660][661][662] [663] Il s’avéra que la situation était identique aux USA, en Allemagne (avec 6%) [664] et en France (avec 5%) [665]. En effet, aux USA, le CDC rapporta un taux minime de 1,3% de fumeurs parmi les patients hospitalisés pour cause de CoqueVide/19 [667] – alors que les hôpitaux de New-York rapportaient un taux de
fumeurs de l’ordre de 5,2%.
Le 20 avril 2021, une équipe de chercheurs, en Inde, a publié une étude affirmant, de même, que les fumeurs de ce pays étaient très peu impactés par la
grippette Covidienne. [669] Certains chercheurs suggérèrent, même, et
continuent de le suggérer, que la nicotine pharmaceutique pourrait être considérée comme une thérapie privilégiée dans le traitement de toutes les pneumonies cataloguées sous la dénomination
CoqueVide/19. [713][714][715]
En fait, la nicotine promeut la survie des neurones et protège donc à l’encontre des Maladies d’Alzheimer ou de Parkinson, en dégradant ou en inhibant le
gène SIRT6 qui code pour la protéine sirtuine 6 – une histone de la famille des sirtuines. [1404][1405][1406]
Diverses études ont mis en lumière le fait que les chances de contracter la Maladie de Parkinson sont inversement proportionnelles à
la quantité de Tabac fumé. Il est, ainsi, estimé que les fumeurs de Tabac ont 50% de chances en moins de succomber à cette pathologie.
Une étude récente, de 2019, a mis en exergue que des gommes à mâcher, à base de Nicotine, augmentait la pression sanguine, en l’espace
de 10 mn, chez les patients souffrant de la Maladie de Parkinson – dont la moitié, généralement, sont sujets à de l’hypotension.
Selon les recherches d’une équipe de l’Université de Caroline du nord, le Tabac désactiverait le gène NOS2A, en diminuant ainsi la
destruction cellulaire. Ce gène est présent dans toutes les cellules et sa fonction est de générer de l’oxyde nitrique.
Il est à noter que la nicotine, la caféine et la niacine – toutes substances ayant la capacité de diminuer l’impact de ces pathologies – se caractérisent
par leur capacité de liaisons au fer. Ainsi, une étude récente, de 2019, a mis en exergue que, dans le cas de toxicité induite par une teneur élevée en fer et en manganèse, provoquant des
troubles neurodégénératifs, la nicotine possède une capacité neuroprotectrice en protégeant les cellules dopaminergiques – à savoir en chélatant ces métaux en excès. [1407]
Dans la lutte contre la graphénisation, le Tabac constitue une thérapie de première ligne. C’est pour cela que les ayahuasqueros, les guérisseuses, les
hommes-médecine, les femmes-Bison Blanc et autres shamanes, dans les trois Amériques, soufflent le Tabac: afin de purifier l’atmosphère matérielle, à savoir physique et psychique.
D’ailleurs, le processus shamanique consistant à souffler la fumée du Tabac, sur toutes les parties du corps des patients, n’est pas
sans rappeler les pratiques Asiatiques de moxibustion par le biais desquelles les points d’acupuncture sont chauffés grâce à des moxas – confectionnés avec de l’Artemisia argyi, de l’Artemisia
vulgaris, ou d’autres plantes médicinales. En effet, l’un des produits de la combustion des moxas est la fumée de moxa qui possède des propriétés anti-microbiennes et dont les applications
thérapeutiques ont été validées dans le cas de blessures infectées, de vaginites, de prolapsus utérins, de verrues, de fistules anales, etc.
Les Artémisias
En mars 2020, j’écrivis au très sympathique Professeur Didier Raoult afin de m’enquérir de ce qu’il pensait de l’usage des Artemisias – des plantes
anti-paludiques millénaires – dans la mesure où il promouvait l’hydroxychloroquine, un médicament anti-paludique, pour soulager le tableau de symptômes du CoqueVide/19.
Le Professeur Didier Raoult ne m’a jamais répondu. Au mois de mars 2020, au sujet de l’arnaque des Tests de positivité/négativité, qui
étaient très promus, d’ailleurs, par le Professeur Didier Raoult, je posais les questions suivantes: Quels Tests???? Puisque le Coronavirus ID/2019 n’existe pas…? S’agit-il d’un immense théâtre
de dupes avec des histoires imbriquées les unes dans les autres et toutes aussi FAKE les unes que les autres? Afin de générer une pléthore de dissonances cognitives, au sein de la
population, en en accroissant d’autant la psychose?
Au vu des prises de position du Professeur Didier Raoult – sur les sujets criminels des tests PCR, des injections et de la mythologie
pernicieuse des Variants du CoqueVide/19 – il fait, résolument, partie de l’Opposition Contrôlée. N’est-ce pas affligeant?
Les Artemisias font partie des Plantes Médicinales Maîtresses: elles sont extrêmement anti-oxydantes, anti-inflammatoires et anti-cancers – en sus d’être
anti-microbiennes, anti-parasitaires, etc. Artemisia annua est l’un des plantes médicinales les plus anti-oxydantes et anti-inflammatoires de la planète.
Je renvoie le lectorat vers mes diverses monographies médicinales sur les Artemisia, rédigées en 2018: “Pour prévenir et guérir la
Malaria: les Armoises d’Artémis ou les vaccins chimériques de la Pharmacratie? Dossier n°1” [1283]; “Pour prévenir et
guérir la Malaria: les Armoises d’Artémis ou les vaccins chimériques de la Pharmacratie? Dossier n°2” [1284];
“L’Artemisia annua dans la Pharmacopée Familiale” [1282].
Il existe quelques dizaines d’études (publiées en 2020 et 2021) portant sur les capacités extrêmement thérapeutiques de l’Artemisia annua à
l’encontre des symptômes du CoqueVide/19 – donc, à l’encontre des symptômes de l’empoisonnement au graphène: “Artemisia and Artemisia-based products for COVID-19
management: current state and future perspective”, “An overview of the anti-SARS-CoV-2 properties of Artemisia annua, its antiviral action, protein-associated mechanisms, and
repurposing for COVID-19 treatment”, etc, etc. [1408][1409][1410] [1411][1412][1413][1414][1415][1416].
Il existe, même, une étude de 2018, “Facile synthesis of graphene via reduction of graphene oxide by artemisinin in ethanol”, [1417] portant sur la réduction de l’oxyde de graphène avec de l’artémisinine – l’une des substances les plus actives de certaines espèces d’Artemisia… Car
Artemisia afra n’en contient pas malgré qu’elle soit éminemment anti-paludique.
Cette étude sur la réduction de l’oxyde de graphène avec de l’artémisinine contient de magnifiques photos d’oxyde de
graphène.
Les Plantes Médicinales très Anti-Oxydantes
Je vais tout d’abord présenter les Plantes Médicinales, ou les complexes de Plantes Médicinales, émanant de diverses pharmacopées, qui ont été validées
efficaces à l’encontre de l’ensemble des symptômes de ce qui a dénommé “CoqueVide/19” – donc, très vraisemblablement, à l’encontre du tableau de symptômes générés par l’empoisonnement à l’oxyde
de graphène.
La Réglisse est, médicinalement, efficace à l’encontre de la Covidette (de même qu’à l’encontre de toutes les grippes et grippettes) selon une pléthore
d’études récentes et publiées, depuis 2020, en Chine, en Italie, en Allemagne, en Inde, en Turquie, en Corée… So Sweet! [695][696][697] [698][699][701][702]
Une étude Chinoise, publiée en mai 2020, a mis en exergue que la liquiritine, de la Réglisse, inhiberait le développement, du prétendu
CoqueVide/19, en se faisant passer pour de l’interféron de type 1. [703]
Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de décembre 2020, sur les Réglisses: “Les Réglisses : une Panacée
Suprêmement Médicinale”.[1269]
La Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baikalensis) s’avère, médicinalement, efficace à l’encontre de la Covidette (comme à l’encontre de toutes
les grippes et grippettes) selon une pléthore d’études récentes publiées, depuis 2020, en Chine, et ailleurs. [704][705][706][707]
Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de novembre 2020, sur les Scutellaires: “Les Qualités Médicinales des
Scutellaires”. [1270]
En 2020, le gouvernement Chinois a promu six complexes de la Médecine Traditionnelle Chinoise [710][711] pour
lutter contre la Pandémie Covidienne, donc à l’encontre la couronne nécro-moléculaire d’oxyde de graphène. Le premier complexe est dénommé “Lianhua Qingwen JiaoNang”. En hommage à la Médecine
Traditionnelle Chinoise multi-millénaire, voici la recette car ce complexe médicinal qui peut, même, servir pour les grippes diverses et variées ou pour tout problème pulmonaire ou
respiratoire. [712]
Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de novembre 2020, sur les Isatis: “Les Qualités Extrêmement Médicinales du
Pastel des Teinturiers”. [1271]
Le second complexe se nomme “Granules de Jinhua Qinggan” et il fut développé lors de la fausse pandémie de grippe de 2009.
“Jinhua Qinggan” est constitué par la somme de deux complexes traditionnels. Le premier est une décoction dénommée “Maxing Shigan”
mentionnée dans le Traité “Shanghan Lun” de Zhang Zhongjing – au 3 ème siècle. “Maxing Shigan” est constitué de Glycyrrhiza glabra (Réglisse), Ephedra sinica (Ephedra chinois), Prunus armeniaca
(Noyau d’abricot), et Mentha haplocalyx. Le second est la “Poudre de Yinqiao” mentionnée dans le Traité “Wenbing Tiaobia” de Wu Jutong – en 1798. “Yinqiao” est constitué de Ephedra sinica
(Ephedra chinois), Lonicera japonica (Chèvrefeuille du Japon), Forsythia suspensa, Platycodon grandiflorus (Campanule à grands fleurs), Arctium lappa (Grande Bardane), Mentha haplocalyx,
Lophatherum gracile, Schizonepeta tenuifolia, Phragmites communis, Glycyrrhiza glabra (Réglisse) et Glycine soya (Soja).
Le troisième complexe se nomme “Injection de Xuebijing”. Il est, même, référencé par l’organisation Cochrane afin de traiter l’empoisonnement au paraquat
– un toxique très violent de la multinationale criminelle Syngenta. [1273]
“L’injection de Xuebijing” est composée des espèces médicinales suivantes: Salvia miltiorrhiza, Angelica sinensis, Carthamus
tinctorius, Ligusticum wallichi et Paeonia rubra.
Au-delà des plantes médicinales promues en Chine, durant la fausse pandémie, il existe une très grande diversité d’espèces de plantes médicinales
anti-oxydantes dans la Médecine Traditionnelle Chinoise. Une étude, de 2003, intitulée “Antioxidant activity and phenolic compounds of 112 traditional Chinese medicinal plants associated with
anticancer” décline 112 espèces médicinales possédant une activité anti-oxydante et des composés phénoliques. [1274]
Je renvoie le lectorat vers mes monographies médicinales, de 2018, sur les Artemisia. [1282][1283][1284] Au sujet des capacités des plantes (et des médications) anti-paludiques, il est à signaler une étude, d’août 2021, intitulée “Profound and persistent
disparity in COVID-19 mortality rates between USA / Western Europe and sub-Saharan Africa: A crossover effect of antimalarial drugs?” [1291]. Cette étude présente l’hypothèse selon laquelle la mortalité attibuée aux symptômes du CoqueVide est très basse en Afrique sub-sahélienne (par rapport à
l’Europe de l’ouest et de l’Amérique du nord) de par le fait que ces pays se soignent, communément, à l’encontre de l’impact de la malaria – soit avec des plantes médicinales (telles que
Artemisia annua ou Artemisia afra), soit avec des médications conventionnelles anti-malariales (telle que l’Hydroxychloroquine).
Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de juin 2020, sur les Angéliques: “Les Angéliques: des Messagères de la Terre
pour Réanimer les Terriens”. [1285]
Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de février 2019, sur les Dianthus: “Les Oeillets, et autres Dianthus, dans la
Pharmacopée et dans la Magiacopée Familiales”. [1286]
Une autre étude, de 2003, intitulée “Antioxidant and anti-inflammatory activities of selected Chinese medicinal plants and their relation with
antioxidant content” décline 44 espèces médicinales possédant une activité anti-oxydante. [1278]
Voici quelques-unes des ces espèces médicinales Chinoises cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe – non
mentionnées dans l’étude précédente: Leonurus japonicus, Artemisia vulgaris, Sanguisorba officinalis, Pogostemon cablin, Platycodon grandiflorus.
Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de juin 2020, sur les Leonurus: “Les Qualités Médicinales des Leonurus aux
Queues de Lions”. [1281]
Une étude, de 2005, intitulée “Antioxidant Capacity of 26 Spice Extracts and Characterization of Their Phenolic Constituents” [1287] a analysé le potentiel
anti-oxydant de 26 épices ou plantes condimentaires – de divers continents. Les espèces en possédant le plus sont les suivantes, par ordre décroissant: Syzygium aromaticum (Clou de
Girofle), Cinnamomum zeylanium (Cannelle de Ceylan), Origanum vulgare (Origan), Cinnamomum cassia (Cannelle de chine), Salvia officinalis (Sauge officinale), Thymus
vulgaris (Thym officinal), Laurus nobilis (Laurier noble), Rosmarinus officinalis (Romarin officinal), Mentha canadensis (Menthe du Canada) et Ocimum basilicum
(Basilic).
Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de décembre 2017, sur les Basilics et Tulsi: “Tulsis et autres Vérités
Basilico-moléculaires pour se libérer de la Terreur Pharmacratique”. [1288]
Les plantes médicinales, de la Pharmacopée Ayurvédique, possédant une activité anti-oxydante sont, également, très nombreuses. En voici quelques-unes
cultivées, ou disponibles (dans le commerce en bio), en Europe: Withania somnifera (Ashwagandha), Centella asiatica, Asparagus racemosus, Bacopa monnieri,Curcuma longa
(Curcuma), Camellia sinensis (Thé), Cinnamomum verum (Cannelle), Emblica officinalis, Ocimum tenuifolium (Tulsi), Terminalia bellerica, Zingiber officinalis
(Gingembre). [1289]
Concernant le Camellia sinensis, il existe une étude de 2020, portant sur une méthode “écologique” de réduire l’oxyde de
graphène avec du thé vert.[1419]
Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale, de février 2018, sur le Withania: “L’Ashwagandha: une pharmacopée millénaire,
naturelle et très puissante”. [1290]
Il existe, d’ailleurs, une étude, de 2016, portant sur une méthode “écologique”
de réduire un composé d’oxyde de graphène/oxyde de fer/palladium avec un extrait deWithania coagulans – une espèce d’importance médicinale, et économique, en Inde – qui, tout comme Withania somnifera, possède de fortes capacités
anti-oxydantes. Les Withania sont les Ginsengs de l’Inde.[1496]
Le Charbon de Bois Activé
Nous invitons le lectorat à consulter deux excellents articles de Jean-Baptise Loin dont le dernier, qui porte sur le charbon traditionnel Japonais, est
intitulé – à très juste titre: “Le plus puissant des charbons actifs adsorbe les nanoparticules”. [1292][1293] En ce qui concerne ce présent dossier, le charbon actif est thérapeutique en ce qui concerne les pollutions vaccinales et médicamenteuses; la purification des voies
sanguines, hépatiques, intestinales, digestives et urinaires; l’accumulation des métaux lourds, nano-particules et autres isotopes radioactifs.
Certaines études préconisent, dans des cas d’intoxication aiguë, d’administrer une très grosse dose dans l’heure qui suit
l’empoisonnement – par exemple, une injection vaccinale. Dans ce cas, la posologie est de 0,5 à gramme par kilo de poids corporel – donc, à savoir, environ 50 grammes pour un adulte. [1294]
Tout comme pour les zéolithes, et autres formes d’argiles, il est fortement conseillé de manipuler les charbons de bois actifs avec
une cuillère en bois ou en plastique – et non pas en métal – afin de ne pas désactiver les vertus thérapeutiques de ces substances.
Si le Charbon de bois activé est efficace dans le traitement des eaux usées, afin de les décontaminer de la présence de nano-particules, il en est de
même pour le corps de la Terre ou le corps humain. Il existe une étude récente, publiée en 2021, dont l’intitulé est: “Preparation of biochar and biochar composites and their application in a
Fenton-like process for wastewater decontamination: A review”. [1295]
Avec le charbon de bois activé, nous avons une substance naturelle, à base de carbone, qui est extrêmement médicinale et qui nous
permet de lutter contre l’empoisonnement généré par des formes, non naturelles, et synthétiques, de carbone – à savoir tous les produits industriels à base de graphène.
Il est à signaler, d’ailleurs, que les scientifiques ne possèdent aucune limite dans leurs expérimentations criminelles. Il
existe, même, des études portant sur des composés de biochar (charbon actif) enrobé d’oxyde de graphène – prétendument pour éliminer le strontium, le chromium, le plomb, le cuivre – et même le
biocide atrazine.[1296][1297][1298][1299][1300]
Les Zéolithes
Les Zéolithes constituent des substances éminemment thérapeutiques pour décontaminer le corps animal ainsi que le sol des jardins et des champs. En
effet, les Zéolithes constituent des substances médicinales extrêmement efficaces, et antioxydantes, pour éliminer les radicaux libres, les métaux lourds et les isotopes radioactifs. Il existe
trois sortes principales de zéolithes: fibreuse, feuillée ou cristalline. L’usage médical concerne la zéolithe cristalline qui contient des quantités élevées de clinoptilolithe.
Au printemps 2011, à la suite du désastre nucléaire de Fukushima, j’ai proposé mes traductions de quelques textes ayant trait à
leur action thérapeutique: “Zéolithes Médicinales pour se Décontaminer et se Déshalluciner le Mental”.[716]
«La zéolithe est une roche cristalline étonnante qui est capable d’adsorber et d’absorber de nombreux types différents de gaz, d’humidité, de
pétrochimiques, de métaux lourds et d’éléments faiblement radioactifs et une multitude de composés divers. Les canaux dans la zéolithe pourvoient de très larges surfaces sur lesquelles des
réactions chimiques peuvent prendre place. Les cavités et les canaux à l’intérieur de la zéolithe peuvent occuper jusqu’à 51 % de son volume. La zéolithe peut adsorber et absorber de larges
quantités de substances, tels que des ions ou des molécules gazeuses.
La zéolithe se caractérise par une structure extrêmement dure, microporeuse et en nid d’abeille. Ces cavités et ces canaux constituent des ouvertures
en lesquelles des minéraux ou des métaux lourds peuvent se lier. L’atome de silice possède une charge électrique neutre tandis que l’atome d’aluminium possède une charge électrique négative: il
en résulte des sites chargés au sein de la structure cristalline. Le processus d’équilibrage, qui est à l’oeuvre afin de maintenir la neutralité électrique dans la clinoptilolithe, attire des
minéraux de charge positive tels que le calcium, le magnésium, le potassium, le sodium et le fer. Ces cations communs (à savoir des ions chargés positivement) peuvent être aisément déplacés par
des métaux lourds (tels que le cadmium, le mercure, le nickel et l’arsenic) pour être ensuite délogés du corps. La zéolithe possède une affinité élevée pour piéger le plomb, le cadmium,
l’arsenic, le mercure et d’autres métaux potentiellement dangereux. Au travers du processus d’échange de cations, la zéolithe peut abaisser l’exposition totale aux métaux lourds chez un
individu. Cela permettrait d’influer, de manière conséquente, sur la réduction de certains cancers et de pathologies cardiaques.
L’ingestion de la zéolithe peut être comparée à la consommation d’argile considérée, dans la médecine traditionnelle, comme un remède pour diverses
maladies. En raison des propriétés d’échanges d’ions, la zéolithe peut modifier le contenu ionique, le pH, la capacité de protection des sécrétions gastro-intestinales et affecter le transport au
travers de l’épithélium intestinal. La zéolithe peut avoir également une influence positive sur la flore bactérienne et la résorption des vitamines et des oligoéléments.» Nature’s Heavy Metal
Detoxifier. 2006. Dr Howard Peiper. Traduction de Xochi.
Les Micro-Organismes Efficaces du Professeur Teruo Higa
On peut, également supputer que certaines soupes de micro-organismes – tels que les micro-organismes efficaces du Professeur Teruo Higa – soient capables
de désintégrer l’oxyde de graphène, et autres formes de carbone/graphène, s’ils sont capables de digérer les métaux lourds dans le sol
Cf. l’étude, de 2017, intitulée “Biodegradation of graphene oxide-polymer nanocomposite films in wastewater” portant sur la
dégradation d’oxyde de graphène par les micro-organismes des eaux usées. [1156]
Le Dioxyde de Chlore
Il existe, de plus, de par le monde un très grand nombre de thérapeutes prescrivant du dioxyde de chlore à l’encontre des symptômes, prétendument
Covidiens. Au Mexique, par exemple, le Dr. Pedro Chávez est le président d’une organisation, la
Comusav, regroupant 5000 médecins, dont l’objectif est de soigner tous ceux souffrant de symptômes, prétendument Covidiens, avec le dioxyde de chlore. [686]
En Espagne, le célèbre exposant du dioxyde de chlore est le pionnier Josep Pamies – à Ballaguer. Et si le dioxyde de chlore fonctionne
à l’encontre du CoqueVide/19… c’est qu’il fonctionne à l’encontre de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.
J’invite le lectorat à consulter le dossier d’Andreas Kalcker sur les diverses méthodes de préparation du dioxyde de chlore: [1621]
Andreas Kalcker est l’auteur de l’ouvrage “Salud Prohibida”, de 400 pages, aux Editions Voedia.
Le dioxyde de chlore est juste le gaz de réaction du chlorite de sodium (NaClO2) activé avec un acide, qui est très soluble dans l’eau et s’évapore
à 11°C.
Le MMS est le mélange de chlorite de sodium (NaClO2) activé avec de l’acide citrique qui contient du chlorite de sodium et est de pH
acide. MMS C’est le nom que Jim Humble a donné au mélange de chlorite de sodium (NaClO2) activé par l’acide citrique, à l’époque.
Le CDS est une solution aqueuse concentrée de 0,3% (3000 ppm) de dioxyde de chlore gazeux, sans teneur en chlorite de sodium (NaClO2) dans la solution et
a un pH neutre.
Selon Andreas Kalcker, on peut trouver à l’heure actuelle 1326 études scientifiques sur le dioxyde de chlore dans PubMed, où la
plupart d’entre elles se concentrent sur la sécurité de la toxicité en consommation. Il existe relativement peu d’articles qui étudient l’efficacité thérapeutique à ce jour.
Le Zinc
Les chercheurs de la Quinta Columna ont découvert que le graphène détruit le zinc dans le corps humain… ce qui n’est pas une bonne nouvelle car lorsque
le zinc est déficient, le corps humain ne possède pas les enzymes adéquates pour synthétiser le glutathion.
Ils ont, également, mis en exergue qu’il existe de nombreuses études analysant le dysfonctionnement érectile de personnes qui ont été
supposément contaminées par le CoqueVide/19. [592][593][594][595][596]
Certains auteurs tentent d’expliquer que ce dysfonctionnement érectile Covidien pourrait être induit par un blocage de la circulation sanguine vers le pénis; ou induit par du stress, de l’anxiété
et de la dépression provoqués par le virus; ou induit par un mauvais état de santé généralisé provoqué par des complications Covidiennes. [591] En fait, ce dysfonctionnement érectile est induit par l’empoisonnement
au graphène.
L’Acide Shikimique
L’acide shikimique peut, également, être utilisé pour réduire l’oxyde de graphène: il possède une activité anti-oxydante, anti-coagulante et
anti-inflammatoire.
Depuis l’émergence de la fausse pandémie – et l’hystérie concernant le protéine Spike du coronavirus inexistant – de nombreux articles, commentaires et
vidéos ont évoqué l’utilisation des aiguilles de conifères afin d’en extraire l’acide shikimique.
Une étude intitulée “Content Analysis of Shikimic Acid in the Masson Pine Needles and Antiplatelet-aggregating Activity”
a mis en valeur son potentiel anti-coagulant du sang: il inhibe, en effet, l’agrégation plaquettaire, la thrombose artério-veineuse et la thrombose cérébrale. [1443] Selon cette étude, le Pin (Pinus Massoniana), le Thuya d’Orient (Platycladus orientalis) et la Badiane de Chine (Illicium verum) contiennent de l’acide shikimique, respectivement, à hauteur de 5,71%, 1,74% et 8,95%.
Dans les conifères, on trouve une abondance d’acide shikimique:
Dans les Pins: par exemple, Picea koraiensis, Picea meyeri, Pinus elliottii [1517] et Pinus banksiana qui sont les espèces de pins Chinois les plus médicinales en ce qui concerne l’extraction de l’acide shikimique. [1509] Pin de Mason (Pinus massoniana) [1514]. Pin rouge du Japon (Pinus densiflora)
[1510]. Pin Mugo (Pinus mugo) [1511]. Pin Sylvestre (Pinus sylvestris) [1512]. Pin Chilgoza (Pinus
gerardiana) [1513]. Pin d’Armand (Pinus armandi) [1515]. Pin du
Yunnan (Pinus yunnanensis) [1516]. Pin blanc (Pinus strobus) [1518]. Pin maritime (Pinus pinaster) [1519]. Pin de Meyer
(Picea meyeri) [1521]. Epicea bleu (Picea pungens) [1522]. Epicea blanc. (Picea glauca)
[1522]. Pin rouge (Pinus resinosa) [1523].
Dans les Thuya: par exemple, Thuya d’Orient (Platycladus orientalis). [1520]
Dans les Cèdres: par exemple, Cédre de l’Himalaya (Cedrus deodara) [1508].
L’acide shikimique se trouve, également, dans: les graines de Fenouil (Foeniculum
vulgare), les graines de Coquelicot rouge (Papaver rhoeas); les graines et l’écorce d’Anis étoilé ou Badiane de Chine (Illicium verum); les graines,
les feuilles et l’écorce de la Badiane Japonaise (Illicium anisatum); les feuilles d’Absinthe (Artemisia absynthium) [1444]; l’écorce et les graines de Liquidambar (Liquidambar styraciflua) [1445]; dans les tubercules du Topinambour (Helianthus tuberosus); dans les rhizomes de l’Iris des marais (Iris pseudoacorus); dans le phloème du Thuya géant
(Thuya plicata); dans les Dattes (Phoenix dactylifera); dans les tubercules du Dahlia (Dahlia variabilis); dans les fruits du Pommier microcarpe de Sibérie (Malus
baccata); dans les fruits du Poirier (Pyrus communis); dans les fruits des Groseillers (Ribes sp.); dans les feuilles de Ginkgo (Ginkgo biloba); l’écorce et les feuilles
de Magnolia (Magnolia grandiflora); dans toutes les parties du Poivre de Chine (Houttuynia cordata); dans les tiges et feuilles du Saxifrage araignée
(Saxifraga stolonifera); dans les graines de l’Arjuna (Terminalia ajurna); dans toutes les parties du Pistachier (Pistacia lentiscus); dans les feuilles de Consoude
(Symphytum officinalis); dans toutes les parties de l’Agastache (Agastache urticifolia); dans les feuilles de l’Inule (Inula helenium); dans toutes les parties du
Millepertuis (Hypericum sp.); dans les feuilles du Gymnema sylvestre (Gymnema sylvestris); dans les graines du Myrobalan noir (Terminalia chebula); dans les fleurs et
feuilles de la Grande Camomille (Tanacetum parthenium); dans le jus de feuilles du Blé (Triticum aestivum); dans les parties aériennes de la Chélidoine (Chelidonium majus);
dans les racines de Carotte (Daucus carota); dans les feuilles de Vératre vert (Viratrum viride); dans les fruits du Schisandra
(Schisandra chinensis). [1449]
Parmi toutes ces espèces végétales, les plus grandes quantités d’acide shikimique se trouvent dans les Badianes, dans les Pins, dans
le Poivre de Chine.
On trouve, également, de l’acide shikimique dansles graines germées de légumineuses, Haricots, Mung, Soja,
Luzerne…
C’est, peut-être, en partie, en raison de la présence de cet acide shikimique que l’oxyde de graphène peut être réduit avec l’eau de
trempage des Mung Bean (Vigna radiata). [1423]
Selon l’étude “Shikimic acid: review of its analytical, isolation, and purification techniques from plant and microbial sources”[1446], les feuilles de Consoude contiendraient 12,5% de leurs poids sec en acideshikimique, les feuilles de Ginkgo 10%, les feuilles d’Agastache à feuilles d’ortie 8,5%.
Il existe une étude, de 2018, sur la réduction de l’oxyde de graphène avec l’acide shikimique: “Green Synthesis of Reduced Graphene
Oxide Nanosheets Using Shikimic Acid for Supercapacitors”.
Selon un brevet déposé en 2015, “Isolation and Purification of Shikimic
Acid” [1447], l’acide shikimique se trouve non seulement dans les feuilles d’Agastache urticifolia mais, également, dans les feuilles d’Agastache rugosa
et d’Agastache foeniculum.
Les Agastaches constituent des Plantes Médicinales Maîtresses et je renvoie le lectorat vers ma monographie intitulée “Les Agastaches
pour soigner la malaria, la dépression, les cancers, les hépatites”. [1448]
Les Protocoles Anti-Graphène
Le protocole anti-CoqueVide/19 – donc, en vérité, le protocole anti-Graphène – proposé par le site de la Médecine Fonctionnelle comprend: la curcumine,
la Scutellaire du Baïkal (Scutellaria baikalensis), le Sureau (Sambucus nigra), la Réglisse (Glycyrhiza sp.), la Chirette verte (Andrographis paniculata), une Astragale (Astragalus membranaceus), la Mélatonine, les Vitamines A, C et D, le Zinc, la Quercétine, la Lutéoline, la N-Acétylcystéine, le
Resveratrol, le Gallate d’épigallocatéchine, le Palmitoylethanolamide, les Champignons médicinaux (Shiitake, Lentinula edodes; Lion’s Mane, Hericium erinaceus; Maitake,
Grifola frondosa; Reishi, Ganoderma lucidum), la berbérine et les β-glucanes. [707][708][709]
Selon une étude, de 2014, il est possible de réduire l’oxyde de graphène avec les champignons Ganoderma.[1418]
Le protocole du Dr Vladimir Zelenko comprend la quercétine, la vitamine D3, la vitamine C, le zinc, l’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine. [1301] C’est ce médecin US qui a introduit l’Hydroxychloroquine auprès du président Trump.
Dr Vladimir Zelenko, un médecin Juif orthodoxe d’origine Ukrainienne, a été complètement censuré par les GAFAM[1319]parce qu’il affirme que les injections anti-CoqueVide/19 constituent un vecteur de génocide global. Le Dr. Vladimir Zelenko a même évoqué, dernièrement, le génocide, et donc
l’Holocauste, du Peuple d’Israël – par le biais des injections anti-CoqueVide/19 – devant un comité de rabbins Juifs orthodoxes anti-vaccinalistes… que Rudy Reichstadt, le
conspirationniste [1131],
qualifierait, assurément, de rabbins “anti-sémites” et complotistes. [1129][1130]
Très récemment, lorsqu’interviewé par Stew Peters, aux USA, le Dr Vladimir Zelenko a déclaré que le CoqueVide/19: «est une arme
biologique conçue pour isoler l’Humanité et pour induire une peur pathologique et pathogénique qui est, subséquemment, instrumentalisée par les financiers afin de manipuler le comportement humain
et de l’entrainer dans une course d’actions irrationnelles.» Il est convaincu que le CoqueVide/19 ne représente aucune menace car c’est une psyops – à savoir, une opération psychologique
spéciale. Pour lui, l’objectif est de génocider des milliards d’individus. [1302]
Autres Substances Anti-Oxydantes et Réductrices de l’Oxyde de Graphène
Le Chénopode Blanc (Chenopodium album). Une étude, de juin 2020, a été publiée portant sur la réduction de l’oxyde de graphène au
moyen d’un extrait de Chénopode Blanc. [1485]
Le Chénopode Blanc possède de fortes capacités anti-oxydantes et il existe une pléthore d’études le démontrant. [1486][1487][1488][1489]
L’Hespéridine. Selon l’Institut de Cardiologie de Montréal – et selon une étude Egyptienne publiée en novembre 2020 – l’hespéridine, un
bio-flavonoïde, constituerait un puissant anti-CoqueVide/19!! [693] [694] On trouve de l’hespéridine dans les pétales de Dahlia, dans les Citrus et dans la
Menthe poivrée.
Je renvoie le lectorat vers ma monographie médicinale sur les Dahlias: “Les Qualités Médicinales des Dahlias”. [1524]
L’hespéridine possède des propriétés neuro-protectrices, anti-inflammatoires, anti-oxydantes, anti-athérosclérotiques,
cardio-protectrices, anti-carcinogéniques, anti-mutagéniques, anti-diabétiques, anti-hyperlipidémiques, anti-hypertensives, veino-toniques.
Le Raifort. Dans le registre de la dégradation de l’oxyde de graphène par la myéloperoxydase, et d’autres peroxydases, [1157][1158] on peut signaler la peroxydase du raifort [1160]
L’Oxyde nitrique. Une étude a été récemment publiée, en août 2021, qui s’intitule “Clinical efficacy of nitric oxide nasal spray (NONS) for
the treatment of mild COVID-19 infection” qui affirme que l’oxyde nitrique, ou monoxyde d’azote, en spray nasal, est capable de détruire la charge Covidienne de 95% en 24 heures et de 99%
en 72 heures. [1150] Si on laisse de côté le fait que personne ne puisse déterminer la charge
virale d’un virus inexistant, il reste à s’enquérir du fait de savoir si le monoxyde d’azote permet de désintégrer l’oxyde de graphène dans le corps.
Selon une étude récente, de 2020, intitulée “Nitric oxide-dependent biodegradation of graphene oxide reduces inflammation in the
gastrointestinal tract”, c’est le cas. [1153] L’oxyde nitrique peut participer à
la bio-dégradation de l’oxyde de graphène.
Il existe quelques étude – telles que “The green reduction of graphene oxid”[1420] ou “Green reduction of graphene oxide by aqueous phytoextracts” [1426] –qui font le point sur les diverses méthodes “vertes” (à savoir non polluantes et non toxiques) de réduire l’oxyde de graphène.
Il est à noter que, selon cette étude, l’un des agents réducteurs les plus rapides est l’épinard, Spinacia oleracea.[1525]
L’épinard a, déjà, fait parler de lui, en octobre 2016, dans l’étude intitulée“Nitroaromatic
detection and infraredcommunication from wild-type plants using plant nanobionics”– publiée dans Nature. Il s’agit d’un domaine dénommé nano-bioniques végétales
dont la mission est d’insérer des fonctions, non-originelles, dans des plantes en les interfaçant avec certaines nano-particules. En l’occurence, il s’agit d’une étude portant sur un
épinard, manipulé génétiquement, qui se transforme en pré-concentrateur auto-propulsé, en plate-forme de communication infra-rouge, etc – et qui peut envoyer des messages à un téléphone mobile.
[1527] Tout va bien?
Il paraitrait, même, que les épinards, ainsi génétiquement modifiés avec des nano-particules, seraient capables de nous prévenir
au niveau du “changement climatique”.[1528]Si cette étude était récente, on pourrait croire qu’il s’agisse d’un cas désespéré de CoqueVide psychiatrique…
Au fait, lesnano-particules insérées dans les épinards, branchés sur téléphone mobile, sont à
base de graphène – et plus spécifiquement de nano-tubes de carbone. [1529]
Les substances, plantes, minéraux, etc, capables d’opérer cette réduction y sont déclinés. En voici une liste partielle afin
d’initier de nouvelles pistes de recherches quant à la destruction, dans l’organisme, des diverses formes de graphène:
Glutathion, cystéine, valine, lysine, alanine [1433],
bicarbonate de soude, bêta-carotène, dopamine [1482][1462], acide cafféique [1422], racines de carottes sauvages [1429], caséine, mélasse [1460], cannelle, clou de
girofle, eau de noix de coco [1501], curcumine, acide formique, jus de raisin, thé vert [1425], vitamine C [1427][1428], mélatonine
[1430], zinc, acide
oxalique, jus de grenade [1502], eau de rose, levures nutritionnelles, urine de vache [1436],
feuilles d’Erable du Japon (Acer palmatum); feuilles du Platane d’Orient (Platanus orientalis), feuilles de Pomme Cannelle (Annona squamosa). [1450]
Il est, également, possible de réduire l’oxyde de graphène avec de l’amidon: de pomme de terre, de patate douce ou bien de
maïs.[1459] Et avec du resvératrol[1463] que l’on trouve
dans: raisins, arachides crues,mûres, myrtilles, cassis, framboises, canneberges, fèves de cacao, pistaches,
Renouée du Japon (Polygonum cuspidatum / Fallopia japonica). Ainsi qu’avec de l’acide fulvique.[1526]
Ainsi que les espèces botaniques suivantes:Terminalia chebula (Myrobalan noir), Hibiscus sabdariffa
(Oseille de Guinée), Spinacia oleracea (Epinard), Ginkgo biloba (Arbre aux quarante écus) [1432], Colocasia esculenta (Oreilles d’Elephant), Citrus sinensis (Oranger) [1431],Prunus serrulata (Cerisier), Magnolia grandiflora (Magnolia), Salvadora persica (Arak) [1434], Citrus grandis (Pamplemousse), Tamarindus indica
(Tamarinier) [1435], Salvia spinosa.[1500]
De plus, il existe d’autres études pour réduire l’oxyde de graphène, avec diverses espèces végétales: de 2014, avec l’eau de trempage des Mung Bean
(Vigna radiata) [1423]; de 2019, avec l’Ortie (Urtica sp.)
[1421]; de 2020, avec les écorces du fruit de citron lime (Citrus hystrix) [1424]; avec les feuilles d’Eucalyptus [1490]; avec le Gros Thym Antillais (Plectranthus amboinicus) [1494]; l’extrait de Radis (Raphanus sativus) [1495]; le jus de Figues (Ficus carica) [1497]; l’extrait d’Oignon (Allium
cepa) [1498]; l’extrait de Chou-Rave (Brassica oleracea var. gongylodes). [1499]; l’extrait de
Tridax procumbens[1461].
Il existe une méthode “écologique” de réduire l’oxyde de graphène par le jus de l’espèce Calotropis gigantea.[1492] Il fait d’ailleurs signaler que Calotropis gigantea, tout comme Calotropis
procera, possèdent des qualités anti-oxydantes. Calotropis procera constitue, de plus, une plante anti-paludique en Afrique de l’ouest. J’aime beaucoup cette Famille des Apocynacées (anciennement
Asclépiadacées) et je possède, d’ailleurs, une belle collection de photos d’Asclepias, des USA, que je n’ai pas eu le temps de toutes mettre en ligne. [1493]
Il n’est nul besoin de préciser que si toutes ces espèces végétales sont utilisées pour réduire l’oxyde de graphène, c’est qu’elles
ont été amplement étudiées, in vitro ou in vivo, depuis de nombreuses années, pour leurs capacités extrêmement anti-oxydantes. Il en est ainsi, du jus de Figue, de l’extrait d’Oignon, de
l’extrait de Chou-Rave, de l’Epinard, etc, etc.
Les Drs. Zelenko et Martin nomment les criminels génocidaires derrière l’arme biologique covid-19
[Ndlr : si le SRAS-CoV-2 est une arme biologique, alors il n’a pas fait le nombre de morts attendu par la simulation Event 201 (qui était de 65 millions).]
Au lieu d’utiliser des vaccins tueurs Covid-19, Vladimir Zelenko, docteur en médecine et praticien acclamé de chefs d’État, a guéri avec succès plus de 6000 patients Covid-19 par une combinaison
d’hydroxychloroquine, de zinc, de quercétine, de vitamine C et de vitamine D en traitement
alternatif qui a résulté en un taux de survie de 99%. Alors que ses réalisations notables lui ont valu des nominations pour le prix Nobel de la paix et la Médaille Présidentielle de la
Liberté, le fait de s’exprimer publiquement contre les dangers des soi-disant vaccins l’a amené à endurer des menaces de mort quotidiennes, des
tentatives de mort sociale et professionnelle ainsi qu’une censure généralisée. Exprimant courageusement la vérité et fournissant un remède de santé efficace et peu coûteux qui s’oppose
ouvertement à l’agenda de dépopulation génocidaire de la Cabale, il est considéré comme une menace pour la tyrannie médicale et politique du Nouvel Ordre
Mondial. Le Dr Zelenko nomme un chat un chat : donner ces «vaccins» aux enfants est un sacrifice de sang d’enfant, d’une part, et l’ordre du jour mondial d’obligation vaccinale est le sacrifice
satanique de sang de l’ensemble de l’espèce humaine, d’autre part.
Après avoir été déréférencé de tous les réseaux sociaux prostitués au système et complices du génocide, le 25 octobre 2021 le Dr Zev Zelenko a audacieusement exposé les démons derrière ce complot diabolique visant à dépeupler
la planète avec l’injection létale de Big Pharma :
« Je suis un réaliste du complot. Vanguard et BlackRock [sic] sont partie prenante de toutes les industries, médias, universités et politiques. Vanguard et BlackRock investissent l’un dans
l’autre par le biais de ce qu’on appelle la propriété circulaire. Ainsi, il faut considérer Vanguard et BlackRock comme un monopole qui possède tout. Après avoir fait les vérifications
nécessaires, vous découvrirez que les principaux actionnaires de ce monopole sont les :
Ces fondations contribuent à la déstabilisation géopolitique. Le chaos est profitable en affaires et sert à l’acquisition du pouvoir. Seule une force divinement inspirée peut vaincre ce
Goliath. Le monde ne sera racheté que par des actes de bonté et de gentillesse. Nous avons besoin d’une conscience divine collective afin de mériter une intervention divine. Les propriétaires
du monopole Vanguard/BlackRock sont une manifestation du serpent primordial. Je suis TRÈS optimiste quant à la survenue d’un événement rédempteur qui rééquilibrera notre monde obscur.
Attachez vos ceintures et profitez du voyage. »
Vladimir Zev Zelenko,
docteur en médecine
Même un examen superficiel — étonnamment effectué par Tim Gielen et qui expose les deux plus importants actionnaires aux manettes aujourd’hui : Vanguard et BlackRock — montre que c’est ce même petit groupe de
monopolistes, succinctement soulignés par le Dr Zelenko, qui possède et contrôle essentiellement le monde entier. Son pouvoir absolu sur l’humanité lui a permis jusqu’ici de s’en tirer pour
meurtre tout en détruisant notre planète au moyen de produits toxiques. Par exemple, si on prend les principaux fabricants mondiaux de l’industrie alimentaire telles que les plus grandes marque
populaires : Coca Cola, PepsiCo, Unilever, Nestlé et Mondelez International, on s’aperçoit que tous ces fabricants géants de nos aliments chimiquement transformés sont contrôlés par les deux
mêmes investisseurs actionnaires monopolistes, Vanguard et BlackRock. Les troisième et quatrième plus grandes sociétés d’investissement au monde sont Berkshire Hathaway de Warren Buffet et State
Street Corporation.
Les plus grandes entreprises de l’industrie des technologies sont un autre exemple de ce jeu de monopoly. Facebook possède WhatsApp et Instagram, tandis qu’Alphabet, en tant que maison-mère de
toutes les entreprises Google, possède YouTube, Gmail et le plus grand sponsor d’Android — la plus grande plate-forme d’applications mobiles au monde, le système d’exploitation quasi exclusif de
tous les smartphones — ainsi qu’Apple IOS, l’autre système d’exploitation majeur. Ainsi la société de Bill Gates, Microsoft Corporation, Facebook, Apple et Alphabet constituent les quatre plus
grandes entreprises technologiques sur lesquelles fonctionnent pratiquement tous les ordinateurs, télex et smartphones du monde. Ces même deux principaux investisseurs — Vanguard et BlackRock —
détiennent également des parts majoritaires d’actions dans toutes les sociétés de l’industrie BigTech. En fait, toutes les entreprises qui fabriquent des ordinateurs, des téléviseurs, des
smartphones et des appareils électroménagers — IBM, Hewlett Packard, Intel, Sony et Dell, y compris les plus grands marchés en ligne Amazon et eBay —, les plus grandes chaînes de grands
magasins et d’épiceries, toutes les méthodes de paiement appartiennent toutes aux mêmes sociétés d’investissement géantes Vanguard et BlackRock.
Chaque industrie sur terre est détenue et contrôlée par ces deux mêmes grands investisseurs. Tous les produits agricoles, les semences appartenant à Monsanto, le tabac, l’alcool et les sociétés
de BigPharma — qui sont en train de nous tuer en ce moment même avec des armes biologiques génocidaires déguisées en pseudo vaccins — appartiennent tous aux mêmes lignées. Le jeu économique est
totalement truqué : à commencer par tous les meilleurs sites de voyage sur Internet, en passant par les meilleures compagnies aériennes ; les meilleurs avionneurs ; les meilleures chaînes
d’hôtels et de restaurants ; les meilleures raffineries de pétrole qui alimentent tous les avions, trains, bateaux, camions et voitures ; les sociétés sidérurgiques et les sociétés minières qui
fournissent toutes les matières premières utilisées dans tous les modes de transport ; le BTP ; la fabrication de textiles et la confection de vêtements : ils sont tous contrôlés par les mêmes
propriétaires, y compris la prétendue industrie verte qui fabrique des panneaux solaires et des éoliennes. D’ici 2028, les actifs Bloomberg que possèdent ces deux propriétaires
mondiaux — Vanguard et BlackRock — atteindront 20000 billiards de dollars. BlackRock est considérée comme le quatrième bras du gouvernement compte tenu de ses liens intimes avec les banques
centrales Rothschild. Même le plus grand actionnaire de BlackRock est Vanguard et vice versa, bien que Vanguard assure l’anonymat complet de ses propriétaires particuliers. Mais récemment, des
preuves accablantes ont montré que c’est ce même petit groupe de familles de la noblesse noire que le bon Dr Zelenko a dénoncé.
Récapitulation: tout sur terre est pratiquement détenu et contrôlé par ces mêmes sociétés d’investissement de premier plan ainsi que par les plus grandes banques, fonds communs
de placement, compagnies d’assurance et même les nations politiques, propriétés contrôlées par la corruption et le chantage ; tous ces domaines sont complètement dominés par le mêmes lignées
de contrôle — les dynasties des familles Rothschild, Rockefeller, Du Pont, Carnegie, Orsini, Bush et Windsor, ainsi que quelques clans moins connus mais tout aussi puissants couverts dans
l’ouvrage de Fritz Springmeier Bloodlines of
Illuminati [Les lignées des Illuminati]. Afin de parfaire leur emprise sur l’humanité, même les petites sociétés d’investissement de Fortune 500 appartiennent aux mêmes grandes
sociétés connues au sein d’une structure de pouvoir de forme pyramidale à hiérarchie verticale. Comme l’a astucieusement observé le regretté grand comédien, George Carlin, il y a plus d’une douzaine d’années : tout cela n’est qu’un «grand club [de psychopathes] dont nous ne
faisons pas partie» et qui contrôle pratiquement tous les aspects de nos vies et chaque entreprise de la planète, tant légales qu’illégales, sans exception.
Davantage d’identités de criminels du covid sont en train d’émerger. À part le Dr Mengele du génocide du
coronavirus, nous avons dit le Dr Anthony Fauci, responsable des subventions de la recherche virale du NIH, et trois principaux complices — le Dr Ralph
Baric de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, chargé d’exécuter l’ordre de Fauci de mener une étude sur une arme biologique létale à gain de fonction de coronavirus,
jusqu’à ce que celle-ci soit interdite aux États-Unis, puis en envoyant 7,4 millions de dollars des contribuables américains au plus grand ennemi des États-Unis, la Chine communiste, et à la bat
woman de son Institut de virologie de Wuhan, le Dr Shi Zhengli qui a averti que d’autres virus seront relâchés, et le racketteur en chef de la commercialisation
des armes biologiques de Fauci et collègue terroriste intérieur, l’ancien vétérinaire de l’OMS, le Dr Peter
Daszak — il y a plein d’autres coupables pointés du doigt, responsables criminels, derrière l’attaque d’aujourd’hui à l’arme biologique contre l’Humanité.
Selon le révélateur de vérité sur l’arme biologique Covid, le Dr David Martin,
professeur, auteur, inventeur, chercheur et expert en brevets, vient de rendre public la liste de trois douzaines de noms d’autres criminels identifiés du programme de dépopulation de l’élite.
Par ordre alphabétique des prénoms, ils sont :
1. Al Gore, vice-président des États-Unis (1993-2001), président et cofondateur de Generation Investment Management LLP ·
2. André Hoffmann, vice-président de Roche ·
3. Angel Gurria, Organisation de coopération et de développement économiques ·
4. Bill Gates, Fondation Bill & Melinda Gates ·
5. Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne ·
6. Chrystia Freeland, vice-premier ministre et ministre des Finances, cabinet du vice-premier ministre du Canada ·
7. David M. Rubenstein, co-fondateur et co-président exécutif du Groupe Carlyle ·
8. Dustin Moskovitz, Open Philanthropy, co-fondateur de Facebook ·
9. Fabiola Gianotti, directrice générale, Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN) ·
10. Feike Sybesma, président du Conseil de Surveillance de Royal Philip ·
11. S.M. la Reine Rania Al Abdullah du royaume hachémite de Jordanie, reine du royaume hachémite de Jordanie, bureau de S.M
la Reine Rania Al Abdullah ·
12. Heizo Takenaka, professeur émérite à l’Université Keio ·
13. Herman Gref, PDG et président du conseil d’administration de Sberbank ·
16. Klaus Schwab, fondateur et président exécutif, Forum économique mondial ·
17. Kristalina Georgeva, directrice générale, Fonds monétaire international (FMI) ·
18. L. Rafael Reif, président, Massachusetts Institute of Technology ·
19. Larry Page, Google ·
20. Laurence D Fink, présidente et chef de la direction de BlackRock ·
21. Luis Alberto Moreno, membre du conseil d’administration du Forum économique mondial ·
22. Marc Benioff, président et chef de la direction de, Salesforce ·
23. Mark Carney, envoyé spécial des Nations Unies pour l’action et le financement climatiques, Nations Unies ·
24. Mark Schneider, PDG de Nestlé ·
25. Mark Zuckerberg, Facebook ·
26. Mukesh D Ambani, président et directeur général de Reliance Industries ·
27. Orit Gadiesh, président de Bain & Company ·
28. Patrice Motsepe, fondateur et président exécutif d’African Rainbow Minerals ·
29. Paula Ingabire, ministre des technologies de l’information et de l’innovation, ministère des technologies de l’information et de la communication et de l’innovation du
Rwanda ·
30. Peter Brabeck-Latmathe, vice-président du conseil d’administration du Forum économique mondial ·
31. Peter Maurer, président du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) ·
32. Robert Mercer, Fonds Renaissance ·
33. Tharman Shanmugaratnam, ministre principal du gouvernement de Singapour ·
34. Thomas Buberi, directeur général d’AXA ·
35. Yo-Yo Ma, violoncelliste ·
36. Zhu Min, président de l’Institut national chinois de recherche financière ·
LIEN :
Grâce aux Drs Zelenko et Martin, les criminels sont maintenant en ligne de mire. Bientôt, les procès Nuremberg 2.0 poursuivront les criminels de la Cabale énumérés ci-dessus. Un point clé très important à saisir est que les mêmes malfaiteurs derrière le génocide
par injection létale sont les mêmes contrôleurs planétaires qui ont, à l’envi, violé, volé et pillé la terre pendant de nombreux siècles : ces mêmes lignées Illuminati commencent et terminent toutes les guerres, les dépressions économiques,
les catastrophes non naturelles (ex.
tremblements de terre, éruptions volcaniques, ouragans, inondations, sécheresse), les famines, les assassinats (comme celui de JFK) et le terrorisme tel que le 11 septembre et
la guerre de dépeuplement covid-19 d’aujourd’hui
contre l’espèce humaine, ainsi que le fléau de la pédocriminalité en tant que crime organisé dont la croissance est la plus
rapide au monde — et plus généralement, le trafic sexuel d’êtres humains et d’enfants. Plus que jamais dans l’histoire, nous savons maintenant qui sont ces meurtriers lucifériens, et
justice doit être rendue afin de mettre fin à leurs crimes brutaux contre l’Humanité.
Un cas d’espèce de criminels VIP faisant l’objet de poursuites judiciaires est le cas très médiatisé de Ghislaine Maxwell, l’ancienne
petite amie britannique et présumée trafiquante sexuelle d’enfants de Jeffrey Epstein, dont le procès devrait commencé plus tard ce mois-ci. Nous verrons survenir d’autres inculpations. Par
exemple, les derniers gros titres de ce scandale sans fin de l’État Profond viennent d’annoncer le renversement du PDG de Barclays Bank. Depuis 2019, le PDG de Barclays, Jes
Staley, fait l’objet d’une enquête sur 1200 courriels échangés entre 2008 et 2012 avec le pédocriminel international du trafic sexuel d’enfants, Jeffrey Epstein. Les deux hommes se sont
rencontrés en 2000 lorsque Staley dirigeait la banque privée JP Morgan réservée uniquement à la clientèle la plus riche, comme Jeffrey Epstein, qui à son tour était financée par le fondateur du mega groupe sioniste et de L Brands, Les Wexner. La JP Morgan Chase Bank d’aujourd’hui a une longue histoire
qui remonte à 1835 en tant que substitut de Rothschild opérant aux États-Unis. Le rapport
d’enquête final mené ces dernières années par la Financial Conduct Authority (FCA) du Royaume-Uni et la Prudential Regulation Authority (PRA) de la Banque
d’Angleterre étant sur le point d’être publié sur les affaires louches de Staley avec le pédocriminel le plus infâme d’Amérique, un avocat de Staley a catégoriquement nié la criminalité de son
client et a entamé une procédure visant à contester le rapport préliminaire de ces autorités.
Ce qui est clair, c’est que Jes Staley a noué une amitié étroite et continue avec Epstein pendant au moins quinze ans — avant, pendant et après la condamnation pénale d’Epstein en 2009. Non
seulement un nombre impressionnant de courriels ont été échangés au cours de cette seule période de quatre ans, mais Epstein y fait plusieurs références à «Blanche-Neige» dont on suppose qu’il
s’agit d’un code. On a également appris que Staley rendait souvent visite au délinquant sexuel condamné — tandis qu’Epstein «endurait» son «traitement de faveur» d’une durée d’un an — en se
présentant tous les soirs à la prison de Palm Beach pour des soirées pyjama. De plus, Staley fut également un invité du tristement célèbre complexe «Orgy Island» [Île d’Orgie] d’Epstein dans les
Caraïbes, admettant qu’il avait vu Epstein en personne pour la dernière fois en 2015. Le résultat de l’enquête étant sur le point d’être rendu public, il y a quelques semaines, le puissant
banquier de Barclays des six dernières années a été contraint de démissionner de sa fonction exaltée.
Barclays est officiellement devenu le successeur de
Rothschild pour la fixation du cours de l’or en 2004, suivi deux ans plus tard par l’un des siens, Marcus Agius, marié à une Rothschild et nommé comme nouveau président de Barclays — et qui sera
exposé six ans plus tard par le scandale de la fixation des taux chez Barclays en 2012. Et maintenant, moins d’une décennie plus tard, Barclays fait face à un nouveau scandale salace.
La dynastie sioniste bancaire Rothschild semble se débarrasser de son dernier et plus bas fruit pourri, «Staley», afin de se distancer un tant soit peu de son
légendaire marécage infesté de pédocriminels. Aussi gros que soient les efforts des Rothschild, leurs empreintes digitales très visibles et louches de marionnettistes sont indélébiles partout dans le commerce international du trafic sexuel d’enfants et ne peuvent jamais être effacées. Leur contrôle
satanique de la planète est très certainement en déclin.
Et maintenant, avec le procès de Ghislaine Maxwell, la partenaire criminelle VIP d’Epstein dans le trafic sexuel, qui doit commencer plus tard ce mois-ci, il faut s’attendre à ce que davantage de
personnages très en vue qui ont été pris en flagrant délit tombent de l’opération sioniste de chantage sexuel. Après tout, il y a toute une bande de princes, de présidents et de premiers
ministres qui sont les partenaires sexuels connus et compromis d’Epstein et de Maxwell : c’est ce que l’élite criminelle fait régulièrement pour se divertir. Si vous avez encore du
mal à y croire, jetez un œil à ma série très documentée de cinq livres : Pedophilia & Empire:Satan, Sodomy and the Deep State [Empire et pédocriminalité : Satan, la sodomie et l’État
Profond]. La dépravation des dirigeants planétaires est entièrement accessible, ne pouvant plus être
cachée de la vue de tous.
Joachim Hagopian est diplômé de West Point, ancien officier de l’Armée et auteur de Don’t Let the Bastards Getcha Down [Ne laissez pas les salauds vous détruire] qui expose une direction militaire
américaine défectueuse basée sur l‘ancienneté et qui élimine invariablement les meilleurs et les plus brillants, laissant la médiocrité et les partisans de
l’ordre s’élever au sommet en tant que généraux politiciens-bureaucrates désignés pour perdre chaque guerre américaine moderne selon les desseins de l’élite. Après son séjour
militaire, Joachim a obtenu une maîtrise en psychologie clinique et a travaillé comme thérapeute agréé dans le domaine de la santé mentale auprès de jeunes et d’adolescents maltraités, pendant
plus d’un quart de siècle. À Los Angeles, il s’est retrouvé aux prises avec les plus grands services de protection de l’enfance du pays au sein du système
américain complètement délabré et corrompu de la protection de l’enfance. L’expérience à la fois dans l’Armée et dans le système de protection de l’enfance l’a bien
préparé en tant que chercheur et journaliste indépendant à exposer les maux de Big Pharma et la manière dont le système médical et psychiatrique contrôlé par Rockefeller
inflige plus de mal que de bien ; par exemple, l’actuel canular pandémique diaboliquement mortel et génocidaire. Journaliste indépendant depuis 8 ans, Joachim a écrit des centaines d’articles
pour de nombreux sites d’information, notamment Global Research et lewrockwell.com. En tant qu’auteur publié d’une série de 5 volumes intitulée Pedophilia & Empire: Satan, Sodomy & the Deep State, les livres et chapitres de Joachim sont des best-sellers d’Amazon dans les
catégories défense des enfants et des droits de l’homme. Sa série de sources A-Z documente et expose entièrement le fléau mondial de la pédocriminalité et reste disponible gratuitement
sur le blog de Joachim à l’adresse http://empireexposed.blogspot.com/ et https://pedoempire.org.
Traduit de l’anglais par BibiCabaya (15 novembre 2021).
Si vous pensiez que le dernier discours du Dr David Martin était passionnant, celui-ci, qu’il a donné à la Red Pill Expo, est carrément électrisant. Il dit qu’il s’agit de son discours
« final » mais que nous entendrons encore parler de lui, mais que ce sera une nouvelle version : Plus de Mr Nice Guy. Nous pouvons en voir un peu dans cette présentation. Il est en
colère.
David a rassemblé sur une seule diapositive les noms et les visages de tous les principaux acteurs du théâtre de la guerre du COVID, ce qui est important selon lui, car « Nous
dynamisons les forces des ténèbres lorsque nous les rendons anonymes et lorsque nous voyons leurs visages sur un écran, nous réalisons qu’ils ne sont que des individus qui ont perdu le contrat
social avec l’humanité. »
Le but de cet exposé est de démystifier le « ils » de la guerre du COVID.
LES CORSAIRES COVIDÉS
Combien d’entre vous connaissent la société Anser ? J’adore vivre ce moment. Savez-vous qu’ils sont le plus grand contractant de toute la campagne terroriste du COVID ?…
Les entreprises de droite, que vous pensez être celles qui mènent le bal [Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Merck Ridgeback, Gilead Sciences, sont en fait une façade [pour les entreprises
de gauche, Anser, Fors-Marsh, Palantir, Publicis Sapient.
« Et vous savez ce qu’est une organisation de façade ? Ce sont eux qui sont censés prendre le blâme et prendre la chaleur. Ceux qui sont à gauche sont ceux qui reçoivent réellement
l’argent. L’opération Warp Speed est allée à Anser.
« Vous ne le saviez pas, parce que les médias vous ont dit que l’argent était allé à Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et tout ce genre de choses. Ce n’est pas vrai. Le contrat
principal de l’opération Warp Speed est passé par Anser, une société dont aucun d’entre vous n’avait entendu parler !
« Et vous n’en avez pas entendu parler parce que le contrat a été signé par ATI, une société basée en Caroline du Sud, une société dont l’histoire est constituée de contrats de défense
gouvernementaux à des fins de propagande ! J’aimerais bien l’avoir inventé. L’entrepreneur principal choisi pour mener l’opération Warp Speed était un expert en propagande pour le ministère de la
Défense des États-Unis…
« Anser est le moyen pour le gouvernement fédéral de ne jamais être responsable de la conspiration criminelle qu’ils savent avoir dirigée. Ils sont maintenant l’un des dix plus grands
entrepreneurs fédéraux de l’histoire, après Lockheed-Martin, Raytheon et tous ces gars-là.
« Ces noms, vous les connaissez. Vous ne connaissez pas Anser, la seule entreprise qui, par COVID a augmenté – l’augmentation la plus élevée de l’histoire des contrats fédéraux ; la plus
haute augmentation sur une seule année, jamais, c’était Anser – et aucun d’entre vous ne sait qui ils sont ! …
« Anser Corporation, ce sont eux qui dirigent l’opération Warp Speed et ils ont été mis en place pour protéger ces fabricants de toute responsabilité financière pour leurs fautes délibérées.
Et un jour, tout le monde dira : ‘Poursuivons Pfizer ! Poursuivons tous les autres ! Et le seul problème, c’est que lorsque nous les poursuivrons, ils diront : « Hé ! Ce n’était pas nous
! ». Et ils ont raison, on était tous endormis. Et je parle à une foule réveillée, ici, et vous étiez tous endormis.
« Ne me dites pas que vous êtes réveillés si vous dormez encore, parce que si vous ne savez pas qui est Anser, vous dormez encore !
IL Y A PIRE…
« Il y a pire. Fors-Marsh, quelqu’un connaît Fors-Marsh ?… C’est l’agence de branding qui a créé la marque COVID. C’est eux qui s’assurent qu’on trouve des hôpitaux débordés. C’est eux qui
trouvent les enfants qui sont morts du COVID juste avant que la FDA ne vote sur les injections aux enfants. Ce sont eux qui parcourent le monde pour s’assurer que le message est toujours le même
: « Nous ne reviendrons pas à la normale tant que nous n’aurons pas de vaccin ». Merci, Justin Trudeau ! Où as-tu trouvé le script ? De Fors-Marsh ! Et combien d’entre vous le savaient
? Aucun d’entre vous !
« Que diriez-vous de Palantir ? Hé, c’est bizarre, n’est-ce pas ? Peter Thiel, qui a dirigé avec succès une entreprise qui a perdu plus de 200 millions de dollars par an pendant sept ou huit
ans, entre en bourse au milieu du COVID. Le timing n’est-il pas intéressant ? N’est-il pas fascinant qu’une entreprise qui n’a fait que perdre des milliards de dollars entre en bourse au milieu
du pire cycle économique que nous ayons connu ? N’est-ce pas drôle ? Et avez-vous vraiment retourné lire leur offre publique ? Hah ! Marrant ! Je sais que vous ne l’avez pas fait, parce qu’il n’y
en avait pas vraiment, c’est pourquoi vous ne l’avez pas lu !
« Mais regardons ce qu’ils ont fait pour notre scandale du COVID. Ils ont mis au point un truc appelé Gotham Data Tracking… vous savez ce que ça fait ? C’est s’assurer que chaque fois que
vous allumez votre téléphone, quand vous descendez de l’avion, quand vous traversez la frontière de l’état, il vous donne une petite étiquette qui dit, ‘Hey, voulez-vous une alerte COVID dans
votre voisinage?’ Vous savez pourquoi ? Parce que vous êtes surveillé. Votre téléphone est surveillé. Vos transactions sont surveillées, vos cartes de crédit sont surveillées, votre comportement
en matière de santé est surveillé, votre statut vaccinal est surveillé et tout cela est fait dans le cadre du contrat géré par Gotham Data Sciences, la société qui est entrée en bourse pendant le
COVID – et aucun de vous n’était au courant.
« Et vous avez été à Red Pills ! Et vous n’avez toujours pas pris la pilule rouge ! Et d’ailleurs, je ne suis même pas encore à la bonne diapositive. Alors sois déprimé ! Parce que c’est de
pire en pire !
« Publicis Sapient, le contrat informatique de la Santé et des Services Sociaux. Vous êtes-vous déjà demandé comment les données ne semblent jamais s’additionner ? Quelqu’un a toujours
prétendument les mêmes données à déclarer ?
« Publicis Sapient a le contrat informatique de Health and Human Services pour consolider toutes les données, alors devinez ce qui se passe ? Tout le monde a le même nombre de cas COVID à
rapporter, quand quelqu’un des médias appelle et dit, ‘Hey, combien de cas avons-nous?’ ‘Oh, 40.000’. « Oh, chiffre rond, 40.000″…
« Quand, au cours de l’histoire de l’humanité, un chiffre rond impliquant le mot ‘mille’ est-il jamais arrivé ? Il n’y a jamais eu de journée des 10 000 cœurs, il n’y a jamais eu de journée
des nombres ronds – jusqu’à ce que vous contrôliez l’ensemble de la plateforme informatique du Department of Health and Human Services et que pas un seul d’entre vous ne sache qu’il s’agit d’un
seul contrat, géré par Publicis Sapient…
« Vous vous êtes concentré sur le côté droit tout le temps et le côté gauche fait le sale boulot.
LES PIRATES DU COVID
« Maintenant, pourquoi je les appelle ‘corsaires’ ? Combien connaissent la différence entre un pirate et un corsaire ? Les pirates commettent des viols, des maraudes et des vols et… un
corsaire, c’est la même chose, mais il est autorisé à le faire par un gouvernement corrompu. C’est ce qu’ils sont (il montre la diapositive des entrepreneurs de COVID). Ce sont des corsaires.
Mais bon, puisque nous avons des corsaires, il semble tout à fait approprié que si nous avons un monde de corsaires, nous devrions aussi… avoir un monde de pirates. Et voici nos pirates. »
Une nouvelle diapositive montre les universités qui ont participé à la guerre du COVID : UNC Chapel Hill, Vanderbilt, Emory, Johns Hopkins, University of California System, MIT, NYU Langone,
DZIF, Imperial College, IHME, Erasmus Medical Center.
« Pirates ». UNC Chapel Hill, j’en ai parlé. C’est le gars qui a réellement fabriqué l’arme, Ralph Baric. Depuis 1999, 100 millions de dollars pour militariser les particules du
coronavirus. Plus de 100 millions de dollars. Vous avez entendu parler de 3,7 millions de dollars allant à Wuhan – ohhhh – 3,7 millions, ça semble être un mauvais chiffre.
« Et pourquoi pas 28 milliards de dollars venant du DARPA pour leur initiative sur les armes biologiques ? Quelqu’un a entendu parler des 28 milliards de dollars qui sont passés par Anthony
Fauci au NIAID ? Quelqu’un a entendu parler des 20 milliards de dollars qui sont allés directement à l’UNC Chapel Hill, pour la protéine spike militarisée ?
« Vous n’avez pas entendu parler de ça, vous n’avez pas entendu parler de ça parce que nous avons parlé de 3,7 millions de dollars allant à Wuhan. Arrêtez d’être distrait par l’histoire de
couverture … Parce que la distraction est là où se trouve la chose intéressante.
« UNC Chapel Hill, Vanderbilt, Emory, Johns Hopkins et l’Université de Californie : ce sont les pirates qui ont gagné le plus d’argent sur les fonds fédéraux, divulgués, qui vont dans le
secteur universitaire. Je les appelle « pirates » pour une très bonne raison. Ils justifient tout cela au nom de la science et de l’éducation…
« Je ne me soucie même pas de savoir si ces personnes prétendent se cacher derrière le ‘C’est un projet de recherche universitaire’ pour essayer d’échapper à la définition des armes
biologiques. La définition des armes biologiques stipule que si vous permettez à une entité étrangère de construire quelque chose de connu pour nuire à l’humanité, vous avez déjà créé un crime,
vous allez aller en prison pour le reste de votre vie et vous êtes passible d’une amende de 100 millions de dollars.
« Alors devinez quoi ? Bienvenue en enfer, les cinq de ces universités ! Parce que ce sont tous des criminels ! Toutes !
« Et pourquoi pas le côté droit ? MIT, New York University Langone – hé, au fait, Langone ? D’où vient ce nom ? Ken Langone ? Quelqu’un d’autre ? Oh ! Je ne suis pas censé dire ce nom à
haute voix, Ken Langone, sauf que je viens de le faire, n’est-ce pas ? Ken Langone…
« En fait, ils mettent leur nom sur l’en-tête et vous ne savez pas qui chercher ! On vous dit toujours, ‘Oh, c’est les Rothschild et c’est les Rockefeller !
« Non, c’est pas ça ! C’est le type qui a mis son nom sur l’installation ! Combien d’entre vous savent qui est Ken Langone ? Devinez quoi ? Cherchez ! Parce que c’est une chose assez
importante dont vous devriez être conscients et malheureusement, vous ne l’êtes pas, pour une très bonne raison, parce qu’il l’a caché au grand jour, sur le nom du centre médical. New York
University Langone, comme si c’était difficile à trouver.
« DZIF Charité… vous avez entendu parler du Dr Christian Drosten, le fou en chef en Allemagne qui est en quelque sorte le beau-fils diabolique d’Anthony Fauci et de Ralph Baric, Imperial
College, les conspirateurs criminels qui ont inventé le porno de la peur du nombre de personnes qui allaient mourir, IHME, le programme de l’Université de Washington, mais celui sur lequel je
veux attirer votre attention est celui du bas, Erasmus Medical Center.
« Bart Haagmans… En 2002, Bart Haagmans était un type intéressant, parce qu’il a en fait trouvé un moyen de construire un tas de brevets autour des vaccins contre le coronavirus.
Mystérieusement, en 2012, l’Union européenne a commencé à lui donner des subventions massives, massives pour gérer une chose appelée Zapi.
« Et Zapi était le laboratoire de transmission des maladies zoonotiques pour l’Union européenne. Et Bart semblait toujours obtenir l’argent. Maintenant, c’est fascinant parce que Bart était
aussi celui qui a décidé de breveter le MERS. Le syndrome respiratoire du Moyen-Orient, vous vous souvenez de celui-là ? Celui qui n’a jamais vraiment eu lieu, mais qui a eu lieu en 2012-13 ?
Bart est celui qui a breveté le MERS…
« Le Centre médical Erasmus, en fait, dans sa déclaration publique, lorsqu’il a été confronté au mensonge, où il a dit qu’il n’avait pas déposé de brevet sur le génome réel – un peu comme le
CDC a dit en 2007 – lorsqu’il a été confronté au mensonge, il a dit en public – et vous ne pouvez pas inventer cette merde, les gens, c’est tellement drôle ! Ils ont dit, « Eh bien, ce que
nous avons dit n’était pas entièrement faux dans toutes les juridictions du monde.
L’ORCHESTRE DU COVID
« Mais ceci, Mesdames et Messieurs, est la diapositive que vous vouliez voir. Il s’agit en fait des noms et des visages des personnes qui, en fait, tuent l’humanité. Et c’est TOUTES
ces personnes. Maintenant, voici les mauvaises nouvelles : Il y a beaucoup de gens sur cette diapositive, n’est-ce pas ? Voici la meilleure nouvelle… Je vais en fait vous donner à tous cette
diapositive, car pourquoi pas ? Faisons en sorte de ne jamais oublier les noms et les visages des personnes qui ont décidé de nous tuer… »
Voici une liste de toutes les personnes figurant dans cette diapositive :
Mukesh D. Ambani, Président, Reliance Industries
Peter Brabeck-Letmathe, Vice-président du Conseil d’administration du FEM
Mark Carney, Envoyé spécial de l’ONU pour l’action climatique
Chrystia Freeland, vice-premier ministre et ministre des finances, Canada
Kristalina Georgieva, directrice générale du FMI
Reine Rania de Jordanie
David M. Rubenstein, cofondateur et président exécutif, Carlyle Group
Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du WEF
Marc Benioff, président et directeur général, Salesforce
David poursuit : « Je veux que tu aies quelques regards là-dessus. Certains sont assez intéressants, comme le violoncelliste Yo-Yo Ma. Tu m’as entendu dire ça ? Le violoncelliste Yo-Yo Ma.
« Et le directeur du Wellcome Trust ? Rien de surprenant, n’est-ce pas ? Et la princesse Rania de Jordanie ? Ooh, c’est bizarre.
« Et la femme qui se trouve être assise à la tête du gouvernement du Canada, mais qui, comme par hasard, n’est pas visible, mais qui gère 100% de l’argent du gouvernement du Canada.
« Que dire de toutes ces personnes intéressantes comme Jim Hagemann Snabe, que dire de Zhu Min, président de l’Institut national de la recherche financière en Chine ?
« Et ce qui rend ces personnes intéressantes, c’est que lorsque vous les examinez, vous découvrez quelque chose de très important. Presque aucun d’entre eux n’a cherché à se faire connaître
du public. N’est-ce pas amusant ? Ce qui me pousse à m’en prendre à l’un d’entre eux. Le gars que j’ai ici, dans le coin inférieur. Et je dois lui donner du crédit. Il a tellement fait pour
rester hors de vue.
« Il me reste 12 minutes. Je dois passer quelques minutes sur le gars qui a payé chaque optimisation de moteur de recherche pour garder son nom hors des moteurs de recherche et je le fais de
sorte que ça lui coûte un max pour vous garder tous silencieux.
DUSTIN MOSKOVITZ : ÉDITER LE GÉNOME HUMAIN
« Alors soyons clairs sur Dustin Moskovitz. On y va, Dustin Moskovitz ? …Petit bout de merde ! Parlons de lui une minute. Le cofondateur de Facebook dont vous n’avez jamais entendu
parler… et aussi le type qui a fondé Open Philanthropy, qui était le véritable émetteur de chèques pour Event201. On vous a dit que c’était le Forum économique mondial. On vous a dit que c’était
la Fondation Bill et Melinda Gates. On vous a dit que c’était l’Université Johns Hopkins. Mais le chèque qui a été encaissé pour le programme a été signé par nul autre que Dustin
Moskovitz…
« Maintenant, je m’en prends à lui pour une bonne raison. C’est un criminel, c’est un criminel. C’est l’une des personnes les plus sociopathes, psychopathes et folles de la planète et il est
payé pour garder son nom privé. Alors devinez quoi ? Ne le laissez pas faire ! La raison pour laquelle je veux vous donner cette diapositive est que je veux que chacun d’entre eux soit nommé. Je
veux qu’ils soient tous nommés publiquement.
« Parce qu’il est temps que nous commencions à dire : ‘Nous, le peuple, n’allons pas laisser des meurtriers de masse s’en tirer anonymement en massacrant des gens. Nous n’allons pas
permettre que cela se produise ! Pas sous notre surveillance ! Et c’est pourquoi vous avez cette diapositive…
« Mais revenons à Dustin. N’est-il pas intéressant que Dustin ait décidé de dissimuler cette crise de santé publique sous un objectif d’investissement intéressé ? Il possède Sherlock
Biosciences. Sherlock Biosciences se trouve être la société propriétaire de la technologie CRISPR qui est la joint venture entre les États-Unis et la Chine sur l’édition génétique du génome
humain…
« Dustin Moskovitz savait que s’il essayait de rendre cette technologie accessible au public, personne ne serait prêt à le faire, d’autant plus qu’il s’agit d’une JV [joint venture] entre
lui et le gouvernement chinois. C’est la raison pour laquelle nous aurions un problème avec cela. Parce que ça ressemble à de l’eugénisme. Vous savez pourquoi ça ressemble à de l’eugénisme ?
Parce que c’est de l’eugénisme, c’est pour ça que ça y ressemble ! C’est pour ça que ça ressemble à du Cold Spring Harbor Laboratoires… »
« La seule façon de faire approuver la technologie d’édition de gènes était d’obtenir une autorisation d’utilisation d’urgence. Il n’est pas surprenant qu’une fois que tout le monde
a été distrait par les vaccins, par la RTPCR et par tout le reste, Sherlock Biosciences a glissé sa demande d’autorisation d’urgence à la FDA – et l’a obtenue. En d’autres termes, sous le couvert
du COVID, dont nous faisons tous semblant de parler, l’édition du génome humain a été approuvée sans qu’aucun d’entre nous ne dise un mot.
« Si vous deviez modifier le génome humain, pensez-vous que vous auriez besoin d’une bonne couverture pour cacher ce que vous faites réellement ? Vous trouveriez probablement le gars qui a
le plus grand intérêt financier à le faire et vous vous assureriez que, pendant que tout le monde regarde le coronavirus et le COVID et essaie de comprendre ces hypothèses de fuite de laboratoire
– il n’y a pas d’hypothèse de fuite de laboratoire, parce qu’il n’y a pas de fuite de laboratoire !
« Alors arrêtez de parler de fuites de laboratoire ! Il n’y a pas de fuite de laboratoire. C’est l’armement délibéré d’une protéine de pointe, voilà ce que c’est. C’est un acte de guerre, ce
n’est pas une fuite. On doit commencer à l’appeler par son nom. C’est un acte de guerre. C’est un acte de guerre contre l’humanité.
« Nous devons cesser de faire semblant de mordre à leur hameçon et de suivre leurs stupides pistes de lapin et de suivre de stupides pistes de lapin dans de stupides trous de lapin et de
nous demander pourquoi il y a un tas de pipi, de pisse et de caca qui sentent comme des terriers de lapin. Eh bien, ça sent comme ça parce que c’est ce qu’on trouve au bout d’une piste de lapin.
« Nous devons nous concentrer sur l’essentiel et sur des gens comme Dustin Moskovitz et cette diapositive va être partagée avec tout le monde dans cette salle, parce que cela vous incombe.
Maintenant vous savez. Maintenant, vous devez agir. Parce que lorsque nous parlons du « ils », nous donnons du pouvoir au « ils ».
« Mais quand nous parlons des noms des gens, nous humanisons le comportement sociopathe. Nous humanisons le fait qu’il y a des individus et des organisations qui assassinent délibérément
l’humanité que nous connaissons et aimons et nous ne pouvons pas laisser cela se produire sous nos yeux. Il nous incombe à tous de faire sortir ces mots. »
Regardez la présentation complète ci-dessous :
LES ÉTATS CONSPIRATEURS COVIDÉS
La diapositive suivante montre les pays suivants : États-Unis, Canada, Royaume-Uni, Allemagne, Afrique du Sud, Chine et Australie, ainsi que les logos des sociétés suivantes : BlackRock, AXA,
HSBC, Fonds monétaire international, United Healthcare, Insurance Corporation of British Columbia.
David dit : « La partie la plus importante de cette diapositive est ce
Voici une traduction d’un document de 2019 de la Commission européenne à propos de sa feuille de route au sujet des vaccins. Veuillez excuser la mise en page c’est une traduction automatique :
Le podcast d’aujourd’hui est une bombe qui doit être comprise par quiconque espère survivre à l’holocauste des vaccins, car il s’agit en réalité d’une “bombe génétique” contre
l’humanité.
Le vaccin, en supprimant le mécanisme naturel de réparation de l’ADN dans l’organisme – connu sous le nom de NHEJ, ou Non-Homologous End Joining –
Le vaccin, en supprimant le mécanisme naturel de réparation de l’ADN dans l’organisme – connu sous le nom de NHEJ (Non-Homologous End Joining) – rend les personnes très vulnérables à des
mutations cancéreuses dévastatrices, même lorsqu’elles sont exposées à de très faibles niveaux de rayonnement ionisant, comme l’exposition au soleil ou la mammographie.
Lorsque le NHEJ est supprimé par la protéine spike, le corps ne peut plus réparer son ADN endommagé et les cellules mutent de manière incontrôlée, dévastant l’ensemble du corps et entraînant la
désintégration génétique de l’organisme.
“HORREUR SCIENTIFIQUE : la protéine de pointe du vaccin pénètre dans les noyaux cellulaires, supprime le moteur de réparation de l’ADN du corps humain, déclenchera une explosion de cancer,
d’immunodéficience, de troubles auto-immuns et de vieillissement accéléré” http://medicine.news/2021-11-02-science-horror-vaccine-spike-protein-enters-cell-nuclei-suppresses-dna-repair-engine-of-the-human-body-cancer-aging.html
L’étude montre que l’efficacité du NHEJ s’effondre en présence de la protéine de pointe du vaccin ARNm covid :
Aucun organisme vivant sur la planète ne peut survivre sans intégrité génétique.
Le NHEJ fait partie de chaque cellule de chaque plante, animal et être humain vivant sur la planète.
Le vaccin et la protéine spike sont une attaque contre l’intégrité génétique des humains, et ceux qui prennent le vaccin seront largement incapables de se reproduire parce que leurs bébés
avorteront d’eux-mêmes à cause des mutations génétiques.
C'est pourquoi 82% des femmes enceintes qui prennent des vaccins contre le Covid pendant leur premier trimestre de grossesse finissent par perdre leurs bébés à cause d'avortements spontanés
! https://vaccines.news/2021-07-06-82-percent-pregnant-women-vaccinated-covid-miscarriage.html
Comment les mondialistes de la dépopulation peuvent accélérer les mutations chez les vaccinés !
Il est important de noter qu’une fois que les habitants d’une planète ont reçu une large injection du vaccin COVID, les mondialistes
peuvent déclencher un accident nucléaire (ou un acte de terrorisme nucléaire) pour distribuer des radiations sur toute la planète.
Même un faible niveau d’exposition au césium-137 (ou au strontium-91, à l’iode-131, etc.) déclenchera une vague de cancers mortels chez
les personnes vaccinées.
Alors que les personnes normales et en bonne santé peuvent réparer les dommages causés à l’ADN par de faibles niveaux d’exposition aux
rayonnements ionisants, les personnes vaccinées peuvent à peine effectuer les réparations (elles ont une suppression d’environ 90 % de la réparation de l’ADN).
Ainsi, les taux de cancer vont monter en flèche chez les personnes vaccinées, et lorsqu’elles meurent, on peut attribuer leur décès au cancer plutôt qu’aux vaccins.
Cet arrangement d’armes binaires permet donc également aux mondialistes pro-vaccins d’échapper à la responsabilité des vaccins.
Il couvre les décès dus aux vaccins en les classant dans la catégorie des décès dus au cancer.
Tout ce dont ils ont besoin, c’est d’un autre Tchernobyl, d’un autre Fukushima ou d’une autre explosion nucléaire quelque part dans l’hémisphère nord – presque n’importe où – et les vents
répandront les radio-isotopes sur la moitié de la planète, atteignant ainsi les faibles niveaux de rayonnement ionisant nécessaires pour transformer les personnes vaccinées en mutants
cancéreux à la mort accélérée.
Les individus vaccinés qui ne sont pas tués par les cancers ont très peu de chances de pouvoir produire une descendance viable en raison des dommages causés à l’ADN des spermatozoïdes et des
ovules.
Il est intéressant de noter qu’une fois qu’il devient évident que les individus vaccinés ne peuvent pas tolérer la lumière du soleil sans subir de mutations génétiques, ils fuient la lumière
du jour et deviennent des créatures de la nuit.
Dans les mythes culturels, les vampires sont des créatures de la nuit qui se désintègrent instantanément lorsque la lumière du soleil touche leur peau.
En réalité, la désintégration prendra beaucoup plus de temps, mais l’idée est similaire :
Vaccins anti-covirus + lumière du soleil = désintégration génétique.
Seuls les sangs purs pourront se reproduire, donc l’avenir de l’humanité appartient à ceux qui rejettent les vaccins ARNm.
Ceux qui rejettent les vaccins COVID sont appelés “sangs purs” !
Ils sont les seuls à pouvoir maintenir l’intégrité génétique pour les générations à venir, ce qui signifie que l’avenir de la race
humaine appartient à ceux qui rejettent les vaccins COVID. (Les personnes qui prennent des vaccins COVID à base de protéine de pointe / ARNm sont en train de gagner le Darwin
Award…)
Selon Dieu, via l’Ancien Testament, le sang est l’endroit où la vie existe.
Votre corps fabrique deux millions de globules rouges chaque minute, et ceux-ci sont fabriqués dans vos os.
C’est pourquoi la Genèse dit qu’Eve a été créée à partir de la côte d’Adam.
Les os sont le lieu où l’ADN existe pour fabriquer le sang, l’essence de la vie, et pour trouver le modèle génétique qui
décrit la biologie d’un nouvel être.
Une personne qui subit des mutations génétiques dans le sang reçoit un diagnostic de leucémie, essentiellement un cancer du sang.
Il s’agit d’une désintégration de l’intégrité génétique de ses modèles de fabrication du sang, tout simplement, et aucun
mammifère n’est viable à long terme lorsque l’intégrité génétique de son sang est détruite.
Pourtant, c’est exactement ce que les vaccins accompliront lorsqu’ils seront accompagnés d’une exposition à des rayonnements ionisants de faible intensité. Je le répète
:
Protéines de pointes + radiations ionisantes = mutations de l’ADN / perte de l’intégrité génétique.
Ceux qui ont pris les injections de protéines de pointe connaissent déjà une croissance accélérée des tumeurs cancéreuses.
Ce phénomène est largement rapporté par les médecins naturopathes et les analystes. Bien qu’il soit possible
d’arrêter les mutations de l’ADN grâce à un programme de désintoxication nutritionnelle agressif et à un mode de vie anticancéreux tout au long de la vie, la plupart des
gens mènent en fait un mode de vie favorable au cancer par le biais de leurs aliments toxiques, de leurs produits de soins personnels toxiques et de leurs environnements
intérieurs toxiques.
En outre, la plupart des gens présentent une carence en vitamine D, ce qui signifie qu’ils sont essentiellement
des “usines à cancer”, même avant l’arrivée des injections de protéines de pointe.
Nous sommes donc sur le point d’assister à une explosion du nombre de cancers dans le monde à cause des vaccins COVID.
Ce phénomène s’accélérera vraiment en 2022, et nous verrons facilement plus d’un million de décès par cancer
aux États-Unis en 2022 (bien que les données ne soient pas disponibles avant 2024, très probablement).
Au cours de la prochaine décennie (2022 – 2032), nous verrons probablement des dizaines de millions de décès
par cancer aux États-Unis.
Toute émission de radiations par les mondialistes ne fera qu’accélérer ces chiffres et coûter plus de vies. (C’est le but des globalistes).
Pendant ce temps, ceux qui ont pris les injections de protéines Spike d’ARNm donneront naissance à des bébés mutants qui n’ont pas de viabilité génétique, même
s’ils survivent à leurs propres mutations.
Actuellement, environ la moitié de la population humaine a pris des injections de COVID d’une sorte ou
d’une autre, ce qui signifie que les mondialistes de la dépopulation ont peut-être déjà atteint leur objectif de détruire la fertilité / viabilité génétique
pour une partie importante de la race humaine.
L’extermination a maintenant commencé.
Cet hiver, les décès par cancer vont exploser
en Amérique, et ils vont monter en flèche pendant la prochaine décennie chez ceux qui ont été assez crédules pour se faire injecter des armes biologiques
mortelles à base de protéines de pointe.
Préparez-vous à voir un raz-de-marée de cancers en Amérique, en Europe, en Australie, au Canada et dans toutes les autres nations où des personnes crédules
se sont suicidées sans le savoir en se faisant vacciner.
Je vous raconte l’histoire complète et étonnante de tout cela dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui :
Retrouvez chaque jour un nouveau podcast (ainsi que des interviews percutantes et d’autres
commentaires) sur la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com :
En Inde, la distribution d'ivermectine a fait chuter l'épidémie Covid en quelques semaines (et les médias français ont arrêté subitement d'en parler)
En Inde, les gouvernements de l'Uttarakhand, après ceux de Goa et du Karnataka, a annoncé que des comprimés d'ivermectine seraient distribués aux citoyens de l'État pour empêcher la propagation du
variant delta le 12 mai 2021.
Les cas de Covid ont alors chuté de 98% et les décès Covid ont chuté de 99%.
L'ivermectine a facilement contrôlé le "variant delta" plus transmissible, mais moins mortel, en moins de quelques semaines.
In our efforts to reduce Covid-19 severity in the state we shall soon start the prophylaxis treatment with Ivermectin for covid patients who are of the 18+ age group. This will help us in
reducing the mortality rate too & speed up the recovery process of patients. pic.twitter.com/wPJ35td4dy
Après avoir publié les révélations du Docteur Miachel YADEON,
ancien vice-président et scientifique en chef de Pfizer, devant se qui semble être une conférence en ligne organisée par la Coalition mondiale pour la santé et la Vie, et le
Conseil des Nations Unie pour la vie et la vérité, un Biostatiticien espagnol, du nom de Ricardo Delgado Martin, fondateur directeur d’un mouvement de libre pensée et de réflexion
basé en Espagne (La Quinta
Columna – La cinquième Colonne), a exposé les preuves qu’un échantillon du vaccin ARN Pfizer comportait des nanoparticules d’oxyde de graphène, en
concluant que la Covid-19 n’existe pas, tout en nous proposant des antidotes!
https://fr.sott.net/article/38047-Videos-chocs-d-analyses-de-sang-de-personnes-injectees-avec-les-produits-nommes-vaccins-anti-Covid-19 Sott.net
mar., 07 sept. 2021 11:40 UTC
Plusieurs scientifiques et médecins ont analysé le sang des personnes injectées avec les produits nommés « vaccins » anti-Covid-19. Voici deux vidéos de ce qu'ils ont découvert.
La première a été filmée et commentée par un groupe de scientifiques et de médecins allemands qui ont analysé le sang de personnes injectées avec les produits nommés « vaccins » anti-Covid19.
Dans cette vidéo doublée en français, voici ce qu'ils découvrent à travers leur microscope et ce qu'ils en disent :
La seconde vidéo est sous-titrée en français et Armin Koroknay, scientifique en toxicologie, a utilisé un microscope à fluorescence, qui permet aux chercheurs d'observer les globules rouges, les
globules blancs, l'ADN ou encore l'ARN contenu dans le sang.
Le Dr. Shawn Brooks révèle que si vous avez choisit de vous faire injecter le Venin de Satan, vous êtes un
condamné dans le couloir de la mort en sursis temporaire !
Le Dr. Shawn Brooks fait des révélations glaçantes sur la vaccination…
Pourquoi aucun spécialiste (Hors plateaux TV) ne s’exprime sur ces affirmations terrifiantes ?
Dr. Shawn Brooks : "Je m’appelle Dr. Shawn Brooks, j’ai publié 48 articles et 23 ouvrages, et j’ai travaillé en physiologie pendant 21
ans.
Le Pr Robert Malone, qui est à l’origine des vaccins ARMn a dit qu’il ne fallait jamais se faire vacciner avec ce genre de vaccin et
quelque soit les circonstances.
C’est lui qui les a créent, et ne faites jamais ça.
Laissez-moi vous dire ce qui va se passer pour les gens qui se font vacciner.
Les personnes qui ont été vaccinées vont décéder d’ici 6 mois, jusqu’à 3 ou 5 ans.
Il y a 3 raisons à cela.
Numéro 1 – Une chute dramatique de votre système immunitaire de 35%.
La première injection a supprimé environ 15% de votre système immunitaire et la seconde 35%.
Si vous prenez un 3ème rappel, vous allez mourir.
C’est tout !
Si vous vous faites vacciner contre la grippe à l’avenir, vous allez mourir.
Numéro 2 – Aggravation dépendante des anticorps.
C’est ce qui arrive à tout le monde quand vous avez été vaccinés.
Quand vous avez ça, ça détraque tout votre corps qui croit que les cellules sont en train de manger le pathogène alors
que ce n’est pas le cas.
Et cela finit par ce qu’on appelle la tempête de cytokine, causant des défaillances organiques, ce qui amènera à votre
mort.
Et on ne peut pas arrêter ce processus et ce quel que soient les médicaments que vous prenez.
Numéro 3 – Des thromboses sanguines : Peu importe les gens qui ont été vaccinées, ils ont des
thromboses.
Si vous ne me croyez pas, il y a une façon d’en être sûr, faites ce qu’on appelle un test
D-Dimères.
Ce test détecte des thromboses à des niveaux microscopiques.
Ça déclenche déjà des thromboses chez des gens.
Il y a des millions de gens qui sont décédés de ces vaccins (Ndlr :
Nous estimons à près de 5 millions de décès post-vaccinatoires actuellement sur 2,5 milliards d'injectés, 50 millions devenues handicapées et 500 millions
ayant des effets secondaires persistants ou non ! Et la plupart de ceux qui ont acceptés le venin vont disparaître dans les mois et années à venir
!).
Et vous, à votre dernière réunion, vous exhortiez les gens à se faire vacciner avec l’obligation
de porter des masques et j’ai entendu des parents dire la même chose à leurs enfants.
Des parents qui envisagent de faire vacciner leurs propres enfants.
Vous allez finir par les stériliser de manière permanente.
Les gens qui se font vacciner sont stériles.
80% des femmes qui se sont fait vacciner ont perdu leur enfant au premier trimestre
de grossesse.
Vous ne pourrez plus avoir d’enfants.
Vous venez de vous faire vacciner l’équivalent du HIV.
Les femmes ne peuvent pas donner le sein, vous ne pouvez pas donner votre
sang, des organes ou du plasma, ni votre moelle épinière.
Si vous ne me croyez pas, essayez de donner votre sang ainsi que votre
plasma et regardez ce qui va vous arriver.
On vous dira non !
A moins que vous ne viviez en Californie où là, on permet aux
gens de donner du sang toxique avec des protéines spike.
Les vaccinations créent des protéines spike qui sont dans les
vaccins.
Vous n’êtes plus un humain, vous êtes autre chose.
Vous êtes susceptibles d’attraper énormément de
maladies.
Et je vois ce qui va se passer très
prochainement…
Je ne sais pas combien de vos employés ont été
vaccinés mais votre école va devoir fermer.
Vous allez devoir fermer car ils vont mourir, ça
va arriver dans tous les établissements."
Le vaccin Pfizer Covid-19 détruit les cellules T et affaiblit le système immunitaire
Une étude menée par le Francis Crick Institute au Royaume-Uni a
découvert que le vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19 détruit les cellules T et affaiblit le système immunitaire. Malgré cela, les sociétés pharmaceutiques cherchent à injecter à la population une
troisième dose ou un rappel pour « empêcher » que cela ne se produise.
Les cellules T sont des cellules immunitaires capables de cibler des particules étrangères spécifiques - elles sont le plus souvent étudiées en
fonction de leur capacité à lutter contre le cancer et les maladies infectieuses, mais elles sont également essentielles pour d'autres aspects de la réponse immunitaire du corps.
Il existe deux types de cellules T : les cellules T tueuses et les cellules T
auxiliaires. Les cellules T tueuses attaquent les cellules qui ont déjà été infectées par des particules étrangères, tandis que les cellules T auxiliaires aident d'autres cellules à
développer des cellules tueuses et stimulent d'autres cellules pour créer des anticorps neutralisants.
L'étude du Francis Crick Institute
s'est concentrée sur les anticorps neutralisants créés par les cellules T. Elle a analysé si le vaccin Pfizer aide les cellules T à créer suffisamment d'anticorps pour combattre Covid-19 et
ses variantes associées.
L’étude – menée par le Francis Crick Institute en
collaboration avec le British National Institute for Health Research – a montré que le vaccin Pfizer Covid-19 produisait moins d’anticorps neutralisants
contre Covid-19 et d’autres variantes.
Les scientifiques ont analysé les anticorps dans le sang de 250 personnes en bonne santé qui ont reçu une ou les deux doses du vaccin
Pfizer Covid-19 jusqu'à trois mois après leur première dose.
Les chercheurs ont utilisé un test développé par le Francis Crick Institute pour déterminer la capacité des anticorps neutralisants à
empêcher l'entrée des variantes de Covid-19.
L'étude a révélé que seulement 50 % des personnes ayant reçu une dose unique du vaccin Pfizer présentaient une réponse en anticorps
neutralisants quantifiables contre la variante alpha de Covid-19. De plus, ce nombre a diminué à seulement 32 % et 25 % pour les variantes delta et bêta, respectivement.
Pour toutes les variantes, l’étude montre que plus les personnes recevant le vaccin sont âgée et plus celles dont le système
immunitaire est faible, moins d'anticorps sont générés. Compte tenu de la capacité du vaccin à détruire les cellules T et à affaiblir encore plus le système immunitaire, se faire vacciner pourrait causer des dommages à de nombreuses personnes, en particulier celles dont le système immunitaire est affaibli.
Aucune corrélation n'a été observée pour le sexe ou l'indice de masse corporelle. Les chercheurs cherchent à mener d'autres études pour
vérifier les capacités d'autres vaccins, à commencer par le vaccin Oxford-AstraZeneca.
David Bauer, directeur du Bauer Lab au Francis Crick Institute, a déclaré : « Ainsi, le message clé de notre découverte est que nous
avons constaté que les receveurs du vaccin Pfizer, ceux qui ont reçu deux doses, ont environ cinq à six fois moins de quantités d'anticorps
neutralisants.
« Maintenant, ce sont en quelque sorte les anticorps de
sécurité privée de référence de votre système immunitaire qui empêchent le virus de pénétrer dans vos cellules en premier lieu. Donc, nous avons constaté que c'est moins de sécurité pour les
personnes avec deux doses. Nous avons également constaté que pour les personnes n'ayant reçu qu'une seule dose du vaccin Pfizer, elles sont moins susceptibles d'avoir des niveaux élevés de
ces anticorps dans leur sang. »
Pas moins de 93 médecins israéliens ont signé une lettre demandant que les vaccins Covid ne soient pas administrés aux enfants.
Les médecins soulignent que l’opinion scientifique dominante est que le vaccin ne peut pas conduire à une immunité collective. Selon eux, on ne sait toujours pas si le vaccin empêchera la
propagation du virus et pendant combien de temps il assurera une protection. Des nouveaux variants du virus pourraient être résistants au vaccin, et nous ne connaissons pas encore les effets sur
la croissance, le système reproductif ou la fertilité.
« Nous ne devrions pas mettre les enfants en danger par une vaccination de masse contre une maladie qui n’est pas dangereuse pour eux », écrivent les 93 médecins.
Selon eux, les enfants devraient pouvoir retrouver rapidement une vie normale et les tests et l’isolement fréquents devraient cesser. Les médecins déclarent qu’il ne faut pas se précipiter pour
les vacciner tant qu’on n’a pas toutes les assurances/, car le Covid ne présente aucun danger pour les enfants.
Malgré les avertissements de différents experts du monde entier, les politiciens et les médias en Allemagne font une grosse publicité pour que les enfants soient vaccinés aussi vite que possible,
bien que les chiffres officiels de l’étude actuelle sur la vaccination des enfants de 12 à 17 ans parlent un langage clair.
La fiche actuelle de données des sociétés pharmaceutiques Pfizer et BioNTech montre qu’environ 80 % des 1 097 enfants qui ont participé au test vaccinal se sont plaints d’effets
secondaires.
Chez 393 participants, soit plus d’un tiers, ces effets secondaires étaient « moyennement graves ». Et chez sept enfants, les groupes pharmaceutiques eux-mêmes ont qualifié les effets secondaires
de graves. Cela représente environ 0,6 %. Dans le document, Pfizer et BioNTech ont donné le terme « grave » à des réactions qui provoquent « une incapacité prolongée ou substantielle » ou «
entraînent la mort ».
Or, compte tenu de ces résultats, si on vaccinait effectivement un million d’enfants, au moins 6 000 d’entre eux subiraient un dommage grave.
Et très probablement, certains de ces enfants mourraient. Selon les informations publiées par l’Institut Paul Ehrlich, il y a jusqu’à présent dans le cadre de la campagne de vaccination, un décès
pour 56 400 personnes vaccinées. Cela signifie que, même selon les chiffres officiels, les enfants et les jeunes gens ont trois fois plus de risques de mourir de la vaccination que de la maladie.
Face à ces faits révélateurs, les médias et les politiciens non critiques qui font la promotion du vaccin Covid depuis des mois, semblent ignorer toute éthique et toute responsabilité.
Acceptent-ils sciemment de faire du mal à de nombreux enfants en bonne santé ? Et est-ce possible qu’un cartel politico-pharmaceutique soit littéralement prêt à marcher sur des cadavres ?
Tant que ces crimes ne cesseront pas, il est de la responsabilité de chaque individu de devenir lui-même actif, d’éclairer et de dénoncer cette prétendue attention portée à nos enfants
pour ce qu’elle est : un crime !
Je n'ai aucun doute que nous aurons raison au final, hélas au
prix de combien de morts ou de gens handicapés, ou dont l'ADN et le système immunitaire sera altéré parce qu'ils ont eu une confiance aveugle dans
notre gouvernement, et n'ont pas fait l'effort de se renseigner. Vers qui ces gens se retourneront sachant que les fabricants de vaccin n'assument
pas les effets secondaires de leurs technologies 'innovantes' (informations complémentaires), c'est l'État qui va payer, et l'État c'est nous,
privatiser les profits, socialiser les pertes, comme pour les banques. Pour le reste, il faut savoir que cela fait très longtemps qu'ils veulent réduire la population sur Terre. Et ce n'est pas fini avec le 'virus climatique' qui prendra le relais du Covid.
par Mike Adams.
Dans cet article :
Aucun matériel de référence certifié isolé pour le virus
« Covid-19 ».
Les tests PCR qui trouvent des résultats « positifs »
pour Covid enregistrent simplement le résultat d’un fond amplifié d’instrument.
La FDA admet que les tests PCR ont été développés sans
aucun échantillon de virus covid-19 isolé. Donc, ils ont simulé le virus.
La virologue Dr Judy Mikovitz confirme que les
coronavirus courants et les virus de singe sont frauduleusement étiquetés « Covid ».
Le Dr Jane Ruby explique l’absence de tout
isolat viral et pourquoi la pandémie est basée sur une fraude scientifique coordonnée.
Les documents du CDC FOIA révèlent la preuve que le CDC
n’a jamais isolé Covid-19.
L’arme biologique à protéines de pointe – spike – est
réelle, et les « vaccins » contre le virus sont des piqûres mortelles pour parvenir à la dépopulation.
La directrice du CDC, Walensky, admet que le vaccin
contre le Covid n’arrête pas les infections covidiennes.
Le sénateur Rand Paul appelle les Américains à résister à
la tyrannie covidienne.
L’année dernière, lorsque les sceptiques de l’arnaque covid
disaient « qu’il n’y a pas de virus covid », je n’étais pas du tout d’accord. En tant que scientifique de l’alimentation publié, propriétaire de
laboratoire et inventeur de deux brevets publiés basés sur l’analyse par spectrométrie de masse, je savais que le SARS-CoV-2 avait été séquencé
génomiquement. J’ai sûrement pensé à tort qu’il avait été isolé, purifié et déterminé comme étant la cause de la maladie de Covid-19.
Un an plus tard, il s’avère que les sceptiques avaient
raison. Et les avertissements de personnes comme le Dr Thomas Cowan, Sally Fallon, le Dr Andrew Kaufman, Jon Rappoport, David
Icke et d’autres étaient justes. (Je me suis depuis excusé auprès d’eux dans un podcast
public.)
Comment ai-je réalisé que l’establishment médical et
scientifique avait fabriqué tout cela ? Et quelle est l’explication de la maladie très réelle que les gens connaissent ?
Je vais partager cette histoire ici, mais en bref,
les virus du rhume et les fragments de virus de singe trouvés dans les vaccins contre la grippe sont mal étiquetés « Covid », et il existe
une arme biologique à protéine de pointe armée qui est distribuée via des injections de vaccin. Tout cela est réel. Mais il n’existe pas
de virus Covid-19 réel, physique et isolé qui a été récolté sur des personnes malades et dont il a été démontré qu’il infecte d’autres personnes et
les rend malades. Ce à quoi nous assistons vraiment ici, semble-t-il maintenant, ce sont trois choses distinctes :
1) Un cocktail de virus du rhume étiquetés « Covid » qui
circulent et provoquent des maladies chez certaines personnes, très probablement en raison du manque d’exposition du système immunitaire aux virus
de type sauvage pendant tous les blocages mondiaux.
2) Une nanoparticule toxique de protéine de pointe armée qui est injectée à des personnes
sous forme de « injection de caillots »… et elle est probablement en train de se détacher/disperser, provoquant des effets
secondaires nocifs chez d’autres personnes non vaccinées.
3) Un schéma PCR « casdémique »1 entièrement frauduleux conçu pour signaler presque tout le monde comme « positif » basé presque entièrement sur le
nombre de cycles que les instruments de préparation d’échantillons PCR doivent effectuer, amplifiant ainsi le bruit de l’instrument jusqu’à devenir
« positif ». Presque tout peut être signalé comme « positif », y compris les fragments de matériel génétique provenant des vaccins antigrippaux des
années précédentes.2
Ces trois choses – combinées à la programmation d’hystérie de
masse par les médias – ont atteint un niveau de peur mondiale et de terrorisme psychologique que le monde n’a jamais vu auparavant. Mais tout est
basé sur des mensonges. Et voici comment nous le savons.
Aucun matériel de référence certifié pour le virus
SARS-CoV-2 « covid-19 » isolé
En étant moi-même propriétaire de laboratoire, publiant des
analyses scientifiques et analyste des spécifications de masse, je suis extrêmement familier avec le processus d’utilisation de matériaux de
référence certifiés (certified reference materials CRM) pour valider les méthodes d’analyse et les séquences d’étalonnage des instruments. (J’ai
passé beaucoup trop de soirées à créer des dilutions en série d’étalons à l’aide d’une pipette Gilson, croyez-moi…)
Voici comment le processus fonctionne normalement dans un
laboratoire scientifique légitime :
Étape 1) Acquérir le CRM de la chose que
vous souhaitez tester (« analyte »). Cela signifie acquérir un étalon purifié et isolé avec une concentration connue, généralement dans
un support tel que l’eau, ou sous forme de poudre sèche. Par exemple, lorsque je teste le mercure dans les aliments, j’ai une norme de mercure
certifiée avec une concentration connue de mercure, dissous dans l’eau, l’acide nitrique et l’acide chlorhydrique.
Étape 2) Exécutez le CRM en tant
qu’échantillon, à différentes concentrations, pour créer une « courbe » qui enseigne efficacement à l’instrument à quoi ressemble l’analyte et
comment le détecteur de l’instrument réagit aux différentes concentrations de l’analyte3. Le résultat final est une « courbe quantique » qui sera utilisée à l’étape 3.
REMARQUE : Les instruments « correspondront »
à la chose que vous recherchez par une variété de méthodes, en filtrant toutes les autres choses qui ne correspondent pas. Dans le travail de
spécification de masse, les molécules sont identifiées par leur masse moléculaire, les schémas de fragmentation des ions et le temps d’élution sur
les colonnes de chromatographie. Pour qu’une substance corresponde, elle doit atteindre tous ces paramètres. Dans les tests PCR, une
« correspondance » est une séquence génomique constituée de paires de bases, définie dans une bibliothèque numérique qui peut ou non
avoir été exécutée par rapport à une norme physique réelle dans le monde réel.
Étape 3) Faites passer des échantillons
inconnus dans l’instrument (sérum sanguin, urine, salive, eau, extraits d’échantillons alimentaires, etc.) et voyez si l’échantillon inconnu
contient l’un des éléments que vous recherchez (l’analyte). Comme vous avez construit une courbe quantique, vous pouvez également déterminer la
concentration de l’analyte dans l’échantillon d’origine. Ceci est généralement décrit comme la masse sur le volume, telle que ng/ml (nanogrammes
par millilitre). Un nanogramme est un milliardième de gramme. Lorsque nous testons les aliments pour le glyphosate, nous pouvons détecter aussi peu
que 1 nanogramme par millilitre, ce qui vous en dit long sur l’extrême sensibilité des instruments haut de gamme.
C’est le processus pour tester quelque chose et identifier la
quantité de quelque chose qui se trouve dans quelque chose d’autre. Par exemple, si vous deviez déterminer si quelqu’un est malade du « Covid »,
vous devrez déterminer la concentration de virus Covid-19 dans son sang (c’est-à-dire la « charge virale »). C’est la science/biologie
101.
Alors, quel est le problème ?
Vous seriez stupéfait de réaliser à quel point la fraude
scientifique est profonde. Considérez ces points critiques :
Point n° 1 : Il ne semble pas y avoir de matériaux de
référence certifiés isolés et purifiés disponibles pour le SARS-CoV-2 « Covid ». J’ai vu des entreprises qui prétendent vendre des
« isolats » contenant des virus Covid, mais dans leur propre description, elles expliquent que leurs flacons contiennent du matériel
génétique provenant de « cellules hôtes » (cellules humaines) ainsi que de cellules de sérum bovin, ce qui signifie que c’est un ragoût
de cocktail de je-ne-sais-quoi. Pourtant, cela s’appelle un « isolat ».
Exemple concret : BEI Resources, qui propose ce qu’ils
appellent un « isolat » de covid-19, que vous pouvez trouver sur ce lien. Comme la description l’indique pour ce covid-19
« isolat : »
… Ce produit ne convient pas comme préparation d’antigène
de cellule entière car la teneur en protéines est largement apportée par la cellule hôte et le sérum bovin fœtal utilisé lors de la propagation du
virus.
En d’autres termes, la plupart du matériel génétique
de l’« isolat » provient en fait de cellules humaines. Ce n’est donc pas du tout un isolat. Le virus Covid n’est pas isolé. En fait, cet «
isolat » contient du matériel génétique viral, du matériel génétique humain et du matériel génétique bovin, ainsi que tous les autres virus
présents dans le sang des humains et des vaches. Cela pourrait être des millions de nanoparticules différentes présentes, chacune contenant ses
propres séquences de matériel génétique.
Point #2 : Si vous n’avez pas de matériaux de
référence isolés et certifiés, vous ne pouvez pas développer un test d’analyse légitime. Et c’est exactement ce qu’admet la FDA dans ses propres documents, qui
indiquent que puisque les virus Covid-19 n’étaient pas disponibles pour le développement du test PCR, ils l’ont « simulé » en
utilisant des cellules humaines et des fragments de coronavirus de banque de gènes. D’après le propre document de la FDA :
Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du
2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude menée, des tests conçus pour
la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro… dopés dans un diluant composé d’une
suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.
En d’autres termes, ils ont truqué le virus
Covid en utilisant des cellules de banque de gènes qui ont été délibérément et faussement étiquetées « Covid ». C’est ainsi que le test
PCR a été développé. La FDA admet tout. Le test PCR est une fraude.
Point n°3 : Si vous n’avez pas d’isolat CRM,
vous ne pouvez pas étalonner les instruments par rapport à un échantillon connu. Et cela signifie que les tests PCR ne sont pas calibrés
par rapport à quoi que ce soit de réel et de physique. Au lieu de cela, ils s’appuient sur des bibliothèques numériques téléchargées fournies par
nul autre que le CDC, le même groupe paravent de Big Pharma qui est le fer de lance de cette arnaque covid.
Point n°4 : les instruments de PCR sont incapables
d’analyse quantitative. Les coups « positifs » ne sont que des bruits de fond amplifiés. Aucun instrument PCR ne peut vous dire
quelle quantité de matériel génétique a été trouvée dans un échantillon original. Il peut simplement détecter la présence de matériel sur une base
oui/non. En science de laboratoire, cela s’appelle une analyse « qualitative », pas une analyse quantitative.
Dans l’analyse qualitative, le facteur clé est la « limite de
détection » (« Limit of Detection » LOD) de l’instrument. Dans quelle mesure l’échantillon créera-t-il encore un « hit »
(succès/coup) pour l’instrument ? Dans tous les instruments, pour que la LOD soit scientifiquement valide, elle doit être quelque chose qui
dépasse le bruit de fond, sinon elle n’a aucun sens scientifique. Tous les instruments produisent un bruit de fond, qui sont des
« pics » ou des « hits » qui représentent la statique du détecteur, pourrait-on dire. Ceux-ci existent à un niveau
d’arrière-plan même lorsque vous n’exécutez rien dans l’instrument.
Pour vous montrer à quoi cela ressemble, considérez le
graphique suivant.
Il montre des résultats de spécification de masse sur un
spectre de masses. L’axe horizontal ici est m/z (masse sur charge), qui est simplifié en « masse » pour une discussion générale. C’est la
masse des molécules ou des particules détectées.
Remarquez les lignes rouges et oranges au bas de chaque
graphique. C’est en grande partie un bruit de « fond » dans toutes les masses. Remarquez ensuite le très haut pic orange qui s’élève
au-dessus de l’arrière-plan. C’est la masse de la molécule qu’ils recherchent. Il peut s’agir d’un pesticide, d’un contaminant, d’un nutriment,
etc.
Il est important de noter que si je devais augmenter
l’amplification du détecteur, le « bruit de fond » au bas de l’écran s’étendrait verticalement pour remplir l’écran. L’écran entier
serait un « hit » sur chaque masse, car l’amplification est augmentée. C’est l’équivalent de ce que font les instruments PCR lorsqu’ils
exécutent plus de 30 cycles. Ils amplifient le bruit, puis prétendent avoir eu un « hit » sur le covid.
Mais parce qu’ils l’ont amplifié tant de fois, ils ont effacé
toute capacité de dire avec certitude ce qu’ils ont, ou même combien ils ont. Parce que le LOD (Limit of Detection) est scientifiquement
invalide s’il ne peut pas extraire un pic du bruit de fond.
En règle générale, dans la validation de méthode, votre LOD
doit être au moins trois fois plus élevé que le bruit de fond, ce qui signifie qu’un « pic » doit être trois fois plus
élevé que le bruit de fond. Tout ce qui est inférieur à cela est considéré comme un faux bruit de fond. Et lorsque vous effectuez
un travail quantitatif, vous avez généralement besoin d’un signal au moins 10 fois supérieur au bruit de fond.
Pourtant, les instruments PCR prennent le bruit de fond et
l’amplifient jusqu’à ce qu’ils obtiennent un résultat « positif ». Ce « positif » est alors absurdement appelé un « cas de
Covid », même s’il ne signifiait littéralement rien d’un point de vue scientifique légitime.
L’ensemble du processus utilisé aujourd’hui via la PCR est
une science complètement bidonnée qui ne passerait même pas l’audit d’un laboratoire scientifique le plus élémentaire. C’est
d’ailleurs pourquoi la plupart de ces habillages du PCR ne sont pas accréditées ISO. Ils ne pouvaient pas passer un seul audit. (Mon laboratoire
est accrédité ISO avec un audit annuel, y compris les tests de précision de quantification à l’aveugle des instruments de spécification de masse
pour s’assurer que nous atteignons la précision de nos objectifs.)
DrJudy Mikovitz confirme tout dans une récente
interview
Dr Judy Mikovitz, auteur de Ending Plague
(PlagueTheBook.com), a confirmé tout cela dans une
récente interview avec moi. Non seulement a-t-elle confirmé qu’il n’y a pas de virus Covid-19 isolé qui a été récolté et purifié sur une personne
malade et dont il a été prouvé qu’il provoque une maladie chez une autre personne ; Elle a également confirmé que le
DrFauci a spécifiquement choisi un échantillon militarisé/armé de laboratoire qui a été infecté
par un cocktail de coronavirus à utiliser comme base pour la recherche sur le gain de fonction.
En d’autres termes, le DrFauci savait qu’il était en train de construire un ragoût viral frankensteinien, que le frauduleux CDC
et ses complices de la communauté scientifique ont labellisé « covid ». Soutenus par l’hystérie des médias de masse, ils pourraient
amener la plupart de la population à se soumettre à un vaccin pour inoculer à la population des bio-armes que sont les protéines de
pointe, conçues et développées dans le cadre du financement et des directives de Fauci.
Ainsi, la vraie histoire ici est que Fauci et le CDC
ont utilisé les coronavirus communs pour simuler la pandémie de Covid afin d’injecter aux gens une véritable arme biologique : la protéine de
pointe augmentée.
Surtout, le DrMikovitz confirme que tout cela provient de l’armée américaine qui est impliquée dans le
développement et le déploiement de cette arme biologique de dépopulation mondiale (la protéine de pointe) ;
DrJane RUBY offre une explication exceptionnelle du canular de
Covid lors d’une récente émission Stew PETERS
Dans une autre vidéo accablante, DrJane Diamond, une contributrice à l’émission de Stew Peters (StewPeters.TV) confirme toute cette histoire, révélant que le virus Covid-19 n’a jamais été
isolé, ni purifié et ou montré comme provoquant une maladie de Covid. La plandémie est une colossale arnaque :
Enfin, de nouveaux documents FOIA ont fait surface, révélant
que le CDC n’a jamais isolé de virus Covid-19. Une Canadienne du nom de Christine Massey aurait déposé plusieurs demandes de FOIA auprès des CDC,
demandant de la manière suivante : la Freedom of Information Act ;
Toutes les études et/ou rapports en la possession, la garde
ou le contrôle du CDC et/ou de l’Agence du Registre des Substances toxiques et des Maladies (ATSDR) décrivant la purification de tout virus «
COVID-19 » (y compris B.1.1.7 » « B.1.351 », « P.1 » et toute autre « variante ») (par macération, filtration et
utilisation d’une Ultracentrifugeuse, également appelée parfois par certaines personnes « isolement »), directement à partir d’un
échantillon prélevé sur un humain malade, où l’échantillon du patient n’a d’abord été combiné à aucune autre source de matériel
génétique.
Dans une lettre de réponse datée du 7 juin 2021, les CDC ont
répondu :
Une recherche dans nos dossiers n’a révélé aucun document
relatif à votre demande. Plus précisément, le National Center for Immunization and Respiratory Diseases CDC indique qu’il ne purifie ni n’isole
aucun virus COVID-19 de la manière décrite dans les demandes.
La demande FOIA est identifiée comme #
21-01075-FOIA.
En d’autres termes, le CDC n’a jamais isolé et purifié aucun
virus covid-19, point final.
Le site Internet du DrRobert O. Young révèle des documents supplémentaires montrant que le CDC n’a jamais isolé et purifié
pour le virus HPV, le virus de la rougeole, le virus MERS, le virus Zika ou le virus de la polio, entre autres.
(Nous travaillons pour contacter Christine Massey, pour
confirmer l’étendue de ses demandes de FOIA et l’inviter à un entretien.)
Le 21 juillet de cette année, le CDC a annoncé qu’il retirait
son autorisation du test PCR pour Covid-19, affirmant que le test PCR ne serait plus considéré comme une science valide après le 31 décembre de
cette année. Il indique ensuite qu’un nouveau test PCR « facilitera la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et des virus de la
grippe », ce qui signifie que le nouveau test serait capable de faire la différence entre le covid et le rhume. Cela implique que le test
actuel – celui utilisé pour pousser l’hystérie pandémique mondiale Covid – n’atteint pas une telle différenciation.
En effet, il semble que le CDC ait fabriqué la science
derrière les « pandémies » mondiales depuis des décennies, utilisant les médias pour répandre l’hystérie de masse là où aucune pandémie
n’existait. L’un des cas les meilleurs et les plus récents est le récent virus Zika, où les médias grand public criaient que les bébés nés de
nouvelles mères en Floride naîtraient avec la tête réduite (microcéphalie) à cause du virus Zika. Tout comme pour le programme covid, des milliards
de dollars ont été acheminés vers des sociétés pharmaceutiques pour rechercher un vaccin contre le Zika, qui s’est avéré n’être rien de plus qu’un
battage médiatique fictif.
La directrice du CDC Walensky admet que le vaccin
contre le Covid n’empêche pas l’infection ou la transmission du variant Delta du Covid
Ajoutant au démêlage de ce canular du vaccin Covid-19, le
directeur du CDC, Dr. Rochelle Walensky, vient d’admettre quelque chose d’étonnant à CNN, les vaccins Covid-19 n’empêchent pas les infections à
covid-19. Ils n’empêchent pas non plus les gens de transmettre la « variante delta » de ce que le CDC appelle Covid le
virus.
En effet, Walensky vient d’admettre que les passeports
vaccinaux sont inutiles et ne prouvent rien. Si une personne « complètement vaccinée » peut toujours attraper et transmettre le Covid,
alors un passeport vaccinal n’est rien de plus qu’une preuve d’obéissance, pas une preuve de vaccination.
Voici le Dr. Walensky disant tout cela sur CNN ou
non, ce n’est pas une vidéo « deep fake ». C’est une admission ouverte.
Le virus du Covid-19 est un canular, mais la protéine
de pointe est très réelle et assez meurtrière comme arme.
Alors que le Covid-19 le virus semble n’être rien de plus que
des virus du rhume ou des virus de singe renommés, la protéine de pointe toxique pour les nanoparticules – actuellement injectée dans le vaccin –
est une arme biologique mortelle initiée aux États-Unis, puis augmentée à Wuhan, en utilisant nous l’argent des contribuables.
Il semble maintenant évident que tout le but de l’hystérie
Covid était d’inciter les gens à accepter des injections de protéines de pointe, qui sont intentionnellement mal étiquetées « vaccin ».
Ces protéines de pointe, à partir desquelles le Covid vax s’appelle désormais le « caillot shot », provoquent des caillots sanguins, une
lésion neurologique, un accident vasculaire cérébral, des crises cardiaques, des avortements spontanés et des dommages vasculaires universels, même
selon le courant dominant du Salk Institute. De leur article sur la protéine de pointe et ses effets néfastes sur le système cardiovasculaire
humain ;
Maintenant, une nouvelle étude majeure montre que les
protéines de pointe du virus (qui se comportent très différemment de celles codées par la sécurité des vaccins) jouent également un rôle clé dans
la maladie elle-même.
… Le document fournit une confirmation claire et une
explication détaillée du mécanisme par lequel la protéine endommage les cellules vasculaires pour la première fois. Il y a eu un consensus
croissant sur le fait que le SARS-CoV-2 affecte le système vasculaire, mais exactement comment il l’a fait n’a pas été compris. De même, les
scientifiques étudiant d’autres coronavirus soupçonnent depuis longtemps que la protéine de pointe a contribué à endommager les cellules
endothéliales vasculaires, mais c’est la première fois que le processus est documenté.
Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un
« pseudovirus » entouré de la protéine de pointe de la couronne de fraise SARS-CoV-2, mais ne contenant aucun virus réel. L’exposition à
ce pseudovirus a entraîné des dommages aux poumons et aux artères d’un modèle animal, prouvant que la protéine en forme de pointe suffisait à elle
seule à provoquer la maladie. Des échantillons de tissus ont montré une inflammation des cellules endothéliales tapissant les parois des artères
pulmonaires.
La protéine de pointe a été développée en tant qu’arme
biologique afin de provoquer des symptômes généralisés qui peuvent ensuite être faussement étiquetés « covid » puis cités pour pousser
encore plus d’injections du vaccin contenant plus d’arme biologique à protéine de pointe. Le « virus » covid-19 n’est qu’un cocktail de
virus de singe et de virus du rhume, tandis que la protéine de pointe – qui est ce que les vaccins contiennent comme antigène cible – provoque les
dommages vasculaires, les dommages liés à l’infertilité, les dommages au système immunitaire, etc.
Quel est l’intérêt dans tout ça ? Dépeuplement, bien
sûr.
C’est une arme de dépopulation pour réaliser
l’extermination massive de la race humaine.
La protéine de pointe est une arme de dépopulation. Le «
vaccin » est un tir d’extermination/suicide à la Soylent Green qui a été reconditionné en tant que « médicament ». L’hystérie médiatique
« pandémique » a été attisée pour créer la panique et une demande généralisée pour le vaccin afin que les gens ne résistent pas aux tirs
d’extermination.
Et cela signifie que beaucoup de ceux qui ont tiré seront
bientôt morts parce que le but de cette fausse plandémie était de débarrasser le monde de milliards d’êtres humains.
Cela signifie également que toute personne qui s’engage dans
cette voie est complice de meurtres génocidaires et de crimes contre l’humanité. Cela inclut les journalistes, les scientifiques, les médecins, les
gouverneurs, les responsables de la FDA/CDC/OMS, et même les pharmaciens et infirmières locaux qui administrent ces tirs mortels aux hommes, aux
femmes, aux enfants et même aux personnes âgées. Leurs crimes contre l’humanité font de l’Holocauste de la Seconde Guerre mondiale un jeu d’enfant
en comparaison. Covid, le vaccin peut contrecarrer le meurtre de masse de milliards d’êtres humains avant que les criminels ne soient
arrêtés.
Essentiellement, vous assistez à une campagne mondiale
d’extermination de masse déguisée en réponse de santé publique à une pandémie.
Il s’agit de l’escroquerie « scientifique » la plus sinistre
et diabolique jamais perpétrée dans l’histoire de la civilisation connue. C’est, par n’importe quelle mesure honnête, la tentative mondialiste de
parvenir à l’extinction de l’homo sapiens, une sorte de « nettoyage ethnique à l’échelle planétaire » pour débarrasser le monde des
humains et faire place à tout scénario insensé qu’ils espèrent suivre.
Il est temps que tous les êtres humains qui souhaitent
préserver la race humaine se soulèvent pacifiquement et résistent à cette tentative d’extermination génocidaire contre l’humanité.
C’est pourquoi le sénateur américain, Rand Paul appelle
maintenant les Américains à résister au verrouillage des masques et aux mandats, déclarant : « Nous n’avons pas à accepter le mandat, le
verrouillage et les politiques néfastes des petits tyrans et des bureaucrates ineptes. On peut simplement dire non, pas encore ». Il continue
:
« Ils ne peuvent pas tous nous arrêter. Ils ne
peuvent pas garder tous vos enfants à la maison de l’école. Ils ne peuvent pas garder tous les bâtiments gouvernementaux fermés – bien que j’aie
une longue liste de ceux qu’ils devraient. Nous n’avons pas à accepter le mandat, le verrouillage et les politiques néfastes des petits tyrans et
des bureaucrates imprudents. Nous pouvons simplement dire non, pas encore.
Président Biden – nous n’accepterons pas le mandat de vos
agences ou vos mouvements signalés vers un verrouillage », a déclaré Paul. « Personne ne devrait suivre les mandats des CDC masques
anti-science.
… Nous ne vous permettrons plus de faire plus de mal à
nos enfants cette année encore ».
Nous avons tous été trompés, les amis. Tout cela n’a rien à
voir avec la santé publique, sauver des vies ou arrêter une pandémie. Il s’agit d’un théâtre élaboré et coordonné pour inciter les gens à se
suicider par injection d’armes biologiques afin que les mondialistes puissent retirer quelques milliards de personnes de la planète tout en faisant
progresser leur tyrannie et leur contrôle autoritaire sur les survivants.
Cela peut également servir de couverture pour leur
réinitialisation financière prévue, qui entraînera l’effondrement des devises mondiales, la destruction de tous les avoirs en devises des moutons
et la consolidation de la propriété de tout entre les mains de l’élite mondialiste.
C’est pourquoi les gouvernements du monde tiennent maintenant
leurs propres citoyens en otage, exigeant que les quotas de vaccins soient respectés afin de libérer une « liberté » limitée qui sera
bien sûr complètement révoquée une fois la prochaine « variante » identifiée.
J’explique tout dans cette puissante envie d’un podcast qui a
été publié pour la première fois vendredi dernier ;
Covid, toute l’arnaque se défait rapidement. Restez à
l’écoute pour plus. Regardez des vidéos sur Brighteon.com et Banned.video pour découvrir la vérité que Big Tech ne permettra à personne de
partager. Si vous voulez vivre et survivre à ce génocide mondial, lisez NaturalNews.com et suivez ma chaîne sur Brighteon ;
La première autopsie d'une personne décédée vaccinée contre le Covid révèle la présence de Protéines Spike dans
tous les organes du corps !
Des chercheurs allemands ont mené la toute première étude post-mortem au monde sur un cadavre qui, avant sa mort, avait été "vacciné" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Ils ont découvert que chaque organe du corps de la personne décédée avait été infesté par des Protéines Spike suite à la
vaccination.
Environ un mois avant sa mort, l'homme de 86 ans avait reçu sa première dose du vaccin antigrippal Fauci.
Il a ensuite été infecté par des germes chinois et a dû être transporté d'urgence dans un hôpital voisin pour y être
soigné.
Mais il était déjà trop tard.
Le corps de l'homme a été envahi par les Protéines Spike du vaccin Fauci qui ont dévoré ses organes vitaux et l'ont laissé pour
mort.
Selon les rapports, l'homme avait reçu un "vaccin ARN modifié par des nucléosides, BNT162b2, sous forme de nanoparticules
lipidiques, en dose de 30 µg".
"Ce jour-là et au cours des deux semaines suivantes, il n'a présenté aucun symptôme clinique", peut-on lire dans un article consacré à ce cas et publié dans l'International Journal of Infectious
Diseases.
"Le 18e jour, il a été admis à l'hôpital pour une diarrhée qui s'est aggravée.
Comme il ne présentait aucun signe clinique de COVID-19, l'isolement dans un cadre spécifique n'a pas eu lieu.
Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine.
Le test d'antigène et la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour le SRAS-CoV-2 se sont révélés négatifs."
Au 25e jour, l'homme a finalement été testé "positif" pour les germes chinois.
Il a fallu attendre le 25e jour pour que l'homme soit enfin testé "positif" à la grippe de Fauci.
Un jour plus tard, il est mort à l'hôpital d'une insuffisance rénale et respiratoire causée par le vaccin.
Les chercheurs ont découvert plus tard que le corps entier du patient avait été envahi par des charges élevées d'ARN viral, également connues sous le nom de protéines Spike induites par le
vaccin.
L'homme a clairement été tué par le vaccin.
"En résumé, les résultats de notre étude de cas autopsique chez un patient ayant reçu un vaccin à ARNm confirment l'opinion selon laquelle la première dose de vaccination contre le SRAS-CoV-2
peut déjà induire une immunogénicité, alors que l'immunité stérile n'est pas suffisamment développée", conclut l'étude.
S'il a été découvert que l'injection mortelle a bien déclenché une réponse immunitaire dans le corps de l'homme, elle n'a absolument rien fait pour arrêter la propagation du virus ou des
Protéines Spike qui ont provoqué la défaillance de ses organes.
Ce que tout cela montre, bien sûr, c'est que les vaccins Fauci font plus de mal que de bien - si tant est qu'ils fassent du bien.
Ils semblent également accélérer la propagation du virus chinois et des maladies qui lui sont associées.
C'est pourquoi nous exhortons nos lecteurs à dire simplement non aux injections de médicaments expérimentaux du gouvernement.
Il n'est tout simplement pas nécessaire que quelqu'un reçoive ces injections, à moins qu'il ne souhaite mourir, auquel cas
il existe des lignes d'aide au suicide pour le dissuader de s'ôter la vie avec les injections mortelles de Fauci.
"Malheureusement, après quelques mois, la vérité sera révélée, et ceux qui ont pris ces vaccins deviendront les parias de la société !" a écrit un commentateur sur
Infowars.
"Rappelez-vous, toute cette affaire de faux vaccins viole chaque article du Code de Nuremberg, que les États-Unis ont
adopté il y a des décennies."
"Ce qui est incroyable dans toute cette affaire, c'est que les inventeurs du médicament, ni les fabricants ne sont responsables de toute conséquence indésirable liée à leurs vaccins
Covid-19, car ils ont été créés dans le cadre d'une déclaration d'urgence et considérés comme immunisés contre toute irrégularité, parce que leur intention était de sauver
l'humanité", a noté un autre, suggérant que ce format consistant à pousser des médicaments mortels et sans responsabilité sur les masses fait partie de la "nouvelle
normalité".
"Cela vous semble familier ?
Habituez-vous-y, car l'intention couvre une multitude de péchés."
Les autorités sanitaires italiennes ont ordonné le retrait d’un lot de vaccin AstraZeneca ( veut dire tueuse d
étoile.....)suite au décès de deux hommes en Sicile, qui avaient récemment été vaccinés, a déclaré jeudi une source proche du dossier.L’autorité pharmaceutique italienne Aifa a confirmé
qu’elle mettait fin à l’utilisation d’un lot de vaccins par mesure de «précaution», ajoutant qu’aucun lien n’avait été établi entre le vaccin et les "événements indésirables graves"
ultérieurs. Elle n’a pas précisé de quels incidents il était
question. Cependant, la source a déclaré que les autorités
sanitaires avaient réagi à la suite du décès ce mois-ci de Stefano Paterno, un officier de la marine de 43 ans, et de Davide Villa, un policier de 50 ans, qui avaient tous deux reçu des
injections du lot ABV2856 d’AstraZeneca. Stefano Paterno
est décédé d’une crise cardiaque mardi, le lendemain de sa vaccination. Davide Villa est décédé le week-end, environ 12 jours après son inoculation. Les journaux locaux ont déclaré qu’il était tombé malade dans les 24 heures suivant son injection et ont rapporté que les médecins avaient
diagnostiqué une thrombose veineuse profonde, qui a ensuite entraîné une hémorragie cérébrale. La décision de l’Italie est intervenue quelques heures après que le Danemark et la Norvège ont annoncé qu’ils suspendaient temporairement
l’utilisation des vaccins AstraZeneca après avoir signalé la formation de caillots sanguins chez certains vaccinés. AstraZeneca a déclaré jeudi à Reuters dans un communiqué que la sécurité de son vaccin avait été
largement étudiée dans des essais sur l’homme et les données évaluées par des pairs avaient confirmé que le vaccin était "généralement" bien toléré. Le fabricant de médicaments a déclaré plus tôt cette semaine que ses injections étaient soumises à des
contrôles de qualité stricts et rigoureux et qu’il n’y avait eu "aucun événement indésirable grave confirmé associé au vaccin". Dans un
autre développement, l’Autriche a cessé dimanche d’utiliser un lot de vaccins AstraZeneca, tout en enquêtant sur un décès dû à des troubles de la coagulation et une maladie due à une embolie
pulmonaire. Le lot en cause dans cette affaire n’était pas
le même que le lot sous examen en Italie. Aifa a déclaré
qu’elle travaillait en étroite collaboration avec l’organisme de réglementation pharmaceutique de l’Union européenne, l’Agence européenne des médicaments (EMA), sur cette
question. Les magistrats de l’île méditerranéenne ont
ouvert des enquêtes sur les décès de Paterno et Villa, dont aucun n’avait de problèmes de santé.
Reportage d’Emilio Parodi et Angelo Amante; Écriture de Crispian Balmer; Édité par Gavin
Jones : Source Les morts sont causées par des lots différents dans différents pays, donc rien à voir avec les lots mais avec la composition du vaccin
lui-même… Source :Echelle de Jacob
– On ne peut pas prendre une décision éclairée sans être éduqué.
Voici juste QUELQUES ingrédients de vaccins. Ils sont injectés à vos enfants ;
Formaldehyde/Formalin – Poison systématique hautement toxique et cancérigène.
Betapropiolactone – Produit chimique toxique et cancérigène. Peut causer la mort ou des blessures permanentes après une très courte exposition à de petites quantités. Produit chimique
corrosif.
Hexadecyltrimethylammonium bromure – Peut causer des dommages au foie, au système cardiovasculaire et au système nerveux central. Peut causer des effets sur la reproduction et des
malformations congénitales.
Aluminum hydroxyde, phosphate d’aluminium et sels d’aluminium – Neurotoxine. Risque d’inflammation/gonflement du cerveau à long terme, de troubles neurologiques, de maladies auto-immunes,
d’Alzheimer, de démence et d’autisme. Elle pénètre dans le cerveau où elle persiste indéfiniment.
Thimerosal (mercure) – Neurotoxine. Induit des dommages cellulaires, réduit l’activité d’oxydo-réduction, la dégénérescence cellulaire et la mort cellulaire. Lié aux troubles
neurologiques, à la maladie d’Alzheimer, à la démence et à l’autisme.
Polysorbate 80 & 20 – Elle franchit la barrière hémato-encéphalique et transporte avec elle l’aluminium, le thimérosal et les virus, ce qui lui permet de pénétrer dans le
cerveau.
Glutaraldehyde – Produit chimique toxique utilisé comme désinfectant pour les équipements médicaux sensibles à la chaleur.
Fetal Sérum bovin – Récolté sur des fœtus de bovins (vaches) prélevés sur des vaches enceintes avant l’abattage.
Human Fibroblastes diploïdes – Cellules fœtales avortées. L’ADN étranger a la capacité d’interagir avec le nôtre.
African Green Monkey Kidney Cells – Peut être porteur du virus SV-40 cancérigène qui a déjà contaminé environ 30 millions d’Américains.
Acetone – Peuvent causer des dommages aux reins, au foie et aux nerfs.
E.Coli – Oui, vous avez bien lu.
DNA du Circovirus porcin (porc) de type 1
Human cultures de cellules pulmonaires embryonnaires (provenant de fœtus avortés)
…
… etc.
Faites passer l’info!
28/02 - LES BRUXELLOIS METTENT BAS LES MASQUES
ET LA POLICE CONSTATE QU’IL EST IMPOSSIBLE
DE VERBALISER TOUS CEUX QUI NE RESPECTENT PAS
LES "MESURES SANITAIRES" !
Le nombre peut se révéler bien précieux pour faire infléchir certaines pratiques iniques.
La leçon nous en a été donnée ce week-end à Bruxelles et devrait valoir pour la France et pour le reste de l’Europe soumise à l’hystérie
covidienne.
Avec le beau temps, tous les espaces verts bruxellois, et notamment le Parc du Cinquantenaire et le Bois de la Cambre, ont connu une très importante fréquentation dimanche.
Et une très grande proportion des promeneurs ont baissé le masque dans un mouvement spontané de libération et ce sans plus aucun respect des fameuses distances
sociales.
Face à l’ampleur du phénomène, la police a renoncé à verbaliser les nombreuses personnes ne respectant plus les restrictions sanitaires.
“Observation : beaucoup de gens sans masque.
La police veille mais ne peut pas être partout malgré le déploiement de patrouilles supplémentaires“, a laconiquement déclaré Ilse Van de Keere, porte-parole
de la police de Bruxelles-Capitale/Ixelles.
Et d’avouer : “Il était impossible de verbaliser tous ceux qui ne respectaient pas les mesures.”
27/02 - COVID. LA COMÉDIENNE VICTORIA ABRIL
DÉNONCE LE CANULAR DU COVID PROVOQUANT
D'IMPORTANTS DOMMAGES COLLATÉRAUX
ET SE FAIT CENSURER SUR YOUTUBE !
Lors du prix Feroz de Honor 2021 de l’Association des informateurs cinématographiques de Espagne (AICE) en reconnaissance de sa
carrière, l’actrice espagnole Victoria Abril s’est prononcée contre les vaccins Covid-19, la gestion de la pandémie et le confinement. Victoria Abril est une actrice et chanteuse
franco-espagnole. Elle a notamment joué dans Garon
maudit, un film de Josiane
Balasko. Après Jean-Marie
Bigard, Sophie
Marceau, Francis
Lalanne et Bébert, le chanteur des Forbans, c'est la cinquième célébrité qui s'exprime ouvertement contre le canular du Covid. En près d'un an
de dictature pseudo-sanitaire et de mensonges d'État, ça fait bien peu de voix qui s'élèvent. Pour le coup, l'expression "gens du spectacle" prend tout son sens. Une façade
libertaire hypocrite qui dissimule une mentalité facho, conformiste et une extrême lâcheté. Une définition qui ne concerne pas Victoria Abril, artiste humaine et authentique, tout en finesse
et en intelligence. Elle a bien compris l'arnaque qui consiste à endetter davantage les peuples et les pays, mise en place par les escrocnavirus, ces fausses élites, vrais parasites qui sont
la pire maladie de ce monde. "Si vous regardez la télé et que vous ne sortez pas, vous pensez que les gens meurent dans la rue, mais les gens meurent comme chaque année, l’année 2020 n’a pas
eu plus de morts qu’en 2019, où est la pandémie ?" "Tout cela est pour nous confiner, aliéner nos droits et libertés fondamentales et nous transformer en esclaves et cobayes !" "Les
coûts et les dommages collatéraux de ces mesures sanitaires, nous allons les payer et nous sommes en train de les payer très cher et très longtemps. Cet argent magique de l’Union européenne
qui tombe du ciel n’est pas gratuit, nous allons le payer cher pendant 40 ans." "Maintenant nous sommes des cobayes, on se fait injecter des vaccins qui ne sont pas des vaccins mais une
expérience. De plus, ces vaccins ne fonctionnent plus et le nombre de cas positifs a explosé depuis qu’ils ont commencé les vaccins, plus de morts et plus de malades. […] Les
Anglais qui ont commencé en décembre, ils ont commencé plus fort et plus vite et ont plus de variants, de cas positifs, de contagions et plus de morts."
L'infirmière en chef du centre médical universitaire de Ljubljana en
Slovénie, révèle que les Politiciens reçoiventdes Placébos!
Scandale en Slovénie hier !
* Hier en Slovénie, un grand scandale a éclaté et aujourd'hui toute la Slovénie parle d'une grande machination.
L'infirmière en chef du centre médical universitaire, un centre clinique de Ljubljana, qui s'occupe de recevoir les flacons et gère tout
!
Elle a démissionné, est sortie devant les caméras et a sorti des flacons de vaccins avec des liquides.
Elle a montré aux gens les codes figurant sur les flacons, où chacun porte des codes commençant par 1, 2 ou 3, puis a expliqué la
signification de ces chiffres.
Le numéro 1 est un placebo, une solution saline.
Le numéro 2 est un flacon classique d'ARNm.
Le numéro 3 est un bâtonnet d'ARN qui contient un gène oncologique, lié à l'adénovirus qui contribue au développement du cancer.
Pour ces bouteilles avec le numéro 3, elle dit que les personnes qui l'ont reçuauront dans les 2 ans un cancer des tissus mous.
Elle dit avoir personnellement assisté à la piqûre de tous les politiciens et magnats et tous ont reçu la piqûre avec les lots numéro 1, donc ils ont reçu une solution saline, un
placebo.
Et cela explique pourquoi elle poignarde tous nos politiciens lorsqu'ils prennent des photos pour les médias.
Michael Snyder, The End of The American Dream Sott.net
dim., 22 nov. 2020 13:42 UTC
Et si toutes les hypothèses que les gens font sur cette pandémie de COVID étaient complètement fausses ? Lorsque Pfizer a annoncé qu'il avait mis au point un vaccin efficace
contre la COVID, le monde entier s'est réjoui. Et quand Moderna a annoncé qu'il avait mis au point un vaccin efficace contre la COVID, le monde a applaudi encore plus fort. Mais le COVID a muté,
et les scientifiques nous assurent qu'il continuera à muter. Que se passera-t-il donc si les vaccins qui sont mis au point finissent par être complètement inutiles contre les nouvelles
souches mutantes du virus ? Cela nous ramènerait-il à la case départ (ou pire encore) ?
Pour mettre ce problème en perspective, parlons un instant de la grippe. Chaque année, les autorités sanitaires proposent un vaccin antigrippal qui, selon elles, sera efficace contre la ou les
variations de la grippe dont elles pensent qu'elle sera dominante cette année-là. La plupart des gens supposent simplement qu'un "vaccin antigrippal" leur procurera une protection
complète contre "la grippe", mais ce n'est pas du tout vrai en réalité. Certaines années, la correspondance entre le vaccin antigrippal et les variations de la grippe est assez bonne, et
d'autres années, ce n'est absolument pas le cas. Ce qui suit provient du site officiel du CDC...
Pendant les années où le vaccin antigrippal n'est pas bien adapté aux virus de la grippe en circulation, il est possible que l'on observe peu ou pas de bénéfices de la vaccination
antigrippale. Pendant les années où le vaccin antigrippal est bien adapté aux virus en circulation, il est possible de mesurer les avantages substantiels de la vaccination
antigrippale en termes de prévention des maladies et des complications de la grippe. Toutefois, même pendant les années où la correspondance entre le vaccin et la grippe est bonne, les
avantages de la vaccination antigrippale varieront en fonction de divers facteurs tels que les spécificités de la personne vaccinée, les virus de la grippe qui circulent cette saison et même,
éventuellement, le type de vaccin utilisé.
À ce stade, Pfizer et Moderna semblent tous deux convaincus que leurs vaccins seront efficaces contre la souche dominante du COVID qui sévit actuellement dans le monde entier.
Mais que se passera-t-il si une nouvelle souche devient dominante ?
Au Danemark, une nouvelle souche de COVID transmise à l'homme par les visons a été considérée comme si dangereuse que le gouvernement a annoncé qu'il allait tuer les 17 millions de visons du
pays...
Le gouvernement du Danemark a stupéfié le monde il y a quelques jours en annonçant qu'il allait abattre jusqu'à 17 millions de visons, détruisant ainsi toute l'industrie de la fourrure de
vison dans le pays. Les fonctionnaires ont opté pour cette option radicale en raison du nouveau coronavirus, car l'agent pathogène a développé une mutation potentiellement dangereuse au sein
de la population de visons captive. Selon les autorités du pays, le coronavirus muté a déjà infecté au moins 12 personnes. Les chercheurs craignent que la nouvelle souche soit si dangereuse
qu'elle pourrait rendre inutiles les candidats vaccins COVID-19 actuels. Un nouveau rapport apporte même des nouvelles plus inquiétantes, car certains chercheurs pensent que la souche mutée
du coronavirus a un potentiel pandémique. D'autres, en revanche, appellent au calme.
Heureusement, après un énorme tumulte, le gouvernement danois a finalement décidé de ne pas abattre tous les visons.
Mais cette souche continue de se propager et, comme le souligne la citation ci-dessus, cette nouvelle souche "pourrait effectivement rendre inutiles les candidats vaccins COVID-19
actuels".
En d'autres termes, si cette souche danoise devient dominante, elle pourrait obliger les fabricants de vaccins à revenir à la case départ.
Entre-temps, nous venons d'apprendre « qu'une nouvelle souche de COVID-19 se propageant rapidement » a fait son apparition en Australie...
L'Australie du Sud lutte contre une nouvelle souche de COVID-19 qui se répand rapidement, elle se prépare à un confinement de six jours pour tenter de contenir le virus.
Un cluster de COVID-19 dans le nord d'Adélaïde, a atteint le nombre de 22 cas mercredi, alors que des milliers de personnes continuent d'affluer vers les centres de dépistage.
La raison pour laquelle les autorités ont décidé de bloquer toute l'Australie du Sud pendant six jours est que cette nouvelle souche semble être beaucoup plus contagieuse que les souches
précédentes...
Une souche du COVID-19 à l'origine d'une épidémie en Australie du Sud pourrait se propager jusqu'à cinq fois plus vite que la normale, craignent les autorités.
Des responsables de la santé inquiets affirment que la période d'incubation - le temps qu'il faut à une personne pour présenter des symptômes après avoir été infectée - soit "très
très courte".
Le professeur Nicola Spurrier, responsable de la santé en Australie du Sud, a déclaré que les gens deviennent contagieux dans les 24 heures suivant l'infection. Elle a déclaré que la
souche particulière à l'origine de l'épidémie avait "certaines caractéristiques".
S'il est vrai que cette nouvelle souche se propage cinq fois plus rapidement que les souches plus anciennes, elle pourrait facilement devenir dominante.
Et si cela se produit, les vaccins qui ont été développés pourraient ne plus être d'aucune utilité.
Nous n'en savons rien pour l'instant.
Mais ce que nous savons, c'est que le COVID continuera à muter dans les mois et les années à venir, ce qui pourrait créer de sérieux maux de tête aux chercheurs qui mettent au point les
vaccins.
Quant aux vaccins qui ont déjà été créés, certains experts soulignent qu'ils comportent de nombreuses inconnues.
La plupart des gens supposent que ces nouveaux vaccins sont similaires à d'autres vaccins qu'ils ont déjà reçus, mais ce n'est absolument pas vrai.
Ces nouveaux vaccins font partie d'une classe entièrement nouvelle en soi. Ils sont connus sous le nom de vaccins à "ARN messager" (ARNm) et fonctionnent en détournant la
machinerie de fabrication des protéines dans vos cellules...
Alors que Moderna venait de terminer son essai de phase I, The Independent a écrit sur le vaccin et l'a décrit ainsi : "Il utilise une séquence d'ARN génétique produite en laboratoire
qui, lorsqu'elle est injectée dans votre corps, va devoir envahir vos cellules et détourner la machinerie protéinique de celles-ci, appelée ribosomes, pour produire les composants viraux qui
entraîneront ensuite votre système immunitaire à combattre le virus.
"Dans ce cas, l'ARNm-1273 de Moderna est programmé pour que vos cellules produisent la fameuse protéine en pointe du coronavirus qui donne au virus son apparence de couronne (corona est
la couronne en latin) qui lui vaut son nom", a écrit The Independent.
Je ne veux certainement pas que mes cellules soient "détournées", et personne n'a la moindre idée de ce que seront les effets à long terme.
Et même si vous prenez l'un de ces nouveaux vaccins, il pourrait finir par ne plus rien vous apporter du tout si une autre souche émerge et devient dominante.
Malheureusement, je crois que nous sommes entrés dans une ère de pandémie mondiale, et je suis convaincu que tout cet enthousiasme pour les vaccins qui ont été mis au point est totalement
erroné.
Nous savons que le COVID continuera à muter, mais nous n'avons aucune idée si les vaccins actuels seront efficaces ou non contre ces futures souches.
Si la lutte contre les maladies était facile, nous aurions éradiqué le rhume et la grippe il y a longtemps.
Mais ce n'est pas le cas, et nous n'éradiquerons pas non plus le COVID.
Même maintenant, de nouvelles souches dangereuses de COVID apparaissent, et j'ai le sentiment que ce sera le COVID qui aura le dernier mot.
* * *
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Après avoir approuvé l’action antivirale des infusions à base de sauge et de perilla dans les cellules infectées par le SRAS-CoV-2, des chercheurs allemands ont conclu qu’elles pourraient
contribuer à la prévention ou au traitement médical du virus. L’étude a été publiée sur biorxiv.
Des chercheurs allemands ont découvert que les tisanes de sauge et de perilla aidaient à lutter contre le Covid-19. Menée par l’institut de virologie à l’University Hospital Essen en
Allemagne, l’étude a été publiée sur le portail biorxiv.
Alors que des vaccins sont en cours de production, les chercheurs ont testé des herbes ordinaires disponibles dans le commerce sous formes de tisanes pour vérifier leurs propriétés
médicinales.
Ils ont découvert que les infusions préparées en faisant bouillir des feuilles de perilla et de sauge agissaient contre le SRAS-CoV-2 présent dans les cellules humaines.
Déroulement de l’expérience
Après ébullition, les boissons ont été laissées infuser pendant deux heures à 60ºС. Les infusions ont été ajoutées aux cellules infectées.
«Nous avons infecté des cellules Vero E6 hautement permissives au SRAS-CoV-2 pendant une heure avant que la suspension virale ne soit retirée et que différentes dilutions d’infusions aqueuses
de perilla et de sauge soient ajoutées», indique l'étude.
Les chercheurs ont également inclus la coriandre dans leur étude, herbe qui n’est pas couramment utilisée comme une plante médicinale, pour comparer son action sur les cellules infectées avec
celle des infusions à la sauge et à la perilla.
Afin d’évaluer davantage l’effet bénéfique des tisanes sur la réplication du virus, les chercheurs ont réalisé des expériences avec deux doses différentes du virus.
«Le nombre de cellules infectées a clairement diminué après un traitement avec des infusions de perilla et de sauge», précise l’étude.
Des feuilles séchées
En plus des plantes fraîches, des herbes séchées ont également été testées. Les tisanes préparées à partir de sachets disponibles dans les magasins ou de feuilles séchées contiennent
également une concentration suffisante des composés antiviraux.
Bien que les tisanes ne puissent remplacer le traitement médical ou clinique, les chercheurs ont suggéré qu’elles pourraient être consommées à titre de prévention ou pour soulager le
déroulement de l’infection virale.
Makia Freeman — The Freedom Articles Sott.net
jeu., 12 nov. 2020 12:22 UTC
Pour l'heure, faisons le point sur les tests des vaccins anti-Covid pour ceux qui ont été divulgués. Nous savons que de nombreuses sociétés du cartel des Big Pharma ont dû faire état de résultats
embarrassants concernant leurs essais d'un vaccin anti-Covid. Récemment, nous avons appris qu'un participant volontaire brésilien est décédé lors du test du vaccin anti-Covid mené par AstraZeneca — en collaboration
avec l'université d'Oxford.
Avant cela, dans la même série de tests d'AstraZeneca, deux femmes ont développé de graves effets indésirables, dont l'une a présenté des symptômes neurologiques correspondant à un grave trouble
inflammatoire de la colonne vertébrale appelé myélite transverse [atteinte neurologique rare causée par une inflammation de la moelle épinière responsable d'une atteinte motrice,
sensitive et sphinctérienne - NdT]. Pendant ce temps, dans les tests du vaccin contre le Covid de Johnson and Johnson — oui, la même grande entreprise pharmaceutique qui était
présente lors de la simulation prophétique de l'Event 201 de Bill Gates [et de l'Institut Hopkins - NdT]
— une « maladie inexpliquée » s'est développée chez l'un des volontaires.
Même pour ceux qui croient passionnément aux vaccins, ces effets secondaires désastreux sont inquiétants, d'autant plus que le programme du Nouvel Ordre Mondial impose le déploiement d'un
vaccin anti-Covid dans le monde entier sur une base contraignante ou totalement obligatoire.
Des effets secondaires graves et généralisés dans tous les tests des vaccins anti-Covid
Dans un autre cas, un participant au test du vaccin développé par Moderna a développé une fièvre de plus de 39,4º C et s'est évanoui chez lui.
Lors de la phase 1 du test Moderna chez l'homme, 100 pour cent des volontaires du groupe ayant reçu la dose élevée ont souffert d'effets secondaires systémiques — fatigue,
frissons, maux de tête et myalgie (douleurs musculaires). En fait, le vaccin Moderna a montré un taux de blessures « graves » de 20 pour
cent dans le groupe à forte dose ; un participant au test a déclaré qu'après avoir pris le vaccin, il n'avait « jamais de sa vie été aussi malade ».
Dans cette interview avec Bill Gates, le présentateur de CBS révèle
qu'après la deuxième dose, 80 pour cent des participants au test ont
présenté une réaction systémique. La corruption est encore plus profonde, car la FDA vient d'autoriser une autre grande entreprise pharmaceutique,Pfizer, à tester son vaccin expérimentalanti-Covid sur des enfants américains ! Un autre test Covid a été interrompu, bien qu'il n'était pas
mené pour le vaccin Covid : le NIH [Institut national de la Santé aux États-Unis - NdT] a stoppé le test d'anticorps du Covid de la société
pharmaceutique Eli Lilly pour des raisons de
sécurité. La quantité douteuse d'effets secondaires ne constitue apparemment pas un problème pour AstraZeneca, qui,selon Reuters, a pu conclure des accords avec de nombreux pays lui permettant de se protéger contre de futures actions en responsabilité liées au
vaccin.
Des test de vaccins truqués par la mise en place de critères de performance très bas
Les effets secondaires désastreux sont déjà assez inquiétants en soi, mais cela ne s'arrête pas là. Il faut aussi mentionner que les tests sont conçus sur une supercherie. En plaçant la barre de
performance des vaccins très bas, ces derniers peuvent apparaître comme des produits efficaces, même s'ils ne le sont pas particulièrement — sans même parler de leur innocuité. Joseph Mercola écrit :
« Que la prévention de l'infection par le Sras-CoV-2 ne soit pas un critère de performance dans ces tests vaccinaux est choquant. Le seul critère de réussite des vaccins
anti-Covid qui compte pour eux, c'est la réduction des symptômes communs au Covid-19 et au rhume. Dans le cas d'AstraZeneca, l'analyse intermédiaire porte sur 50 personnes vaccinées.
Le vaccin sera considéré comme performant si 12 personnes ou moins développent des symptômes après l'exposition au Sras-CoV-2, contre 19 dans le groupe de contrôle de 25 personnes. »
Dans l'article largement repris « Les
protocoles relatifs au vaccin Covid-19 révèlent que les tests sont conçus pour être couronnés de succès », William Haseltine a écrit :
« La prévention de l'infection devrait constituer le but primordial... Mais la prévention de l'infection n'est un critère de succès pour aucun de ces vaccins. En fait, leurs
buts à tous requièrent des infections préalablement confirmées... puisque leurs vaccins ne sont pas censés prévenir l'infection, mais seulement modifier les symptômes des personnes
infectées.
En cas d'infection, nous attendons tous d'un vaccin efficace qu'il protège d'une maladie grave. Trois des protocoles de vaccination — Moderna, Pfizer et AstraZeneca — n'exigent pas de leur
vaccin qu'il protège d'une maladie grave, mais seulement qu'il empêche des symptômes modérés pouvant être aussi bénins que la toux ou les maux de tête... Un vaccin doit
réduire de manière significative ou totale les décès dus au Covid-19... Pourtant, aucun ne mentionne la mortalité comme critère d'évaluation critique.
La deuxième surprise de ces protocoles est la légèreté des conditions requises pour contracter les symptômes du Covid-19. Une lecture attentive révèle que la qualification minimale
pour un cas de Covid-19 est un test PCR positif et un ou deux symptômes bénins. Ceux-ci comprennent des maux de tête, de la fièvre, de la toux ou de légères nausées. Ces critères
sont loin d'être suffisants. Ces tests de vaccination visent à éviter les symptômes du rhume commun. »
Vous avez compris ? Les vaccins ne sont pas conçus pour prévenir l'infection, mais seulement pour réduire les éventuels symptômes. Cela tient finalement au fait
qu'il n'existe pas de virus Sras-CoV-2 isolé et purifié [voir la NdT ci-dessous]. Quiconque est considéré comme « infecté » — selon le
test PCR très imparfait — pourrait tout simplement l'être parce que le test a détecté son propre ADN ou d'autres séquences d'ARN/virus.
Note du traducteur : David Crowe pense qu'il n'y a même pas suffisamment de preuves pour justifier la qualification de ce virus comme nouveau, et encore moins qu'il soit
considéré comme pandémique. Dans son article
fouillé, très détaillé et sourcé de juin dernier intitulé « Les failles de la théorie de la pandémie de coronavirus », il écrit :
« Le monde souffre d'un délire massif basé sur la croyance qu'un test pour l'ARN équivaut à un test pour un nouveau virus mortel... Si le virus existe, alors il devrait être possible de
purifier les particules virales. De l'ARN peut être extrait de ces particules, et il devrait correspondre à l'ARN utilisé dans ce test. En attendant, il est possible que l'ARN provienne
d'une source différente, qui pourrait comprendre les propres cellules du patient, des bactéries, des champignons, etc. Une association entre des niveaux élevés de cet ARN et la maladie
pourrait exister, mais cela ne prouve pas que l'ARN est issu d'un virus. Sans purification et caractérisation des particules virales, on ne peut pas accepter qu'un test ARN soit
une preuve de la présence d'un virus.
Les définitions des maladies importantes sont étonnamment vagues, peut-être même embarrassantes. Quelques symptômes, peut-être un contact avec un patient précédent, et un test d'une
précision inconnue, suffisent souvent. Alors que la définition du Sras, qui constitue un épisode antérieur de panique dû là aussi à un coronavirus, était limitée, la définition de
la nouvelle maladie à coronavirus est elle illimitée, ce qui permet à l'épidémie imaginaire de prendre de l'ampleur. Si l'on met de côté l'existence du virus, si le test de
dépistage du coronavirus a un problème de faux positifs — comme tous les tests biologiques — alors le fait de tester une population non infectée ne produira que des tests
faussement positifs, et la définition de la maladie permettra à l'épidémie de se poursuivre indéfiniment.
Cette nouvelle maladie étrange, officiellement appelée Covid-19, ne présente aucun symptôme qui lui soit propre. La fièvre et la toux, auparavant imputées à
d'innombrables virus et bactéries, ainsi qu'à des contaminants environnementaux, sont les plus fréquents, de même que des images pulmonaires anormales, bien qu'on les trouve chez des
personnes en bonne santé. »
Il conclut son article par ce qui suit :
« La panique du coronavirus n'est que cela, une panique irrationnelle, basée sur un test ARN qui ne prouve rien et qui n'a jamais été relié à un virus. Et qui ne sera pas connecté à un
virus à moins que celui-ci ne soit purifié. En outre, même si le test peut détecter un nouveau virus, la présence d'un virus n'est pas la preuve qu'il est à l'origine des
symptômes graves que connaissent certaines personnes dont le test est positif — mais pas toutes. Enfin, même si le test peut détecter un virus, et qu'il est dangereux, nous ne
savons pas quel est le taux de faux positifs. Et même un taux de faux positifs de 1 pour cent pourrait produire 100 000 résultats faux positifs rien que dans une ville de la
taille de Wuhan et pourrait signifier qu'une fraction significative des résultats positifs trouvés sont des faux positifs.
L'administration de substances médicamenteuses puissantes, surtout chez les personnes âgées souffrant de problèmes de santé préexistants, au prétexte que les médecins sont
convaincus qu'ils ont affaire à un virus particulièrement virulent, risque d'entraîner de nombreux décès. Comme pour le Sras.
Il y a très peu de progrès scientifiques. On s'empresse d'expliquer tout ce qui se passe d'une manière qui ne remet pas en cause le paradigme viral, qui ne remet pas en cause la
signification des résultats des tests et qui encourage l'utilisation de médicaments antiviraux non testés. »
Dans l'article publié par
Forbes en septembre dernier « Les protocoles relatifs au vaccin anti-Covid révèlent que les tests sont conçus pour être couronnés de succès », l'auteur écrit :
« Toutes les entreprises pharmaceutiques semblent partir du principe que le vaccin n'empêchera jamais l'infection. Leur critère d'approbation est la différence de symptômes entre un
groupe contrôle [ou témoin - NdT] infecté et un groupe infecté qui reçoit le vaccin. Leur motivation principale n'est pas de mesurer la différence entre l'infection
et la non-infection... Une fois de plus, nous constatons que dans ces tests, la maladie grave et la mort ne sont que des objectifs secondaires. Aucun d'entre eux ne mentionne la
prévention des décès et des hospitalisations comme un obstacle d'une importance capitale. »
Création d'une nouvelle Cour fédérale pour traiter les plaintes relatives au vaccin anti-Covid
En attendant, tout comme la NCVIA (National Childhood Vaccine Injury Act) a été adoptée aux États-Unis en 1986 pour protéger les grandes entreprises pharmaceutiques de la responsabilité liée aux
vaccins, il y aura maintenant un nouveau tribunal pour les réclamations concernant le vaccin Covid. Jon Rappoport relate ce qui suit :
« La vérité est simple : le gouvernement américain prévoit que de nombreuses personnes déposeront des demandes d'indemnisation lorsque des membres de leur famille seront blessés ou tués par
un nouveau vaccin anti-Covid... Ce nouveau tribunal fédéral dédié au vaccin anti-Covid fonctionnera exactement comme le système actuel de
paiement pour les demandes d'indemnisation relatives aux blessures causées aux enfants par les vaccins. Les citoyens doivent franchir de nombreux obstacles absurdes et se soumettre à toutes
sortes de formalités administratives pour tenter de soutirer de l'argent au gouvernement fédéral. Le système est conçu de cette manière. C'est votre cauchemar bureaucratique de base.
Les termes qui établissent le nouveau tribunal du vaccin anti-Covid se trouvent dans le registre fédéral du 17 mars 2020, et sont enfouis dans la section 14 d'un document intitulé «
Déclaration en vertu de la loi sur la préparation du public et la protection civile pour les contre-mesures médicales anti-Covid-19 ». Voici le passage pertinent de ce document :
Programme de contre-mesures d'indemnisation des victimes... La section 319F-4 de la PHS Act, 42 U.S.C. 247d-6e, autorise le Programme de contre-mesures d'indemnisation des victimes
(CICP) à fournir des prestations aux personnes admissibles qui subissent une blessure physique grave ou meurent en conséquence directe de l'administration ou de l'utilisation d'une
contre-mesure couverte [par exemple, un vaccin].
L'indemnisation au titre du CICP pour un préjudice directement causé par une contre-mesure couverte est basée sur les exigences énoncées dans la présente déclaration, les règles
administratives du programme et la loi. Pour démontrer la causalité directe entre une contre-mesure couverte et un dommage physique grave, la loi exige des « preuves médicales
et scientifiques convaincantes, fiables et valides ». Les règles administratives du Programme expliquent plus en détail les conditions nécessaires pour être éligible au
CICP...
Dernières réflexions
Même les vaccins normaux, qui sont soumis à des tests de sécurité approfondis et dont la mise sur le marché prend en moyenne 7 à 20 ans, sont intrinsèquement toxiques et
dangereux. Cela est d'autant plus vrai pour les prochains vaccins anti-Covid, qui pourraient être mis sur le marché rapidement en vertu de l'EUA (Emergency Use Authorization) de la FDA.
Nous savons que les militaires seront fortement impliqués à la fois aux États-Unis (opération Warp Speed) et au Royaume-Uni dans le déploiement du vaccin anti-Covid.
Nous sommes au bord d'une catastrophe mondiale en termes d'effets secondaires désastreux — et vous pouvez être sûrs que les
grandes entreprises pharmaceutiques nieront, distrairont et obscurciront ces faits en déclarant : « Il n'est pas malade à cause du vaccin anti-Covid, il est malade à cause du Covid ».
Nous devons nous préparer au lancement du vaccin anti-Covid — et à toutes les nanotechnologies qui l'accompagnent — car il ne reste
littéralement que quelques semaines ou quelques mois. Tenez-vous informés et restez vigilants.
À propos de l'auteur : Makia Freeman est la rédactrice en chef du site de médias alternatifs/information indépendante The Freedom Articles et chercheuse principale à ToolsForFreedom.com. Makia est sur Steemit et FB.
Note du traducteur : Dans son article sus-mentionné, Jon Rappoport ajoute :
« Bref aperçu sur un sujet d'importance historique. Au milieu des années 80, les fabricants de vaccins étaient confrontés à une avalanche de procès intentés par des
parents d'enfants vaccinés. Les fabricants, très nerveux, ont déclaré au gouvernement qu'ils allaient se retirer du secteur des vaccins. L'impact financier d'une telle décision risquait
de devenir majeur.
Le gouvernement a répondu : ATTENDEZ. Des réunions ont eu lieu. Un plan a été élaboré. Une loi a été votée pour exempter les fabricants de vaccins de toute responsabilité financière. En
revanche, et pour tous les vaccins recommandés pour les enfants, les parents devaient s'adresser à un tribunal gouvernemental pour déposer une indemnisation, après que leurs enfants aient
été blessés ou tués par un vaccin. Et le gouvernement a fait en sorte qu'il soit TRÈS difficile d'obtenir de ce tribunal une indemnisation.
Cette nouvelle Cour fédérale dédiée auxvaccins anti-Covid en est le modèle exact. Et elle se base sur le même aveu
tacite qui prévalait déjà dans les années 1980 : les vaccins entraînent de nombreuses complications. »
Créer une Cour fédérale pour le seul Covid-19 en dit long sur les aspects cachés de cette soi-disant pandémie et sur le verrouillage des potentielles tentatives de recours en
masse.
Dans un article précédent,Makia Freeman énonce ce qui suit :
« Une citation largement attribuée à James Shannon, ancien directeur du NIH, est que "le seul vaccin sûr est celui qui n'est jamais pris". Le Mahatma Gandhi a déclaré que "la
vaccination est une pratique barbare et l'une des plus fatales de toutes les illusions actuelles". Bien que Big Pharma et ses porte-parole médicaux aiment répéter le mantra selon
lequel les vaccins sont "sûrs et efficaces", les faits montrent qu'ils ne sont ni l'un ni l'autre, mais plutôt des outils expérimentaux dont les effets peuvent être
dévastateurs : acquisition de la maladie elle-même — contre laquelle on est censé être vacciné — stérilisation, troubles du spectre autistique, paralysie, cancer et mort. »
La connaissance protège et l'ignorance met en danger.
Par ailleurs, la Commission européenne a annoncé mercredi 11 novembre avoir commandé à Pfizer 300 millions de doses de vaccin anti-Covid, deux jours après que le
groupe américain Pfizer et le laboratoire allemand BioNTech ont affirmé que leur vaccin, encore expérimental, était efficace « à 90 pour cent » contre le Covid-19. Trois
autres contrats identiques ont déjà été signés par l'Union européenne : avec AstraZeneca, Johnson & Johnson (400 millions de doses chacun) et Sanofi-GSK (300 millions). Si l'on
additionne, ces commandes représentent pour l'heure un total de 1 400 millions de doses de vaccins... pour une population estimée au 1er janvier 2020 à
447,7 millions d'habitants. C'est la même Commission européenne qui se chargera ensuite de répartir les doses entre chaque État membre.
Bruxelles est par ailleurs en contacts étroits avec d'autres laboratoiresaméricains. Les discussions sont engagées avec Moderna, CureVac et Novavax pour
s'assurer de recevoir des doses de leur vaccin s'il s'avérait probant. Le nombre total de doses de vaccins va donc augmenter...
Rappelons que jusqu'à 60 pour
centdes personnes pourraient être partiellement résistantes au Sras-Cov-2 sans jamais y avoir été exposées. En d'autres termes, un grand
nombre de personnes peuvent être immunisées ou résistantes à ce virus parce qu'elles ont déjà été infectées par d'autres coronavirus.
Cela n'est peut-être pas surprenant, étant donné la relation étroite entre la plupart des coronavirus, mais c'est un indicateur supplémentaire que ce virus, connu pour être inoffensif dans la
grande majorité des cas, n'est ni particulièrement unique ni particulièrement dangereux. Les preuves continuent de s'accumuler quant à l'exagération massive des estimations
initiales du danger que représente ce virus.
N'oublions pas non plus que les personnes
infectées par le Covid-19 qui sont asymptomatiques (c'est-à-dire la plupart d'entre elles) ne propagent PAS le Covid-19, pas plus qu'il n'existe de propagation du virus dans les espaces
collectifs (magasins, restaurants, coiffeurs, etc.), ni non plus dans les espaces extérieurs. Ajoutons que les masques sont inutiles — voire dangereux — et qu'aucune donnée scientifique
ne vient étayer ces mesures. Quant
au confinement, c'est une telle aberration que nous en subirons les effets
délétères pendant des dizaines d'années et ces effets causeront plus de morts et de destruction que le Covid-19 lui-même. Mais c'est le Grand Plan voulu par les élites mondialistes.
Résumé d’une étude scientifique très fouillée et argumentée sur la Covid-19 réalisée par trois auteurs Gilles PECH de LACLAUSE, Arnaud DELENDA, Lana AUGUSTINCIC, qui démontre
de manière claire et indiscutable que le confinement est contre-productif. Le lien vers l’étude complète est donnée dans ce résumé.
Son titre ? « Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité: Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 » »
Le premier des trois auteurs étant un jeune camarade, ancien Saint Cyrien, j’ai lu cette étude qu’il m’avait proposée et je n’ai pas été déçu. Vous ne le serez pas non plus. Le raisonnement
et les données sont justes, Les conclusions sont « décoiffantes »……
Dans une étude approfondie, trois auteurs travaillant en équipe se sont livrés à une analyse statistique et ont réalisé une étude mathématique de l’épidémie de «Covid-19». J’ai lu attentivement
cette étude. Elle me paraît très convaincante, et d’autant plus que les évolutions actuelles de l’épidémie dans les différents pays donnent raison à ses auteurs. J’attends, avec
beaucoup de curiosité les études alternatives qui démontreraient le contraire et qui seraient confortées par l’observation des résultats et de l’évolution de l’épidémie
que nous connaissons…. Le lecteur de formation scientifique se plongera avec délice dans cette brillante démonstration. Le lecteur pressé ira directement à la conclusion reprise ci après.
Résumé:Cette étude observe les résultats de la propagation épidémique et de la mortalité dans trois pays comparables touchés assez largement : Belgique, Pays-Bas,
Suède. Ces trois pays ont réalisé des « interventions non pharmaceutiques » à trois niveaux différents, de l’isolement social total (Belgique) à la simple distanciation sans port de masques
(Suède). Ces trois pays ont trois niveaux de système hospitaliers différents, du plus équipé (Belgique) au moins équipé (Suède).
L’étude démontre que le « confinement » strict (Belgique) ou souple (Pays-Bas) n’a pas « retardé » le pic, ni « aplani » la courbe. Au contraire, ces deux
pays ont connu une accélération plus forte et un pic plus haut, avant la Suède.
Cette étude utilise ensuite un modèle SEIR simple pour démontrer que les scénarios prédictifs ne sont pas pertinents dans l’utilisation qui en a été faite.
L’étude démontre ensuite par les mathématiques que l’hypothèse que les NPI « Non Pharmaceutical Interventions » au sens de l’OMS aurait un impact direct sur l’indicateur R (nombre
reproducteur de base) de propagation épidémique, est erronée.
Elle formule enfin l’hypothèse mathématique d’un effet pervers indésirable dans le cas des NPI les plus strictes (1er confinement à la française) qui créent à
l’asymptote une baisse du taux de guérison, entraînant une surcharge de la capacité hospitalière et une surmortalité.
Cette étude nous livre trois informations majeures:
1 – Elle met en évidence les erreurs de méthode et de raisonnement qui ont conduit quelques scientifiques à faire des prévisions apocalyptiques sur l’évolution de l’épidémie. Ce
sont ces prévisions qui ont conduit certains gouvernements paniqués à prendre des mesures de confinement général dans de nombreux pays.
Ces prévisions faites le 10 avril 2020 pour une Suède non confinée était de 96 000 décès pour le mois de mai. La Suède n’a pas confiné, et elle n’a déclaré que 6 022 décès le 9
novembre (16 fois moins)…… Dans le cas Belge, le bilan du confinement ne tient pas l’objectif. Elle compte presque 3 fois plus de décès que ce qui était espéré par le niveau de
confinement de la Belgique et deux fois plus que la Suède. Dans les deux cas, les prévisions n’étaient pas valables.
2 – L’étude démontre aussi que l’utilisation de ces modèles prédictifs, sous la pression du temps de crise, s’est éloigné à grande vitesse de la rigueur scientifique….
3 – Des vies sauvées par le confinement ?
«L’erreur a été poussée encore plus loin avec certaines études cherchant à chiffrer le « nombre de vies sauvées » par les mesures les plus strictes, ce qu’ont prétendu faire les équipes de
Neil Ferguson à l’Imperial College et l’EPICX LAB. On pourrait utiliser exactement le même argument pour dire que l’absence de confinement a sauvé 92 000 vies en Suède par rapport à la
prévision du 10 avril (96 000 morts attendus en mai). L’honnêteté intellectuelle commande de comparer les résultats obtenus par les pays et les comparer avec les objectifs de leur niveau
de confinement.
–Dans le cas de la Belgique, le bilan du confinement ne tient pas l’objectif. Il y a presque 3 fois plus de décès que ce qui était espéré par le
niveau de confinement appliqué.
–Dans le cas de la Suède, a contrario, il y avait, en mai, 20 fois moins de décès que ce qui était attendu avec le niveau des mesures prises.
Avant de vous livrer la courte conclusion de cette étude dans son intégralité, je tiens à remercier les trois auteurs, Gilles PECH de LACLAUSE, Arnaud DELENDA, Lana AUGUSTINCIC,
de nous l’avoir fait connaître.
Conclusion de l’étude
«La conclusion est contre – intuitive, heurte les idées reçues, et touche les ressorts profonds de la psychologie collective. Plus un investissement est massif, et plus la tendance est
d’investir encore. Plus un sacrifice a été important, plus il est difficile d’admettre qu’il était inutile. Quel aurait été le sort de ceux qui auraient tenté d’expliquer aux
Incas que leurs sacrifices n’avaient aucune influence sur la course du soleil ? Nous restons modestes mais renforcés dans notre conviction (depuis 9 semaines maintenant). Nous avions déjà fait le
constat d’une absence d’effet déjà relevé par la littérature scientifique. Nos conclusions vont au-delà.
Le confinement ne « décale » ni le pic de nouveaux cas, ni le pic de mortalité, au contraire, il «l’anticipe ».
Le confinement « n’aplatit » pas la courbe de nouveaux cas, ni la courbe de mortalité, au contraire, il la « gonfle »
Le confinement réalise un effet pervers indésirable de surcharge hospitalière et d’augmentation des décès. Le contraire de l’effet imaginé.
Le raisonnement selon lequel le confinement général strict et indifférencié influe directement sur le « R0 » de propagation épidémique est faux. Une mesure de confinement général strict
et indifférencié n’impacte pas directement le R0 mais l’un de ses paramètres : le taux de contact.
Les modélisations mathématiques et statistiques ont été basées sur des « hypothèses » non scientifiques et un dévoiement des modèles :
LES VRAIS CHIFFRES DE SANTE FRANCE ! ET C’EST POUR CA QU’ON TUE LA FRANCE ?
Voilà un tweet confirmé par le très officiel site de Santé » France :
90% des patients en réanimation ont une co-morbidité. dont 83% sont en surpoids. Les 28 morts de moins de 20 ans avaient d’autres pathologies TRÈS lourdes. 90% des morts ont plus de 75 ans.
Chiffres : Santé France. Et c’est pour ça que @olivierveran a fermé le pays…
Et je rajouterai : et c’est pour cela que notre président veut nous interdire de célébrer Noël à l’église et dans nos familles, tout en mettant en péril des milliers de commerçants et les
forestiers qui ont déjà abattu des dizaines de milliers de sapins invendables à ce jour.
Alors ces statistiques que nos dirigeants et nos médecins infiniment trop prudents et qui n’ont rien à faire des dégâts qu’ils provoquent, ces statistiques nous parlent, et nous provoquent. Bien
sûr, il y a des gens atteints par ce virus dont les conséquences sont rarement mortelles comme le démontrent les chiffres et parfois douloureuses et longues. Bien sûr, 40.000 morts c ‘est
terrible, mais combien d’autres maladies tuent chaque année des dizaines de milliers de Français. Mais donner la primeur absolue au combat contre le Covid-19 va avoir des conséquences
dramatiques.
L’économiste Philippe Herlin invité chez Pascal Praud ce mardi est très mécontent de la politique actuelle. Il se demande pourquoi le gouvernement n’a pas adopté une action sanitaire dédiée au
personnes vulnérables puisque la mortalité est très basse y compris chez les vieillards qui sont pourtant les plus touchés . Sur l’ensemble des morts du Covid-19, dit il, ceux de moins de 65 ans
sans comorbidité pèsent moins de 2,5%. Et il annonce un suicide économique. Il trouve délirant que l’Etat se finance désormais autant par l’endettement que par l’impôt. Et il est d’accord avec
Mar’c Touati quand celui-ci annonce que la France ne retrouvera son niveau pré-covid qu’après 2032.
Mais ces réflexions n’atteindront pas les cerveaux de ceux qui nous enferment et qui sont persuadés de l’exactitude de leur raisonnement. Mais comment peuvent ils être sûrs que les confinements
ne se succéderont pas comme le second a succédé au premier, transformant la vie de millions de Français pourtant masqués, en cauchemar ?
Le Docteur Trotta présente dans cette vidéo les clivages et la face cachée de la gestion du COVID19.
Il appelle chacun à 'RESTER LIBRE", à ne pas se laisser "endormir" par des discours de peur assourdissants qui ressassent, quotidiennement, des statistiques autour de la maladie, de la mort. On
nous impose de dresser des remparts, autour de nous, avec l'autre, nous faisant peu à peu perdre notre individualité, notre singularité, notre goût de vivre tout simplement.
QUE FAIRE POUR RESTER LIBRE ? libre d'aller et venir, libre de créer, libre d'aller vers l'autre sans méfiance, libre de partager ?
Dr Pascal Trotta, Ancien Interne des Hôpitaux de Paris,
Lauréat de la Faculté de Médecine de Paris V
Médecin Spécialiste, Radiologue, Homéopathe, Fondateur de l'Institut de Médecine Naturelle de Saint Sébastien
Institut de Médecine Naturelle du Dr Trotta
Paseo de los fueros 3, 20005 San Sebastian